soit les manuscrits sont corrects et donc il y a kurios ou théos partout,
Il me semble que la WT apporte une réponse.
“
A-t-on vraiment besoin des originaux ?”, édition de
La Tour de Garde du 15 juillet 1990, page 29 :
«
Cependant, nous n’avons vraiment pas besoin des originaux. L’important n’est pas le document, mais son contenu. Et, par miracle, malgré le passage de nombreux siècles d’agitation, bien que copiée et recopiée si souvent, la Bible, nous pouvons en être sûrs, contient toujours les renseignements qui figuraient dans ces manuscrits originaux de l’Antiquité. »
“
Vous pouvez vivre éternellement sur une Terre qui deviendra un paradis”, ch.5, page 52,53, §18 et 20 :
«
On possède aujourd’hui plus de 1 700 copies anciennes des Écritures hébraïques. Grâce à une comparaison minutieuse de ces copies, on est en mesure de déceler et de corriger toute faute de copiste. Il existe également des milliers de manuscrits très anciens des Écritures grecques, dont certains remontent presque au temps de Jésus et de ses apôtres. Ainsi, Sir Frederic Kenyon a pu dire : “Les dernières raisons permettant de laisser subsister un doute sur l’intégrité du texte qui nous est parvenu s’en trouvent désormais dissipées.” — The Bible and Archaeology, pages 288, 289.(…)
Donc, quiconque dit que la Bible ne contient pas le texte original nie les faits. Jéhovah a veillé à la préservation de sa Parole, pour que le texte ne soit affecté ni par les fautes de copistes ni par les additions. L’Écriture renferme elle-même la promesse que Dieu préserverait la pureté de sa Parole jusqu’à nos jours.— Psaume 12:6, 7 ; Daniel 12:4 ; I Pierre 1:24, 25 ; Révélation 22:18, 19. »
«
Quiconque dit que la Bible ne contient pas le texte original nie les faits »… Vous avez bien lu ! Sont-ce bien
les tenants de la même doctrine qui ont
aussi écrit :
«
à l’époque où furent produites ces copies existantes (à partir du IIIe siècle de n. è.) le texte original des écrits des apôtres et des disciples avait subi des modifications. »
(“
Étude perspicace des Écritures”, article “
Jéhovah”, vol.1, page 1255 )
En outre vous avez bien noté : c’est DIEU lui-même qui a sauvegardé sa parole. Celui qui affirme que cette Parole a été
corrompu remettrait donc en question la capacité de Dieu a tenir sa promesse… Et
c’est ce que font les TdJ.
soit les manuscrits ne sont pas conformes aux originaux
Cette hypothèse n'est soutenue par
aucune preuve, c'est une théorie, une spéculation que les faits réduisent à l'état de d'argument fallacieux ... une vraie profession de foi qui ne s'appuie sur
RIEN !!!
Si cette hypothèse farfelue était fondée nous devrions lire dans la majorité des plus anciens manuscrits NT existants encore, le Tétragramme ou un dérivé raisonnable de ce dernier intégré dans le texte grec ....
RIEN de tel !!!
De plus, de nombreux, et parmi les plus anciens manuscrits des Écritures grecques chrétiennes, devraient nous montrer des preuves de la suppression du Tétragramme ...
RIEN de tel !!!!
S’il y a eu un débat au sujet de la suppression du Tétragramme, les écrits des Pères de l’Église devraient nous en faire part ....
RIEN de tel !!!
Enfin Les écrits anciens, non canoniques, devraient comporter des références au sujet du Tétragramme ....
RIEN de tel !!!
alors on doit chercher à savoir quand il s'agit d'un kurios de remplacement ou un kurios original.
La question qui se pose est de savoir sur quel critère doit-être effectué cette MODIFICATION des manuscrits du NT, censés avoir été protégé par Dieu !
Un des critères que donne la TMN est que, les occurences "Jéhovah" dans le NT sont
des citations de l'AT.
Pourtant comme je l'ai déjà dit (mais vous avez manifesté un
SILENCE COUPABLE), sur les 237 occurrences du mot “
Jéhovah” dans le NT version TdJ,
seules 112 sont
réellement des références à l’AT. Ainsi,
dans la majorité des cas, les passages où les TdJ ont remplacé “
Kurios ” par “
Jéhovah” sont le résultat de motifs beaucoup moins limpides et évidents que ce que n’affirme la Watchtower.
L’immense majorité des TdJ est parfaitement incapable d’expliquer ce qui a motivé ces 125 autres choix.
Puisque ces 125 passages ne citent
pas l’AT, pourquoi les TdJ ont-ils choisi d’ignorer ce qui est écrit en grec
? Comment ont-ils pu “décider” que c’était “Jéhovah” qui devait être là, alors que rien dans l’AT ne vient justifier ce choix
?Aucune réponse des TdJ !!!Deuxième critère, la TMN se sert des traductions en hébreu du texte grec dont les plus anciennes est du XVIe siècle, la plupart datent du XIXe siècle, et la plus récente remonte aussi loin que 1986 (J1, J2, J3...), qui ont fait, avant la Watchtower, le choix de faire apparaitre יהוה là où le texte grec contient kurios ou théos.Mais au nom de quoi ces
traductions, qui ne reflètent donc que le choix de leurs traducteurs, se mettent-elles à avoir PLUS de valeur que le texte même qu’elles traduisent
? Comment peut-on considérer que ces traductions nous renseignent mieux que le texte grec
?Comment une traduction peut-elle devenir plus authentique que l’original
? Les TdJ ne fournissent pas de réponse à ces questions. Celui qui adhère à la première proposition a des dizaines d'autres Bibles que la TMN pour le satisfaire.
En effet elles ont le mérite de respecter les 5400 manuscrits du NT !
Concernant Etienne, jamais Jésus n'a demandé de le prier au contraire, il a dit de demander "en son nom"! Nous devons donc prier Dieu au nom de Jésus.
Votre lecture de la Bible
manque cruellement de nuance et repose sur votre doctrine !
Dans le NT, Jésus est le médiateur entre Dieu et les hommes mais dans un certains nombre de cas, il est le destinataire de Prière,
il suffit de lire le texte sans préjugés, sans le prisme de Maman/WT, de lire le texte pour ce qu'il dit !
Par exemple en
2 Corinthiens 12,8 Paul prie Jésus en ces termes, " A ce sujet, par trois fois,
j'ai prié le Seigneur pour qu'il s'éloigne de moi."
C'est le
v 9 qui nous éclaire quant au destinataire de cette prière, "Mais il m'a déclaré : " Ma grâce te suffit : car la
puissance se déploie dans la faiblesse. " C'est donc de grand cœur que je me glorifierai surtout de mes faiblesses, afin que repose sur moi la
puissance du Christ."
Dans le cas d'Etienne le texte est claire, sans ambiguité pour autant qu'on le lise pour ce qu'il dit, Etienne prie Jésus !
L'occurence "Jéhovah" au v 60, non seulement ne respecte pas les manuscrits mais brise la coherence du texte et son sens.
Personne ne réagis à l'exemple de Romains 14 ... silence coupable ???