Et oui 50/50 AV/AP Jésus!!!!!!!
En grec tu en n'a un plus vieux????????
Et si proche de Jésus??????
Je me pose des questions concernant les TdJ, leur incapacité à comprendre les arguments presentés et à être sensibles aux faits avérés !
Pour la éièneme fois !
Les TdJ ne parlent que de la
LXX, donc de l’AT.
Quel rapport avec le NT ?
Il n’est peut-être pas inutile d’observer que les Témoins de Jéhovah font habilement
“glisser” la question de
ce qui est écrit noir sur blanc dans le Nouveau Testament, vers celle de ce qui
aurait été écrit dans l’Ancien Testament de référence des rédacteurs du NT.
On ne parle donc plus de ce qui
est effectivement écrit dans le NT par ses rédacteurs, mais de ce
qui aurait pu être lu par eux. Il faut bien noter, avant d’accepter d’analyser cette question, qu’on
ne parle déjà plus du vrai problème : les TdJ ne s’intéressent plus à ce que nous disent les
témoins directs, mais débattent seulement de
témoins indirects, auxquels ils accordent plus d’importance.
Et il faut encore garder à l’esprit, lorsque l’on traite de cette question, que si les TdJ font
basculer ainsi la discussion des témoins textuels
directs vers des témoins
indirects, et surtout que si ils donnent contre toute logique une prééminence aux seconds, c’est uniquement parce que les premiers leur donnent
tort sur toute la ligne ! Il ne leur est nécessaire de se référer aux témoins indirects que
parce que leur exploitation doit faire l’objet d’un travail d’interprétation.
Et on jouit évidemment de bien plus de liberté, pour faire jouer cette interprétation dans le sens souhaité, en choisissant de rester cantonné au domaine des hypothèses plutôt que de s’en tenir aux “vrais” témoins textuels du NT.
La rhétorique des TdJ consiste donc dans le déploiement d’un
écran de fumée, qui n’a pour fonction que de brouiller un problème pourtant relativement simple.
LA stratégie de l’écran de fumée ne doit pas nous faire perdre de vue la vraie nature du problème
CONCLUSION :
Nous ne pouvons pas conjecturer sur l'hypothèse que si une déclaration puisse être valide pour l’un, elle sera également valide pour l’autre. Déclarer que le Tétragramme était employé dans certaines versions de la Septante n’est pas une preuve que le Tétragramme était présent dans les Écritures grecques chrétiennes. La présence du Tétragramme dans les Écritures grecques chrétiennes doit être établie par une
étude approfondie des anciens manuscrits des Écritures chrétiennes.
Enfin j'espère qu'avec la Tour de Garde ci-dessous, vous arreterez de me citer des traduction en hébreux du NT allant du 14 au 19 eme siècle pour dévaloriser les 5400 manuscrits du NT dont certains remontent au 2eme siècle !!!!
La Tour de Garde du 15 juin 1982 , p 23 :
"Plus un manuscrit biblique est ancien, plus il y a de chance qu'il soit conforme aux autographes des rédacteurs divinement inspirés, autographes dont aucun n'a subsisté"