Encore une fois Alexandre a prétendu que de très nombreuses Bibles respectaient les manuscrits en mettant le tétragramme dans l'AT, j'attends donc la liste de ces Bibles.
J'ai déjà cité la Bible de Jérusalem, la Bible Crampon 1905. La American Standard Version dès 1901 emploie le Tétragramme dans l'AT, les TdJ ne sont donc pas les découvreurs du Tétragramme. Ce qui est amusant, c'est que les TdJ de l'époque n'ont JAMAIS utilisé la American Standard Version, alors qu'elle contenait le Tétragramme, portant leur choix sur la Bible du Roi Jacques ou l'Authorized Version avec son emploie de "Seigneur" jusqu'en 1950 .... allez comprendre !!!
faux c'est aussi la forme abrégé du tétragramme comme nous te l'avons déjà expliqué.mais il y pas pire aveugle que celui ne veux pas voir.
tien regarde ce que dit le cd rom one bible fait par tes ex amis .
Encore une fois vous essayé de masquer les faits et la réalité, en faisant devier le sujet du débat ..... cela illustre la faiblesse de votre position et une certaine malhonnèteté.
Le terme “alléluia” ne se trouve QUE dans le chapitre 19 du livre de l’Apocalypse (ou Révélation), c'est une exception qui est à mettre en contraste avec un fait determinant, c'est l'absence du Tétragramme des 5400 manuscrits du NT.
Je trouve déplorable de constater que vous fondez votre théorie sur une exception en ignorant la régle ... l'absence totale du Tétragramme des manuscrits du NT.
Nous voulons savoir comment les chrétiens et les auteurs du NT designaient-ils ou nommaient-ils Dieu ????Le terme “alléluia” n’est absolument pas utilisé comme une façon de désigner Dieu !De plus ce terme unique et exceptionnel dans le NT, est prononcé dans le ciel pas sur terre.
Soutenir que le Nom divin apparaitrait dans le NT parce qu’il est étymologiquement à l’origine du mot “alléluia” n’a donc pour objectif que de créer un flou, dont le but est de minimiser le plus possible l’absence totale de ce Nom dans le NT pour désigner Dieu.
Or, que Matthieu ait cité le texte depuis l'hébreu, comme nous le pensons puisque c'est en hébreu qu'il a rédigé son évangile,
Pure spéculation sans fondement ! Ces informations montrent en tous cas dans les premiers siècles que l'usage du Nom de Dieu était encore monnaie courante dans de nombreux et divers milieux y compris chez certains auteurs connues.
En quoi cette liste nous éclaire-t-elle sur le fait de savoir coment les chrétiens designaient-ils Dieu ??? Encore de la poudre au yeux, pour detourner notre attention du fait que tous écrits chrétiens connus ne contiennent pas le Tétragramme.
LA stratégie de l’écran de fumée ne doit pas nous faire perdre de vue
la vraie nature du problème Il y a aujourd’hui plus de 24 000 manuscrits du Nouveau Testament dont 5400 au moins sont complets, il n’y a pas une seule fois la présence du tétragramme .... c'est fait pas une spéculation.
Je trouve amusant que des auteurs des 3eme et 4emem voir 5 eme siècle fassent plus autorité et soient plus fiables ques des manuscrits du NT du 2eme siècle dont un de 125 !!!
Évidemment, ces auteurs tout comme Jérôme sont de véritables érudits, connaisseur de l’hébreu. Ils savaient donc bien, ce que signifiaient le Tétragramme. Mais manifestement, ce n’est absolument pas le cas de nombre de chrétiens.
En effet selon Saint-Jérôme, les lecteurs de la LXX dont parle ici Jérôme n’adoraient pas un dieu du nom de
Jéhovah, mais un dieu qui s’appelait
Pipi. Rencontrant les lettres hébraïques יהוה les lecteurs grecs les ont tout naturellement —serait-on tenter de dire— confondues avec les lettres grecques ΠΙΠΙ (Pi et iota, doublés, soit Pipi).
Ce problème ne se pose d’ailleurs pas qu’à la
lecture, et n’est pas la conséquence d’un manque de culture (d’ailleurs le seul fait de savoir lire est à cette époque le signe d’une éducation certaine) : on retrouve ce ΠΙΠΙ
écrit dans quelques manuscrits, ce qui montre que même des copistes, qui appartenaient à une certaine élite, sont piégés par ces caractères hébreux au milieu d’un texte grec, et ils ne les comprenaient pas !
Alors la question est posée pourquoi citent-ils encore ce nom si il a disparu totalement???
A+
Seul un véritable érudit, connaisseur de l’hébreu connaissait le Tétragramme et son sens ... vous ne l'avez pas encore compris ?!?! .... pour les autres les caractères hébreux… c’est de l’hébreu !
SILENCE COUPABLE !!!!
Sur les 237 occurrences du mot “
Jéhovah” dans le NT version TdJ,
seules 112 sont
réellement des références à l’AT. Ainsi,
dans la majorité des cas, les passages où les TdJ ont remplacé “
Kurios ” par “
Jéhovah” sont le résultat de motifs beaucoup moins limpides et évidents que ce que n’affirme la Watchtower.
L’immense majorité des TdJ est parfaitement incapable d’expliquer ce qui a motivé ces 125 autres choix.
Puisque ces 125 passages ne citent
pas l’AT, pourquoi les TdJ ont-ils choisi d’ignorer ce qui est écrit en grec
? Comment ont-ils pu “décider” que c’était “Jéhovah” qui devait être là, alors que rien dans l’AT ne vient justifier ce choix
?Aucune réponse des TdJ !!!SILENCE COUPABLE !!Deuxième critère, la TMN se sert des traductions en hébreu du texte grec dont les plus anciennes est du XVIe siècle, la plupart datent du XIXe siècle, et la plus récente remonte aussi loin que 1986 (J1, J2, J3...), qui ont fait, avant la Watchtower, le choix de faire apparaitre יהוה là où le texte grec contient kurios ou théos.
Mais au nom de quoi ces traductions, qui ne reflètent donc que le choix de leurs traducteurs, se mettent-elles à avoir PLUS de valeur que le texte même qu’elles traduisent ?
Comment peut-on considérer que ces traductions nous renseignent mieux que le texte grec ?
Comment une traduction peut-elle devenir plus authentique que l’original ?
Les TdJ ne fournissent pas de réponse à ces questions.SILENCE COUPABLES !!!Romains 14.6-9 (TMN)
« 6 Celui qui observe le jour l’observe pour Jéhovah (manuscrit grec. kurio). De plus, celui qui mange, mange pour Jéhovah(gr. tô kuriô), car il rend grâces à Dieu ; et celui qui ne mange pas ne mange pas pour Jéhovah(gr. tô kuriô), et pourtant il rend grâces à Dieu. 7 Aucun de nous en effet ne vit que pour ce qui le concerne, et aucun ne meurt que pour ce qui le concerne ; 8 car si nous vivons, nous vivons pour Jéhovah(gr. tô kuriô), et de même si nous mourons, nous mourons pour Jéhovah(gr. tou kuriou). Donc, si nous vivons et de même si nous mourons, nous appartenons à Jéhovah(gr. tô kuriô). 9 Car c’est pour cela que Christ est mort et a repris vie, pour être Seigneur(gr. kurieusè) et sur les morts et sur les vivants. »
Ici, on notera au passage que Paul ne cite absolument plus l’AT, les TdJ n’ont donc aucune raison d’introduire Jéhovah pour traduire “kurios”, si ce n’est le fait que d’autres traducteurs l’ont fait avant eux…
Quiconque lit le texte en grec ne trouvera que “le Seigneur” : On mange ou on jeûne pour “le Seigneur”, on vit ou on meurt pour “le Seigneur”. Pourquoi ? Parce que, nous dit Paul Jésus est lui-même mort et ressuscité pour devenir le Seigneur des morts et des vivants.
Toute le passage est construit autour du mot kurios, et le verbe employé par Paul au verset 9 (kurieusè) renvoie directement à ce mot. En remplaçant ce mot par le nom propre Jéhovah, les TdJ trahissent tout simplement le sens de ce passage.