Revenons à la réalité en toute confiance que la Bible ne véhicule aucune suggestion mensongère sans, advenant le cas, la corrigée de façon explicite.
En ce qui concerne l'histoire réelle de la communication entre Saül et le prophète Samuel. L'auteur inspiré par l'Esprit affirme et identifie clairement sans aucune nuance de doute d'en être autrement sur la réalité des personnages dans cette histoire toujours réelle, que le personnage "Saül" a communiqué réellement par l'intermédiaire d'un autre personnage réel "d'une médium" avec le vrai prophète Samuel qui était réellement décédé.
En ce qui concerne l'édifice pour les nés de nouveau dans le ciel, Paul est clair, elle est déjà présente dans le ciel au moment qu'il en parle. Par la négation de ce fait en disant que cette édifice ne sera disponible que lors de la résurrection des corps, Paul n'aurait eu aucune justification d'avoir cette joie immédiate de rejoindre Jésus dans l'empressement de mourir, car cela n’aurait accélérer en rien sa réunion avec Lui. Mais en fait, démontrerait son mécontentement dépressif et suicidaire à être au service de ses frères en Christ . Cette pensé qu'il dénie d'ailleurs dans le même contexte de ses explications.
La Vérité, c'est qu'il sait que dès maintenant il a cette édifice au ciel qu'il regarde avec envie et à juste titre pour le bonheur qu'elle lui procurerait dès sa mort; mais en même temps son coeur est très attaché à ses frères et à son ministère de service pour eux que Dieu en son Seigneur Jésus lui a confié.
En ce qui concerne la parabole du riche et de Lazare, son symbolisme tout comme son aspect allégorique dans le comportement des objets, et ou, métaphorique pour certains mots, ne mettent jamais en contradiction la réalité que les personnages fictifs ne seraient pas des hommes selon la définition propre du mot "homme" ni que les objets ne seraient pas des objets selon leur définition propre de chacun de ces objets, ni que le lieux de l'Hadès (séjour des morts) ne serait pas l’Hadès selon sa définition propre du mot "Hadès"....
Strong a écrit:En Grec biblique,.... les régions infernales,.... l’endroit où se retrouvent les esprits. Le Hadès est la demeure des méchants, un endroit très inconfortable.
La parabole est toujours basée sur la Vérité puisqu'elle provient de la Parole de Dieu, et n'a pas en sa définition de parabole le but de corriger ou redéfinir chacune de ces réalités sur laquelle elle est construite pour en ressortir un message métaphorique ou allégorique et de le transposer sur un autre aspect réel de la vie. Mais du fait que cette parabole provient de la Vérité, chaque mot se doit d'être perçu et purifié selon ce que la Vérité en définit
(Sola Scriptura). Le fait que le mot "Hadès" d'origine païenne est utilisé par la Vérité, cela donc nous oblige a y admettre une présence de Vérité dans sa définition même si majoritairement il y a hérésie dans son explication générale païenne. C'est pourquoi Jésus utilise l'allégorie dans la condition de mort dans cette parabole pour en ressortir ce qui est fondamentalement vrai, dont la réalité d'un endroit très inconfortable pour les morts. Que vous en déplaise....
Jésus a exhorté ses élus en leur disant:
Matthieu 10:28 Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme ( psuche (psoo-khay’)) ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme (psuche (psoo-khay’)) et le corps dans la géhenne.
C'est clair, en tuant le corps, on ne peut pas tuer l'âme... mais l'hérésie enchaîne ces
deux réalités distinctes dans l'être humain à la seul endroit où l'âme et le corps peuvent tous les deux subir la perdition éternelle.