Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le Deal du moment :
Code promo Nike : -25% dès 50€ ...
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise !

+16
Lechercheur
BenFis
Mikael
Marmhonie
jc21
Yirmeyah Jérémie
bouboule
Karlnar
christelle
chico.
piopio
De l'enclos
Josué
Martur
samuel
Psalmiste
20 participants

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5  Suivant

Aller en bas  Message [Page 3 sur 5]

Psalmiste

Psalmiste

Rappel du premier message :

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise !


Voici 1 article que j'ai trouvé 1 jour dans 1 journal catholique :

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 Denier10

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 Denier11


bouboule



Karlnar a écrit:
Psalmiste a écrit:
Psalmiste a écrit:Et où est-il dit dans la Bible qu'il y'a 1 montant minimum pour les offrandes ???

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 2_euro14
L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 2_euro15

Et vous les Témoins de Jéhovah, que pensez-vous de ce tract que j'ai reçu dans ma boite aux lettres ?

Je suis pas TJ mais je ne trouve pas ca normal.
Ca me fait penser a l'histoire ou Jésus et ses disciples voient un riche et un pauvre femme payer la dime.

Au fait je suis heureux de voir que nous tenons plutot de bonnes relations dans le forum mormon par rapport a ceci Laughing (malgré nos différences et nos malentendus hehe)

euh... ici c'Est un forum TJ , non mormon. tu voulais dire dans les topics mormons ouverts, car si c'etait un forum mormon ici je n'y serais meme pas. Moi un tj, ma place est avec les tj pas autrement . Razz

Karlnar

Karlnar

Josué a écrit:ou il question d'une femme pauvre qui paye la dîme dans les évangiles ?

Marc 12:41-44.

Il n'est pas dit textuellement que c'est la dîme, mais cela semble fort probable.

Psalmiste

Psalmiste

Bonsoir karlnar Wink

Et oui, on peut ne pas avoir les memes croyances et malgré tout avoir de bons rapports entre nous Wink

Psalmiste

Psalmiste

Karlnar a écrit:
Josué a écrit:ou il question d'une femme pauvre qui paye la dîme dans les évangiles ?

Marc 12:41-44.

Il n'est pas dit textuellement que c'est la dîme, mais cela semble fort probable.

Comme tu le dis toi même, il ne s'agit pas de la dime, mais plutot d'1 offrande volontaire, ce qui n'est pas la même chose !!!

bouboule



Psalmiste a écrit:
Karlnar a écrit:
Josué a écrit:ou il question d'une femme pauvre qui paye la dîme dans les évangiles ?

Marc 12:41-44.

Il n'est pas dit textuellement que c'est la dîme, mais cela semble fort probable.

Comme tu le dis toi même, il ne s'agit pas de la dime, mais plutot d'1 offrande volontaire, ce qui n'est pas la même chose !!!



La preuve: il est juste un peu plus loin au verset 44 et Jésus dit " ..Car tous ont mis de leur" superflus " " ,,,donc ce n'est pas la dîme... une preuve supplémentaire Smile

Psalmiste

Psalmiste

En plus on retrouve cette histoire dans l'Evangile de Luc 21.1-4, et la il est bien mentionné le mot "OFFRANDE", et non pas le mot dime !

bouboule



Psalmiste a écrit:En plus on retrouve cette histoire dans l'Evangile de Luc 21.1-4, et la il est bien mentionné le mot "OFFRANDE", et non pas le mot dime !


tout à fait ! OFFRANDE ou DON reevient au meme Smile

Psalmiste

Psalmiste

En plus j'ai chez moi le catéchisme de l'Eglise Catholique, et il ne dit rien sur la dime !

bouboule



Psalmiste a écrit:En plus j'ai chez moi le catéchisme de l'Eglise Catholique, et il ne dit rien sur la dime !


de quelle année?, mais je en sais plus car ca fait des siecles que je l,ai pas lu Laughing

Josué

Josué
Administrateur

les mormons ont le sens de détourné les versets en leurs faveurs.
41 Et il s’assit en face des troncs du trésor et se mit à regarder comment la foule mettait de l’argent dans les troncs du trésor ; et beaucoup de riches mettaient beaucoup de pièces. 42 Une pauvre veuve arriva alors et mit deux petites pièces de monnaie, qui ont très peu de valeur. 43 Et il appela à lui ses disciples et leur dit : “ Vraiment, je vous dis que cette pauvre veuve a mis plus que tous ceux qui ont mis de l’argent dans les troncs du trésor ; 44 car tous ont mis de leur superflu, mais elle, de son indigence, a mis tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre. ”
il n'est pas question de dîme dans ses paroles.car Jésus parle ici de superflu.et la dîme n'est pas un superflu c'est une obligation.

Karlnar

Karlnar

Oui mais un la dîme est une offrande.
Les sacrifices de l'ancien testament étaient nécessaire. On ne les appelait pas des offrandes?

Ah mais Josué sans te vexer, je pense souvent cela vous concernant Razz

Je n'ai pas compris ton allusion au superflu. Les riches ont donné de leur superflu, oui, mais quel rapport avec la dime qui "n'est pas un superflu"?
La dime doit etre payée. Point. Elle est obligatoire, mais elle ne prends pas forcément dans le nécessaire de la personne qui paye.

bouboule



Josué a écrit:les mormons ont le sens de détourné les versets en leurs faveurs.
41 Et il s’assit en face des troncs du trésor et se mit à regarder comment la foule mettait de l’argent dans les troncs du trésor ; et beaucoup de riches mettaient beaucoup de pièces. 42 Une pauvre veuve arriva alors et mit deux petites pièces de monnaie, qui ont très peu de valeur. 43 Et il appela à lui ses disciples et leur dit : “ Vraiment, je vous dis que cette pauvre veuve a mis plus que tous ceux qui ont mis de l’argent dans les troncs du trésor ; 44 car tous ont mis de leur superflu, mais elle, de son indigence, a mis tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre. ”
il n'est pas question de dîme dans ses paroles.car Jésus parle ici de superflu.et la dîme n'est pas un superflu c'est une obligation.



Tu te repetes, je me repetes etttttttttt on se repete et lui?...... il s'en tape bien plus je crois ..me semble que fermer ces sujets serait deja temps, plus que temps. comme on dit par chez-nous: " yé temps que tu sacres ça dehors !" expression couremment employé chez-nous et aucun mal a le dire. Autrement dit là, il est temps d'en finir avec ce genre de sujet. Shocked

Karlnar

Karlnar

bouboule a écrit:
Josué a écrit:les mormons ont le sens de détourné les versets en leurs faveurs.
41 Et il s’assit en face des troncs du trésor et se mit à regarder comment la foule mettait de l’argent dans les troncs du trésor ; et beaucoup de riches mettaient beaucoup de pièces. 42 Une pauvre veuve arriva alors et mit deux petites pièces de monnaie, qui ont très peu de valeur. 43 Et il appela à lui ses disciples et leur dit : “ Vraiment, je vous dis que cette pauvre veuve a mis plus que tous ceux qui ont mis de l’argent dans les troncs du trésor ; 44 car tous ont mis de leur superflu, mais elle, de son indigence, a mis tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre. ”
il n'est pas question de dîme dans ses paroles.car Jésus parle ici de superflu.et la dîme n'est pas un superflu c'est une obligation.



Tu te repetes, je me repetes etttttttttt on se repete et lui?...... il s'en tape bien plus je crois ..me semble que fermer ces sujets serait deja temps, plus que temps. comme on dit par chez-nous: " yé temps que tu sacres ça dehors !" expression couremment employé chez-nous et aucun mal a le dire. Autrement dit là, il est temps d'en finir avec ce genre de sujet. Shocked

haha tu oublies de dire que moi aussi je me répètes Wink
ben si on avance pas plus que ca, c'est sur qu'il vaut mieux le fermer...

Psalmiste

Psalmiste

Svp, ici c'est la sections des catholiques, pas des mormons !

Je ne dis pas que les mormons ne peuvent pas participer aux discutions se touvant dans cette section, je dis juste que si les mormons souhaitent parler de la dime, des offrandes, de l'aumone, etc, ils peuvent le faire sur le sujet parlant de la dime dans la section mormone du sujet !

Sans quoi ça fait doublon !

Merci Smile

Karlnar

Karlnar

Psalmiste a écrit:Svp, ici c'est la sections des catholiques, pas des mormons !

Je ne dis pas que les mormons ne peuvent pas participer aux discutions se touvant dans cette section, je dis juste que si les mormons souhaitent parler de la dime, des offrandes, de l'aumone, etc, ils peuvent le faire sur le sujet parlant de la dime dans la section mormone du sujet !

Sans quoi ça fait doublon !

Merci Smile

oui bien sur Wink

Psalmiste

Psalmiste

Merci !

Josué

Josué
Administrateur

nous parlons ici sur le denier du culte qui concernent les catholiques et qui n'a rien avoir avec la dîme version mormon.
le sujet sur la dîme se trouve ici.
https://meilleurforum-net.1fr1.net/t3936-la-dime-chez-les-mormons
fin de la dérive.

Psalmiste

Psalmiste

En fin de semaine j'apporterais de nouveaux documents sur le denier de l'Eglise. Nous allons pouvoir longuement les commenter !

Psalmiste

Psalmiste

Voici ce que De l'enclos nous disait :

De l'enclos a écrit:
Psalmiste a écrit:Pourquoi j'irai dire que les funérailles de ma grand-mère ont été payant, si ça n'était pas vrai ???

Quels frais cela peut-il engendrer pour l'église ???

Chez les TJ aussi il y a des funérailles, et ça ne nous viendrait pas a l'esprit de les faire payer !

Tu as peut-être raison, mon ami. C'est vrai que les paroisses demandent une participation, mais je n'ai jamais entendu qu'on la réclamait aux gens. Il me semble que l'on compte sur l'honnêteté ou la bonne volonté des gens et que l'on attende qu'ils proposent une compensation financière.

Tu vois, quand je disais que cela engendrait des frais. Il y a les cierges remis aux parrain et marraine, l'électricité, le chauffage...

Et puis, je me disais aussi que la plupart des gens qui demandent le baptême ne fréquentent pas la paroisse. Et là, je repense à l'expression d'un membre du forum : les "catholiques à quatre roues"...

C'est vrai que c'est un scandale de faire payer les gens. Après tout, il y a la quête lors des messes dominicales ! Et s'il n'y a pas assez d'argent, c'est que les catholiques ne sont pas suffisamment proches de leur religion !

Et puis, je me suis toujours demandé (sans jamais l'exprimer) pourquoi on baptisait des gens que l'on ne voit jamais ! Même les protestants ne baptisent pas "n'importe qui" comme le font les catholiques !

On dirait qu'ils essaient de faire du nombre, comme pour gonfler les statistiques...

A croire son message l'Eglise catholique ne réclame pas d'argent koa

Alors pourquoi lorsque les catholiques me mettent le journal de la paroisse dans ma boite aux lettres, ils me mettent aussi cette carte :

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 Offran10

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 Offran11

Josué

Josué
Administrateur

elle a besoin d'argent et fait feu de tous bois.
mois ce qui me choque c'est que même les non catholiques reçoivent cette appel aux dons.

Josué

Josué
Administrateur

Monseigneur di Falco : les bijoux de la Castafiore
Le Point.fr - Publié le 17/02/2013 à 10:29 - Modifié le 17/02/2013 à 12:35
VIDÉO - Ce dimanche, monseigneur di Falco nous explique le financement de l'Église et nous parle de l'importance du don.
Chaque semaine, monseigneur Jean-Michel di Falco-Léandri, évêque de Gap et d'Embrun, offre aux internautes du Point.fr une chronique vidéo. Il évoque les grands problèmes de notre époque et de notre société, propose un regard chrétien sur le monde et les soubresauts qui l'animent, et donne son avis sur l'actualité.
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/monseigneur-di-falco/monseigneur-di-falco-les-bijoux-de-la-castafiore-17-02-2013-1628294_803.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20130218

Psalmiste

Psalmiste

Ce qui est étrange, c'est que plus l'Eglise reçoit de l'argent, et plus elle en réclame !!!

Invité


Invité

Psalmiste a écrit:Ce qui est étrange, c'est que plus l'Eglise reçoit de l'argent, et plus elle en réclame !!!


Salut Psalmiste. exacte c'est comme les riches, plus ils ont de l'argent, plus ils ou elles en veulent.

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Un jour, comme cela arrive souvent, j'ai reçu dans ma boîte au lettre une invitation à donner à l'église catholique, à la paroisse. J'ai pris la lettre, j'ai répondu au curé que si un jour il s'intéressait un peu à moi pour vrai et qu'il me donnait vraiment un service, je serais heureux de le recevoir chez moi et qu'on parlerait de Dieu. Mais il n'a jamais répondu. Alors il n'a jamais rien reçu non plus.

Lui c'est son salaire, mais le salaire d'un homme approuvée de Dieu c'est la faveur imméritée qu'il reçoit.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

Invité


Invité

Yirmeyah a écrit:Un jour, comme cela arrive souvent, j'ai reçu dans ma boîte au lettre une invitation à donner à l'église catholique, à la paroisse. J'ai pris la lettre, j'ai répondu au curé que si un jour il s'intéressait un peu à moi pour vrai et qu'il me donnait vraiment un service, je serais heureux de le recevoir chez moi et qu'on parlerait de Dieu. Mais il n'a jamais répondu. Alors il n'a jamais rien reçu non plus.

Lui c'est son salaire, mais le salaire d'un homme approuvée de Dieu c'est la faveur imméritée qu'il reçoit.


Et concernant la connaissance, elle doit être donner gratuitement comme Jésus le stipulait.

Psalmiste

Psalmiste

Je vais bientot recevoir dans ma boite aux lettres la nouvelle campagne pour le denier de l'Eglise 2013 !

Lorsqu'elle arrivera je vous la scannerais et je la placerais sur le forum !

Psalmiste

Psalmiste

Psalmiste a écrit:Je vais bientot recevoir dans ma boite aux lettres la nouvelle campagne pour le denier de l'Eglise 2013 !

Lorsqu'elle arrivera je vous la scannerais et je la placerais sur le forum !
Eh bien voila... Elle est arrivé cette semaine dans ma boite aux lettres !!!

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 Photo_10

Josué

Josué
Administrateur

DENIER DE L’ÉGLISE : LA COLLECTE RESTE FRAGILE
by ADMIN
D’après le Dauphiné

Elles fleurissent, chaque année, aux Rameaux. Dans son écrin orangé, les enveloppes lancent la grande campagne de collecte du denier de l’église. « La …
La suite sur le site du Dauphiné…
http://www.actuel.info/2015/04/05/denier-de-leglise-la-collecte-reste-fragile/

jc21



Accueil > Monde > Europe
Ça se passe en Europe : L’archevêché allemand de Paderborn pèse 4 milliards d’euros

Selon les chiffres publiés mardi, l’archevêché disposait fin 2014 d’un patrimoine de plus de 4 milliards d’euros, ce qui devrait faire de lui le plus riche d’Allemagne devant celui de Cologne.
Le pape François, qui s’est fait l’avocat d’une « Église pauvre pour les pauvres », n’a sans doute pas en tête l’archevêché de Paderborn. Selon les chiffres qu’il a publiés mardi, celui-ci disposait fin 2014 d’un patrimoine de plus de 4 milliards d’euros, ce qui devrait faire de lui le plus riche d’Allemagne, devant l’archevêché de Cologne, donc, perçu jusqu’ici comme le premier de sa classe.
A cheval entre la Hesse et la Rhénanie du Nord-Westphalie, l’archevêché a perçu l’an dernier un impôt sur l’église de 376 millions d’euros et enregistré un bénéfice de 41,5 millions. De quoi donner le tournis à ses homologues français, qui dépendent du denier du culte, et consolider sa fortune, composée essentiellement de placements et de biens immobiliers. Cet effort de transparence intervient deux ans après le scandale de l’évêque de Limburg, Franz-Peter Tebartz-van Elst, contraint de démissionner l’année dernière après les révélations sur son train de vie de luxe. Monseigneur van Elst s’était notamment fait construire une résidence épiscopale pour plus de 30 millions d’euros dotée d’une baignoire de 15.000 euros avec sa robinetterie en or.
L’Eglise catholique allemande, qui a perdu des fidèles à la suite du scandale, se veut désormais exemplaire. L’archevêché de Paderborn dépense un million par jour dans les salaires des prêtres, les écoles, jardins d’enfants ou associations caritatives comme Caritas. « Nous sommes heureux de disposer des moyens pour continuer dans le futur à façonner la foi », a-t-il déclaré.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/europe/021364945715-ca-se-passe-en-europe-larcheveche-allemand-de-paderborn-pese-4-milliards-deuros-1160733.php?w4btOHlZ3omHoukf.99#xtor=EPR-7-%5Bmatinale%5D-20150930-%5BProv_%5D-1924924%402

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Psalmiste a écrit:Ce qui est étrange, c'est que plus l'Eglise reçoit de l'argent, et plus elle en réclame !!!
Je ne voulais même pas répondre, tellement c'est n'importe quoi.

Bon, trop, c'est trop !

Un, la dîme n'existe pas dans le catholicisme, c'est contreble Nouveau Testament. Point barre !

Deux, l'Eglise catholique romaine a été très riche, c'est elle qui a sauvé l'ONU de la ruine. Elle s'y est ruinée...

Trois, aujourd'hui, l'Eglise est très puissante par son pape, ses ambassades, mais elle est ruinée financièrement. Elle est au niveau de la Watchtower qui est également très mal financièrement. L'invitation aux dons est donc à chacun notre bouée de secours. Les TJ donne de merveilleuses Bibles dans quantité de langues, les Béthel fonctionnent à merveille, les bénévoles sont admirables et nécessaires. Idem dans l'Eglise, elle vit du bénévolat, pas de l'argent qu'elle n'a plus.

Quatre, un catho aidera toujours son prochain, surtout les TJ. Il est curieux que les TJ continuent de tirer sur leur ambulance, les cathos.

Cinq, l'Eglise reçoit des héritages, ce qui est tout autre chose, mais 80% va aux traditionalistes, alors que l'Eglise œcuménique fait la guerre aux traditionalistes. Les cardinaux ont même réussi à virer Benoît XVI ! Lui était pour comprendre les TJ, avait demandé pardon qu'on ait abandonné le Nom latin catholique Jéhovah pour faire plaisir aux protestants, aux musulmans & aux orthodoxes du judaïsme.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Invité


Invité

Heuuu, je sais pas pourquoi tu dit que ma WT est très mal financièrement, surtout quand elle est en construction de 13000 salle du royaume et qu'elle rénove et construit des bethel, et construit son nouveau siège social de Walkill ...

Ça fait 4 mois que j'assiste aux réunions des TJ et je n'ai jamais entendu parler d'argent ...
Aucune demande n'as ete fait, nous parlons de la bible ...

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Je souris gentiment, connaissant bien le sujet...

Passons.

L'Eglise a vu tout son patrimoine confisqué ! En Italie sous Mussolini, en France en 1905, tout est devenu propriété de l'Etat sans verser le moindre centime.
L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 280px-FranceNormandieCaenEgliseStEtienneLeVieux

Tant mieux, c'est une grande partie du tourisme français, italien, et ce sont ces États qui payent les entretiens.
L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 église-ruinée-42850890

Si vous souhaitez qu'on ouvre la situation financière exacte, et lucidement de la Watchtower, ce sera à sa place. Ici, je soulignais juste le parallèle : plus on investit, plus ça coûte, plus il faut beaucoup, beaucoup d'argent. Les mormons avec leur dîme sont multi milliardaires. Pas les cathos ni les TJ.
Nous, nous donnons, comme vous.

Le denier du culte ne rapporte, une fois encore, rien en francophonie. Rien ! C'est anonyme, libre.

Ce qui rapporte, ce sont les héritages. C'est comme ça que les traditionalistes reprennent leur patrimoine clérical volé par l'Etat : en le transmettant.
L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 8412332
Ça, ce fut vendu par l'État et racheté par une famille catholique. L'évêque n'est pas chez lui, il est en propriété privée, et c'est pour la Tradition, pas pour l'œcuménisme.
Vu ?

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

samuel

samuel
Administrateur

Disons pour arrondire les angles que l'église à ralentie son train de vie par la force des choses mais à quand même aux courts des siécles amassé un beau patrimoine.

samuel

samuel
Administrateur

Sur Arte ce soir.
75min. (20H55 / 22H10 ) sur Arte
Réalisation : Michael Wech
En Allemagne, les salariés doivent déclarer leur religion et sont alors soumis à un impôt, le Kirchensteuer - équivalant à 8 à 9 % des revenus -, qui est prélevé à la source. Les Églises catholique et protestante ont ainsi encaissé quelque 10 milliards d'euros en 2013. Selon elles, ces sommes leur servent à financer des activités sociales : hôpitaux, écoles, associations caritatives etc. Mais le politologue Carsten Frerk révèle que les Églises investissent dans d'autres secteurs autrement plus lucratifs, notamment dans l'immobilier et divers fonds. Ce qui n'a pas manqué de conduire à des scandales financiers

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Merci pour ce document inestimable à voir sur Arte TV.

Bien sûr qu'il y a et qu'il y aura toujours des scandales financiers, et si ce n'étaitbque financier. Quels sont les saints canonisés par Vatican II ? Dom Ballaguer, le penseur dr franquisme espagnol fasciste et terrifiant, intolérant, violent, fanatique, c'était la dernière chose à ne jamais faire ! Eux ont combattu les TJ, oui ! L'Opus Dei, c'est très dangereux, une dérive sectaire reconnue en France et heureusement.

Merci de toujours rappeler l'actualité et les scandales de l'Église catholique. On est très loin de ce qu'en croient les peuples, et c'est tellement verrouillé de l'intérieur, on peut dire même que nous n'en savons que fort peu grâce a ces excellents reportages, à des dossiers brûlants du Canard Enchaîné, et Mediapart, notamment.

Vogilance, étude, analyse, recul.
Encore merci,

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

samuel

samuel
Administrateur

Je pense que Artte est assez objective dans ses émissions.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

samuel a écrit:Je pense que Arte est assez objective dans ses émissions.
Oui absolument, c'est une grande référence franco-allemande

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

Josué
Administrateur

Perso j'aime bien ses émissions que ça parlent sur l'histoire ou sur la nature.

Josué

Josué
Administrateur

La campagne d’affichage pour le denier du culte du diocèse de Gap et d’Embruns (Hautes-Alpes) a été interdite d’affichage public par l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) qui a estimé notamment qu’elle pouvait « être perçue comme de nature à tourner en dérision les personnalités politiques ».
L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 Don10
« Votez Jésus-Christ , le seul qui n’a jamais changé de programme ». Tel est l’objet du scandale, qui s’affiche en lettres capitales sur fond de drapeau tricolore et d’une partie de drapeau européen. À côté, Don Camillo se demande « Seigneur, combien de voix allez-vous obtenir cette année pour le Denier ? ».
La plaisanterie n’est pas du goût de l’ARPP, l’« organisme de régulation professionnelle de la publicité en France » qui « a pour but de mener toute action en faveur d’une publicité loyale, véridique et saine ». Début mars, l’organisme a transmis des recommandations négatives au service juridique de la société d’affichage Clear Channel France qui était chargée d’afficher le visuel du diocèse. Visiblement effrayée par ces mises en garde, la société a pris la décision de ne pas diffuser ce visuel, qui ne pourra donc pas être affiché sur les bus et les arrêts de bus du département comme c’était le cas pour les campagnes précédentes.
« L’annonceur devra s’assurer d’avoir obtenu les autorisations préalables et nécessaires de la part des ayants-droits pour utiliser dans ces projets publicitaires les références au personnage et à l’œuvre cinématographique (Don Camillo), commence l’ARPP. Il en va de même pour la représentation du drapeau européen, qui est soumise à autorisation. » Concernant les ayants-droits du personnage joué par Fernandel, l’équipe du diocèse répond avoir tous les droits puisqu’il s’agit d’un dessin et qu’il n’est stipulé nulle part qu’il s’agit de Don Camillo.
« Nous attirons votre attention sur le fait que la reprise du drapeau français, emblème de la République, associé à cette communication à caractère religieux pourrait être de nature à choquer et serait susceptible d’entrainer des réactions négatives », poursuit l’ARPP.
http://www.lavie.fr/debats/chretiensendebats/don-camillo-menace-t-il-la-republique-10-03-2017-80583_431.php

samuel

samuel
Administrateur

Pourquoi l’affiche du diocèse de Gap sur le denier de l’Église a-t-elle été refusée ?
Gauthier Vaillant, le 13/03/2017 à 17h05 Envoyer par email
34 2
La campagne 2017 du Denier de l’Église du diocèse de Gap n’a pas été « interdite » au motif qu’elle « serait de nature à tourner en dérision les politiques », contrairement à ce qu’avait affirmé, vendredi 10 mars, Mgr Jean-Michel Di Falco Léandri.
Tandis que l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité explique les raisons de son avis défavorable sur cette affiche, du côté du diocèse, on se félicite de la publicité occasionnée par cette controverse.

Affiche de la campagne 2017 du denier de l’Église du diocèse de Gap.
Affiche de la campagne 2017 du denier de l’Église du diocèse de Gap. / Extrait du tweet de Mgr Jean-Michel Di Falco

Finalement, c’est une campagne de communication rondement menée. En annonçant vendredi 10 mars sur Twitter, puis dans un communiqué, que l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (Arpp) avait retoqué les affiches de la campagne 2017 du Denier de l’Église du diocèse de Gap, l’évêque du lieu, Mgr Jean-Michel Di Falco Léandri, a su provoquer un « buzz » profitable.
http://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/France/Pourquoi-laffiche-diocese-Gap-denier-lEglise-elle-refusee-2017-03-13-1200831535

Josué

Josué
Administrateur

Denier de l’Église : la collecte en baisse ou en stagnation
Les dernières tendances de la campagne du denier sont marquées, dans plusieurs diocèses, par une stagnation ou une baisse de la collecte.
Principal motif d’inquiétudes : l’érosion du nombre de donateurs.
« La collecte du denier accuse un retard de 7 % par rapport à la moyenne des années précédentes. C’est dire si la situation est préoccupante et votre mobilisation indispensable ! » Sur le numéro d’octobre du magazine du diocèse de Grenoble-Vienne, un encart spécial a été apposé avec un titre mobilisateur : « Le denier, c’est maintenant ! » L’économe diocésain, Jean-Michel Mithieux, s’y alarme des indicateurs relevés à trois mois de la fin de l’année.

« 50 % de la collecte se fait lors des trois derniers mois de l’année. »

Ce diocèse n’est pas le seul à connaître quelques difficultés. « Au 30 septembre, nous notions une baisse de 6 % du nombre de donateurs par rapport à l’année dernière », témoigne Pierre Dionne, économe du diocèse de Chambéry. « Pour autant, la baisse de la collecte est moins marquée (-1,5 %) grâce à la hausse du montant des dons. On sait aussi que 50 % de la collecte se font lors des trois derniers mois de l’année. »

À LIRE : À Paris, moins de contributeurs au Denier de l’Église

Ces tendances se retrouvent dans la plupart des diocèses à l’image de celui de Saint-Dié. Chaque année, le nombre de donateurs s’effrite. Pour toucher un public plus jeune notamment, ce diocèse cherche à moderniser le don en ligne.

« Il est difficile de toucher les 30-50 ans », explique Baptiste Vinciarelli, directeur de la communication. « Donner au denier ne fait plus partie de la tradition familiale. Pour beaucoup, sa signification reste obscure. Il y a un tout un travail à faire notamment lors des baptêmes ou des mariages. »

Des campagnes de communication ciblées

Les actions de communication doivent sans cesse rappeler qu’en France, l’Église ne bénéficie d’aucune subvention de l’État et n’est pas non plus financée par des subsides du Vatican. Pour assurer la vie matérielle des prêtres, rémunérer les salariés laïcs ou encore former les séminaristes et payer les charges qui lui reviennent, elle ne compte que sur les dons.

À LIRE : Une mobilisation nationale pour le Denier de l’Église

Selon les chiffres de la Conférence des évêques de France, en 2015, le denier représentait la première source de recette de l’Église (39 %) avant les quêtes (23 %) et les legs (17 %).

À Quimper, où la tendance est en légère baisse, l’économe Rémi Perrin se veut relativement confiant. « Chaque année, on voit apparaître de nouveaux donateurs, indique-t-il. Dans notre manière de communiquer, on essaye de cibler les donateurs potentiels, avec des courriers différenciés par exemple. » Dans le diocèse de Saint-Dié, 80 % des boulangeries ont distribué un sac à pain relayant la campagne.

Des craintes après la réforme de l’ISF

Cependant, la situation reste instable. Plusieurs diocèses craignent pour l’année prochaine les conséquences de la réforme de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). « Nous tablons sur une perte de 250 000 €, prévoit Laurent Poichotte, économe du diocèse de Soissons. Cela crée de l’inquiétude. »

Mais les efforts peuvent aussi avoir des résultats, comme au Havre. « Nous avons impliqué les jeunes avec notamment la réalisation d’un clip visible sur notre site », raconte l’économe diocésain Dominique Lemétais. « De même, à la Toussaint, un appel a été lancé par des jeunes avec un impact très positif. Ainsi, nous nous attendons à une collecte en hausse par rapport à l’année dernière, entre 2 et 5 %. Je crois qu’il faut être capable de se fixer des objectifs pour pouvoir les atteindre. »

Arnaud Bevilacqua
https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/France/Denier-de-lEglise-la-collecte-en-baisse-ou-en-stagnation-2017-11-06-1200889898?from_univers=lacroix

Josué

Josué
Administrateur

France: "Votez Jésus-Christ, le seul qui n'a jamais changé de programme"
AFP Publié le mardi 07 novembre 2017 à 09h04 - Mis à jour le mardi 07 novembre 2017 à 09h05
INTERNATIONAL
Affichage, spots radio, encarts publicitaires: l'Eglise catholique mènera fin décembre une campagne de communication inédite en France pour conforter les dons, sa principale ressource, dont le nombre de contributeurs baisse d'année en année, a annoncé lundi la Conférence des évêques de France.

Jadis appelé "denier du culte", le "denier de l'Eglise" est "capital" pour rémunérer les 12.000 prêtres en activité et les 11.000 laïcs salariés, ont souligné des responsables de la Conférence devant la presse à Lourdes (sud-ouest), où se tient jusqu'à mercredi l'assemblée d'automne des évêques de France.

Depuis la séparation de l'Eglise et de l'Etat en 1905, fondement de la laïcité chère à la France, les financements publics sont limités à l'entretien des églises et cathédrales construites à une date antérieure.

Bien plus que l'Eglise belge - qui est en partie financée par les différents niveaux de pouvoir -, l'Eglise française dépend fortement du denier pour rémunérer ses prêtres et ses salariés. Celui-ci représente presque 40% des quelque 700 millions d'euros perçus chaque année, devant les quêtes, les legs, ou les contributions versées lors des baptêmes, mariages ou funérailles.

Si le produit du denier progresse (+1,1% entre 2015 et 2016) grâce à une hausse du don moyen (226 euros l'an dernier contre 217 un an plus tôt), la baisse continue depuis 2008 du nombre de donateurs, tombés à 1,128 million en 2016, interpelle l'épiscopat.

Pour Mgr Maurice Gardès, archevêque d'Auch, "la cause première" de la raréfaction des donateurs "est démographique". Leur moyenne d'âge est élevée - autour de 65-70 ans -, et "le relais des donateurs n'est pas forcément assuré par la génération suivante".

A peine plus d'un Français sur deux (53,8% en 2016) se dit aujourd'hui catholique, contre 65% en 2010 et 87% en 1972.

Pour encourager les dons, les évêques ont donc souhaité une action nationale de communication, une première.

A partir du 26 décembre, au moment où les contribuables procèdent à leurs derniers dons pour bénéficier d'une déduction fiscale sur l'année en cours, cette campagne multisupports (radio, presse, affichage) proclamera "Vous avez 105 raisons (le nombre de diocèses français, NDLR) de donner à l'Eglise catholique", avant un grand "MERCI".

En arrière plan, le visuel déroule les divers slogans utilisés dans les diocèses, dont un imaginé avant l'élection présidentielle du mois de mai: "Votez Jésus-Christ, le seul qui n'a jamais changé de programme".
http://www.lalibre.be/actu/international/france-votez-jesus-christ-le-seul-qui-n-a-jamais-change-de-programme-5a0167dacd707514e89f0afe

Josué

Josué
Administrateur

[size=49]Denier de l’Église : qui donne et combien ?[/size]
L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 Le-denier-de-l-eglise-permet-notamment-de-remunerer-les-pretres-diocesains-photo-d-illustration-julio-pelaez-1510441790Le denier de l’Église permet notamment de rémunérer les prêtres diocésains. Photo d’illustration Julio PELAEZPartager cette info




L’Église lancera en décembre une campagne nationale de communication pour la collecte du denier, sa ressource principale. Avec l’objectif de toucher davantage les 30-50 ans.



Affichage, spots radio, encarts publicitaires : l’Église catholique mènera fin décembre une campagne de communication inédite au plan national pour conforter le denier (40 % des recettes totales).
C’était l’un des sujets évoqués à l’assemblée d’automne des évêques de France qui s’est achevée ce mercredi. Jadis appelé denier du culte, le denier de l’Église est « capital » pour rémunérer les 12 000 prêtres diocésains en activité et les 11 000 laïcs salariés.
En France métropolitaine, Alsace-Moselle mise à part, l’Église ne peut compter que sur ces différentes contributions des fidèles pour financer ses activités. Loi de séparation de l’Église et de l’État oblige, elle ne reçoit pas de subventions de l’État. Et elle n’est pas financée non plus par des subsides du Vatican.
D’où l’inquiétude dans certains diocèses, qui constatent une baisse des dons. Le magazine du diocèse de Grenoble lançait même en octobre un appel à ses lecteurs : « La collecte du denier accuse un retard de 7 % par rapport à la moyenne des années précédentes. C’est dire si la situation est préoccupante et votre mobilisation indispensable ! »
Ces dernières années, le produit du denier avait progressé (+1,1 % entre 2015 et 2016) grâce à une hausse du don moyen (226 euros l’an dernier contre 217 un an plus tôt). En revanche, la baisse du nombre de donateurs continue depuis 2008 (1,128 million en 2016).
Pour Mgr Maurice Gardès, archevêque d’Auch chargé d’un plan d’action pour le denier, la cause première de la raréfaction des donateurs « est démographique ». Leur moyenne d’âge est élevée – autour de 65-70 ans –, et « le relais des donateurs n’est pas forcément assuré par la génération suivante ».

« Votez Jésus-Christ »



Pour y remédier, les évêques ont souhaité que les campagnes locales habituelles de collecte soient complétées par une action nationale de communication qui, elle, sera une première. L’idée, sans se substituer aux diocèses, est de toucher davantage les 30-50 ans, selon Corinne Boilley, secrétaire générale adjointe de la CEF.
À partir du 26 décembre, au moment où les contribuables procèdent à leurs derniers dons pour bénéficier d’une déduction fiscale, cette campagne proclamera « Vous avez 105 raisons (le nombre de diocèses français, N.D.L.R.) de donner à l’Église catholique ». En arrière-plan, le visuel déroule les divers slogans utilisés dans les diocèses. Comme celui de Gap pour son appel au dernier avant l’élection présidentielle : « Votez Jésus-Christ, le seul qui n’a jamais changé de programme. »
http://www.ledauphine.com/religion-et-croyance/2017/11/12/denier-de-l-eglise-qui-donne-et-combien-vvnn

Josué

Josué
Administrateur

Église : la quête passe au paiement sans contact
Le diocèse de Paris innove et propose aux fidèles de l'une de ses églises de régler leurs oboles par carte bleue. Une initiative rapportée par « Le Parisien ».
PAR LE POINT.FR
Modifié le 18/01/2018 à 11:20 - Publié le 18/01/2018 à 10:41 | Le Point.fr
Le tintement des pièces sera remplacé par le "bip" de la carte bleue.
Le tintement des pièces sera remplacé par le "bip" de la carte bleue.
Finie la recherche de monnaie au fond de sa poche, alors que s'approche inexorablement le panier de la quête. Les paroissiens de l'église Saint-François de Molitor, dans le 16e arrondissement de Paris, auront une autre solution dès dimanche, rapporte Le Parisien . C'est une initiative du diocèse de Paris, une première en France : des paniers de quête proposant le paiement sans contact. Le panier en osier traditionnel est conservé, mais il se dote d'un smartphone relié à une mini-borne de paiement. Les fidèles n'auront plus qu'à choisir le montant de leur don sur l'écran tactile : 2, 3, 5 ou 10 euros, et à approcher leur carte bleue. 

Les paniers connectés ont été développés par une PME iséroise, Actoll, en collaboration avec Christophe Rousselot, directeur du développement des ressources financières au diocèse de Paris. « Les paniers seront ensuite rapportés à la sacristie et les informations contenues dans le lecteur envoyées à un serveur qui traitera les données bancaires afin que chaque compte soit débité à J + 1 maximum », explique-t-il au quotidien. Le tout en garantissant l'« anonymat » de la transaction. Le produit de cette quête, qui sert à payer les dépenses courantes comme l'électricité, revient à chaque paroisse.
http://www.lepoint.fr/societe/eglise-la-quete-passe-au-paiement-sans-contact-18-01-2018-2187648_23.php?boc=333128&m_i=ehGe2Sg6ktI9%2B_eUG8N4he16NEH%2B37JwkaZVMs_xiDyj_Lf6_nje3etxXXZkBWkWHkUSfddDU83TwyL_kSk31DTFbWueeo&M_BT=52544877662#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20180118

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]À Paris, une église va tester la quête en paiement sans contact[/size]

  • Par  L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> Guillaume Descours 
     

  • Mis à jour le 18/01/2018 à 17:21 
     

FIGARO DEMAIN - Le dispositif, unique en France, va permettre aux paroissiens de l'église Saint-François de Molitor, dans le XVIe arrondissement, de donner entre 2 et 10 euros directement grâce à leur carte bancaire. Le paiement reste totalement anonyme selon le diocèse de Paris.
Le diocèse de Paris lance la quête électronique. Dès dimanche, à Saint-François de Molitor dans le XVIe arrondissement, les fidèles pourront, avant la célébration de l'eucharistie, faire un don directement avec leur carte bleue sans contact: un dispositif unique en France. «L'Église catholique à Paris cherche à s'adapter aux nouvelles technologies pour anticiper la disparition progressive des espèces et éveiller les paroissiens à de nouveaux réflexes», explique le diocèse de Paris dans un communiqué.
» LIRE AUSSI - L'argent liquide va-t-il disparaître?
Cinq paniers équipés d'un smartphone relié à une borne de paiement circuleront dans les rangs pendant la messe. Pour faire un don, les fidèles devront sélectionner le montant qu'ils souhaitent, entre 2, 3, 5 et 10 euros. Ils devront ensuite passer leur carte sur la puce comme ils pourraient le faire au supermarché. Si ce mode de quête représente une réelle nouveauté, le diocèse de Paris n'a pas voulu tout changer d'un coup. En plus des cinq paniers électroniques, d'autres corbeilles plus traditionnelles permettront des dons en espèces.
Le diocèse a souhaité conserver l'aspect classique du panier en osier. «À l'origine, c'est un jeune couple de paroissiens de mon église qui ont fait la demande d'un nouveau système pour la quête», explique le père Duverne contacté par Le Figaro. Le dispositif a été imaginé par Christophe Rousselot, directeur du développement des ressources financières au diocèse de Paris et Actoll, une PME iséroise, précise Le Parisien . Ce dernier promet un anonymat total, comme c'est le cas lors d'une quête classique. Le père Duverne a annoncé le lancement du dispositif à ses fidèles la semaine dernière. «Certains sont un peu inquiets mais la plupart ont bien réagi. Ils sont curieux de voir ce que ça donne», précise-t-il.

D'autres systèmes de quête testés


Alors qu'en moyenne, un fidèle donne 98 euros par an, l'Église n'est pas épargnée par la dématérialisation des moyens de paiement. «Billets et pièces sont remplacés par les cartes de paiement sans contact, les applications mobiles, les paiements en ligne… Le constat est simple: toute une génération utilise de moins en moins billets et pièces de monnaie, nombreux sont ceux qui, le dimanche, assistent à une messe sans avoir, à disposition, quelques pièces pour la quête», explique le diocèse de Paris dans son communiqué.
Depuis plusieurs mois, des paroisses testent aussi d'autres modes de dotation. Huit églises parisiennes utilisent ainsi depuis le 1er octobre 2016 l'application La Quête. En un peu plus d'un an, 4000 dons ont été effectués sur cette application. Un dispositif qui va par ailleurs être testé dans huit autres paroisses de la capitale dont Saint-François de Molitor. La Quête est également implantée ailleurs en France. Rennes, Caen, ou encore Bordeaux, ont déjà accueilli l'application.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

La France laïque persécute il est vrai depuis 1792, période de la Terreur, les catholiques. Le président Hollande fut un des plus terribles, les français l'ont remercié avec 4% de français en sa faveur durant ses deux dernières années. Il ne s'est pas non plus représenté, deux faits uniques en 200 ans de Révolution !

Il y a deux messes, deux Églises, deux Papes
Un côté, œcuménique, est ruiné, a vidé ses églises.
L'autre, traditionnel, est très riche, remplit à rabord ses églises et ne cesse d'en construire partout dans le monde.

Il était important de le rappeler
Cependant, on peut s'émouvoir de voir ces églises aux mains d'œcuménistes se prétendant catholiques mais aidant l'Islam à devenir la seule religion vraie. C'est donc bien une fausse foi catholique, et qui dure depuis 50 ans. Mais finalement leur disparition nous satisfait pleinement car ils sont perfides.
L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 Maxresdefault

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

Josué
Administrateur

Quel est le rapport avec le sujet ?

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Pardn, je croyais qu'on était sur le sujet Les églises abandonnées aussi sont belles !

Autant pour moi, désolé...

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Pas grave car cela arrive à tout le monde de ce tromper de sujet.

Josué

Josué
Administrateur


[size=52]Application mobile et «paniers connectés», l'Eglise passe aux «quêtes 2.0»
Par LIBERATION, avec AFP — 18 janvier 2018 à 17:02

[/size]
L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 3 1088614-religion-christianisme-integristesDeux femmes font la quête parmi les catholiques traditionalistes durant la messe dominicale, le 21 novembre 1999, dans l'église Saint-Nicolas du Chardonnet à Paris.AFP
 


Des corbeilles high-tech avec paiement sans contact et une application baptisée «La Quête» : l'Eglise catholique développe de nouveaux moyens pour recueillir les dons des fidèles.




  •  

     Application mobile et «paniers connectés», l'Eglise passe aux «quêtes 2.0»



Pas de monnaie dans les poches pour la messe? L’Église catholique a trouvé la parade en développant la possibilité de verser son obole via un téléphone mobile et en testant un «panier connecté» dans une paroisse de Paris. Dès dimanche prochain, cinq corbeilles high-tech tourneront parmi les fidèles de l'église Saint-François de Molitor (XVIe arrondissement), a annoncé dans un communiqué le diocèse de Paris.
L’objet garde un «design traditionnel» - une corbeille tressée d’osier - qui «permet à chacun de garder ses repères», souligne l’archevêché. Mais ce panier renferme en fait un terminal qui permettra au fidèle, muni d’une carte bancaire, de payer sans contact deux, trois, cinq ou dix euros. «Le constat est simple», fait valoir le diocèse: «Toute une génération utilise de moins en moins billets et pièces». Et regrette ensuite de ne pouvoir participer à la quête, qui revêt une dimension spirituelle, au moment de l’offertoire, avant la célébration de l’eucharistie. Les quêtes sont une ressource indispensable à l'Église, la deuxième derrière le denier: 23% des plus de 600 millions d’euros collectés par les diocèses en 2016 l’ont été par cette voie. Elles couvrent le fonctionnement courant des paroisses (chauffage, éclairage, etc.).

L'application «La Quête» adoptée par huit nouvelles églises


A Paris, un fidèle donne à la quête en moyenne près de 100 euros par an. Depuis octobre 2016, huit paroisses permettent de le faire via une application pour téléphone mobile baptisée «La Quête». Elles seront rejointes par huit nouvelles églises dimanche. Cette appli est désormais présente dans une trentaine de diocèses et touche plus de 5 000 clochers regroupés dans environ 450 paroisses, selon la start-up qui l’a développée, Obole Digitale. «On augmente les ressources des paroisses avec des dons deux à cinq fois supérieurs à ceux en espèces», se réjouit Stanislas Billot de Lochner, cofondateur de la société.
Le tintement des pièces au beau milieu de la messe n’est toutefois pas prêt de cesser, de l’aveu même de ce jeune entrepreneur, qui y voit une «tradition presque ancestrale». Les donneurs connectés via l’appli trouvent d’ailleurs à l’entrée de l'église un papier à glisser dans la corbeille au moment de leur offrande, comme pour «rematérialiser»leur don. «Cela permet d’enlever la frustration du fidèle qui pourrait se dire: j’ai versé mon obole mais les gens me regardent bizarrement en se disant "Il n’a pas donné"», explique Stanislas Billot de Lochner.
LIBERATION avec AFP

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 3 sur 5]

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5  Suivant

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum