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L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise !

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Rappel du premier message :

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise !


Voici 1 article que j'ai trouvé 1 jour dans 1 journal catholique :

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Denier10

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Denier11


Josué

Josué
Administrateur

La loi pour une République numérique, promulguée en octobre 2016, permet dorénavant aux associations de solliciter auprès de leurs donateurs des dons par SMS. Simple et immédiat, le don par SMS est une nouvelle façon de développer les ressources pour les associations et leur permet d’élargir et de rajeunir leur communauté de donateurs.

La loi pour une République numérique, promulguée que le 7 octobre 2016, crée en son article 94 l’article L.521-3-1 du code monétaire et financier. Celui-ci dispose qu’un fournisseur de réseaux ou de services de communications électroniques peut dorénavant fournir des services de paiement "dans le cadre de la collecte de dons par les organismes faisant appel public à la générosité".

Concrètement, comment cela fonctionne-t-il ?

Pour les associations :

Les associations souhaitant proposer ce service à leurs donateurs doivent être des organismes faisant appel public à la générosité au sens de la loi n° 91-772 du 7 août 1991 relative au congé de représentation. Ces associations doivent lancer un appel aux dons pour soutenir une cause scientifique, sociale, familiale, humanitaire, philanthropique, éducative, sportive, culturelle, ou concourant à la défense de l’environnement. Elles doivent par ailleurs établir un compte d’emploi annuel des ressources collectées auprès du public, qui précise notamment l’affectation des dons par type de dépenses. Enfin, elles doivent effectuer une déclaration d’appel à la générosité publique auprès de la Préfecture du département de leur siège social

Pour pouvoir disposer d’un numéro de SMS les associations doivent solliciter l’AFMM (Association Française du Multimédia Mobile) et déposer un dossier selon une procédure établie.

L’AFMM facture 700€ HT de frais de dossier payable à la réservation puis 300€ HT de frais de redevance annuelle (année calendaire). Une fois le dossier accepté, l’association dispose d’un numéro court (numéro à 5 chiffres commençant par 9) qu’elle peut fournir aux donateurs.

Pour les donateurs :

Un donateur souhaitant effectuer un don n’a qu’à envoyer un SMS au numéro que lui a transmis l’association. Le montant du don est prélevé directement sur sa facture téléphonique. L’opérateur se charge d’effectuer le versement à l’association choisie.

Les dons sont limités à 50€ avec un plafond mensuel fixé à 300€ par personne. Un don supérieur à 5€ devra être confirmé par un second SMS.

L’opérateur téléphonque reverse les montants collectés à l’association, sans transmettre l’identité du donateur. Un donateur souhaitant disposer d’un reçu de son don (notamment pour bénéficier de la réduction fiscale) devra solliciter l’association.
http://www.associations.gouv.fr/les-dons-par-sms-aux-associations.html

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Le Vatican de nouveau éclaboussé par un scandale financier[/size]


[size=33]Des placements immobiliers de luxe ont été effectués avec de l'argent destiné aux œuvres caritatives de l'Église. Un scandale qui commence à Londres et qui a été accéléré par… le Brexit.[/size]


 Par Éric Sénanque, à Rome
Modifié le 22/10/2019 à 08:33 - Publié le 22/10/2019 à 07:28 | Le Point.fr


L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 19565783lpw-19565798-article-vatican-jpg_6599788_660x281

Au début de l’été, le pape François a été averti qu’un vaste système d’opérations frauduleuses venait d’être découvert. Image d'illustration.
:copyright: ALBERTO PIZZOLI / AFP
C'est un nouveau scandale financier dont le Vatican se serait bien passé. Au début de l'été, le pape François a été averti qu'un vaste système d'opérations frauduleuses venait d'être découvert au cœur du plus petit État du monde. Une plainte a en effet été déposée par le IOR (l'Institut pour les œuvres des religions), la banque du Vatican, « concernant des transactions financières effectuées dans le passé », explique alors sommairement un communiqué du Saint-Siège, sans que l'on en sache plus.
Cette semaine, l'hebdomadaire L'Espresso a révélé plus en détail l'ampleur de cette affaire sulfureuse. Selon l'enquête du magazine italien, des centaines de millions d'euros auraient été investis grâce à des montages financiers opaques, « comme si le Vatican était une banque d'affaires dans un pays offshore », précise le magazine.




182 millions d'euros sont déboursés


Un investissement en particulier attire l'attention : celui d'un immeuble de haut standing à Londres, en plein quartier chic de Chelsea. L'affaire remonte à 2012. À l'époque, un financier italien, Raffaele Mincione, est mandaté par le Vatican pour investir dans une société pétrolière en Angola. L'affaire finit par capoter et Mincione propose de placer la somme dans l'immobilier londonien, via son fonds d'investissement basé au Luxembourg. 182 millions d'euros sont déboursés pour l'acquisition de 17 000 mètres carrés d'appartements de luxe.



Mais ce qui fait désordre est la nature des fonds apportés par le Vatican. Ils auraient pour large partie été ponctionnés dans le denier de Saint-Pierre, qui sert à financer les œuvres caritatives du pape à travers le monde ! L'argent des pauvres dormait dans les caisses du Vatican et servait donc à financer des placements peu cohérents avec la doctrine sociale de l'Église.
Un homme est désormais au centre de l'attention : le cardinal Giovanni Becciu. Homme-clé de la Curie, ce Sarde de 71 ans était jusqu'à l'an dernier le numéro deux de la puissante secrétairerie d'État du Saint-Siège, et avait la main sur toutes les affaires internes au Vatican. Nonce apostolique en Angola dans les années 2000, c'est lui qui aurait soufflé l'idée d'origine de ces investissements opaques, selon L'Espresso.
Lire aussi Nouvelle-Zélande: démission d'un évêque à la suite d'une plainte d'ordre sexuel



Airs de polar
Le 1er octobre dernier, une perquisition de la gendarmerie vaticane a lieu dans les locaux de la secrétairerie d'État. Des documents et du matériel informatique sont saisis. L'affaire prend ensuite des airs de polar : quelques jours après la perquisition des gendarmes circule une affiche montrant les visages de cinq employés du Vatican sous enquête judiciaire. Signée par le commandant de la gendarmerie vaticane, elle a été envoyée à tout le personnel interne de l'État et aux gardes suisses qui contrôlent la sécurité et les accès du Vatican. On se croirait dans un western. Jamais dans l'histoire vaticane, où règne d'ordinaire la discrétion, une telle note de service n'a été publiée. Le document fuite dans L'Espresso. Le pape François lui-même s'émeut qu'on ait pu dévoiler ces noms au grand public et le chef des gendarmes est poussé à la démission.
Parmi les cinq personnes arrêtées, deux retiennent l'attention : Mgr Mauro Carlino, ancien secrétaire personnel du cardinal Becciu et qui dirige le bureau d'information et de documentation de la secrétairerie d'État, mais surtout Tommaso Di Ruzza, qui n'est autre que le directeur de l'Autorité d'information financière, une structure mise en place fin 2010 par Benoît XVI et censée justement renforcer la transparence financière !




Résistances


Ce scandale va finalement être mis au jour grâce… au Brexit. À la suite dux incertitudes en Grande-Bretagne, la valeur patrimoniale de l'immeuble londonien s'effondre. En 2018, le cardinal Becciu quitte la secrétairerie d'État. Son successeur, l'archevêque vénézuélien Edgar Peña Parra, décide de racheter les parts encore détenues par Mincione dans les appartements de Chelsea. Il demande pour cela un financement à l'IOR, la banque vaticane. Mais son directeur y flaire une opération opaque et la dénonce aux procureurs du Vatican, qui ouvrent une enquête.
Cette affaire vertigineuse pourrait connaître de nouveaux épisodes, car L'Espresso évoque des sommes de plus de 600 millions d'euros qui auraient transité dans d'autres opérations immobilières, notamment à Paris. Malgré la volonté du pape François de réformer les finances vaticanes, la route vers la transparence est encore longue. Et les résistances à l'intérieur du Vatican sont fortes. L'AIF n'a, pas exemple, d'autorité que sur les flux de l'IOR, mais pas sur la secrétairerie d'État, une anomalie que souhaite corriger le souverain pontife. À de nombreuses reprises, le pape argentin a dénoncé les dérives de l'argent-roi. Fidèle à son style imagé, il a même plusieurs fois employé l'expression de « fumier du diable ». Une odeur dont les relents désagréables planent encore sur le Vatican.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Face à la baisse des donateurs, les diocèses s’inquiètent pour leur survie[/size]

La générosité des fidèles est de loin la première source de financement des diocèses français. Confrontés à la baisse continuelle du nombre de donateurs, certains peuvent toutefois compter sur un important patrimoine constitué au fil des années.



  • Héloïse de Neuville et Xavier Le Normand, 
  • le 09/12/2019 à 15:48 
  • Modifié le 09/12/2019 à 17:24



L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Denier-lEglise-contribution-laimportante-budget-dioceses_0_729_486



Le denier de l’Église est de loin la contribution la plus importante au budget des diocèses.[size=12]FARID DJEMMAL/CIRIC

[/size]
« L’Église vit uniquement de la générosité des fidèles. » Cette affirmation maintes fois répétée par le clergé, sonne désormais d’avantage comme un cri d’alarme que comme une tranquille réalité. Les diocèses, qui assurent leur fonctionnement grâce aux dons font face à une équation budgétaire inquiétante.
Le denier de l’Église, de loin la contribution la plus importante au budget des diocèses, est en baisse ces dernières années. « Donner au denier de l’Église est un geste spirituel car c’est un don d’adhésion », souligne Ambroise Laurent, en charge des questions économiques à la Conférence des évêques de France (CEF). « Et si la famille traverse des turbulences, les donateurs sont forcément troublés, on l’observe ces temps-ci », ajoute Laurent Charignon, économe diocésain à Marseille. Ainsi, le diocèse de la cité phocéenne accuse depuis plusieurs années une baisse inhabituelle du nombre de ses donateurs.
À lire aussi

Le denier de l’Église en baisse

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Sommes-recoltees-2018le-denier-lEglise-baisse-24-rapport-2017_0_190_135



Un phénomène alimenté par les scandales d’abus sexuels et la concurrence accrue d’associations caritatives, dont les projets résonnent davantage aux consciences des jeunes générations. « Pour les 20-45 ans, donner au diocèse qui va réparer la toiture d’un presbytère est nettement moins vendeur que de contribuer à la construction d’un dispensaire au Sri Lanka », déplore l’économe du diocèse marseillais.
→ BAROMÈTRE. 2018, année noire pour les dons aux associations

Les legs sauvent – pour l’instant – les diocèses


Face à cette dégringolade, les diocèses multiplient les initiatives. Alors que la moyenne d’âge des contributeurs dépasse les 75 ans, le diocèse de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) a lancé avec les diocèses voisins un plan pour axer la communication sur le numérique. La CEF qui fait du rajeunissement des donateurs l’un de ses principaux combats, veut permettre aux jeunes fidèles de donner par SMS, mais les opérateurs téléphoniques tardent à suivre, s’agace Ambroise Laurent.
À lire aussi

« Les legs à l’Église sont en progression »

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Pretres-representent-tiers-total-lEglise_0_190_135


Dans ce contexte, denier, quêtes, casuel (somme versée lors d’un enterrement, d’un baptême, d’un mariage ou de funérailles) et offrandes ne permettent plus aux diocèses d’assurer entièrement le financement de leurs charges courantes. Pour boucler leur budget annuel, la quasi-totalité des diocèses français doit s’appuyer sur une cinquième grande ressource : les legs. « Sans eux, nous terminerions presque chaque année en fort déficit, ils jouent un rôle déterminant pour l’équilibre », confirme Philippe de Cuverville, économe du diocèse de Paris. « Les legs permettent d’avoir des résultats d’exploitations positifs, cela endort la méfiance », met toutefois en garde Marc Divry, en charge des finances du diocèse de Digne (Alpes-de-Haute-Provence). Car leur nombre risque de baisser : pour le moment, un tiers vient de prêtres, dont le nombre ne cesse de décroître.

Une Église riche et pauvre à la fois


Autre ressource dont disposent la majorité des diocèses : les revenus générés par leurs actifs financiers et immobiliers. Ce patrimoine se chiffre souvent en dizaine de millions d’euros. Et les diocèses peuvent le faire fructifier. Ainsi le bilan comptable 2018 du diocèse de Paris révèle des revenus financiers d’environ 1,3 million d’euros et des revenus immobiliers de 9,1 millions d’euros.
Pour le diocèse de Marseille, c’est un peu plus de 1,8 million euros de revenus immobiliers la même année. Pour autant, d’un diocèse à l’autre, les situations sont variables. À Autun, le revenu des actifs financiers ne représentait que 400 000 € en 2018 pour des ressources totales de 10 millions d’euros.
Globalement, ces revenus font-ils de l’Église une riche rentière ? « Non, nous avons besoin d’assurer notre sécurité, balaye l’économe de Marseille : Tous les diocèses doivent supporter le traitement des prêtres jusqu’à leur mort, c’est une charge considérable. » De plus, si les sommes semblent importantes, leur liquidation ne pourrait pas, à elle seule, assurer plus de quelques années de subsistance aux diocèses dans les meilleurs des cas. « Le professionnalisme n’est pas incompatible avec les valeurs de foi », résume l’argentier d’Autun, Frédéric Chastenet. « Il n’y a rien de honteux à faire des placements judicieux. »

Enfin, contrairement à une idée reçue, les diocèses ne reçoivent aucun financement du Vatican et aucun système de péréquation à l’échelle nationale n’existe, même en cas de difficultés. Ainsi, certains d’entre eux ont dû récemment se résoudre à des licenciements de laïcs, faute de pouvoir continuer à payer leurs salaires. « Si les ressources continuent de baisser, nous serons plus proches des premières communautés chrétiennes que de l’Église riche et triomphante », conclut l’économe de Digne.
------------------------
Quelques chiffres
En 2018, environ un million de donateurs ont apporté 248 millions d’euros au denier de l’Église, soit un don moyen de 243 €. Si ce dernier est en hausse de 4,7 % par rapport à 2017, le montant total est en baisse de 2,4 % en raison de la baisse du nombre de contributeurs : -30 % entre 2008 et 2018.
Selon la CEF, moins d’un catholique pratiquant sur deux participe au denier. Pour tenter d’enrayer ce phénomène, une campagne nationale d’appel au denier de l’Église va être menée entre Noël et le jour de l’an pour la troisième année consécutive.
Toujours en 2018, les legs à l’Église catholique se sont élevés à 80 000 € en moyenne, pour un montant total de 113 millions d’euros.

Josué

Josué
Administrateur


Finances des cultes : le confinement a laissé des traces

Les faits 


Difficultés financières pour les uns, incertitudes pour les autres. Si de nombreux fidèles ont adapté leur mode d’offrande aux cultes, le confinement et les diverses restrictions perturbent en partie les finances des cultes.





  • Anne-Laure Juif, 
  • le 02/09/2020 à 12:27 
  • Modifié le 02/09/2020 à 14:11


L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Difficultes-financieres-sontfait-sentir-milieu-rural_0_729_492



Les difficultés financières se sont plus fait sentir en milieu rural

Ils tirent la sonnette d’alarme, avec plus ou moins de timidité. Les deux mois d’interdiction de réunion de cultes au printemps, puis le filtrage à l’entrée et les mesures barrière depuis 23 mai 2020 ont occasionné une baisse de dons en direct pendant le confinement. Pour faire face, certains fidèles se sont tournés vers le don en ligne, offrant à leurs lieux de culte et leurs pasteurs une respiration. « Pour combien de temps ? », s’interrogent certains. Le climat d’incertitude autour de la reprise du virus pose question à quelques semaines de grandes célébrations juives et à quelques mois de la Toussaint et de la période de l’Avent pour les chrétiens. Pour les communautés musulmanes, les collectes perdues pendant le mois du Ramadan pèsent encore. Mais tous s’inquiètent des conséquences économiques et sociales de la pandémie.

« Des fêtes juives essentielles » sans assemblée


Pessah, Lag Ba’omer et Chavouot. Ces trois fêtes importantes du calendrier juif ont été prises en étau entre le confinement et la prudence de la réouverture. Les données n’ont pas encore été rassemblées au niveau national, au Consistoire central, mais le déficit à prévoir pour l’année 2020 serait de l’ordre d’environ 20 %, d’après ce qui circule dans certaines communautés. Pour le président du consistoire régional Rhône-Alpes et Centre, Alain Sebban, la « condition [est] peu alarmante »« La baisse de dons a été compensée par une baisse des frais avec les synagogues fermées », détaille-t-il.
Mais à l’approche de Roch Hachana, de Yom Kippour et de Souccot, l’inquiétude reste de mise pour le vice-président du Consistoire, Elie Korchia, qui estime que la situation actuelle est « source de beaucoup d’appréhensions ». Ces célébrations entre la mi-septembre et la mi-octobre constituent une « période essentielle » dans la vie des communautés juives et du financement des synagogues. Pour les prochaines fêtes juives, certaines communautés ont déjà choisi


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(1) Ministres du culte et exclusion du contrat de travail : à propos d’un changement de paradigme. Revue du droit des religions, Presses universitaires de Strasbourg, 2019.


L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 CEF-prone-respecter-seuil-100-personnes-vendredi-gouvernement_0_190_135
À découvrir 

Les cultes s’organisent face au coronavirus


Des messes « un rang sur deux », des offices avec moins de fidèles, la Grande mosquée de Paris fermée et les prières... 



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Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

On oublie de dire ici le principal : la loi de 1905 avait pour seul but le vol par p'État de tout le patrimoine catholique, & rien d'autre. Ce qui fut au départ un apport financier monumental pour la joyeuse III République, devint progressivement un boulet, puis un abysse financier sans fin. Ainsi aujourd'huil, l'État français finance tout ce patrimoine à sans cesse restaurer, protéger. L'incendie de Notre Dame de Paris eut été impossible sans cette confiscation, puisque la plus célèbre église au monde appartient par vol, à l'État. Et tout est ainsi. Sans son patrimoine catholique unique au monde, détruit aux deux tiers, un tiers par les huguenots, un autre tiers par 1792 & sa terreur, la France ne serait pas le premier pays touristique au monde. L'État finance sans cesse, chaque année, le patrimoine catholique volé. Ce sont des centaines de millions qui sont annuellement versées. L'Église Catholique ne le pourrait plus. De plus les évêques se vient de plus en plus hériter de patrimoines privés rachetés à l'État, qui appartiennent de nouveau à l'Église.

Pour comprendre le plus grand vol financier de la République, il importe de lire de Jean Sévilia : "Quand les catholiques étaient hors la loi".
L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 IMG-4422

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

Josué
Administrateur

Cela n'a pas durer bien longtemps et sur le régime de Pétain l'église a bien relever la tête.

Josué

Josué
Administrateur


[size=55]L’Eglise, en difficulté après le confinement, «lance un appel aux dons pour les paroisses»


En ce week-end de la Pentecôte, Mgr Eric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France, nous révèle en exclusivité qu’il manque 40 à 50 millions d’euros dans les caisses après la crise sanitaire.

[/size]

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 UHCHNGNARSYEBLQEA222QM53OMEn raison de la crise sanitaire, « certaines paroisses et diocèses plus fragiles que d’autres se retrouvent dans le rouge », explique Eric de Moulins-Beaufort. LP/Jean-Baptiste Quentin

BenFis

BenFis

Si les joyaux architecturaux de l'Eglise Catholique n'étaient pas passés dans le giron de l'état, il aurait certainement été impossible pour les catholiques d'en assurer la maintenance tant le nombre de fidèles s'est amoindri depuis 1905.

Désormais ces restaurations sont assurées par l'ensemble des contribuables français, y compris les non-catholiques (Musulmans, Mormons, TJ, Bouddhistes, athées...). Merci à eux ! Very Happy

samuel

samuel
Administrateur

L'église et bien contente que les communes entretiennent les églises.
Tu poses la un faux problème.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Le Covid-19 met le Vatican sous pression financière[/size]

Enquête 

Comment le Vatican fait-il face aux conséquences financières de l’épidémie de Covid-19 ? « La Croix » a enquêté dans plusieurs dicastères, priés de réaliser des économies, alors que le pape a interdit de procéder à tout licenciement.



  • Loup Besmond de Senneville (à Rome), 
  • le 07/10/2020 à 09:12






L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Au-Vatican-place-Saint-Pierre-deserte-10-avril-dernier_0



Au Vatican, la place Saint-Pierre déserte, le 10 avril dernier.[size=12]LA PRESSE/PANORAMIC/BESTIMAGE

[/size]




« Où va-t-on ? Comment peut-on corriger les choses ? » Celui qui parle est l’un des fins connaisseurs des finances du Vatican. Et ce jour-là, il ne cache pas son inquiétude. La raison ? Le poids de la crise sanitaire sur les budgets du Saint-Siège. La même source poursuit : « Le Covid est venu accentuer une situation qui était préoccupante mais qui préexistait : celle du déficit structurel du Saint-Siège. »
Alors que dans un exercice de transparence inédit, le Vatican vient de présenter, jeudi 1er octobre, son bilan économique de 2019, c’est pourtant vers les résultats de l’année 2020 que les regards se tournent déjà. Car ici, comme dans le monde entier, la crise financière est venue fragiliser les finances du plus petit État du monde.
→ À LIRE. Le Vatican envisage des mesures d’économie
Une fragilité qui vient notamment nourrir une préoccupation grandissante sur l’épaisseur de l’enveloppe allouée chaque année à la Curie. Les dépenses de l’équivalent des ministères qui assurent le fonctionnement de l’organe central de l’Église catholique se sont élevées en 2019 à 318 millions d’euros, pour 307 millions de revenus.

100 millions de déficit prévus en 2020

Josué

Josué
Administrateur

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Dioczo10

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

plus grand problème auquel de nombreuses Églises des territoires de mission ont été confrontées a été la fermeture des églises et donc l’absence de célébration, avec pour conséquence l’absence de quêtes. »
La phrase est de Mgr Giampietro Dal Toso. En présentant, vendredi 16 octobre, le programme de la journée missionnaire mondiale, qui a lieu dimanche 18 octobre, le président des Œuvres pontificales missionnaires (OPM) s’est inquiété pour les conséquences de la pandémie de Covid-19 sur l’Église catholique dans les pays du Sud.

Josué

Josué
Administrateur


L'Église catholique en difficulté financière suite au coronavirus : le point sur la situation en région






  • L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 ImageL'Église catholique de France compte sur la générosité de ses fidèles pour limiter les dégâts. MIDI LIBRE - VINCENT PEREIRA



Religion, Occitanie, Société
Publié le 10/12/2020 à 16:30 , mis à jour à 16:31
L'Église catholique de France accuse de lourdes pertes financières évaluées à 90 millions d'euros sur l'année 2020. 
En cette fin d'année 2020, l'Église catholique de France tire la sonnette d'alarme. Selon un rapport de la Conférence des évêques (CEF), publié mercredi 9 décembre, elle aurait perdu 30 à 40 % de ses ressources financières.


Une perte nette de 90 millions d'euros


La perte nette évaluée à 90 millions d'euros est principalement imputable à la crise sanitaire du coronavirus traversée par la France cette année. Les églises ont successivement été ouvertes puis fermées et enfin rouvertes mais avec une jauge maximale de 30 personnes, jauge retoquée par le Conseil d'État depuis.
Or, les ressources financières de l'église dépendent à 53 % de dons liturgiques. Des donations qui sont composées de la quête, du casuel (baptême, mariage, funérailles) et des offrandes pendant la messe. Les fidèles ne pouvant plus fréquenter les lieux de cultes, cette situation se traduit par une baisse drastique des ressources des paroisses. En 2019, l'église avait réussi à stabiliser ses ressources en limitant la baisse des dons à - 1,6 %, le tout en mobilisant pleinement les diocèses.

"Pendant des semaines et même des mois, nous étions dans l’impossibilité de venir le dimanche à la messe. Nous en avons souffert", commente Denis Moutel, président du conseil pour les affaires économiques, sociales et juridiques de la CEF. 

Un appel aux dons pour limiter les dégâts


Pour faire face à cette crise sans précédent, l'Église catholique de France compte mobiliser pleinement ses fidèles pendant les fêtes de Noël. L'objectif est donc de limiter les dégâts, pour que les paroisses puissent redéployer toutes leurs activités. Les dons seront donc possibles classiquement en église, et sur un site national dédié. Nouveauté cette année, l'église qui souhaite aussi toucher les jeunes a mis en place un service de don par SMS. 
D'après les premières remontées fin octobre, les dons seraient en légère progression par rapport à l'année passée. Cependant, il est "difficile de savoir si les catholiques ont simplement anticipé leur don en répondant à l’appel de leur diocèse et de leurs paroisses pour faire face à cette situation inédite, ou s’ils ont fait un versement complémentaire", commente le rapport de la Conférence des évêques de France. 

Le point dans la région 


Dans l'ex Languedoc-Roussillon, on recense des situations différentes d'un département à l'autre. 
Dans les Pyrénées-Orientales, le diocèse de Perpignan recense une baisse similaire au niveau national de l'ordre de 30 à 40 %. Néanmoins, malgré la crise, les donateurs seraient plus généreux. La fréquentation est en forte diminution dans les églises du département. Le responsable de la communication met en cause la crise sanitaire, mais aussi le risque d'attentat. Lors des derniers offices, la cathédrale de Perpignan avait réuni environ 150 personnes, un chiffre proche de la (nouvelle) jauge instaurée par le gouvernement. 
Dans l'Aude, même si les deniers de l'Église sont restés stables, les dons de la quête et du casuel sont en forte baisse, de 20 à 30 % selon les paroisses. Cependant, pour être totalement "transparent", le diocèse précise qu'il n'a rien déboursé pour les frais de chauffage des bâtiments ni pour les coûts de déplacement des prêtres. L'évêché attend un possible effet de report des dons en décembre, comme cela avait été le cas après le premier confinement en mai. 
Dans le Gard, on préfère ne pas s'avancer sur un pourcentage précis quant aux baisses des ressources , mais "on n'est pas encore à une baisse de 30 à 40 %", précise un responsable de la communication. "Il faut attendre le 31 décembre pour avoir un état des lieux précis", explique-t-il. La diminution du nombre de donateurs depuis des années se poursuit cette année dans les paroisses du département. Cependant, l'archevêché remarque un léger report des dons de la quête vers le denier avec des montants en légère hausse. Avec la crise sanitaire, le diocèse pense perdre "un certain nombre de fidèles". 
Dans l'Hérault, même si les chiffres ne sont pas encore remontés des paroisses, les dons seraient aussi en diminution. La situation déjà compliquée avec des donations en baisse depuis quelques années ne s'est pas arrangée avec le confinement. L'opération de collecte de fonds en juin avait permis de renflouer un peu les caisses mais seulement de façon provisoire. Selon un responsable, le diocèse reçoit en temps normal 20 à 25 % de ses dons en décembre. La situation n'est donc pas figée, des chiffres plus précis sont attendus en janvier 2021.
En Lozère, les pertes de dons de la quête sont de l'ordre de 40 % sur l'année, avec une perte de 20 % des offrandes. Le denier de l'Église reste stable avec 4 500 donateurs, tous très "généreux, particulièrement ici en Lozère", précise un cadre du diocèse. En revanche, il n'y a pas de report "massif" des dons pour l'heure indique le responsable. 
https://www.midilibre.fr/2020/12/10/leglise-catholique-en-difficulte-financiere-suite-au-coronavirus-le-point-sur-la-situation-en-region-9249476.php#:~:text=Religion-,L%27Église%20catholique%20en%20difficulté%20financière%20suite%20au%20coronavirus%20%3A%20le,sur%20la%20situation%20en%20région&text=L%27Église%20catholique%20de%20France%20accuse%20de%20lourdes%20pertes%20financières,tire%20la%20sonnette%20d%27alarme

BenFis

BenFis

Comment s'y prennent les TJ pour récolter des fonds en ces temps de Covid ?

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Le sujet et sur l'église catholique.

BenFis

BenFis

Mikael a écrit:Le sujet et sur l'église catholique.

Oui, d'accord. Il serait néanmoins intéressant d'évaluer le soucis pécuniaire de l'Eglise Catholique en le comparant à d'autres religions.

C'est comme pour le Covid19 par ex. comment évaluer correctement l'impact de ce virus sur les français sans observer ce qui se passe ailleurs ?

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Le problème de l'église c'est qu'elle ne peut plus imposer la dîme qui a permit à l'église d'avoir un grand train de vie.
Maintenant il lui reste que le denier du culte et la quête le Dimanche,mais comme les églises se vident les entrés d'agent ne suffissent plus pour son train de vie.

BenFis

BenFis

Mikael a écrit:Le problème de l'église c'est qu'elle ne peut plus imposer la dîme qui a permit à l'église d'avoir un grand train de vie.
Maintenant il lui reste que le denier du culte et la quête le Dimanche,mais comme les églises se vident les entrés d'agent ne suffissent plus pour son train de vie.

Effectivement, c'est un problème pour l'Eglise en France (du moins hors Alsace-Moselle).

chico.

chico.

BenFis a écrit:
Mikael a écrit:Le problème de l'église c'est qu'elle ne peut plus imposer la dîme qui a permit à l'église d'avoir un grand train de vie.
Maintenant il lui reste que le denier du culte et la quête le Dimanche,mais comme les églises se vident les entrés d'agent ne suffissent plus pour son train de vie.

Effectivement, c'est un problème pour l'Eglise en France (du moins hors Alsace-Moselle).
Dans cette région le clergé est considéré comme des fonctionnaires et l'entretient des églises à la charge de l'état.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

L'église d'Alsace n'a qu'à suivre ce principe que donne Paul sur le partage des biens.

BenFis

BenFis

chico. a écrit:
BenFis a écrit:
Mikael a écrit:Le problème de l'église c'est qu'elle ne peut plus imposer la dîme qui a permit à l'église d'avoir un grand train de vie.
Maintenant il lui reste que le denier du culte et la quête le Dimanche,mais comme les églises se vident les entrés d'agent ne suffissent plus pour son train de vie.

Effectivement, c'est un problème pour l'Eglise en France (du moins hors Alsace-Moselle).
Dans cette région le clergé est considéré comme des fonctionnaires et l'entretient des églises à la charge de l'état.

Effectivement. C'est bien ce que je veux dire. Sur ce territoire, l'Eglise Catholique, même privée de ses fidèles, continue d'engranger les salaires; et la maintenance des édifices religieux continue d'être assuré de la même façon qu'avant le Covid.

Lechercheur



Alors pourquoi elle sonne la sonnette d'alarme car les finances sont en chutes libres?

BenFis

BenFis

Lechercheur a écrit:Alors pourquoi elle sonne la sonnette d'alarme car les finances sont en chutes libres?

Lorsque les fidèles ne peuvent pas se réunir, il y a moins de dons. Et comme les dons servent à financer les prêtres, ils ont évidemment de quoi s'inquiéter... sauf en Alsace-Moselle où ces derniers sont rémunérés par l'état.

Amaytois

Amaytois

BenFis a écrit:Comment s'y prennent les TJ pour récolter des fonds en ces temps de Covid ?

C'est très simple
https://donate.jw.org/ui/F/donate-home.html#/donate

Je me demande si l'église catholique n'a pas le même système ?
https://www.immaculee-conception.net/donner/faire-un-don

chico.

chico.

Des fois je reçois dans ma boite aux lettres, une lettre qui m'invite a donner pour le denier du culte.
Alors que je ne suis pas catholique.
En fait l'église ratisse large pour toucher le maximum de personnes,dans l'espoir qu'il y aura des donateurs généreux.

Josué

Josué
Administrateur

Des nonnes dansent et chantent pour lever des fonds pour leur couvent
«Ensemble jusqu’au bout»: des soeurs de Saône-et-Loire (centre-est ce la France) ont monté une comédie musicale enlevée, devenue virale sur internet, afin de financer les aménagements nécessaires pour garder dans leur couvent les nonnes âgées «jusqu’au ciel».

Réagir Mis en ligne le 22/12/2020 à 14:50
Capture d’écran «Ensemble jusqu’au bout».Capture d’écran «Ensemble jusqu’au bout».
«Lay, lay, lay, lay la...», chantent les soeurs en dansant gaiement sur le fameux air folklorique russe. Les chapelets virevoltent et les robes grises tournoient, dévoilant les grosses chaussettes de laine enfilées dans les sandales.

Mais l’heure est grave, à en croire le ton de la mère supérieure qui réunit les religieuses sur cette courte vidéo: soeur Jeanne annonce qu’elle a des difficultés à vivre au sein de la communauté en raison de son âge et qu’elle doit partir en Ehpad.

«Non», répondent ses soeurs. «Nous t’accompagnerons. Vivre ensemble, une soeur appuyée sur sa soeur. Vivre ensemble, unissons nos efforts», chantent-elles de plus belle.

Mais comment faire? Les marches, les chambres spartiates, la chapelle inaccessible aux fauteuils roulants... «Et si nous appelions à l’aide pour faire des chambres médicalisées? Alors nous resterons ensemble jusqu’au bout», entonnent les nonnes, bondissant, dans une sorte de remake de Sister Act, le film américain sorti en 1992.

Le clip musical des Soeurs apostoliques de Saint-Jean, dans le village de Semur-en-Brionnais (Saône-et-Loire), a été mis en ligne le 10 décembre.
[url=https://www.courrier-picard.fr/id150617/article/2020-12-22/des-nonnes-dansent-et-chantent-pour-lever-des-fonds-pour-leur-couvent#:~:text=%C2%ABEnsemble jusqu%27au bout%C2%BB,%C2%ABjusqu%27au ciel%c2%bb.&text=Capture d%27%C3%A9cran %C2%ABEnsemble jusqu%27au bout][ltr]https://www.courrier-picard.fr/id150617 ... 7au%20bout[/ltr][/url]».

Josué

Josué
Administrateur

Coronavirus : 90 millions d’euros de perte pour l’Eglise catholique en 2020

La Conférence des Evêques de France (CEF) s’est exprimée devant la presse mercredi 9 décembre 2020 afin de faire le point sur sa situation financière après une année marquée par la crise sanitaire. Cette année, les églises enregistrent une baisse de 30 à 40% de leurs ressources due à l’absence de cérémonies religieuses.

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 ABACA_749775_001Malgré les difficultés économiques auxquelles les paroisses font face, l’Eglise catholique fera en sorte qu’une messe ne soit supprimée.
L’année 2020 a été éprouvante pour tout le monde, et l’Eglise catholique ne fait pas exception. En un an, les paroisses ont perdu près de 90 millions d’euros – 60 millions pendant le premier confinement, puis 30 millions lors du second. À titre de comparaison : en 2019, la totalité des dons courants à l’Eglise, qui comprend l’argent du Denier, des quêtes, du casuel (cérémonies, mariage, baptême) et des offrandes de messes s’élevait à 530 millions d’euros. Cette année, les dons courants à l’Eglise atteignent environ 440 millions d’euros, soit 17% de moins que l’année dernière. Les dons liturgiques (quêtes, casuel et offrandes) représentent 53% des ressources courantes de l’Eglise (hors legs). Dans ce domaine, pour les paroisses, la perte est de l’ordre de 30 à 40%.
Le choc économique est accentué par une baisse du nombre de donateurs qui se poursuit depuis 12 ans, avec un recul plus important depuis 2017. Un problème soulevé par Ambroise Laurent, secrétaire général adjoint de la CEF en charge des questions économiques, sociales et juridiques, puisqu’en 2019 le Denier représentait 39% des ressources annuelles totales de l’ensemble des diocèses – soit 244 millions d’euros. Il ajoute, « nous n’avons pas eu des aides, mais une aide comme toutes les associations et entreprises ou organismes qui emploient du personnel, nous avons pu bénéficier d’un régime dit « d’activité partielle » pour maintenir l’emploi dans notre périmètre. À ce titre, l’Eglise qui emploie 8000 salariés en France a reçu au total 5 millions d’euros ». Des problèmes économiques qui s’ajoutent à un « choc spirituel » lié à la fermeture des églises, ou à l’impossibilité de se rassembler.

Comment gérer les pertes liées aux confinements ?

Rattraper 90 millions d’euros en quelques semaines semble impossible. Mais le secrétaire général adjoint de la CEF en charge des questions économiques, sociales et juridiques, Ambroise Laurent, reste optimiste : « L’espoir ça serait qu’on arrive à effacer un tiers à la moitié de la perte, c’est-à-dire 30 à 45 millions d’euros afin de limiter autour de 50 millions la perte finale ». Aujourd’hui, l’Eglise catholique va devoir puiser dans les réserves, qui sont « le fruit de la générosité des fidèles qui nous ont précédé et la bonne gestion de nos finances. Les diocèses vont aider les paroisses à redémarrer ». Il précise cependant que ces réserves ne sont pas importantes et que s’ils peuvent se permettre cela cette année, devoir le faire une deuxième année serait très difficile. Malgré les difficultés financières, Ambroise Laurent insiste sur le fait que les salaires des prêtres ou des évêques ne bougeront pas, et que l’Eglise souhaite éviter les suppressions de messes, ou du catéchisme. Les économies seront principalement faites sur les travaux et sur la vente d’actifs, notamment immobiliers.

Les jeunes au centre de la campagne de dons « Merci »

Après cette année de crise sanitaire, l’Eglise catholique cherche à récolter des fonds notamment pour « redonner aux paroisses les moyens de redémarrer leurs activités début 2021 : de réouvrir le catéchisme, la soupe, l’accueil, les célébrations de semaine » explique Ambroise Laurent. L’objectif pour cela est d’élargir le nombre de donateurs, avec une volonté de trouver de nouveaux donateurs parmi les jeunes: « Cette campagne « Merci » s’ordonne notamment autour d’un nouveau canal : le don par sms. En envoyant DON au 92 377, un jeune ou un moins jeune doit pouvoir donner de 5 à 20 euros », précise le secrétaire général adjoint de la CEF. Ce type de dons invite au « don humble et facile » selon Vincent Neymon, secrétaire général adjoint de la CEF, directeur de la communication qui ajoute « ce don par SMS invite aussi au premier don, et par expérience nous savons que dans la collecte de fonds ce premier don est essentiel parce que c’est un pied à l’étrier, celui qui va en provoquer d’autres ». Cet accent mis sur l’appel aux dons des jeunes peut paraître surprenant puisque cette catégorie de personnes fait partie des plus touchées par les conséquences de la crise sanitaire, mais Ambroise Laurent en est persuadé: « 5 €, 10€, 20€, ça se trouve encore. La motivation n’est pas tant d’aller chercher au fond de ses poches, c’est de se dire qu’est-ce que je signifie par ce don ? Quelque part au fond de mon cœur, et quelque part à la place de ma prière, je viens d’exprimer qu’il est plus joyeux de donner que de recevoir. »  La campagne du Denier s’intitule « Merci » pour remercier les donateurs fidèles qui apportent leur soutien à l’Eglise, ainsi qu’un merci aux plus jeunes pour leur premier soutien financier apporté aux paroisses.
https://radionotredame.net/2020/vie-de-leglise/coronavirus-90-millions-deuros-de-perte-pour-leglise-catholique-en-2020-299848/#

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Plaie d'argent n'est pas mortel nous dit un proverbe!

papy

papy

Mikael a écrit:Plaie d'argent n'est pas mortel nous dit un proverbe!
Et l'argent ne fait pas le bonheur.

Josué

Josué
Administrateur

Le Covid-19 et son impact sur les finances de l'Église catholique

Par Olivier Peguy avec AFP, AP[size=10][size=12]  •  Dernière MAJ: 21/12/2020[/size][/size]


L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 320x180_cmsv2_fb0195c9-ee59-592b-963f-b72bc15add72-5214854


Archive : à l'église Saint-Sulpice (Paris), le 29/11/2020   -   [size=10]Tous droits réservés  ALAIN JOCARD/AFP or licensors[/size]L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Social_icon_messenger

[size=16]En France, l'église catholique est confrontée à de sérieuses difficultés financières. Les mesures de confinement liée à la crise sanitaire ont entraîné une forte diminution des dons des fidèles.

Des églises vidées de leurs paroissiens. Des sanctuaires désertés par les fidèles. Comme partout cette année, les lieux de culte ont été soumis aux restrictions sanitaires. Et cela n'est pas sans conséquences financières.


L'Eglise catholique en France ne vit que des dons des fidèles. L'annulation des messes avec public s'est mécaniquement traduite par un non-versement des offrandes, des quêtes.
Par ailleurs, le nombre restreint de baptêmes et de mariages a donc entraîné un manque à gagner pour les "casuels" (les sommes d'argent versées par les fidèles spécialement pour ces occasions).
\>> Les finances de l'Église catholique en France
[/size]

Josué

Josué
Administrateur


Le tribunal du Vatican sur le point d’ouvrir un procès pour « détournement de fonds »

Les faits 


Le tribunal du Vatican a annoncé dans un communiqué qu’il s’apprêtait à ouvrir un procès à l’encontre de Cecilia Marogna, qui se présente comme une spécialiste des relations diplomatiques et aurait détourné 250 000 €. Mais dont le plus petit État du monde a renoncé à demander l’extradition à la justice italienne.





  • Loup Besmond de Senneville (à Rome), 
  • le 19/01/2021 à 07:02 
  • Modifié le 19/01/2021 à 10:22



L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Adobestock-108214204_0



J.STUTZ/ADOBESTO



C’est un développement supplémentaire dans une affaire commencée il y a plusieurs mois. Par un communiqué de son promoteur de justice, le tribunal du Vatican a annoncé lundi 18 janvier l’organisation imminente d’un procès pour « détournement de fonds en bande organisée ».
Au cœur de ce procès : Cecilia Marogna, une femme de 39 ans, qui se présente comme une spécialiste des relations diplomatiques, et qui s’est fait, pour cela, rémunérer plus de 500 000 € par le Saint-Siège, notamment afin de pouvoir bâtir des réseaux de relations en Afrique et au Moyen-Orient pour le compte de la diplomatie vaticane. Mais la jeune femme en a détourné la moitié en produits de luxe.


Arrêtée en octobre par la Guardia di finanza à Milan, Cecilia Marogna était, depuis, sous le coup d’une demande d’extradition de la part de la justice de l’État du Vatican. Une demande rendant nécessaire une procédure de la justice italienne car il n’existe aucun traité d’extradition entre l’Italie et le plus petit État du monde. Mais cette demande a été retirée par la justice vaticane, afin de permettre sa participation « libre » à son procès, indique le communiqué publié le 18 janvier.

Experte des relations diplomatiques ou intermédiaire financière ?


Ce revirement a été annoncé alors que la justice italienne devait se prononcer le même jour sur l’extradition de la jeune femme. Mais selon certaines sources, la justice italienne aurait en effet pu être tentée de ne pas extrader Cecilia Marogna, en raison du déroulement des procès au Vatican, estimant que ces derniers ne garantissent pas une équité suffisante.
Quel était le rôle exact de Cecilia Marogna ? Si, selon plusieurs sources de la Secrétairerie d’État consultées par La Croix, Cecilia Marogna est inconnue de la diplomatie vaticane comme experte des relations internationales, elle pourrait plutôt avoir servi d’intermédiaire pour le compte du Vatican, auprès d’acteurs financiers internationaux.

Ces éclaircissements devraient avoir lieu lors du procès, dont la date n’est pas encore connue. Dans tous les cas, selon un rapport dévoilé en octobre par l’agence ADNKronos, 575 000 € ont bien été versés à Cecilia Marogna à partir de 2017, sous la responsabilité du cardinal Angelo Becciu, substitut puis préfet de la Congrégation des causes des saints.

Un virement de 75 000 €


D’après ce rapport, c’est le cardinal qui a notamment ordonné, en décembre 2018, à travers un message adressé au chef du bureau administratif de la Secrétairerie d’État, un virement de 75 000 € pour libérer une religieuse colombienne en otage au Mali.
Le cardinal Angelo Becciu a été limogé par le pape François le 24 septembre dernier, accusé de détournements de fonds et de placements hasardeux, notamment à travers l’achat d’un immeuble à Londres, qui s’est avéré être un gouffre financier pour le Saint-Siège. À la suite des révélations sur de tels placements, en octobre 2019, plusieurs proches et collaborateurs du cardinal avaient été arrêtés et licenciés par le Vatican.


Dans une note publiée lundi 14 août, l’Académie pontificale pour la Vie s’inquiète de la décision du gouvernement...
  



samuel

samuel
Administrateur

Et bien dit c'est pas triste cette histoire d'argent.

Josué

Josué
Administrateur

[size=49]L’Eglise catholique a perdu près de 40 % de ses ressources en 2020 en raison des confinements
Avec la fermeture partielle ou totale des églises en 2020, l’Eglise catholique de France a subi « un véritable choc » financier, a annoncé mercredi la Conférence des évêques de France.
Le Monde avec AFP
Publié le 09 décembre 2020 à 17h44 - Mis à jour le 09 décembre 2020 à 18h49 

[/size]
De 30 à 40 %. C’est la baisse des ressources des paroisses que l’Eglise catholique de France a enregistrée en 2020, a annoncé la Conférence des évêques de France (CEF), mercredi 9 décembre. Cette perte nette, estimée à 90 millions d’euros, soit une baisse de 17% sur un an de ses ressources totales, a été principalement causée par la fermeture totale ou partielle des lieux de culte pendant les confinements, qui a privé l’Eglise de ses principales sources de revenu, comme la quête ou le casuel versé pour les cérémonies, a précisé la CEF lors de la présentation de son bilan financier annuel.

Les finances de l’Eglise étaient jusqu’ici relativement stabilisées, avec, à titre de comparaison, un léger repli de 1,6 % des ressources enregistré en 2019. Mais aujourd’hui un tiers des 90 diocèses de France sont dans des situations « compliquées », dont 15 « dans des situations fragiles », estime la CEF dans son rapport annuel.

Pour atténuer les effets de cette crise ponctuelle, l’Eglise de France mise d’abord sur un sursaut de générosité de la part de ses fidèles, lors d’un grand appel aux dons de Noël. Elle a, par ailleurs, bénéficié de 5 millions d’euros d’aide de l’Etat au titre de l’activité partielle de ses 8 000 salariés.
Lire aussi  « Pour nous, la messe c’est vital » : des catholiques ont manifesté pour le retour d’une cérémonie interdite pendant le confinement

Cure de rigueur en 2021


Pour 2021, les premiers contours d’une cure de rigueur ont également été esquissés. « On va rationaliser, on va vendre un peu plus, certaines paroisses vont devoir vendre des actifs, notamment immobiliers », a averti lors d’une conférence de presse Ambroise Laurent, secrétaire général adjoint de la CEF, chargé des finances.

Il a également évoqué le report ou l’annulation de certains projets des paroisses, notamment de soutien de communautés à l’étranger. En revanche, il exclut tout impact sur l’allocation des prêtres. Appuyée par la CEF, une partie de la communauté des catholiques de France s’est fortement mobilisée en novembre pour obtenir une réouverture des églises au public en décembre.

Entre mars et mai 2020, avec la fermeture totale des églises, la CEF a estimé à 60 millions d’euros l’impact du premier confinement, et à 30 millions celui du deuxième. « C’est une estimation, nous ne sommes pas Google, nous ne remontons pas nos résultats en temps réel », a toutefois nuancé le financier de la CEF.

Josué

Josué
Administrateur

Comment la crise sanitaire a vidé les caisses de l'Eglise catholique 

La pandémie a durement frappé les finances de l'Eglise catholique française, qui va devoir vendre des lieux de culte et pourrait même devoir se séparer d'une partie de ses salariés.



L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Des-fideles-catholiques-se-rassemblent-au-sanctuaire-de-notre-dame-de-lourdes-sud-ouest-a-lourdes-le-13-aout-2016_5652473
[size=10][size=10]Le sanctuaire de Lourdes a vu 95% des pélerinages organisés annulés en 2020

afp.com/PASCAL PAVANI


[size=13]Emmanuel Botta avec Nathalie Samson
publié le 02/04/2021 à 09:00 , mis à jour à 19:24
Dans l'hebdo du 01 Avril[/size][/size][/size]




Malgré la douceur quasi printanière de cette fin de mars, les marches de la basilique du Sacré-Coeur, habituellement bondées de touristes extatiques, sont désespérément vides. Une fois passée la porte de ce lieu saint trônant au sommet de la colline de Montmartre, la foule se fait à peine plus nombreuse. En temps normal, 10 millions de visiteurs se bousculent chaque année pour admirer ce monument édifié à la fin du XIXe siècle pour le "retour de l'ordre moral" après des décennies de conflits. Aujourd'hui, un simple retour des vacanciers étrangers ferait certainement l'affaire... " A cause de la pandémie, les ressources de la basilique, qui tournent autour de 7,5 millions d'euros - uniquement constituées de ventes de cierges, de cartes postales et de dons divers - ont chuté à 3,5 millions d'euros", constate amèrement Jean Chausse, économe du diocèse de Paris. 

Une entreprise comme une autre


Et la basilique n'est qu'un exemple parmi tant d'autres. C'est tout l'équilibre financier de l'Eglise catholique française qui a été mis à mal par cette crise. Car l'Eglise est, aussi, une entreprise comme les autres ; ses revenus, issus en totalité des dons des croyants, ses salariés, au nombre de 8000 à travers la France, ses charges fixes et variables (loyers, chauffage, électricité, travaux de rénovation pour les bâtiments construits après 1905 - le reste appartenant aux communes). Et l'angoisse de réussir à se maintenir au-dessus de la ligne de flottaison, malgré l'érosion structurelle du nombre de fidèles, et "le recul des dons ces dernières années, dû notamment aux scandales de pédophilie à répétition", pointe Céline Berraud, sociologue et auteur d'un essai sur le sujet.
Un budget au cordeau éparpillé façon puzzle par le Covid. Depuis les confinements, ce sont autant de messes qui ne se sont pas tenues, et donc de quêtes non collectées. Sans compter les casuels : les décès, les mariages, les baptêmes et les communions, qui ont été repoussés ou se sont tenus en petit comité, alors qu'ils sont normalement l'occasion de gains importants. "Sur 2020, le budget de l'Eglise devrait être amputé de 90 millions d'euros, soit de 15 à 20 % de nos ressources courantes. Heureusement, le denier du culte (dons aux paroisses, par correspondance, sur Internet...) a, lui, bien progressé et devrait nous permettre de récolter de 10 à 20 millions d'euros de plus que les précédentes années", détaille Ambroise Laurent, secrétaire général adjoint de la Conférence des évêques de France, chargé des finances. Et pour 2021, nul doute que les caisses risquent encore de sonner creux. "La vie cultuelle a repris dans des conditions presque normales, mais la fréquentation est toujours en recul de 25%, les personnes âgées, notamment, sont plus prudentes", explique Jean Chausse. 


https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/comment-la-crise-sanitaire-a-vide-les-caisses-de-l-eglise-catholique_2147639.html?utm_source=

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Svg>
Infographie

L'Express

Une photographie grand angle dont il faut isoler les sanctuaires - bien plus violemment touchés par le Covid - qui perdent entre 70 et 80% de leurs revenus. Lourdes, le premier d'entre eux, a enregistré en 2020 un taux d'annulation de 95% de ses pèlerinages organisés. Les frontières devenues quasi hermétiques, les 70% de pèlerins venant habituellement de l'étranger ont dû se résigner à rester chez eux. "Un coup terrible pour nos finances, le sanctuaire ne vit que grâce aux offrandes, et surtout celles réalisées sur place", souligne Mathias Terrier responsable de la communication et des ressources du sanctuaire. Finalement, les recettes n'ont baissé que de 4 millions d'euros pour un budget habituel d'environ 30 millions. "Les dons en ligne ont atteint un niveau jamais vu, et nous ont permis d'amortir la chute", poursuit-il. 

Josué

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Administrateur

L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Crise_10
 Le Dauphiné Dimanche04.04.2021

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L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 20210419

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En difficulté financière à cause de la crise sanitaire, l'Église catholique vend des édifices pour renflouer ses caisses


  • L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 ImageLes églises se sont vidées en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19. DDM - MORAD CHERCHARI


    
ReligionCoronavirus - Covid 19Société
Publié le 05/04/2021 à 17:04

l'essentiel
En 2020, la crise sanitaire a vidé les caisses de l'Église de France. Les recettes liées à la pratique du culte en présentiel ont diminué de 30 à 40%, pour un manque à gagner de 90 millions d'euros. Pour faire face, les diocèses se réorganisent et vendent des actifs.
 
Cérémonies annulées, affluence limitée... Les Églises et leur budget pâtissent des restrictions liées au Covid-19. La perte nette sur ses revenus est estimée à 90 millions d'euros, principalement causée par la fermeture totale ou partielle des lieux de culte pendant les différents confinements.

Les messes se sont faites plus rares en 2020, et la quête a nettement reculé. Les paroisses se sont alors retrouvées privées de nombreux dons lors des cérémonies, leur principale source de revenu en règle générale. Pour venir en aide à l'Église, les croyants ont donc opté pour la contribution volontaire des fidèles, principale ressource des paroisses en 2020 (39 %). Même si cette dernière a augmenté de 7% en moyenne en 2020, selon France Inter, cela n’a pas suffi à combler les déficits. L'Église accuse le choc.

Le rapport annuel de la CEF (Conférence des évêques de France) paru en décembre 2020, révèle qu'un tiers des 90 diocèses de France sont en grande difficulté économique. Quinze d'entre eux seraient même "dans des situations fragiles".


La rigueur est de mise


Pour couper dans les dépenses et faire entrer de l'argent, l'Église se réorganise. Atténuer les effets de cette crise ponctuelle est l'une de ses missions pour 2021. Et pour cela, l'Eglise se gère parfois comme une entreprise.
Certaines paroisses se séparent donc d'une partie de leurs salariés, abandonnent des projets. D'autres envisagent même la vente de certains actifs, notamment immobiliers. Des édifices religieux vivent une seconde vie en se transformant en espace de coworking ou en hôtel et les prix attractifs attirent les gros projets, selon FranceInfo.
Ce week-end de Pâques, les diocèses comptaient de nouveau sur la générosité de leurs fidèles pour les cérémonies. Un élan d'espoir avant l'annonce du nouveau confinement.
Si les nouvelles mesures sanitaires permettent l'ouverture des lieux de culte, elles en restreignent cependant l'accès. Places limitées et respect du couvre-feu à 19 heures pour les cérémonies, malgré l'appel de plusieurs associations dont Civitas et VIA La Voix du Peuple. Les plateformes et applications de quête en ligne, popularisées par les périodes de confinement, semblent bel et bien de retour. 

    
Mathilde Collet
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Amaytois

Amaytois

Dans le nouveau système de chose, les églises seront encore plus vide, d'ailleurs y aura t-il encore des églises. Oui tout ces lieux de culte disparaîtront.

Dorette Florence

Dorette Florence

Je me demandais si les églises n'ont pas le même système.

Josué

Josué
Administrateur

Dorette Florence a écrit:Je me demandais si les églises n'ont pas le même système.
Quel système ?

Dorette Florence

Dorette Florence

Enfaite j'ai dû comprendre que c'est l'État qui paye les prêtre. Ou je me trompe ?

samuel

samuel
Administrateur

Dorette Florence a écrit:Enfaite j'ai dû comprendre que c'est l'État qui paye les prêtre. Ou je me trompe ?
Non car la France et un pays laïc,sauf en Alsace oû les membres du clergé tant catholique que protestant son renumeré par l'état.
Les curés sont renumérés par le denier du culte et par des dons.

Rene philippe

Rene philippe

samuel a écrit:
Dorette Florence a écrit:Enfaite j'ai dû comprendre que c'est l'État qui paye les prêtre. Ou je me trompe ?
Non car la France et un pays laïc,sauf en Alsace oû les membres du clergé tant catholique que protestant son renumeré par l'état.
Les curés sont renumérés par le denier du culte et par des dons.

Pas par le Vatican ausff se i ?

BenFis

BenFis

samuel a écrit:
Dorette Florence a écrit:Enfaite j'ai dû comprendre que c'est l'État qui paye les prêtre. Ou je me trompe ?
Non car la France et un pays laïc,sauf en Alsace oû les membres du clergé tant catholique que protestant son renumeré par l'état.
Les curés sont renumérés par le denier du culte et par des dons.

C'est vrai.
J'ajoute cette petite précision ; le concordat concerne aussi le département de la Moselle, et les Rabbins y perçoivent également une rémunération de l'Etat.

Rene philippe

Rene philippe

BenFis a écrit:
samuel a écrit:
Dorette Florence a écrit:Enfaite j'ai dû comprendre que c'est l'État qui paye les prêtre. Ou je me trompe ?
Non car la France et un pays laïc,sauf en Alsace oû les membres du clergé tant catholique que protestant son renumeré par l'état.
Les curés sont renumérés par le denier du culte et par des dons.

C'est vrai.
J'ajoute cette petite précision ; le concordat concerne aussi le département de la Moselle, et les Rabbins y perçoivent également une rémunération de l'Etat.

Les Témoins de Jéhovah aussi ? 😂😂😂

BenFis

BenFis

Rene philippe a écrit:
BenFis a écrit:
samuel a écrit:
Non car la France et un pays laïc,sauf en Alsace oû les membres du clergé tant catholique que protestant son renumeré par l'état.
Les curés sont renumérés par le denier du culte et par des dons.

C'est vrai.
J'ajoute cette petite précision ; le concordat concerne aussi le département de la Moselle, et les Rabbins y perçoivent également une rémunération de l'Etat.

Les Témoins de Jéhovah aussi ? 😂😂😂

Pour bien faire, il conviendrait sans doute de supprimer cette partie du concordat, plutôt que d'allonger la liste des prétendants!?

samuel

samuel
Administrateur

Il y a aura donc bien un procès financier au Vatican, au cours duquel sera jugé le cardinal Angelo Becciu. C’est ce qu’a annoncé samedi 3 juillet le plus petit État du monde, en révélant que les juges avaient achevé leur enquête sur l’« affaire de Londres », à savoir une série de placements financiers hasardeux dans l’immobilier de la capitale britannique.
→ À LIRE. Finances du Vatican : le cardinal Parolin promet de témoigner à la barre s’il est convoqué

Josué

Josué
Administrateur

16.08.2021

 L'Eglise Catholique n'est pas pauvre : Le denier de l'Eglise ! - Page 4 Ex_car10
Source le Dauphiné Dimanche du 15 8 2021.

Amaytois

Amaytois

BenFis a écrit:Comment s'y prennent les TJ pour récolter des fonds en ces temps de Covid ?

C'est simple, par virement bancaire

https://donate.jw.org/ui/F/donate-home.html#/donate

Amaytois

Amaytois

Mikael a écrit:Le sujet et sur l'église catholique.

Oui Mikael, tu as raison, le sujet est sur l'église catholique, mais notre site est Témoins de JÉHOVAH ACTIF. Et pour moi, même si la question postée par Benfils n'est pas dans la bonne rubrique celle-ci méritait une réponse.

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