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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine.

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Marmhonie
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Lechercheur
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Rene philippe
Mikael
Josué
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Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine, qui multiplie les mesures de confinement
Par reuters le 24.01.2020 à 05h50
L'épidémie de coronavirus qui s'est déclarée le mois dernier à Wuhan, ville du centre de la Chine, a fait 25 morts et infecté 830 personnes dans le pays, a annoncé vendredi le gouvernement.


Josué

Josué
Administrateur

L’OMS a rappelé que le virus du Covid n’est pas près de disparaitre. En même temps, l’organisation a annoncé une bonne nouvelle qui concerne aussi la France. On vous en dit plus.

Le virus continue de muter

Mercredi 27 avril, le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a insisté sur le rebond épidémique du Covid dans plusieurs pays. «Le virus continue de muter et il est toujours capable de provoquer de nouvelles vagues de contaminations et de décès», précisa le directeur. Le variant XBB et ses sous-variants comme Arcturus sont désormais dominants au niveau mondial. «Plusieurs pays constatent un regain et, au cours des quatre dernières semaines, 14 000 personnes ont succombé à cette maladie» a-t-il ajouté.

Quelle est cette bonne nouvelle ?

«Le nombre de décès causés par le Covid-19 a chuté de 95% depuis le début de l’année», a annoncé Tedros Adhanom Ghebreyesus. En France, le Covid a fait 215 victimes en 7 jours mi-avril. Il s’agit du nombre de victimes le plus haut depuis le 1er février 2023. Dans la grande majorité, les personnes ont plus de 60 ans.

Le Covid-long touche 1 personne sur 10

Selon l’OMS, les pays doivent désormais gérer le post-Covid et le Covid-long. Cette affection chronique, qui peut être invalidante, touche une personne infectée sur dix. Au niveau mondiale, cela se traduit par des centaines de millions de personnes qui ont besoin d’une prise en charge médicale et paramédicale de longue durée.

Covid-long : la dépression reconnue comme symptôme

En France, Santé publique France estime que 30% des personnes infectées par le Covid développent un Covid long. Environ 2 millions de Français seraient touchés par cette affection chronique. L’anxiété, la dépression et les troubles psychiatriques viennent d’être reconnus comme symptômes du Covid long par la Haute-autorité de santé. Ces symptômes s’ajoutent la fatigue chronique, aux douleurs et à la dyspnée (difficultés respiratoires).
Sources : OMS, Santé publique France

Lechercheur



Le virus circule toujours en France et continue de faire des victimes chaque jour.  Sur les 30 derniers jours, 750 personnes sont décédées du Covid. Faut-il craindre une nouvelle vague ?


«TOUJOURS DES HOSPITALISATIONS, DES DÉCÈS LIÉS AU COVID»

«L’immunité globale est presque là, mais il y a toujours des hospitalisations, des décès liés au Covid», a souligné Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée auprès du ministre de la Santé. La fin de l’urgence sanitaire et de l’obligation des tests a rendu le suivi de l’épidémie plus difficile.  Selon La Dépêche du Midi, un peu plus de 30 000 dépistages sont désormais quotidiennement comptabilisés en France, contre 450 000 avant l’été 2022. 18% de ces tests sont positifs.

Nouvelle vague ?


La dixième vague a eu lieu en avril avec un pic à la fin du mois d’avril. «Il y a quand même 400 hospitalisations par jour de patients avec le Covid. Ça veut dire aussi des personnes qui vont aller en réanimation et plus de 20 décès par jour du Covid», alertait le 29, le Dr Damien Mascret sur le plateau de France Télévisions. Aujourd’hui, les autorités sanitaires surveillent le nouveau sous-variant, Arcturus, responsable d’une nouvelle vague en Inde en début d’année.




26 décès chaque jour


Selon les derniers chiffres de Santé publique France du 4 mai dernier, 26 personnes meurent chaque jour à cause duCovid-19. Sur les 30 derniers jours, l’organisme recense 759 décès liés au virus. Les victimes sont, majoritairement, âgées de plus de 60 ans.


Source : Santé publique France






  • Covid long : le virus se cache dans les muqueuses
  • Covid-19 : le nouveau variant Arcturus détecté en France
  • Covid : une bonne nouvelle annoncée 




Vaccination COVID
en FRANCE



154 448 790 doses injectées au total
674 personnes se sont fait vacciner aujourd'hui
54 673 331 personnes ont reçu au moins 1 dose
53 187 098 personnes ont reçu 2 doses



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Lechercheur



ACTUALITÉ
"Le Covid-19 n'a pas disparu", prévient l'OMS-Europe
upday[size=13]27 juin 2023, 13:00






Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 GettyImages-1212849238_ju0rs9
Le Covid-19 fait encore près de 1.000 morts en Europe chaque semaine. (Getty)
Si le Covid-19 n'est plus une urgence de santé publique mondiale, pas question pour autant de baisser la garde, a rappelé mardi 27 juin le bureau européen de l'OMS. La maladie fait encore près de 1.000 morts en Europe chaque semaine.
[/size]



Il ne faut pas baisser la garde face au Covid, responsable d'un millier de morts chaque semaine en Europe, a prévenu mardi 27 juin le bureau européen de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). "Même s'il ne s'agit plus d'une urgence de santé publique mondiale, le Covid-19 n'a pas disparu", a dit le directeur régional, Hans Kluge, lors d'une conférence de presse.
L'OMS a déclaré le 5 mai que la pandémie de Covid-19 ne constituait plus une urgence sanitaire mondiale. "Près de 1.000 nouveaux décès dus au Covid-19 continuent de se produire chaque semaine dans la région", a-t-il toutefois relevé.

Josué

Josué
Administrateur

[size=42]Le Mot : Eris[/size]

8 août 2023 23 h 41 min


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Le-Mot-Eris-e1691530779849
[size][size][url][/url]
 [/size]
C’est le nom du « nouveau variant du COVID-19 détecté en France » qui causerait la « hausse des contaminations » censément en cours, selon l’OSCOUR (Organisation de la surveillance coordonnée des urgences). C’est du moins ce que pensent « les scientifiques ». La souche EG.5 surnommée Eris (car les souches Covid ont des surnoms, comme les ouragans) apparaîtrait dans 35 % des analyses effectuées sur les patients suspects de covid, selon le GISAID (un autre acronyme qui désigne un autre organisme qui suit le covid). Eris toucherait aussi fortement l’Angleterre et les Etats-Unis depuis la dernière semaine de juillet. EG.5 alias Eris serait un sous-variant de XBB, lui-même de Omicron selon l’Institut supérieur de la santé italien. Bref, Eris est partout et tout le monde en parle, mais, selon Antoine Flahault, directeur de l’Institut de santé globale de Genève, il « semble plus transmissible que les variants XBB », mais « n’est pas associé à une symptomatologie ni à une virulence particulière ». En d’autres termes, c’est un rhume mondial. Eris, les bons élèves s’en souviendront, est la deuxième personne du futur de l’indicatif du verbe sum en latin, il signifie « tu seras ». Tu seras l’objet d’une propagande incessante, à la fois toujours la même et renouvelée : comme l’été sur la plage les gens n’ont pas trop envie qu’on les bassine avec des questions de genre ni de racisés, et que la pluie et la neige ont liquidé la galéjade de la plus grosse canicule du quaternaire, il ne restait plus que le covid pour amuser la galerie.[/size]

Lechercheur



Covid : la France presque aveugle face au retour du virus, par le Pr Gilles Pialoux
Les outils de suivi de l’épidémie ont quasiment tous été démantelés, alors que le virus n’est jamais avare de surprises, regrette notre chroniqueur.

Josué

Josué
Administrateur

Le nouveau variant BA.2.86, surnommé Pirola a été identifié pour la première fois en France. Pourquoi ce variant est-il très surveillé ? Quels sont les symptômes ? Est-il plus contagieux ?

1.Le variant Pirola très surveillé

Le variant Pirola ou BA.2.86 vient d’être détecté en France. Il est surveillé attentivement par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En effet, le variant Pirola comporte un très grand nombre de mutations du gène Spike qu’il porte (36 mutations). La protéine Spike donne au virus son aspect hérissé. Cette protéine permet au Sars-CoV-2 de pénétrer dans les cellules de l’organisme.

2.Le variant Pirola serait plus contagieux

Son grand nombre de mutations rend le variant Pirola «susceptible d’évoluer de façon plus importante et de se répandre plus facilement», a rappelé Brigitte Autran la semaine dernière. Elle est présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires (Covars). Selon les autorités sanitaires américaines, «il est trop tôt pour savoir si ce nouveau variant cause une plus grande sévérité de la maladie par rapport aux autres variants».

Découvrez aussi :  Covid : faut-il craindre un rebond à la rentrée ?

Josué

Josué
Administrateur


[size=32]Covid-19 : la date de la campagne vaccinale est connue


Par
 devadmin
 -
 30 août 2023 
5093
 
0

[/size]






[url=https://api.whatsapp.com/send?text=Covid-19+%3A+la+date+de+la+campagne+vaccinale+est+connue %0A%0A https://news-sante.fr/covid-19-la-date-de-la-campagne-vaccinale-est-connue/][/url]

[url=https://api.whatsapp.com/send?text=Covid-19+%3A+la+date+de+la+campagne+vaccinale+est+connue %0A%0A https://news-sante.fr/covid-19-la-date-de-la-campagne-vaccinale-est-connue/][/url]

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Lsaq-43536_covid-vaccination-date-640x427
Les cas de Covid repartent à la hausse avec une augmentation de 41% par rapport à la semaine précédente. Les autorités sanitaires viennent d’annoncer la date de la nouvelle campagne de vaccination.

Augmentation des cas Covid dans toute la France

[size]
Santé publique France (SPF) constate une augmentation du nombre de passages aux urgences pour suspicion de Covid-19 entre le 14 et le 20 août de +41% par rapport à la semaine précédente. SOS Médecins observe aussi une augmentation de 41% d’actes médicaux pour suspicion de Covid cette même semaine. Le virus du Covid-19 circule dans toutes les régions[/size]

Josué

Josué
Administrateur

Avec l'arrivée de l'automne et le risque d'une recrudescence du Covid-19, les vaccins ARN contre le SARS-CoV2 sont redevenus l'objet de polémiques acharnées, surtout autour des injections de rappel (particulièrement controversées lorsqu'il s'agit d'enfants) et des effets adverses des vaccins. Plus que jamais, on a l'impression d'assister à un affrontement entre deux camps diamétralement opposés. Pour les uns, la santé publique serait surtout menacée par les « anti-vax », jugés coupables d'avoir promu « l'hésitation vaccinale » (et donc la mort) par la désinformation. Pour l'autre camp, par contre, ce sont les autorités sanitaires et politiques elles-mêmes qui auraient imposé des produits dangereux à grande échelle contre les normes internationalement respectées de l'éthique médicale, en particulier dans le domaine du consentement éclairé.
Le débat est particulièrement âpre aux USA, avec de forts accents politiques. Selon une enquête récente pour Rasmussen Reports, 79 % des démocrates considèrent les vaccins Covid-19 comme sûrs, contre 38 % des républicains. Le concepteur de vaccins Peter Hotez a accusé le parti républicain de « rhétorique anti-science », affirmant que « 200 000 Américains [ayant refusé la vaccination contre le Covid-19 ] sont morts à cause d'une agression anti-scientifique coordonnée ». Un point de vue pourtant fortement contesté par d'autres scientifiques et médecins des deux côtés de l'Atlantique, parmi lesquels les 18871 signataires de la déclaration de l'International Covid Summit, dont la prochaine réunion se tiendra à Bucarest en novembre. Pour ces derniers, ce sont les défaillances de la pharmacovigilance et une campagne injustifiée visant les traitements précoces contre le Covid-19 qui seraient responsables d'autant, sinon plus de décès que ceux allégués par Hotez.
D'où pourrait venir l'arbitrage entre ces points de vue tellement polarisés ? Sans prétendre pouvoir trancher définitivement, signalons au moins quelques développements potentiellement significatifs :
Les scientifiques reconnaissent de plus en plus la réalité d'effets indésirables graves après la vaccination, bien que leur fréquence fasse encore l'objet de débats intenses. Il s'agit notamment du décès par myocardite (risque ajouté par la Commission européenne à la notice accompagnant le vaccin actuel de Pfizer) ainsi que l'existence chez certaines personnes vaccinées d'une perturbation ressemblant au « Covid long ».
Au niveau étatique, l'idée de l'indemnisation des victimes de ces effets semble faire son chemin. La Corée du Sud a par exemple décidé d'assouplir considérablement ses exigences en matière d'indemnisation : les familles des personnes décédées dans les 90 jours suivant la vaccination (cause de décès « non-établie ») peuvent désormais prétendre à un versement de l'état équivalent à 20 000 €, soit 3 fois le montant antérieur.
Si certains estiment que, jusqu'à maintenant, les articles critiquant les vaccins Covid-19 ont été censurés, mais de telles publications commencent néanmoins à paraître dans des revues à comité de lecture. On aborde notamment des sujets tels que les réactions inflammatoires auto-immunes aux vaccins Covid-19 ou la possibilité d'une immunosuppression post-vaccinale. On note également la parution dans le journal Vaccine d'une étude critique, basée sur une méthodologie approuvée par l'OMS, des données des essais cliniques (Pfizer/Moderna), remettant en question le rapport bénéfice-risque affirmé.
- 3 laboratoires viennent par ailleurs de découvrir des niveaux surprenants de contamination par l'ADN dans les vaccins de Pfizer et Moderna. Ces taux ont été signalés par l'ancien chercheur du Human Genome Project Kevin McKernan, Phillip Buckhaults (Université de Caroline du Sud) et la Pr Brigitte König (Magdeburg Molecular Detection, Allemagne), donnant lieu à une vive discussion. On estime que la contamination découle de la méthode de production massive et accélérée des vaccins qui a utilisé des bactéries e.coli pour générer du matériel génétique. Il n'y a pas encore de consensus sur les risques associés à cette contamination ; il a toutefois été noté que les vaccins produits par la méthode en question (« Processus 2 ») n'ont été testés que sur 250 des 44 000 participants aux essais cliniques de Pfizer. Les données de sécurité à ce sujet sont donc minimes pour l'instant. En Allemagne, cette présence d'ADN - à des niveaux bien supérieurs à ceux autorisés - a été signalée au ministre de la Santé et a fait l'objet d'une protestation au Bundestag, tandis qu'en Australie, une action légale contre Pfizer et Moderna est en cours. On allègue que l'ADN fait entrer les vaccins dans la catégorie des OGM comme définie par la législation australienne ; aucune licence n'ayant été obtenue auprès de l'organisme de réglementation compétent, leur distribution serait donc illégale.
- Enfin, on constate une surmortalité persistante, toutes causes confondues, dans les pays hautement vaccinés, même après la fin de la pandémie. Cause ou corrélation ? Le débat continue...

Peter Bannister

Lechercheur



Comme plusieurs voisins européens, la France a décidé d'avancer sa campagne de rappel vaccinal contre le Covid-19 face à un retour anticipé du virus dans le pays. L'objectif : réduire la circulation des variants grâce à de nouveaux vaccins à ARN messager.

Dans le détail. La campagne cible les plus de 65 ans, les personnes fragiles atteintes de comorbidités et les aidants à leur contact, les femmes enceintes et les résidents d'Ehpad. Il est toutefois possible pour le reste de la population d'y prétendre à condition de justifier d'un délai de six mois minimum depuis la dernière injection ou infection.

Josué

Josué
Administrateur

[size=50]Covid-19 : le retour du masque obligatoire dans certains lieux[/size]

Face une hausse des contaminations de Covid-19 observée ces dernières semaines, cumulées à une augmentation des cas de bronchiolite et de grippe, certains hôpitaux français imposent l'obligation du port du masque. Medisite fait le point sur la situation.










Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Vignette-focusIstock

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Public?itok=bqM8z0ff
Publié par Lise Khaim, le 13/10/2023

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

De plus en plus de gens reportent le masque, la peur revient concernant le convid,

Josué

Josué
Administrateur


[size=32]Covid-19 : obligation du port du masque rétablie dans les hôpitaux


Par
 devadmin
 -
 13 octobre 2023 
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[url=https://api.whatsapp.com/send?text=Covid-19+%3A+obligation+du+port+du+masque+r%C3%A9tablie+dans+les+h%C3%B4pitaux %0A%0A https://news-sante.fr/covid-19-obligation-du-port-du-masque-retablie-dans-les-hopitaux/][/url]

[url=https://api.whatsapp.com/send?text=Covid-19+%3A+obligation+du+port+du+masque+r%C3%A9tablie+dans+les+h%C3%B4pitaux %0A%0A https://news-sante.fr/covid-19-obligation-du-port-du-masque-retablie-dans-les-hopitaux/][/url]

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Lsaq-44968_covid-masque-hopital-640x360
Plusieurs centres hospitaliers ont rétabli l’obligation du port du masque pour se protéger du Covid. Devez-vous aussi porter ce masque en tant que visiteur ? Que risquez-vous si vous n’avez pas de masque ?

Gardez un masque contre le Covid dans votre sac

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Face à la recrudescence des cas de Covid, certains hôpitaux ont rétabli l’obligation de porter un masque. Ils souhaitent également se protéger face à d’autres virus respiratoires comme celui de la bronchiolite qui affecte les tout-petits. C’est le cas par exemple de l’hôpital du Mans qui évoque la «hausse de diverses épidémies d’infections[/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=42]Krash des médicaments anti-covid ?[/size]

19 octobre 2023 16 h 04 min


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Krash-des-medicaments-anti-covid-e1697735510891
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Même Biden n’en veut plus : l’Etat fédéral américain vient de rendre à Pfizer 7,9 millions de doses de Paxlovid, l’antiviral pour adultes contre un covid-19 qui ne demande pas de mise sous oxygène mais peut quand même évoluer vers une forme grave. Et l’accord du groupe pharmaceutique signé avec Washington sonne le glas des superprofits : le bénéfice net par action va passer de la fourchette 3,25 – 3,45 dollars par action à seulement 1,45-1,65. Panique en bourse, l’objectif de ventes annuelles est en baisse de 9 milliards de dollars. Bien sûr, cela touche aussi l’évaluation des stocks : les 5,5 milliards de stocks de produits covid sont dépréciés (4,6 milliards de Paxlovid et 900 millions de vaccin « Cominaty »). Le pactole covid a fini de couler pour Pfizer – et aussi par la société allemande BionTech qui lui est associée à 50/50.[/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=42]Royaume-Uni : un député affirme que les vaccins contre le covid-19 sont la cause principale actuelle de surmortalité[/size]

26 octobre 2023 19 h 08 min


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Royaume-Uni-vaccins-covid-19-surmortalite-e1698339976551
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Les langues se délient toujours plus. Un député britannique a fait valoir, en plein Parlement, que les vaccins expérimentaux contre le covid-19 sont la principale cause de surmortalité dans le monde depuis 2021. Mais la salle était quasi vide… Si ce genre de conclusions arrivent enfin dans les hémicycles, car la vérité finit toujours par sortir, les oreilles pour les écouter sont encore bien peu nombreuses. Les faits ont beau être étayés, les études sérieuses, l’opposition idéologique demeure – jusqu’à quand ?
 

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« Une période de mortalité inattendue, et personne ne veut en parler »

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C’est un fait : il y a eu plus de surmortalité au Royaume-Uni en 2022, que durant la quasi-totalité des sept dernières décennies, selon une analyse du Times. Pourtant, seuls quelques députés se sont présentés, ce 20 octobre, compte tenu du sujet controversé, bien qu’une foule se soit rassemblée dans la tribune publique pour écouter le député Andrew Bridgen.
Neuf mois qu’il réclamait ce débat sur la crise actuelle de la surmortalité, vingt fois un refus lui a été opposé.
« De nombreux pays sont actuellement aux prises avec une période de mortalité inattendue, et personne ne veut en parler », a déclaré cet ancien membre du Parti conservateur. « Nous avons connu plus de décès excédentaires depuis le 21 juillet que pendant toute l’année 2020. Contrairement à la pandémie, cependant, ces décès ne concernent pas de manière disproportionnée les personnes âgées. En d’autres termes, les décès excédentaires frappent des personnes dans la fleur de l’âge. Mais personne ne semble s’en soucier. »
« La plupart des chiffres importants ont été gardés cachés. D’autres données ont été curieusement présentées de manière déformée, et les personnes concernées cherchant à mettre en évidence des résultats importants et à poser des questions se sont retrouvées inexplicablement attaquées. »
 

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La surmortalité après vaccination au Royaume-Uni

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Ce taux de mortalité étonnamment élevé dans tous les groupes d’âge peut être remarqué et quantifié depuis le déploiement des vaccins contre le covid-19. « Il y a eu une augmentation nette et progressive de la mortalité suite au déploiement du vaccin. Il y a eu un répit à l’hiver 2021/22 car il y a eu moins de décès respiratoires que prévu, mais autrement, l’excédent s’est maintenu sans cesse à ce niveau élevé. »
Les seules données des ambulances indiquent un hiatus : les appels d’urgences quotidiens sont passés de 2.000 à 2.500 et sont restés à ce niveau. Les demandes d’indemnités d’indépendance personnelle pour les personnes qui ont développé un handicap et ne peuvent plus travailler ont explosé avec le déploiement du vaccin, et ont continué d’augmenter depuis.
Quant à l’augmentation alarmante des maladies cardiaques, elle a été attestée non seulement en Grande-Bretagne mais dans plusieurs pays : la mortalité après vaccination la plus élevée était observée dans les régions les plus fortement vaccinées. « Depuis 2022, il y a eu un excès de 11 % de décès par cardiopathie ischémique et un excès de 16 % de décès par insuffisance cardiaque », a souligné Bridgen.
Personne, évidemment, pour vérifier dans tous ces cas le statut vaccinal des patients… Chez les scientifiques, comme chez les médias, c’est toujours la grande omerta.
 

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Les vaccins contre le covid-19 ? Des « agents toxiques mortels »

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Et l’idée selon laquelle les vaccins anti-covid auraient permis d’éviter des millions de décès est « basée sur une modélisation réalisée sur la base d’hypothèses erronées ». Non seulement les vaccins covid-19 ne sont pas « sûrs et efficaces », mais « ils sont une folie », a asséné le débuté britannique.
Le phénomène se vérifie, effectivement, au niveau mondial et les études ne manquent pas. Le Dr John Campbell a travaillé, en mai, sur le rapport officiel de Statistique Canada qui rapporte une augmentation de 27 % de décès excédentaires chez les citoyens de moins de 44 ans en 2022. Une augmentation qui n’aurait pas été surprenante en 2020 et 2021, années de pic de l’épidémie, mais la plupart des décès sont survenus en octobre et novembre 2022. Statistique Canada le reconnaît mais évoque seulement, comme hypothèses d’analyse, le variant omicron et des surdoses de drogues…
Plus récemment, en septembre, des chercheurs du groupe canadien Correlation Research in the Public Interest ont découvert que 17 pays analysés, représentant 10,3 % de la population mondiale, n’avaient enregistré aucune augmentation détectable de la mortalité toutes causes confondues après que l’Organisation mondiale de la santé a déclaré une pandémie mondiale le 11 mars 2020 : elle survient, en revanche, après le déploiement vaccinal. Selon eux, le risque de toxicité mortelle par injection augmentait de manière significative avec l’âge, mais atteignait en moyenne 1 décès pour 800 injections, tous âges et tous pays confondus.
« Cela correspondrait à un événement iatrogène de masse qui aurait tué 17 millions de personnes, soit 0,213 % de la population mondiale, et n’aurait empêché aucun décès de manière mesurable. »
D’un côté, on a minimisé à l’extrême, voire occulté les effets « secondaires » des vaccins, et de l’autre, on a maximisé les effets mortels du Covid, en liant de manière abusée et erronée des décès à ce dernier. Le résultat ressemble à une immense arnaque.
De la manipulation des chiffres…
 

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Clémentine Jallais

papy

papy

Un sujet "inflammable et épidermique". Depuis bientôt quatre ans, le Covid long suscite de très vifs débats dans la communauté médicale et scientifique. Une véritable guerre de tranchées même, entre les spécialistes qui voient dans ces troubles persistants une maladie psychosomatique sans cause physique avérée, et ceux pour qui il s’agit d’une véritable pathologie organique. Avec au milieu, des centaines de milliers patients, ballottés par ces incertitudes, et bien souvent très mal accompagnés.

C’est pourquoi l’avis rendu aujourd’hui par le Covars (Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires) est essentiel. Après six mois de travail, la consultation de toute la littérature scientifique sur le sujet, et des dizaines d’auditions, ses experts espèrent enfin trancher le débat. Pour eux, il n’y a plus aucun doute à avoir : le Covid long est bien une authentique maladie, qui doit bénéficier d’une prise en charge digne de ce nom. Bien sûr, comme toujours en médecine, il existe des nuances, et le Covars n’exclue pas la dimension psychologique de la pathologie, a fortiori chez des malades jusqu’ici maltraités par le système de santé. Mais pour ses experts, la priorité doit à présent aller à l’amélioration de l’offre de soins à destination de ces malades.

Lechercheur



bronchites ou les bronchiolites.


A lire aussi : Covid-19 : après les vaccins, les scientifiques s'intéressent de près aux anticorps pour bloquer les infections virales

Ils ne disparaissent pas au printemps et en été mais sont plus résistants lorsque les températures baissent, comme l'explique François Bailloux, le directeur de l’Institut de génétique de Londres. "Ça s'explique par des facteurs physiques, le Covid est un virus de type enveloppé, il est peu résistant aux UV, il reste plus longtemps en l'air et est donc plus longtemps infectieux lorsqu'il fait froid et humide".


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D'autres facteurs expliquent la résurgence du Covid-19 lorsque le thermomètre baisse, et ceux-là sont purement humains. "Une partie est en effet liée au comportement, en automne et en hiver, on reste davantage à l'intérieur, on aère peut-être un peu moins aussi", comme l'explique l'épidémiologiste.

Pensez à aérer !
Il est donc important de rappeler les bons gestes dont l'aération qui est indispensable au renouvellement de l'air. Il est recommandé d'aérer chaque jour son logement au moins 10 minutes. Par ailleurs, comme face à la grippe, les personnes à risque sont vivement encouragées à se faire vacciner et à se protéger contre le Sars-CoV-2.


A lire aussi : Covid-19 : pourquoi le SARS-CoV-2 est-il plus virulent que les autres coronavirus ?

Face à ces constats et à ces recommandations, une question se pose : le Covid-19 est-il devenu une maladie saisonnière au même titre que le rhume ou l'angine ? Pas vraiment, selon François Bailloux. "On a certes plus de cas en hiver, et ce depuis le début de la pandémie, mais ce n'est qu'avec plus de recul qu'on pourra dire que c'est à partir de l'année X qu'on a basculé", analyse-t-il.


Pour l'OMS, ce point semblait pourtant avoir été atteint au printemps 2023, lorsque Michael Ryan, son chef des programmes d'urgence avait affirmé : "Je pense que nous arrivons au point où nous pouvons considérer le Covid-19 de la même manière que nous considérons la grippe saisonnière, à savoir une menace pour la santé, un virus qui continuera à tuer, mais un virus qui ne perturbe pas notre société ou nos systèmes hospitaliers".

A lire aussi : Covid long : pourquoi ce syndrome post-infectieux risque de coûter des milliards d'euros à l'économie française ?

Mais cet automne, François Bailloux affirme que "le nombre de cas a été une surprise pour les spécialistes". De plus, de nouveaux variants de la famille Omicron se développent. On en parlait il y a quelques jours, le variant Pirola prend de l'ampleur en France. Il est "intrinsèquement plus contagieux", selon l'épidémiologiste.

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Josué

Josué
Administrateur

Coronavirus : le rapport de l’ONU qui annonce la globalisation des solutions en vue d’une société “plus égalitaire et plus inclusive”
9 avril 2020 11 h 26 min
coronavirus ONU solutions globales Antonio Guterres rapport

Il devient difficile de trouver des informations qui parlent d’autre chose que du coronavirus chinois, le COVID-19. Et pourtant : au-dessus de nos têtes, dans les hautes sphères de l’ONU, on ne se focalise pas sur l’épidémie qui a permis de mettre le monde en mode arrêt. Ou pas exactement. L’intérêt du petit ennemi invisible, qui fait que chacun considère son prochain comme un potentiel porteur de mort, est d’avoir rendu la peur universelle. Peur de la maladie et peur du lendemain, alors que le « sang » de l’économie ne circule plus. Comment s’en sortir ? L’ONU a un plan, une feuille de route. Son secrétaire général, Antonio Guterres, a présenté son rapport spécial le 31 mars dernier, avec sa mesure la plus spectaculaire : consacrer plus de 10 % du PIB global à la résolution de la crise présente, sous la houlette des institutions internationales. Une mondialisation massive…

Reinformation.tv présentait il y a quelques jours ce plan de mainmise sur les souverainetés nationales. Mais il faut s’attarder encore un peu sur cette proposition d’Antonio Guterres, ancien président de l’Internationale socialiste. Car celui qui paye commande. Avec 10 % du PIB mondial en mains, on peut imposer sa vision des choses. Quelle est-elle ? Le rapport de l’ONU, intitulé « Responsabilité partagée, solidarité globale : la réponse aux effets socio-économiques du COVID-19 », en dresse un portrait assez détaillé. Dans ce Meilleur des mondes de demain, l’ONU voudrait appliquer le socialisme à grande échelle : socialisme au sens de redistribution des revenus à l’échelle mondiale et dépendance de tous à l’égard de l’Etat – une dépendance aux allures de soumission.


La réponse « coordonnée et globale » au coronavirus

Cela vous paraît-il invraisemblable ? Voici pourtant ce que dit le rapport de l’ONU :

« Une réponse multilatérale à grande échelle, coordonnée et globale, représentant au moins 10 % du PIB mondial, est plus que jamais nécessaire. Cette crise est véritablement mondiale. Il est dans l’intérêt de tous de veiller à ce que les pays en développement aient les meilleures chances de gérer cette crise, sans quoi COVID-19 risque de devenir un frein durable à la reprise économique. »

Et cela doit se faire par le biais d’organisations internationales : « Le 13 mars, l’OMS, la Fondation pour les Nations unies et la Fondation suisse pour la philanthropie ont lancé le premier fonds de solidarité COVID-19, qui permet aux particuliers, aux entreprises et aux institutions du monde entier de se réunir pour contribuer directement aux efforts d’intervention mondiaux. » Autrement dit, un outil est déjà en place sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé qui souffle le froid et le chaud dans cette affaire tout en présentant la Chine comme le modèle de la réponse au coronavirus.

Tout cela doit servir à une redistribution des richesses. Il faudra « un soutien financier et technique maximal pour les personnes et les pays les plus pauvres et les plus vulnérables, qui seront les plus durement touchés », mais ce soutien ne saurait être celui de pays à pays. Le rapport poursuit en effet : « Compte tenu de l’ampleur des relations économiques et sociales et des échanges commerciaux dans le monde, la force de notre système de santé ne peut être supérieure à celle du système le plus faible. »


L’ONU brandit toutes les peurs

C’est une autre manière de jouer sur la peur. On suggère ici que l’insuffisance des systèmes de santé dans les pays pauvres réduira d’une certaine manière à néant les efforts des pays mieux équipés pour protéger leurs populations.

Sur le plan socio-économique qui forme l’essentiel de la trame du rapport de l’ONU, l’accent est mis sur l’assurance maladie universelle, l’assurance chômage idem, et un gigantesque plan de relance globale « pour éviter les faillites et les pertes d’emploi massives ». Etatisation, refus de toute organisation différente, voire privée, au niveau des Etats souverains.

« Cela signifie également qu’il faut concevoir des réponses fiscales et monétaires pour que le fardeau ne retombe pas sur les pays qui peuvent le moins le supporter », poursuit le rapport. Autrement dit, prélever fiscalement des fonds chez les pays les plus riches pour les redistribuer aux plus pauvres en vue de mettre en place un Etat-providence universel.

A circonstances exceptionnelles, réponse exceptionnelle, direz-vous. La peur d’une part, mais aussi un sentiment naturel de pitié envers ceux qui souffrent le plus d’une situation, peuvent être de puissants moteurs de révolution. La question ici est aussi de savoir dans quelle mesure la situation aurait pu être évitée, ou présentée d’une autre manière – nous y reviendrons ultérieurement.


Le rapport de l’ONU, une réitération des ODD de 2030

A cet égard, il est intéressant de constater que l’ONU estime déjà avoir les principales réponses. Au premier rang d’entre elles, la réalisation de ses objectifs du développement durable (ODD) de 2030 – dont reinformation.tv présentait déjà l’orientation socialiste et fasciste en janvier 2016 – est présentée comme la panacée. Avec la prise en compte, bien sûr, des exigences de la lutte contre le « changement climatique ». Vous ne voyez pas le lien entre le COVID-19 et le « réchauffement » ? Cela n’a pas d’importance. L’important, c’est d’y croire.

Face au coronavirus, affirme le rapport, c’est le retard pris à mettre en œuvre les ODD qui explique pour partie nos malheurs actuels : « Si nous avions progressé davantage dans la réalisation des objectifs de développement durable et de l’accord de Paris sur le changement climatique, nous pourrions mieux faire face à ce défi – avec des systèmes de santé plus solides, moins de personnes vivant dans l’extrême pauvreté, moins d’inégalités entre les sexes, un environnement naturel plus sain et des sociétés plus résistantes. »

Plus loin, le rapport insiste : « Nous savons déjà ce que nous devons faire. Cela a été exposé dans la feuille de route mondiale pour l’avenir – l’Agenda 2030, les objectifs de développement durable et l’accord de Paris sur le changement climatique. Les pays doivent faire preuve de détermination pour progresser dans la mise en œuvre de ces engagements communs, notamment en ce qui concerne les investissements dans les ressources humaines, les systèmes de santé et de protection sociale, et saisir l’occasion de mettre en place une économie plus verte et plus inclusive. Ces objectifs doivent façonner notre réponse et notre reprise, en jetant les bases de personnes et de sociétés résilientes. »


Changement de société : le COVID-19 doit la rendre plus « égalitaire et inclusive »

Josué

Josué
Administrateur


[size=32]Chine : une nouvelle épidémie de maladies respiratoires inquiète l’OMS


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 devadmin
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 28 novembre 2023 
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[url=https://api.whatsapp.com/send?text=Chine%C2%A0%3A+une+nouvelle+%C3%A9pid%C3%A9mie+de+maladies+respiratoires+inqui%C3%A8te+l%E2%80%99OMS %0A%0A https://news-sante.fr/chine-une-nouvelle-epidemie-de-maladies-respiratoires-inquiete-loms/][/url]

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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Chine-epidemie-respiratoire-768x432-1-640x360
L’Organisation mondiale de la santé a réclamé «des informations détaillées» aux autorités chinoises sur une nouvelle épidémie respiratoire. Que sait-on de cette maladie ? Qui touche-t-elle ?

Une nouvelle « pneumonie virale » ?

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Dans un communiqué du 22 novembre, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a pointé une hausse récente des cas de maladies respiratoires en Chine. Un épisode qui rappelle celui du Covid il y a quatre ans qui a commencé comme une « pneumonie virale« . L’OMS «a adressé une demande officielle à la Chine pour obtenir des informations détaillées» sur cette maladie respiratoire.
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La bactérie à l’origine de cette infection est connue

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Les hôpitaux de Pékin et du Nord de la Chine sont débordés par une hausse d’infections respiratoires provoquées par la bactérie mycoplasma pneumaniae. Le programme de surveillance mondial des maladies ProMed, de la Société internationale pour les maladies infectieuses, évoque «une épidémie de pneumonie»
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Fièvre et infections pulmonaires

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ProMed rapporte le cas de plusieurs hôpitaux «submergés d’enfants malades avec de la fièvre et présentant des nodules pulmonaires. En effet, la bactérie mycoplasma pneumoniae entraîne des infections courantes touchant les enfants. Les symptômes caractéristiques sont : un mal de gorge, de la toux et de la fièvre, ainsi qu’un mal de tête, précisent les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). La bactérie provoque parfois des infections pulmonaires plus graves.[/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=39]En Chine, un coronavirus potentiellement mortel créé en laboratoire ? Récit d’un emballement
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La vérif' scientifique. Plusieurs articles mentionnent les travaux d’une équipe chinoise qui aurait manipulé un virus proche du Sars-CoV-2, favorisant sa capacité à infecter des humains. Ces recherches sont pourtant à relativiser.

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Par Yohan Blavignat
Publié le 19/01/2024 à 13:38
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[img(730.6666660000001px,383.66666599999996px)]https://www.lexpress.fr/resizer/YBnIxahQo5UffI-nHszpIJBh1ng=/1200x630/filters:focal(671x379:681x389)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/lexpress/QKVVHEWZ3JE5HP6Y6CES3GSFRQ.jpg[/img]
Un technicien travaille sur des prélèvements de tests Covid dans un laboratoire de Wuhan, le 4 août 2021 en Chine

afp.com/STR

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Le schéma relève du déjà-vu : une étude scientifique paraît parmi des centaines d’autres en ce début d’année 2024. Passé relativement inaperçu dans un premier temps, un article mis en ligne le 4 janvier sur le site BioRxiv affirme qu’un coronavirus découvert sur des pangolins capturés en 2017, cousin du Sars-CoV-2, a été isolé et étudié par des scientifiques de l’Université de technologie chimique de Pékin. Ce dernier, qui diffère légèrement du virus présent dans la nature du fait de son isolement en laboratoire, aurait la capacité d’infecter des cellules humaines et des souris transgéniques humanisées. L’information est partagée dans un premier temps sur X (anciennement Twitter) par plusieurs comptes complotistes avant d’être reprise par le journal britannique Daily MailL’information retenue est la suivante : la Chine a manipulé un coronavirus, ce qui lui aurait conféré une létalité bien plus importante. La machine s’emballe, la nouvelle est partout. Et, jeudi 18 janvier, c’est au tour du Figaro, en France, de s’emparer de cette étude. Pourtant, plusieurs éléments de cet article tendent à minimiser pour le moins cette "découverte".
Pour Florence Débarre, directrice de recherche en biologie de l’évolution
Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Qiotasession


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Josué

Josué
Administrateur




[size=35]Covid-19 : les effets désastreux du confinement en Angleterre[/size]







Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 2129-175705








Il y a quasiment 4 ans, la plupart des pays occidentaux ont adopté une politique de confinement drastique pour juguler l'épidémie du Covid-19. Les éléments sur la genèse de l'épidémie sortent peu à peu – grâce à l'obstination du Congrès américain - sur les mensonges du gouvernement chinois qui avait identifié le virus dès la fin de 2019 (voir l'article du Washington Examiner). À en croire les débats parlementaires britanniques, la leçon principale à retenir pour une prochaine épidémie : confiner plus fort et plus vite… Pourtant la Suède – seul pays européen à avoir refusé d'imposer un confinement à sa population – affiche le plus faible taux d'excès de mortalité de 2020 à 2022 : une augmentation de 4,4% contre 11,1% en moyenne en Europe. Le Royaume-Uni a particulièrement souffert avec plus de 3300 morts par million d'habitants - un taux 25 % au-dessus du chiffre suédois. UnHerd a reçu Andy Cook qui dirige le think tank "Centre for Social Justice" (voir la vidéo en lien) – qui vient de publier une enquête détaillée sur les conséquences du confinement pour les communautés les plus défavorisées d'Angleterre et du Pays de Galles. L'accumulation de données recueillies sur le terrain démontre que le confinement a eu des effets désastreux pour les plus fragiles.
La conclusion principale est que l'ornière dans laquelle se trouvaient ces populations s'est dramatiquement creusée (2'30''). On pouvait pourtant le prévoir : des familles pauvres se sont retrouvées isolées. Les problèmes de violence domestique se sont amplifiés (les appels vers les centres d'aide ont explosé avec +700 % pendant le confinement), les enfants ayant du mal à l'école sont partis à la dérive. Et surtout… On n'observe aucune amélioration depuis 2022 !
Le coût économique du confinement a été vertigineux : £360 milliards de dépenses en Angleterre et au Pays de Galles (419 milliards d'euros). Un record alors qu'au final les inégalités n'ont fait qu'augmenter. Dans le monde du travail, on observe (6') une montée en flèche des arrêts maladie : on compte aujourd'hui 2,6 millions de personnes arrêtés pour une longue durée – 20 % en plus depuis le début de l'épidémie. Et il est extrêmement difficile de les faire revenir au travail : c'est une ornière confortable dans laquelle se trouvent des personnes dont les situations varient grandement. Si l'augmentation pendant l'épidémie n'est pas surprenante, il n'y pas eu de décrue depuis…
La santé mentale est particulièrement problématique chez les enfants : les diagnostics de troubles mentaux ont explosé passant d'1 enfant sur 9 à 1 enfant sur 6. L'estimation est qu'à ce rythme on devrait atteindre 1 enfant sur 4 d'ici 2030. Les statistiques (10'30'') font remonter qu'un quart des jeunes adolescents sont touchés. Si la télévision montrait tous les jours le nombre d'accidents de la route, comme elle l'a fait pour les infections et les décès dus au Covid, on se retrouverait avec de nombreuses personnes refusant de prendre leur voiture, voire de sortir de chez elles. L'impact mental du martellement sur le Covid pendant le confinement ne doit pas nous étonner…
Le mode de communication infantilisant et anxiogène ( « Soit on sauve des vies, soit on sauve l'économie » ) a conduit à sacrifier nos concitoyens les plus fragiles. De 65 000 enfants déscolarisés (absents au moins 50 % du temps), on est passé à 140 000 enfants « fantômes » (+134 % d'absentéisme au total). Un sondage (de Public First) démontre que les parents de ces classes populaires ne se considèrent plus responsables d'assurer la présence de leurs enfants à l'école et qu'une semaine de 4 jours au travail (au lieu de 5 normalement) est acceptable.
Les morts par overdose de méthadone (qui sert à remplacer l'héroïne lors d'un sevrage) ont suivi une courbe similaire. Comme le fentanyl aux États-Unis, la méthadone est encore plus addictive que la drogue qu'elle remplace. Les statistiques montrent une forte augmentation de sa distribution pendant le confinement pour aider les drogués à tenir que – là encore – la vague n'est pas retombée. On a en fait enchaîné des milliers de personnes à un produit hautement toxique.
Le confinement a aussi étranglé le système judiciaire déjà sous tension (21'). La justice a été « mise en pause » pendant cette période et c'est évidemment dans les quartiers où l'activité criminelle fait le plus de dégâts que les effets sont les plus délétères.
Les familles vivant dans des logements temporaires (payés par l'État) y sont restées après la fin du confinement (24') rendant – par exemple – l'intégration d'immigrants dans la société britannique encore plus difficile.
Le confinement a cassé des ressorts essentiels de nos sociétés – comme le révèle cette enquête. C'est la pire des réponses possibles… Or, il est surprenant de voir que les gouvernements ne semblent pas vouloir analyser la réalité de ses effets. La Suède, un pays voisin, a fait le bon choix et son mode de gouvernement est démocratique – contrairement au Parti Communiste Chinois qui a inspiré de nombreux pays…


Ludovic Lavaucelle



















Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 5aa8d18c-5608-4861-9f01-86d8f4b42585t








Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 2129-175705









Pour aller plus loin :

Andy Cook: How lockdowns broke Britain

>>> Voir l'interview sur UnHerd






Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 15baeb61-f943-493f-826f-0cb80c40d338 Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 X-twitter








Invité


Invité

J’ai été à l’hôpital hier,
Oui au Canada et il faut porter un masque à cause du Coronavirus COVID-19
J’ai dit que le COVID c’était terminer
Ils m’ont répondu qu’il y avais plusieurs employés et habitant de la régions qui ont contracté la COVID-19
Il partais que c’est la seul hôpital qui a eu cette hordonance du port du masque des l’arriver sur les lieux et les même règle que pendant la pandémie,
J’etait très surpris, mais je devais porter moi aussi le masque pour circuler dans l’hôpital …

papy

papy


[size=32]Chine : une nouvelle épidémie de maladies respiratoires inquiète l’OMS


Par
 devadmin
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 28 novembre 2023 
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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Chine-epidemie-respiratoire-768x432-1-640x360
L’Organisation mondiale de la santé a réclamé «des informations détaillées» aux autorités chinoises sur une nouvelle épidémie respiratoire. Que sait-on de cette maladie ? Qui touche-t-elle ?

Une nouvelle « pneumonie virale » ?

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Dans un communiqué du 22 novembre, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a pointé une hausse récente des cas de maladies respiratoires en Chine. Un épisode qui rappelle celui du Covid il y a quatre ans qui a commencé comme une « pneumonie virale« . L’OMS «a adressé une demande officielle à la Chine pour obtenir des informations détaillées» sur cette maladie respiratoire.
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La bactérie à l’origine de cette infection est connue

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Les hôpitaux de Pékin et du Nord de la Chine sont débordés par une hausse d’infections respiratoires provoquées par la bactérie mycoplasma pneumaniae. Le programme de surveillance mondial des maladies ProMed, de la Société internationale pour les maladies infectieuses, évoque «une épidémie de pneumonie»
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Fièvre et infections pulmonaires

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ProMed rapporte le cas de plusieurs hôpitaux «submergés d’enfants malades avec de la fièvre et présentant des nodules pulmonaires. En effet, la bactérie mycoplasma pneumoniae entraîne des infections courantes touchant les enfants. Les symptômes caractéristiques sont : un mal de gorge, de la toux et de la fièvre, ainsi qu’un mal de tête, précisent les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). La bactérie provoque parfois des infections pulmonaires plus graves.
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Josué

Josué
Administrateur

Une nouvelle étude japonaise fait le lien entre la vaccination covid et la surmortalité due au cancer
23 avril 2024 21 h 12 min
vaccination covid surmortalité cancer


Aux termes d’une nouvelle étude japonaise publiée le 8 avril dans la revue Cureus, il existe une « augmentation statistiquement significative » du nombre de morts par cancer après réception d’une troisième dose de vaccins ARNm contre le covid-19. Les chercheurs évoquent en particulier le fait que ces vaccins covid provoquent une immunosuppression et le réveil de virus latents dans le corps humain.

L’étude portait sur les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge pour plusieurs types de cancers entre 2020 et 2022, à partir des données du gouvernement japonais. « Aucune surmortalité significative n’a été observée au cours de la première année de la pandémie (2020) », indique l’étude.

« Cependant, une certaine surmortalité par cancer a été observée en 2021 à la suite de la vaccination de masse avec les premières et deuxièmes doses de vaccin ; une surmortalité significative a été observée pour tous les cancers et certains types spécifiques de cancer (y compris le cancer de l’ovaire, la leucémie, le cancer de la prostate, le cancer des lèvres, de la bouche et du pharynx, le cancer du pancréas et le cancer du sein, tous sensibles aux œstrogènes et au récepteur alpha des œstrogènes, ERα) après la vaccination de masse avec la troisième dose en 2022. » Une autre étude a montré que la protéine spike dont la fabrication est déclenchée par les vaccins ARNm à nanoparticules de lipides se lie spécifiquement à ERα et augmente l’activité transcriptionnelle de celui-ci.



La vaccination anti-covid multidoses concerne plus de deux tiers des Japonais
La surmortalité s’est révélée plus importante en 2022 qu’en 2021. La quasi-totalité des vaccins covid en cause étaient à base d’ARNm à nanoparticules de lipides, 78 % d’entre eux étant des vaccins Pfizer et les 22 % restants des vaccins Moderna. A eux deux, ils représentent plus de 99,9 % des vaccins covid administrés au Japon.

Il est à noter que le déploiement des vaccins covid a coïncidé avec une interruption et un ralentissement de la baisse des taux de mortalité par cancer observée dans tous les groupes d’âge au cours de la décennie précédente, notamment les plus tueurs : la baisse de la mortalité liée aux cancers du poumon, colorectaux, de l’estomac et du foie en particulier a ralenti en 2021 et 2022.

Les auteurs de l’étude signée Gibo M, Kojima S, Fujisawa A, et al. ont souligné que les changements survenus en 2020 peuvent être attribués à l’ampleur des confinements qui ont entraîné des retards et des annulations d’opérations chirurgicales et d’autres traitements contre le cancer, mais ils identifient néanmoins plusieurs liens de causalité potentiels entre les vaccins et les décès dus au cancer en 2021 et au-delà.



La surmortalité due au cancer, pas aux confinements
« Certaines études ont montré que les réponses à l’interféron de type I (INF), qui jouent un rôle essentiel dans l’immunosurveillance du cancer, sont supprimées après la vaccination SARS-CoV-2 mRNA-LNP », écrivent-ils. « Il a été démontré que le vaccin SARS-CoV-2 provoque une immunosuppression et conduit à la réactivation de virus latents tels que le virus de la varicelle et du zona (VZV, herpèsvirus humain 3 ; HHV3) ou l’herpèsvirus humain 8 (HHV8) dans certains cas », ajoutent-ils. « Ces phénomènes pourraient également contribuer à expliquer la surmortalité due au cancer des lèvres, de la bouche et du pharynx en 2022, lorsque la vaccination de masse avec la troisième dose et les doses ultérieures était en cours. »

Les chercheurs ont donc conclu que ces « augmentations particulièrement marquées des taux de mortalité de ces cancers sensibles aux ERα pourraient être attribuables à plusieurs mécanismes de la vaccination ARNm-LNP plutôt qu’à l’infection par le covid-19 elle-même ou à une réduction des soins d’oncologie en raison des confinements ». L’importance de cette possibilité justifie des études plus approfondies, selon les chercheurs.

Le Japon fait partie des pays où la prévalence de la vaccination anti-covid est la plus haute : ainsi 68 % de la population y ont reçu la troisième dose et la vaccination de masse est actuellement en cours avec la 7e dose…



La vaccination covid à ARNm laisse plus de traces que le covid lui-même
L’étude japonaise rappelle par ailleurs que les vaccins Pfizer et plus encore Moderna contiennent un nombre de molécules équivalent à entre un tiers et 1,1 fois le nombre de cellules du corps humain, et que les nanoparticules de lipides se retrouvent dans différents organes, en particulier le foie, la rate, la glande surrénale, l’ovaire et la moelle osseuse ; on a retrouvé des protéines spike recombinants spécifiques au vaccin dans le sang de 50 % des vaccinés et ils y étaient toujours détectables entre 3 et 6 mois plus tard. A l’inverse, on n’a trouvé la protéine spike virale dans le sérum des personnes infectées que pendant 10 à 20 jours, y compris chez les plus malades, rappellent les chercheurs. Ceux-ci invoquent encore d’autres études montrant une plus forte incidence de l’infection aux nouvelles formes de covid chez les vaccinés ayant reçu plusieurs doses.

Ayant noté que l’une des plus fortes causes de mortalité liée au cancer est la thrombose, ils estiment qu’« il est raisonnable de supposer que la tendance supplémentaire à la formation de thromboses observée avec le vaccin ARNm-LNP pourrait être extrêmement dangereuse ». Cette tendance pourrait expliquer la surmortalité constatée après la vaccination de masse, assurent-ils.

Mais les chercheurs insistent pour dire que plusieurs mécanismes, parmi lesquels ceux évoqués ci-dessus, sont susceptibles d’être en cause.

Raison de plus pour rester prudent face à une nouvelle molécule : les constatations faites par les scientifiques japonais – Miki Gibo, Seiji Kojima, Akinori Fujisawa, Takayuki Kikuchi et Masanori Fukushima – viennent rappeler l’importance d’avoir du recul. Leur étude ne porte au demeurant que sur les deux premières années de la campagne de vaccination ; que nous réserve l’avenir ?



Anne Dolhein

Josué

Josué
Administrateur

Vaccin covid : AstraZeneca reconnaît un effet secondaire « rare » mais grave
29 avril 2024 18 h 34 min
Vaccin covid AstraZeneca secondaire


Pour la première fois, le fabricant du vaccin anti-covid AstraZeneca a reconnu que cette injection peut provoquer un syndrome de thrombose avec thrombocytopénie, c’est-à-dire la formation de caillots sanguins accompagnée d’un déficit de plaquettes sanguines. Le géant pharmaceutique, dans une apparente volte-face selon le Telegraph de Londres, a fait cet aveu dans des documents judiciaires en lien avec une action collective engagée par 51 victimes ou ayants-droits devant la Haute Cour de Londres après des lésions graves et des décès survenus à la suite de la vaccination.

Cet aveu ouvre potentiellement la voie à d’importantes indemnisations puisque les victimes réclament des dommages et intérêts estimés à 100 millions de livres sterling (environ 117 millions d’euros). Fait remarquable, le gouvernement britannique (c’est-à-dire le contribuable) s’est en principe engagé à prendre en charge les frais de justice du laboratoire, même s’il a pour l’instant refusé d’intervenir.

Le premier dossier à avoir été déposé est celui de Jamie Scott, père de deux enfants, victime d’une lésion cérébrale permanente après qu’il eut développé un caillot sanguin et une hémorragie au cerveau à la suite de sa vaccination anti-covid en avril 2021. A l’époque, l’hôpital avait appelé sa femme à trois reprises pour lui dire qu’il allait mourir. Jamie Scott a survécu, mais ses lésions cérébrales l’empêchent désormais de travailler.



AstraZeneca reconnaît de potentiels effets secondaires graves
Dans un premier temps, AstraZeneca avait répondu en mai 2023 aux avocats de ce père de famille ne pas accepter « que le STT (syndrome de thrombose avec thrombocytopénie) ait été causé par le vaccin à un niveau générique ». Neuf mois plus tard, le laboratoire a soumis à la Haute Cour un document reconnaissant que « le vaccin AZ peut, dans de très rares cas, provoquer un STT », dont « le mécanisme de causalité n’est pas connu ». Il ajoute que ce syndrome peut apparaître en l’absence de vaccin : « Le lien de causalité dans chaque cas individuel devra être établi par des experts. »

Des scientifiques ont identifié pour la première fois un lien entre le vaccin et une nouvelle maladie appelée thrombocytopénie et thrombose immunitaires induites par le vaccin (TTIV) dès mars 2021, peu après le début de la distribution du vaccin Covid-19. « Seule AstraZeneca a mis en doute le fait que l’état de Jamie ait été causé par le vaccin », a déclaré son épouse, Kate, au Telegraph, citant ce constat du monde médical. « Il aura fallu trois ans pour que cet aveu se concrétise. C’est un progrès, mais nous attendons davantage de leur part et de la part du gouvernement. Il est temps que les choses évoluent plus rapidement », a-t-elle ajouté : « La vérité est de notre côté et nous n’abandonnerons pas. »

L’avocate Sarah Moore du cabinet d’avocats Leigh Day, qui a intenté les actions en justice, a commenté : « Il a fallu un an à AstraZeneca pour admettre officiellement que son vaccin peut provoquer des caillots sanguins dévastateurs, alors que ce fait est largement accepté par la communauté clinique depuis la fin de l’année 2021. Dans ce contexte, il semble malheureusement qu’AZ, le gouvernement et leurs avocats cherchent davantage à recourir à des jeux stratégiques et à accumuler des frais de justice plutôt que de prendre au sérieux les effets dévastateurs de leur vaccin AZ sur la vie de nos clients. »



Vaccin covid : une autorisation précipitée
AstraZeneca vient de publier un communiqué où la langue de bois le dispute au cynisme : « Nous exprimons notre sympathie à tous ceux qui ont perdu des êtres chers ou qui ont signalé des problèmes de santé. La sécurité des patients est notre plus grande priorité, et les autorités réglementaires ont des normes claires et strictes pour garantir l’utilisation sûre de tous les médicaments, y compris les vaccins. Le vaccin AstraZeneca-Oxford a toujours présenté un profil d’innocuité acceptable et les autorités de réglementation du monde entier affirment systématiquement que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques d’effets secondaires potentiels extrêmement rares. »

C’est le discours habituel : on proteste de sa bonne foi, on s’abrite derrière les autorisations publiques (dont la précipitation à mettre les vaccins sur le marché et à en imposer la réception était pourtant évidente) et on regrette les inévitables pots cassés…



Le vaccin covid AstraZeneca a vu son utilisation restreinte
Le vaccin Astra Zeneca est celui qui a vu le plus rapidement reconnaître sa dangerosité potentielle, si bien que son administration aux moins de 40 ans a été interrompue au Royaume-Uni quelques mois après ses premières utilisations tandis que plusieurs pays de l’UE l’ont carrément suspendu. En France, il était réservé aux personnes de plus de 55 ans. L’Agence européenne du médicament a enregistré 1.579 morts à la suite d’une vaccination covid AstraZeneca, sans confirmer la relation de cause à effet.

Au Royaume-Uni, les chiffres officiels de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) montrent qu’au moins 81 décès au Royaume-Uni sont soupçonnés d’être liés à l’effet indésirable qui a provoqué une coagulation chez les personnes qui avaient également un faible taux de plaquettes sanguines, et près de 20 % de ces personnes en sont mortes.

Le gouvernement britannique a effectué 163 versements forfaitaires en indemnisation de dommages causés par des vaccins en février de cette année, dont au moins 158 pour des personnes ayant reçu le vaccin AstraZeneca. A 120.000 livres sterling par dossier, l’indemnisation est jugée « insuffisante » par les victimes ou leurs ayants-droits.



Anne Dolhein

Josué

Josué
Administrateur

[size=42]Covid : les masques n’ont en rien empêché la diffusion d’Omicron[/size]

16 mai 2024 17 h 59 min


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Covid-masques-empeche-Omicron-e1715879014391
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Une étude tout ce qu’il y a de plus mainstream vient de confirmer que les masques n’ont pas empêché la variante Omicron du covid de se répandre, et même que le port du masque, obligatoire entre novembre 2021 et janvier 2022 au Royaume-Uni, avait eu des effets néfastes sur l’immunité des enfants. Réalisée par l’université d’East Anglia sous la direction du Pr Paul Hunter, l’étude a été financée par le National Institute for Health and Care Research (NIHR) et publié par PLOS One.
Il ne s’agit donc pas d’une étude « alternative » menée par des scientifiques mettant en doute les données officielles au sujet du covid et de la gestion de la crise, avec ses multiples aspects liberticides et ses aberrations thérapeutiques. Mais quand ce type de conclusions parvient du camp de la docilité aux « solutions » officielles, elles n’en sont que plus délectables.
On se souviendra de ce qu’en novembre 2021, la variante du covid hautement infectieuse baptisée Omicron avait entraîné dans de nombreux pays, dont la France et le Royaume-Uni, la réintroduction de règles telles que le port de masques, l’auto-isolement, le télétravail et les passeports de vaccination ou sanitaires. Selon l’étude du Pr Hunter, si ce type de mesures avaient permis de ralentir le covid au début de la pandémie, elles n’ont guère eu d’effet sur les taux d’infection après l’arrivée de la première vague d’Omicron.
 

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Covid : la variante Omicron passait de toute façon…

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Et cela est particulièrement vrai pour le port du masque, imposé au Royaume-Uni sous peine d’amende pouvant atteindre les 6.400 livres sterling (près de 7.500 euros). Les chercheurs ont également constaté que le port de masques après la première vague d’Omicron pourrait avoir augmenté le risque pour les enfants d’attraper le covid lors des vagues suivantes, parce qu’ils étaient moins immunisés. Le Pr Hunter explique : « Les personnes qui ne portaient pas de masque ont contracté toutes leurs infections au cours des deux premières semaines [de la vague] et étaient ensuite immunisées, alors que les personnes qui portaient des masques n’étaient pas immunisées parce qu’elles n’avaient pas eu le covid jusqu’à ce moment-là. »
Il affirme néanmoins que les masques ont « retardé la pandémie » en permettant d’attendre la vaccination massive et en déduit qu’ils « ont donc probablement sauvé de nombreuses vies ». Mais d’ajouter : « Une fois que le covid était durablement installé, et certainement dès qu’Omicron est arrivé avec une infectiosité beaucoup plus grande… les masques n’ont finalement été d’aucune valeur pour la plupart des gens. »
Selon les chercheurs de l’University of East Anglia, les masques ont permis une réduction de 19 % des infections au début de la pandémie, mais ils précisent que cela ne tenait pas compte de la variante Omicron, beaucoup plus transmissible.
 

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Omicron n’a pas été empêché de circuler par les masques

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D’après leur étude, les adultes qui ne portaient jamais de masque avaient jusqu’à 30 % de risques supplémentaires d’être infectés, contre 10 % seulement pour les enfants, mais que ces avantages avaient totalement disparu dès le mois de février 2022. Ils suggèrent que les masques n’ont servi qu’à retarder l’infection par le Covid, alors que les personnes qui avaient déjà été exposées au virus jouissaient d’une plus grande immunité.
L’étude affirme également que des facteurs tels que le fait de vivre dans un foyer de quatre personnes ou plus, d’appartenir à une minorité ethnique ou de travailler dans le secteur de la santé et de l’aide sociale étaient tous liés à un risque plus élevé au début de la pandémie, mais que ce risque était devenu négligeable après l’épisode Omicron. A la fin du mois de février 2022, le risque réduit d’infection lié au fait d’être retraité ou de vivre avec une personne de plus de 70 ans avait disparu, tandis que le risque pour les adultes vivant avec des enfants diminuait également.
Précisons que les chercheurs ont travaillé sur les données officielles de l’enquête covid de l’Office for National Statistics de novembre 2021 à mai 2022 (avec toutes les questions qui se posent autour de la réalité des « infections » comptabilisées sur la foi de tests contestables). Ils ont estimé les taux d’infection et posé des questions aux personnes pour savoir quels facteurs pouvaient être liés à un test positif.
Mais le masque continue de séduire
 

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Anne Dolhein

papy

papy

[size=42]Covid-19 : le Kansas poursuit Pfizer pour mensonges à propos de son vaccin[/size]

20 juin 2024 20 h 49 min


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 5 Kansas-Pfizer-mensonges-vaccin-e1718909257594
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On passe au niveau fédéral. Le 17 juin dernier, l’Etat du Kansas a intenté une action en justice contre le géant pharmaceutique Pfizer, l’accusant d’avoir fait des déclarations trompeuses sur la sécurité et l’efficacité de son vaccin contre le Covid-19. A l’initiative : le Républicain Kris Kobach, procureur général de l’Etat. Il a déposé plainte devant le tribunal de district, arguant que Pfizer avait violé la loi de l’Etat sur la protection des consommateurs, en taisant un certain nombre d’informations.
Pointer et faire reconnaître ces mensonges par omission (ou pas) qui avaient pour but de minimiser voire de cacher les innombrables effets secondaires liés aux vaccins ARN est d’ailleurs l’unique manière d’attaquer ces grandes firmes. Car, pour ce qui est des dégâts réels occasionnés aux patients « consommateurs », les laboratoires bénéficient de l’immunité accordée par le gouvernement fédéral américain…
Un procès qui pourrait donc marquer un tournant notable dans la grande bataille contre ces vaccins non seulement discutables mais quasiment imposés, sous le prétexte d’une crise.
 

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Objectif de Pfizer : tromper le public ?

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C’est la loi sur la protection des consommateurs, particulière au Kansas, qui permet d’engager cette poursuite justifiée. Et Kris Kobach compte bien en profiter pour démontrer « l’incapacité de Pfizer à parler honnêtement au public lors de la commercialisation de son vaccin », comme il l’a dit mercredi à Newsmax.
Selon Kobach, le vaccin n’était ni « sûr », ni « efficace », comme l’ont affirmé à plusieurs reprises le laboratoire et son PDG, Albert Bourla, en 2021 : les Kansasais ont été induits en erreur sur les risques de ces injections parce que Pfizer « n’a pas rendu publiques les données sur les événements indésirables de sa propre base de données ». Il « n’a pas non plus révélé que son essai incluait uniquement des individus en bonne santé », ce qui ne lui donnait aucune assurance quant aux personnes immunodéprimées ou autres. Qui plus est, le vaccin n’a jamais arrêté la transmission du virus, comme affirmé par le laboratoire, et n’a jamais protégé contre les différents variants, comme les données l’ont prouvé.
Enfin, cerise sur le gâteau, « la plainte allègue également que Pfizer s’est coordonné avec les responsables des réseaux sociaux pour censurer les discours critiques à l’égard des vaccins contre le covid-19 et a refusé de participer au programme de développement de vaccins du gouvernement fédéral, l’Opération Warp Speed, pour éviter la surveillance du gouvernement », souligne Kobach.
Tous les ingrédients d’un parfait scandale.
 

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Risque accru de « myocardite, péricardite, syndrome de Guillain-Barré et thrombose du sinus veineux cérébral »

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« Pfizer savait que son vaccin contre le covid-19 était lié à des événements indésirables graves, notamment la myocardite et la péricardite, les échecs de grossesse et les décès », affirme le rapport. Comme le note The New American, des documents rendus publics ont révélé que la base de données exclusive sur les événements indésirables de Pfizer avait enregistré 158.893 événements indésirables dans le monde entre le 1er décembre 2020 et le 28 février 2021 et parmi ceux-ci plus de 1.200 types d’événements indésirables d’intérêt particulier (AESI). De plus, Pfizer a enregistré jusqu’à 1.223 décès parmi les personnes vaccinées, « bien qu’il n’ait pas établi de causalité ».
Les problèmes cardiaques constituent le point le plus flagrant. Alors que le PDG de Pfizer déclarait le 18 janvier 2023 qu’ils n’avaient pas décelé, sur ce sujet, « un seul signal [de sécurité] » malgré la distribution de « milliards de doses », de nombreuses autorités disaient déjà, deux ans auparavant, exactement le contraire.
« Quand le ministère de la Défense a analysé les données de son système de santé pour 2021, nous avons découvert que les personnes récemment vaccinées présentaient des taux de myocardite et de péricardite respectivement 2,6 et 2,0 fois plus élevés que ceux qui n’avaient jamais été vaccinés. En outre, dès mars 2021, le ministère israélien de la Santé a contacté les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) au sujet d’un “grand nombre de cas de myocardite et de péricardite chez des jeunes peu après le vaccin Pfizer contre le covid-19” », note le rapport.
Les chercheurs des Centers for Disease Control & Prevention (CDC) des Etats-Unis ont reconnu aussi un « taux de vérification élevé des rapports de myocardite au VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) après une vaccination contre le covid-19 à base d’ARNm ». Et en juin 2021, la Food and Drug Administration (FDA) des Etats-Unis a carrément ajouté un avertissement sur l’étiquette du vaccin concernant la myocardite et la péricardite…
En février dernier, une grande étude menée auprès de 99 millions de personnes et publiée par la revue Vaccine, a confirmé ces risques significativement plus élevés encourus lors des injections de vaccins covid à base d’ARNm.
 

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Des oublis aux mensonges, le Kansas veut rétablir la vérité

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Les femmes enceintes ? Elles ont été exclues des essais cliniques : Pfizer et son partenaire BioNTech ont testé les vaccins sur des rattes gravides… En l’occurrence, les fœtus des rats inoculés avec le vaccin ont développé de graves malformations. De plus, ces rats présentaient des taux plus élevés d’échecs de grossesse, avec un taux d’échec d’implantation d’embryons plus du double de celui du groupe témoin. Des résultats que Pfizer s’est gardé de publier jusqu’en novembre 2022 où il a été contraint de le faire dans le cadre d’un procès en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA).
Au 28 février 2021, parmi les 458 femmes enceintes que Pfizer avait déclaré exposées à son vaccin, plus de la moitié avaient signalé des événements indésirables. Plus de 10 % d’entre elles avaient même fait une fausse couche peu de temps après l’injection. En outre, six cas d’accouchements prématurés ont été signalés, dont plusieurs ont entraîné la mort des nourrissons. Pfizer aurait apparemment cherché à mener d’autres études, mais aucun résultat n’a jamais été publié depuis.
Quant à l’efficacité du vaccin concernant le covid-19, le prétendu chiffre de 91,3 % d’immunité jusqu’à six mois après la deuxième dose s’est révélé totalement erroné. Cette immunité a été revue par la suite à la baisse, mais Pfizer n’en a pas fait état, continuant à vendre des doses à des patients qui s’en seraient peut-être alors abstenus.[/size]

Josué

Josué
Administrateur

ovid : les départements les plus touchés par le retour des contaminations
Publié par Pierre-Antoine Martel, le 18/06/2024


IstockCovid : les départements les plus touchés par le retour des contaminations
Non, la Covid n'est toujours pas derrière nous. Le 11 juin 2024, Santé publique France a alerté de la présence d'un rebond du virus ces dernières semaines. Devrez-vous à nouveau porter un masque ? On vous fait la liste des départements les plus touchés.
Il est de retour cet été. Le 11 juin 2024, Santé publique France a publié un rapport qui alerte sur la hausse du nombre de suspicion de cas de virus Covid-19 ces dernières semaines. Effectué à partir des résultats du réseau de l'Organisation de la surveillance coordonnée des urgences (OSCOUR), de SOS Médecins et de l'Insee, ce bulletin note une importante augmentation des passages aux urgences.

Lechercheur



Le microbiologiste et médecin hongkongais renommé, Yuen Kwok-yung, met en garde contre une nouvelle pandémie qui pourrait être plus dévastatrice que le Covid-19. Il exhorte les dirigeants à considérer cette éventualité et à agir pour faire face aux défis mondiaux que représentent le changement climatique rapide et les maladies infectieuses émergentes. L'expert insiste sur l'importance d'une collaboration internationale, essentielle pour la protection de tous.

papy

papy

Le Covid-19 continue d’agir bien que la prochaine campagne de vaccination soit prévue pour le 15 octobre prochain. Selon les spécialistes, une nouvelle vague épidémiologique n’est pas attendue dans les prochains jours, mais les habitants doivent être prudents et attentifs à quelques symptômes.
Le Covid-19 n’épargne personne, mais les seniors sont les plus exposés à cette pandémie, d’où l’obligation de se faire vacciner ce mois en priorité. Par ailleurs, une campagne de vaccination débutera le 15 octobre en France contre le Covid-19 et la grippe. Si on pensait que cet épisode était derrière nous, le dernier bulletin de la Santé publique France parue le 18 septembre indique que les indicateurs sont les mêmes et la cible privilégiée se compose des moins de 65 ans. Si vous avez les symptômes suivants, rendez-vous à l’hôpital sans tarder.

Retour du Covid-19 : le système hospitalier n’est pas très impacté
Quel est le nouveau variant ?

Le Covid-19 ne cesse de muter quatre ans après sa manifestation dans le monde. Au mois d’août, la Santé publique France présentait un rapport indiquant l’étude d’un nouveau variant dont les symptômes pourraient être plus agressifs. Il s’agissait du KP3.1.1, un dérivé du KP3 lui-même étant un variant du JN.1. En clair, le Covid continue de se diversifier et il semble qu’un nouveau variant fasse rage dans le monde et se déplace furtivement en Europe. XEC est le nom du variant signalé en juin dernier dans la ville de Berlin. Il paraît qu’il a conquis d’autres pays, notamment l’Asie et l’Amérique du Nord. Par ailleurs, 10% des cas détectés le mois dernier en Slovénie appartenaient à cette nouvelle souche. Pour limiter la propagation, le port du masque est obligatoire dans certains lieux.

Vidéo associée: Nouvelle Variante XEC De COVID-19 : Ce Que L'On Sait (unbranded - Newsworthy French(Video))
unbranded - Newsworthy French(Video)
Nouvelle Variante XEC De COVID-19 : Ce Que L'On Sait


D’après les dernières données, les autorités sanitaires considèrent que le variant XEC présente les mêmes symptômes que son prédécesseur en matière de gravité. Ainsi, les symptômes suivants doivent vous alerter :


Toux,

Perte d’appétit,

Courbatures,

Perte d’odorat,

Maux de gorge,

Fièvre.
Pour l’instant, les scientifiques sont encore en pleine étude de ce variant, mais ils recommandent de se faire vacciner contre le Covid-19 et d’effectuer les rappels pour une meilleure prévention.

Quels sont les pays les plus affectés ?

Le variant découvert en Amérique du Nord se répand progressivement aux USA et a été détecté à Berlin. Depuis la fin de l’été, il continue de gagner du terrain en Europe. Selon les informations relayées sur X par le data scientist spécialiste du Covid, le XEC s’est propagé aux Pays-Bas, au Royaume-Uni, au Danemark et en France. Le variant est actuellement présent dans 27 pays de trois continents, souligne le média Ouest- France.

Covid-19 : le variant XEC est-il plus contagieux que les précédents ?
Le sous-variant d’Omicron

Le XEC est un sous-variant d’Omicron et les vaccins sont régulièrement mis à jour pour offrir une protection contre la sévérité des signes de la pandémie. Dans le document fourni par la Direction générale de la Santé, tous les Français sont exhortés à prendre leur dose de vaccin dès le 15 octobre. À cet effet, un expert américain estime que : "Le XEC est définitivement en train de s’installer. Il semble que ce soit la prochaine variante. Mais il faudra encore des mois avant qu’il n’atteigne des niveaux élevés".

Quel est le degré de contagion du XEC ?

De nombreux scientifiques s’accordent à dire que le XEC est légèrement plus contagieux que les autres variants du Covid-19 auxquels nous avons déjà eu à faire jusqu’ici. Rappelons que les différents variants de cette pandémie sont classés par catégories. Il s’agit notamment du variant préoccupant, du variant à suivre et du variant sous surveillance. Pour l’instant, le variant XEC n’appartient à aucune de ces catégories.

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