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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine.

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Josué

Josué
Administrateur

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine, qui multiplie les mesures de confinement
Par reuters le 24.01.2020 à 05h50
L'épidémie de coronavirus qui s'est déclarée le mois dernier à Wuhan, ville du centre de la Chine, a fait 25 morts et infecté 830 personnes dans le pays, a annoncé vendredi le gouvernement.

Mikael

Mikael
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[size=38]Coronavirus : ce que l’on sait sur l’épidémie partie de Chine[/size]
Les faits 

Trois malades du coronavirus ont été identifiés en France, à Paris et Bordeaux. L’épidémie, partie de la ville de Wuhan, s’étend. Les autorités chinoises font état de 56 morts. Les symptômes sont ceux d’une grosse grippe avec des difficultés respiratoires.



  • Audrey Dufour (avec AFP), 
  • le 25/01/2020 à 10:19 
  • Modifié le 26/01/2020 à 12:36

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Coronavirus : la situation en Chine
À Wuhan, en Chine, où les autorités confirment 56 décès et près de 2000 personnes contaminées, l'ensemble des activités sont suspendues sur ordre du gouvernement. Cela donne à cette agglomération de plus de 11 millions d'habitants des allures de ville fantôme. Le compte-rendu de Carla Oliveira

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Vingt-quatre morts supplémentaires ont été enregistrés dans la province de Hubei, épicentre de la contagion.

Le nombre de victimes de l'épidémie de pneumonie virale en Chine a bondi à 80 et 2744 cas ont été confirmés dans le pays, alors que la France et les États-Unis préparent l'évacuation de leurs ressortissants de la zone en quarantaine. Vingt-quatre morts supplémentaires ont été enregistrés dans la province de Hubei, épicentre de la contagion, mais aucun nouveau décès n'a été confirmé en dehors de cette région, a annoncé ce lundi le gouvernement central. 
"La capacité de propagation du virus s'est renforcée", ont déclaré la veille de hauts responsables sanitaires chinois, même s'il ne s'avère pas "aussi puissant que le Sras", un précédent coronavirus qui avait fait des centaines de morts au début des années 2000. La situation est "grave", a reconnu samedi soir le président Xi Jinping, avertissant que l'épidémie apparue en décembre à Wuhan dans le centre du pays "s'accélère". 

Josué

Josué
Administrateur

[size=31]Virus chinois: le nombre de cas pourrait être supérieur à 40.000, selon des chercheurs[/size]
[size=31]7partages[/size]

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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. Loading
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[size=14]Point de contrôle sanitaire sur l'autoroute à Tengzhou, dans la province du Shandong (est de la Chine), le 26 janvier 2020

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© AFP, STR
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Monde
Virus chinois : transports à l'arrêt au départ de l'épicentre de l'épidémie, l'OMS prolonge sa réunion d'urgence
Monde
Virus: l'épidémie touche les grandes villes de Chine, la transmission entre humains confirmée
AFP, publié le lundi 27 janvier 2020 à 14h19
Les gouvernements doivent prendre des mesures "draconniennes" pour restreindre les déplacements de population s'ils veulent endiguer la propagation du virus de Wuhan, ont déclaré lundi des chercheurs hongkongais, qui estiment sur la base de modèles mathématiques que le nombre de cas est supérieur à 40.000.
Ces scientifiques de l'Université de Hong Kong (HKU) ont mis en garde quant à une accélération de la propagation du coronavirus, qui a officiellement fait 80 morts en Chine.
Au total, 2.744 cas ont officiellement été confirmés dans ce pays, dont celui d'un bébé de neuf mois, alors que le nombre de cas suspects a doublé en l'espace de 24 heures, à près de 6.000.
"Nous devons nous préparer au fait que cette épidémie particulière devienne une épidémie mondiale", a déclaré Gabriel Leung, le chef de cette équipe de chercheurs de la HKU.
"Des mesures importantes et draconiennes pour limiter les mouvements de population doivent être prises, le plus tôt possible."

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Coronavirus : l'épidémie devrait durer plusieurs mois[/size]


[size=33]Le virus chinois, qui a déjà fait plus de 100 morts, pourrait toucher des dizaines de milliers de personnes dans le monde, selon des experts.[/size]


 Source AFP
Modifié le 28/01/2020 à 07:39 - Publié le 28/01/2020 à 04:42 | Le Point.fr


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. 19999041lpw-19999045-article-jpg_6869640_660x281

Le nombre officiel de cas est de plus de 4 000 en Chine et une cinquantaine en dehors du pays.
:copyright: Xiao Yijiu / XINHUA


Il va falloir s'habituer au nouveau coronavirus apparu en Chine. Et pour cause, l'épidémie va faire au bas mot des dizaines de milliers de malades et durer plusieurs mois dans le meilleur des cas, estiment des experts en épidémiologie sur la base des premières données disponibles. « Le meilleur des scénarios serait que cela continue au printemps, à l'été, et puis qu'ensuite ça retombe », explique à l'AFP David Fisman, professeur à l'université de Toronto, et auteur d'un bulletin pour la Société internationale des maladies infectieuses. 106 personnes sont déjà décédées et près de 1 300 nouveaux cas ont été détectés, ont annoncé mardi les autorités chinoises.
« Cela ne va pas s'arrêter la semaine prochaine ou le mois prochain », indique Alessandro Vespignani, professeur à l'université américaine de Northeastern, qui coordonne un groupe de chercheurs publiant des analyses en temps réel sur l'épidémie. « Vous ne prenez pas de risque à dire que cela va durer un bon moment. » Les détectives des épidémies n'ont pas de boule de cristal et insistent sur le fait qu'ils n'ont que des informations parcellaires sur le nouveau virus, apparu en décembre 2019. Ils utilisent des modèles mathématiques pour estimer le nombre de cas réels, à la date d'aujourd'hui, et comparer à des épidémies passées, mais beaucoup d'hypothèses restent incertaines.



Lire aussi Luc de Barochez – Le coronavirus révèle les vices du pouvoir chinois
Jusqu'à ce week-end, on pensait que les personnes infectées n'étaient pas contagieuses avant l'apparition des symptômes (fièvre et difficultés respiratoires, pneumonie), mais les autorités chinoises ont dit dimanche l'avoir établi, ce que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'a toutefois pas encore confirmé. Les Américains, eux, disaient d'ailleurs lundi n'avoir pas vu de preuves. Si des gens sans fièvre peuvent contaminer d'autres, cela change forcément la dynamique de l'épidémie. La période d'incubation commence seulement à être estimée : environ deux semaines, voire plus courte selon l'OMS : entre deux et dix jours.




Patience


De multiples experts ont calculé ces derniers jours un paramètre important pour les épidémies : le taux de reproduction de base, ou « R zéro ». Il représente tout simplement le nombre de gens contaminés par une personne infectée. Leurs estimations vont de 1,4 à 3,8, selon David Fisman, ce qui est jugé modéré. Ce chiffre à lui seul n'est qu'une moyenne : peut-être que certains patients ont contaminé beaucoup de gens, et que d'autres en ont infecté peu. « En soi, pas une raison de paniquer », rassure Maimuna Majumder, de Harvard et de l'hôpital pour enfants de Boston. Elle rappelle que ce taux est de 1,3 pour la grippe saisonnière (qui fait des millions de cas par an) et de 2 à 5 pour le sras (syndrome respiratoire aigu sévère, qui a fait 8 000 cas et 774 morts en 2002/2003). Par comparaison, pour la rougeole il est de 12 à 18.
Avec des quarantaines, des mesures d'isolement, des lavages de main systématiques, des masques… le nombre moyen de gens infectés pourrait baisser. S'il tombe sous 1, l'épidémie s'éteindra. Mais l'effet des mesures prises par la Chine ces derniers jours se fera ressentir au bout d'une ou deux semaines, disent les chercheurs, car c'est le cycle du virus. « Il semble de plus en plus qu'il ressemble au sras », dit David Fisman. « Le sras était contrôlable, donc, on espère que celui-ci le sera aussi, mais on ne le saura que dans quelques semaines. » « Cela prendra des semaines, probablement des mois, et personne ne sait comment cela évoluera », ajoute-t-il.
Lire aussi Coronavirus : surenchère de mesures en Chine



Le nombre officiel de cas est de plus de 4 500 en Chine et une cinquantaine en dehors du pays. Le nombre réel de cas chinois, en incluant les non-détectés, selon le groupe international coordonné à Northeastern, est sans doute de plus de 25 000, dit Alessandro Vespignani. Des chercheurs de l'université de Hongkong estiment de leur côté que le nombre dépasse 40 000 actuellement. « Il est facile de voir ce chiffre doubler ou tripler, rien que dans la ville de Wuhan », dit le professeur Vespignani. « Si d'autres grandes villes sont affectées, les chiffres vont beaucoup, beaucoup augmenter ». Il ne veut pas estimer le nombre de morts possibles. Le taux de mortalité, jusqu'à présent, flotte aux alentours de 3 %, mais ces taux ont tendance à monter et descendre : monter au début quand les plus vulnérables meurent, baisser ensuite, puis remonter quand d'autres décèdent. Là encore, les prochaines semaines révéleront le véritable danger de 2019-nCoV.
Lire aussi Coronavirus : le patient bordelais témoigne pour la première fois

Le Japon va évacuer ses ressortissants de Wuhan


Face au risque de contagion, Pékin a appelé ses citoyens à éviter au maximum les voyages à l'étranger. Il est recommandé aux résidents de Chine continentale « de reporter la date prévue de leurs voyages sans nécessité particulière », a indiqué dans un communiqué l'Administration nationale de l'immigration. « Réduire les déplacements transfrontaliers contribue à contrôler l'épidémie », a-t-elle ajouté, affirmant adopter cette recommandation « pour protéger la santé et la sécurité des Chinois comme des étrangers ». Les voyages organisés en Chine et à l'étranger sont également suspendus. Pékin a décidé de prolonger de trois jours, jusqu'au 2 février, les longs congés du Nouvel an (sept jours fériés), afin de retarder les retours massifs vers les villes de centaines de millions de travailleurs migrants et réduire les risques d'extension de l'épidémie. De même, le début du semestre de printemps dans les écoles, collèges, lycées et universités a été reporté, a indiqué mardi le ministère de l'Education, sans avancer de date pour la reprise des cours.



À l'instar de la France, le Japon va de son côté organiser l'évacuation de ses ressortissants de Wuhan, principal foyer du coronavirus. Le gouvernement nippon pense qu'environ 200 ressortissants résidant à Wuhan seront à même d'embarquer dans un avion qui décollera mercredi aux premières heures de la ville mise en quarantaine et devrait arriver dans la matinée à l'aéroport de Tokyo-Haneda. Du personnel médical prendra place à bord et les personnes présentant des symptômes comme une forte fièvre seront directement conduites à l'hôpital à leur arrivée, ont précisé à l'Agence France-Presse des fonctionnaires du ministère de la Santé. Quelque 650 Japonais de Wuhan ont exprimé le souhait de rejoindre le Japon, dont le gouvernement prévoit d'autres vols ultérieurs afin de rapatrier tous ceux qui le désirent.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Coronavirus EN DIRECT : Le Royaume-Uni annonce que toute personne arrivant de Wuhan sera isolée quatorze jours…[/size]

LIVE Après la confirmation d’un quatrième cas en France, suivez l’évolution de l’épidémie avec nous

R. G.-V.
 

 
Publié le 29/01/20 à 07h40 — Mis à jour le 29/01/20 à 12h32


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. 310x190_laboratoire-chine
Dans un laboratoire en Chine. — Tang Dehong / Costfoto/Sipa USA/SIPA

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L’ESSENTIEL


  • Le gouvernement français a confirmé qu’une quatrième personne était hospitalisée en France pour un coronavirus. Il s’agit d’un touriste chinois de la région de Wuhan.
  • Hier, plusieurs cas de contamination hors de Chine ont aussi été confirmés, notamment en Europe.
  • En Chine, le nombre de cas de coronavirus a déjà dépassé celui du SRAS, il y a quinze ans.

Josué

Josué
Administrateur

[size=48]Coronavirus : Ikea ferme la moitié de ses magasins en Chine, McDonald's lui emboîte le pas
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 29/01/2020 à 17:52[/size]
Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. Le-parquet-de-versailles-a-requis-le-renvoi-devant-le-tribunal-correctionnel-d-ikea-france-et-de-15-personnes-soupconnes-d-avoir-mis-en-place-un-vaste-systeme-d-espionnage-de-salaries-et-de-clients-de-l-enseigne_6002028
Les salariés concernés "sont priés de rester chez eux, en conservant l'intégralité de leur salaire", a précisé Ikea.
 
afp.com/JONATHAN NACKSTRAND

Le géant suédois de l'ameublement Ikea a annoncé mercredi la fermeture, jusqu'à nouvel ordre, de la moitié de ses 30 magasins en Chine, afin de contribuer à la lutte contre la propagation du nouveau coronavirus.

Le géant suédois de l'ameublement Ikea a annoncé mercredi la fermeture, jusqu'à nouvel ordre, de la moitié de ses 30 magasins en Chine, afin de contribuer à la lutte contre la propagation du nouveau coronavirus.  
Ikea "va fermer environ la moitié de ses magasins en Chine continentale, provisoirement et jusqu'à nouvel ordre, à partir du 29 janvier", a indiqué l'industriel dans un communiqué. Ikea avait déjà annoncé la fermeture la semaine dernière de son unique magasin à Wuhan, berceau du virus apparu fin 2019. 

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

[size=48]Avancée majeure" : l'Institut Pasteur parvient à mettre en culture le coronavirus[/size]

Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 31/01/2020 à 21:24 , mis à jour à 21:25

Josué

Josué
Administrateur

Deux grandes villes de l'est de la Chine, éloignées de plusieurs centaines de kilomètres de l'épicentre de l'épidémie en cours, ont annoncé ce mardi des mesures de restriction aux mouvements à leurs habitants pour limiter la propagation du nouveau coronavirus. 
La municipalité de Taizhou et trois districts de Hangzhou - siège du géant chinois du e-commerce Alibaba et capitale de la province du Zhejiang -, n'autorisent plus qu'une personne par foyer à sortir une fois tous les deux jours pour faire leurs courses. Quelque 9 millions de personnes au total sont concernées.
Port du masque obligatoire
Taizhou a également annoncé suspendre 95 connexions ferroviaires à destination de la ville à partir de ce mardi. Les propriétaires d'appartement ne pourront dorénavant plus louer leur bien à des personnes venant "de zones gravement affectées par l'épidémie comme la province du Hubei", épicentre de l'épidémie, sauf si elles ne s'y sont pas rendues récemment, a indiqué la municipalité dans un communiqué.
Par ailleurs, tous les complexes d'habitation ne pourront maintenir ouverte qu'une seule voie d'accès piétonne, et chaque personne devra y présenter une pièce d'identité à chaque entrée ou sortie, selon la même source.
Dans les districts concernés à Hangzhou, siège du géant chinois du e-commerce Alibaba et capitale de la riche province du Zhejiang, des mesures complémentaires comprennent le port du masque obligatoire, ainsi que des contrôles d'identité et de température.
829 cas confirmés dans le Zhejiang
Ces restrictions font suite à des mesures similaires annoncées dimanche à Wenzhou, 9 millions d'habitants, également située dans le Zhejiang. Les habitants y ont désormais l'obligation de rester chez eux, et ne peuvent là encore sortir qu'une fois tous les deux jours pour effectuer des courses. Les transports publics sont suspendus. Et les grands axes routiers sont presque entièrement fermés à la circulation automobile.
Le Zhejiang compte jusqu'à présent 829 cas confirmés de personnes infectées par le coronavirus. Il s'agit du nombre le plus élevé en dehors de la province du Hubei, épicentre de l'épidémie qui a déjà tué 425 morts en Chine continentale.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

sous blocus, dizaines de millions de personnes assignées à résidence, usines et commerces fermées, bourses qui dévissent et banque centrale chinoise prête à injecter 1 200 milliards de yuans – 156 milliards d’euros – pour rétablir la confiance… L’impact économique de la crise provoquée par l’épidémie de coronavirus ira-t-il jusqu’à fragiliser le régime chinois ? Le risque semble pris très au sérieux par Pékin.

Rene philippe

Rene philippe

T’inquiètes. Tu verrais le nombre de touristes chinois à Paris, Venise ou Rome. Certains sont des privilégiés

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Oui mais les hôteliers s'inquiètent car il y des désistements de réservations de chambres.

Rene philippe

Rene philippe

Mikael a écrit:Oui mais les hôteliers s'inquiètent car il y des désistements de réservations de chambres.
Les hôtels de luxe jamais contents

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Aux dernières infos il y a 490 morts. Du virus.

Josué

Josué
Administrateur

[size=32]P[/size]
[size=32]aquebot japonais bloqué à cause du coronavirus : «Ça va ressembler à une prison flottante»[/size]

Au moins 20 passagers ont contracté le virus 2019-nCoV sur le Diamond Princess, contraint à la quarantaine.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

[size=48]En Chine, la mort du lanceur d'alerte du coronavirus provoque la colère[/size]

Par LEXPRESS.fr ,publié le 06/02/2020 à 18:40 , mis à jour le 07/02/2020 à 08:06

papy

papy

[size=33]Coronavirus : 5 nouveaux cas diagnostiqués en France[/size]

[size=33]VIDÉO. La ministre de la Santé a annoncé que ces nouveaux cas ont été diagnostiqués dans la station des Contamines-Montjoie, en Haute-Savoie.

 Par LePoint.fr (avec AFP)[/size]

Lechercheur



Chen Qiushi est venu à Wuhan la veille de la mise en quarantaine de la ville. Depuis, il publie régulièrement des vidéos pour rendre compte de la situation. Une action risquée alors que cet avocat de profession n'a aucun certificat officiel pour faire du journalisme.

Lechercheur



Coronavirus EN DIRECT : Une trentaine de rapatriés de Chine supplémentaires sont arrivés à Aix-en-Provence…
LIVE Suivez avec nous et en direct les derniers développements de l’épidémie du nouveau coronavirus

Rachel Garrat-Valcarcel Twitter
Publié le 09/02/20 à 09h51 — Mis à jour le 09/02/20 à 14h27

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Des gendarmes devant le centre d'entrainement des pompiers et pompières à Aix-en-Provence.
Des gendarmes devant le centre d'entrainement des pompiers et pompières à Aix-en-Provence. — CLEMENT MAHOUDEAU / AFP
ACTUALISER
L’ESSENTIEL

En dépassant les 800 décès, l’épidémie de coronavirus a déjà fait plus de morts et de mortes que le Sras, il y a plus de quinze ans.
Néanmoins, l’OMS affirme que la relative stagnation des nouvelles contaminations est une "bonne nouvelle".
En France, cinq nouvelles personnes ont été contaminées en Haute-Savoie par un homme qui revenait de Singapour.
VIDEO


SOCIÉTÉ
Coronavirus aux Contamines-Montjoie : La station de ski haut-savoyarde veut éviter la psychose
MONDE
Le bilan monte à 811 morts en Chine, soit plus que le Sras

Josué

Josué
Administrateur

Le dernier bilan fait état de 808 morts en Chine.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Coronavirus EN DIRECT : Le coronavirus constitue « une très grave menace » pour le monde selon l’OMS…[/size]

LIVE Suivez en direct avec nous l'évolution de l'épidémie à travers le monde  

M.F & J.-L. D.
 
Publié le 11/02/20 à 07h29 — Mis à jour le 11/02/20 à 13h40



Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. 310x190_ethiopien-tedros-adhanom-ghebreyesus-elu-mardi-24-mai-directeur-general-organisation-mondiale-sante-oms
L'Ethiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'Organisation mondiale de la santé — VALENTIN FLAURAUD/AP/SIPA

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L’ESSENTIEL


  • Le bilan de l’épidémie du nouveau coronavirus a franchi mardi la barre des 1.000 morts et des 42.500 infectés.
  • Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le nombre de contaminations relevées quotidiennement en Chine se stabilise, mais il est trop tôt pour conclure que l’épidémie a dépassé son pic.
  • Le virus 2019-nCoV, apparu en décembre sur un marché de Wuhan, a en outre tué deux autres personnes dans le monde, une aux Philippines et une autre à Hong Kong.

Josué

Josué
Administrateur


  • Le bilan dépasse désormais les 1.100 victimes. Mais le chiffre des nouveaux décès, 97, est en baisse par rapport à la veille pour la première fois depuis le 2 février.

  • Le chiffre des nouvelles contaminations est lui aussi en forte baisse : autour de 2.000 ce mercredi contre 2.500 mardi et 3.000 lundi. Au total, 44.600 personnes sont atteintes, presque entièrement en Chine.

  • Le berceau de l’épidémie, Wuhan, a encore renforcé ses restrictions. Les personnes atteintes de fièvre ne peuvent plus se rendre dans les hôpitaux situés hors de leur arrondissement, par exemple.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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[size=38]Comment l’Asie réagit à l’épidémie du coronavirus de Chine[/size]

Le coronavirus de Wuhan – ou Covid-19 – a causé la mort de 1 367 personnes en Chine, deux en Asie (Philippines et Japon) et plus de 60 000 sont contaminées en Chine continentale. Les voisins asiatiques prennent des mesures de protection.



  • Léo Macia, 
  • le 14/02/2020 à 11:25 




Lecture en 3 min.

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. Militants-lorganisation-PETA-manifestent-contre-consommation-viande-Manille-Philippines-13-fevrier-2020_0_729_486



Des militants de l’organisation PETA manifestent contre la consommation de viande à Manille, aux Philippines, le 13 février 2020.[size=12]MARK R.CRISTINO/EPA/MAXPPP
[/size]



► Japon : un premier mort et un compte à rebours avant les JO


Sur le territoire japonais, le Covid-19 a causé son premier mort jeudi 13 février. Le 4 février, les autorités nippones ont décidé de mettre le navire de croisière Diamond-Princess en quarantaine au large de Yokohama. Sur les 3 711 occupants du navire, 710 ont été testés, et au moins 174 d’entre eux ont contracté la maladie. Un chiffre en constante augmentation depuis dix jours. Le ministre japonais de la santé, Katsunobu Kato, a annoncé que cinq personnes provenant du bateau sont « dans un état grave, en soins intensifs ou sous assistance respiratoire ».
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Coronavirus, la croisière au Japon vire au cauchemar à Yokohama

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Sur son territoire, le Japon compte 28 personnes infectées par le virus Covid-19, dont au moins 9 rapatriées de la province chinoise de Hubei où se trouve la ville de Wuhan, foyer initial de l’infection. À 162 jours de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, le président du comité d’organisation de Tokyo, Yoshiro Mori a annoncé jeudi 13 février qu’il n’envisageait pas de « reporter ou d’annuler les JO ».

Josué

Josué
Administrateur

[size=40]Coronavirus: plus de 1.500 morts, premier décès en Europe[/size]
[size=14][size=14]Par AFP le 15.02.2020 à 11h32
Le bilan de l'épidémie du nouveau coronavirus a dépassé samedi les 1.500 morts en Chine, et le premier décès en Europe a été signalé en France.[/size]
Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. Cover-r4x3w1000-5e47c95c2ceef-les-personnes-arrivant-a-pekin-doivent-se-placer-en

Plus de 66.000 cas de contamination ont désormais été enregistrés en Chine, principalement dans la province du Hubei (centre), foyer de l'épidémie de pneumonie virale Covid-19.

TINGSHU WANG


Le bilan de l'épidémie du nouveau coronavirus a dépassé samedi les 1.500 morts, la France faisant état du premier décès survenu en Europe, tandis que Pékin imposait une quarantaine à tous les arrivants dans la capitale chinoise.

Un touriste chinois de 80 ans hospitalisé en France depuis fin janvier est décédé vendredi soir, a annoncé samedi la ministre française de la Santé Agnès Buzyn. Ce décès est le "premier hors d'Asie, le premier en Europe", a-t-elle précisé.

La Chine continentale (hors Hong Kong et Macao) a pour l'heure recensé 1.523 morts dus au coronavirus, selon des chiffres diffusés samedi.
Seuls quatre décès ont été enregistrés ailleurs dans le monde: un sur le territoire chinois semi-autonome de Hong Kong, et les trois autres respectivement au Japon, aux Philippines et désormais en France.

La Chine a par ailleurs fait état samedi de plus de 66.000 cas de contamination sur son territoire, principalement dans la province du Hubei (centre), foyer de l'épidémie de pneumonie virale Covid-19.
Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. Bc2df1ef9cd9644f7c7dd7a9ebd6e84cc9af9f4cDécès dus au Coronavirus (AFP - Laurence CHU)
Alors que le Hubei reste coupé du monde depuis trois semaines et que plusieurs villes de l'Est du pays ont adopté des mesures de confinement drastiques, Pékin a à son tour musclé vendredi ses restrictions pour endiguer la propagation du virus.
La capitale oblige désormais toutes les personnes arrivant de l'extérieur à s'auto-imposer une quarantaine de 14 jours à leur domicile ou leur hôtel, sous peine de sanctions, a rapporté le Beijing Daily, un quotidien officiel. L'activité dans la ville reste largement paralysée et que de nombreuses entreprises imposent le télétravail à leurs employés.
Ce règlement, aux modalités d'application non détaillées intervient alors que, à l'issue de vacances du Nouvel an lunaire prolongées, beaucoup de Chinois retournés dans leur région d'origine pour les fêtes font désormais route pour rejoindre les villes.
Quelque 283 millions de trajets ont ainsi été accomplis dans le pays entre le 25 janvier et le 14 février, selon le vice-ministre des Transports Liu Xiaoming.
- Premier cas en Afrique -
L'épidémie de Covid-19 maintient le monde en alerte, avec près de 600 cas confirmés de contamination dans plus d'une vingtaine de pays.
L'Egypte a annoncé vendredi avoir enregistré le premier cas sur le continent africain.
Mais le principal foyer d'infection hors de Chine reste le paquebot de croisière Diamond Princess, en quarantaine au Japon: 285 cas de contamination y ont été confirmés, dont 67 nouveaux cas annoncés samedi.
Quelque 3.700 passagers et membres d'équipage restent confinés dans leurs cabines. Les Etats-Unis prévoient désormais d'évacuer des Américains se trouvant à bord, a annoncé samedi l'ambassade américaine à Tokyo.
En Chine même, la lutte contre le virus constitue "un grand test pour le système et les capacités de gouvernance du pays", a reconnu vendredi le président chinois Xi Jinping.
Le gouvernement doit renforcer "son contrôle des médias en ligne", a-t-il par ailleurs insisté dans un discours publié samedi par la presse étatique, alors que les internautes ont formulé de multiples critiques à l'égard des autorités quant à la gestion de la crise.
Signe des mesures drastiques adoptées à travers le pays, la banque centrale a annoncé samedi que les billets usagés étaient désormais désinfectés et... placés en quarantaine jusqu'à 14 jours, avant d'être remis en circulation.
Après avoir initialement félicité Pékin pour son "travail très professionnel", les Etats-Unis avaient déploré jeudi un "manque de transparence de la part des Chinois", regrettant que le pays n'ait pas donné suite à la proposition d'envoi d'experts américains.
Les autorités sanitaires du Hubei avaient annoncé jeudi à la surprise générale un élargissement de leur définition des personnes atteintes de la pneumonie virale Covid-19.
- L'OMS à Pékin -
Jusqu'à présent, un test de dépistage était indispensable pour déclarer un cas "confirmé". Dorénavant, les patients "diagnostiqués cliniquement", notamment avec une simple radio pulmonaire, seront aussi comptabilisés.
La nouvelle définition a automatiquement gonflé le nombre de personnes officiellement infectées, avec l'annonce d'une envolée de plus de 15.000 nouveaux cas de contamination jeudi.
Le nombre des nouveaux cas en Chine est cependant tombé samedi à 2.641, pour l'immense majorité au Hubei, le nombre de nouveaux cas en-dehors de la province (221) continuant de chuter.
Zhong Nanshan, un expert médical chinois vétéran de la lutte contre le Sras (2002-2003), a déclaré s'attendre à un pic de l'épidémie "d'ici la mi- ou fin-février".
Plus prudente, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) juge elle qu'il est "beaucoup trop tôt" pour faire des prévisions.
A la suite d'une délégation arrivée plus tôt cette semaine, une équipe internationale d'experts de l'OMS devait arriver à Pékin ce week-end pour une mission conjointe avec leurs homologues chinois.
Ils réaliseront des inspections sur le terrain, passeront en revue les mesures de prévention, visiteront des centres de recherche et formuleront des recommandations pour contenir l'épidémie, a indiqué Mi Feng, porte-parole de la Commission nationale de la santé.

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Mikael

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[size=38]Coronavirus : « La Chine va devoir repenser tout son système de sécurité sanitaire »[/size]

Entretien 

L’épidémie à laquelle est confrontée la Chine révèle une nouvelle fois les défauts de surveillance et de contrôle vétérinaire et alimentaire. « Le système s’est beaucoup amélioré sur le papier, mais Pékin peine toujours à le faire appliquer », explique Jean-Marc Chaumet, agroéconomiste et spécialiste du marché de l’élevage chinois.



  • Recueilli par Antoine d’Abbundo, 
  • le 17/02/2020 à 11:01 




Lecture en 3 min.

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. Travailleurs-usine-province-Jiangsu-portent-combinaisonstravailler-16-fevrier-2020_0_729_486



Les travailleurs d’une usine de la province du Jiangsu portent des combinaisons pour travailler, le 16 février 2020.[size=12]STR/AFP
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La Croix : Quelle est l’origine de l’épidémie de coronavirus qui est apparue en Chine ?
i Pourquoi lire La Croix ?+
La Croix met en lumière la dimension spirituelle des hommes et des événements.



Jean-Marc Chaumet : La seule certitude que l’on a pour le moment est que la maladie a été transmise de l’animal à l’homme, comme cela avait été le cas lors de la précédente épidémie de Sras, en 2003, qui impliquait la belette.

Pour le coronavirus, plusieurs hypothèses circulent qui n’ont pas été tranchées par les scientifiques. On a parlé de chauve-souris, de serpent, de pangolin. Certains pensent avoir localisé le point de départ de l’épidémie dans un « wet market » de la ville de Wuhan, épicentre de la maladie, dans la province du Hubei. Cela reste à confirmer.
Qu’est-ce qu’un « wet market » ?
J.-M. C. : C’est un marché où les producteurs viennent vendre sans intermédiaire des produits alimentaires, notamment des animaux vivants. En Chine, les moyens d’abattage ne sont pas suffisants et ces lieux correspondent au goût des consommateurs chinois qui y voient une garantie de fraîcheur et de qualité. On y trouve un peu toutes les espèces, domestiques ou sauvages mélangées.

D’où le nom de « wet market » en anglais, ou marché humide, car le sol de ces espaces est fréquemment passé au jet d’eau pour les nettoyer. Depuis la crise du Sras, les autorités ont voulu éliminer ces lieux qui sont de potentiels foyers d’infection, à travers une politique d’incitation à la construction de grandes surfaces commerciales. Mais la résistance des vendeurs comme des acheteurs permet une persistance de ces marchés, notamment dans les villes petites et moyennes ou à la campagne.
Cette épidémie est-elle à mettre au compte d’une défaillance du système de sécurité sanitaire chinois ?
J.-M. C. : L’épidémie de coronavirus est sans doute sans équivalent par son ampleur mais ce n’est pas la première fois que le système se montre défaillant. La Chine a connu ces dernières décennies des scandales retentissants liés à la sécurité vétérinaire et alimentaire.
Que l’on songe à celui du lait à la mélamine – une substance habituellement utilisée pour la fabrication de plastique ou de colle –, qui a causé en 2008 la mort de six nourrissons et intoxiqué 300 000 autres, selon des chiffres officiels sans doute largement sous-estimés.
Fraudes, accidents, défaut de contrôles : en fait, il ne passe pas de mois en Chine sans que l’on rapporte un problème de plus ou moins grande ampleur.
Que fait le gouvernement central contre cela ?
J.-M. C. : En 2009, Pékin a complètement repensé son système de sécurité sanitaire, désormais confié à un seul ministère, celui de la santé, en charge de la coordination de la surveillance du marché, de la fourche à la fourchette.
Le gouvernement central a, dans le même temps, considérablement renforcé son corpus législatif et réglementaire, en s’inspirant d’ailleurs beaucoup de ce qui se fait de mieux en Occident. Sur le papier tout y est, mais le problème, comme toujours en Chine, c’est l’application de la loi sur tout le territoire.
Cela tient à plusieurs raisons. D’abord au manque de personnel, qui est en outre souvent mal formé, et parfois corrompu. Ensuite et surtout, au fait que les fonctionnaires locaux sont principalement jugés sur les résultats économiques, qui ont longtemps primé sur les questions de sécurité sanitaire et d’environnement. Enfin, la taille du pays et le volume de son secteur agricole et agroalimentaire compliquent les contrôles. « Le ciel est haut et l’empereur est loin », dit un proverbe.
L’épidémie de coronavirus sera-t-elle l’occasion pour Pékin de reprendre les choses en main ?
J.-M. C. : Pour l’instant, la priorité du gouvernement central est de maîtriser l’épidémie. Mais il est certain que, comme après chaque épisode de ce type, Pékin va tenter de réformer les choses. Le chantier est énorme.
La fièvre porcine, venue de Russie et qui a déjà détruit presque la moitié du cheptel, a montré que le pays était loin d’être prêt à affronter une menace venue de l’extérieur, à laquelle pourtant il s’attendait. Se rajoute maintenant le problème du coronavirus dont l’origine se trouve au cœur du pays.
En fait, la Chine va devoir repenser tout son système de sécurité sanitaire et devra surtout se doter des moyens de le faire appliquer.

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[size=38]Coronavirus : le Japon sonne à son tour l’alerte[/size]

Pas moins de 454 passagers du paquebot Diamond Princess, amarré dans le port de Yokohama, ont déjà été contaminés par le coronavirus. Hors de Chine, le Japon est le pays qui compte le plus de personnes contaminées. Le gouvernement appelle à éviter les grands rassemblements.


  • Yuta Yagishita (à Yokohama) et Dorian Malovic, 
  • le 17/02/2020 à 18:24 
  • Modifié le 18/02/2020 à 13:42

Josué

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[size=34]Coronavirus : plus de 2 200 morts en Chine [/size]

[size=36]L'Organisation mondiale de la santé a salué les « énormes progrès » pour juguler l'épidémie. Quelques dizaines de Français vont être rapatriés de Chine.

 [size=37]Source AFP[/size]
[size=32]Modifié le 21/02/2020[/size][/size]

Josué

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[size=59]Coronavirus : une dizaine de villes ferment les lieux publics en Italie[/size]

Neuf villes de Lombardie et une de Vénétie onr fermé vendredi bars, écoles et autres lieux publics pour une semaine en raison de soupçons de contamination sur 16 personnes


Par L'Obs
Publié le 21 février 2020 à 20h37




Au moins neuf villes de Lombardie et une de Vénétie, dans le nord de l’Italie, ont fermé vendredi bars, écoles et autres lieux publics pour une semaine en raison de soupçons de contamination au nouveau coronavirus sur 16 personnes, selon des sources officielles.
Cette décision a été prise par le ministère de la Santé en accord avec les deux régions concernées, car un premier foyer autochtone italien a été identifié à Codogno, près de Lodi. Au total, dans cette zone de Lombardie, plus de 50.000 personnes ont été priées de rester chez elles dans les villes concernées.

L’OMS craint un rétrécissement de la « fenêtre de tir » pour enrayer l’épidémie de coronavirus
Avant la mesure ministérielle, le maire de Codogno (environ 15.000 habitants), Francesco Passerini, avait ordonné la fermeture immédiate des écoles, bureaux municipaux, magasins d’alimentation, bars, discothèques, salles de sport, etc..
Le maire avait expliqué sa décision car la découverte de six premiers cas de contagion avait créé « une situation d’alarme sur le territoire de la commune ».

[size=42]Une femme enceinte de 8 mois contaminée[/size]


Mais en début de soirée, le ministre Roberto Speranza a annoncé que le nombre de cas avait augmenté à 14 personnes testées positivement au coronavirus en Lombardie, toutes autour de Codogno. Toutes n’ont pas encore fait le test de confirmation.
En Vénétie, selon le président de la région Luca Zaia, deux personnes ont été testées positivement au coronavirus et l’une est en soins intensifs. Mais le ministère a indiqué que ces cas n’étaient pas confirmés.
[size=21]Le coronavirus est « bénin » dans 81 % des cas, selon une étude chinoise

Le premier cas de Codogno, un Italien de 38 ans, cadre chez Unilever, est hospitalisé en soins intensifs. Son épouse enceinte de 8 mois, un ami avec lequel il faisait du sport et trois personnes qui fréquentaient un petit bar local, font partie des cas avérés.
Les autorités sanitaires de la Lombardie n’ont pas identifié avec certitude la personne à l’origine de l’épidémie, mais selon l’agence Ansa, cela « pourrait » être un Italien rentré de Chine récemment qui aurait dîné à plusieurs reprises avec l’homme hospitalisé.
L’Italie compte à ce jours six cas avérés de malades du nouveau coronavirus, sans compter les trois de Codogno qui doivent encore passer un second test.
Les trois premiers, soignés dans l’hôpital italien de référence pour les maladies infectieuses, le Spallanzani de Rome, vont de mieux en mieux.

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. 7671416414966
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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. Mini_200222041941478936

https://www.lapresse.ca/international/europe/202002/22/01-5261991-coronavirus-washington-accuse-la-russie-de-desinformation.php

Je ne serais meme pas surpris, car dans le plan d'attaque des USA pour leur guerre deja planifier dans les année 1950, ils avais envisager d'attaquer les pays comme l'Irak, la Lybie, et les autres pays et ils parlais aussi d'attaquer l'iran la Chine, ensuite la russie mais ils expliquais deja que ils lancerais un virus  de l'est en ouest, que ca se rependerais jusqu'en Europe ...

J'etais jeune et on savais deja comment ils avais deja planifier d'attaquer le monde futur, voila  on a vue defiler leur guerre, et maintenant leur virus sort comme  ils l'avais deja planifier dans leur projet d'instinction du monde pour amenez la population a 500 000 humains sur terre, je me souviens  plus exactement du nom de ce projet mais ils on des grande colonnes avec leur projet de controle de naissance et tout et tout, leur nouvel ordre mondial que les USA avais planifier ...

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[size=30]Coronavirus : "nous nous préparons à une épidémie" en France indique le ministre de la Santé
  Lecture 1 min
A La Une Politique Santé Coronavirus
Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. Olivier-veran-nouvellement[/size]
Olivier Véran, nouvellement nommé ministre de la Santé, estime que le risque d'épidémie en France est "très probable" :copyright: Crédit photo : LUDOVIC MARIN AFP

[size=18][size=14]Par SudOuest.fr avec AFP
[size=12]Publié le 23/02/2020 à 10h03


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Aors que plusieurs villes italiennes sont placées en quarantaine depuis le début du week-end, le nouveau ministre de la Santé Olivier Véran a indiqué dimanche que le risque d’épidémie en France était "très probable".
La France se prépare à une possible "épidémie" du nouveau coronavirus, déclare le ministre de la Santé Olivier Véran dans un entretien au Parisien Dimanche.
Interrogé sur la possibilité de nouveaux cas en France, le ministre l’estime "très probable".

"Une épidémie ? Nous nous y préparons", ajoute-t-il, évoquant notamment l’augmentation du "nombre de laboratoires équipés en tests de diagnostic pour atteindre une capacité de plusieurs milliers d’analyses par jour et sur tout le territoire, contre 400 aujourd’hui".

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[size=31]Coronavirus: nouveaux morts en Iran, le guide accuse l'étranger de propagande[/size]
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[size=14]Une Iranienne porte un masque de protection contre le nouveau coronavirus, à Téhéran, le 22 février 2020

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© AFP, ATTA KENARE
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Monde
Virus: huit décès en Iran, des pays voisins ferment leur frontière
Monde
Législatives en Iran: les conservateurs en tête selon les premiers résultats
AFP, publié le dimanche 23 février 2020 à 14h59
L'Iran est devenu dimanche le pays où le nouveau coronavirus a fait le plus de morts hors de Chine avec huit décès, et le guide suprême iranien a accusé la presse étrangère d'avoir utilisé cette maladie comme un "prétexte" pour nuire aux législatives.
Le ministère de la Santé à annoncé la mort de trois nouveaux patients touchés par le COVID-19. Au total, il y a huit décès sur un total de 43 cas de contamination.
Les premiers cas en Iran et les deux premiers décès, survenus dans la ville sainte chiite de Qom au sud de Téhéran, ont été annoncés mercredi, deux jours avant les élections devant renouveler le Parlement.
"La propagande a commencé il y a quelques mois et s'est intensifiée à l'approche des élections et (tout particulièrement) les deux derniers jours (avant le scrutin) en utilisant le prétexte de cette maladie", a jugé dimanche le guide Ali Khamenei lors de son cours hebdomadaire à des étudiants en théologie à Téhéran.

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Quatre patients atteints du Covid-19 sont décédés dans le pays depuis vendredi soir, et 165 personnes sont actuellement contaminées.

En Italie, le nombre de cas de contamination au coronavirus ne cesse d'augmenter, et avec lui l'inquiétude des habitants. Selon le président de la région Lombardie, Attilo Fontana, 165 personnes sont actuellement contaminées par le Covid-19 sur le territoire, où quatrepersonnes ont succombé à la maladie depuis vendredi soir.  
EN IMAGES >> En Italie, des villes barricadées face au coronavirus 
Le chef de la protection civile, Angelo Borrelli, a ajouté que plus de 3000 tests de détection du Covid-19 ont été effectués ces derniers jours et qu'au moins une partie des résultats est attendue "dans l'après-midi", ce dimanche. Dans l'intervalle, une dizaine de villes ont été placées en quarantaine, faisant monter l'angoisse chez certains habitants. L'Express revient en quatre questions sur la situation dans le pays.  

Qui sont les personnes touchées ? 


Vendredi, le tout premier décès d'un Européen victime du virus a été annoncé par les autorités italiennes, dans le village de Vo'Euganeo. La victime, Adriano Trevisan, était un maçon italien âgé de 78 ans. Samedi, une deuxième victime a succombé à la maladie : il s'agissait d'une femme du même âge, hospitalisée depuis une dizaine de jours et qui résidait en Lombardie. Ce dimanche, une femme atteinte d'un cancer est également décédée sur le territoire, portant à trois le nombre de morts liés au coronavirus en Italie. Cette dernière victime avait été admise "en oncologie dans un état grave" à Crema, en Lombardie, et ses tests montraient "qu'elle avait contracté le coronavirus", a expliqué lors d'une conférence de presse l'adjoint général à la Santé, Giulio Gallera. 

chico.

chico.

L'épidémie de coronavirus a connu un tournant ces dernières 48 heures. La multiplication de nouveaux cas de coronavirus hors de Chine conforte le cri d'alarme de l'OMS sur le risque de propagation de l'épidémie, estiment dimanche des experts, en appelant à renforcer la vigilance. 
La multiplication de nouveaux cas de coronavirus hors de Chine conforte le cri d'alarme de l'OMS sur le risque de propagation de l'épidémie, estiment dimanche des experts, en appelant à renforcer la vigilance.
"L'épidémie de Covid-19 a connu un profond tournant ces dernières 48 heures. L'OMS et ses États membres doivent maintenant réfléchir à passer d'une stratégie d'endiguement à une stratégie d'atténuation, c'est à dire la réduction des impacts négatifs de la poursuite de la transmission" du virus, estime le professeur Devi Sridhar, responsable du programme de Gouvernance sanitaire à la faculté de médecine d'Édimbourg (Grande-Bretagne).
Vendredi, le patron de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus avait déjà tiré la sonnette d'alarme: "Au moment où nous parlons, nous sommes encore dans une phase où il est possible de contenir l'épidémie." Mais la "fenêtre de tir se rétrécit".
En cause notamment la multiplication de cas hors du berceau de l'épidémie en Chine "sans lien épidémiologique clair, tels que les antécédents de voyage ou les contacts avec un cas confirmé".
Des foyers sont ainsi apparus ou se sont développés rapidement ces derniers jours en Corée du Sud, en Iran - particulièrement meurtrier avec 8 décès pour 43 cas répertoriés dimanche - ou en Italie, où près de 150 cas de coronavirus ont été enregistrés en quelques jours et 11 villes placées en quarantaine. Dans ce pays, le plus touché en Europe, trois personnes sont mortes.

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[size=40]Coronavirus: premier mort français[/size]
[size=14][size=14]Par Challenges.fr le 26.02.2020 à 10h59
Un homme de 60 ans, mort dans la nuit de mardi à mercredi, du coronavirus. C'est la première victime française.[/size]
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L'homme est décédé à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.




Un Français de 60 ans contaminé par le nouveau coronavirus apparu en Chine est mort dans la nuit de mardi à mercredi à l'hôpital parisien de La Pitié-Salpêtrière, a annoncé mercredi le directeur général de la santé, Jérôme Salomon. Cette victime fait partie des trois nouveaux cas recensés en France, où le bilan s'élève désormais à 17 personnes infectées et deux décès.

Les deux autres nouveaux cas concernent un homme de 55 ans à Amiens, qui se trouve dans une "situation clinique grave" et a été placé en réanimation, et un homme de 36 ans à Strasbourg, revenu de Lombardie et qui "ne présente pas de signe de gravité", a dit Jérôme Salomon. Il s'agit de deux Français.

Dans ces deux cas, les autorités sanitaires disposent des coordonnées de l'ensemble de leurs contacts pour surveiller leur entourage, a ajouté le directeur général de la santé. L'homme décédé à Paris "a été testé en urgence hier à l'hôpital de La Pitié-Salpêtrière dans un état gravissime et (il) est malheureusement décédé dans la nuit", a déclaré Jérôme Salomon.
"L'enquête a été lancée en urgence", a-t-il poursuivi, ajoutant que les détails des investigations en cours au sujet de cet homme seraient présentés mercredi soir par le ministre de la Santé, Olivier Véran. La première personne morte en France en raison du coronavirus apparu en décembre en Chine, le premier décès hors d'Asie, était un touriste chinois de 80 ans. Cet homme originaire de la province du Hubei, premier foyer de l'épidémie, est mort le 14 février. Le coronavirus responsable de cette épidémie de pneumonie virale a contaminé environ 80.000 personnes et fait plus de 2.700 morts, pour l'immense majorité en Chine.

(Avec Reuters)

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Mikael

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février
À la Une aujourd'hui : le nombre de personnes contaminées au coronavirus a plus que doublé en France, 

philippe83


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Une lettre sera lue dans notre assemblée lors de notre réunion cette semaine pour savoir quoi faire face à ce virus dans les rassemblements.

samuel

samuel
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Diam’s ouvre une agence de voyage spécialisée dans les pèlerinages à La Mecque
L’ex-chanteuse a dévoilé son nouveau projet sur son compte Instagram jeudi.

Diam’s sur scène en 2010.
Diam’s sur scène en 2010. LE PARISIEN/JEAN-BAPTISTE QUENTIN
Par A.T.
Le 21 février 2020 à 15h26, modifié le 21 février 2020 à 16h53
L'ex-rappeuse Diam's se lance dans le tourisme. Elle a annoncé sur son compte Instagram, jeudi, ouvrir sa propre agence de voyage, baptisée Hégire voyages et spécialisée dans la Omra, le pèlerinage à La Mecque.

« Depuis deux ans, je passe énormément de temps à Médine, cette ville si chère au cœur de croyants. Depuis mon premier voyage dans les lieux saints, je nourris un rêve : ⁣⁣celui d'ouvrir ma propre agence de voyage et d'offrir à mes frères et sœurs la possibilité de venir faire la Omra dans les meilleures conditions, en toute confiance et en toute sérénité », écrit-elle sur le réseau social.

Josué

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philippe83 a écrit:Une lettre sera lue dans notre assemblée lors de notre réunion cette semaine pour savoir quoi faire face à ce virus dans les rassemblements.
voici les mesures.
limiter les poignées de mains et les embrassades se laver les mains le passage des micros se ferra par perche et les proclamateurs éviterons de les toucher quand ils parlent.

philippe83


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Oui c'est exactement ce qui s'est passé cet après-midi pendant la réunion.
Un produit pour les mains et une affiche à la porte d'entrée de notre salle résume cette approche.
A+

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Un couple de TJ qui revenait d'Italie a reçu l'ordre de rester chez eux pendant 14 jours.

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Annulation du semi-marathon de Paris, fin précipitée du Salon de l'agriculture... Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a annoncé de nouvelles mesures de restriction.

L'épidémie a atteint le stade 2. En France, le nombre de personnes contaminées par le coronavirus est passé à 73, a annoncé le ministre de la Santé Olivier Véran samedi après-midi, après un Conseil des ministres exceptionnel. 
Le ministre a pris plusieurs dispositions pour y faire face, notamment l'annulation de plusieurs manifestations sportives et culturelles. Tous les "rassemblements de plus de 5000 personnes" en milieu fermé et certains événements en extérieur, comme le semi-marathon de Paris dimanche, seront annulés face à l'intensification de l'épidémie causée par le nouveau coronavirus, a annoncé le gouvernement.  

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
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Vous prenez l'équation de la courbe du coronavirus, ou vous allez sur un site d'information en temps réel, et vous constatez qu'ilmonte verticalement comme une fusée. Il se stabilise ensuite mais ne régresse pas.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

Josué
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[size=38]Le patient zéro, clé essentielle pour contenir l’épidémie de Covid-19[/size]

Explication 

Après le décès d’un enseignant de 60 ans dans l’Oise, et alors que plus de trente cas de coronavirus ont été signalés dans le département, les autorités sanitaires redoublent d’efforts pour remonter la chaîne de contamination. Une étape cruciale pour ralentir la propagation du virus.



  • Jeanne Ferney, 
  • le 01/03/2020 à 11:21




Lecture en 3 min.

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. Au-college-Jean-De-Fontaine-Crepy-Valois-travaillait-professeur-Coronavirus_0_729_486



Au collège Jean-De-la-Fontaine à Crépy-en-Valois, où travaillait le professeur mort du Coronavirus.[size=12]DOMINIQUE TOUCHART/LE COURRIER PICARD/MAXPP
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► Qu’est-ce qu’un patient zéro ?


Crée au milieu des années 1980, au moment de l’épidémie de VIH, la notion de « patient zéro » – ou « cas index » – désigne la première personne à avoir été contaminée par un agent pathogène à l’origine d’une épidémie. Il peut parfois s’agir d’un porteur sain, sans symptômes mais tout de même contagieux. C’est peut-être le cas du « patient zéro » que les autorités sanitaires recherchent activement dans l’Oise, où plus de trente malades ont été identifiés depuis le décès d’un enseignant de 60 ans dans la nuit du mardi 25 février. Pour l’heure, on ignore où, comment et surtout qui les a contaminés. Seule certitude : ni l’un ni l’autre ne s’est rendu dans l’une des zones à risque, pas plus que les personnes qu’ils ont récemment côtoyées.
→ DANS L’OISE. Coronavirus : ce que l’on sait sur le foyer de contamination

Même situation en Lombardie et en Vénétie, les deux régions d’Italie touchées par l’épidémie. Si les autorités ont identifié le premier malade – « le patient 1 » – elles n’ont pas encore retrouvé l’individu qui a introduit le coronavirus dans la Botte.

►Comment le trouver ?


Dans l’Oise, c’est l’Agence régionale de santé (ARS) des Hauts-de-France qui est chargée de remonter jusqu’à lui en menant une enquête épidémiologique. En clair, il s’agit de retracer le parcours des premiers malades identifiés dans le département : quel a été leur emploi du temps, quels moyens de transports ont-ils empruntés, quelles personnes ont-ils fréquentées ?
Une procédure déjà expérimentée lors du Sras, en 2002-2003. « On recherche tous les gens qui ont été en contact avec les premiers malades et on teste tous ceux qui décrivent des signes respiratoires, même minimes, décrit le docteur Serge Alfandari, infectiologue au centre hospitalier de Tourcoing. Problème : les patients présentant peu ou pas de symptômes ont moins de chances d’être détectés. « Mais le virus étant moins présent chez eux, ils sont aussi moins contagieux », rassure le médecin.
→ INFOGRAPHIE. Coronavirus : nouveaux cas en France, propagation en Italie… Où en est l’épidémie ?
L’enquête peut-être longue et délicate « car on s’adresse à des familles dont un membre est parfois défunt ou dans le coma », précise la médecin et philosophe Anne-Marie Moulin. Et il n’est pas exclu que le résultat soit remis en question dans les semaines ou mois à venir. À l’image de Gaëtan Dugas, un steward canadien longtemps identifié, à tort, comme le « patient zéro » du VIH aux États-Unis. Attention donc à ne pas basculer dans la stigmatisation, avertit Anne-Marie Moulin, pour qui il faut à tout prix préserver l’anonymat des patients, afin de protéger les familles. « Le fait que la vie de certaines personnes puisse être en danger n’autorise pas tout, estime cette directrice de recherche émérite au CNRS. Cela ne doit pas virer à la chasse à l’homme. »

► Pourquoi est-il important de l’identifier ?


« À chaque fois que de nouveaux cas surgissent, on se demande toujours si ce n’est pas la partie émergée de l’iceberg, observe le docteur Alfandari. Trouver le contaminateur dans l’Oise pourrait nous dire si le virus circule quelque part «à bas bruit» ou nous permettre d’identifier une nouvelle zone à risque de contamination ». Autre intérêt : affiner le « R zéro », c’est-à-dire le nombre moyen de personnes qu’un malade peut contaminer. « En moyenne, un malade contamine deux personnes mais on sait que certains peuvent transmettre le virus à 15 personnes », souligne le docteur Alfandari, tout en insistant sur le fait qu’il n’y a pas, à proprement parler, de patient zéro dans ce département.
« En principe, il n’y a qu’un patient zéro par épidémie et non pas un patient zéro par territoire contaminé », confirme le professeur Pierre Tattevin, chef du service des maladies infectieuses au CHU de Rennes. Dans le cas de ce virus, le patient zéro désigne le premier humain contaminé, en l’occurrence une personne qui travaillait au marché aux animaux de Wuhan, en Chine, le foyer de l’épidémie. »
À lire aussi

Comment se protéger du coronavirus ?

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. La-solution-hydroalcoolique-efficace-quand-possibilite-laver-mains_0_190_135


Reste à savoir comment la transmission a pu se faire depuis un animal – un temps pointé comme la source, le pangolin a finalement été écarté. « Ce qui est très particulier avec ce virus et qui le rend fulgurant dans sa progression, c’est qu’il n’avait jamais été décrit chez l’homme. Que s’est-il passé pour qu’il contamine un humain ? s’interroge l’infectiologue. C’est cela qu’il serait intéressant de comprendre pour les épidémies à venir. 

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L'épidémie a déjà fait plus de 3000 morts à travers la planète. En France, 130 cas ont été détectés, et de nombreux événements annulés. 


Le bilan de l'épidémie de nouveau coronavirus a dépassé lundi les 3000 morts dans le monde. En Chine, les autorités ont annoncé lundi 42 nouveaux décès, portant le bilan de la maladie dans le pays à 2912 morts. Les 202 nouveaux cas signalés ce lundi dans le pays continentale constituent toutefois le plus faible chiffre quotidien depuis fin janvier. 
Mais si l'épidémie de Covid-19 semble faiblir en Chine, elle continue de s'aggraver dans plusieurs pays. En Italie, quelque 500 nouveaux cas ont été recensés dimanche, un bond spectaculaire qui porte le nombre de contagions à près de 1700 dans le pays. Cinq nouveaux décès ont par ailleurs été rapportés, portant le bilan à 34 morts dans la péninsule. 
En France, où 130 cas de contamination ont été recensés, le musée du Louvre a été fermé dimanche tandis que le semi-marathon de Paris a été annulé. Le Salon du Livre, prévu du 20 au 23 mars, est lui aussi annulé. La rentrée scolaire prévue ce lundi a été reportée dans neuf communes de l'Oise. 

Josué

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[size=44]Coronavirus : quand la politique chinoise se fait religion[/size]
Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. Xi-jiping-china-covid-19-051_xxjpbee007683_20200302_pepfn0a001
JU PENG / XINHUA

Le président chinois Xi Jinping lors de sa visite à l'Académie des sciences médicales militaires à Pékin, le 2 mars 2020.
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Emmanuel Dubois de Prisque | 02 mars 2020

Dans la Chine communiste, la politique n’est qu’une forme religieuse de l’art médical. Le rôle du Parti consiste à purifier la population de tous les poisons : virus ou… religions. Mais ce sont les chrétiens qui se distinguent au chevet des malades.


« L’épidémie est un démon. Nous ne pouvons pas laisser le démon se terrer. » C’est en ces termes qui peuvent nous sembler étranges que le secrétaire général du Parti communiste chinois Xi Jinping a décrit la lutte que devait mener la Chine contre le coronavirus, lorsqu’il a rencontré Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur de l’Organisation mondiale de la santé, le 28 janvier dernier à Pékin. Il ne s’agit pas d’une excentricité de la part du dirigeant chinois. Au contraire, pour la Chine traditionnelle impériale d’hier comme pour la Chine communiste d’aujourd’hui, la politique n’est qu’une forme suprême de l’art médical.

Elle consiste en effet à purifier le corps socio-politique de tout ce qui le menace : maladie, sédition, corruption, pollution des corps et des esprits. Ces menaces peuvent provenir des esprits maléfiques mais elles peuvent aussi prendre possession de personnes en chair et en os. 

La politique comme purification


Ainsi, longtemps avant l’émergence d’une nouvelle épidémie à coronavirus en 2017 , un discours du Parti dont un enregistrement a fuité à l’étranger, use d’un drôle de vocabulaire pour qualifier la pratique religieuse au Xinjiang, cette vaste région du nord-ouest de la Chine où vivent beaucoup de musulmans : l’extrémisme religieux est un « poison » qui perturbe l’esprit des gens, et doit être éradiqué à la racine avant qu’il ne se répande sous la forme du terrorisme comme «une  tumeur maligne incurable ». Les camps de rééducation sont des « hôpitaux » dans lesquels les Chinois touchés par la maladie idéologique religieuse peuvent renforcer leur « système immunologique » afin de pouvoir résister à « une nouvelle infection ». 

À propos d’hôpitaux, les deux qui ont été construits en un temps record à Wuhan et qui ont été ouverts le 3 et le 8 février derniers sous les yeux admiratifs du monde entier s’appellent pour le premier l’hôpital Huoshenshan, « l’hôpital du mont du dieu du volcan », et pour le second l’hôpital Leishenshan, « l’hôpital du mont du dieu du tonnerre ». Le premier fait référence à une figure mythologique (Zhurong) à la fois empereur mythique et dieu du feu et le second à un autre dieu plutôt effrayant (Leigong) qui dans la religion traditionnelle chinoise punit les hommes méchants et les esprits mauvais lorsqu’ils s’en prennent aux hommes. Drôles de noms pour un pays officiellement athée ! 

La religion, poison et remède


Ainsi la religion est considérée par le pouvoir chinois à la fois comme la source du mal qu’il faut combattre et comme la solution pour venir à bout de ce même mal : à la fois le poison et le remède. Lorsqu’elle est entre les mains du pouvoir qui l’utilise pour ses objectifs politiques, c’est un remède, mais lorsque la religion est vue par le pouvoir comme un phénomène incontrôlable qui « propage des maladies » idéologiques ou physiques dans le corps socio-politique, c’est un mal démoniaque contre lequel il faut lutter sans pitié. Les lecteurs de René Girard reconnaissent ici la figure du pharmakos, à la fois bouc émissaire et sauveur, qui perturbe la communauté mais dont l’expulsion sacrificielle vient ramener la paix. 

Et le christianisme dans tout ça ? On sait que le christianisme, notamment sous sa forme protestante, se développe rapidement en Chine. Selon certaines estimations, il y aurait jusqu’à 100 millions de chrétiens et certains experts estiment même, peut-être de façon un peu optimiste, que la Chine pourrait devenir à terme, et malgré les persécutions de plus en plus intenses du pouvoir contre les communautés chrétiennes, le premier pays chrétien au monde en nombre de fidèles. 

Les chrétiens au secours des malades


Les groupes chrétiens chinois se sont distingués pendant cette crise du coronavirus par leur souci de se porter au chevet des malades et des personnes isolées en leur apportant de la nourriture et des médicaments. Phénomènes assez nouveaux en Chine, les dons financiers en provenance de la société civile pour soutenir l’effort des autorités locales se sont aussi multipliés, souvent de la part des églises mais aussi des autres groupes religieux, notamment bouddhistes. 
Le Christ dans sa prédication a subverti les catégories du pur et de l’impur : “Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui rend l’homme impur ; mais ce qui sort de la bouche, voilà ce qui rend l’homme impur” (Mt 15, 11). Et un peu plus loin : “meurtres, adultères, inconduite, vols, faux témoignages, diffamations. C’est cela qui rend l’homme impur”. En retournant le regard vers notre cœur, le Christ empêche de considérer le mal comme un virus qui vient nous contaminer de l’extérieur, et ainsi de reporter toute la responsabilité du mal hors de nous. Les chrétiens authentiques ne peuvent que porter secours à ceux qui pendant les périodes d’épidémie risquent d’être considérés comme responsables du mal qui les accablent. Alors que le virus se propage, les chrétiens européens sauront-ils se montrer à la hauteur de leurs frères chrétiens de Chine ?

Josué

Josué
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Ce qui arrive c'est la faute des TJ.
https://nordpresse.be/coronavirus-les-temoins-de-jehovah-seraient-les-plus-grands-facteurs-de-propagation/

Rene philippe

Rene philippe

Josué a écrit:Ce qui arrive c'est la faute des TJ.
https://nordpresse.be/coronavirus-les-temoins-de-jehovah-seraient-les-plus-grands-facteurs-de-propagation/

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Mikael

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MODERATEUR
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Rene philippe a écrit:
Josué a écrit:Ce qui arrive c'est la faute des TJ.
https://nordpresse.be/coronavirus-les-temoins-de-jehovah-seraient-les-plus-grands-facteurs-de-propagation/

cat cat
C'est de l'humour. cat

Mikael

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I

ALERTE INFO | Coronavirus : dernières nouvelles



Les médias et organismes internationaux font état de l'épidémie de coronavirus (COVID-19) qui s'est déclarée récemment. Le siège mondial des Témoins de Jéhovah suit de près l'évolution de la situation tout en donnant des conseils pratiques sur la façon de se protéger, soi et les autres. Ces mesures préventives reposent sur des principes bibliques et sur les recommandations des autorités médicales (Proverbes 22:3).
PS pour le moment les conseils ne sont disponible qu'en anglais.

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