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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine.

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Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine, qui multiplie les mesures de confinement
Par reuters le 24.01.2020 à 05h50
L'épidémie de coronavirus qui s'est déclarée le mois dernier à Wuhan, ville du centre de la Chine, a fait 25 morts et infecté 830 personnes dans le pays, a annoncé vendredi le gouvernement.


Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

23 février 2021 : L'OFSP gonfle artificiellement le taux de positivité au covid 19...?


SCANDAL de nos offices de santé  ! 

OFSP (Office Fédéral de la Santé Publique) payée à 80 % par big pharma, autorise ou refuse la mise sur le marché des médicaments et des vaccins en Suisse.

Voici l'information qui paraît dans la presse genevoise en date du 20 février sur le site d'Heidi News : https://www.heidi.news/sante

Dans l'article, il est écrit :
"L’accusation est lourde. Selon les recherches de Nau.ch, les taux de positivité au Sars-CoV-2 publiés par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) sont «truqués». En effet, les résultats négatifs des tests de masse menés dans les EMS, les écoles, les hôtels et les entreprises pris en charge par la Confédération depuis fin janvier 2021 ne sont pas pris en compte dans les statistiques publiées par l'OFSP. Jonas Montani, porte-parole de l’OFSP le confirme à Nau.ch: l’obligation d’annonce ne concerne que les institutions médicales. Du coup, le taux de positivité publié quotidiennement est surestimé depuis le mois de janvier.
Pourquoi c’est problématique. Le taux de positivité est l’un des critères sur lequel se base la stratégie d’assouplissement progressif du Conseil fédéral. Pour que les bars et les restaurants puissent rouvrir en avril, le taux de positivité ne devra par exemple pas dépasser les 5% (au 16 février ce dernier était de 4,4%). Bien qu’en baisse actuellement, si le taux de positivité est artificiellement élevé à cause de résultats de tests négatifs pas pris en compte, cela ne fera que retarder cette échéance. De plus un office fédéral devrait garantir que ses statistiques sont fiables et tiennent compte de tous les tests..."

Josué

Josué
Administrateur

Covid-19 : l'hypothèse d'un accident de laboratoire relancée par de nouvelles découvertes

Toutes les pistes sur l'origine du Covid ne sont pas explorées de la même manière déplorent des scientifiques, appuyés par de récentes révélations au sujet du laboratoire P4 de Wuhan.


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Vue-aerienne-du-laboratoire-p4-l-sur-le-campus-de-l-institut-de-virologie-de-wuhan-dans-la-province-centrale-du-hubei-en-chine-le-27-mai-2020_6306540
[size=10][size=10]Vue aérienne du laboratoire P4 (L) sur le campus de l'Institut de virologie de Wuhan, dans la province centrale du Hubei, en Chine, le 27 mai 2020.

Photo by Hector RETAMAL / AFP


[size=13]Par LEXPRESS.fr
publié le 14/05/2021 à 12:42 , mis à jour à 13:01[/size][/size][/size]
C'est peu dire que ses conclusions ont laissé le monde entier sur sa faim. L'équipe de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) envoyée en Chine, en janvier, afin d'enquêter sur l'origine du Covid-19, a accouché d'un dossier de 300 pages où la thèse d'une transmission du virus à l'homme par l'intermédiaire d'un animal infecté - probablement une chauve-souris - dominait nettement. Le rapport, rendu public fin mars, jugeait en revanche "extrêmement improbable" l'hypothèse d'une fuite d'un laboratoire chinois, en l'occurrence celui de Wuhan, de type P4, susceptible d'abriter des agents hautement pathogènes comme le virus Sars-CoV-2.  
Peu après, l'OMS elle-même avait appelé à la Chine à plus de transparence sur le partage des informations. "Nous n'avons pas encore trouvé la source du virus et nous devons continuer de suivre les éléments scientifiques et d'explorer toutes les pistes possibles", avait exhorté le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, à la tête de l'organisation. 
LIRE AUSSI >> Origines du Covid-19 : le mystérieux laboratoire P4 de Wuhan livre certains de ses secrets
Plusieurs scientifiques à majorité américains et canadiens entendent aujourd'hui reconsidérer cette piste de l'accident de laboratoire. "Seules 4 des 313 pages du rapport [d'enquête, NDLR] et de ses annexes traitaient de la possibilité d'un accident de laboratoire", dénoncent-ils dans un article publié dans la revue Science. Alors même que "les théories du rejet accidentel d'un laboratoire et des retombées zoonotiques restent toutes deux viables". "Il est essentiel de savoir comment le COVID-19 est apparu pour éclairer les stratégies mondiales visant à atténuer le risque d'épidémies futures", expliquent encore ses auteurs, parmi lesquels figurent d'éminents spécialistes à l'image du microbiologiste Ralph Baric ou de la biologiste moléculaire Alina Chan. En parallèle, de nouvelles informations sur le laboratoire P4 de Wuhan pourraient mettre un coup d'accélérateur à ces recherches. 

Des travaux universitaires pourraient tout remettre en cause


Quelques heures avant la publication de l'article, une thèse de doctorat et deux mémoires de master menés entre 2014 et 2019 à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) ont été divulgués sur Twitter par le compte d'un scientifique anonyme dénommé The Seeker, révèle Le Monde. Ces derniers pourraient bouleverser les enquêtes en cours sur le laboratoire P4. Des spécialistes consultés par le quotidien indiquent que ces travaux universitaires remettent en question le nombre et la nature des coronavirus conservés par la structure. 

Des doutes existent notamment à l'égard du désormais fameux RaTG13, le coronavirus le plus proche du SARS-CoV-2 connu à ce jour. En juillet 2020, quelques mois après la publication de la séquence génétique de ce virus, la virologue Shi Zhengli, patronne du laboratoire de haute sécurité du WIV, avait affirmé dans Science qu'il s'agissait en fait d'un virus déjà connu : Ra4991. Ce dernier avait été prélevé il y a plus de sept ans et son génome avait été partagé en 2016. Or, le plus récent des travaux universitaires mis au jour sur Twitter contredit aujourd'hui ses propos. Des différences seraient localisées sur la fameuse protéine "Spike" qui permet au virus de pénétrer dans les cellules de son hôte, rappelle Le Monde. "Cela représente une variation de 1 % à 1,5 % sur ce segment du génome, ce qui est significatif et correspond à entre 10 et 15 mutations, sur un domaine jouant un rôle-clé pour l'infectivité du virus", précise le virologue Etienne Decroly, du CNRS, au quotidien. 
LIRE AUSSI >> Origines du coronavirus : du marché au labo P4, dans les pas des enquêteurs de l'OMS à Wuhan
Il y a pire. Les trois mémoires mentionnent l'existence d'un autre coronavirus, prélevé en même temps que le RaTG13 - très proche du SARS-CoV-2 rappelons-le - et qui n'a jamais été révélé. Le laboratoire affirmait jusqu'ici détenir huit autres séquences collectées en même temps que RaTG13 dans une mine désaffectée de la province du Yunnan, qui ne sont d'ailleurs toujours pas publiées. L'Institut de virologie de Wuhan soutenait enfin que les trois ouvriers décédés au cours de cette expédition scientifique, entamée en 2012, avaient succombé à un champignon pathogène. Une information remise en cause par les travaux universitaires, note Le Monde, qui font état de bien plus d'analyses effectuées par le WIV qu'officiellement divulguées. 

Manipulations de coronavirus dès 2013


Comme nous le révélions fin avril, le laboratoire de Wuhan travaillait dès 2013 sur des coronavirus de chauve-souris "ayant un potentiel de passage à l'Homme car possédant la faculté de se fixer sur le récepteur des cellules humaines ACE2", selon un article exhumé dans la revue Science. Parmi ces virus baptisés W1V1, 3367 et SHCO14, W1V1 est cultivé en cellules et a le potentiel pour "passer directement à l'Homme sans hôte intermédiaire", est-il écrit.  
"Nous sommes en 2013 !", s'exclame le virologue Hervé Fleury. En 2015, une autre publication dans Nature Medecine (fruit d'une collaboration entre la même équipe chinoise de Wuhan et une équipe américaine de Caroline du Nord) met en avant la création de "chimères", notamment à partir d'un virus de type SARS adapté à la souris, et dans lequel ils ont introduit le gène Spike (ou spicule) du SHC014. Enfin, en 2016, l'équipe américaine lance l'alerte sur des virus de chauve-souris comme W1V1 qui pourraient passer directement à l'Homme. 

papy

papy

ENQUÊTE. Accident de laboratoire ou transmission animale : aux origines du Covid-19

De 2012 à 2019, d'une mine désaffectée dans le Yunnan au marché aux animaux de Wuhan, la genèse de la pandémie de Sars-CoV-2 est encore une énigme. Mais, petit à petit, certaines pièces du puzzle s'assemblent. Récit.


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Illustration-couv-3649-ne-pas-reutiliser_6310006
[size=10][size=10]Le mystère s'épaissit autour de l'orgine du Covid-19.

Stéphane Humbert-Basset /L'Express


[size=13]Par Yohan Blavignat
publié le 08/06/2021 à 18:00 , mis à jour à 22:49
Dans l'hebdo du 10 Juin[/size][/size][/size]


  • Actualité
  • Sciences



En cette fin du mois de décembre 2019, la vie suit son cours sur le marché de gros Huanan de la ville de Wuhan, en Chine. Dans ce vaste labyrinthe - plus de 650 étals, principalement de fruits de mer, et 1200 travailleurs - , sous les néons poussiéreux, on compte ce matin-là une dizaine de vendeurs d'animaux sauvages vivants. Dans les allées étroites, ces derniers s'empressent et disposent leur précieuse marchandise : écureuils, renards, ratons laveurs, sangliers, salamandres géantes...Aux premières lueurs du jour, les badauds commencent à affluer dans la galerie. Certains sont venus s'abriter du froid, d'autres sont là pour acheter de quoi manger. A ce moment-là, personne ne sait ce qui est en train de se jouer dans la mégalopole chinoise peuplée de 11 millions d'habitants et située à 1000 kilomètres de Pékin. En coulisses, les cartes ont pourtant déjà été distribuées depuis de nombreuses semaines. Dans la capitale du Hubei, de plus en plus de personnes sont hospitalisées pour des cas de pneumonies virales d'origine inconnue. On découvrira plus tard qu'il s'agit d'une nouvelle épidémie de coronavirus affilié au Sras, le syndrome respiratoire aigu sévère apparu en Chine en 2002. Le 31 décembre, le monde apprend l'existence de celui qui ne se nomme pas encore Covid-19. La suite, nous la connaissons. Le mystère réside dans les mois précédents : quels événements ont conduit à l'apparition du Sars-CoV-2 ? D'où sort ce virus qui a fait à ce jour plus de3,6 millions de morts (6 millions, selon l'OMS) et mis la planète à genoux ? 

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Svg>


Dario Ingiusto/L'Express

"Nous savons deux choses : que la nature regorge de coronavirus cousins du Sars-CoV-2 infectant les chauves-souris, mais loin de Wuhan; et que l'épicentre de l'épidémie est précisément à Wuhan. Maintenant, il faut comprendre les chaînes de transmission", résume Etienne Decroly, directeur de recherche au CNRS (université d'Aix-Marseille). Dès le mois de janvier 2020, un scénario se dégage : une chauve-souris a infecté un pangolin qui passait par là, s'ensuit une recombinaison de deux virus, puis une épidémie qui déborde du fait d'un marché très fréquenté où humains et animaux se côtoient. Voilà la première scène du film catastrophe "Covid-19". Du moins le croyait-on. Car la fable, venue de Chine, s'est très vite imposée, au point d'être relayée par la prestigieuse revue Nature. Le coupable est donc le pangolin, un petit mammifère de1,5 mètre pour une trentaine de kilos. Accusé, levez-vous ! 

Un an et demi après, ils sont encore nombreux à croire l'enquête bouclée. Sauf que, depuis, ce drôle de petit animal à écailles a été innocenté. Si l'on a retrouvé des traces du virus chez certains spécimens en Chine, tout indique aujourd'hui qu'ils ont été contaminés par l'homme, et non l'inverse

Josué

Josué
Administrateur

Origines du Covid : ces scientifiques français qui ont relancé la piste du laboratoire

Des chercheurs marseillais ont contribué à légitimer l'idée qu'il ne fallait pas s'en tenir uniquement à l'hypothèse de la zoonose.






Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 3649-couverture-3_6309828
[size=10][size=10]Les scientifiques du "groupe de Paris" travaillent depuis plusieurs mois sur l'hypothèse d'une fuite d'un des laboratoires de Wuhan pour expliquer le démarrage de l'épidémie.

YOMIURI SHIMBUN / The Yomiuri Shimbun / AFP


[size=13]Par Stéphanie Benz
publié le 10/06/2021 à 09:00 , mis à jour à 15:12
Dans l'hebdo du 10 Juin[/size][/size][/size]

Un concours de circonstances. Non seulement le virologue Etienne Decroly est un expert des coronavirus, mais en plus il a effectué son post-doc au sein d'un laboratoire canadien spécialisé dans l'étude des protéines "spike" de ces virus, la clef qui leur permet de pénétrer dans nos cellules pour s'y multiplier. Grâce à ces compétences très pointues, il a pu repérer très vite une anomalie dans le génome du Sars-coV-2 qui, depuis, a fait couler beaucoup d'encre. Ce virus est, en effet, le seul de la famille des sars-cov à posséder une sorte de passe-partout adapté à l'homme : les scientifiques parlent de "site de clivage par furine". Avec quatre autres chercheurs marseillais et un Canadien, Etienne Decroly publie sa découverte au début de février 2020. "A ce moment-là, nous nous disions qu'il s'agissait d'une évolution naturelle. Puis nous nous sommes plongés dans la littérature scientifique et nous avons vu que l'essence même des travaux de l'Institut de virologie de Wuhan était de modifier les virus pour comprendre les franchissements de barrières entre espèces", raconte le chercheur, qui commence alors à s'interroger sur un possible accident de laboratoire. 

LIRE AUSSI >> ENQUETE Accident de laboratoire ou transmission animale : aux origines du covid-19
Deuxième étrangeté, repérée cette fois par son collègue et complice depuis plus de quinze ans, Bruno Canard. Le 13 février 2020, les scientifiques de l'Institut de virologie de Wuhan publient dans Nature une description du Sars-coV-2. "Ils ont présenté une figure de la spike, mais ils l'ont coupée de manière à masquer ce site de clivage par furine. Ces chercheurs sont les meilleurs experts, et ce point crucial leur aurait échappé ? Pour moi, c'était inexplicable", rapporte Bruno Canard.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Coronavirus en Chine : Des foyers de l'épidémie signalés dans deux nouvelles régions[/size]

PANDEMIE Il s’agit de la résurgence la plus importante du Covid-19 depuis des mois dans le pays

20 Minutes avec AFP
Publié le 31/07/21 à 06h54 — Mis à jour le 31/07/21 à 06h54







Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 310x190_patient-teste-contre-covid-19-chine
Un patient testé contre le Covid-19 en Chine. — STR
L’épidémie continue de gagner du terrain après des mois d’accalmie. Deux nouveaux territoires chinois, incluant une ville de 31 millions d’habitants, présentent des foyers épidémiques du Covid-19, ont annoncé les autorités sanitaires samedi. Des cas ont été répertoriés dans la province de Fujian et dans la municipalité de Chongqing, selon la Commission nationale de santé, des territoires s’ajoutant aux quatre provinces et à la capitale, Pékin, où des infections au variant Delta avaient déjà été signalées.
Plus de 50 nouveaux cas ont été enregistrés dans le pays, pour un total de plus de 200 depuis le début de la reprise épidémique liée à un foyer de contamination dans la province orientale de Jiangsu, où neuf employés de l’aéroport de Nankin ont été testés positifs le 20 juillet. Les autorités de Nankin ont ordonné à toutes les attractions touristiques et lieux culturels de ne pas ouvrir samedi, en raison de l’augmentation des transmissions nationales.









Dépistages obligatoires et confinement


Des centaines de milliers de personnes sont désormais confinées dans la province du Jiangsu, dont Nankin est la capitale, tandis que la ville a soumis ses 9,2 millions d’habitants à deux dépistages. La ville touristique de Zhangjiajie, dans la province du Hunan, où une poignée de personnes positives ont assisté à une représentation théâtrale, a confiné ses 1,5 million d’habitants et fermé toutes les attractions touristiques vendredi, selon un communiqué officiel. Célèbre pour ses formations rocheuses impressionnantes, la ville est l’endroit où une partie de la superproduction Avatar a été filmée.
En banlieue de Pékin, dans le district de Changping où deux malades ont été découverts, 41.000 personnes ont été placées en confinement jeudi. Il s’agit des premiers cas locaux enregistrés dans la capitale, qui compte plus de 20 millions d’habitants, depuis six mois.

Deux morts rapportés depuis avril 2020


Si le coronavirus a été détecté pour la première fois à Wuhan (centre) fin 2019​, la Chine a depuis largement maîtrisé l’épidémie grâce à des confinements, des applications mobiles de suivi des déplacements ou des quarantaines obligatoires à l’arrivée sur le territoire.
La vie est quasi-normale depuis le printemps 2020, et le pays n’a rapporté que deux morts du Covid-19 depuis avril l’an passé.

Josué

Josué
Administrateur

[size=30]Trois nouveaux cas ont été confirmés dans la ville chinoise, qui va tester ses 11 millions d'habitants.  Les précédents cas remontaient à mai 2020.[/size]



Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 BtnClose

Source AFP
Publié le 03/08/2021 à 08h11 - Modifié le 03/08/2021 à 11h51


Après la confirmation de trois nouveaux cas de Covid-19 dans la ville chinoise de Wuhan, où la maladie avait fait son apparition fin 2019, ses 11 millions d’habitants vont être à nouveau dépistés, ont annoncé les autorités locales, ce mardi 3 août. Les précédents cas de Covid enregistrés dans la ville remontaient à mai 2020. La Chine est en effet rattrapée à son tour par une flambée de la souche Delta, apparue le mois dernier dans l’est du pays.
La cité des bords du Yangtsé « est en train de lancer rapidement un dépistage PCR généralisé de tous ses habitants », a annoncé Li Tao, un responsable de la mairie, lors d’une conférence de presse. Au total, sept travailleurs originaires d’autres provinces ont été testés positifs au Covid-19, ont annoncé lundi les autorités. Quatre d’entre eux ne montrent toutefois pas de symptômes de la maladie.




Au moins 300 nouvelles infections confirmées


La Chine, qui a pratiquement éradiqué l’épidémie dès le printemps 2020, est confrontée depuis quelques semaines à la résurgence la plus étendue du virus depuis l’an dernier. Avec au moins 300 nouvelles infections confirmées au total en juillet dans tout le pays, ce regain de contamination reste toutefois très limité par rapport aux chiffres enregistrés dans d’autres pays.


À LIRE AUSSIBancel : « Il y aura des variants plus compliqués que le Delta à gérer »
Mais ce foyer est important en termes d’étendue géographique : plus d’une douzaine de provinces sont désormais touchées ainsi que Pékin, la capitale, qui a appelé dimanche ses habitants à ne pas quitter la ville sauf raison impérieuse.

https://www.lepoint.fr/monde/chine-apres-des-cas-de-covid-19-wuhan-fait-depister-ses-habitants-03-08-2021-2437619_24.php?M_BT=52544877662#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20210803

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Coronavirus : 1,63 million de vaccins Moderna suspendus au Japon à cause d’une anomalie[/size]

VACCINATION Des corps étrangers ont été découverts dans certaines fioles du vaccin contre le coronavirus Moderna au Japon

20 Minutes avec AFP
Publié le 26/08/21 à 10h17 — Mis à jour le 26/08/21 à 14h15



Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 310x190_flacon-vaccin-moderna-haiti-illustration
Un flacon du vaccin Moderna, ici à Haïti. (illustration) — Joseph Odelyn/AP/SIPA
Après des signalements de la présence d’impuretés dans certaines fioles du vaccin de la biotech américaine Moderna contre le coronavirus, le Japon a annoncé, ce jeudi, suspendre l’utilisation de 1,63 million de doses.
Le groupe pharmaceutique nippon Takeda, qui importe et distribue au Japon le vaccin de Moderna, a déclaré dans un communiqué avoir reçu « des signalements de plusieurs centres de vaccination, selon lesquels des corps étrangers ont été découverts » dans des fioles de vaccin scellées. « Après consultation avec le ministère de la Santé, nous avons décidé de suspendre l’utilisation » de tous les vaccins issus de trois lots à compter de jeudi, soit 1,63 million de doses au total, a ajouté Takeda.

Une quarantaine de fioles concernées

Le groupe japonais a demandé à Moderna de mener une « enquête urgente » sur ces lots, qui selon des médias locaux ont été produits en Espagne. La présence de contaminants a été constatée dans 39 fioles scellées de vaccins, dans huit centres de vaccination différents au Japon, y compris à Tokyo, selon la chaîne de télévision publique japonaise NHK. Ces fioles provenaient toutes d’un seul des trois lots retirés de la distribution au Japon. L’utilisation des deux autres lots a été arrêtée par mesure de précaution, a expliqué jeudi le porte-parole du gouvernement Katsunobu Kato.




« Pour l’heure, rien n’indique que des doses contenant ces contaminants aient été administrées » à des personnes, a-t-il ajouté lors d’un point de presse régulier. Par conséquent, « nous n’avons pas eu de remontées d’informations » sur d’éventuels dommages sur la santé liés à l’injection de telles doses suspectes, a ajouté Katsunobu Kato.

Record d’infections

Le personnel médical qui injecte les doses inspecte par ailleurs les fioles à l’œil nu avant de préparer et d’injecter des doses, a précisé de son côté le ministère nippon de la Défense, qui gère des centres de vaccination de masse dans le pays. Le ministère de la Santé va coopérer avec Takeda pour distribuer des doses alternatives, afin d’éviter une interruption du programme national de vaccination qui accélère depuis quelques mois, après un lent démarrage.
Environ 43 % de la population du Japon est totalement vaccinée. Mais cela n’empêche pas le pays de se débattre actuellement avec des niveaux records d’infections quotidiennes, du fait notamment du variant Delta, plus résistant et plus contagieux. La majeure partie de l’archipel est désormais concernée par des restrictions contre le Covid-19, mais celles-ci demeurent limitées et leur efficacité douteuse, les moyens coercitifs du gouvernement pour les imposer
 étant restreints.
https://www.20minutes.fr/monde/3109539-20210826-coronavirus-163-million-vaccins-moderna-suspendus-japon-cause-anomalie?xtor=EREC-182-[actualite]

papy

papy

[size=62]Covid-19 dans le monde : la pandémie sur un plateau déséquilibré[/size]

[size=30]INFOGRAPHIES. Si la situation épidémique s’améliore en Europe occidentale, l’Afrique et l’Asie du Sud traversent encore des situations critiques.[/size]


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La crémation d'une personne décédée du Covid-19 en Indonésie.:copyright: JOHANNES P. CHRISTO / ANADOLU AGENCY / Anadolu Agency via AFP

Par Isabelle Missiaen
Publié le 03/09/2021 à 07h20
[size=40]Le Covid-19 n’aura pas épargné l’été 2021. Plus de 35 millions de personnes ont été infectées dans le monde depuis juillet, dont presque 995 000 en France. Le pays a déploré plus de 700 décès liés au Covid-19 en juillet, et plus de 2 400 en août. Tandis que la situation s’améliore en Europe occidentale, des parties du monde jusqu’alors moins touchées par la pandémie, comme l’Afrique et l’Asie du Sud, traversent encore des situations critiques.
En France, le pic de contaminations de cette quatrième vague a été atteint autour du 15 août. Depuis, le nombre quotidien de nouveaux cas diminue lentement. L’évolution de la mortalité liée au Covid-19 a suivi avec une dizaine de jours de décalage. À l’échelle du monde, la pandémie s’est mise à ralentir début août, mais le nombre de nouveaux cas et de décès ne redescend que depuis quelques jours.[/size]

papy

papy

Aux Etats-Unis, le prétexte de la religion pour échapper à la vaccination

Les demandes d'exemption au vaccin pour raisons religieuses font florès outre-Atlantique. Et ce, alors que la campagne de vaccination patine.



Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Des-manifestants-anti-vaccination-se-rassemblant-pres-de-l-hotel-de-ville-de-los-angeles-le-14-aout-2021-pour-protester-contre-le-vote-de-mesures-en-faveur-de-la-vaccination_6327912
[size=10]Des manifestants anti-vaccination se rassemblant près de l'hôtel de ville de Los Angeles, le 14 août 2021, pour protester contre le vote de mesures en faveur de la vaccination
DAVID MCNEW / AFP


[size=13]Par Paul Véronique
Publié le 24/10/2021 à 13:00[/size]
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  • Amérique du Nord




Pour les opposants au vaccin, tous les moyens sont bons pour échapper à la piqûre. Aux Etats-Unis, où de plus en plus d'employeurs exigent désormais la vaccination de leurs salariés, les demandes d'exemption pour motif religieux se multiplient à un rythme inquiétant dans certains territoires. Dans l'Oregon, au moins 11% des fonctionnaires ont obtenu une telle dispense, selon les derniers chiffres communiqués par l'Etat. Constat similaire à Los Angeles, où près d'un quart des forces de police de la ville a formulé cette requête le mois dernier, soit plus de 2600 agents. 
"Assez tôt, de fausses informations ont affirmé que les vaccins contenaient des cellules provenant de foetus avortés. Certaines personnes ont donc décidé de les rejeter, considérant que l'avortement allait à l'encontre de leurs croyances", explique Monica Gandhi, professeure de médecine spécialiste des maladies infectieuses à l'Université de Californie à San Francisco. Si des lignées cellulaires, générées à partir d'anciennes cellules d'embryons produites en laboratoire dans les années 1970, ont été utilisées lors de la phase de développement du vaccin, les flacons ne contiennent effectivement aucune cellule foetale. 



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LIRE AUSSI >> Traitement du Covid : aux Etats-Unis, la dangereuse frénésie pour l'ivermectine
"La religion est utilisée comme une excuse par certains pour ne pas se faire vacciner", s'agace Irwin Redlener, professeur à l'Université de Columbia et directeur du Pandemic Resource and Response Initiative. "Mais il n'y a rien dans les trois grandes religions monothéistes qui proscrive la vaccination pour les croyants." En témoigne l'appel à recevoir l'injection lancé en août dernier par le pape François, qui évoquait alors un "geste d'amour". Un mois plus tard, le souverain pontife avait même enfoncé le clou en s'en prenant aux "quelques négationnistes" refusant la vaccination, en référence au cardinal américain ultra-conservateur Raymond Burke. 
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Reste que le droit américain prévoit dans certains cas la possibilité d'obtenir une exemption religieuse, en vertu du Civil Rights Act de 1964, qui interdit entre autres la discrimination fondée sur la religion en matière d'emploi, et du premier amendement, garantissant la liberté de religion. Bien que les employeurs puissent théoriquement refuser cette demande, ce cas de figure serait en réalité assez rare selon Rachel Laser, la présidente de l'Union américaine pour la séparation de l'Eglise et de l'Etat. "Le salarié est censé prouver la sincérité de sa demande en fournissant des preuves attestant de l'incompatibilité de la vaccination avec ses croyances. Mais dans les faits, de nombreux employeurs acceptent assez facilement par peur d'apparaître hostiles aux religions", souligne-t-elle. 

Campagne de vaccination menacée


Cette question délicate a en tout cas déjà été portée devant les tribunaux, avec en bout de course des jugements contradictoires. Alors que les Etats du Maine et de New York ont tenté d'imposer la vaccination aux soignants sans possibilité de recourir à des exemptions religieuses, un juge fédéral a validé cette semaine la mesure dans le premier Etat, tandis qu'un juge new-yorkais l'a suspendue dans le deuxième. 

"A terme, la Cour Suprême des Etats-Unis pourrait être amenée à statuer sur cette question. Mais je m'inquiète de la décision qu'elle pourrait prendre dans la mesure où elle est composée d'une majorité conservatrice très favorable à la liberté religieuse", glisse Rachel Laser. "Cette liberté religieuse ne devrait pas être un droit de mettre en danger la vie des autres. Il ne devrait pas y avoir de droit à invoquer le premier amendement lorsqu'il y a des risques pour la santé publique." 
https://www.ciase.fr/medias/Ciase-Rapport-5-octobre-2021-Annexe-AN32-Recueil-de-temoignages-De-victimes-a-temoins.pdf

Josué

Josué
Administrateur

Les autorités ont imposé lundi des confinements à des dizaines de milliers d'habitants du nord de la Chine et demandé aux Pékinois de limiter leurs déplacements en raison d'un rebond des cas de Covid-19 dans le pays.
Les autorités ont imposé lundi des confinements à des dizaines de milliers d'habitants du nord de la Chine et demandé aux Pékinois de limiter leurs déplacements en raison d'un rebond des cas de Covid-19 dans le pays, à une centaine de jours du démarrage des JO d'hiver de Pékin. La Chine a recensé 39 nouveaux cas de Covid-19 lundi et plus d'une centaine sur la semaine écoulée, la plupart de ces contaminations étant liées aux déplacements d'un groupe de touristes.

Les autorités chinoises, qui pratiquent une politique de "tolérance zéro" à l'égard du virus, ont réagi promptement, imposant des restrictions et organisant des campagnes de dépistage de masse dans les régions affectées. A Pékin, où doivent démarrer les jeux Olympiques d'hiver le 4 février, un marathon auquel devaient participer quelque 30.000 coureurs le 31 octobre a été reporté sine die "de manière à prévenir le risque de transmission épidémique", selon les organisateurs.

Josué

Josué
Administrateur

[size=36]Covid-19 : la Chine sort les grands moyens contre un «grave» rebond épidémique[/size]
Le Parisien avec AFP - Il y a 2 h
Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 BB5Lq2V

Covid-19 : la Chine sort les grands moyens contre un «grave» rebond épidémiq







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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 BB1cIDpA
[size=12]© Fournis par Le ParisienLe Parisien


Une situation « grave et complexe » : A moins de 100 jours des Jeux olympiques d’hiver de Pékin, les autorités chinoises, qui appliquent une politique de tolérance zéro à l’égard du moindre cas de Covid-19, ont ressorti les grands moyens pour éradiquer une flambée épidémique pour le moment très limitée, avec moins de 300 cas. Quatorze provinces sont néanmoins touchées sur la trentaine que compte le géant asiatique, et le virus a gagné Pékin il y a une dizaine de jours.
Si ces chiffres peuvent paraître dérisoires par rapport à ceux enregistrés quotidiennement dans d’autres parties du monde, ils poussent le pouvoir à redoubler de vigilance à l’approche des JO d’hiver, qui débuteront le 4 février.
Pour freiner la contagion, tous les cinémas du district de Xicheng à Pékin devront restés fermés jusqu’au 14 novembre, a indiqué la municipalité. Ce district, qui regroupe des quartiers situés à l’ouest de la place Tiananmen, compte plus d’un million d’habitants. La décision intervient au moment où la Chine a signalé samedi au niveau national 59 nouveaux cas de Covid d’origine locale, soit un nombre record depuis la mi-septembre. Parmi eux, deux cas supplémentaires à Pékin.
Plus virulent

Vidéo: COVID-19 - La partie continentale de la Chine enregistre 35 nouveaux cas locaux (Dailymotion)

Video player from: Dailymotion (Privacy Policy)
Le parc Universal Studios, qui a ouvert fin septembre, a annoncé samedi la présence de cas contact parmi ses visiteurs du week-end dernier. Tout le personnel a été testé négatif et aucune trace du virus n’a été décelée, a assuré le parc, qui a renforcé le dépistage de ses employés et la vaccination.

La Chine, où les premiers cas de Covid ont été découverts il y a bientôt deux ans, a depuis largement contrôlé l’épidémie sur son sol. La vie est revenue à la normale depuis le printemps 2020 et le pays n’a enregistré que deux morts en plus d’un an. Mais des foyers localisés apparaissent toutefois sporadiquement. Le dernier en date concerne une zone à la frontière avec la Mongolie. Un couple de personnes âgées, qui s’y était rendu en voyage organisé, a contribué à la propagation du virus dans d’autres régions.
Sur le plan sanitaire, la situation est « grave et complexe », a admis samedi devant la presse le porte-parole du ministère de la Santé, Mi Feng, soulignant la rapidité de circulation du virus. La proportion de cas graves est également plus élevée que lors des précédents rebonds épidémiques, a fait remarquer une responsable du ministère de la Santé, Guo Yanhong. D’après elle, 40% des malades ont plus de 60 ans.
Vols annulés, mariages reportés
Par précaution, quelque six millions de Chinois à travers le pays font l’objet d’un confinement. La grande ville de Lanzhou (nord-ouest) avait créé la surprise mardi en interdisant toute sortie de domicile sauf raison impérative. Ainsi, et avec des dépistages à grande échelle, la propagation du virus peut être sous contrôle « sous un mois », a estimé samedi le virologue Zhong Nanshan, l’une des figures de la lutte contre le Covid. Il a toutefois prévenu que le virus ne pourra « pas être éradiqué à court terme ».
L’entrée de plusieurs régions est désormais conditionnée à la présentation d’un test négatif, en particulier pour les voyageurs en provenance de zones où des cas ont récemment été signalés. Vendredi, environ la moitié des vols au départ des deux principaux aéroports de Pékin ont été annulés. Et les autorités déconseillent de quitter la capitale sauf nécessité. Elles ont par ailleurs demandé aux Pékinois de reporter les mariages.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/covid-19-la-chine-sort-les-grands-moyens-contre-un-grave-rebond-%C3%A9pid%C3%A9mique/ar-AAQ7FAF?ocid=winp1taskba

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papy

papy

Selon une équipe de chercheurs britanniques, la vaccination ne limite pas la propagation du variant Delta, la charge virale étant similaire chez les vaccinés et les non-vaccinés. Pour les auteurs de l'étude, la vaccination n'est «pas suffisante». Après avoir examiné 602 cas au Royaume-Uni, les chercheurs de l'Imperial College de Londres et de l'Agence de sécurité sanitaire britannique (HSA) ont conclu dans leur étude, publiée dans The Lancet le 29 octobre, que «bien que les vaccins restent très efficaces pour prévenir les maladies graves et les décès dus au Covid-19, les résultats suggèrent que la vaccination n'est pas suffisante pour prévenir la transmission du variant Delta dans les ménages avec des expositions prolongées». Lire aussi Suspendue pour défaut de vaccin anti-Covid, une infirmière reçoit une médaille du travail L'étude soutient que la charge virale (la quantité de virus dans le corps) est similaire chez les vaccinés et les non-vaccinés, bien que le virus se dissipe plus rapidement chez les personnes vaccinées. «Les personnes entièrement vaccinées ont une charge virale maximale similaire à celle des cas non-vaccinés et peuvent transmettre rapidement le virus dans un foyer, y compris au contact d'individus entièrement vaccinés», précise l'article scientifique. Selon les chercheurs, «les tests de surveillance ponctuels basés sur les symptômes sous-estiment probablement» la transmission, et «surestiment aussi potentiellement l'efficacité du vaccin contre l’infection». Dans leur analyse des foyers britanniques exposés au variant Delta, les chercheurs ont découvert que 38% des personnes non-vaccinées avaient contracté le Covid, tandis que 25% des personnes vaccinées l'avaient contracté. Sur les 38 personnes vaccinées qui ont été infectées par le virus, 14 avaient reçu le vaccin de Pfizer, 23 celui d'Astrazeneca, et une celui de Sinovac. Ajit Lalvani, co-auteur de l'étude et professeur d'infectiologie à l'Imperial College de Londres, a conclu que «la vaccination à elle seule n'est pas suffisante pour empêcher les gens d'être infectés par le variant Delta et de le propager dans les foyers», mais il a toutefois encouragé les personnes non-vaccinées à recevoir le sérum. 

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/92158-covid-vaccines-transmettent-autant-variant-delta-non-vaccines-etude

Josué

Josué
Administrateur

Le chef de l'OMS a appelé lundi les nations à établir un accord sur les pandémies pour que les générations futures soient mieux armées pour les combattre, près de deux ans après l'éruption du Covid.
"Plus jamais ça!": le chef de l'OMS a appelé lundi les nations à établir un accord sur les pandémies
 pour que les générations futures soient mieux armées pour les combattre, près de deux ans après
 l'éruption du Covid. "Tout cela se reproduira à moins que vous, les nations du monde, ne vous unissiez pour dire d'une seule voix: plus jamais ça!", a déclaré le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à l'ouverture de la réunion exceptionnelle de l'Assemblée mondiale de la santé - organe décisionnel suprême de l'Organisation mondiale de la santé qui rassemble ses 194 membres.
Cette réunion de trois jours n'est que la seconde session spéciale de l'Assemblée mondiale de la santé. Les membres de l'OMS sont convenus dimanche de lancer des négociations en vue de créer un instrument international pour mieux prévenir et combattre les pandémies. Au cours de la réunion, qui doit durer trois jours, les membres de l'OMS doivent officiellement valider ce projet d'accord. "Le moment est venu de nous élever au-dessus de cette pandémie et de laisser un héritage aux générations qui nous suivront", a souligné M. Tedros. "L'émergence d'Omicron est un autre rappel que le Covid n'en a pas fini avec nous", a-t-il poursuivi, en relevant que le monde ne devrait pas avoir besoin "d'un autre rappel à l'ordre".
Le nouveau variant Omicron "montre pourquoi le monde a besoin d'un nouvel accord", a-t-il dit. Le projet d'accord sur lequel les membres de l'OMS se sont mis d'accord dimanche de façon informelle prévoit la création d'"un organe intergouvernemental" en vue de rédiger et négocier "une convention, un accord ou un autre instrument international de l'OMS sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies". Un rapport intermédiaire est attendu pour mai 2023. Le résultat devrait être sur la table pour l'Assemblée mondiale de la santé de mai
2024.
--
AUSSI SUR MSN - Covid-19 : le variant Omnicron représente un risque "très élevé" selon l'OMS

Covid-19 : le variant Omnicron représente un risque "très élevé" selon l'OMS


https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/l-oms-lance-un-cri-au-monde-pour-les-g%C3%A9n%C3%A9rations-futures-apr%C3%A8s-le-covid/ar-AARfOM3?ocid=winp2octtaskbar

chico.

chico.

[size=48]PODCAST. Covid-19 : des faits scientifiques pour lutter contre la peur des vaccins
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Après des mois de campagne vaccinale, les peurs et les idées reçues sur les effets secondaires du vaccin contre le Covid-19 sont toujours là.




Dans ce nouvel épisode de La Loupe, Xavier Yvon vous aide à y répondre, grâce à des faits scientifiquement prouvés, avec Victor Garcia, journaliste au service Sciences de L'Express.  
LIRE AUSSI >> Covid-19 : l'immunité au virus est-elle plus efficace après un vaccin ou une infection ?

Xavier Yvon : Il y a ceux dont on est un peu jaloux, qui n'ont eu ni douleurs, ni maux de têtes, ni température après leurs doses de vaccin anti-Covid. Il y a aussi ceux qui ont été légèrement malades... Et ceux qui l'ont bien senti passer. 
Il y a aussi votre grand-père qui vous dit que les jeunes sont moins résistants au vaccin et votre cousine qui est persuadée que son bras était aimanté après l'injection. Tout le monde y va de sa petite histoire sur les effets secondaires et tend souvent à faire de son cas une généralité. Plus d'un an après le début des campagnes vaccinales dans le monde entier, les scientifiques eux y voient plus clair, et sont capables de nous dire ce qui est vraiment lié au vaccin et ce qui ne l'est pas. Dans le millefeuille d'idées reçues et de fake news, la Loupe vous aide à faire le tri.  

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

La pandémie de Covid-19 aurait provoqué plus de 18 millions de morts dans le monde. Selon une étude publiée dans le revue The Lancet, entre début 2020 et fin 2021, le coronavirus aurait entraîné le décès de plus de trois fois plus de personnes que le bilan officiel.

Lechercheur



Ceux qui pensent que la pandémie est derrière nous ce trompent lourdement.

samuel

samuel
Administrateur

Un proverbe dit: un clou chasse un autre.
Et au vue des événements en Ukaine plus personne ne parle du virus.

papy

papy

Josué

Josué
Administrateur

Tu n'est pas dans le bon sujet. Surprised

Josué

Josué
Administrateur



[size=62]Record de cas de Covid-19 : des millions de personnes confinées en Chine


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[size=30]Face à l’envolée des contaminations, le gouvernement chinois a décidé de reclure à domicile ses citoyens par millions. Une ville entière a été confinée.[/size]



Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 22945153lpw-22945163-article-jpg_8624309_660x287
En Chine, les queues pour les tests Covid ne cessent de rallonger. (Photo d'illustration):copyright: LI ZIHENG / XINHUA / Xinhua via AFP
Source AFP
Publié le 13/03/2022 à 09h24

[size=40]Des millions de personnes étaient confinées, dimanche 13 mars, à travers la Chine, le pays ayant enregistré son taux le plus élevé en deux ans de cas quotidiens de coronavirus, tandis que l'angoisse de la population face à la persistance de la politique zéro-Covid du gouvernement se fait de plus en plus ressentir.
En raison d'un pic de cas à travers le pays, les autorités ont fermé les écoles de Shanghai, confiné les quartiers centraux du centre technologique du sud Shenzhen, ainsi que des villes entières du Nord-Est, tandis que presque dix-neuf provinces luttent contre des foyers locaux dus aux variants Delta et Omicron. La grande ville de Jilin, dans le Nord-Est, a été partiellement confinée, avec des centaines de quartiers mis sous cloche, a annoncé dimanche un responsable. Yanji, ville de 700 000 habitants à la frontière nord-coréenne, a été entièrement confinée.
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Un manque de ressources médicales déploré


La Chine, où le virus a été détecté pour la première fois fin 2019, a appliqué une politique de tolérance zéro face à l'épidémie. Elle réagit aux foyers épidémiques par des confinements locaux, un dépistage de masse, et le contrôle de sa population par l'intermédiaire d'applications de traçage. Les frontières du pays restent pratiquement fermées. Mais ce record de cas quotidiens, provoqués par le variant Omicron, met à mal cette approche.



« Le mécanisme d'intervention d'urgence dans certaines zones n'est pas assez robuste, la compréhension des caractéristiques du variant Omicron est insuffisante […] et le jugement a été inexact », a admis lors d'un point de presse du gouvernement Zhang Yan, responsable de santé de la province de Jilin. « Cela reflète également la montée rapide […] du virus dans les différentes régions et le manque de […] ressources médicales », provoquant des retards d'admission dans les hôpitaux et de traitement des patients, a-t-il ajouté.


La politique du « zéro-Covid » épuise les habitants


Les habitants de Jilin, qui a signalé plus de 500 cas de variant Omicron, avaient terminé leurs six séries de tests de dépistage obligatoires dimanche, selon les autorités locales. Samedi, plusieurs centaines de quartiers de la ville ont été confinées. Changchun, ville voisine et base industrielle de 9 millions d'habitants, a elle été mise sous cloche vendredi

Le maire de Jilin et le responsable sanitaire de Changchun ont été démis de leurs fonctions samedi, ont rapporté les médias d'État, signe de l'impératif politique imposé aux autorités locales pour lutter contre les foyers épidémiques. La Chine a jusqu'à présent réussi à maintenir les cas de coronavirus à un niveau très faible grâce aux confinements localisés et aux dépistages de masse et à ses frontières fermées.
Mais la lassitude face à cette approche stricte se fait de plus en plus entendre en Chine. Plusieurs responsables préconisent désormais des mesures plus douces et ciblées pour contenir la propagation du virus, et les économistes avertissent que les mesures radicales nuisent à l'économie du pays.

  • Variant Omicron : d’où peut-il bien sortir ?








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chico.

chico.

Selon le site Our World in Data, 1,65 million de cas de Covid-19 sont en moyenne recensés chaque jour à travers le monde, un chiffre en légère augmentation depuis une dizaine de jours. La Chine a fait état ce matin de 5280 cas ces dernières 24 heures, un record depuis plus de deux ans. 

Le contexte. Le variant Omicron et son proche cousin BA.2 continuent de sévir. L'Asie et l'Europe semblent être les plus touchées par cette nouvelle poussée du Covid-19, qui intervient alors que nombre de pays desserrent actuellement la vis. Hier, la France a notamment suspendu son passe vaccinal et levé l'obligation du port du masque en intérieur.

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 1x1 Pourquoi c'est parti pour durer. L'immunité acquise baisse petit à petit et devra sans doute un jour être reboostée grâce à de nouveaux vaccins. "En attendant, impossible, donc, de baisser la garde", insiste notre service sciences. C'est la leçon numéro 1 de cette pandémie. "Car même si certains caressent l'espoir que les prochaines vagues se montreront moins meurtrières, rien, à ce stade, ne permet d'en être certain."

Josué

Josué
Administrateur

Près de 90 000 cas de Covid-19 sont recensés en moyenne sur les sept derniers jours en France, en augmentation depuis seize jours, tandis que les admissions quotidiennes à l'hôpital repartent à la hausse.

Le contexte. Depuis plus d'une semaine, le masque n'est plus obligatoire dans la plupart des lieux où il était requis, à l'exception des transports et des hôpitaux. Le passe vaccinal a quant à lui été suspendu. 

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 1x1 Pourquoi ça compte. Pour les scientifiques interrogés par L'Express, l'épidémie de Covid-19 est loin d'être terminée. "Le Covid-19 n'a pas dit son dernier mot car il ne confère pas d'immunité de longue durée et a une capacité de mutation très importante", prévient l'épidémiologiste Yves Buisson.

Josué

Josué
Administrateur


[size=41]Covid-19 : que sait-on sur le nouveau variant XD ?


Par
 Michel Coladon
 -
30 mars 2022
3
20535

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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Variant-XD
Le variant XD commence à faire parler de lui. Est-ce un nouveau variant ou une combinaison de variants ? Combien de personnes sont déjà infectées en France ? Pourquoi ce variant fait-il l’objet d’une surveillance renforcée ?

54 cas confirmés de variant XD en France

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Au 25 mars, Santé Publique France recensait  54 cas confirmés ou suspects d’infection par le variant XD. Parmi ces 54 cas, trois ont conduit à des hospitalisations. Ce variant a été une première fois observé en janvier 2022 à Chypre.
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Variant hybride

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Le variant XD était, auparavant nommé «Deltacron». C’est, ce qu’on appelle, un variant recombinant. Plusieurs scientifiques s’étonnaient d’une telle recombinaison. Ils avaient avancé l’hypothèse d’une contamination d’échantillons. Ce qui est peu probable. En effet, le variant XD semble posséder des caractéristiques génétiques à la fois du variant Delta et du variant Omicron.

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Pourquoi le variant XD est-il très surveillé ?

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Ce variant est classé comme «variant en cours d’évaluation» par l’agence Santé Publique France. Il est surveillé de près à cause de ses caractéristiques peu communes et du manque de recul de la communauté scientifique internationale.
Néanmoins, Santé publique France est rassurante. En effet, aucun décès n’a été observé parmi les 54 cas recensés en France.[/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=38] Le gouvernement est devenu fou » : en Chine, la rage des Shanghaïens piégés par le « zéro Covid » [/size]
Reportage 
Le pays affronte sa pire flambée épidémique depuis janvier 2020 avec des dizaines de millions de Chinois confinés aux quatre coins du pays. À Shanghaï, épicentre de l’épidémie d’Omicron, la colère populaire défie la propagande de Pékin, qui assure maîtriser la situation.


  • Dorian Malovic, 
  • le 11/04/2022 à 15:54



Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Transport-nourriture-tenue-protection-Shanghai-confinee-5-avril-2022_0



Transport de nourriture en tenue de protection dans une rue de Shanghaï confinée, le 5 avril 2022.STR/AFP

« De voir les Shanghaïens se battre pour avoir de la nourriture me choque profondément », lâche Connie Wu sur sa messagerie cryptée depuis Chengdu, la capitale du Sichuan, à 2 000 kilomètres de Shanghaï. Hermétiquement confinés depuis début avril, les 25 millions d’habitants de la capitale économique de la Chine,

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Si le nombre de cas de Covid-19 continue de baisser en France, l'épidémie n'est pas à l'arrêt pour autant. Les personnes admises à l'hôpital après avoir contracté le virus sont toujours nombreuses, selon les dernières données des autorités sanitaires. L'apparition de nouveaux sous-variants d'Omicron sur le territoire est également à surveiller.

En Chine, la stratégie zéro Covid est toujours à l'oeuvre mais la ville confinée de Shanghai voit son bilan s'alourdir avec 87 décès du virus ce dimanc

Josué

Josué
Administrateur


[size=41]Covid-19 : les confinements extrêmes en Chine font craindre des pénuries


Par
 Michel Coladon
 -
28 avril 2022
1
10226

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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Covid-confinement-chine-penurie46 villes chinoises sont confinées à cause d'Omicron. L'industrie tourne au ralenti. :copyright: Adobe stock.
Pékin est en état d’alerte, la ville de Shanghai est coupée du monde à cause du confinement qui perdure. Ces mesures extrêmes ont déjà un impact sur les exportations chinoises et elles devraient s’amplifier.

Nouvelles restrictions à Pékin

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Les habitants de Pékin craignent un confinement strict, comme Shanghai. En effet, la capitale chinoise est confrontée à une recrudescence des contaminations à cause d’Omicron. Les autorités ont annoncé le 28 avril la fermeture de certains lieux publics. En parallèle, les autorités poursuivent leur campagne de dépistage massif.
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Le port de Shanghai à l’arrêt

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Des rationnements ralentissent  l’activité économique du pays. Selon des données des analystes de Nomura, les habitants de 46 villes chinoises sont confinés. Soit un total de 343 millions de personnes. Le port de Shanghai est à l’arrêt. «Il y a des ports de marchandises qui ne laissent ni entrer, ni sortir les camions pour décharger les conteneurs», témoigne la responsable d’une multinationale au micro d’Europe 1.

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Un conteneur sur deux vient de Chine

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Au-delà de la situation sanitaire, c’est la situation économique qui inquiète l’Europe et la France. En effet, le vieux continent est le premier partenaire commercial de la Chine. Un conteneur sur deux qui arrive en Europe vient de Chine. Les retards pèsent déjà dans l’industrie automobile française qui manque de pièces détachées et de semi-conducteurs.[/size]

Josué

Josué
Administrateur

Les autorités ont annoncé les premiers morts du coronavirus ces derniers jours. Sans vaccin ni traitement, la population, particulièrement vulnérable, se trouve dans une situation très inquiétante.
Le 25 avril dernier, Kim Jong-un, vêtu de blanc, était acclamé par des milliers de Nord-Coréens lors des célébrations du 90ème anniversaire de la création de l'armée populaire nord coréenne. Officiellement, le pays était toujours l'un des seuls au monde à être épargné par la pandémie de Covid 109. Deux semaines plus tard, le 12 mai, le "leader suprême" apparaît publiquement avec un masque, et déclare le confinement généralisé du territoire après la découverte du variant Omicron à Pyongyang. Les premiers morts sont annoncés le lendemain par les médias d'Etat.

Une "maladie maligne" a provoqué "un grand bouleversement" dans le pays, a admis Kim Jong. Si les autorités rechignent à prononcer le nom du Covid 19, l'agence officielle KCNA a reconnu le dimanche 19 mai que 820.620 souffraient de la "fièvre" (dont au moins 324.550 sont sous traitement médical) et que 42 personnes en étaient mortes. Sans capacité de dépistage suffisante, impossible d'évaluer précisément la situation sanitaire, mais ces estimations laissent penser que le coronavirus pourrait se propager rapidement au sein d'une population aussi fragile que le système de santé public nord-coréen.






















Continuer la lecture

Josué

Josué
Administrateur

Covid : L'épidémie hors de contrôle, la Corée du Nord mobilise son armée


  • Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 ImageKim Jong-un apparaît désormais avec un masque sur le visage.  - Capture d'écran Twitter


CoronavirusInternationalSanté
Publié le 16/05/2022 à 10:11
Kim Jong-un a ordonné à l'armée nord-coréenne de stabiliser la distribution de médicaments contre le COVID 19 dans la capitale, Pyongyang, dans le cadre de la lutte contre la première épidémie confirmée de coronavirus dans le pays, selon les médias d'État.
La Corée du Nord dénombrait dimanche 1.213.550 personnes atteintes de "fièvre" et 50 décès, selon l'agence de presse officielle nord-coréenne KCNA, qui n'a pas précisé combien de personnes avaient été testées positives au COVID-19.

Josué

Josué
Administrateur

Avec l'arrivée du variant BA.5 en Europe, les pays occidentaux craignent une nouvelle vague de Covid-19. Cette souche du coronavirus progresse au Portugal et représente maintenant deux tiers des nouvelles contaminations. 

BA.5 : c'est le nom du nouveau variant du Covid-19, à l'origine d'une sixième vague au Portugal. Une première en Europe qui commence à inquiéter les pays voisins. Même s'il ne génère pas de formes plus graves qu'Omicron, ce nouveau venu est surveillé de près. 

Josué

Josué
Administrateur

4% de hausse en une semaine. Mardi 28 juin, comme chaque soir, les chiffres de la transmission du Covid-19 sont tombés et ils n'étaient guère rassurants. 147 248 cas ont été observés en 24 heures, traduisant un rebond épidémique après une baisse continuelle depuis quelques semaines. Cette reprise s'explique sans doute, en partie, par la décision de retirer l'obligation du port du masque dans plusieurs lieux de vie, comme c'est par exemple le cas dans les transports en commun depuis le 16 mai dernier.  
LIRE AUSSI >> Vers un retour du passe vaccinal en France ? On démêle le vrai du faux
Dans ce contexte, la Première ministre, Elisabeth Borne, a demandé aux préfets et autorités sanitaires d'encourager de nouveau le port du masque, en particulier dans les transports en commun justement. Dans un communiqué, Matignon rappelle que les cas "ont doublé en une semaine sur la quasi-totalité du territoire métropolitain et dans l'ensemble des classes d'âge de la population". 

papy

papy

Covid-19 : deux études concluent d'une émergence à Wuhan. Le mystère de l'origine du virus enfin élucidé ? Deux études (une analyse géographique et une autre génomique du virus) publiées dans Science confirment que la pandémie a commencé sur le marché de Wuhan, en Chine, et pointent ainsi vers une très probable origine animale du virus.

Josué

Josué
Administrateur

De nouvelles preuves scientifiques sur l'origine du Covid-19 ont été publiées
Zeleb.es - Il y a 3 h

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 AA10fJmL




[size=12]1 photo(s) sur 25 dans le diaporama©Fournis par The Daily Digest

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De nouvelles études scientifiques ont été publiées


Deux études scientifiques publiées mardi dernier ont montré que les premiers cas connus de Covid-19 étaient regroupés autour du marché de fruits de mer et d'animaux sauvages Huanan de Wuhan (photo, fermé pendant l'épidémie).

Josué

Josué
Administrateur


[size=41]Covid-19 : une reprise quasi certaine de l’épidémie à l’automne


Par
 Charlie Brown
 -
18 août 2022
7
9394

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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 AdobeStock_419253665-696x392
Ce Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires a remplacé le Conseil scientifique, mis en place au début de la crise sanitaire. À sa tête depuis le 17 août, Brigitte Autran, professeure d’immunologie. Dans une interview accordée au Parisien, elle met en garde sur une « quasi certaine » reprise de l’épidémie de Covid-19, à l’automne. 

INTER
« Le scénario le plus probable est celui d’un pic épidémique à la rentrée. Sera-t-il dû à un nouveau variant ou au retour du froid ? Nous ne sommes pas devins, mais il est quasi certain qu’il y aura une vague à l’automne », dit-elle. 

En revanche, pas de raison de s’affoler selon elle. Il va falloir “vivre avec », d’après elle. Mais « Cela ne veut pas dire accepter les morts ou la gravité de la maladie. Au contraire”. D’après elle, il reste  « des leviers à activer » pour lutter contre le virus. Le premier de ces leviers est le vaccin. « Malheureusement encore trop de personnes non vaccinées ou non revaccinées », déplore-t-elle
INTER
De son côté, le médecin épidémiologiste et directeur de l’Institut en santé globale de l’université de Genève, Antoine Flahaut se veut plutôt rassurant : « On ne voit pas se profiler, nulle part en Europe, de nouveaux sous-variants qui sembleraient s’imposer et devenir dominants à leur tour. On pourrait donc bénéficier à la rentrée de septembre d’une accalmie un peu plus durable que les précédentes », affirme-t-il à la Dépêche du Midi.

Josué

Josué
Administrateur


[size=41]Covid-19: la Chine confine des millions d’habitants


Par
 Vanessa Pageot
 -
30 août 2022
7
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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Covid-chine-confine-696x348La Chine confine de nouveau des millions d'habitants alors que la situation est plus sereine en Europe. :copyright: Adobe stock
La Chine confine des millions d’habitants autour de Pékin face au variant Omicron. 13 millions d’habitants vont être testés. En France, quelle est la situation sanitaire ?

Politique de zéro Covid

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La Chine applique toujours sa politique zéro Covid. Face à 80 cas positifs, les autorités testent 13 millions d’habitants dans la ville de Tianjin, proche de Pékin. Au Nord de la capitale, ce sont 4 millions d’habitants qui sont confinés. Les autorités chinoises imposent également des tests PCR toutes les 72, voire 48 heures…
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Uns situation sereine en France

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En France, la situation est bien plus sereine depuis la fin de l’État d’urgence sanitaire. A la veille de la rentrée scolaire, les chiffres de la pandémie sont plutôt bas. Au 30 août, 27.358 nouveaux cas ont été confirmés en 24h.

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Nouveaux vaccins adaptés à Omicron

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Actuellement, les vaccins anti-Covid administrés sont toujours ceux élaborés à partir de la souche du premier virus. Le 24 juin dernier, Sanofi communiquait sur la forte réponse immunitaire de son vaccin en tant que dose de rappel. Le groupe français attend le feu vert de l’Agence européenne du médicament pour le commercialiser. D’un autre côté, les géants de l’ARN, Pfizer et Moderna espèrent commercialiser cet automne leur nouveau vaccin combiné (souche du virus original et  souche d’Omicron).[/size]

Josué

Josué
Administrateur

Avec le Covid, le monde est revenu cinq ans en arrière. Pour la première fois en 30 ans, l'indice prenant en compte l'espérance de vie, l'éducation et le niveau de vie, a reculé deux années de suite (2020 et 2021), revenant à son niveau de 2016. Cela concerne plus de 90% des pays du monde, selon le Programme des Nations unies pour le développement. La guerre en Ukraine pourrait aggraver la situation.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

La Haute autorité de Santé rend aujourd'hui son avis sur les vaccins bivalents, ciblant la souche d'origine du Covid-19 ainsi que le variant BA.1, développés par Pfizer-BioNTech et Moderna.

Le chiffre. Pour la première fois depuis plusieurs semaines, le nombre de cas est reparti à la hausse mercredi dernier. Près de 18 000 contaminations sont recensées chaque jour en moyenne. En revanche, les admissions à l'hôpital et en soins critiques poursuivent leur baisse.

💡 Le point de vue scientifique. Pour l'épidémiologiste Antoine Flahault, "il ne faut pas attendre la disponibilité du vaccin bivalent, car on sait aujourd'hui que les personnes ayant reçu quatre doses de vaccin monovalent sont moins souvent hospitalisées que celles qui n'en ont reçu que trois. Pour le vaccin bivalent, nous n'avons pas encore ces données".

Josué

Josué
Administrateur


[size=41]8e vague : quel sera son impact sanitaire ?


Par
 Michel Coladon
 -
10 octobre 2022
4
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Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Vague-impact-sanitaire-696x464Si aucun nouveau variant ne fait son apparition, cette vague sera moins sévère que les précédentes. :copyright: Adobe stock
La France fait face à une 8e vague de Covid. Faut-il craindre une vague aussi forte que les précédentes ? Pas si on en croit le Pr Crémieux, infectiologue à l’hôpital Saint-Louis à Paris.

Josué

Josué
Administrateur

Covid : pourquoi la Chine se confine de nouveau ?
Michel Coladon -2 novembre 2022 1
Covid : pourquoi la Chine se confine de nouveau ?
Les ouvriers d'une usine d'IPhone en Chine sont confinés 7 jours. © Adobe stock
La chine confine des centaines de milliers d’ouvriers dans l’usine Foxconn, fabricant d’iPhone dans le centre du pays. A Shanghai, ce sont des milliers de touristes confinés dans un parc d’attraction. Que se passe-t-il en Chine ?

Confinement de sept jours
L’usine fabriquant la majorité des iPhone dans le monde est située à Zhengzhou au centre de la Chine. Elle est actuellement confinée sept jours par les autorités chinoises en raison de plusieurs cas de Covid détectés. Les salariés sont obligés de rester dans l’usine. Certains ont essayé de s’échapper pour fuir ces mesures drastiques, signale l’ONG China Labor Watch. Toute la zone économique est concernée, y compris l’aéroport de Zhengzhou. L’usine emploie plus de 200 000 personnes.

Les touristes d’un parc d’attraction confinés
Dans un parc d’attraction à Shanghai, plus de 30.000 visiteurs sont restés confinés le 31 octobre. En cause ? Un cas positif de Covid identifié. «Vous ne pourrez pas sortir tant que vous n’aurez pas les résultats négatifs des tests PCR». Tous les visiteurs ont été testés avant de rentrer chez eux.

Politique stricte du Zéro Covid
Ces deux confinements sont liés à la politique zéro Covid de la Chine. A chaque cas détecté, des mesures strictes de confinement sont appliquées. Actuellement, 230 millions de personnes sont confinées en Chine selon les estimations de l’ONG China Labor Watch. Un chiffre qui devrait encore progresser à l’approche de l’hiver où les nouveaux cas de Covid sont plus conséquents.

Lechercheur



Chine a répertorié 31.444 cas mercredi, dont 27.517 sont asymptomatiques, contre 29.317 infections enregistrées à la mi-avril

Josué

Josué
Administrateur

[size=48]Zéro Covid" en Chine : plongée dans un pays au bord de la crise de nerfs 
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Alors que les confinements et les quarantaines forcées se multiplient, des mouvements de protestation éclatent dans le pays. La population ne supporte plus le manque total de perspectives.


 DANS L'HEBDO DU 01 DÉCEMBRE Durée : 6 min


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Un-travailleur-de-la-sante-presente-un-code-qr-a-scanner-aux-personnes-venues-se-faire-tester-pour-le-covid-19-a-pekin-le-20-novembre-2022_6373198
[size=10][size=10]Un travailleur de la santé présente un code QR à scanner aux personnes venues se faire tester pour le Covid-19, à Pékin le 20 novembre 2022

afp.com/Noel CELIS


[size=13]Par Sébastien Le Belzic (Pékin)
Publié le 26/11/2022 à 11:30, mis à jour à 19:44
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"Mais qu'est-ce qu'ils veulent à la fin ? Nous faire tous craquer ?" Dans son appartement du nord de Pékin, ce professeur d'université à quelques mois de la retraite est au bord de la crise de nerfs : "Nous avions prévu de rendre visite à notre fille qui vit aux Etats-Unis, mais depuis trois ans, à chaque nouvelle flambée épidémique, on nous enferme un peu plus", s'agace-t-il. Quelques déplacements en province ont valu à ce sexagénaire de se retrouver trois fois enfermé chez lui, en quarantaine, depuis le début de l'année. "Quand je suis rentré à Pékin, et malgré plusieurs tests de dépistage toujours négatifs, mon QR code de santé est passé à l'orange sur mon téléphone portable, ce qui signifie : interdiction de sortir. Des membres du comité de quartier ont débarqué et posé une alarme sur ma porte pour m'empêcher de quitter mon appartement. Chaque fois, cela dure une semaine..." Le professeur montre une application sur son smartphone, représentant une carte de la capitale. "Chaque point rouge indique qu'un malade est passé par là, et chaque fois c'est le même scénario : ils bouclent les immeubles, s'énerve-t-il. C'est l'arbitraire le plus total, notre pays est devenu complètement fou." 

Josué

Josué
Administrateur

Au cours des derniers jours, la Chine a connu les plus grandes manifestations antigouvernementales depuis le massacre de la place Tienanmen en 1989, exprimant un mécontentement généralisé à l'égard de la politique chinoise du « zéro Covid » avec ses contrôles des déplacements, tests PCR quasi-quotidiens et confinements répétés dans des conditions qui ont choqué l'opinion publique internationale. Le tout sans stratégie claire de sortie. Le déclencheur immédiat de ces protestations, y compris des appels inédits à la démission de Xi Jinping, a été la mort d'au moins 10 personnes dans un incendie à Urumqi, la capitale provinciale du Xinjiang, où vit une population majoritairement musulmane, composée principalement d'Ouighours et d'autres minorités ethniques. Selon les manifestants, les restrictions anti-covid auraient entravé l’intervention des pompiers et bloqué les habitants dans leurs immeubles derrière des portes verrouillées.
D'Urumqi, les protestations se sont rapidement étendues à d'autres villes, dont Shanghai et Pékin. Des violences ont notamment éclaté à Zhengzhou dans la plus grande usine au monde d'iPhones, où les manifestants ont protesté à la fois contre les restrictions anti-covid et pour réclamer des salaires plus élevés. La réponse du Parti communiste à cette vague nationale de manifestations a été d'appeler à des mesures répressives contre « les activités d'infiltration et de sabotage des forces hostiles conformément à la loi ». La plupart des observateurs s'accordent à dire que le pouvoir central n’est pas menacé par la crise actuelle, mais l'ampleur des protestations reste significative, et on se demande si le gouvernement essaiera de camper sur ses positions ou les modifier.
Sur le plan médical, le plus grand obstacle à l'allègement du plan zéro Covid est l'absence presque totale d'immunité naturelle dans le pays, la population n’ayant pas été exposée au virus. La société chinoise est fortement vaccinée, mais les vaccins chinois utilisés exclusivement (Sinopharm et Sinovac) ont été critiqués à l’international, jugés inefficaces contre les différentes variantes d’omicron. Il est parfois avancé que la voie à suivre pour la Chine serait de s'ouvrir aux vaccins ARNm occidentaux, mais les données de Hong Kong, où le vaccin de Pfizer-BioNTech a été mis à disposition en 2021 à côte de celui de Sinovac, révèlent une situation assez complexe qui ne peut être réduite à une simple bataille d'efficacité entre vaccins. La politique du zéro Covid de Hong Kong a largement réussi jusqu'à l'arrivée d'omicron en février 2022, qui a ensuite entraîné le taux de mortalité le plus élevé au monde dans les mois suivants. Il est difficile de déterminer si ces décès doivent être attribués avant tout à un niveau de vaccination relativement faible (malgré une campagne publique intensive), à une préférence politique évidente pour Sinovac, ou plutôt au fait que la politique du zéro Covid a laissé la population sans aucune immunité naturelle, tout comme en Chine continentale.
Même sans vaccins occidentaux, il semble que les autorités chinoises ne soient pas totalement dépourvues d'outils pour affronter les inévitables infections qui suivraient la suppression des mesures actuelles. Le laboratoire CanSino Biologics vient par exemple de développer un vaccin nasal anti-covid produisant précisément les anticorps muqueux IgA qui, selon des spécialistes, pourraient bloquer la transmission du coronavirus, contrairement à ceux suscités par les vaccins à ARN messager. En outre, en juin, des chercheurs chinois et cubains ont fait breveter un vaccin recombinant (utilisant la même plateforme que des vaccins cubains tels que l'Abdala) censé être capable de combattre toutes les variantes du Covid-19.
Pour l'instant les autorités ont promis d'accélérer la vaccination des personnes âgées, et la vice-Première ministre Sun Chunlan a appelé à une « optimisation » de l'approche de l'État en reconnaissant que la faible pathogénicité des variantes omicron a créé une nouvelle situation. Un assouplissement des mesures imposées par Pékin semble donc possible, mais leur abandon complet reste peu probable pour des raisons tant sanitaires que politiques. En mai 2022, des chercheurs chinois et américains avaient estimé le nombre de décès potentiels en cas d'abandon du zéro Covid à 1,55 million, et même une létalité moindre, comparable à celle en Australie suite à sa réouverture, donnerait un chiffre de 800 000 morts. L'idée d'un recul humiliant face à la pression de l'opinion publique est tout aussi problématique pour le régime, étant donné que jusqu'à présent, la politique du zéro Covid a été un pilier de son programme. Néanmoins, de nombreux commentateurs ont affirmé que les manifestations actuelles marquent la fin de 30 ans d'un contrat social tacite, par lequel les citoyens chinois ont effectivement donné carte blanche au gouvernement pour restreindre les libertés individuelles en échange d'un développement économique certes spectaculaire. Ce qui pourrait remplacer ce contrat reste une question ouverte.
Peter Banniste

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Pour éviter que le mouvement de contestation ne prenne plus d'ampleur, plusieurs villes chinoises ont commencé ces derniers jours à assouplir les restrictions anti-Covid. La capitale Pékin a annoncé hier qu'un test PCR ne serait plus obligatoire pour accéder aux parcs, aux immeubles de bureau et aux supermarchés.

L'autre moyen d'action. Dans le même temps, les autorités tentent d'enterrer la révolte en contrôlant massivement les réseaux sociaux et en accentuant la présence policière dans les grandes villes du pays. Sur Twitter, des dizaines de milliers de messages à caractère sexuel viennent noyer le flot d'informations et les appels à se rassembler.

💡 Sur le terrain. Pour accentuer son emprise, la police chinoise s'appuie sur un arsenal d'outils de surveillance technologique. "Les Chinois savent depuis longtemps qu'ils sont suivis par le système de surveillance électronique le plus sophistiqué du monde. La crise du coronavirus a fait sortir de l'ombre une partie de cette technologie", explique Josh Chin, auteur du livre Surveillance State.

Lechercheur



Alors que plusieurs villes avaient déjà commencé à assouplir les restrictions, la Chine a annoncé hier un allègement, au niveau national, de sa stratégie "zéro Covid" à l'origine d'un vent de contestation inédit dans le pays. Pékin a mis un coup d'accélérateur à la vaccination des plus âgés qui accuse un important retard.

Dans le détail. Les personnes infectées asymptomatiques et les cas légers ne seront plus envoyés dans des centres de quarantaine et pourront s'isoler à domicile. Les autorités sanitaires vont également réduire considérablement le recours aux tests à grande échelle.

💡 Le danger. En desserrant sa politique sanitaire très stricte, la Chine s'expose à une explosion des cas et avec elle diverses conséquences. "Une épidémie violente, si elle devait survenir, offrirait au SARS-CoV-2 un vaste réservoir d'1,4 milliard d'humains où se répliquer et faire émerger de nouveaux variants", explique l'épidémiologiste Antoine Flahault.
Lire notre analyse

Josué

Josué
Administrateur

Le pic de la neuvième vague pourrait être atteint avant Noël. Le troisième, déjà, par temps de Covid. Alors que la courbe des contaminations ne cessait de pointer vers le haut ces trois dernières semaines, il semblerait qu’elle se stabilise doucement à quelques jours des fêtes. D’après Santé Publique France, près de 62 641 personnes ont été testées positives jeudi 15 décembre. Sur une semaine, le nombre de cas détectés a baissé de 12 %. Et le taux de positivité, calculé à 28,8 % la semaine dernière, connaît une légère baisse et passe à 27,4 %. Le variant Omicron circule de manière quasi exclusive en France et son sous-lignage BA.5 reste omniprésent, avec 100 % de détection parmi les séquençages.
En outre, le taux d’incidence (soit le nombre de cas pour 100 000 habitants) est toujours en hausse sur l’ensemble du territoire, avec 630 cas pour 100 000 habitants (+ 5,2 %), mais de manière moins marquée dans la majorité des régions. "Les hausses les plus fortes ont été constatées dans les Hauts-de-France, en Bretagne, en Normandie et dans le Pays-de-la-Loire", indique l’organisme de santé publique dans son dernier bulletin épidémiologique. "Les taux d’incidence les plus élevés étaient, eux, observés en Provence-Alpes-Côte, en Occitanie et en Auvergne-Rhône-Alpes".

papy

papy

[size=41]Covid-19 : «On va vers un désastre humanitaire sans précédent» en Chine[/size]

Michel Coladon 
-
22 décembre 2022
 9


Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Covid-desastre-humanitaire-chine-768x512Les soignants des hôpitaux chinois sont débordés par le nombre de formes graves du Covid-19. :copyright: Adobe stock
La situation est inquiétante en Chine face à une vague de Covid. Les hôpitaux sont saturés. Le nombre de nouveaux cas et de morts est difficile à évaluer.

[size=32]«DÉSASTRE HUMANITAIRE» À VENIR[/size]
[size]
François Balloux, épidémiologiste et directeur de l’Institut de génétique de Londres, alerte sur un «désastre humanitaire» à venir dans les colonnes de La Dépêche du Midi.  Il qualifie la situation «d’assez grave»«Les infections au Covid-19 augmentent très rapidement. Elles dépassaient les 30 000 nouveaux cas quotidiens début décembre», souligne-t-il.
[/size]

Pas de décompte officiel des décès liés au Covid

[size]
Mardi 20 décembre, la Chine a annoncé un changement de méthodologie dans son décompte. Seules les personnes décédées directement d’une insuffisance respiratoire liée au Covid-19 sont comptabilisées par les autorités chinoises. Certaines modélisations évoquent un million de décès lié à cette nouvelle vague de Covid en Chine. Le directeur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est dit «très préoccupé». Il a demandé à Pékin des informations détaillées sur la gravité de la situation le 21 décembre dernier.

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Pas d’immunité collective

[size]
François Balloux évoque également la faible couverture vaccinale des personnes âgées chinoises. «Les plus de 65 et 80 ans ont des taux de vaccination extrêmement faibles, de l’ordre de 40%, même si ce sont là encore des estimations» assure-t-il au quotidien toulousain.
[/size]

Quel est le risque pour le reste du monde?

[size]
Actuellement, c’est un sous-variant d’Omicron, le B.F7, qui est dominant en Chine. Le risque est l’émergence de nouveaux variants, alerte sur franceinfo Antoine Flahault. Il est épidémiologiste, directeur de l’Institut de santé globale à la faculté de médecine de l’université de Genève. «L’épidémie flambe, le nombre de cas double tous les jours. On est incapables de les compter. Il est clair que cela va favoriser l’émergence de variants».[/size]

Lechercheur



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https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/12/30/covid-19-la-france-impose-a-son-tour-des-restrictions-aux-voyageurs-venant-de-chine-touchee-par-une-resurgence-de-l-epidemie_6156130_3244.html#xtor=CS3-33281116-[covid_19_la_france_impose_a_son_tour_des_restrictions_aux_voyageurs_venant_de_chine_touchee_par_une_resurgence_de_l_epidemie]-[6156131]

Après l’Italie et l’Espagne, la France a décidé à son tour de renforcer les mesures de contrôles aux frontières pour les passagers en provenance de Chine, afin de faire face aux risques liés à l’explosion des cas de Covid-19 dans le pays depuis l’arrêt de la stratégie « zéro Covid ». Le gouvernement a annoncé, vendredi 30 décembre, la mise en place de trois mesures visant à « protéger les Français » contre les risques d’émergence de nouveaux variants.

Tous les passagers en provenance de Chine – par vol direct ou via une escale – devront présenter un test Covid-19 (PCR ou antigénique) négatif moins de quarante-huit heures avant le départ pour pouvoir embarquer ; le port du masque sera obligatoire pendant le vol ; et à partir du 1er janvier, à l’arrivée sur le territoire français, des tests PCR seront pratiqués de façon aléatoire sur les passagers aux seuls fins de suivi épidémiologique. Les prélèvements qui s’avéreraient positifs seront systématiquement séquencés pour identifier l’apparition d’éventuels nouveaux variants, comme le préconisaient les épidémiologistes.

Lechercheur



ur la mortalité dans le monde.


A lire aussi : Covid-19 : la situation sanitaire en Chine pourrait-elle aggraver la pénurie de médicaments en France ?

Aujourd'hui encore, des données manquent et les comptages divergent mais les experts s'accordent à dire que le virus a causé beaucoup plus de décès que les chiffres officiels. Les données de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) font état de 6,65 millions de décès rapportés à ce jour. Mais plusieurs équipes de chercheurs dans le monde, y compris l’OMS et des organes de presse comme The Economist "convergent pour estimer entre 18 et 20 millions le nombre de décès réels du Covid en 2020 et 2021, et ces chiffres sont peut-être encore sous-estimés", déclare l'épidémiologiste Antoine Flahault.


Un fort "excès de mortalité"
En mai, l'OMS a estimé que la pandémie de Covid-19 a été responsable de la mort de 14,83 millions de personnes entre le début 2020 et la fin 2021, soit près de trois fois plus que les décès rapportés par les différents pays du monde pendant cette période. Leur estimation se base sur la mesure de "l'excès de mortalité", défini comme la différence entre le nombre de décès réels et le nombre de décès estimés en l'absence de pandémie. La surmortalité comporte aussi bien les décès directement provoqués par la maladie que ceux qui l'ont été indirectement.


A lire aussi : Explosion des cas de Covid-19 en Chine : la France met en place des mesures de restrictions à destination des voyageurs chinois

L'Inde aurait été le pays ayant le plus contribué à cette surmortalité avec 4,74 millions de décès estimés, selon ce modèle de calcul dont la méthodologie est cependant très contestée par New Dehli. La Russie suivrait (1,03 million). Mais c'est en Amérique du Sud que le modèle trouve les plus grands écarts entre le nombre de décès attendu et le nombre réel estimé. Au Pérou, par exemple, les chiffres de la surmortalité auraient été deux fois plus importants qu'en temps normal.


La Chine pourrait ajouter un lourd tribut
Selon l'IHME (Institut pour la mesure et l'évaluation de la santé), basé à Seattle, qui propose des projections de l'évolution de la mortalité, le nombre de morts en Chine pourrait s'élever à environ 300 000 d'ici au 1er avril, et à plus d'un million en 2023. Dans ce pays, un grand nombre de personnes n'ont en effet jamais été immunisées en raison de la politique du "zéro Covid" et la population reste peu vaccinée.

L'expérience de Hong Kong, où 10 000 personnes sont mortes dans les premiers mois de la vague d'Omicron, laisse présager un taux élevé de décès. La semaine dernière, les autorités chinoises ont précisé que seules les personnes décédées directement d'une insuffisance respiratoire liée au Covid-19 étaient désormais comptabilisées dans les statistiques, un changement de méthodologie susceptible de sous-évaluer les morts réels.

Pourquoi il est difficile de compter les morts
Le nombre de décès du Covid reste un sujet sensible, qui a été sous-évalué dans certains pays, minoré dans d'autres, notamment au début de la pandémie. En cause également, des données parcellaires voire inexistantes pour certains pays. "Pour près de la moitié des pays du monde, le suivi de la surmortalité n'est pas possible avec les données disponibles", relèvent des chercheurs de l'OMS dans un article publié dans Nature.

A lire aussi : Covid-19 : faut-il craindre l'apparition de nouveaux variants avec la fin des mesures de restrictions en Chine ?

En Afrique notamment, les données mensuelles sur les causes de décès n'ont pu être fournies que par six pays sur 47. Attribuer une mort au Covid reste par ailleurs un exercice difficile. "Lorsque le décès a lieu dans un hôpital d’un pays très développé, où le diagnostic de Covid a été établi avant, il est possible d’imputer (ou non) la cause au virus, mais en ville ou parfois en maison de retraite, le médecin ne dispose généralement pas de beaucoup d’informations pour le guider", souligne Antoine Flahault.

Lire la suite

Robin Serradeil avec AFP
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Covid-19 : pourquoi l'Europe s'inquiète du variant BF.7 venu de Chine et se prépare à de nouvelles restrictions sanitaires
Les cas de Covid-19 se multiplient en Chine depuis l'arrêt de la politique "zéro Covid".

Lechercheur



[size=34]La Chine a enregistré 13 000 morts à l’hôpital liées au Covid-19 en six jours
Les nombreux déplacements induits par les congés du Nouvel An lunaire, qui tombe dimanche, font craindre l’aggravation de l’épidémie.[/size]
Le Monde avec AFP

chico.

chico.

Le Covid-19 «très probablement provoqué» par une fuite d'un laboratoire chinois
Hier à 22:13
Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 Png;base64,iVBORw0KGgoAAAANSUhEUgAAAAEAAAABCAQAAAC1HAwCAAAAC0lEQVR42mNkYAAAAAYAAjCB0C8AAAAASUVORK5CYII=
Correspondant à Washington,

Coronavirus: Le bilan s'alourdit en Chine. - Page 4 AA17Y1qw
[size=12]Le nouveau rapport américain actualisé affirme que le Covid-19 n'est pas le résultat d'un programme chinois d'armes biologiques.© ATHIT PERAWONGMETHA / REUTERS


Le ministère américain de l'Énergie estime que la pandémie de Covid-19 a « très probablement » été provoquée par une fuite de laboratoire, selon un rapport classifié de la Direction nationale du renseignement, récemment fourni à la Maison Blanche et aux principaux membres du Congrès. Révélée dimanche par le Wall Street Journal , cette information, si elle est confirmée, aurait été ajoutée à un précédent rapport datant de 2021, dans lequel le ministère de l'Énergie s'était alors plutôt déclaré incertain sur les origines du Covid.
Le ministère rejoint désormais le FBI, qui avait conclu dès 2021 que la pandémie était probablement le résultat d'une fuite accidentelle d'un laboratoire de Wuhan, en Chine, sans être cependant catégorique.
» LIRE AUSSI - L’année 2023 marquera-t-elle la fin de l’épidémie de Covid en France?
Selon des sources ayant eu connaissance de la nouvelle version du rapport, signé par la directrice nationale du renseignement Avril Haines, le ministère de l'Énergie posséderait des éléments nouveaux: «de nouvelles informations, une étude plus approfondie des travaux universitaire et la consultation d'experts extérieurs au gouvernement», selon un membre du renseignement américain cité par le Wall Street Journal.

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[size=30]Des analyses divergentes[/size]


Mais le contenu du rapport reste classifié. Les autorités américaines ont refusé de donner des détails sur ces nouveaux renseignements et analyses ayant conduit à ce changement de position. Le document rappelle aussi que les différentes agences de renseignement américaines continuent d'avoir des avis différents sur l'origine de la pandémie, et sont toujours en train d'essayer de percer l'énigme de l'apparition du virus.

Lechercheur



Covid-19 : l’OMS lève l’alerte maximale, après trois ans de pandémie et «au moins 20 millions» de morts. Le Covid-19 est désormais suffisamment sous contrôle pour lever le niveau maximal d’alerte, a décidé l’OMS jeudi, après plus de trois ans d’une pandémie qui a miné l’économie mondiale et encore creusé le fossé des inégalités«C’est avec beaucoup d’espoir que je déclare que le Covid-19 n’est plus une urgence sanitaire de portée internationale», a affirmé le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, estimant que cette maladie avait fait «au moins 20 millions» de morts, presque trois fois plus que le précédent bilan officiel de son organisation. Au 3 mai, le tableau de bord de l’OMS affichait un peu moins de sept millions de morts officiellement recensés.

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