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24 août Lecture de la Bible : 2 Rois 5-8

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

24 août Lecture de la Bible : 2 Rois 5-8
*** it-2 p. 362 Naamân ***
NAAMÂN
(d’une racine qui signifie “ être charmant, agréable ”).
1. Petit-fils de Benjamin par son premier-né Béla (1Ch 8:1-4, 7). Fondateur d’une famille, les Naamites, dans la tribu de Benjamin (Nb 26:40), Naamân est lui-même cité en d’autres endroits comme un des “ fils ” de Benjamin. — Gn 46:21.
2. Chef de l’armée syrienne au Xe siècle av. n. è. pendant les règnes de Yehoram d’Israël et de Ben-Hadad II de Syrie. C’est par Naamân, ‘ homme grand, vaillant, fort et estimé ’ que “ Jéhovah avait donné le salut à la Syrie ”. (2R 5:1.) La Bible ne précise ni comment ni pourquoi Naamân fut utilisé pour sauver la Syrie. Une hypothèse est que Naamân dirigea des forces syriennes qui résistèrent avec succès au roi d’Assyrie Salmanasar III, lequel tentait d’envahir la Syrie. Ayant gardé son indépendance, la Syrie formait un État tampon entre Israël et l’Assyrie ; aussi servit-elle peut-être à ralentir l’expansion de l’Assyrie dans l’O. jusqu’au moment où Jéhovah permit que le royaume du Nord parte en exil.
Guéri de la lèpre. Naamân était lépreux, mais les lois syriennes n’exigeaient pas son isolement, contrairement aux lois sur la lèpre que Jéhovah avait données à Israël. Malgré tout, il fut heureux d’apprendre comment guérir de cette maladie répugnante. Il l’apprit par l’esclave israélite de sa femme ; elle parla d’un prophète de Samarie qui pouvait guérir la lèpre. Naamân se mit immédiatement en route pour ce pays, muni d’une lettre d’introduction de Ben-Hadad II. Cependant, après l’avoir reçu avec froideur et suspicion, Yehoram, roi d’Israël, l’envoya vers Élisha. Au lieu de recevoir personnellement Naamân, Élisha lui fit dire par son serviteur de se baigner sept fois dans le Jourdain. Blessé dans son amour-propre, et sans doute persuadé qu’on le renvoyait cavalièrement et inutilement d’un endroit à un autre, Naamân s’en alla furieux. Si ses serviteurs ne l’avaient pas raisonné en lui montrant que ces instructions étaient acceptables, il serait retourné dans son pays avec sa lèpre. Finalement, il se baigna sept fois dans le Jourdain et fut miraculeusement purifié. Naamân fut le seul lépreux guéri par l’intermédiaire d’Élisha. — 2R 5:1-14 ; Lc 4:27.
Il devient un adorateur de Jéhovah. Rempli de gratitude et d’humilité, le chef de l’armée syrienne parcourut peut-être 50 km pour retourner chez Élisha, afin de lui offrir un cadeau très généreux que le prophète refusa catégoriquement. Naamân demanda ensuite qu’on le laisse emporter un peu de terre d’Israël, “ la charge d’une paire de mulets ”, afin que sur du sol d’Israël il puisse offrir des sacrifices à Jéhovah, et il fit le vœu de n’adorer désormais aucun autre dieu. Naamân avait peut-être l’intention de présenter des sacrifices à Jéhovah sur un autel de terre. — 2R 5:15-17 ; voir aussi Ex 20:24, 25.
Naamân demanda ensuite que Jéhovah lui pardonne lorsque, dans l’exercice de ses fonctions, il se prosternerait devant le dieu Rimmôn avec le roi, qui était sans doute âgé et infirme et devait s’appuyer sur lui. Si tel était le cas, son geste de s’incliner ne serait que machinal, ayant le seul but de soutenir le roi par devoir et non dans un acte d’adoration personnel. Élisha crut en la sincérité de Naamân et lui répondit : “ Va en paix. ” — 2R 5:18, 19.

Josué

Josué
Administrateur

Au dixième siècle avant notre ère, la Syrie, au nord d’Israël, avait un chef d’armée du nom de Naaman, qui conduisit les Syriens à la victoire. Naaman ignorait alors que c’était Jéhovah qui, par son intermédiaire, avait sauvé la Syrie. Naaman “était devenu un grand homme devant son seigneur, et il était estimé (...) ; et l’homme s’était révélé un homme puissant et vaillant”. (II Rois 5:1.) Sans doute à cause de sa position et de ses exploits militaires, Naaman était un homme orgueilleux. Mais il avait contracté la lèpre. Cette maladie répugnante ne l’empêchait pas d’être un chef militaire en Syrie, ce qui n’aurait pas été le cas en Israël. Toutefois, d’une manière extraordinaire, elle allait l’obliger à s’humilier et lui procurerait des bienfaits. — Lév. 13:46.
Des bandes de maraudeurs syriens avaient emmené captive une fillette israélite, qui était devenue la servante de la femme de Naaman. Cette petite fille (que la Bible ne nomme pas) connaissait Élisée, le prophète de Jéhovah, et les miracles qu’il avait faits. Elle avait foi en Jéhovah, le Dieu d’Élisée, et elle témoignait sa foi. Un jour qu’elle parlait avec la femme de Naaman, sa maîtresse, elle lui dit : “Si seulement mon seigneur était devant le prophète qui est à Samarie ! Alors il le délivrerait de sa lèpre !” Le témoignage de la fillette finit par être rapporté au roi de Syrie. — II Rois 5:2-4.

Josué

Josué
Administrateur

L’avidité de Guéhazi semblait payante. Mais le résultat final fut tout autre. Il perdit le privilège de servir Élisée. À cause de son avidité, du mauvais usage qu’il fit du nom de son maître pour obtenir un gain déshonnête et de son mensonge sur le compte du prophète, Guéhazi s’attira le malheur sur lui-même et sur sa descendance. Énonçant le jugement de Dieu, Élisée dit à Guéhazi : “La lèpre de Naaman s’attachera donc à toi et à ta descendance jusqu’à des temps indéfinis.” L’exécution de ce jugement ne tarda pas. Le récit continue ainsi : “Aussitôt l’autre sortit de devant lui [Élisée], lépreux blanc comme neige.” — II Rois 5:27.

Josué

Josué
Administrateur

“ Les fils des prophètes. ” Comme l’explique une grammaire hébraïque (Grammaire de l’hébreu biblique, par P. Joüon, Rome, 1923, § 129 j), les termes hébreux bèn et bené (“ fils [au singulier et au pluriel] de ”) peuvent emporter l’idée d’“ appartenance d’un individu à une classe d’êtres ”. (Voir Ne 3:8, où “ membre des confectionneurs d’onguents ” se dit littéralement “ fils des confectionneurs d’onguents ”.) L’expression “ les fils des prophètes ” pouvait donc avoir trait à une école pour ceux qui avaient cette vocation ou simplement à une association coopérative de prophètes. Il existait, lit-on, de tels groupes de prophètes à Béthel, à Jéricho et à Guilgal (2R 2:3, 5 ; 4:38 ; voir aussi 1S 10:5, 10). Samuel présidait un groupe à Rama (1S 19:19, 20), et il semble qu’Élisha ait eu une position analogue à son époque (2R 4:38 ; 6:1-3 ; voir aussi 1R 18:13). Un épisode montre les fils des prophètes construisant eux-mêmes leur demeure et se servant d’un outil emprunté, ce qui indique peut-être qu’ils vivaient simplement. Même si souvent ils partageaient logement et nourriture, ils pouvaient être investis individuellement de missions prophétiques. — 1R 20:35-42 ; 2R 4:1, 2, 39 ; 6:1-7 ; 9:1, 2.

Invité


Invité

Naaman fâcher qu'on lui dit de faire qu'une petite chose pour retrouver la santé, à savoir aller se baigner 7 fois dans le Jourdain, il pensait plutôt quelque chose comme une imprécation magic et des geste spécial pour le guérir comme par magie, mais seulement aller se baigner 7 fois ...
Parfois dans les petite chose qui nous semble banal et sans importance c'est ce qui peu faire toute la difference pour Jehovah pour lui obéir ...

Il nous dit d'aimer nos frère et sœur et de ne pas aller avec les gens du monde, ça semble banal, c'est 2 humains apres tout, un homme qui vas a la salle ou un homme avec qui on travail, mais la difference c'est que l'homme dans le monde peut nous entraîner a aimer le monde tandis que l'homme qui est baptiser vas nous parler de continuer à servir Jehovah ...

S'il nous parle de faire attention à nos fréquentation ce n'est pas pour rien ...

samuel

samuel
Administrateur

C'est vrais que des fois le voies de Jéhovah sont impénétrables.

Josué

Josué
Administrateur

À quoi servait la “fiente de pigeon” dont il est question dans II Rois 6:25 ?
Ce texte biblique décrit les conditions qui existaient dans la ville de Samarie assiégée par les Syriens à l’époque d’Élisée. Nous y lisons : “Il y eut une grande famine dans Samarie ; et ils la serrèrent tellement qu’une tête d’âne valait quatre-vingts sicles d’argent, et le quart d’un kab de fiente de pigeon cinq sicles d’argent.” — II Rois 6:25.
Par conséquent, un tiers de litre de fiente de pigeon valait environ 13 francs français. Mais la question de savoir comment l’acheteur utilisait cette fiente a été largement discutée.
Certains ont cru qu’il pouvait s’agir d’une plante ; ils se basent sur le fait que les Arabes emploient l’expression “fiente de moineau” pour désigner une plante que mangent les personnes ayant des ressources modestes et que, d’autre part, dans la région de Samarie, il pousse une plante dont le nom latin signifie “lait d’oiseau”. Toutefois, rien ne prouve que l’une ou l’autre de ces plantes ait jamais eu pour nom “fiente de pigeon” ou que les habitants de Samarie assiégée en aient eu à leur disposition.
Si l’on prend cette expression au sens littéral, à quoi servait la fiente de pigeon ? On a émis l’idée que cette matière a été longtemps utilisée comme engrais en Orient. Mais il n’est guère probable que des gens, sur le point de mourir de faim, se soient préoccupés de fertiliser des récoltes dont ils ne pourraient profiter avant des mois.
Il est possible que la fiente de pigeon servait de nourriture. Un jour, pour effrayer les habitants de Jérusalem, Rabschaké les avertit qu’ils se verraient contraints pendant le siège assyrien de “manger leurs excréments et (...) boire leur urine”. (II Rois 18:27.) L’idée de manger de la fiente nous inspire de la répugnance, et pourtant il est rapporté que la famine fut si grande que des mères firent cuire leurs propres enfants et les mangèrent, ce qui indique que ces femmes consommaient tout ce qu’elles avaient à leur portée (II Rois 6:26-29). Bien que la valeur nutritive de la fiente soit insignifiante, les personnes affamées mangent souvent tout ce qui est de nature à calmer les affres de la faim. D’après Josèphe, les Juifs assiégés par les Romains en l’an 70 de notre ère mangèrent la fiente qu’ils allaient chercher sur les “vieux tas de fumier”. On rapporte aussi qu’au cours d’une famine qui sévit en Angleterre en 1316, les gens mangèrent “leurs propres enfants, des chiens, des souris et de la fiente de pigeon”.
Selon l’opinion la plus vraisemblable, la fiente servait de combustible. Le prophète Ézéchiel reçut l’ordre de décrire l’état de siège tout aussi affreux dans lequel Jérusalem allait se trouver, en faisant cuire ses aliments avec de la bouse pour combustible (Ézéch. 4:12-17). Même à notre époque, la “bouse de vache” séchée sert de combustible dans certaines régions de la terre. Si cette idée à propos de la fiente de pigeon est exacte, alors le récit fait simplement connaître le prix de la nourriture (ici, une tête d’âne) et celui du combustible servant à la faire cuire. Les versets suivants indiquent que jusqu’alors les gens ne mangeaient pas de chair crue.

Josué

Josué
Administrateur

LES HITTITES ou Héthiens sont identifiés dans un livre ancien qui relate l’histoire de l’humanité depuis son début. Ce livre, la Bible, révèle qu’ils descendaient de Heth, arrière-petit-fils de Noé. Puisque Heth était fils de Canaan et petit-fils de Cham, les Hittites étaient Cananéens. — Gen. 10:1, 6, 15.
L’établissement des Hittites en Canaan fut bien antérieur à l’arrivée du patriarche Abraham en 1943 avant notre ère. Ils sont connus pour avoir habité la région montagneuse de la Palestine méridionale et plus spécialement Hébron et ses environs immédiats (Gen. 15:18-20 ; 23:2-20). Des siècles plus tard, on les trouve encore établis dans ce territoire, dont l’étendue n’est cependant pas précisée dans la Bible. — Nomb. 13:29 ; Josué 11:3.
Les Hittites sont apparemment les seuls Cananéens à être restés une forte et importante nation pendant une période considérable après la conquête du pays par les Israélites (I Rois 10:29). La Bible en parle comme d’un peuple ayant encore des rois et une force armée à l’époque de Joram, roi d’Israël [env. 917-905 av. notre ère] (II Rois 7:6). Toutefois, la conquête du pays par les Syriens, les Assyriens et les Babyloniens a manifestement ébranlé leur puissance.
Étant donné le rôle important joué par les Hittites dans l’Antiquité, on pourrait s’attendre à ce que les découvertes archéologiques fournissent des renseignements supplémentaires à leur sujet. De nombreux ouvrages affirment qu’il en est bien ainsi et que l’archéologie a, en fait, confirmé le témoignage biblique relatif aux Hittites ou Héthiens. La question suivante se pose donc : Les preuves archéologiques sont-elles solidement fondées ou sujettes à caution ?
Dans les textes cunéiformes assyriens, le pays de “Hatti” est généralement situé en Syrie ou en Palestine ; ils peuvent donc faire allusion aux Hittites de la Bible. Toutefois, sur la base du nom “Hatti” certains érudits sont allés au-delà des textes cunéiformes assyriens et ont essayé de rattacher les Hittites du récit biblique à un empire dont la capitale était située en Asie Mineure, loin au nord et à l’ouest du pays de Canaan.
De nombreux textes anciens ont été mis au jour à Bogazköy (autrefois appelée Hattousa), l’emplacement de ce qui aurait été, croit-on, la capitale de cet empire. En se fondant sur la similitude de son des mots “Hattousa” et “Hatti”, certains savants ont appelé “hattique” ou “hittite” la langue de plusieurs de ces textes. On émet aujourd’hui l’idée que les premiers habitants de la région auraient été assujettis par des conquérants qui introduisirent une autre langue. Elle utilisait des caractères cunéiformes. Plus tard, une nouvelle langue employant des signes hiéroglyphiques remplaça les caractères cunéiformes. Ces trois langues sont censées représenter trois groupes ethniques différents.
Toutefois, il n’existe aucun moyen d’identifier avec certitude l’un quelconque de ces groupes aux Hittites ou Héthiens de la Bible. Reconnaissant cette difficulté, l’historien E. A. Speiser fait la remarque suivante : “Le problème des Hittites de la Bible est (...) complexe. Pour commencer, il y a la question de savoir quel est le type de Hittites mentionné dans tel ou tel passage biblique : S’agit-il des Hattiens, des Hittites indo-européens des documents cunéiformes ou des Hittites à l’écriture hiéroglyphique ?” — The World History of the Jewish People, 1964, tome I, p. 160.

Josué

Josué
Administrateur

Et Dieu appela. Une fois l’alternance de l’obscurité et de la lumière établie, Dieu donne un nom à chacun de ces deux espaces de temps, ce qui signifie qu’ils doivent se succéder désormais d’une manière régulière et irrévocable. L’auteur ne veut donc pas dire que Dieu créa les mots hébreux qui signifient jour et nuit, mais qu’il fixa d’une manière stable les notions qui, en hébreu, sont exprimées par les mots employés ici. Et il y eut un soir et il y eut un matin. Quelques interprètes ont pensé que le soir désigne ici tout l’espace éclairé qui s’achève avec le soir, et le matin, tout l’espace de temps ténébreux qui s’achève avec le matin ; la journée s’étendrait ainsi de matin à matin. Mais il est difficile de comprendre comment le mot soir pourrait désigner ce que nous appelons le jour, et le mot matin, ce que nous appelons la nuit ; autant vaudrait dire que le mot la mort peut désigner la vie, parce que la vie aboutit à la mort. D’ailleurs il est constant que les Juifs faisaient commencer leur jour de vingt-quatre heures entre les deux soirs, c’est-à-dire au moment où le jour faisait place à la nuit, et que par conséquent la première moitié du jour de vingt- quatre heures était la nuit, et la seconde le jour. D’après cela, nous entendons par le soir la nuit chaotique qui a précédé l’apparition de la lumière, et par le matin l’apparition de la lumière avec le jour qui l’a suivie. Quoique cette nuit ne corresponde pas exactement à la notion de soir, puisqu’elle n’a pas été précédée d’une période éclairée, elle reçoit cependant ce nom par analogie avec les soirs suivants.

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