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10 août Lecture de la Bible : 1 Rois 21-22

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Territoire du royaume d’Israël, ou royaume des dix tribus, ou encore royaume du Nord. Le nom de sa capitale, Samarie, était parfois employé pour la région entière. Par exemple, quand Ahab était appelé “ le roi de Samarie ”, ce n’était pas dans le sens limité de roi de cette ville seulement, mais au sens large de roi des dix tribus (1R 21:1). De même, l’expression “ les villes de Samarie ” désignait les villes disséminées dans les dix tribus et non des villes groupées autour de la capitale (2R 23:19 ; la même expression, qui figure en 1R 13:32 comme si elle avait été employée avant que Samarie ne soit bâtie, est peut-être prophétique, à moins qu’elle n’ait été introduite par le compilateur du récit des Rois). La famine “ à Samarie ” aux jours d’Ahab sévit dans tout le royaume de Samarie et toucha, de fait, même la Phénicie, s’étendant au moins depuis le ouadi de Kerith, à l’E. du Jourdain, jusqu’à Tsarphath, sur la Méditerranée (1R 17:1-12 ; 18:2, 5, 6). De même, le rétablissement promis au sujet des “ montagnes de Samarie ” concernait certainement l’ensemble du territoire de Samarie. — Jr 31:5.
Tiglath-Piléser III semble avoir été le premier à arracher des Israélites du territoire de Samarie, puisque certains grands personnages parmi les Rubénites, les Gadites et les Manassites de l’E. du Jourdain furent du nombre des populations déplacées en Assyrie (1Ch 5:6, 26). Lorsque le royaume du Nord tomba finalement, d’autres encore furent emmenés en exil (2R 17:6). Mais, cette fois-là, le roi d’Assyrie remplaça ces Israélites par des personnes venant d’autres parties de son territoire, une politique de transplantation que reprirent Ésar-Haddôn et Asnappar (Assourbanipal). — 2R 17:24 ; Ezr 4:2, 10.
Les lions commencèrent à se multiplier dans le pays, probablement parce qu’il avait été, en totalité ou en majeure partie, réduit en solitude pendant un certain temps (voir Ex 23:29). Les immigrants, superstitieux, pensèrent sans aucun doute que c’était parce qu’ils ne savaient pas comment adorer le dieu du pays. C’est pourquoi le roi d’Assyrie renvoya d’exil un prêtre israélite adorateur du veau. Il fit connaître Jéhovah aux immigrants, mais de la même manière que l’avait fait Yarobam, de sorte qu’ils acquirent une certaine connaissance concernant Jéhovah, mais continuèrent en fait d’adorer leurs faux dieux. — 2R 17:24-41.

samuel

samuel
Administrateur

Nous en trouvons un exemple frappant dans l’histoire de Josaphat, roi craignant Dieu qui régna vingt-cinq ans sur le royaume de Juda vers la fin du dixième siècle avant notre ère. Nous lisons à son sujet : “Jéhovah fut avec Josaphat, parce qu’il (...) honora le Dieu de son père et suivit ses commandements. (...) Son courage grandit dans les voies de Jéhovah.” Il alla lui-même parmi le peuple et l’exhorta à adorer Jéhovah. Il envoya des princes, des prêtres et des Lévites enseigner au peuple la loi de Jéhovah. De plus, il établit des juges dans tout le pays, les encourageant à juger dans la crainte de Dieu. — II Chron. 17:1-19 ; 19:4-11, Crampon 1905.


Tout ceci n’empêche pas les rédacteurs bibliques de relater les fautes de Josaphat et les reproches que lui fit Jéhovah. Un jour, par exemple, le méchant roi Achab incita Josaphat à se joindre à lui pour aller combattre le roi de Syrie à Ramoth en Galaad. Josaphat hésita tout d’abord et demanda que l’on consulte un prophète de Jéhovah. Quelques faux prophètes donnèrent un avis favorable, mais ensuite un vrai prophète de Dieu prédit carrément un désastre.


Cet avertissement aurait dû faire changer Josaphat d’avis, mais il n’en fut rien. Il accompagna le roi Achab à la bataille, et sans l’intervention de Jéhovah il aurait été tué. Le récit dit : “Josaphat poussa un cri, et Jéhovah le secourut, et Dieu écarta de lui les Syriens.” Dans cette bataille, le méchant roi Achab fut tué et “Josaphat, roi de Juda, revint en paix”. — II Chron. 18:1 à 19:1 ; I Rois 22:1-38.

Le récit montre combien il était insensé de la part de Josaphat de vouloir aider Achab, qui n’était pas son ami. Achab pensa assurer sa propre sécurité en se déguisant, mais il demanda à Josaphat d’aller au combat revêtu de ses habits royaux, ce que fit ce dernier. Avec perspicacité, Achab estima que l’ennemi prendrait Josaphat pour lui-même, qu’il serait attaqué et que lui, Achab, ne serait pas reconnu. C’est d’ailleurs exactement ce qui arriva. Le roi de Syrie donna des instructions pour qu’on s’en prenne uniquement au roi Achab. Les chefs des chars syriens, voyant les insignes royaux de Josaphat, le prirent pour Achab et l’entourèrent, mais quand Jéhovah eut délivré Josaphat, ils reconnurent leur erreur et le laissèrent.

Josué

Josué
Administrateur

Jéhovah envoie Éliya vers Ahab. Il prononce ces paroles pleines de sous-entendu : « Voici qu’il est dans la vigne de Naboth » (1 Rois 21:18). Lorsque Jézabel a informé Ahab que désormais la vigne lui appartenait, il est tout de suite parti admirer sa nouvelle propriété. Il ne lui a jamais traversé l’esprit que Jéhovah l’observait. Vous représentez-vous l’expression de son visage alors qu’il se promène dans sa vigne, imaginant déjà le magnifique jardin qu’il va pouvoir aménager sur ce terrain ? Mais soudain, Éliya apparaît ! Le sourire de satisfaction d’Ahab se change en une grimace haineuse. Il lui lance avec rage : « M’as-tu trouvé, ô mon ennemi ? » (1 Rois 21:20).
Ses paroles trahissent deux graves erreurs de sa part. Premièrement, en disant « m’as-tu trouvé », il révèle son aveuglement spirituel : il n’avait pas compris que Jéhovah l’avait déjà « trouvé ». Dieu l’avait vu abuser de sa liberté de choix et profiter du complot de Jézabel. Il a lu dans le cœur d’Ahab. Il a vu que son amour des biens matériels a étouffé tout sentiment de pitié, de justice ou de compassion. Deuxièmement, en appelant Éliya « mon ennemi », le roi a montré sa haine pour un homme qui était l’ami de Jéhovah et qui aurait pu l’aider à revenir de sa voie désastreuse.
Nous pouvons tirer des leçons capitales des erreurs d’Ahab. N’oublions jamais que Jéhovah voit tout. En tant que Père aimant, il sait quand nous dévions du droit chemin et il ne souhaite qu’une chose : nous voir y revenir. Pour nous aider, il se sert souvent de ses amis, des humains fidèles qui, comme Éliya, communiquent ses paroles à leur prochain. Quelle folie ce serait de considérer les amis de Dieu comme nos ennemis ! (Psaume 141:5).
Maintenant, représentez-vous Éliya en train de répondre à Ahab : « Je t’ai trouvé. » Il sait exactement à quel genre d’individu il a affaire : un voleur, un meurtrier, quelqu’un qui s’est rebellé contre Jéhovah. Il lui faut une bonne dose de courage pour affronter un tel homme ! Vient le moment de transmettre le jugement de Dieu concernant Ahab. Jéhovah est bien conscient de ce qui est en train de se passer : comme une gangrène, la méchanceté se répand dans tout le pays par la faute de la famille d’Ahab. C’est pourquoi il lui annonce par l’intermédiaire d’Éliya : « Je balaierai à fond derrière toi. » Autrement dit, il l’anéantira, lui et ses descendants. Jézabel aussi paiera pour ses crimes (1 Rois 21:20-26).

Josué

Josué
Administrateur

Jéhovah, en tant que Dieu d’amour, nous donne le meilleur exemple qui soit par la confiance qu’il témoigne à ses créatures intelligentes (I Jean 4:Cool. Il est manifeste qu’il octroie à ses fils spirituels une très grande liberté d’action dans l’accomplissement de leurs missions. Il arrive parfois qu’il leur permette d’exprimer leur avis sur la manière dont ils aimeraient s’acquitter de certaines tâches, puis donne son approbation, les autorisant à agir à leur idée. Nous en avons un exemple dans le récit suivant, rapporté en I Rois 22:20-22: “Et Jéhovah dit : ‘Qui dupera Achab pour qu’il monte et qu’il tombe à Ramoth-Galaad ?’ Et celui-ci disait telle chose, tandis que celui-là disait telle autre chose. Finalement un esprit sortit, et se tint devant Jéhovah, et dit : ‘Moi, je le duperai.’ Et Jéhovah lui dit : ‘Par quel moyen ?’ Et il dit : ‘Je sortirai, et, à coup sûr, je deviendrai un esprit trompeur dans la bouche de tous ses prophètes.’ Et il dit : ‘Tu le duperas et, bien plus, tu triompheras. Sors et fais ainsi.’” Cet esprit, un ange, usa ensuite de son pouvoir pour amener les prophètes d’Achab à exprimer non pas la vérité, mais plutôt ce qu’ils avaient dans le cœur, ce qu’ils avaient envie de dire et ce qu’Achab avait envie d’entendre.

Josué

Josué
Administrateur

10. Cette scène frappante révèle tout entière un témoin oculaire, qui pourrait bien n’être autre que Michée lui-même. Elle est d’une profondeur psychologique admirable. Josaphat joue ici le rôle si fréquent de l’homme juste et pieux qui, après avoir donné la main au monde, va de complaisance en complaisance et finit par risquer de tout perdre. Grande assemblée publique présidée par les deux rois dans leurs costumes royaux.

—  La place, littéralement : l’aire. On plaçait volontiers les aires tout près des villes pour les mettre à couvert des surprises des ennemis qui pouvaient les piller ou les incendier.
commentaire de la bible annotée.

Josué

Josué
Administrateur

Yehoshaphat, qui a suivi Ahab dans la guerre contre la Syrie, est fidèle à Jéhovah, à l’exemple de son père Asa, mais il néglige de faire entièrement disparaître les hauts lieux où se pratique le faux culte. Après 25 ans de règne, il meurt, et Yehoram son fils devient roi à sa place. Au nord, en Israël, Ahazia marche dans la voie de son père, offensant Jéhovah en servant Baal.

Josué

Josué
Administrateur

Josaphat, en Juda (914-889).

L’histoire de ce roi a déjà été racontée en partie à l’occasion de celle d’Achab. L’auteur ne fait plus ici que de jeter sur ce règne un coup d’œil général et de mentionner quelques faits de détail ; comp. la narration plus complète 2 Chroniques XVII-XX.

Josué

Josué
Administrateur

La reine de Sheba est venue de son lointain pays pour s’émerveiller de la sagesse de Salomon, de la prospérité de son peuple et de la gloire de son royaume, y compris de la somptueuse maison de Jéhovah. Toutefois, même Salomon reconnut devant Jéhovah : “ Vois ! Les cieux eux-mêmes, oui le ciel des cieux, ne peuvent te contenir ; combien moins donc cette maison que j’ai bâtie ! ” (1 Rois 8:27 ; 10:4-9). Or des siècles plus tard, Christ Jésus est venu pour accomplir un travail de construction spirituelle particulièrement lié au rétablissement du vrai culte dans le grand temple spirituel de Jéhovah (Héb. 8:1-5 ; 9:2-10, 23). À l’égard de ce bâtisseur plus grand que Salomon, la promesse suivante de Jéhovah demeure valable : “ Vraiment, j’établirai le trône de ton royaume sur Israël pour des temps indéfinis. ” (1 Rois 9:5 ; Mat. 1:1, 6, 7, 16 ; 12:42 ; Luc 1:32). Un Rois nous propose une vision anticipée de la gloire du temple spirituel de Jéhovah, de la prospérité, de l’allégresse et du bonheur complet de tous ceux qui vivront sous la domination pleine de sagesse du Royaume de Jéhovah et de Jésus Christ. Ainsi nous apprécions toujours davantage l’importance du vrai culte et du beau Royaume de Jéhovah et de la Semence.

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