3 août Lecture de la Bible : 1 Rois 18-20
Combien de temps la sécheresse a-t-elle duré aux jours d’Éliya ?
Éliya, le prophète de Jéhovah, a informé le roi Ahab que la longue période d’aridité prendrait bientôt fin. Cela s’est passé “ dans la troisième année ”, apparemment en comptant à partir du jour où Éliya a annoncé la sécheresse (1 Rois 18:1). Jéhovah a envoyé la pluie peu de temps après. Certains pourraient donc en conclure que la sécheresse s’est arrêtée au cours de sa troisième année et qu’elle a par conséquent duré moins de trois ans. Cependant, tant Jésus que Jacques mentionnent qu’elle s’est prolongée “ trois ans et six mois ”. (Luc 4:25 ; Jacques 5:17.) S’agit-il d’une contradiction ?
Pas du tout. Il se trouve que dans l’Israël antique la saison sèche durait longtemps, parfois jusqu’à un semestre. Éliya est sans doute venu avertir Ahab de la sécheresse quand cette période apparaissait déjà anormalement longue et rude. Cela voudrait dire que l’aridité s’était installée près de six mois auparavant. Ainsi, lorsqu’Éliya a annoncé la fin de la sécheresse “ dans la troisième année ” à compter de l’avertissement qu’il avait donné, elle sévissait déjà depuis presque trois ans et demi. “ Trois ans et six mois ” s’étaient bel et bien écoulés au moment où tout le peuple s’est rassemblé pour être témoin de la grande épreuve au mont Carmel.
Considérez à présent le caractère opportun de la première visite d’Éliya à Ahab. Le peuple croyait que Baal était “ le Chevaucheur des nuées ”, le dieu qui apporterait la pluie pour terminer la saison sèche. Lorsque cette saison s’éternisait, les gens se demandaient probablement : ‘ Où est Baal ? Quand fera-t-il pleuvoir ? ’ L’avertissement d’Éliya selon lequel il ne se produirait ni pluie ni rosée à moins qu’il ne l’ordonne a dû être accablant pour ces adorateurs de Baal. — 1 Rois 17:1.
Combien de temps la sécheresse a-t-elle duré aux jours d’Éliya ?
Éliya, le prophète de Jéhovah, a informé le roi Ahab que la longue période d’aridité prendrait bientôt fin. Cela s’est passé “ dans la troisième année ”, apparemment en comptant à partir du jour où Éliya a annoncé la sécheresse (1 Rois 18:1). Jéhovah a envoyé la pluie peu de temps après. Certains pourraient donc en conclure que la sécheresse s’est arrêtée au cours de sa troisième année et qu’elle a par conséquent duré moins de trois ans. Cependant, tant Jésus que Jacques mentionnent qu’elle s’est prolongée “ trois ans et six mois ”. (Luc 4:25 ; Jacques 5:17.) S’agit-il d’une contradiction ?
Pas du tout. Il se trouve que dans l’Israël antique la saison sèche durait longtemps, parfois jusqu’à un semestre. Éliya est sans doute venu avertir Ahab de la sécheresse quand cette période apparaissait déjà anormalement longue et rude. Cela voudrait dire que l’aridité s’était installée près de six mois auparavant. Ainsi, lorsqu’Éliya a annoncé la fin de la sécheresse “ dans la troisième année ” à compter de l’avertissement qu’il avait donné, elle sévissait déjà depuis presque trois ans et demi. “ Trois ans et six mois ” s’étaient bel et bien écoulés au moment où tout le peuple s’est rassemblé pour être témoin de la grande épreuve au mont Carmel.
Considérez à présent le caractère opportun de la première visite d’Éliya à Ahab. Le peuple croyait que Baal était “ le Chevaucheur des nuées ”, le dieu qui apporterait la pluie pour terminer la saison sèche. Lorsque cette saison s’éternisait, les gens se demandaient probablement : ‘ Où est Baal ? Quand fera-t-il pleuvoir ? ’ L’avertissement d’Éliya selon lequel il ne se produirait ni pluie ni rosée à moins qu’il ne l’ordonne a dû être accablant pour ces adorateurs de Baal. — 1 Rois 17:1.