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15 déc. Lecture de la Bible : Josué 6-8

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Josué

Josué
Administrateur

15 déc. Lecture de la Bible : Josué 6-8
Maintenant que l’organisation pleine d’ardeur de Jéhovah arrive dans les dernières années de son activité de prédication en faveur du monde l’œuvre va sans doute prendre de l’extension. Rappelez-vous ce que les Israélites reçurent ordre de faire juste avant que Dieu détruisît Jéricho. Tout d’abord, Dieu leur avait demandé de faire le tour de la ville une fois par jour pendant six jours. Mais il leur avait dit ensuite: “Et le septième jour vous devrez marcher sept fois autour de la ville et les prêtres devront sonner des cors. Et il devra arriver, lorsqu’ils sonneront de la corne du bélier, lorsque vous entendrez le son du cor, que tout le peuple devra pousser un grand cri de guerre; et la muraille de la ville devra s’écrouler sur elle-même.” — Josué 6:2-5.
Le septième et dernier jour, les Israélites devaient déployer une activité sept fois plus grande, puis “pousser un grand cri de guerre”. Ils observèrent les instructions à la lettre. “Et il advint, le septième jour, qu’ils se levèrent de bonne heure, dès le lever de l’aurore, et ils marchèrent autour de la ville, de la même façon, sept fois. (...) Et il advint, à la septième fois, que les prêtres sonnèrent des cors, et Josué dit au peuple: ‘Criez, car Jéhovah vous a livré la ville!’ (...) Et il advint, dès que le peuple eut entendu le son du cor et que le peuple se fut mis à pousser un grand cri de guerre, que la muraille s’écroula alors sur elle-même.” — Josué 6:15, 16, 20.

Josué

Josué
Administrateur

Tournons-nous maintenant vers Jéricho, une ville “fermée et barricadée” derrière des murs énormes. Les ruines roussies qui ont subsisté jusqu’à nos jours témoignent de sa puissance et montrent qu’elle était pratiquement imprenable. Une simple armée humaine n’aurait pu l’investir par un assaut rapide. Mais une simple armée humaine n’aurait jamais utilisé la stratégie qui fut ordonnée par Jéhovah. Les hommes de guerre d’Israël durent se mettre en marche. Une fois par jour, pendant six jours, il leur fallut faire le tour de la ville avec, au milieu d’eux, l’arche de l’alliance et des prêtres soufflant sans arrêt dans des trompettes. Quelle stratégie étrange ! Tous ceux qui se trouvaient sur les murs de Jéricho ont dû rire et se moquer. — Josué 6:6-9.
Ces Israélites devaient être courageux pour marcher ainsi, en ordre théocratique, autour de la ville. Il faut également du courage aux témoins de Jéhovah de notre époque pour continuer de marcher autour de Babylone la Grande, dont la chrétienté est le principal bastion, tout en faisant retentir un message de condamnation. Mais nous parcourons le territoire, faisant peu de cas des injures et nous confiant fermement en Jéhovah qui est avec nous. Le message de jugement que nous proclamons vient de Dieu, et il annonce clairement que l’organisation de la fausse religion de Satan sera finalement ‘dévastée’. Seule une “sainte postérité”, qui soutient le vrai culte de Jéhovah Dieu, survivra. — És. 6:11-13.

Josué

Josué
Administrateur

À Jéricho ont eu lieu trois campagnes de fouilles (1907-1909 ; 1930-1936 ; 1952-1958). Les interprétations successives des découvertes prouvent une fois de plus que l’archéologie, comme d’autres secteurs de la science humaine, ne fournit pas des informations absolument immuables. Chacune de ces trois campagnes a assemblé des données, mais chaque équipe est parvenue à des conclusions différentes quant à l’histoire de la ville et en particulier quant à la date à laquelle les Israélites la conquirent. Quoi qu’il en soit, on peut dire que les résultats de tous les travaux ont abouti à la vue d’ensemble exposée dans le livre Biblical Archaeology, de G. Wright (1963, p. 78), qui déclare : “ La ville subit une terrible destruction ou une série de destructions au cours du IIe millénaire av. J.-C. et demeura pour ainsi dire inoccupée pendant des générations. ” Les vestiges exhumés ont montré que la destruction s’était accompagnée d’un terrible incendie. — Voir Jos 6:20-26.

Josué

Josué
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DÉFAITE À AÏ
Aï était la ville suivante sur le chemin des armées israélites. Mais là, elles essuyèrent une défaite humiliante. Le récit biblique explique pourquoi. Nous lisons: “Et les fils d’Israël commirent un acte d’infidélité concernant la chose vouée à la destruction, en ce que Acan, fils de Carmi, fils de Zabdi, fils de Zérah, de la tribu de Juda, prit une partie de la chose vouée à la destruction. Alors la colère de Jéhovah devint ardente contre les fils d’Israël.” — Josué 7:1.
Aï était plus petite que Jéricho; aussi les espions envoyés par Josué lui avaient-ils dit: “Que tout le peuple ne monte pas! Qu’il ne monte qu’environ deux mille hommes ou environ trois mille hommes et qu’ils frappent Aï! Ne fatigue pas tout le peuple en le faisant aller là, car ils sont peu nombreux.” — Josué 7:2, 3.
Le récit biblique poursuit en ces termes: “Il n’y monta donc du peuple qu’environ trois mille hommes, mais ils prirent la fuite devant les hommes d’Aï. Et les hommes d’Aï abattirent d’entre eux environ trente-six hommes, et ils les poursuivirent depuis le devant de la porte jusqu’à Schébarim [carrières de pierre], et ils continuèrent à les abattre à la descente. Alors le cœur du peuple commença à fondre et devint comme de l’eau.” — Josué 7:4, 5.
Que s’était-il passé? Jéhovah avait-il abandonné son peuple? Ce n’était pas, en premier lieu, la perte des trente-six soldats qui accablait le peuple, car il est normal que toute bataille fasse au moins quelques victimes. Le pire était qu’Israël, l’armée de Jéhovah, avait fui devant ses ennemis. — Josué 7:8.

Josué

Josué
Administrateur

Josué éprouvait donc une profonde détresse. Il “déchira alors ses manteaux et tomba à terre sur sa face devant l’arche de Jéhovah, jusqu’au soir, lui et les aînés d’Israël, et ils mettaient de la poussière sur leur tête”. (Josué 7:6.) Ces dirigeants de la nation, remplis de chagrin, redoutaient que le peuple n’eût déplu à Jéhovah. Ils n’étaient pas seulement affligés; ils témoignaient aussi leur repentir, car ils avaient le sentiment très net que c’était à cause d’un péché que Dieu leur avait retiré son aide. Le fait qu’ils restèrent étendus jusqu’au soir prouvait leur tourment et leur crainte que Dieu ne fût en colère. Ils n’ont pas reproché aux espions de les avoir mal conseillés ni aux soldats de s’être comportés lâchement, mais ils ont fait appel à Dieu pour qu’il leur montre la cause du mal et comment retrouver sa faveur.
Josué parla à Dieu, disant: “Hélas, Souverain Seigneur Jéhovah, pourquoi donc as-tu fait passer le Jourdain à ce peuple, pour nous livrer en la main des Amorites, pour qu’ils nous détruisent? Et si seulement nous avions pris sur nous de continuer à habiter de l’autre côté du Jourdain! Pardon, ô Jéhovah, mais que puis-je dire après qu’Israël a tourné le dos devant ses ennemis? Et les Cananéens et tous les habitants du pays l’entendront, et, à coup sûr, ils nous entoureront et retrancheront notre nom de la terre, et que feras-tu pour ton grand nom?” — Josué 7:7-9.

Josué

Josué
Administrateur

On ne peut pas accuser Josué de se plaindre de Jéhovah en cette circonstance. D’après Keil et Delitzsch, commentateurs de la Bible, Josué employait simplement le franc-parler de la foi en débattant avec Dieu dans la prière, en le suppliant de terminer son œuvre avec la même gloire qu’il l’avait commencée. Sa foi ne pouvait cependant comprendre les voies du Seigneur (voir Genèse 18:23-26). Josué pensait peut-être qu’avant la traversée du Jourdain, le désir du peuple d’aller de l’avant n’était pas exempt d’égoïsme, que ce n’était pas de tout son cœur qu’Israël voulait faire la volonté de Dieu. Il souhaitait que soient rétablies les bonnes relations entre Dieu et Israël, qu’elles redeviennent ce qu’elles étaient de l’autre côté du fleuve.
Josué ouvrit son cœur sans réserve et donna libre cours à ses sentiments, comme il est normal de le faire dans la prière (voir Hébreux 10:19-22). Puis, craignant que ce qu’il allait dire ressemble à un reproche, comme si Jéhovah avait oublié Son honneur, Josué demanda à Dieu comment Il pourrait à présent soutenir son “grand nom” devant le monde. Le nom de Jéhovah était associé à la nation israélite et, pour Josué, l’opprobre que la défaite des Israélites faisait retomber sur ce nom était le plus pénible de toute l’affaire. (Comparez avec ce que dit Moïse lorsqu’il intercéda pour les Israélites après qu’ils eurent gravement péché.) — Ex. 32:11-14.

Josué

Josué
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LE PÉCHÉ D’UN SEUL MET EN DANGER TOUT LE PEUPLE
De plus, un pareil péché, s’il restait impuni, corromprait tout le peuple. La nation s’avilirait en livrant des batailles, non pour glorifier le nom de Dieu et le vrai culte, mais pour se glorifier elle-même par des conquêtes égoïstes. L’apôtre Paul a montré que tolérer ou excuser un péché grave représente un danger insidieux. Il écrivit en effet à la congrégation chrétienne de Jérusalem de veiller “à ce qu’aucune racine vénéneuse, venant à pousser, ne cause du trouble, et que beaucoup n’en soient souillés; à ce qu’il n’y ait pas de fornicateur ni d’homme qui ne fasse aucun cas des choses sacrées, comme Ésaü qui, en échange d’un seul plat, céda ses droits de premier-né”. — Héb. 12:15, 16; voir aussi I Corinthiens 5:6, 7, 13.
Quand le tirage au sort désigna directement Acan, Josué fut aimable avec lui, quoiqu’il sût que l’homme était coupable. Il lui dit: “S’il te plaît, mon fils, rends gloire à Jéhovah, Dieu d’Israël, et fais confession devant lui, et révèle-le-moi, s’il te plaît: Qu’as-tu fait? Ne me le cache pas.” (Josué 7:19). Alors Acan ‘rendit gloire à Dieu’ en reconnaissant que Jéhovah avait bien dirigé le tirage au sort et qu’il était à bon droit en colère contre lui. Acan avait “commis une scandaleuse folie en Israël”, un crime qui déshonorait grandement Dieu, puisqu’il déshonorait Israël, son représentant. — Josué 7:15.
LA CULPABILITÉ EST EFFACÉE
Alors, pour montrer à tout Israël quelle était la cause de leur désastre à Aï et pour prouver qu’Acan était le coupable, Josué envoya chercher les objets volés dans la tente d’Acan et les déposa devant le peuple (Josué 7:22, 23). Selon le commandement de Dieu, Acan devait être mis à mort. Sa famille, sa tente et ses biens devaient être brûlés, afin que la nation d’Israël soit débarrassée des éléments contaminés, semblables à du levain. Le nom même d’Acan serait en horreur. Après qu’Acan fut lapidé, puis brûlé, le récit dit qu’on éleva un grand tas de pierres sur ses cendres et qu’on appela l’endroit Achor (ostracisme, malheur) en souvenir de la calamité que cet homme avait amenée sur Israël. — Josué 7:24-26.
Certaines personnes trouveront peut-être injustes l’exécution de la famille d’Acan et la destruction de ses biens. Mais songeons à l’opprobre et au malheur causés par l’avidité de cet homme, et aussi à la mort des trente-six soldats. En outre, la famille d’Acan ne pouvait guère ignorer que les objets maudits et volés étaient cachés dans la terre, sous la tente d’Acan. — Josué 7:21.

Josué

Josué
Administrateur

11 Alors que les 40 années de pérégrinations d’Israël dans le désert touchaient à leur fin, Moïse a détaillé les bénédictions qui découleraient du choix d’obéir à Dieu. Il a également énuméré les malédictions que les Israélites connaîtraient s’ils choisissaient de désobéir à Jéhovah (Deutéronome 27:11–28:10). Peu après l’entrée d’Israël en Terre promise, Josué a suivi les instructions de Moïse concernant ces bénédictions et malédictions. Six tribus d’Israël se sont placées au pied du mont Ébal, et les six autres ont pris position vis-à-vis du mont Guerizim. Quant aux Lévites, ils se tenaient au milieu, dans la vallée. Il semble que les tribus qui se trouvaient devant le mont Ébal répondaient “ Amen ! ” aux malédictions lues dans leur direction, tandis que celles rassemblées au pied du mont Guerizim répondaient aux bénédictions que les Lévites lisaient vers elles. — Josué 8:30-35.
12 Représentez-vous la scène, les Lévites en train de dire : “ Maudit est l’homme qui fait une image sculptée ou une statue en métal fondu — chose détestable pour Jéhovah, ouvrage des mains d’un ouvrier sur bois et en métaux — et qui l’a mise dans une cachette. (...) Maudit est celui qui traite avec mépris son père ou sa mère. (...) Maudit est celui qui recule la borne de son semblable. (...) Maudit est celui qui égare l’aveugle sur le chemin. (...) Maudit est celui qui fait dévier le jugement d’un résident étranger, d’un orphelin de père et d’une veuve. (...) Maudit est celui qui couche avec la femme de son père, car il a découvert le pan du vêtement de son père. (...) Maudit est celui qui couche avec une bête quelconque. (...) Maudit est celui qui couche avec sa sœur, la fille de son père ou la fille de sa mère. (...) Maudit est celui qui couche avec sa belle-mère. (...) Maudit est celui qui frappe son semblable à mort depuis une cachette. (...) Maudit est celui qui accepte un pot-de-vin pour frapper une âme à mort, alors que c’est du sang innocent. (...) Maudit est celui qui ne met pas en vigueur les paroles de cette loi, en les pratiquant. ” Après chaque malédiction, les tribus vis-à-vis du mont Ébal disaient : “ Amen ! ” — Deutéronome 27:15-26.
13 À présent, représentez-vous les Israélites vis-à-vis du mont Guerizim répondant distinctement à chacune des bénédictions suivantes proclamées par les Lévites : “ Béni seras-tu dans la ville, et béni seras-tu dans la campagne. Béni sera le fruit de ton ventre, et le fruit de ton sol, et le fruit de ta bête domestique, les petits de tes vaches et la progéniture de ton petit bétail. Bénis seront ta corbeille et ton pétrin. Béni seras-tu quand tu entreras, et béni seras-tu quand tu sortiras. ” — Deutéronome 28:3-6.
14 Que fallait-il faire pour recevoir ces bénédictions ? Le récit dit : “ Si vraiment tu écoutes la voix de Jéhovah ton Dieu en veillant à pratiquer tous ses commandements que je te commande aujourd’hui alors, à coup sûr, Jéhovah ton Dieu te mettra bien au-dessus de toutes les autres nations de la terre. Et toutes les bénédictions que voici devront venir sur toi et t’atteindre, parce que tu continues d’écouter la voix de Jéhovah ton Dieu. ” (Deutéronome 28:1, 2). Oui, les Israélites jouiraient des bénédictions de Dieu s’ils lui obéissaient. Mais qu’en est-il de chacun de nous aujourd’hui ? Choisirons-nous les bénédictions et la vie en continuant à ‘ écouter la voix de Jéhovah ’ ? — Deutéronome 30:19, 20.

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