16 juin Lecture de la Bible : Lévitique 6-9
INSPIRÉ par Dieu, un poète de l’Antiquité écrivit : “Voyez ! Qu’il est bon et qu’il est agréable pour des frères d’habiter ensemble dans une étroite union ! (...) C’est comme la rosée de l’Hermon qui descend sur les montagnes de Sion. Car c’est là que Jéhovah a ordonné que soit la bénédiction, oui, la vie jusqu’à des temps indéfinis.” — Ps. 133:1-3.
La paix avec autrui est en effet indispensable pour être heureux. Dieu lui-même attache un grand prix à la paix. Pour connaître et sauvegarder la paix avec nos semblables, nous devons agir honnêtement à leur égard. Plus que tous les autres gens, ceux qui se disent chrétiens doivent rechercher la paix avec leurs semblables en agissant avec justice et amour envers eux.
Quand il était sur la terre, Jésus Christ parla à une foule de Juifs des difficultés qui peuvent surgir entre les individus ; il dit : “Si donc tu apportes ton présent vers l’autel et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton présent devant l’autel et va-t’en ; fais d’abord la paix avec ton frère, et alors, quand tu seras revenu, offre ton présent.” — Mat. 5:23, 24.
CONFORME AUX PRÉCEPTES PLUS ANCIENS
À cette occasion, Jésus a sans aucun doute pensé à la Loi de Dieu que l’on trouve dans Lévitique 6:2-7, où nous lisons :
“Si une âme pèche en ce qu’elle se comporte en infidèle envers Jéhovah et trompe son compagnon au sujet d’une chose sous sa garde, ou d’un dépôt en main, ou d’une rapine, ou bien si elle frustre son compagnon ou bien si elle trouve une chose perdue et use de tromperie à ce sujet et fait un faux serment à propos de l’une quelconque de toutes les choses que l’homme peut faire pour pécher par elles, alors il devra arriver, si elle pèche et devient vraiment coupable, qu’elle devra restituer la chose ravie qu’elle a ravie ou la chose extorquée qu’elle a prise par fraude, ou la chose sous sa garde qui a été confiée à sa garde, ou la chose perdue qu’elle a trouvée, ou tout ce sur quoi elle peut faire un faux serment, et elle devra donner la compensation pour cela, selon son montant intégral, et elle y ajoutera le cinquième. Elle le donnera à celui à qui cela appartient, le jour où sa culpabilité sera établie. Et elle amènera à Jéhovah, comme son offrande de culpabilité, un bélier en parfait état provenant du troupeau, selon la valeur estimative, pour une offrande de culpabilité, remise au prêtre. Et le prêtre devra faire la propitiation pour elle devant Jéhovah, et ainsi il devra lui être pardonné à propos de l’une quelconque de toutes les choses qu’elle peut faire et qui entraîne avec elle la culpabilité.”
Un Israélite qui avait fait une de ces choses mentionnées dans la Loi avait gravement frustré son compagnon d’une manière ou d’une autre. Il savait que son compagnon pouvait lui reprocher quelque chose. Ce n’était pas une faute imaginaire, mais bien réelle. Maintenant, si le malfaiteur allait au temple pour y offrir un sacrifice, prétendant ainsi adorer et servir Jéhovah, de quelle valeur allait être son offrande puisqu’il se présentait devant Jéhovah alors qu’il était voleur, menteur ou extorqueur ? Dieu n’allait pas approuver son offrande ni lui accorder une bénédiction. C’est ce qu’il expliqua plus tard au roi Saül en lui disant par l’intermédiaire du prophète Samuel : “Jéhovah prend-il plaisir aux holocaustes et aux sacrifices autant qu’à l’obéissance à la voix de Jéhovah ? Voici, obéir vaut mieux qu’un sacrifice, prêter attention vaut mieux que la graisse des béliers.” — I Sam. 15:22.
INSPIRÉ par Dieu, un poète de l’Antiquité écrivit : “Voyez ! Qu’il est bon et qu’il est agréable pour des frères d’habiter ensemble dans une étroite union ! (...) C’est comme la rosée de l’Hermon qui descend sur les montagnes de Sion. Car c’est là que Jéhovah a ordonné que soit la bénédiction, oui, la vie jusqu’à des temps indéfinis.” — Ps. 133:1-3.
La paix avec autrui est en effet indispensable pour être heureux. Dieu lui-même attache un grand prix à la paix. Pour connaître et sauvegarder la paix avec nos semblables, nous devons agir honnêtement à leur égard. Plus que tous les autres gens, ceux qui se disent chrétiens doivent rechercher la paix avec leurs semblables en agissant avec justice et amour envers eux.
Quand il était sur la terre, Jésus Christ parla à une foule de Juifs des difficultés qui peuvent surgir entre les individus ; il dit : “Si donc tu apportes ton présent vers l’autel et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton présent devant l’autel et va-t’en ; fais d’abord la paix avec ton frère, et alors, quand tu seras revenu, offre ton présent.” — Mat. 5:23, 24.
CONFORME AUX PRÉCEPTES PLUS ANCIENS
À cette occasion, Jésus a sans aucun doute pensé à la Loi de Dieu que l’on trouve dans Lévitique 6:2-7, où nous lisons :
“Si une âme pèche en ce qu’elle se comporte en infidèle envers Jéhovah et trompe son compagnon au sujet d’une chose sous sa garde, ou d’un dépôt en main, ou d’une rapine, ou bien si elle frustre son compagnon ou bien si elle trouve une chose perdue et use de tromperie à ce sujet et fait un faux serment à propos de l’une quelconque de toutes les choses que l’homme peut faire pour pécher par elles, alors il devra arriver, si elle pèche et devient vraiment coupable, qu’elle devra restituer la chose ravie qu’elle a ravie ou la chose extorquée qu’elle a prise par fraude, ou la chose sous sa garde qui a été confiée à sa garde, ou la chose perdue qu’elle a trouvée, ou tout ce sur quoi elle peut faire un faux serment, et elle devra donner la compensation pour cela, selon son montant intégral, et elle y ajoutera le cinquième. Elle le donnera à celui à qui cela appartient, le jour où sa culpabilité sera établie. Et elle amènera à Jéhovah, comme son offrande de culpabilité, un bélier en parfait état provenant du troupeau, selon la valeur estimative, pour une offrande de culpabilité, remise au prêtre. Et le prêtre devra faire la propitiation pour elle devant Jéhovah, et ainsi il devra lui être pardonné à propos de l’une quelconque de toutes les choses qu’elle peut faire et qui entraîne avec elle la culpabilité.”
Un Israélite qui avait fait une de ces choses mentionnées dans la Loi avait gravement frustré son compagnon d’une manière ou d’une autre. Il savait que son compagnon pouvait lui reprocher quelque chose. Ce n’était pas une faute imaginaire, mais bien réelle. Maintenant, si le malfaiteur allait au temple pour y offrir un sacrifice, prétendant ainsi adorer et servir Jéhovah, de quelle valeur allait être son offrande puisqu’il se présentait devant Jéhovah alors qu’il était voleur, menteur ou extorqueur ? Dieu n’allait pas approuver son offrande ni lui accorder une bénédiction. C’est ce qu’il expliqua plus tard au roi Saül en lui disant par l’intermédiaire du prophète Samuel : “Jéhovah prend-il plaisir aux holocaustes et aux sacrifices autant qu’à l’obéissance à la voix de Jéhovah ? Voici, obéir vaut mieux qu’un sacrifice, prêter attention vaut mieux que la graisse des béliers.” — I Sam. 15:22.