7 juillet Lecture de la Bible : Lévitique 17-20
Il est vrai que la Loi et ses instructions étaient principalement pour le bien spirituel des Israélites et devaient les mettre à l’écart des nations païennes, mais un examen des règles relatives à l’alimentation et à l’hygiène dans la Loi révèle qu’elle avait un heureux effet secondaire en ce qu’elle les protégeait des causes et de la propagation de nombreuses maladies, dont certaines maladies fébriles infectieuses.
1) Le régime alimentaire des Hébreux ne comportait pas beaucoup de viande en temps normal ; cependant, lorsqu’une famille voulait tuer un animal domestique pour avoir de la viande, elle l’amenait au sanctuaire (sauf, après l’entrée en Terre promise, la famille qui habitait trop loin) (Lv 17:3-5 ; Dt 12:20-27). Les membres de la famille mangeaient la viande après que le prêtre en avait offert une partie sur l’autel et avait reçu sa part. Certains sacrifices de communion devaient être mangés le jour même. D’autres ne pouvaient plus être mangés après le deuxième jour et la chair devait être brûlée au feu. Compte tenu du climat chaud de la Palestine et de l’absence de réfrigération, ces exigences protégeaient les Israélites des maladies fébriles que peuvent provoquer des toxines produites lorsque certains organismes se multiplient rapidement sur la viande qui n’est pas conservée au frais, par exemple le Staphylococcus aureus et la Salmonella. 2) La chair de certains animaux interdits, par exemple le porc, le lièvre, les animaux et oiseaux charognards, les rongeurs et certains animaux aquatiques et poissons, est reconnue comme favorisant diverses maladies, souvent fébriles (Lv 11:1-31). 3) Les règles d’hygiène protégeaient les ustensiles de cuisine et les réserves d’eau potable de la contamination à l’origine de la typhoïde et d’autres maladies fébriles (Lv 11:32-38). 4) Quiconque touchait le corps d’un animal trouvé mort ou en mangeait devait se purifier, ce qui évitait la propagation de germes responsables de certaines maladies fébriles (Lv 11:39, 40). 5) Les lois ordonnant à tous de recouvrir leurs matières fécales et de recouvrir le sang de poussière protégeaient de maladies fébriles comme l’hépatite (Lv 17:13 ; Dt 23:12, 13). 6) Les lois morales éliminaient presque toutes les maladies sexuellement transmissibles, lesquelles peuvent affecter tous les organes du corps et s’accompagnent souvent de fièvre (Lv 18:20, 22, 23). 7) Les lois relatives à la quarantaine prévenaient la propagation de maladies infectieuses. — Lv 13 ; Nb 19:11, 12, 16 ; 31:19.
Il est vrai que la Loi et ses instructions étaient principalement pour le bien spirituel des Israélites et devaient les mettre à l’écart des nations païennes, mais un examen des règles relatives à l’alimentation et à l’hygiène dans la Loi révèle qu’elle avait un heureux effet secondaire en ce qu’elle les protégeait des causes et de la propagation de nombreuses maladies, dont certaines maladies fébriles infectieuses.
1) Le régime alimentaire des Hébreux ne comportait pas beaucoup de viande en temps normal ; cependant, lorsqu’une famille voulait tuer un animal domestique pour avoir de la viande, elle l’amenait au sanctuaire (sauf, après l’entrée en Terre promise, la famille qui habitait trop loin) (Lv 17:3-5 ; Dt 12:20-27). Les membres de la famille mangeaient la viande après que le prêtre en avait offert une partie sur l’autel et avait reçu sa part. Certains sacrifices de communion devaient être mangés le jour même. D’autres ne pouvaient plus être mangés après le deuxième jour et la chair devait être brûlée au feu. Compte tenu du climat chaud de la Palestine et de l’absence de réfrigération, ces exigences protégeaient les Israélites des maladies fébriles que peuvent provoquer des toxines produites lorsque certains organismes se multiplient rapidement sur la viande qui n’est pas conservée au frais, par exemple le Staphylococcus aureus et la Salmonella. 2) La chair de certains animaux interdits, par exemple le porc, le lièvre, les animaux et oiseaux charognards, les rongeurs et certains animaux aquatiques et poissons, est reconnue comme favorisant diverses maladies, souvent fébriles (Lv 11:1-31). 3) Les règles d’hygiène protégeaient les ustensiles de cuisine et les réserves d’eau potable de la contamination à l’origine de la typhoïde et d’autres maladies fébriles (Lv 11:32-38). 4) Quiconque touchait le corps d’un animal trouvé mort ou en mangeait devait se purifier, ce qui évitait la propagation de germes responsables de certaines maladies fébriles (Lv 11:39, 40). 5) Les lois ordonnant à tous de recouvrir leurs matières fécales et de recouvrir le sang de poussière protégeaient de maladies fébriles comme l’hépatite (Lv 17:13 ; Dt 23:12, 13). 6) Les lois morales éliminaient presque toutes les maladies sexuellement transmissibles, lesquelles peuvent affecter tous les organes du corps et s’accompagnent souvent de fièvre (Lv 18:20, 22, 23). 7) Les lois relatives à la quarantaine prévenaient la propagation de maladies infectieuses. — Lv 13 ; Nb 19:11, 12, 16 ; 31:19.