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14 juillet Lecture de la Bible : Lévitique 21-24

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Josué

Josué
Administrateur

14 juillet Lecture de la Bible : Lévitique 21-24
Nous pouvons considérer la question des engouements ou de la mode d’une autre façon encore. Supposons que vous ayez vécu au temps d’Israël, sous la Loi, et que vous n’aimiez pas la barbe. Peut-être auriez-vous préféré être comme les Égyptiens qui se rasaient de près. Qu’auriez-vous fait ? Auriez-vous exercé votre droit de vous raser ? Non, car vous n’auriez pas eu ce droit. Il vous aurait fallu porter la barbe, car la Loi ordonnait ceci à tous les hommes : “Vous ne couperez point en rond les coins de votre chevelure, et tu ne raseras point les coins de ta barbe.” — Lév. 19:27 ; 21:5.
24 Était-ce une question de mode ? Non ; il s’agissait d’empêcher les Israélites d’imiter les pratiques de certaines nations païennes qui les entouraient. Toutefois, ils devaient avoir une barbe propre, taillée et bien soignée. Une barbe non soignée ou rasée était un signe de deuil ou de chagrin (II Sam. 19:24-28 ; És. 7:20). Les Israélites se coupaient régulièrement les cheveux à moins d’avoir fait vœu de naziréat. Dans la prophétie d’Ézéchiel, les prêtres ont reçu l’ordre de se couper les cheveux et de ne pas les laisser croître d’une manière sauvage. — Ézéch. 44:15, 20.

Josué

Josué
Administrateur

Sous la Loi, la peine de mort était exécutée par lapidation (Lv 20:2, 27). On employait parfois l’épée, particulièrement s’il fallait procéder à un grand nombre d’exécutions (Ex 32:27 ; 1R 2:25, 31, 32, 34). Si une ville devenait apostate, tous ses habitants devaient être voués à la destruction par l’épée (Dt 13:15). En Exode 19:13, il est fait allusion à une exécution par la lance ou peut-être par les flèches (voir Nb 25:7, Cool. La décapitation est mentionnée, mais peut-être procédait-on à l’exécution d’une autre manière et décapitait-on ensuite le cadavre (2S 20:21, 22 ; 2R 10:6-Cool. La Loi prescrivait que les auteurs des crimes les plus détestables soient brûlés ou pendus (Lv 20:14 ; 21:9 ; Jos 7:25 ; Nb 25:4, 5 ; Dt 21:22, 23). Comme l’indiquent clairement les textes donnés en référence, ces sentences n’étaient exécutées qu’après la mise à mort.
Quand Dieu ordonnait que les prisonniers de guerre soient voués à la destruction, ceux-ci étaient généralement exécutés par l’épée (1S 15:2, 3, 33). Ceux qui se rendaient étaient assujettis au travail forcé (Dt 20:10, 11). Des traductions anciennes du passage de 2 Samuel 12:31 laissent entendre que David tortura les habitants de Rabba d’Ammôn, mais les traductions modernes indiquent qu’il les mit simplement au travail forcé. — Voir Jé ; MN ; TOB.

Josué

Josué
Administrateur

Voici quel était le revenu des prêtres : 1) la dîme ordinaire ; 2) l’argent du rachat de tout mâle premier-né, enfant ou bête. Dans le cas d’un taurillon, d’un agneau ou d’un chevreau premier-né, ils recevaient la chair en nourriture (Nb 18:14-19) ; 3) l’argent du rachat des hommes et des objets sanctifiés ainsi que des choses vouées par interdit à Jéhovah (Lv 27) ; 4) certaines parties des diverses offrandes qu’apportait le peuple, ainsi que le pain de proposition (Lv 6:25, 26, 29 ; 7:6-10 ; Nb 18:8-14) ; 5) une partie des offrandes du meilleur des premiers fruits mûrs : grain, vin et huile (Ex 23:19 ; Lv 2:14-16 ; 22:10 [l’“ étranger ” dans ce dernier texte est quelqu’un qui n’est pas prêtre] ; Dt 14:22-27 ; 26:1-10) ; à part quelques morceaux précis que seuls les prêtres pouvaient manger (Lv 6:29), leurs fils et leurs filles et, dans certains cas, leur maisonnée entière, y compris les esclaves, avaient le droit d’en consommer (Lv 10:14 ; 22:10-13) ; 6) certainement une part de la dîme triennale à l’intention des Lévites et des pauvres (Dt 14:28, 29 ; 26:12) ; 7) le butin pris à la guerre. — Nb 31:26-30.

Josué

Josué
Administrateur

De même que la fête des Gâteaux non fermentés suivait la Pâque et durait sept jours, de même son antitype fait suite au sacrifice de “l’Agneau de Dieu”, Jésus Christ, le 14 Nisan de l’an 33. La fête comptant un nombre de jours qui symbolise la perfection ou la plénitude, son antitype s’est prolongé à travers les siècles jusqu’à présent, et les chrétiens qui sont des Israélites spirituels, qui sont Juifs au-dedans, sont tenus de l’observer. En I Corinthiens 5:6-8, l’apôtre Paul fait allusion à la fête antitypique et dit:
“Ne savez-vous pas qu’un peu de levain fait fermenter toute la masse? Ôtez le vieux levain pour être une masse nouvelle, dans la mesure où vous êtes exempts de ferment. Car Christ notre Pâque a vraiment été sacrifié. Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, ni avec du levain de malice et de méchanceté, mais avec les gâteaux non fermentés de la sincérité et de la vérité.”
Paul écrivit ces lignes en 55, soit vingt-deux ans après la mort sacrificielle du Christ. Mais les Israélites spirituels qui les lisent aujourd’hui, plus de dix-neuf siècles plus tard, sont toujours dans l’obligation d’observer la fête antitypique en manifestant sincérité et vérité. Ce faisant, ils peuvent entrer dans l’esprit de l’ancienne fête typique et n’être “que joyeux”. Pour quelle raison? Parce que l’observance fidèle de la fête moderne contribue à l’édification d’une organisation théocratique et pure à laquelle Jéhovah peut manifester son approbation.

Josué

Josué
Administrateur

La deuxième fête obligatoire dans l’ancien Israël était la fête des Semaines. Pourquoi ce nom? Parce que les Israélites devaient compter sept semaines à partir du 16 Nisan, jour où le grand prêtre présentait à Jéhovah, comme prémices de la moisson des orges, la gerbe des premiers épis mûrs. Ils devaient donc compter quarante-neuf jours et célébrer la fête des Semaines le cinquantième. En grec, langue dans laquelle un groupe de Juifs traduisit la Bible, le mot “cinquantième” se disait péntêcostê. Aussi les Juifs d’expression grecque donnèrent-ils à la fête le nom de Pentecôte. Que se passait-il ce jour-là?
La réponse se trouve en Lévitique 23:15-21. Nous y lisons: “Et vous devrez compter pour vous, depuis le lendemain du sabbat, depuis le jour où vous aurez apporté la gerbe de l’offrande balancée, sept sabbats. Ils devront être complets. Vous devrez compter jusqu’au lendemain du septième sabbat, soit cinquante jours; et vous devrez présenter une offrande céréalière nouvelle à Jéhovah. De vos lieux d’habitation vous devrez apporter deux pains comme offrande balancée. Ils devront être de deux dixièmes d’éphah de fleur de farine. (...) Et le prêtre devra les balancer avec les pains des premiers fruits mûrs, comme offrande balancée devant Jéhovah, avec les deux agneaux mâles. Ils devront servir de chose sainte pour Jéhovah et appartenir au prêtre. Et vous devrez proclamer ce même jour qu’il y aura un saint rassemblement pour vous. Vous ne pourrez faire aucun travail pénible d’aucune sorte. C’est une ordonnance jusqu’à des temps indéfinis dans tous vos lieux d’habitation, pour vos générations.”
La fête prophétique des Semaines, ou Pentecôte, eut un accomplissement sur la congrégation des disciples de Jésus, à Jérusalem, le cinquantième jour à compter de sa résurrection. La fête antitypique des Semaines commença donc le sixième jour du troisième mois lunaire de l’an 33, soit le 6 Sivan. À cette époque-là, Jésus Christ était déjà glorifié et se trouvait dans le Très-Saint du grand temple spirituel de Jéhovah, c’est-à-dire en la présence même de Dieu, dans les cieux vers lesquels il était monté le quarantième jour après sa résurrection.

Josué

Josué
Administrateur

De même que la fête des Gâteaux non fermentés suivait la Pâque et durait sept jours, de même son antitype fait suite au sacrifice de “l’Agneau de Dieu”, Jésus Christ, le 14 Nisan de l’an 33. La fête comptant un nombre de jours qui symbolise la perfection ou la plénitude, son antitype s’est prolongé à travers les siècles jusqu’à présent, et les chrétiens qui sont des Israélites spirituels, qui sont Juifs au-dedans, sont tenus de l’observer. En I Corinthiens 5:6-8, l’apôtre Paul fait allusion à la fête antitypique et dit:
 “Ne savez-vous pas qu’un peu de levain fait fermenter toute la masse? Ôtez le vieux levain pour être une masse nouvelle, dans la mesure où vous êtes exempts de ferment. Car Christ notre Pâque a vraiment été sacrifié. Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, ni avec du levain de malice et de méchanceté, mais avec les gâteaux non fermentés de la sincérité et de la vérité.”
 Paul écrivit ces lignes en 55, soit vingt-deux ans après la mort sacrificielle du Christ. Mais les Israélites spirituels qui les lisent aujourd’hui, plus de dix-neuf siècles plus tard, sont toujours dans l’obligation d’observer la fête antitypique en manifestant sincérité et vérité. Ce faisant, ils peuvent entrer dans l’esprit de l’ancienne fête typique et n’être “que joyeux”. Pour quelle raison? Parce que l’observance fidèle de la fête moderne contribue à l’édification d’une organisation théocratique et pure à laquelle Jéhovah peut manifester son approbation.

Josué

Josué
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Douze gâteaux de pain qu’on plaçait sur une table dans le Saint du tabernacle ou du temple et qu’on remplaçait par des frais chaque sabbat (Ex 35:13 ; 39:36 ; 1R 7:48 ; 2Ch 13:11 ; Ne 10:32, 33). En hébreu, le pain de proposition est appelé littéralement le “ pain de la face ”. Le mot rendu par “ face ” se rapporte parfois à la “ présence ” (2R 13:23) ; le pain de proposition était donc devant la face de Jéhovah, en offrande constante devant lui (Ex 25:30, note). Le pain de proposition est également qualifié de ‘ pain disposé en piles ’ (2Ch 2:4), de “ pains de présentation ” (Mc 2:26), ou il est simplement appelé ‘ les pains ’. — Hé 9:2.
Les Qehathites avaient la responsabilité de cuire le pain de proposition “ sabbat après sabbat ” et de le transporter quand on déplaçait le tabernacle (Nb 4:7 ; 1Ch 9:32). Il fallait deux omers (0,2 épha, soit 4,4 l) de fleur de farine pour faire chacun de ces 12 gâteaux en forme de couronne qui, selon Josèphe, ne contenaient pas de levain (Antiquités judaïques, III, 142 [VI, 6]). Le jour du sabbat, on enlevait les vieux pains de la table des pains de proposition située du côté nord du Saint (Ex 26:35) et on les remplaçait par 12 pains frais. Les gâteaux étaient entassés en deux piles de six pains. On mettait de l’oliban pur sur chaque tas. D’après la tradition juive, l’oliban était mis dans des récipients en or, et non directement sur les gâteaux. Certains disent que, lorsqu’on enlevait le pain de proposition le jour du sabbat, on brûlait l’oliban sur l’autel. — Lv 24:5-8.

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