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9 juin Lecture de la Bible : Lévitique 1-5

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

9 juin Lecture de la Bible : Lévitique 1-5
LE NOM le plus courant pour désigner le troisième livre de la Bible est Lévitique. Il vient du grec Leuitikon, dans la Septante, nom qui a transité par la Vulgate sous la forme “ Leviticus ”. Ce nom est approprié, même si les Lévites ne sont cités qu’en passant (25:32, 33), car le livre se compose essentiellement de prescriptions relatives à la prêtrise lévitique, choisie d’entre la tribu de Lévi, ainsi que de lois que les prêtres enseignaient au peuple : “ Car ce sont les lèvres du prêtre qui doivent garder la connaissance, et c’est la loi qu’on doit chercher de sa bouche. ” (Mal. 2:7). Dans le texte hébreu, le livre est nommé d’après son premier mot Wayyiqraʼ, littéralement : “ Et il appela alors ”. Plus tard, les Juifs l’ont également appelé Loi des prêtres et Loi des sacrifices. — Lév. 1:1, note.
2 Il ne fait aucun doute que Moïse rédigea le Lévitique. La conclusion, ou colophon, dit : “ Ce sont là les commandements que Jéhovah donna à Moïse. ” (27:34). On trouve une déclaration similaire en Lévitique 26:46. Les preuves déjà avancées attestant que Moïse est le rédacteur de la Genèse et de l’Exode confirment également qu’il écrivit le Lévitique, puisque le Pentateuque formait probablement un seul rouleau à l’origine. De plus, le Lévitique est relié aux livres précédents par la conjonction “ et ”. Le témoignage le plus puissant est celui de Jésus Christ et d’autres serviteurs inspirés par Jéhovah, qui citent fréquemment les lois et principes du Lévitique ou s’y réfèrent en les attribuant à Moïse. — Lév. 23:34, 40-43—Neh. 8:14, 15 ; Lév. 14:1-32—Mat. 8:2-4 ; Lév. 12:2—Luc 2:22 ; Lév. 12:3—Jean 7:22 ; Lév. 18:5—Rom. 10:5.

samuel

samuel
Administrateur

*** w04 15/6 p. 19 §3 Laissons-nous guider par le Dieu vivant ***Lévitique 5:2
L’intérêt que Dieu porte à notre vie nous fournit une bonne raison de placer notre confiance dans ses conseils (Psaume 147:8 ; Matthieu 5:45). Certains réagissent autrement face à une directive biblique qu’ils ne comprennent pas ou qui leur semble restrictive. Pourtant, l’expérience montre qu’il est sage de se laisser guider par Jéhovah. Prenons un exemple : Même si un Israélite ne comprenait pas la loi qui interdisait de toucher un cadavre, il était bénéfique pour lui d’y obéir. D’abord, son obéissance le rapprochait du Dieu vivant ; ensuite, elle lui évitait des maladies.

*** w09 1/6 p. 26 Il tient compte de nos limites ***Lévitique 5:2-11
Sous la Loi, Dieu demandait différents sacrifices, ou offrandes, pour faire propitiation pour les péchés. Mais parfois, certains fidèles n'avaient même pas les moyens d'offrir le plus petit sacrifice. Pour les plus démunis, Jéhovah admettait donc une exception. En Israël, la pauvreté ne privait personne de la possibilité de faire propitiation de ses péchés et de faire la paix avec Dieu.
Que nous apprend sur Jéhovah la loi concernant les sacrifices de culpabilité ? Qu’il est un Dieu compatissant et compréhensif qui tient compte des limites de ses adorateurs (Psaume 103:14). Il veut que nous nous approchions de lui et que nous cultivions de bonnes relations avec lui malgré les difficultés que nous pouvons rencontrer — âge avancé, santé fragile, obligations familiales, etc. Il est vraiment réconfortant de savoir que Jéhovah Dieu est heureux quand nous faisons tout ce que nous pouvons !

*** w12 15/10 p. 31 §16 Que votre oui signifie oui ***Lév. 5:4
La Bible explique qu’en raison de notre imperfection “ tous, nous trébuchons souvent ”, notamment en faisant un mauvais usage de notre langue (Jacq. 3:2). Que faire si nous nous apercevons que nous avons manqué à notre parole ? La Loi que Dieu avait donnée à Israël comprenait une disposition miséricordieuse pour celui qui était coupable d’avoir ‘ parlé inconsidérément ’. Les chrétiens qui commettent ce genre de péché bénéficient eux aussi d’une disposition pleine d’amour. Si nous confessons notre péché à Jéhovah, nous obtiendrons son pardon grâce au service accompli par notre Grand Prêtre Jésus Christ (1 Jean 2:1, 2). Mais pour conserver la faveur de Dieu, nous devons produire des fruits qui conviennent à la repentance, en ne faisant pas de ce péché une pratique et en nous efforçant de réparer les torts causés par nos propos inconsidérés (Prov. 6:2, 3). Bien entendu, il est de loin préférable de réfléchir attentivement avant de faire des promesses que nous ne sommes pas en mesure de tenir.

Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi la Loi mosaïque interdisait-elle de manger la graisse ?
Sous la Loi donnée aux Israélites, le sang et la graisse étaient considérés comme appartenant exclusivement à Jéhovah Dieu. La Loi déclarait : “C’est ici une loi perpétuelle (jusqu’à des temps indéfinis, NW) pour vos descendants, dans tous les lieux où vous habiterez : vous ne mangerez ni graisse ni sang.” — Lév. 3:17.
Le sang représente la vie d’une personne ou d’un animal. C’est pourquoi la Bible parle de l’“âme” comme étant “dans le sang”. (Gen. 9:4 ; Lév. 17:11, 14.) Puisque seul Jéhovah Dieu peut donner la vie, la vie ou ce qui en est le symbole, autrement dit le sang, lui appartient à juste titre.
La graisse était considérée comme la meilleure partie de l’animal. Cela ressort des expressions figurées telles que la “graisse du pays”, le “meilleur [littéralement, la graisse] en huile”, et “le meilleur [littéralement, la graisse] en moût et en blé”. (Gen. 45:18 ; Nomb. 18:12.) Par conséquent, l’interdiction de manger la graisse servait évidemment à faire bien comprendre aux Israélites que ce qu’il y a de plus délicat dans la chair des animaux appartenait à Jéhovah et devait lui être offert en sacrifice. Manger la graisse reviendrait donc à s’approprier illégalement une chose consacrée à Jéhovah. Cela équivaudrait à usurper sur ses droits. Toutefois, la graisse d’une bête morte ou déchirée par une autre bête pouvait servir à un usage quelconque. — Lév. 7:23-25.
De nombreux commentateurs de la Bible pensent que le commandement relatif à la graisse ne concernait que les animaux acceptables pour les sacrifices. Mais certains faits indiquent que cette interdiction touchait la graisse de tous les animaux. En effet, ce commandement était lié à la prescription relative au sang. Or, il était formellement défendu de manger le sang des animaux, quels qu’ils soient (Lév. 17:13, 14 ; Deut. 12:15, 16). Il est donc raisonnable de penser que l’interdiction de manger de la graisse concernait également la graisse de tous les animaux.
D’autre part, il est à noter que le fait de saigner convenablement l’animal ne débarrassait pas sa chair de toutes les molécules de sang, et pourtant le sang qui restait ne rendait pas cette viande impropre à la consommation. De même, une viande qui portait quelques traces de graisse ne devenait pas impropre à la consommation, en raison de l’interdiction de manger de la graisse.
Évidemment, cette prohibition n’empêchait pas d’engraisser les moutons et les bœufs réservés pour la table. Les Écritures parlent même de “volailles engraissées”. (I Rois 4:23.) Étant donné la restriction apportée à l’utilisation de la graisse dans l’alimentation, l’engraissement n’avait évidemment pas pour but de produire des bêtes très grasses, mais plutôt des animaux bien en chair et non squelettiques.
Dans Deutéronome 32:14, l’allusion faite à la “graisse des agneaux” donnée aux Israélites est symbolique. Elle désigne le meilleur du troupeau (semblable à l’expression française “la fleur”). C’est pourquoi la Bible de Jérusalem (angl.) dit “la nourriture substantielle des pâturages”. Les paroles suivantes consignées dans Néhémie 8:10: “Allez, mangez ce qui est gras”, doivent être comprises de la même manière. L’expression “ce qui est gras” est une métaphore désignant les parties riches et fines, y compris probablement les morceaux délicats cuits à l’huile végétale. La traduction anglaise de James Moffatt dit “mangez les morceaux délicats”. Certains aliments, comme les gâteaux faits avec de la farine étaient cuits dans l’huile, généralement de l’huile d’olive, et non dans de la graisse animale. — Lév. 2:7.
À la différence de l’interdiction d’absorber le sang qui concerne la race humaine tout entière depuis le déluge de l’époque de Noé, les restrictions de la Loi mosaïque relatives à l’alimentation ne s’appliquent plus aux chrétiens de notre temps (Gen. 9:4). L’apôtre Paul écrivit sous inspiration : “Que personne donc ne vous juge dans le manger et le boire ou à propos d’une fête ou de l’observance de la nouvelle lune ou d’un sabbat, car ces choses sont une ombre des choses à venir, mais la réalité appartient au Christ.” (Col. 2:16, 17). Néanmoins, la loi relative à la graisse devrait rappeler aux chrétiens la nécessité de toujours donner à Jéhovah Dieu ce qu’ils ont de meilleur (Prov. 3:9, 10). Cela devrait se refléter dans tous les aspects de leur vie. Voici le conseil de la Bible : “Quoi que vous fassiez, travaillez-y de toute votre âme, comme pour Jéhovah et non pour les hommes, car vous savez que c’est de Jéhovah que vous recevrez la récompense voulue de l’héritage.” — Col. 3:23, 24.

Josué

Josué
Administrateur

En nous reportant aux événements typiques, nous trouverons d’excellentes images qui nous aideront à voir combien il est important de donner à Dieu ce que nous avons de meilleur. Par exemple, chaque animal offert devait être sain et sans défaut (Lév. 22:21). En réalité, ces animaux sacrificiels annonçaient le seul sacrifice permanent à venir, le sacrifice de celui qui a été à juste titre décrit comme étant “loyal, innocent, sans souillure, séparé des pécheurs”, c’est-à-dire Jésus-Christ (Héb. 7:26). Cela ne doit-il pas inciter les adorateurs de Jéhovah de notre époque à offrir ce qu’ils ont de meilleur ?
À propos des offrandes de grain, le fait que l’expression “fleur de farine” revient souvent est également significatif ; par exemple, elle est maintes fois répétée dans les instructions relatives à la préparation des pains en forme de couronne qu’on déposait dans le temple, sur la table de l’exposition des pains (Lév. 24:5, 6 ; Nomb. 7). D’autre part, la fleur de farine laisse supposer qu’il faut offrir ce qu’on a de meilleur, et non quelque succédané grossier, expression convenant très bien pour décrire un culte formaliste, pratiqué pour être vu des hommes, sans y mettre son cœur.
De plus, autrefois on ajoutait du parfum aux offrandes de grains. Il nous est dit qu’on arrosait d’encens les offrandes de farine qui étaient consumées par le feu pour Jéhovah (Lév. 2:1, 15). Qu’est-ce que cela préfigurait pour notre époque ? Sous inspiration, le roi David donna la réponse quand il écrivit : “Que ma prière soit devant ta face comme l’encens, et l’élévation de mes mains comme l’offrande du soir !” (Ps. 141:2 ; voir aussi Révélation 8:4). Par conséquent, les offrandes agréables faites au vrai Dieu doivent être accompagnées d’une prière sincère. Celle-ci est un des moyens de rendre à Jéhovah ce que nous avons de meilleur.

Josué

Josué
Administrateur

9 juin  Lecture de la Bible :  Lévitique 1-5 Laviti10
Nouvelle bible Segond

Josué

Josué
Administrateur

9 juin  Lecture de la Bible :  Lévitique 1-5 Laviti12

bible Vie nouvelle.

Josué

Josué
Administrateur

Les offrandes de grain des Israélites étaient souvent une “ chose cuite au four ”, ou bien étaient ‘ faites sur la poêle ’ ou encore ‘ préparées dans la marmite contenant le bain de friture ’. (Lv 2:4-7.) La poêle était une épaisse plaque de terre cuite comportant des creux (comparable à un gaufrier moderne), mais on utilisait également des poêles de fer. — Éz 4:3.
Dans les villes, il y avait des boulangers professionnels. Alors que Jérémie était sous surveillance dans la Cour de la Garde à Jérusalem pendant la période de pénurie qui précéda la chute de la ville en 607 av. n. è., il reçut pour ration quotidienne une miche de pain “ de la rue des boulangers ” tant qu’il y eut des réserves (Jr 37:21). Il semble donc que les boulangers occupaient une rue particulière à Jérusalem. Des années plus tard, lors de la reconstruction des murailles de Jérusalem sous la direction de Nehémia, on répara également la “ Tour des Fours ”. (Ne 3:11 ; 12:38.) On ignore d’où au juste cette tour tenait son nom, mais il est possible qu’on lui ait donné ce nom peu courant parce que les fours des boulangers s’y trouvaient.
Le boulanger du roi, ou panetier, était sans doute un personnage assez important dans l’Égypte antique. Une peinture murale de la tombe de Ramsès III, située dans la vallée des rois à Thèbes, représente une boulangerie royale égyptienne en pleine activité ; on y voit le pétrissage de la pâte avec les pieds, la confection de gâteaux de pain et la préparation du four. Selon la Genèse, un boulanger royal égyptien fit parler de lui en péchant contre le roi et il fut jeté en prison. Là, il eut un rêve dans lequel il se vit porter trois corbeilles de pain sur la tête, et des oiseaux mangeaient dans la corbeille supérieure. Le troisième jour, on fit sortir ce “ chef des panetiers ” et on le ‘ pendit ’, conformément à l’interprétation de Joseph : “ Les trois corbeilles sont trois jours. D’ici trois jours, Pharaon élèvera ta tête de dessus toi et vraiment il te pendra à un poteau ; oui, les oiseaux mangeront ta chair de dessus toi. ” — Gn 40:1-3, 16-22.

Josué

Josué
Administrateur

9 juin  Lecture de la Bible :  Lévitique 1-5 Laviti13
bible du Semeur

Josué

Josué
Administrateur

Une autre offrande volontaire est décrite en Lévitique chapitre 3 : le sacrifice de communion, ou “ sacrifice d’offrandes de paix ”. En hébreu, le mot “ paix ” signifie bien plus que l’absence de guerre ou de troubles. “ Dans la Bible, explique le livre Études des institutions mosaïques (angl.), il exprime en plus l’état ou les relations de paix avec Dieu, la prospérité, la joie et le bonheur. ” On ne faisait donc pas des sacrifices de communion pour être en paix avec Dieu, comme pour l’apaiser, mais pour le remercier, pour célébrer la condition bénie dont jouissent ceux qui sont en paix avec lui parce qu’il les approuve. Une fois le sang et la graisse offerts à Jéhovah, les prêtres et l’offrant consommaient le sacrifice (Lévitique 3:17 ; 7:16-21 ; 19:5-Cool. Symboliquement, l’offrant, les prêtres et Jéhovah Dieu partageaient ainsi un repas, belle image des liens de paix qui les unissaient.

Josué

Josué
Administrateur

Nous savons aussi que les reins sont entourés d’une couche de graisse d’un centimètre ou plus, selon la corpulence de la personne. Cela montre davantage encore à quel point ces organes sont situés profondément dans le corps humain, hors de la vue des hommes. Du fait que les reins sont recouverts d’une épaisse couche de graisse, ils constituaient une partie précieuse des sacrifices d’animaux que le peuple offrait à Jéhovah dans l’Antiquité. Par exemple, à propos des premiers sacrifices d’animaux offerts à Dieu dont parle la Bible, ceux que lui offrit Abel, fils d’Adam et frère de Caïn, il est écrit qu’Abel ‘apporta quelques premiers-nés de son troupeau, et même leurs morceaux gras’. (Gen. 4:4.) Les reins étaient au nombre de ces morceaux gras. De même, à propos des sacrifices que les Israélites offraient à Jéhovah, nous lisons à diverses reprises que “les deux rognons [les reins chez les animaux] et la graisse qui est sur eux” étaient réservés à Jéhovah (Lév. 3:4, 10, 15; 4:9; 7:4; 8:16). La graisse des reins brûlait très bien et dégageait une odeur agréable. Les reins n’étaient donc pas une partie insignifiante des sacrifices offerts à Dieu.

samuel

samuel
Administrateur

La partie du corps qui est désignée par le mot “ reins ” contient les organes de reproduction ; c’est la raison pour laquelle la Bible dit que les descendants d’un homme ‘ sortent de ses reins ’. (Gn 35:11 ; 1R 8:19 ; Ac 2:30.) Paul reprend cette idée quand il explique que la prêtrise de Jésus à la manière de Melkisédec est supérieure à celle d’Aaron parce que Lévi, ancêtre d’Aaron, était dans les reins d’Abraham et qu’en ce sens il avait payé des dîmes à Melkisédec (Hé 7:5-10 ; Gn 14:18-20). L’apôtre a un argument similaire en Romains 7:9 : “ Moi [Paul le Juif, dans les reins de ses ancêtres avant que la Loi ne fût donnée] j’étais vivant autrefois en dehors de la loi ; mais quand le commandement est arrivé, le péché a repris vie, mais moi je suis mort. ”
Étant situés profondément dans le corps, les reins font partie des organes les plus difficilement accessibles. C’est donc avec raison que la Bible utilise le mot reins pour évoquer les pensées et les sentiments les plus secrets. Une blessure aux reins est une blessure très profonde, au propre comme au figuré (Jb 16:13 ; Ps 73:21 ; Lm 3:13). À plusieurs reprises, les reins sont mentionnés en rapport étroit avec le cœur, qui représente figurément toute la personne intérieure. — Jr 11:20 ; 17:10 ; 20:12 ; voir CŒUR.

Josué

Josué
Administrateur

Quand les anciens sont mis au courant d’une faute grave, ils vont trouver la personne concernée, afin de lui apporter l’assistance et la discipline dont elle a besoin. Il leur appartient de juger ceux qui font le mal à l’intérieur de la congrégation chrétienne. Vigilants quant à la condition spirituelle de celle-ci, ils aident et avertissent quiconque s’engage sur une voie peu sage ou mauvaise. — 1 Corinthiens 5:12, 13 ; 2 Timothée 4:2 ; 1 Pierre 5:1, 2.
Mais que faire si vous n’êtes pas ancien et que vous appreniez qu’un compagnon chrétien a commis une faute grave ? La Loi que Jéhovah avait donnée à la nation d’Israël nous met sur la voie. Quiconque était témoin d’actes d’apostasie ou de sédition, d’un meurtre ou d’un autre crime grave était tenu de le révéler et d’attester ce qu’il savait. On lit en Lévitique 5:1 : “ Si maintenant une âme pèche en ce qu’elle a entendu une imprécation publique, et elle est témoin ou elle a vu ou est venue à savoir la chose, si elle ne la révèle pas, alors elle devra répondre de sa faute. ” — Voir aussi Deutéronome 13:6-8 ; Esther 6:2 ; Proverbes 29:24.
Bien que n’étant pas sous la Loi mosaïque, les chrétiens se laissent guider par les principes qui s’en dégagent (Psaume 19:7, Cool. Dès lors, que devriez-vous faire si vous apprenez qu’un autre chrétien a commis une faute grave ?

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