Témoins de JEHOVAH VERITE actif


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Lecture Genése 32-35.

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1Lecture Genése 32-35. Empty Lecture Genése 32-35. Lun 24 Fév - 8:15

Josué

Josué
Administrateur

On voit ici la grande différence entre l’attitude de Jacob et celle d’Ésaü envers l’héritage. Alors qu’Ésaü ne voulait même pas endurer temporairement la faim pour le droit d’aînesse, Jacob lutta toute la nuit avec un ange de Dieu qui s’était matérialisé sous les traits d’un homme. Jacob agit ainsi pour recevoir une bénédiction de Jéhovah par l’entremise de l’ange. Il savait sans aucun doute que celui-ci était venu dans un dessein et il se souvenait que lors d’apparitions antérieures, les anges avaient transmis une bénédiction ou un commandement confirmant l’alliance faite avec Abraham (Gen. 28:10-15 ; 31:11-13). Il désirait tant que Dieu continue d’agir ainsi à son égard, tout comme avec son père et son grand-père, qu’il lutta de toutes ses forces et jusqu’à épuisement avec l’ange, s’accrochant à lui. Jacob démontra ainsi qu’il désirait de tout son cœur la faveur divine. — Voir Genèse 28:20-22.

2Lecture Genése 32-35. Empty Re: Lecture Genése 32-35. Mar 25 Fév - 8:05

Josué

Josué
Administrateur

Dans les temps anciens, Jacob montra qu’il se souciait de ses enfants. Quand Ésaü, son frère, lui proposa une marche dont le rythme risquait d’être trop rapide pour les enfants, Jacob lui dit: “Mon seigneur sait que les enfants sont délicats et que j’ai à ma charge les brebis et les femelles des bovins, qui allaitent, et si on les mène trop vite un seul jour, alors tout le petit bétail mourra à coup sûr. Que mon seigneur, s’il te plaît, passe en avant de son serviteur, mais qu’il me soit permis, à moi, de continuer sans hâte la route au pas du petit bétail qui est devant moi et au pas des enfants.” Un peu plus tôt, quand il rencontra Ésaü et que celui-ci lui demanda: “Qui sont ceux-là avec toi?”, Jacob répondit: “Ce sont les enfants dont Dieu a gratifié ton serviteur.” (Genèse 33:5, 13, 14). De nos jours, les parents doivent non seulement avoir de tendres égards pour leurs enfants, à l’exemple de Jacob, mais, comme lui, les considérer comme une bénédiction de Jéhovah. Évidemment, avant de se marier, un homme devrait s’interroger sérieusement pour savoir s’il sera en mesure de pourvoir aux besoins d’une famille. La Bible donne ce conseil: “Règle d’abord toutes tes affaires au dehors et mets tes champs en état; ensuite édifie ta maison et ton foyer.” (Proverbes 24:27, New English Bible). En harmonie avec ce conseil pratique, un homme devrait se préparer à l’avance pour réussir son mariage et sa vie de famille. Alors, même une grossesse imprévue sera accueillie avec joie et non redoutée comme une charge financière trop lourde.

3Lecture Genése 32-35. Empty Re: Lecture Genése 32-35. Mer 26 Fév - 8:15

Josué

Josué
Administrateur

NICHÉE entre le mont Ébal et le mont Guerizim, la ville de Shekèm était située au cœur du pays que Dieu avait choisi pour son peuple. C’est à cet endroit même qu’il y a environ 4 000 ans Jéhovah faisait cette promesse à Abraham : “ À ta semence je donnerai ce pays. ” — Genèse 12:6, 7.
Conformément à cette promesse, Jacob, le petit-fils d’Abraham, dressa sa tente à Shekèm et y construisit un autel qu’il appela “ Dieu est le Dieu d’Israël ”. Il creusa probablement un puits dans les environs pour approvisionner en eau sa famille et ses troupeaux, puits qu’on appellerait des siècles plus tard “ la source de Jacob ”. — Genèse 33:18-20, note ; Jean 4:5, 6, 12.
Tous les membres de la famille de Jacob n’étaient toutefois pas zélés pour le culte pur. Dina, sa fille, recherchait la compagnie des jeunes Cananéennes de Shekèm. Bien qu’encore jeune à l’époque, elle s’éloignait des tentes familiales où elle était en sécurité pour se rendre dans la ville voisine et s’y faire des amies.
De quel œil les jeunes hommes voyaient-ils cette jeune vierge venir régulièrement dans leur ville, apparemment sans être accompagnée ? Le fils d’un chef “ la vit ; puis il la prit, coucha avec elle et la viola ”. Pourquoi Dina est-elle allée au-devant du danger en fréquentant les Cananéens immoraux ? Peut-être ressentait-elle le besoin d’avoir des amies de son âge. Peut-être était-elle aussi têtue et indépendante que certains de ses frères. Lisez le récit dans le livre de la Genèse et essayez de mesurer le chagrin et la honte qu’ont dû éprouver Jacob et Léa après les suites tragiques des sorties à Shekèm de leur fille. — Genèse 34:1-31 ; 49:5-7 

4Lecture Genése 32-35. Empty Re: Lecture Genése 32-35. Jeu 27 Fév - 7:52

Josué

Josué
Administrateur

34:1, 30. Les malheurs qui ont “ attiré l’ostracisme ” sur Jacob tiennent au fait que Dina s’était liée d’amitié avec des personnes qui n’aimaient pas Jéhovah. Faisons donc preuve de sagesse dans le choix de nos fréquentations.

5Lecture Genése 32-35. Empty Re: Lecture Genése 32-35. Ven 28 Fév - 6:44

Josué

Josué
Administrateur

Les bénédictions prophétiques que le patriarche Jacob prononça sur ses douze fils n’avaient pas seulement pour objet de révéler que le droit d’aînesse avait été transféré de Ruben, premier-né de Léa, première épouse de Jacob, à Joseph, premier-né de Rachel, sa seconde épouse (Genèse 29:21-32). Avant de vendre Joseph comme esclave en Égypte, ses demi-frères s’étaient irrités à l’idée qu’il pût un jour être roi sur eux (Genèse 37:Cool. Pourtant, des années auparavant, quand Dieu avait donné au patriarche Abraham l’alliance de la circoncision, il lui avait annoncé que des rois sortiraient de lui par Saraï, sa femme, dont le nom fut changé en celui de Sara, qui signifie “Princesse”. (Genèse 17:16.) Également, lorsque Dieu appela Jacob du nom d’Israël, il promit que des rois sortiraient de lui (Genèse 35:10, 11). Cependant, le droit de premier-né de la famille ne comportait pas automatiquement le droit et l’honneur d’être l’ancêtre de la lignée royale qui devait conduire au Roi messianique, la “postérité” de la “femme” céleste de Dieu. Cela dépendait du choix de Dieu. Jéhovah fit dire à Jacob lequel de ses fils serait l’ancêtre de ce Roi.

6Lecture Genése 32-35. Empty Re: Lecture Genése 32-35. Sam 1 Mar - 8:05

Josué

Josué
Administrateur

La Bible parle très peu de la façon dont les femmes accouchaient dans l’Antiquité. Le passage peut-être le plus détaillé à propos de cette question se trouve dans le premier chapitre de l’Exode. Pour mener à bien le génocide visant les Hébreux établis dans son pays, un pharaon égyptien donna cet ordre aux sages-femmes israélites : “Quand vous accoucherez les femmes des Hébreux et que vous les verrez sur les sièges, si c’est un garçon, faites-le mourir.” Plus tard, expliquant pourquoi elles n’avaient pas mis à exécution ce plan criminel, ces femmes, qui craignaient Dieu, dirent au roi : “C’est que les femmes des Hébreux ne sont pas comme les Égyptiennes ; elles sont vigoureuses et elles accouchent avant l’arrivée de la sage-femme.” — Ex. 1:16-19.
Ces textes bibliques nous apprennent trois choses : premièrement, la profession de sage-femme existait déjà à cette époque lointaine (au seizième siècle avant notre ère) ; deuxièmement, les femmes accouchaient vraisemblablement non pas étendues sur un lit, mais assises ou accroupies sur un siège d’accouchement ; et, troisièmement, les femmes israélites, très “vigoureuses”, donnaient souvent naissance à leur enfant sans l’aide d’une personne spécialement qualifiée.
Dans son livre La vie sociale et les coutumes des anciens Hébreux (angl.), Kennett parle de la position adoptée par les femmes israélites en ces termes : “À la naissance de l’enfant, la mère était accouchée (...) sur un petit siège ressemblant au tour d’un potier.” Le Nouveau dictionnaire biblique (angl.), édité par J. D. Douglas, déclare : “Les femmes des Hébreux accouchaient très souvent accroupies sur deux pierres ou deux briques.”
L’excuse avancée par les sages-femmes israélites, à savoir que les femmes des Hébreux accouchaient avant leur arrivée, devait avoir une part de vérité. Autrement, le tyran égyptien les aurait sans aucun doute fait exécuter sur-le-champ. Dans son ouvrage Histoire des accouchements chez tous les peuples, G.-J. Witkowski écrit : “Il paraît probable que les Juives n’y avaient recours [aux sages-femmes] que dans les cas présentant une certaine gravité, et que, le plus souvent, elles accouchaient seules.”
Les Juives, qui travaillaient dur, avaient peut-être généralement moins de difficulté à accoucher que les Égyptiennes plus raffinées. Cependant, le fait que les douleurs de l’enfantement sont utilisées à diverses reprises dans la Bible pour symboliser les souffrances inévitables, indique que les mères israélites n’étaient pas exemptées des douleurs et des dangers de l’accouchement (Ps. 48:7; Jér. 13:20-22 ; 50:43 ; Michée 4:9, 10 ; I Thess. 5:3). Par exemple, Rachel, femme de Jacob, fut aidée par une sage-femme, mais “elle eut un accouchement pénible” et elle mourut en donnant naissance à Benjamin. Tamar, belle-fille de Juda, eut elle aussi des difficultés à donner naissance à des jumeaux. Elle fut victime d’une rupture périnéale. — Gen. 35:16-20 ; 38:27-30, NW.
Une prophétie biblique parlant en termes symboliques de l’origine de Jérusalem nous apprend comment les femmes des Hébreux prenaient soin d’un enfant nouveau-né (Ézéch. 16:4). Selon ce texte, on coupait d’abord le cordon ombilical. Ensuite, l’enfant était lavé dans de l’eau, frotté avec du sel, probablement pour fortifier et durcir sa peau, et finalement langé pour être maintenu au chaud. Les enfants des Hébreux étaient généralement nourris au sein et n’étaient pas sevrés avant l’âge de deux ou trois ans, et parfois même plus tard (I Sam. 1:24-28). Cette coutume du sevrage tardif est mentionnée dans II Machabées 7:27, livre apocryphe.

7Lecture Genése 32-35. Empty Re: Lecture Genése 32-35. Dim 2 Mar - 7:57

Josué

Josué
Administrateur

. Lorsque Jacob revint, de nombreuses années plus tard, Isaac résidait à Qiriath-Arba, c’est-à-dire Hébrôn, dans le pays de collines. C’est à cet endroit, en 1738 av. n. è., l’année précédant celle où son petit-fils Joseph fut nommé premier ministre d’Égypte, qu’Isaac mourut à l’âge de 180 ans, “ vieux et rassasié de jours ”. Il fut enterré dans la grotte de Makpéla, où ses parents et sa femme avaient été enterrés et où son fils Jacob le serait par la suite. — Gn 26:34, 35 ; 27:46 ; 28:1-5 ; 35:27-29 ; 49:29-32.

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