Les registres généalogiques ne nommaient qu’occasionnellement les femmes, quand il y avait une raison historique de le faire. En Genèse 11:29, 30, on trouve le nom de Saraï (Sara), sans doute parce que la Semence promise devait venir par elle, et non par une autre femme d’Abraham. Peut-être Milka est-elle mentionnée dans le même passage parce qu’elle était la grand-mère de Rébecca, femme d’Isaac ; c’était une manière de montrer que l’ascendance de Rébecca provenait de la parenté d’Abraham, puisqu’Isaac ne devait pas prendre une femme d’entre les autres nations (Gn 22:20-23 ; 24:2-4). En Genèse 25:1 figure le nom de Qetoura, femme d’Abraham plus tard dans sa vie. Cela révèle qu’Abraham se remaria après la mort de Sara et que ses facultés procréatrices fonctionnaient toujours plus de 40 ans après que Jéhovah les eut miraculeusement régénérées (Rm 4:19 ; Gn 24:67 ; 25:20). De plus, ces précisions révèlent le lien de parenté qui unissait Madiân et d’autres tribus arabes à Israël.
Léa, Rachel, les concubines de Jacob et les fils auxquels elles donnèrent le jour sont nommés (Gn 35:21-26). Cela aide à comprendre la façon dont Dieu agit plus tard envers ces fils. Dans les registres généalogiques apparaissent les noms d’autres femmes, pour des raisons analogues. Elles pouvaient être mentionnées lorsqu’un héritage était transmis par leur intermédiaire (Nb 26:33). Bien entendu, Tamar, Rahab et Ruth font figure d’exceptions. Dans chaque cas, quelque chose de remarquable explique comment ces femmes s’ajoutèrent dans la succession des ancêtres du Messie, Jésus Christ (Gn 38 ; Ru 1:3-5 ; 4:13-15 ; Mt 1:1-5). D’autres femmes encore sont citées dans les listes généalogiques, par exemple en 1 Chroniques 2:35, 48, 49 ; 3:1-3, 5.
Léa, Rachel, les concubines de Jacob et les fils auxquels elles donnèrent le jour sont nommés (Gn 35:21-26). Cela aide à comprendre la façon dont Dieu agit plus tard envers ces fils. Dans les registres généalogiques apparaissent les noms d’autres femmes, pour des raisons analogues. Elles pouvaient être mentionnées lorsqu’un héritage était transmis par leur intermédiaire (Nb 26:33). Bien entendu, Tamar, Rahab et Ruth font figure d’exceptions. Dans chaque cas, quelque chose de remarquable explique comment ces femmes s’ajoutèrent dans la succession des ancêtres du Messie, Jésus Christ (Gn 38 ; Ru 1:3-5 ; 4:13-15 ; Mt 1:1-5). D’autres femmes encore sont citées dans les listes généalogiques, par exemple en 1 Chroniques 2:35, 48, 49 ; 3:1-3, 5.