Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

L'avenir sera caniculaire

+8
Lechercheur
BenFis
Patrice1633
Mikael
Psalmiste
samuel
chico.
Josué
12 participants

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6  Suivant

Aller en bas  Message [Page 2 sur 6]

1L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty L'avenir sera caniculaire Jeu 22 Aoû - 15:00

Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

L'avenir sera caniculaire
Le Point.fr - Publié le 22/08/2013 à 08:37 - Modifié le 22/08/2013 à 14:42
Quasiment inconnues voilà 50 ans, les canicules extrêmes vont se généraliser et pourraient s'abattre sur 85 % de la planète à la fin du siècle.
l a fait chaud cet été ? Vous n'avez encore rien vu. Les canicules extrêmes sont appelées à se répandre sur Terre. Récemment, certains se sont moqués de Laurent Cabrol (Europe 1) qui avait émis la prévision, au printemps dernier, d'un été pourri. Mais au regard de l'avenir, il n'a pas tort, l'été a été "frisquet". En effet, une étude récemment publiée dans Environmental Research Letters affirme que les étés les plus chauds d'aujourd'hui seront les étés les plus froids de 2100. Menée conjointement par l'Institut de Potsdam pour l'impact climatique et par l'université Complutense de Madrid, cette étude promet des vagues de chaleur estivales de plus en plus nombreuses, sur des régions de plus en plus vastes.

Aujourd'hui, 5 % des terres émergées subissent des coups de chaud estivaux dépassant de loin les moyennes habituelles. Nous en avons eu des exemples récents en Europe (2003), en Grèce (2007), en Australie (2009), en Russie et au Texas (2010), et aux États-Unis (2012). Dans seulement sept ans, c'est-à-dire en 2020, les régions concernées doubleront. Et, en 2040, 20 % de la Terre cuira régulièrement. C'est énorme et il n'y a aucun moyen d'y échapper, car la forte teneur atmosphérique en gaz à effet de serre nous y condamne aussi certain que la récession nous condamne au chômage...

Vers un nouveau régime climatique ?

Mais les scientifiques prévoient pire encore pour la fin du siècle si l'homme ne fait rien pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre, ce qui semble le plus probable : c'est alors 85 % de la planète qui serait systématiquement soumise à des canicules estivales de grande ampleur. "Nous entrerions alors dans un nouveau régime climatique", avertit Dim Coumou l'un des signataires de l'étude. Et de rappeler qu'à chaque modification climatique, les conséquences ont été phénoménales pour les espèces vivantes et l'homme. Les auteurs du rapport promettent encore des pertes de récolte, des incendies de forêt et des vagues de morts dues à la chaleur dans les villes bondées.

Cette étude n'est pas la première du genre, elles sont nombreuses à prévoir l'augmentation des canicules. Il y a de moins en moins de scientifiques climato-sceptiques pour les contester. Depuis longtemps, Claude Allègre ne s'exprime plus sur le sujet. Et si un tiers des Français doutent encore du réchauffement ou de l'implication humaine dans celui-ci, ils se recrutent surtout chez les non-diplômés et les plus de 70 ans (Baromètre d'opinion sur l'énergie et le climat en 2013). Bref, pour une résidence les pieds dans l'eau, mieux vaut choisir la Bretagne que la Côte d'Azur...


51L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Sam 26 Aoû - 8:31

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

J'ai vu a la télévision ce glissement de terrain, c'est impressionnant quand la nature ce met en colère.

52L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Sam 4 Nov - 9:00

Josué

Josué
Administrateur

[size=36]La Terre sera « toastée, rôtie et grillée » faute d’action contre le changement climatique[/size]
26 octobre 2017 13 h 45 min·
L'avenir sera caniculaire - Page 2 Terre-toast%C3%A9e-r%C3%B4tie-grill%C3%A9e-faute-action-contre-changement-climatique-e1509041275570
 
C’est ce qu’a déclaré Christine Lagarde, patronne du FMI, lors d’une conférence économique d’envergure à Riyadh, en Arabie Saoudite.
 
Si le monde veut préparer un avenir qui « ressemble à une utopie plutôt qu’à une dystopie », a-t-elle insisté, il faut lutter contre le réchauffement conformément aux Accords de Paris, mais aussi contre les inégalités dans les pays où il y a des « haves » et des « have nots » (les « ayants » et les « n’ayant rien » de la terminologie socialiste), ainsi que les inégalités entre hommes et femmes.
 
Et d’inciter l’Arabie Saoudite à promouvoir le travail des femmes.
 
Encore un peu, et on nous dira que cela permettra au désert arabique de fleurir !

53L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Ven 24 Nov - 14:31

Josué

Josué
Administrateur

C’est dans la revue Bioscience que 16.000 scientifiques appartenant à 184 pays ont publié une lettre adressée à toute la planète pour sauver l’environnement. Surprise, sur les neuf indicateurs censés indiquer un danger imminent, le réchauffement climatique apparaît à peine. Un enterrement de première classe.
 
Qui sont ces 16.000 scientifiques, quels sont leur spécialité et leur niveau d’autorité, quels sont ces 184 pays ? On ne le saura pas. L’essentiel est de faire masse pour impressionner le public. La science nous écrit une lettre. Elle nous dit que l’environnement est en danger, qu’il faut sauver la planète d’urgence. En 1992 déjà, l’ONG « Union of concerned scientists » (ce qu’on peut traduire par l’union des scientifiques préoccupés) avait émis un avertissement des scientifiques du monde à l’humanité. Rien que ça ! 25 ans plus tard, rebelote, voici le deuxième « avertissement », et Thomas Newsom, professeur à l’Université Deakin en Australie, qui a signé cette lettre avec d’autres, nous prévient : « Bientôt, il sera trop tard pour inverser cette tendance dangereuse ».
 

Une grande peur, 16.000 scientifiques, 9 indicateurs
 
On est habitué à ce genre de discours. Il entend faire peur au troupeau pour qu’il vote bien. En 1969 déjà, U Thant, alors secrétaire général de l’ONU, disait à propos d’environnement : « Nous avons dix ans pour sauver la planète ». Sur cette vieille pensée, voici cependant des vers nouveaux. Si le processus en cours reste bien d’amener les terriens à un patriotisme planétaire et par là à l’obéissance à la gouvernance mondiale, le moyen ordinaire de la propagande écologiste, id est le changement climatique, se trouve relégué parmi d’autres, comme s’il s’agissait de l’abandonner à terme.
 
Les « 16.000 scientifiques » du monde entier ont en effet choisi, pour convaincre la planète du danger imminent, neuf indicateurs dont huit sont « au rouge », et le réchauffement climatique n’arrive qu’en huitième position sous la dénomination modeste de « changement des températures ».
 

En matière d’environnement, on peut se prévaloir de son erreur
 
Le premier de ces indicateurs est l’épaisseur de la couche d’ozone stratosphérique. Nos « 16.000 scientifiques » le décrètent au vert pour montrer leur impartialité. On sait en effet que la couche d’ozone n’a jamais été menacée, que les trous qu’on y relève à la verticale des pôles sont un phénomène cyclique, et que le Néerlandais Paul Crutzen, qui avait obtenu en 1995 le prix Nobel de Chimie pour avoir expliqué la prétendue disparition de l’ozone stratosphérique par l’action supposée des atomes de chlore libérés en haute atmosphère par la dissociation des gaz chlorofluorocarbones (CFC), avait reconnu son erreur quelques années plus tard. Il n’en reste pas moins que nos « 16.000 scientifiques » reprennent comme du bon pain l’erreur d’il y a vingt ans. Voilà en effet ce qu’en dit la presse : « Au cours des années 70, les substances chimiques produites par l’homme ont rapidement épuisé la couche d’ozone. En 1987, le Protocole de Montréal est signé pour tenter de résoudre mondialement le problème. En respect de ce protocole, les émissions de gaz appauvrissant la couche d’ozone et les ressources naturelles diminuent considérablement, après avoir atteint un sommet fin des années 80. La couche d’ozone devrait d’ailleurs bénéficier d’une récupération importante d’ici le milieu de ce siècle, selon une étude de 2014 ».
 
Retenez cette attitude caractéristique : au lieu de reconnaître une erreur, les « 16.000 scientifiques » s’appuient sur cette erreur pour justifier la politique qu’ils ont préconisée et la présenter comme efficace : puisque nous aurions eu raison sur la couche d’ozone, il faut nous écouter pour le reste.
 

De quoi faut-il sauver la planète ?
 
Les huit autres indicateurs sont de nature, de pertinence et de poids différents. Premier groupe, les constatations exactes, mais dont les effets nocifs sur la planète ne sont pas démontrés : les émissions de CO2 ont augmenté depuis les années soixante, la population mondiale aussi. Ce sont des faits. Mais sur quels critères peut-on s’appuyer pour déclarer cela mauvais ? Ici, les « 16.000 scientifiques » montrent simplement leur préjugé malthusien.
 
Deuxième groupe, qui n’a qu’un élément, celui des affirmations générales floues dont on ne peut tirer nulle conclusion. C’est le cas de la « disponibilité de l’eau ». On lit que « Depuis 25 ans, la quantité d’eau potable disponible par habitant dans le monde a diminué de 26 % ». En admettant que cette mesure soit juste (comment a-t-elle été faite, grands dieux!), quel sens peut-elle avoir ? Une diminution de l’eau disponible dans les régions où elle est pléthorique ne présente aucun inconvénient, et à l’inverse, on sait que, par exemple, au sud du Sahara, d’importants travaux de captage et d’irrigation ont été menés. Une valeur moyenne n’a donc strictement aucune importance. Ce qui peut en avoir c’est le partage de l’eau sur le cours inférieur d’un fleuve dont une puissance s’est approprié le cours supérieur.
 

Une lettre qui contient des éléments discutables
 
Voici maintenant le groupe des constations discutables et des phénomènes réversibles. S’y trouvent la pêche, les zones mortes maritimes et la déforestation. Celle-ci en particulier est préoccupante, dans les régions tropicales et équatoriales et les pays du tiers monde. Depuis 1960, la décolonisation a permis le pillage d’une forêt pluviale jusque-là protégée par l’administration coloniale, brutalement livrée à l’exploitation des marchands de bois, par exemple, en Côte d’Ivoire, André Lévy, père du riche héritier Bernard-Henri Lévy. Des dizaines et des dizaines de millions d’hectares sont ainsi partis en meubles et plaquages. Est-ce une catastrophe ? Pour l’esthétique et l’environnement local, sûrement. Pour les grands équilibres du climat, nul ne le sait. Les spécialistes ne savent pas comparer le bilan carbone d’un hectare de sorgho et d’un hectare de forêt amazonienne.
 

L’homme peut en effet agir sur son environnement
 
Même chose pour la pêche : sans doute la pression sur les océans est-elle forte, « en particulier dans les régions côtières », mais c’est une question de police : le courant de l’Amazone, et plus encore celui du Sénégal, sont victimes de prédateurs faute de garde-côtes, alors que la ressource halieutique du grand banc de Terre neuve se reforme.
 
Idem encore pour les « zones mortes maritimes ». Les « seize mille scientifiques » ont beau nous asséner en leur aimable jargon que le nombre des zones « hypoxiques », c’est-à-dire pauvres en oxygène, s’accroît (« plus de 600 en 2010 selon une étude »), on voit bien, par le simple exemple de la Méditerranée, qu’une politique sérieuse (en l’occurrence celle de la France) suffit à faire revenir en quelques années la faune et la flore.
 

16.000 scientifiques enterrent des espèces vivantes
 
Le dernier groupe contient les éléments de langage du grand mythe de la grande catastrophe qui menacerait la planète et son environnement. Le premier élément est la chute de la biodiversité. En voici un extrait : « La biodiversité mondiale disparaît à un rythme alarmant et les espèces de vertébrés s’effondrent rapidement. Collectivement, les poissons, amphibiens, reptiles et oiseaux ont diminué de 58 % entre 1970 et 2012. Selon une étude publiée cette année, les populations d’eau douce, marine et terrestre ont diminué respectivement de 81 %, 36 % et 35 % ». Voilà. Tel quel. Acceptez le paquet, bonnes gens. Ce que cela peut vouloir dire, mystère. Comment c’est obtenu ? Mystère et boule de gomme. Mais quand même, de tels pourcentages, ça prouve qu’il y a un problème ! Et tant pis si l’on découvre chaque jour une nouvelle espèce, et si l’on en reconstitue d’autres. C’est un article de foi, à professer pour se convaincre que l’homme est mauvais et qu’il doit décroître.
 

Revoici par la petite porte l’increvable réchauffement climatique
 
Enfin, last, not least, le changement de températures. Quand même. Dans un coin, profil bas, mais quand même. On ne prétend plus en faire l’alpha et l’oméga du dogme terroriste écologiste, mais on glisse en passant que « Les dix années les plus chaudes jamais enregistrées se sont produites depuis 1998, l’année 2016 en tête ». Nous avons cent fois fait litière à Reinformation.tv de ce mensonge. Mais la raison ni les mesures ne peuvent rien contre la propagande aux cent gueules. A son rang, désormais subalterne, le réchauffement climatique continue à nourrir la grande peur puisqu’il entraînera, l’humanité soumise ne doit pas en douter « une baisse des principales cultures vivrières dans le monde, une augmentation de l’intensité des événements climatiques » et l’élévation « du niveau de la mer ». Le mot « vivrières » et la référence aux typhons le suggèrent : le réchauffement climatique est discriminatoire, il s’attaque d’abord au tiers monde tropical.
 

54L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Dim 7 Jan - 18:20

Josué

Josué
Administrateur

[size=39]Vague de chaleurs en Australie : Melbourne menacée par les flammes[/size]
>[size=10][size=10]Ma Terre / Environnement[/size]|Le Parisien|06 janvier 2018, 16h04|0[/size]
L'avenir sera caniculaire - Page 2 7486284_717a1248-f2f1-11e7-8285-6fc59b200c85-1_1000x625
L'épisode caniculaire augmente le risque d'incendie dans la région.(Illustration) PETER PARKS / AFP





[size=23]Le risque d’incendie est très élevé ce week-end dans les régions du sud et de l’est de l’Australie.

[size=16]Alerte incendie dans l’est et le sud de l’Australie. Le bureau national de météorologie redoute un risque sévère de départ de feux en raison d’un temps sec, de vents violents et d’une vague de chaleurs impressionnante.
Dans certaines régions, les températures devraient atteindre jusqu’à 46 degrés. L’Etat de Victoria est particulièrement touché. D’après [size=16]Euronews, 400 foyers ont été privés d'électricité et 50 incendies recensés. Le bitume a même fondu sur un tronçon d’autoroute de 10 km.

La capitale de cet Etat, Melbourne, est également concernée. Selon ABC, un feu de brousse a endommagé une maison ainsi que plusieurs abris et clôtures dans le sud-est de la ville. La menace se serait pour l’heure estompée, selon les pompiers, en raison d’un rafraîchissement.








Les autorités locales appellent les habitants à rester prudents et à ne pas allumer un feu dans les bois, les forêts et les landes. Il est également conseillé de ne pas utiliser des machines électriques près de l’herbe et des arbres.
«Il y a beaucoup de gens qui sont toujours en vacances sur les rivières et le long des zones côtières. Ils doivent s’informer sur les plans de survie en cas d’incendie de forêts pour éviter le pire», a indiqué Greg Nettleton, chef des pompiers de l’Australie méridionale.
[/size][/size][/size]

55L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Dim 7 Jan - 18:41

BenFis

BenFis

Josué a écrit:
 
C’est ce qu’a déclaré Christine Lagarde, patronne du FMI, lors d’une conférence économique d’envergure à Riyadh, en Arabie Saoudite.
 
Si le monde veut préparer un avenir qui « ressemble à une utopie plutôt qu’à une dystopie », a-t-elle insisté, il faut lutter contre le réchauffement conformément aux Accords de Paris, mais aussi contre les inégalités dans les pays où il y a des « haves » et des « have nots » (les « ayants » et les « n’ayant rien » de la terminologie socialiste), ainsi que les inégalités entre hommes et femmes.
 
Et d’inciter l’Arabie Saoudite à promouvoir le travail des femmes.
 
Encore un peu, et on nous dira que cela permettra au désert arabique de fleurir !
Pas une fois la gente dame ne parle de s'attaquer au problème démographique... et on sait pourquoi! Suspect

56L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Sam 13 Jan - 6:02

Josué

Josué
Administrateur

[size=36]Plus il fait froid, plus la Terre se réchauffe : le grand froid, il fallait s’y attendre selon Al Gore[/size]
8 janvier 2018 18 h 30 min·
L'avenir sera caniculaire - Page 2 Grand-froid-terre-r%C3%A9chauffe-Al-Gore-e1515432854539
 
Sous le coup d’une vague de froid polaire, bloqués par des blizzards tels qu’on n’en avait pas vus depuis des dizaines d’années, les Etats-Unis se battent contre la glace et ses habitants sont mis en garde : il suffit de 30 minutes d’exposition aux conditions de températures extrêmes pour avoir la peau gelée. Mais tout cela, c’est la faute au « changement climatique » : si le temps devient plus froid, c’est que la Terre se réchauffe. Pour l’inventeur de la taxe carbone, l’ancien vice-président de Bill Clinton, Al Gore, il fallait même s’y attendre.
 
C’est dans un tweet publié le 4 janvier qu’il expliquait : « Il fait un froid de gueux dans certaines parties des Etats-Unis, mais le climatologue Michael Mann explique que c’est exactement ce que nous devions attendre de la crise du climat. »
 
Notez que tous ces scientifiques et politiques évitent désormais de parler de « réchauffement climatique » en tant que tel, préférant les termes de « changement climatique », ce qui les expose moins à un accueil… glacial de la part de ceux qui multiplient duvets et doudounes pour tenir le coup. Reste que c’est bien le réchauffement qui est accusé.
 

« Il fallait s’y attendre », dit Al Gore… qui ne l’avait pas prévu
 
Si c’était tellement prévisible, s’il fallait s’attendre à ces coups de gel spectaculaires, que ne nous l’a-t-on pas dit plus tôt ? Al Gore lui-même, dans son film Une vérité qui dérange – doté de l’Oscar du meilleur documentaire, ce n’est pas rien – n’y fait pas le moins du monde allusion. Pourtant, sa mise en garde alarmiste contre la montée des océans date de 2006, il y a une petite douzaine d’années, rien à l’échelle de l’histoire de la planète et en tout cas assez peu pour permettre des prédictions un tant soit peu réalistes si les modèles climatologiques utilisés par les réchauffistes ont quelque valeur.
 
Nulle part le film ne parle du froid intense et des records d’enneigement qu’allaient subir les Etats-Unis ou l’Italie cette année. Il promettait au contraire une montée des mers de plus de 6 mètres « dans un proche avenir » en raison de la fonte des glaciers du Groenland et de l’Antarctique occidental, tout comme la fonte de la neige sur le Mont Kilimandjaro. Et la mort des ours polaires bien sûr, faisant des kilomètres à la nage et en vain pour trouver de la glace.
 
Quatre ans plus tard, en 2010, Al Gore devait déjà trouver une explication aux chutes de neige plus intenses enregistrées cette année-là : c’était le réchauffement climatique d’origine anthropique ou en tout cas, l’affaire n’était pas « incompatible » avec celui-ci. Chose qu’il n’avait même pas imaginée moins d’un an plus tôt puisqu’en 2009, l’ex vice-président affirmer encore que la neige et la glace étaient en état de disparition rapide dans le monde entier.
 

Le grand froid polaire aux Etats-Unis relié au réchauffement – mais sans que personne n’avance une explication
 
Aujourd’hui, les climatologues sont nombreux à faire un lien entre le réchauffement et le froid polaire sévissant aux Etats-Unis – mais ce sont des paroles, sans plus, puisqu’ils avouent tout à fait honnêtement qu’ils ne comprennent pas bien la relation entre les deux phénomènes. Une honnêteté au mieux partielle puisque la relation, ils la donnent sans vergogne pour établie.
 
Ainsi l’« explique » Marlene Kretschmer, chercheuse à l’Institut de recherches Potsdam sur les effets du changement climatique fondé par Hans Joachim Schellnhuber, celui-là même qui avait participé à la présentation de Laudato si’… « Il existe un consensus important pour dire que l’Arctique joue un rôle : on ne sait tout simplement pas quelle est l’étendue exacte de ce rôle », a-t-elle déclaré : « Nous essayons de comprendre ces processus dynamiques qui mènent vers des hivers froids. »
 
L’aveu de n’y rien comprendre – et c’est bien de cela qu’il s’agit – ne les empêche pas de vouloir peser sur la manière de vivre de l’humanité tout entière, même lorsque ce qu’ils disent est démenti par l’expérience de chacun. Et seuls les climatosceptiques osent la question : si les Etats-Unis et d’autres pays avaient mis en œuvre les promesses du protocole de Kyoto au cours des années 1990, aurait-on eu moins froid en cet hiver 2017-2018, faute de ce « Bombcyclone » ?
 

La Terre se réchauffe selon Al Gore ; mais le froid est dû à un air « inhabituellement froid »
 
Plusieurs scientifiques récusent, faits à l’appui, l’invocation du réchauffement pour expliquer le refroidissement. Ainsi, le climatologue Roger Pielke Sr explique l’épisode de froid venu du Nord-Est aux Etats-Unis et au Canada par un gradient de température horizontale exceptionnellement élevé dans la troposphère. « Cela a eu un effet de ‘bombe’ à cause d’air inhabituellement froid », assure-t-il.
 
Selon Joe Bastardi de Weatherbell, le procédé d’accusation du réchauffement est malhonnête. « Ce sont des insanités et de la tromperie caractérisées que de dire au public que des événements qui ont eu lieu à de multiples reprises sans qu’on les attribue au changement climatique en relèvent maintenant : ce n’est pas de la science, c’est de la sorcellerie. PAS LA MOINDRE PREUVE. C’est du racolage au climat, rien de plus. Tout cela s’est produit d’innombrables fois, ce n’était pas du réchauffement climatique alors et ça ne l’est pas davantage aujourd’hui. L’utilisation sérieuse des schémas passés faisait prédire un froid vif et précoce dès OCTOBRE. J’ai tweeté cela des douzaines de fois en montrant les années analogues que j’ai utilisées – elles remontent à une époque où il n’y avait pas de CO2 » (supplémentaire).
 
D’autres scientifiques ont observé que le froid est lié tout simplement à l’hiver, tandis que le climatologue Cliff Mass de l’université de Washington observe que les vagues de froid ont été moins nombreuses au cours de ces 50 dernières années alors que selon les explications actuelles, la montée du CO2 aurait dû les multiplier.
 

Les théories sur le froid et le chaud restent à l’état de théorie, mais les réchauffistes ont des certitudes
 
En soi, l’idée qu’un réchauffement polaire, en rendant le jet stream plus incertain, puisse avoir un effet sur les courants d’air froid en les augmentant dans certaines zones n’est pas forcément absurde. Mais cela reste à l’état de théorie, et reste incompatible avec les températures actuellement observées au pôle et la situation pourrait même provoquer, selon une théorie inverse, une ondulation moindre du jet stream qui provoquerait un réchauffement des zones impliquées dans les coups de froid aux Etats-Unis.
 
L’important, c’est de noter qu’aujourd’hui aucune preuve n’existe pour dire que le « réchauffement » provoque le grand froid aux Etats-Unis mais que les réchauffistes utilisent absolument tous les événements climatologiques, fût-ce de manière contradictoire, pour justifier leur thèse.
 

Anne Dolhein

57L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Lun 15 Jan - 15:30

Lechercheur



Les grands de ce monde prennent quand même conscience que la terre va mal.

58L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 31 Juil - 19:44

papy

papy

Après un mois de juillet exceptionnel, les experts attendent de nouvelles hausses du mercure dans les années qui viennent.

C'est désormais officiel. Avec une température moyenne de 23,1 degrés, le mois de juillet 2018 est le troisième mois de juillet le plus chaud jamais enregistré par Météo France, dont les données les plus anciennes remontent à 1900. Depuis le 24 juillet, la chaleur caniculaire touche tout particulièrement le nord et l'est du pays, note l'Institut. Le 26 juillet dernier, la température a d'ailleurs atteint 37,6 degrés à Lille. Un record pour la ville. Mais après le Nord, c'est maintenant le Sud-Est de la France qui voit la canicule se profiler à l'horizon.  

59L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mer 1 Aoû - 6:44

Josué

Josué
Administrateur

Météo France annonce pour aujourd'hui un pic de chaleur.

60L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Sam 4 Aoû - 12:55

Josué

Josué
Administrateur

Canicule: un réacteur de la centrale nucléaire de Fessenheim mis à l'arrêt
Par Challenges.fr le 04.08.2018 à 11h41
Au total, samedi à 11H00, quatre réacteurs de centrales nucléaires en France étaient arrêtés en raison de la canicule: un à Fessenheim, deux à la centrale de Bugey dans l'Ain et un dans celle de Saint-Alban en Isère, a détaillé un porte-parole d'EDF.

61L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 7 Aoû - 9:44

Josué

Josué
Administrateur

Canicule: ce mardi est le dernier (et pire) jour de chaleur, mais attention aux orages

Météo France a placé 66 départements en vigilance orange ce mardi matin.



MÉTÉO - Encore "une journée à tenir": le pic de chaleur va être atteint ce mardi 7 août dans plusieurs régions, avec à nouveau des restrictions de circulation, avant des orages et une chute des températures qui permettront de mieux respirer.
Soixante-six départements sont placés en vigilance orange par Météo France.

62L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 7 Aoû - 13:30

chico.

chico.

Canicule : cette clim qui surchauffe la planète
En ces jours caniculaires, la tentation est grande : acheter une clim. Mais le remède pourrait s'avérer dévastateur pour la planète, annonce l'Agence internationale de l'énergie. Par Michel Revol
Modifié le 07/08/2018 à 09:16 - Publié le 16/05/2018 à 17:15 | Le Point.fr
Vue de Seoul, la capitale de la Coree du Sud. Le pays est le troisieme du monde en nombre de climatiseurs par habitant.
Vue de Séoul, la capitale de la Corée du Sud. Le pays est le troisième du monde en nombre de climatiseurs par habitant.

©️ ED JONES / AFP/ ED JONES
ABONNEZ-VOUS
C'est ce qu'on appelle un cercle vicieux : non seulement, à raison de 0,5 à 2 degrés, la climatisation réchauffe les villes en rejetant dans les rues de l'air chaud, mais elle participe aussi à élever la température de la planète en consommant beaucoup d'électricité, produite surtout par du gaz et du charbon, deux énergies fossiles – donc actrices de l'effet de serre. Et, puisque la planète se réchauffe du fait de la clim, il faut bien la faire fonctionner encore plus fort pour refroidir les magasins et les habitations. Impitoyable.

L'Agence internationale de l'énergie vient de s'alarmer du danger dans un rapport publié en mai dernier. Selon l'organisation, le nombre de climatiseurs devrait tripler dans le monde jusqu'en 2050. Il pourrait se vendre en moyenne un climatiseur toutes les quatre secondes d'ici à cette échéance, pour atteindre un total de 5,6 milliards de machines, contre 1,6 milliard aujourd'hui ! Cette flambée pourrait provoquer ce que l'AIE appelle un « cold crunch », un choc du froid : si rien n'est fait, la consommation d'énergie pour faire fonctionner les climatiseurs pourrait tripler d'ici à 2050. À ce niveau d'équipement, et si rien n'est fait, l'électricité nécessaire pour faire tourner ces équipements pourrait atteindre l'équivalent de la consommation actuelle de la Chine. Quant aux émissions de dioxyde de carbone dues à la climatisation, elles pourraient quasiment doubler d'ici à 2050 avec un milliard de tonnes supplémentaires – soit le volume de ce gaz rejeté chaque année par l'Afrique...

Un équipement peu performant
Une bonne partie de la planète est, il est vrai, sous-équipée. L'engouement pour les machines à froid vient pour l'essentiel des pays chauds et en voie de développement, comme l'Inde (où seulement 5 % des foyers sont équipés), l'Indonésie (9 %) ou encore le Brésil et le Mexique (16 %). Ces pays sont loin du trio de tête en matière d'équipement, qui concentrent 70 % de la consommation totale d'électricité due à la clim : le Japon (91 %), les États-Unis (90 %) et la Corée du Sud (86 %).

Pour limiter les effets sur le climat, la priorité est donc de réduire la consommation en énergie. Plusieurs techniques existent, dont certaines viennent tout juste d'être récompensées par l'Ademe, en France. Elles utilisent des fluides à faible potentiel de réchauffement global (PRG) ou des technologies alternatives sans utilisation de fluides frigorigènes, très polluants. Mais, pour l'heure, la plupart des climatiseurs vendus, en particulier aux États-Unis, sont peu performants. Ils pourraient en tout cas beaucoup mieux faire. En moyenne dans le monde, ils sont de deux à trois fois moins économes que la meilleure technologie disponible.

Scénario optimiste
Le rapport de l'Agence internationale de l'énergie se conclut toutefois sur une note à peu près positive. L'organisme a établi un scénario dit « efficiency cooling scenario », qui se fonde sur l'utilisation massive des nouvelles technologies, dont une meilleure isolation des bâtiments. En 2050, selon ce scénario optimiste, la consommation d'électricité due à la clim n'atteindrait « que » 3 407 TWh, contre le double avec un scénario standard. Les rejets de CO2 dans l'atmosphère pourraient, quant à eux, se limiter, si l'on peut dire, à 148 millions de tonnes, contre plus de deux milliards si rien ne change fondamentalement. Soit le double des émissions actuelles de gaz carbonique du fait de la clim. Ça fait froid dans le dos.

63L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 7 Aoû - 13:38

Josué

Josué
Administrateur

C'est tomber de charybde en scylla.

64L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 7 Aoû - 16:20

jc21



Vivement le paradis, l'homme détruit la planète, il fait plus de mal que de bien et il est incapable de réparer les dégats qu'il cause à la planète.

65L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mer 8 Aoû - 9:44

BenFis

BenFis

Pour soulager la planète, nous devons construire moins de véhicules, moins de routes, moins de bâtiments, moins d'à peu près tout ce que les humains fabriquent.

Ce qui ne serait possible que si l'homme se décidait à faire moins d'enfants. C'est-à dire sans doute jamais, sauf sous la contrainte.

Et donc notre mode de vie continuera dans le même sens jusqu'à ce que les conditions de vie 'normales' sur terre ne soient plus réunies; ce qui marquera la fin de notre civilisation.
Il n'y aura même pas besoin d'une intervention divine pour cela. Nous y parviendrons tout seul. Very Happy

66L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mer 8 Aoû - 15:57

samuel

samuel
Administrateur

Ici un article du Figaro.
« Une Terre étuve est probablement incontrôlable et dangereuse pour beaucoup », selon les conclusions de scientifiques de l'université de Copenhague, de l'Université nationale australienne et de l'Institut de recherche de Potsdam sur les effets du changement climatique en Allemagne. Les rivières déborderaient, les ouragans feraient des ravages sur les côtes et les récifs de corail disparaîtraient ; le tout avant la fin de ce siècle, voire plus tôt.

Les températures moyennes mondiales dépasseraient celles de toute période interglaciaire (ces cycles séparant deux glaciations depuis 1,2 million d'années). La fonte des calottes polaires provoquerait à elle seule une hausse très importante du niveau des océans, engloutissant des régions côtières où habitent des centaines de millions de personnes. « Des endroits sur Terre deviendront inhabitables si la Terre étuve devient une réalité », met en garde Johan Rockström, directeur du Stockholm Resilience Centre.

« Un réchauffement de 2 degrés pourrait activer d'importants éléments de rupture »
Tous ces événements en cascade « pourraient pousser le système Terre dans son ensemble dans un nouveau mode de fonctionnement », note Hans Joachim Schellnhuber, coauteur et directeur du Potsdam Institute for Climate Impact Research et relève Le Figaro. Le chercheur avait précédemment estimé qu'une Terre à + 4 ou + 5 °C ne pourrait pas abriter plus d'un milliard de personnes.

67L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Ven 10 Aoû - 17:58

jc21



Réchauffement climatique : une inquiétude étude prédit un possible point de non-retour
Selon une nouvelle étude publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, la Terre est proche "d’un point de rupture". Explications.

Ce lundi, des chercheurs internationaux ont tiré la sonnette d'alarme : si nous ne faisons rien, la pollution due aux énergies fossiles risque de pousser le globe dans un état durable et dangereux "d’étuve".

La Terre proche de la rupture
Si les calottes polaires continuent de fondre, les forêts d'être décimées et les émissions de gaz à effet de serre de battre des records, la Terre risque en effet de franchir un point de rupture. Cette mise en garde a été formulée par des chercheurs dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. Selon eux, une hausse des températures supérieure de 2 degrés à celle de l'ère préindustrielle pourrait, par un effet domino, entraîner la Terre vers des températures encore plus élevées. La température moyenne est déjà supérieure d'un degré et continue d'augmenter à un rythme de 0,17 degré par décennie.

Des solutions existent
Contenir le réchauffement sous la barre de 2 °C d'ici la fin du siècle, est en effet l’objectif fixé par l'accord de Paris. Mais malgré cela, il est urgent d'agir et de changer notre mode de vie pour protéger notre planète. Et les chercheurs rappellent que les solutions existent. Parmi elles, il faudrait se détourner des énergies fossiles, arrêter la déforestation, mieux gérer les sols ou encore modifier les pratiques agricoles. Déterminer qu'une hausse de 2 degrés est un point de non-retour "est nouveau", selon Martin Siegert, co-directeur du Grantham Research Institute on Climate Change de Londres, qui n'était pas impliqué dans l'étude

https://www.francetvinfo.fr/meteo/canicule/video-rechauffement-climatique-une-inquietude-etude-predit-un-possible-point-de-non-retour_2887231.html#xtor=RSS-3-[politique]

68L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Lun 13 Aoû - 2:11

Josué

Josué
Administrateur

[size=32]Portugal, Californie, Grèce… Le réchauffement climatique est-il responsable des incendies géants ?
A La UneEnvironnement
Publié le 10/08/2018 à 11h37 par SudOuest.fr avec AFP.

L'avenir sera caniculaire - Page 2 Un-pompier-face-a-l-incendie-carr-le-31-juillet-2018-en-californie-etats-unis[/size]
Un pompier face à l'incendie "Carr", le 31 juillet 2018 en Californie (États-Unis).

JOSH EDELSON AFP


Sans les causer directement, le réchauffement climatique, en augmentant la probabilité, la durée et l’intensité des feux de forêt, amplifie ce sinistre phénomène.



Du Portugal à la Californie, de gigantesques incendies dévorent actuellement des milliers d’hectares de forêt. Et si dans 95% des cas, ces feux sont d’origine humaine, le réchauffement climatique aggrave ce phénomène d’incendies géants, avertissent des scientifiques.
D’autres facteurs, comme la mauvaise gestion des forêts ou la construction d’habitations à proximité des bois alimentent ce phénomène. "Le patient était déjà malade", constate David Bowman, professeur à l’université de Tasmanie, en Australie, et spécialiste des feux de forêt. "Mais le changement climatique est l’accélérateur." 

>> À lire aussi : En images. La Californie ravagée par de violents incendies

69L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mer 15 Aoû - 16:39

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]Le changement climatique, c'est (aussi) mauvais pour la santé[/size]
Aedes Aegypti, le moustique vecteur de plusieurs maladies infectieuses, profite du changement climatique (Rafaelgilo / Wikimedia Commons)

Canicules, maladies... le monde du réchauffement change, et nous allons en payer le prix.


Par Jean-Paul Fritz
Publié le 15 août 2018 à 16h06




Eté 2003. L'Europe connaît une vague de chaleur sans précédent, avec un bilan très lourd : plus de 70.000 morts, dont près de 20.000 en France. Sur le territoire métropolitain, il s'agit des premiers décès directement liés au changement climatique que nous ayons enregistrés. Sans l'action humaine sur le climat, 70% de ces morts auraient été évitées.
Dans les années qui viennent, les vagues de chaleur similaires à celle de 2003 ne vont plus être l'exception mais la norme estivale. Même en anticipant et en prenant le plus de précautions possible pour préserver les personnes vulnérables, on ne pourra empêcher des décès supplémentaires. Selon une étude de la revue médicale The Lancet, 125 millions d'adultes de plus de 65 ans ont été exposés à des vagues de chaleurs dans le monde entre 2000 et 2016, "avec des impacts possibles sur la santé allant du coup de chaleur ou insolation à l'exacerbation de problèmes cardiaques existants ou encore le risque accru de lésions rénales dues à la déshydratation."




[size=42]Chaleurs mortelles[/size]


La chaleur peut aller encore plus loin que les canicules que nous connaissons. Une fois franchi un seuil de température et d'humidité, une exposition prolongée peut devenir mortelle, et un tel seuil pourrait vite être atteint dans certaines régions du monde. C'est le cas dans les plaines du nord de la Chine, une région agricole très peuplée. Selon une étude effectuée par des chercheurs du MIT (USA), l'irrigation intensive qui y est utilisée va accroître la vulnérabilité des agriculteurs : l'eau s'évaporant va augmenter le taux d'humidité de l'air et exacerber les effets des températures en période de canicule, menaçant la santé et la vie des habitants.
Dans de telles conditions (des températures au-dessus de 35° avec une très forte humidité), "une personne en bonne santé ne pourrait pas survivre à l'extérieur pendant plus de six heures," selon ces scientifiques, qui préviennent que cette situation risque de se produire dans cette partie de la Chine entre 2070 et 2100.
En effectuant une projection des températures actuelles et futures en fonction des scénarios d'émissions de gaz à effet de serre, une équipe internationale emmenée par le professeur Yuming Guo, de la Monash University (Australie) a montré que sans une hypothétique adaptation de nos organismes à la chaleur, la mortalité liée aux canicules va croître davantage dans les régions tropicales et subtropicales, alors que l'Europe et les Etats-Unis seront moins touchées. Cela signifie tout de même qu'entre 2031 et 2080, l'augmentation des décès causés par la chaleur va s'échelonner de 2.000% (en Colombie) à 150% (en Moldavie) par rapport à la période 1971-2020. "
"Si nous ne trouvons pas le moyen d'atténuer le changement climatique et d'aider les gens à s'adapter aux canicules, il y aura une grosse augmentation du nombre de morts dûs à la chaleur dans le futur, en particulier dans les pays pauvres situés autour de l'équateur," prévient le professeur Guo.
Certaines maladies vont être aggravées par la chaleur. Une étude publiée dans le journal PLOS Medicine explique par exemple que les infarctus liés au diabète sucré vont croître avec les températures.
A un degré moindre, les effets des vagues de chaleur peuvent aussi toucher nos performances intellectuelles. En comparant le comportement d'étudiants vivant dans des bâtiments avec ou sans air conditionné pendant une période de canicule, des chercheurs ont pu s'apercevoir que ceux qui restaient exposés à la chaleur voyaient leurs fonctions cognitives décroître, ce qui incluait leur mémoire et leur temps de réaction. Les étudiants bénéficiant de l'air conditionné étaient plus rapides et leurs réponses plus exactes. Mais l'air conditionné n'est pas une solution durable : il consomme de l'énergie, qui va à son tour générer des gaz à effet de serre...

70L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Jeu 23 Aoû - 16:12

Josué

Josué
Administrateur

Déni climatique
Publié le 22/08/2018 à 12h23 - Modifié le 22/08/2018 à 12h43Jean-Pierre Denis
L'avenir sera caniculaire - Page 2 92249_feu-californie0k
©️ Marcio Jose Sanchez/AP/SIPA

Au nord du Groenland, l’immense mer de glace était jusqu’ici considérée comme un dernier refuge. Elle s’est fracturée cette année. Des observations effectuées au large de la Norvège confirment les prévisions précédentes : d’ici au milieu du siècle au plus tard, il n’y aura plus de banquise dans l’océan Arctique en été. À l’autre bout du monde, le Kerala est frappé par sa plus grande mousson depuis au moins un siècle. Plus de un million de personnes ont dû fuir les inondations. La déforestation et la mauvaise gestion des barrages ont contribué à transformer un phénomène naturel en catastrophe exceptionnelle.
Mais avec le réchauffement climatique, l’exceptionnel semble devoir devenir la nouvelle norme. Un long périple aux États-Unis m’a conduit à observer les deux plus grands incendies de l’été, qui ont sévi en Californie. L’échelle de ces feux dépasse de loin ce que nous connaissons parfois en France, par exemple en Corse. Pour les contenir, c’est une lutte de plusieurs semaines qui est engagée, mobilisant des milliers de pompiers et faisant parmi eux de nombreux morts. Au-dessus des zones qui brûlent se forme un nuage ressemblant au champignon de Hiroshima. À des dizaines de kilomètres au nord des principaux foyers d’incendie, dans l’Oregon voisin, la population doit s’habituer à passer une bonne partie de la saison estivale dans un nuage quasi permanent. Le jaune de l’herbe sèche et le noir de la terre brûlée observés dans ces régions contrastent avec le vert des terrains de golf ou des jardins de riches villas de la Silicon Valley ou de Los Angeles.
Le plus frappant, pourtant, c’est l’indifférence de l’opinion, même quand l’évidence brûle littéralement les yeux, alors que la campagne bat son plein avant les élections de mi-mandat. À Redding, une des zones les plus affectées dans le nord de la Californie, les politiciens républicains pointent du doigt… les écologistes. Sans eux, les forêts seraient coupées, donc il n’y aurait plus d’incendies ! Depuis Washington, le discours est aussi aberrant, sinon plus. Pour Donald Trump, c’est la faute des démocrates qui gouvernent la Californie et qui ne veulent pas construire de barrages, lesquels permettraient de noyer les feux sous l’eau. Peu importe que les retenues qui existent déjà soient de plus en plus difficiles à remplir… 
Aux États-Unis, les Républicains pointent du doigt… les écologistes. Sans eux, les forêts seraient coupées, donc il n’y aurait plus d’incendies !
Le président américain ne se contente pas de remarques délibérément absurdes. Une bonne partie de sa politique consiste à démanteler les mesures environnementales prises par l’administration de Barack Obama, mesures pourtant notoirement insuffisantes. Les normes de pollution automobile ? Elles sont mauvaises, car si l’essence est de meilleure qualité, les gens circuleront davantage, et il y aura donc davantage d’accidents. Le charbon ? Un plan dévoilé ce mardi devrait mettre fin à la politique précédente, qui tentait, elle, de mettre fin à cette énergie particulièrement polluante. Les normes relèveraient désormais de la responsabilité des États, lesquels pourraient donc ne fixer aucune limite à l’émission de CO2. Les mesures décrétées par Barack Obama avaient d’ailleurs été attaquées par plusieurs gouverneurs républicains et en partie retoquées par la Cour suprême. Le plan n’est donc jamais entré en vigueur.
Exception états-unienne ? À la réflexion, je n’en suis pas certain. L’extrême exagération et le cynisme de Donald Trump choquent. Mais si on met en rapport les multiples signaux d’alerte observés depuis le début de l’année et les mesures effectivement prises dans les différents pays, France comprise, c’est l’humanité tout entière qui semble atteinte par le déni environnemental et climatique.

71L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Jeu 23 Aoû - 23:01

jc21



Jérémie 10:23
23 Ô Jéhovah, je sais bien que l’homme ne peut pas trouver son chemin tout seul.
Ce n’est pas à l’homme qui marche de diriger ses pas+
.

Ces paroles ont été écrites il y a plus de 2500 ans et elles s'avèrent exactes !
Quand on ne tient pas compte de Dieu pour diriger les choses, on ne fait que de mauvais choix et encore plus quand on a beaucoup de responsabilités.

72L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Ven 24 Aoû - 7:27

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Et les propos de Paul vont aussi dans le même sens.( Ce que sème un homme il le récoltera).

73L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Dim 26 Aoû - 3:18

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]«Avec la canicule je crains de ne pas pouvoir nourrir mes vaches cet hiver»[/size]

  • Par  L'avenir sera caniculaire - Page 2 Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> Mathilde Golla 
     

  • Publié le 25/08/2018 à 07:45

  • [size=15]Après les fortes chaleurs des mois de juillet et août, l'herbe vient à manquer dans les champs et les éleveurs se demandent comment ils vont nourrir leurs animaux cet hiver. D'autant que la pénurie européenne fait flamber les prix du foin et de la paille.[/size]


Les mois de juillet et août 2018 figurent parmi les plus chauds jamais enregistrés en France. Résultat, les éleveurs font face à des pénuries de foin car les prairies grillées par le soleil ne donnent plus d'herbe. Ils pourraient donc rencontrer des difficultés pour nourrir leurs vaches cet hiver.
» LIRE AUSSI - Les agriculteurs bio, ces oubliés de la Pac
«Les dernières coupes de foin ne sont pas à la hauteur des années précédentes. Sur une prairie de 6,5 hectares, nous comptons seulement 18 ballots de foin contre 80 à 100 ballots les années précédentes», s'alarme Christelle Drévillon, qui pilote avec son mari la ferme du Petit Remy, en Seine et Marne. «La fin de campagne est catastrophique, nous devrions être juste cette année et nous ne pourrons pas faire de réserves, contrairement aux années précédentes», souligne la productrice qui exploite un cheptel de 47 vaches laitières sur 106 hectares, dont 46 d'herbe. «Nous nous demandons si on ne va pas devoir réorganiser nos parcelles pour faire face au réchauffement climatique», indique la fermière qui constate «de plus en plus d'épisodes climatiques inhabituels qui déséquilibrent le travail aux champs».
» LIRE AUSSI - La sécheresse frappe de nombreux agriculteurs 
Touchée par cette sécheresse, Marie Arnould, éleveuse de vaches dans les Vosges, a laissé ses vaches à l'intérieur depuis un mois, ce qui est inhabituel pour la saison. «Elles sont nourries en ration d'hiver, car il n'y a plus de quoi les alimenter. J'ai ainsi commencé à puiser dans mes stocks d'hiver», s'inquiète cette propriétaire d'une ferme de 40 vaches et 140 hectares d'herbe. «Sur une parcelle de 13 hectares, j'ai fait 42 bottes de foin contre 120 en moyenne les années précédentes. J'ai dû acheter 100 tonnes de foin au lieu des 50 tonnes initialement prévues et le prix a augmenté», précise-t-elle.

Des bêtes envoyées plus tôt à l'abattoir


«L'est du pays souffre depuis début juillet, et le reste du pays depuis août avec la vague de chaleur et de canicule prolongée», souligne Patrick Bénézit, responsable de l'organisation agricole FNSEA. Pour lui, la situation est comparable à celle de la canicule historique de 2003. «Dans beaucoup d'endroits, même dans le Massif central, le ‘château d'eau' de la France, il n'y a pas de deuxième coupe d'herbe, c'est très préoccupant», indique-t-il.

74L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 2 Oct - 17:33

papy

papy

Il a "enfin gelé" au Pic du Midi de Bigorre, qui culmine à plus de 2.870 mètres dans le département des Hautes-Pyrénées : les prévisionnistes y ont relevé dans la nuit de dimanche à lundi les premières températures négatives depuis 108 jours, un record sans précédent dans une région frappée par le réchauffement climatique, a-t-on appris auprès de Météo-France.

75L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Ven 5 Oct - 17:36

samuel

samuel
Administrateur

France a connu les neuf premiers mois de l’année les plus chauds depuis 1900, rapporte Météo-France. Sur la période allant de janvier à septembre, l’indicateur national de température moyenne, calculé à partir de 30 stations de référence réparties sur tout le territoire est de 15,1 °C, soit 1,4 °C au-dessus des normales, a indiqué mardi l’établissement sur son site internet.
Météo France note que ce début d’année 2018 établit donc un nouveau record de chaleur, en dépassant les 15 °C des neuf premiers mois de 2003.

76L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Lun 8 Oct - 9:11

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Réchauffement climatique: Le Giec appelle les Etats à des transformations «sans précédent»[/size]

ENVIRONNEMENT Pour limiter le réchauffement climatique à 1,5 degrés, le monde devra faire des efforts sans précédent, sous peine d'atteindre les 3 degrés à la fin du siècle...

20 Minutes avec AFP
 
Publié le 08/10/18 à 07h45 — Mis à jour le 08/10/18 à 07h56



L'avenir sera caniculaire - Page 2 310x190_ouragan-florence-vu-espace-12-septembre-2018
L'ouragan Florence vu de l'espace, le 12 septembre 2018. — HO / NASA / AFP
Contre le réchauffement climatique, le monde doit agir, de préférence tout de suite. Dans un nouveau rapport publié ce lundi, les experts du climat de l’ONU (Giec) s’adressent directement aux Etats pour entrer dans la lutte. Le monde devra engager des transformations « rapides » et « sans précédent », s’il veut limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, mettant en garde contre des risques accrus au-delà de ce seuil.


The @IPCC_CH Special Report of Global Warming of 1.5°C is available at https://t.co/VzWQKiRRA2 This includes the Summary for Policymakers and chapters of the full report. #SR15 #climatechange #ParisAgreementpic.twitter.com/XbMhZtohxa
— IPCC (@IPCC_CH) October 8, 2018

Vagues de chaleur, extinctions d’espèces, déstabilisation des calottes polaires, source de montée des océans… Dans un rapport de 400 pages, les scientifiques exposent les nombreux impacts déjà à l’œuvre et pointent du doigt la menace d’emballement au-delà d’1,5°C de réchauffement.

Plus 3 degrés à la fin du siècle


« Chaque petit accès de réchauffement supplémentaire compte, d’autant que passer cette limite d’1,5°C accroît le risque de changements profonds voire irréversibles, comme la perte de certains écosystèmes », explique Hans-Otto Pörtner, co-président de cette session du Giec.
Si le mercure continue de grimper au rythme actuel, sous l’effet des émissions de gaz à effet de serre, il devrait atteindre +1,5°C entre 2030 et 2052, note le rapport, basé sur plus de 6.000 études. Et si les Etats s’en tiennent à leurs engagements de réduction d’émissions pris dans le cadre de l’accord de Paris en 2015, ce sera +3°C à la fin du siècle.

Pression sur les énergies fossiles


Alors que faire, tandis que 2017 a encore vu les émissions mondiales liées à l’énergie repartir à la hausse ? Pour le Giec, les émissions de CO2 devront chuter drastiquement dès avant 2030 (-45 % d'ici 2030) et le monde atteindre une « neutralité carbone » en 2050. Autrement dit il faudra cesser de mettre dans l’atmosphère plus de CO2 qu’on ne peut en retirer.
Villes, industries, énergie, bâtiment… Tous les secteurs sont appelés à s’atteler à de « profondes réductions d’émissions » : rester à 1,5°C demandera « une transition rapide » et d’une ampleur « sans précédent ». Le Giec insiste sur l’énergie - charbon, gaz, pétrole étant responsables des trois quarts des émissions. Et propose plusieurs scénarios chiffrés incluant différentes combinaisons d’actions.
L’Alliance des petits Etats insulaires, à la pointe du combat pour inscrire l’objectif des 1,5°C dans l’accord de Paris, a appelé lundi « les nations civilisées à prendre leurs responsabilités en relevant leurs efforts pour réduire les émissions ».

77L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Lun 8 Oct - 10:00

samuel

samuel
Administrateur

Les experts climat de l'ONU estiment que sans changement, le réchauffement climatique pourrait atteindre +1,5 degré en 2030.

"Les années à venir seront les plus déterminantes de notre histoire". C'est ce qu'il ressort d'un rapport de 400 pages des experts climat de l'ONU (Giec), dont le "résumé à l'intention des décideurs politiques" est publié ce lundi. Les scientifiques y exposent les nombreux impacts déjà à l'oeuvre, et notamment la menace d'emballement au-delà d'1,5°C de réchauffement (par rapport aux niveaux pré-industriels): vagues de chaleur, extinctions d'espèces, ou déstabilisation des calottes polaires, source de montée des océans sur le long terme. 
LIRE AUSSI >> Réchauffement climatique: 50% des espèces de la planète seraient menacées 

78L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 9:45

Josué

Josué
Administrateur

Pour Laurence Tubiana, ex-négociatrice de la COP21, la situation de la planète "se détériore plus vite qu'on ne le pensait".

Après une semaine de restitution de travaux en Corée du Sud , les experts climat de l'ONU viennent de publier un rapport de 400 pages où ils décrivent les risques, les impacts et la menace du réchauffement climatique. S'il faut les mesurer sur le temps long, les scénarios les plus néfastes pour la planète semblent se concrétiser. Pire, le mouvement s'accélère, préviennent les scientifiques. Malgré l'Accord de Paris ratifié dans la foulée de la COP 21 en 2015, la prise de conscience politique se fait toujours attendre. Et même la France, autoproclamée à la pointe du combat depuis l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron, doit bouger.  
L'analyse de l'économiste Laurence Tubiana, ancienne ambassadrice chargée des négociations sur le changement climatique pour la COP 21.  

L'Express : Le Giec vient de publier un rapport où il expose les conséquences d'un réchauffement de +1,5°C par rapport à l'ère préindustrielle. En quoi est-ce alarmant?  
Laurence Tubiana : C'est de pire en pire. On se rend compte que les choses se détériorent plus vite qu'on ne le pensait. Globalement, les rapports des experts sont établis sur des modèles scientifiques équilibrés, où l'on intègre à la fois les scénarios les plus optimistes et les plus pessimistes. C'est une sorte de moyenne si vous voulez. Or, les phénomènes observés tentent vers les aspects les plus catastrophiques. 

Lesquels ? 
Par exemple, sur le phénomène El Niño [un courant côtier chaud au Pérou qui perturbe les circulations atmosphériques], qui était épisodique, il devient beaucoup plus régulier, tous les trois à quatre ans. De même aux pôles, on observe des zones qui deviennent accessibles à pied. La fonte des glaces, on ne pensait pas que ça irait aussi vite. Nous sommes confrontés aux scénarios les plus négatifs. 

79L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 10:14

BenFis

BenFis

Les gouvernements sont bien conscients qu'il est plus qu'urgent de faire quelque chose contre le réchauffement climatique.
Mais quoi exactement ? Mystère ! Suspect

80L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 10:42

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Si ils sont conscient et ne font rien de concret pour changer les choses à quoi cela sert-il ?

81L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 11:18

BenFis

BenFis

Mikael a écrit:Si ils sont conscient et ne font rien de concret pour changer les choses à quoi cela sert-il ?

A rien, puisque pour caricaturer, on continue allègrement à rouler en chars, à se construire des châteaux, à pondre des gosses, à passer nos vacances le plus loin possible,  à acheter Chinois, et qu'aucun gouvernement n'a vraiment envie que ça change.

82L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 11:23

chico.

chico.

Alors les lanceurs d'alarmes avertissent pour rien ?

83L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 11:34

BenFis

BenFis

chico. a écrit:Alors les lanceurs d'alarmes avertissent pour rien ?

Pour l'instant, le résultat est là : le phénomène de réchauffement s'amplifie faute de n'entreprendre que des mesures qui favorisent le capitalisme, donc contre-productives.

84L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 11:41

chico.

chico.

Les experts de l'ONU sont payés pour du beurre.

85L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 11:55

BenFis

BenFis

chico. a écrit:Les experts de l'ONU sont payés pour du beurre.

Les travaux du GIEC sont quand même indispensables pour nous permettre de savoir ce qui ne va pas.
C'est au niveau des actions à mettre en oeuvre que ça coince.

86L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 11:58

chico.

chico.

C'est la voix qui crie dans le désert

87L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 17:45

Josué

Josué
Administrateur

Ça n’a l’air de rien, 1,5 degré. Mais à l’échelle de la planète et plus précisément de la France, c’est énorme. C’est le message envoyé par les experts de l' ONU sur leclimat(Giec) dans leur dernier rapport. Si la température augmente à ce niveau critique, notre pays connaîtra de grands changements :  canicules à rallonge, incendies et nouvelles maladies… Petit tour d’horizon de ce qui nous attend dans quelques dizaines d’années à peine si rien n’est fait pour ralentir le réchauffement climatique.



Car ce scénario catastrophe n’est pas irrémédiable, selon le Giec. Il existe en effet des solutions pour enrayer le réchauffement climatique. Reste à les mettre en œuvre.

PLANÈTE

88L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 9 Oct - 22:18

jc21



De toute façon, quelle que soit les gouvernements, aucun n'est capable de changer les choses pour que le réchauffement climatique ne s'accentue pas. Ils peuvent tout au plus constater que le réchauffement climatique augmente. Ce n'est pas pour rien que Jésus a dit que le monde est au pouvoir du méchant, donc il ne faut s'attendre à ce que les hommes changent quelque chose, au contraire.

1 Jean 5:19
Nous savons que nous venons de Dieu, mais que le monde entier se trouve au pouvoir du méchant.






89L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mer 10 Oct - 7:59

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

jc21 a écrit:De toute façon, quelle que soit les gouvernements, aucun n'est capable de changer les choses pour que le réchauffement climatique ne s'accentue pas. Ils peuvent tout au plus constater que le réchauffement climatique augmente.  Ce n'est pas pour rien que Jésus a dit que le monde est au pouvoir du méchant, donc il ne faut s'attendre à ce que les hommes changent quelque chose, au contraire.

1 Jean 5:19
Nous savons que nous venons de Dieu, mais que le monde entier se trouve au pouvoir du méchant.






C'est bien vrais.
Triste constat.

90L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mer 10 Oct - 8:23

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Réchauffement climatique : la forêt, indispensable alliée de l’homme[/size]
L'avenir sera caniculaire - Page 2 Default_avatar_2 Paul De Maeyer | 09 octobre 2018
L'avenir sera caniculaire - Page 2 Web3-forest-amazonia-brazil-shutterstock_318520790-by-filipe-frazao-ai


Le prix Nobel d'économie a été décerné cette année à deux universitaires américains, qui se sont distingués dans leurs études sur le changement climatique et le développement durable.


Si l’été qui vient de s’achever a été moins dramatique sur le front des incendies de forêt en France, ce n’est pas le cas dans plusieurs autres pays européens. Comme en Grèce, où un incendie a fait des dizaines de victimes en juillet dernier. En Suède, les experts ont enregistré des températures inhabituellement haute pour la saison. Deux phénomènes attribués au changement climatique. Selon le commissaire européen chargé de l’aide humanitaire et de la gestion des crises, Christos Stylianides, cité par le SIR, l’agence d’information italienne, « les incendies en Suède montrent que le changement climatique est réel et qu’aucun pays n’est à l’abri de catastrophes naturelles ».

91L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mer 10 Oct - 9:42

BenFis

BenFis

jc21 a écrit:De toute façon, quelle que soit les gouvernements, aucun n'est capable de changer les choses pour que le réchauffement climatique ne s'accentue pas. Ils peuvent tout au plus constater que le réchauffement climatique augmente.  Ce n'est pas pour rien que Jésus a dit que le monde est au pouvoir du méchant, donc il ne faut s'attendre à ce que les hommes changent quelque chose, au contraire.

1 Jean 5:19
Nous savons que nous venons de Dieu, mais que le monde entier se trouve au pouvoir du méchant.


Oui, c'est bien vrai.
Tout le monde sait très bien ce qu'il faut faire, mais personne ne veut le faire, car cela aurait des conséquences économiques incalculables qui induiraient peut-être la fin de notre civilisation.

On peut regretter par ailleurs que les prophéties bibliques mettent l'accent sur un phénomène mineur et courant que sont les tremblements de terre alors que le problème majeur est le réchauffement climatique...

92L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mer 10 Oct - 14:50

Josué

Josué
Administrateur

[size=45]Climat, les Pays-Bas sommés de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre[/size]

Jean-Baptiste François , le 09/10/2018 à 15h17 
Mis à jour le 09/10/2018 à 15h19



 

 





[size=20]Mardi 9 octobre à la Haye, près de 900 citoyens ont emporté une victoire historique en appel contre les Pays-Bas, condamnés à réduire les émissions de gaz à effet de serre aux Pays-Bas de 25 % d’ici à 2020. Le premier jalon d’une justice climatique.[/size]


L'avenir sera caniculaire - Page 2 Marjan-Minnesma-directrice-fondation-environnementale-Urgenda-arrive-tribunal-Haye-2018_0_728_553ZOOM 
Marjan Minnesma, directrice de la fondation environnementale Urgenda, arrive au tribunal de La Haye en mai 2018. / Jerry Lampen/Epa/Maxppp


La décision tombe à point nommé, au lendemain du coup de semonce des scientifiques du Giec sur les effets du réchauffement climatique. La fondation écologiste Urgenda et 886 citoyens engagés (des enseignants, des artistes, des entrepreneurs…) ont obtenu gain de cause en appel, mardi 9 octobre à La Haye, contre le gouvernement néerlandais.


Au nom des droits humains



La cour de La Haye a confirmé la décision du 24 juin 2015 d’ordonner le respect de l’objectif de faire chuter de 25 % les émissions entre 1990 et 2020. La justice estime en effet que la politique actuelle de l’État ne permettrait qu’une chute de 17 % dans cet intervalle. Ne pas atteindre la cible fixée serait une « violation des droits des citoyens néerlandais » protégés par la Convention des droits humains, a conclu la cour.

À lire aussi


L'avenir sera caniculaire - Page 2 Marchele-climat-8-septembre-Nantes_0_190_135

Les citoyens s’emparent du droit à la justice climatique




Ce premier jalon d’une justice climatique semble répondre à l’urgence de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C au prix de changements « sans précédents ». Une telle hausse de la température provoquerait une élévation de 26 à 77 cm du niveau des mers, mais à +2 °C, il faudrait ajouter 10 cm.

Cette donnée revêt une importance toute particulière dans un pays où un quart du territoire se trouve sous le niveau des eaux. Sous la pression de la société civile, le parlement néerlandais avait présenté en juin dernier une loi prévoyant une baisse des émissions de gaz à effet de serre de 95 % pour 2050, par rapport à 1990. L’objectif le plus ambitieux de l’Union européenne.

Urgenda souhaiterait étendre son action. « Le message est désormais clair : les États doivent agir. Leur inaction n’est pas seulement dangereuse et inconsciente, elle est également illégale », souligne la fondation dans un communiqué. Elle demande à l’UE « de rehausser ses objectifs climat à au moins 50 % d’ici à 2030 ».


93L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Jeu 1 Nov - 11:44

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Réchauffement climatique : Le cri du cœur du roi de la minuscule île de Tikopia pour réveiller le monde[/size]

PLANETE Une délégation de ce peuple du Pacifique a été accueillie en Bretagne, où vit Corto Fajal, qui a réalisé le film « Nous Tikopia »…

Camille Allain


 
Publié le 01/11/18 à 10h05 — Mis à jour le 01/11/18 à 10h05


L'avenir sera caniculaire - Page 2 310x190_ti-mano-roi-ile-tikopia-honneur-film-tikopia-produit-realisateur-breton-corto-fajal
LANCER LE DIAPORAMA

Ti Mano, le roi de l'île de Tikopia, est à l'honneur du film Nous Tikopia, produit par le réalisateur breton Corto Fajal. — Arwestud Films

  • Le roi de l’île de Tikopia est en visite en France pour expliquer les dangers du réchauffement climatique.
  • Ti Mano est à l’honneur dans le documentaire « Nous, Tikopia », réalisé par le Breton Corto Fajal.
  • Cette île peuplée de 2.000 habitants et perdue dans l’océan Pacifique est notamment menacée par la montée des eaux.


Il est le roi d’un territoire de cinq kilomètres carrés, perdu au milieu du Pacifique, à des milliers de kilomètres de l’Australie. Maître spirituel de l’île Tikopia, Ti Namo n’avait jamais quitté l’archipel des Salomon où se trouvent ses terres. Jusqu’à cette semaine et son arrivée en France. Son premier contact réel avec le monde occidental. « Nous avons été accueillis chaleureusement par votre peuple. Mais aussi par la nature, qui nous a offert de la neige à Dijon. C’est la première fois que nous en voyons », témoigne Ti Namo par la voix de son interprète.



Accompagné de cinq des 2.000 habitants de Tikopia, le roi a exceptionnellement quitté son île pour témoigner des dangers du réchauffement climatique. Colliers de fleurs autour du cou, les six hommes tous taillés comme des pierres sillonnent la France pour assurer la promotion du documentaire « Nous, Tikopia », réalisé par le Breton Corto Fajal. « Le roi est le protecteur spirituel de son île. Normalement, il n’a pas le droit de la quitter. Mais il a jugé que les dangers qui guettaient ses terres venaient de très loin. Et qu’il était nécessaire de partir pour en parler », explique le réalisateur du film, dont la sortie nationale est prévue le 7 novembre.

« Observer ces sociétés qui ont un autre mode de vie »


Ce mercredi, Corto Fajal a accueilli sur ses terres bretonnes le roi, qui l’a hébergé plusieurs fois sur son île pour permettre la réalisation du documentaire. « Notre modèle de société montre ses limites et il nous faut en inventer un autre. Mais nous n’avons pas la solution. Je veux faire en sorte que nous déplacions notre regard, que nous observions ces sociétés qui ont un autre mode de vie », explique le natif de Combourg (Ille-et-Vilaine).
L'avenir sera caniculaire - Page 2 648x415La délégation d'habitants de l'île de Tikopia et son roi Ti Mano (à droite) lors de leur passage à Rennes, le 31 octobre 2018. - C. Allain / 20 Minutes
Quasiment coupée du monde et privée d’internet, l’île de Tikopia « que personne ne connaît » se sait menacée. La médiatisation soudaine de ce territoire a été acceptée par le roi et son peuple pour « sauver leur île ». Balayée par Zoé, le plus important cyclone jamais enregistré dans le Pacifique, Tikopia avait vu son lac d’eau douce être submergé par la mer fin 2002, rendant son unique réserve d’eau potable inbuvable.

L’île est grignotée par la montée des eaux


Depuis, la montée des eaux a grignoté deux mètres tout autour de l’île. Mais le monde occidental a continué de polluer, de dérégler. « Les saisons ont changé. Nous ne pouvons plus planter comme avant. Ce sont des choses que nous n’avions jamais vues. Nous vivons les conséquences du réchauffement climatique », poursuit Ti Namo.

94L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 13 Nov - 10:31

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Incendies en Californie: «Le changement climatique conduit à des sécheresses plus longues»[/size]

INTERVIEW Le feu a déjà fait au moins 31 victimes dans l’État américain…

Propos recueillis par Nicolas Raffin


 
Publié le 12/11/18 à 16h15 — Mis à jour le 12/11/18 à 16h47
L'avenir sera caniculaire - Page 2 310x190_carcasse-incendiee-voiture-californie
La carcasse incendiée d'une voiture en Californie. — September Dawn Bottoms / /SIPA


  • La Californie est touchée depuis jeudi par d’immenses incendies.
  • Près de 70.000 hectares sont déjà partis en fumée.
  • Ce type d’événement climatique est amené à se reproduire d’année en année.


La Californie n’en finit pas d’être ravagée par les flammes. Depuis la semaine dernière, deux incendies meurtriers, le « Camp Fire » et le « Woolsey Fire » ont poussé de nombreux habitants à fuir leurs maisons. Trente-et-une personnes ont péri dans les flammes et on compte pour le moment 200 disparus. Dans la région de Sacramento, plus de 250.000 personnes ont reçu un ordre d’évacuation.




« Ce n’est pas une nouvelle normalité, ceci est une nouvelle anormalité. Et cette nouvelle anormalité va se poursuivre, sans doute dans les 10 à 15 ou 20 ans », a dit le gouverneur de Californie, Jerry Brown, lors d’une conférence de presse dimanche. Pour Christelle Robert, prévisionniste à Météo France, le contexte météorologique actuel favorise ces grands incendies.

La Californie est frappée depuis plusieurs jours par des incendies. Une telle situation est-elle exceptionnelle pour un mois de novembre ?


Il y a déjà eu des incendies à cette période de l’année en Californie. Ce qui frappe particulièrement, c’est que ce sont les plus dévastateurs de l’histoire de cet Etat. Ils ont été plus mortels que les incendies de 1933 qui avaient fait 29 morts. On a près de 70.000 hectares qui ont été détruits depuis jeudi, c’est environ sept fois la superficie de Paris.

A quoi sont dus ces incendies ?


D’un point de vue météorologique, vous avez une sécheresse qui dure depuis plusieurs mois en Californie, voire même depuis le début de l’année pour ce qui concerne le sud de l’Etat. Les sols sont secs et la végétation aussi. Il y a aussi des hautes pressions sur l’ouest des Etats-Unis qui font que les vents s’assèchent et se réchauffent avant d’arriver sur le sud de la Californie. Ce sont ces vents modérés à forts qui permettent une propagation rapide de l’incendie.

Cela est-il le signe du réchauffement climatique ?


A cause du changement climatique, nous avons des étés globalement plus chauds d’année en année, que ce soit en Europe ou aux Etats-Unis. Donc cela conduit à des sécheresses plus longues, avec moins de précipitations. Ce n’est pas étonnant que dans un contexte de réchauffement climatique, il y ait de plus en plus d’incendies.

95L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Ven 30 Nov - 17:37

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Climat : 2018 serait la 4e année la plus chaude jamais enregistrée[/size]

  • Par  Marc Cherki 
     

  • Mis à jour le 29/11/2018 à 12:14 
     

Sur les dix premiers mois de l'année, la température moyenne est supérieure de près de 1°C par rapport à l'ère préindustrielle, prévient l'Organisation météorologique mondiale.
Juste avant l'ouverture de la COP24, la prochaine réunion annuelle de l'accord-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, à Katowice (Pologne), l'Organisation météorologie mondiale (OMM) a publié un rapport indiquant que 2018 est «en bonne voie de figurer au quatrième rang» des années les plus chaudes, depuis le début des relevés météorologiques, à la fin du 19e siècle.
» LIRE AUSSI - Climat: le CO2 a atteint de nouveaux records de concentration dans l'atmosphère
Sur les dix premiers mois de l'année, la température moyenne à la surface du globe était supérieure de quasiment 1°C par rapport aux valeurs de l'époque préindustrielle. Et les 20 années les plus chaudes ont été enregistrées au cours des 22 dernières années. «Si la tendance se poursuit, la température risque d'augmenter de 3° à 5°C d'ici à la fin du siècle, a indiqué Petteri Taalas, le secrétaire général de l'OMM. Et d'ajouter: «si nous exploitons la totalité des ressources connues en combustibles fossiles, la hausse de la température sera nettement plus importante».
L'année en cours n'atteindra sans doute pas un record absolu, car les premiers mois ont été marqués par un épisode La Niña (température anormalement basse des eaux équatoriales de surface dans le centre et l'est de l'océan Pacifique), de faible intensité, qui s'est poursuivi jusqu'en mars. Lors de la survenue de ce phénomène climatique récurrent, la hausse de la température moyenne est plus modérée. Au contraire, les années marquées par un épisode El Niño (températures anormalement élevées des eaux de surface dans l'est du Pacifique Sud) sont généralement plus chaudes, ce qui pourrait être le cas en 2019.
Par ailleurs, l'OMM note que le niveau moyen de la mer de janvier à juillet 2018 était supérieur d'environ 2 à 3 mm par rapport à la même période de l'an dernier. Et l'agence des Nations unies sur la météorologie relève un nombre impressionnant de catastrophes climatiques extrêmes, avec notamment 70 tempêtes cycloniques dans l'hémisphère nord au 20 novembre, contre 53 en moyenne. D'importantes inondations ont été enregistrées dans le sud de l'Inde, dans l'est de l'Afrique et autour de la Méditerranée.

96L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Lun 14 Jan - 8:07

papy

papy

14.01.2019

Les températures des océans augmentent plus rapidement que les scientifiques ne l’avaient conclu, selon un rapport alarmant publié jeudi.

La recherche, publiée dans la revue Science, indique que les scientifiques ont découvert plusieurs erreurs dans la manière dont les températures des océans étaient mesurées auparavant et que les niveaux de réchauffement observés au cours des dernières décennies étaient en réalité supérieurs à ceux découverts par les scientifiques en 2013.

«De récentes estimations basées sur des observations montrent un réchauffement rapide des océans de la Terre», lit-on dans le rapport. Quatre études indépendantes ont été réalisées pour suivre le contenu calorifique des océans de 1971 à 2010. Le rapport a également révélé que le taux de réchauffement s’était accéléré depuis 1991.

Les océans se réchauffent principalement à cause des gaz à effet de serre

97L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Jeu 28 Mar - 17:17

Josué

Josué
Administrateur

Nous venons de vivre les 5 années les plus chaudes de l'Histoire contemporaine



Cinq instituts de recherche mondiaux confirment une même tendance : les dernières années ont été les plus chaudes de l’Histoire contemporaine. 2018 apparaît ainsi comme la quatrième, d’un classement établi depuis 1880.

L’Australie étouffe, l’Amérique grelotte. 2019 s'annonce encore mouvementée sur le plan climatique. Le funeste point d’orgue d’une tendance amorcée depuis des décennies, et qui n’a fait que s’intensifier ces dernières années : le réchauffement du climat. Pour preuve, l’année écoulée s’est révélée comme la quatrième la plus chaude depuis 1880. Un triste record attesté aussi bien par la NASA que par l’Agence américaine d'observation océanique (NOAA).
"2018 a encore été une année extrêmement chaude, au sommet d’une tendance à long terme de réchauffement mondial", avance Gavin Schmidt, directeur du Goddard Institute for Space Studies (GISS) de la NASA. Pour appuyer ces propos, le GISS révèle une série de chiffres éloquents. 
Des records historiques
Premier d’entre eux : celui des températures mondiales en 2018, en moyenne 0,83 °C supérieures à celles de la période 1951-1980. Autre exemple frappant : les cinq dernières années réunies ont été - prises dans leur ensemble - tout simplement les plus chaudes jamais enregistrées depuis que les relevés existent.
Depuis les années 1880, la température moyenne à la surface du globe a ainsi progressé d’un degré Celsius. En cause selon Gavin Schmidt : nulles autres que les activités humaines, grandes émettrices de gaz à effet de serre.
Des conséquences diverses
Mais comme en témoignent les situations météorologiques antagonistes observées actuellement aux antipodes, le réchauffement se manifeste sous des formes et à des degrés divers selon les régions du monde. Et les conséquences de ces bouleversements revêtent elles-aussi des visages très différents, comme le souligne Gavin Schmidt :


À LIRE AUSSI
Réalité vs Fiction : du "Grand Bleu" à "Pacific Rim", qu'avons-nous à découvrir des abysses ?
"Les conséquences du réchauffement climatique à long terme se font déjà sentir : des submersions côtières, des vagues de chaleur, d’intenses précipitations et des changements dans les écosystèmes ".
Pas étonnant, lorsque l’on apprend que 2018 a marqué la 42e étape d’une hausse des températures ininterrompue depuis 1977. Une tendance confirmée par pas moins de cinq instituts de recherche de par le monde ; et qui apparaît ainsi comme un cinglant revers pour les climatosceptiques. An de grâce 2019, notre maison brûle et certains regardent toujours ailleurs…

Le 7 février 2019 à 17:57 • Benoît Crépin

98L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Lun 17 Juin - 18:01

Josué

Josué
Administrateur

[size=36]Plus de 50°C, rationnement de l'eau, des dizaines de morts : en Inde, une canicule extrême[/size]
L'avenir sera caniculaire - Page 2 Inde-canicule-527388-0@1xNoemi CASSANELLI / AFP
[size=36]International[/size]
[size=31]SÉCHERESSE - Le nord du pays subit sa plus longue canicule des trente dernières années, qui a déjà causé au moins 49 morts en 24h. Les températures dépassent les 50°C et l'eau a été rationnée à New Delhi.[/size]
17 juin 00:06 - La rédaction de LCI
Le nord de l'Inde connaît depuis début juin une canicule particulièrement extrême. Au moins 49 personnes ont péri en 24 heures dans l'Etat de Bihar, ont annoncé dimanche 16 juin les autorités. Les températures dépassent 50°C certains jours dans le Rajasthan, et tournent depuis plusieurs jours autour de 45°C.

99L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Lun 1 Juil - 9:29

samuel

samuel
Administrateur

moins deux villes du Gard ont connu des températures excédent les 45 °C. Une chaleur inconnue jusqu'ici en France.

La canicule semble décidément atteindre son pic de chaleur ce vendredi. La barre des 45 °C a été franchie pour la première fois en France métropolitaine, cet après-midi, avec jusqu'à 45,9 °C enregistrés à 16 h 21 dans la commune de Gallargues-le-Montueux, dans le Gard, soit le nouveau record de chaleur jamais enregistré dans l'Hexagone. Ce département fait partie des quatre placés en vigilance rouge à la canicule.

100L'avenir sera caniculaire - Page 2 Empty Re: L'avenir sera caniculaire Mar 2 Juil - 11:38

papy

papy

Et ce n'est sûrement pas fini,car le mois d'Août et en principe le mois des canicules.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 2 sur 6]

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6  Suivant

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum