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22 oct. Lecture de la Bible : Hoshéa 1-7

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

22 oct. Lecture de la Bible : Hoshéa 1-7
Écrivain : Hoshéa
Lieu de composition : Samarie (District de)
Fin du travail de composition : après 745 av. n. è.
Période qu’embrasse le texte : avant 804-après 745 av. n. è.
LES 12 derniers livres des Écritures hébraïques sont communément appelés en français “ Petits Prophètes ”. Cette appellation semble appropriée, car, groupés, ces livres sont plus brefs qu’Isaïe ou Jérémie. Quoi qu’il en soit, ils ne sont certainement pas petits quant à l’importance. Dans la Bible hébraïque, ils ne formaient qu’un seul volume appelé “ les Douze ”. Cette collection avait probablement pour but de les préserver, car un petit rouleau unique aurait pu aisément se perdre. Comme chacun de ces 12 livres, le premier est nommé d’après son écrivain, Hoshéa, dont le nom est la forme abrégée d’Hoshaïa, qui signifie “ Sauvé par Yah, Yah a sauvé ”.
Le livre d’Hoshéa ne révèle que peu de chose sur son écrivain, si ce n’est qu’il est le fils de Bééri. Ses prophéties concernent presque exclusivement Israël, Juda n’étant mentionné qu’en passant. Alors que Jérusalem n’est pas citée par Hoshéa, Éphraïm, la tribu principale d’Israël, est nommément citée 37 fois, et Samarie, la capitale d’Israël, 6 fois.
Le premier verset du livre nous apprend qu’Hoshéa a servi comme prophète de Jéhovah pendant une période exceptionnellement longue, c’est-à-dire de la fin, environ, du règne de Yarobam II, roi d’Israël, jusqu’au règne de Hizqiya de Juda ; autrement dit depuis avant 804 jusqu’après 745 av. n. è., soit au moins 59 ans. Sa carrière de prophète chevaucha sans doute les règnes de Yarobam II et de Hizqiya. Les autres fidèles prophètes de Jéhovah contemporains d’Hoshéa furent Amos, Isaïe, Mika et Oded. — Amos 1:1 ; Is. 1:1 ; Mika 1:1 ; 2 Chron. 28:9.

Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi Dieu demanda-t-il des comptes à la maison de Yéhou pour ses meurtres, alors que Jéhovah avait fait de Yéhou l’exécuteur de sa volonté ?
Cependant, après les jours de Yéhou, Jéhovah déclara par son prophète Hoshéa : “ Car encore un peu de temps et il me faudra faire rendre des comptes, pour les meurtres de Yizréel, contre la maison de Yéhou, et à coup sûr je ferai cesser la royauté de la maison d’Israël. ” (Ho 1:4). Il n’était pas possible que la maison de Yéhou soit accusée de meurtre pour avoir accompli la mission de détruire la maison d’Ahab, puisque c’est Dieu qui le lui avait ordonné. Ce n’était pas non plus parce qu’il avait tué Ahazia de Juda et ses frères. En effet, par des liens familiaux, et plus précisément par le mariage de Yehoram de Juda, fils du roi Yehoshaphat, avec Athalie, fille d’Ahab et de Jézabel, la lignée royale de Juda était contaminée du fait de l’infiltration de la maison mauvaise d’Omri.
L’explication tient plutôt, semble-t-il, au fait que Yéhou laissa le culte du veau subsister en Israël et qu’il ne marcha pas de tout son cœur dans la loi de Jéhovah. Yéhou en vint probablement à croire que l’unique moyen de conserver l’indépendance vis-à-vis de Juda passait par une séparation religieuse. Comme d’autres rois d’Israël, il chercha à affermir sa position en perpétuant le culte du veau. C’était vraiment là une expression de manque de foi envers Jéhovah, qui avait permis à Yéhou de devenir roi. L’exécution justifiée du jugement de Jéhovah contre la maison d’Ahab mise à part, il se peut donc que les mauvais mobiles qui poussèrent Yéhou à laisser en place le culte du veau l’aient amené également à verser du sang.
Lorsque la maison de Yéhou tomba, le royaume d’Israël perdit sa vraie force et ne subsista encore que 50 ans environ. Seul Menahem, qui abattit Shalloum, le meurtrier de Zekaria, eut un fils comme successeur sur le trône. Ce fils, Peqahia, fut assassiné, puis Péqah, son assassin et successeur, subit le même sort. Hoshéa, dernier roi d’Israël, fut emmené en captivité vers le roi d’Assyrie. — 2R 15:10, 13-30 ; 17:4.

Josué

Josué
Administrateur

Et nous, espérons-nous en la miséricorde de Jéhovah ? Si oui, nous devons considérer la chrétienté pour ce qu’elle est effectivement : une organisation adultère. S’étant souillée avec la religion babylonienne, elle est devenue partie intégrante de Babylone la Grande, l’empire mondial de la fausse religion, dont elle partagera le sort : la destruction lors de la “grande tribulation” prochaine. Nous ne voulons pas être du nombre de ses “enfants de fornication”. Alors, conscients d’être l’objet de la miséricorde de Jéhovah, nous agirons conformément au commandement qu’il donna ensuite :
“Dites à vos frères : ‘Mon peuple !’ et à vos sœurs : ‘Ô femme à qui l’on a fait miséricorde [hébreu : Ô Ruhamah] !’ Soutenez un procès contre votre mère ; soutenez un procès, car elle n’est pas mon épouse et je ne suis pas son époux. Et elle devra écarter de devant elle sa fornication et d’entre ses seins ses actes d’adultère, pour que je ne la déshabille pas toute nue, et que je ne la place pas là comme au jour de sa naissance, et que je ne la mette pas comme un désert, et que je ne la place pas là comme une terre aride, et que je ne la fasse pas mourir de soif. Et à ses fils je ne ferai pas miséricorde, car ce sont les fils de la fornication. Car leur mère a commis la fornication. Celle qui a été enceinte d’eux a agi honteusement, car elle a dit : ‘Je veux aller derrière ceux qui m’aiment passionnément, ceux qui donnent mon pain et mon eau, ma laine et mon lin, mon huile et ma boisson.’” — Osée 2:1-5.

Josué

Josué
Administrateur

Toutefois, bien que l’Église catholique ait proclamé 1975 année sainte et malgré les prétentions et les réveils religieux de la chrétienté, celle-ci est condamnée à être détruite au cours de la “grande tribulation” qui s’abattra prochainement sur le présent monde impie. Cependant, dans son amour miséricordieux, Jéhovah a fait sortir un reste d’Israélites spirituels repentants hors de la chrétienté babylonienne, afin qu’ils ne soient pas détruits avec elle (Rév. 18:4). Outre ces Israélites spirituels, une “grande foule” d’autres personnes, comparées à des brebis, sont sorties, elles aussi, de la chrétienté, et profitent de la grande miséricorde que Jéhovah leur témoigne depuis 1935. Elles sont sorties de toutes les parties de Babylone la Grande et se sont jointes au reste pour vouer un attachement exclusif à Jéhovah. — Rév. 7:9-17 ; Jean 10:16.

Josué

Josué
Administrateur

Pour saisir plus pleinement la similitude entre la vie familiale d’Hoshéa et les relations d’Israël avec Jéhovah, arrêtons-nous sur ces paroles : “ Puis Jéhovah me dit : ‘ Va de nouveau, aime une femme aimée d’un compagnon et commettant l’adultère. ’ ” (Hoshéa 3:1). Hoshéa s’est exécuté en rachetant Gomer à l’homme avec qui elle vivait. Ensuite, Hoshéa a rappelé fermement sa femme à ses devoirs : “ Pendant de longs jours tu resteras là comme mienne. Tu ne dois pas commettre la fornication, et tu ne dois pas appartenir à un autre homme. ” (Hoshéa 3:2, 3). Gomer s’est laissé discipliner, et Hoshéa a repris la vie commune avec elle. Quel pendant cet épisode a-t-il eu dans l’attitude de Dieu envers les habitants d’Israël et de Juda ?
Tandis que les exilés d’Israël et de Juda étaient captifs à Babylone, Dieu s’est servi de ses prophètes pour ‘ parler à leur cœur ’. Dieu leur ferait miséricorde à la condition qu’ils manifestent du repentir et reviennent à leur Propriétaire-Époux, tout comme Gomer était revenue à son mari. Alors, Jéhovah ferait sortir sa nation-épouse, une fois disciplinée, du “ désert ” babylonien et la ramènerait en Juda et à Jérusalem (Hoshéa 2:14, 15). Dieu a accompli cette promesse en 537 avant notre ère.

Josué

Josué
Administrateur

6:1-3 — Qui disait : “ Venez et revenons à Jéhovah. ” Peut-être des Israélites infidèles se sont-ils encouragés mutuellement à revenir à Jéhovah. Dans ce cas, leur repentance n’était qu’apparente. Leur bonté de cœur était aussi brève et fuyante que “ les nuages du matin et [...] la rosée qui s’en va de bonne heure ”. (Hoshéa 6:4.) Cela étant, peut-être était-ce Hoshéa qui suppliait le peuple de revenir à Jéhovah. Quoi qu’il en soit, les habitants du royaume des dix tribus d’Israël devaient faire montre d’une véritable repentance et revenir réellement à Jéhovah.

Josué

Josué
Administrateur

Jéhovah déclara par l’intermédiaire du prophète Hoshéa : “ Éphraïm est devenu un gâteau rond qu’on n’a pas retourné. ” (Ho 7:Cool. Éphraïm (Israël) s’était mêlé aux peuples païens, avait adopté leurs coutumes et recherchait des alliances avec les nations païennes ; par conséquent, il ressemblait à un gâteau non retourné. Il n’était pas rare de faire cuire les gâteaux sur des cendres ou des pierres chaudes. Si on ne les retournait pas, ces gâteaux pouvaient être cuits, voire brûlés, d’un côté, et pas du tout cuits de l’autre.
Lors de la célébration de la Pâque en Israël, on devait manger des “ gâteaux sans levain ” (pains sans ferment, sans levain [azymes] ; héb. : matstsôth), et la “ fête des Gâteaux sans levain ” était associée à cette célébration (Ex 12:8, 15, 17-20 ; 13:3-7 ; 23:15 ; 34:18 ; Dt 16:3, 8, 16). Les Israélites devaient présenter, entre autres offrandes à Jéhovah Dieu, des gâteaux en forme de couronne, sans levain, arrosés d’huile, ou des galettes sans levain frottées d’huile (Lv 2:4-7, 11, 12). Dans la loi sur les sacrifices de communion qu’il fallait présenter à Jéhovah, il était prévu d’offrir des gâteaux de pain levé en forme de couronne. — Lv 7:13.

samuel

samuel
Administrateur

pourquoi en forme de couronne ?

Josué

Josué
Administrateur

Certains commentateurs ont qualifié Yoël de prophète de malheur. Cependant, pour le peuple de Dieu, il apparaît comme l’annonciateur de grandes nouvelles de délivrance. C’est ce que souligne l’apôtre Paul en Romains 10:13, où nous lisons : “ Car ‘ tout homme qui invoquera le nom de Jéhovah sera sauvé ’. ” (Yoël 2:32). La prophétie de Yoël a connu un remarquable accomplissement le jour de la Pentecôte 33 de n. è. Ce jour-là, Pierre, divinement inspiré, a expliqué que l’effusion de l’esprit de Dieu sur les disciples de Christ réalisait la prophétie de Yoël (Actes 2:1-21 ; Yoël 2:28, 29, 32). Pierre a particulièrement mis l’accent sur le sens prophétique des paroles de Yoël : “ Et tout homme qui invoquera le nom de Jéhovah sera sauvé. ” — Actes 2:21, 39, 40.
Il y a de grandes similitudes entre la plaie de sauterelles décrite par Yoël et celle prophétisée en Révélation, chapitre 9 : le soleil s’assombrit, les sauterelles ont l’aspect de chevaux préparés pour la bataille, leur bruit est semblable à celui de chars et leurs dents sont comme celles des lions (Yoël 2:4, 5, 10 ; 1:6 ; Rév. 9:2, 7-9). La prophétie de Yoël (2:31) relative au soleil qui se change en ténèbres est un événement qui trouve des parallèles en Isaïe 13:9, 10, en Révélation 6:12-17 et en Matthieu 24:29, 30, où, selon Jésus, cette prophétie s’applique à l’époque de la venue du Fils de l’homme avec puissance et grande gloire. Il semble que Malaki (4:5) ait fait référence aux paroles consignées en Yoël 2:11, savoir “ le jour de Jéhovah est grand et très redoutable ”. Tsephania 1:14, 15 fait également une description parallèle de ce ‘ jour de ténèbres et d’obscurité ’. — Yoël 2:2.
La prophétie de la Révélation annonce “ le grand jour ” de la colère divine (Rév. 6:17). Yoël aussi prophétise à ce sujet, montrant que lorsque viendra le grand “ jour de Jéhovah ” sur les nations, ceux qui invoqueront Jéhovah pour obtenir protection et délivrance ‘ s’en tireront sains et saufs ’. “ Jéhovah sera un refuge pour son peuple. ” La prospérité édénique sera restaurée : “ Oui, il arrivera, en ce jour-là, que les montagnes dégoutteront de vin doux et les collines ruisselleront de lait, et tous les lits des cours d’eau de Juda ruisselleront d’eau. Une source sortira de la maison de Jéhovah. ” Tout en formulant ces merveilleuses promesses de restauration, Yoël magnifie la souveraineté de Jéhovah Dieu et lance cet appel à ceux qui ont le cœur sincère, faisant valoir la grande miséricorde divine : “ Revenez à Jéhovah votre Dieu, car il est compatissant et miséricordieux, lent à la colère et abondant en bonté de cœur. ” Quiconque répondra à cet appel d’inspiration divine moissonnera des bienfaits éternels. — Yoël 2:1, 32 ; 3:16, 18 ; 2:13.

Josué

Josué
Administrateur

samuel a écrit:pourquoi en forme de couronne ?
Chez les Hébreux et d’autres peuples orientaux de l’Antiquité, on donnait souvent au pain, pour le cuire, la forme d’un disque plat, et il n’était pas rare de le qualifier de “ gâteau ”. Toutefois, il existait des gâteaux de différentes formes. Par exemple, on fit des “ gâteaux en forme de couronne ” (héb. : ḥallôth) lors de l’installation de la prêtrise d’Israël (Ex 29:2, 23), et Tamar prépara des “ gâteaux en forme de cœur ”. (Héb. : levivôth ; 2S 13:8, note ; voir PAIN.) Abraham dit à Sara de faire des “ gâteaux ronds ” (héb. : ʽoughôth) pour les anges matérialisés qui lui rendirent visite. — Gn 18:6 ; voir aussi Nb 11:8 ; 1R 19:6 ; Éz 4:12.
Jéhovah déclara par l’intermédiaire du prophète Hoshéa : “ Éphraïm est devenu un gâteau rond qu’on n’a pas retourné. ” (Ho 7:Cool. Éphraïm (Israël) s’était mêlé aux peuples païens, avait adopté leurs coutumes et recherchait des alliances avec les nations païennes ; par conséquent, il ressemblait à un gâteau non retourné. Il n’était pas rare de faire cuire les gâteaux sur des cendres ou des pierres chaudes. Si on ne les retournait pas, ces gâteaux pouvaient être cuits, voire brûlés, d’un côté, et pas du tout cuits de l’autre.
Lors de la célébration de la Pâque en Israël, on devait manger des “ gâteaux sans levain ” (pains sans ferment, sans levain [azymes] ; héb. : matstsôth), et la “ fête des Gâteaux sans levain ” était associée à cette célébration (Ex 12:8, 15, 17-20 ; 13:3-7 ; 23:15 ; 34:18 ; Dt 16:3, 8, 16). Les Israélites devaient présenter, entre autres offrandes à Jéhovah Dieu, des gâteaux en forme de couronne, sans levain, arrosés d’huile, ou des galettes sans levain frottées d’huile (Lv 2:4-7, 11, 12). Dans la loi sur les sacrifices de communion qu’il fallait présenter à Jéhovah, il était prévu d’offrir des gâteaux de pain levé en forme de couronne. — Lv 7:13.
Après que l’arche de l’alliance fut apportée à Jérusalem, David “ distribua en outre à tout le peuple, à toute la foule d’Israël, à l’homme comme à la femme, à chacun un gâteau de pain en forme de couronne [héb. : ḥallath], un gâteau de dattes [héb. : ʼèshpar] et un gâteau de raisins secs [héb. : ʽashishah], puis tout le peuple s’en alla, chacun à sa maison ”. (2S 6:19.) Le gâteau de raisins était fait de raisins secs pressés. Toutefois, il se peut que certains gâteaux de raisins des temps anciens aient été faits de raisins et de farine.
À l’époque de Jérémie, le peuple de Juda et de Jérusalem pratiquait le faux culte et les femmes ‘ pétrissaient de la pâte pour faire des gâteaux sacrificiels à la “ reine des cieux ” ’. (Jr 7:18.) Jérémie 44:19 parle également de cette fausse divinité et des “ gâteaux sacrificiels ” (héb. : kawwanim) faits à son intention. La composition de ces gâteaux sacrificiels est incertaine, mais ils étaient sans doute déposés sur l’autel en offrande. — Voir REINE DES CIEUX.
La Bible mentionne d’autres sortes de gâteaux : les ‘ gâteaux de figues serrées [ou sèches] ’ (héb. : devélim [1S 30:12 ; Is 38:21]), le “ gâteau sucré ” (héb. : lashadh ; Nb 11:Cool, les “ gâteaux plats ” (héb. : tsappiḥith ; Ex 16:31), le “ gâteau rond ” (héb. : tseloul ; Jg 7:13), les “ gâteaux de raisins ” (héb. : tsimmouqim ; 1S 25:18) et les “ gâteaux saupoudrés ”. (Héb. : niqqoudhim ; 1R 14:3.) Le terme grec azumos signifie “ sans levain, azyme ”, et c’est sa forme neutre au pluriel qui est utilisée pour parler des “ gâteaux sans levain ” et de la “ fête des Gâteaux sans levain ”. — 1Co 5:8 ; Mc 14:1.

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