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Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה.

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Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה. C'est là une évidence qu'une superstition postérieure a fait sombrer dans l'oubli. Non contents d'employer couramment le nom divin, les Hébreux l'incluaient dans de nombreux noms propres (dits noms théophores), tels Jean (יוחנן, Yohanan), Jérémie (ירמיהו, Yirmeyahou), Isaïe (ישעיהו, Yeshayahou), etc.
Les serments étaient prononcés via l'expression חי־יהוה, qui signifie littéralement "vie de YHWH", "aussi vrai que YHWH est vivant" (cf. par ex. Juges 8:19 ; voir aussi Matthieu 26:63) . C'est tout à fait comparable aux expressions modernes "sur la tête de..." !
Par ailleurs la Bible encourageait à employer le nom (cf. Deutéronome 6:13, 10:20) et condamnait ceux qui ne le faisaient pas (Jérémie 10:25).
De fait, la superstition voulant proscrire l'usage du Nom a émergé d'une interprétation erronée de deux versets : Exode 20:7 et Lévitique 24:16. Or l'expression d'Ex. 20:7 לשׁוא, généralement traduite par "en vain", signifie "à l'appui du mensonge", "en mentant" (cf. aussi Lévitique 19:12)
Dieu ordonnait donc de ne pas employer son Nom dans un serment mensonger ; il n'ordonnait pas de ne pas employer son Nom.


VENT

VENT
MODERATEUR
MODERATEUR

philippe83 a écrit:Bonsoir Vent.
Sache que ce que j'ai avancé est confirmé par le CC.
Si tu possèdes le livre "toute Ecriture est inspiré et utile" va en page 92 para 2 et tu auras confirmation de ce que je dis.
Sert toi aussi de la TMN avec notes et références et regarde dans le livre d'Esther les notes correspondantes au versets ci-dessus et tu constateras que ce n'est pas tiré par les cheveux.
Bonne lecture et bonne soirée frérot.
A+

Bonjour philippe83

Ok merci

Je vais faire des recherches pour vérifier qu'il en est bien ainsi et surtout comprendre la raison de cette façon de procéder pour nommer le nom de Dieu sans qu'il soit visible des autres dans le récit d'Esther.

A+ Wink 

VENT

VENT
MODERATEUR
MODERATEUR

philippe83 a écrit:Et encore par un procédé d'acrostiche inversé on peux retrouver dans ce livre le tétragramme HWHY.
Par exemple en Esther 1:20,5:4,13 et 7:7.

Voici le premier en Esther 1:20:"""""il(...)et toutes les femmes rendront"""" se traduit par:""(H)i (W)ekhol-(H)annashim (Y)ittenou"" remarquez le tetragramme renversé HWHY.
C'est ici le premier de quatre acrostiches du nom de "Jéhovah" surlequel la massore attire l'attention par des lettres en rouge.

Des traducteurs pointilleux au texte le reconnaissent dans leur notes.
Par exemple la version très respectée dans le milieu évangélique protestant anglais à savoir The Companion Bible en page 86 de son appendix N°60.

Ok philippe

En attendant que je vérifie ce procédé employer pour désigner le tétragramme, je me pose la question si ça n'a pas été mis en place suite à la persécution ordonné par Haman contre Esther et contre le peuple Juif par extention ?  

Le nom de Dieu n'aurait donc pas été suprimé pour raison de superstition dans le récit d'Esther mais pour raison de persécution, d'où l'utilité de mentionné le nom de Dieu sous forme de code secret en quelque sorte qui ne pouvait être décodé que par les Juifs qui recevaient les lettres d'Esther mais inexploitable pour leurs ennemis si l'une de c'est lettre tombait entre leurs mains ?

Josué

Josué
Administrateur

Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה. - Page 3 Zamora11
Commentaire de Zamora sur le tétragramme.

VENT

VENT
MODERATEUR
MODERATEUR

Oui on lit bien le nom de JEHOVAH mais d'où vient ce commentaire ?

Josué

Josué
Administrateur

tien un article sur cette personne.
*** w11 1/12 p. 18-21 Le nom divin et les travaux d’exégèse d’Alphonse de Zamora ***
Le nom divin et les travaux d’exégèse d’Alphonse de Zamora
“ NOUS ordonnons [...] que tous les Juifs et Juives [...], résidant en nos domaines et territoires, partent avec leurs fils et filles, leurs domestiques et parents, grands et petits, quel que soit leur âge, d’ici la fin de juillet de cette année, et qu’ils n’osent pas revenir sur nos terres. ” Ce décret de 1492 était signé de Ferdinand et Isabelle, le roi et la reine d’Espagne.
L’arrêté d’expulsion ne laissait guère de choix aux Juifs : soit ils reniaient leur religion, soit ils partaient en exil. Le rabbin Juan de Zamora a certainement estimé préférable de se convertir au catholicisme pour rester en Espagne, où sa famille était installée depuis plusieurs générations. En raison de ses racines juives, Juan a sans doute envoyé son fils Alphonse suivre les cours de la célèbre école d’études hébraïques de Zamora. Alphonse s’appropriera ensuite également le latin, le grec et l’araméen. À la fin de ses études, il est devenu professeur d’hébreu à l’université de Salamanque. Peu de temps après, ses talents de linguiste vont profiter aux biblistes de toute l’Europe.
En 1512, il a obtenu la chaire d’études hébraïques de la nouvelle université d’Alcalá de Hénarès ; il est reconnu comme un des plus grands érudits de son temps. Le cardinal Jiménez de Cisneros, fondateur de cette université, l’a associé aux travaux de la Polyglotte de Complute. Cette bible monumentale en six volumes contiendra le texte sacré en hébreu, en grec et en latin, avec quelques portions en araméen.
Comme le rappelle le bibliste Mariano Revilla Rico, “ des trois Juifs convertis qui ont coopéré à l’ouvrage du cardinal [Cisneros], le plus réputé pour ses compétences est Alphonse de Zamora, grammairien, philosophe et spécialiste du Talmud, mais également familier du latin, du grec, de l’hébreu et de l’araméen ”. De par ses études, Zamora avait acquis la conviction que pour produire une traduction exacte de la Bible, il fallait posséder une parfaite maîtrise des langues originales. Et de fait, il devint l’un des principaux artisans du renouveau de l’exégèse biblique, science qui connut un nouvel essor à partir du début du XVIe siècle.
Zamora avait cependant la mauvaise fortune de vivre dans une région et un contexte peu favorables à l’exégèse biblique. En effet, l’Inquisition espagnole faisait rage ; de plus, l’Église vouait une vénération sans bornes à la Vulgate, traduction latine de la Bible devenue la seule version “ autorisée ”. Dès le Moyen Âge, pourtant, des savants catholiques avaient décelé que cette traduction était tout sauf parfaite. En ce début de XVIe siècle, Alphonse de Zamora et les autres biblistes engagés dans le projet du cardinal allaient concourir à sa remise en question.
Sans traduction, point de salut
Des divers travaux d’exégèse de Zamora, le plus éloquent est sans aucun doute l’édition du texte hébreu de ce que l’on appelle couramment l’Ancien Testament, assorti de sa traduction en latin. Zamora avait probablement à l’esprit que ce texte serait largement repris dans la Polyglotte de Complute en gestation. Un de ses manuscrits, référencé G-I-4, est conservé à la bibliothèque du palais de l’Escurial, près de Madrid. Il s’agit d’une version interlinéaire, qui contient l’intégralité du texte hébreu de la Genèse accompagné d’une traduction mot à mot en latin.
L’auteur s’en explique ainsi dans la préface : “ Le salut des nations passe nécessairement par la traduction des Saintes Écritures dans d’autres langues. [...] Nous avons estimé qu’il était [...] indispensable que les fidèles disposent d’une traduction mot à mot de la Bible, faisant correspondre à chaque mot hébreu un équivalent latin. ” Alphonse de Zamora possédait les compétences requises pour entreprendre cette traduction nouvelle, car il était un hébraïsant éminent.
“ Je ne puis trouver de havre pour mon esprit ”
S’il est au moins un aspect favorable aux travaux d’un bibliste comme Zamora dans l’Espagne du XVIe siècle, c’est qu’au Moyen Âge le pays était devenu un haut lieu de la culture juive. Citons l’Encyclopædia Britannica : “ Accueillant de fortes populations musulmanes et juives, l’Espagne médiévale était le seul pays multiracial et multireligieux d’Europe occidentale. C’est à cette mixité que la civilisation espagnole devait en grande partie son avancée dans les domaines de la religion, de la littérature, des arts et de l’architecture. ”
Du fait de la forte implantation juive en Espagne, on trouvait facilement des manuscrits hébreux de la Bible. Dans de nombreux endroits du pays, des scribes juifs avaient minutieusement recopié ces manuscrits destinés à la lecture publique dans les synagogues. Dans son livre Éditions anciennes de la Bible hébraïque (angl.), Lazarus Goldschmidt fait remarquer que “ les exégètes juifs prisaient pour leur exactitude tant les éditions imprimées hispano-lusitaniennes du Pentateuque que les manuscrits dont ces bibles et les polyglottes savantes avaient repris le texte ”.
Mais ces quelques avantages ne nous auront pas fait oublier que les traducteurs en puissance de cette époque risquaient parfois gros. En 1492, les armées catholiques du roi Ferdinand et de la reine Isabelle ont repris la dernière enclave maure d’Espagne. Comme indiqué plus haut, cette même année, le couple royal a émis un décret expulsant du royaume tous les pratiquants du judaïsme. Dix ans auparavant, les musulmans avaient déjà subi le même sort. Le catholicisme devenait la religion officielle d’Espagne et les autres religions étaient interdites.
Comment allait s’en ressentir la traduction de la Bible ? La vie d’Alphonse de Zamora reste à cet égard un cas d’école. La hiérarchie espagnole n’a jamais réussi à fermer les yeux sur les origines de ce converti juif. Certains ont reproché au cardinal Cisneros d’avoir fait appel à des convertis juifs pour la préparation de sa bible polyglotte. Ces attaques ont été pour Zamora un crève-cœur. Dans le commentaire d’un manuscrit conservé à l’université de Madrid, Zamora se lamente : “ Je suis abandonné et haï par tous mes amis, qui sont devenus mes ennemis. Je ne puis trouver de havre ni pour mon esprit ni pour la plante de mes pieds. ”
Un de ses pires adversaires fut Juan Tavera, l’archevêque de Tolède, qui allait plus tard être nommé inquisiteur général. Dépité par les attaques de Tavera, Zamora avait fini par en appeler au pape lui-même. Dans sa missive, il écrivait : “ Nous sollicitons et implorons votre Sainteté de nous aider [...] et de nous garder de notre ennemi l’évêque de Tolède, Don Juan Tavera. Chaque jour, sans répit, il nous cause d’innombrables et pénibles afflictions. [...] Nous sommes réellement dans une grande angoisse, car nous ne sommes à ses yeux guère plus que des bêtes destinées à l’abattoir. [...] Si cette supplique trouve faveur auprès de votre Sainteté, ‘ Yahvé sera ton assurance et il préservera ton pied de la capture ’. ”
L’héritage d’Alphonse de Zamora
Malgré ces attaques, Zamora a poursuivi ses travaux fructueux dont ont tiré profit de nombreux étudiants de la Bible. Même s’il n’a jamais traduit les Écritures dans les langues vernaculaires de son époque, il a rendu un précieux service à d’autres traducteurs. Pour prendre la mesure de sa contribution, il faut se souvenir que la traduction biblique dépend invariablement de deux catégories de spécialistes. Les premiers étudient les copies des écrits sacrés dans les langues originales (l’hébreu, l’araméen et le grec) et éditent dans ces langues un texte amendé et plus exact. Les seconds sont les traducteurs qui s’appuient ensuite sur ces travaux pour élaborer des traductions dans les langues vernaculaires.
Alphonse de Zamora a joué un rôle de premier plan dans la préparation et l’amélioration du texte hébreu publié dans la Polyglotte de Complute en 1522. (Sont également de sa main l’index latin-hébreu et la grammaire hébraïque figurant dans le même ouvrage ; eux aussi ont facilité le travail des traducteurs.) Érasme, qui fut contemporain de Zamora, a entrepris un travail similaire sur les Écritures grecques chrétiennes, communément appelées le Nouveau Testament. À la suite de la diffusion de ces éditions affinées des textes hébreu et grec, d’autres traducteurs ont pu s’atteler à leur mission essentielle : mettre à la disposition du public des versions de la Bible dans les langues usuelles. Quand William Tyndale a traduit la Bible en anglais, il a été l’un des premiers traducteurs à tirer profit du texte hébreu de la Polyglotte de Complute.
La Bible connaît aujourd’hui une large diffusion ; cela est dû en partie à des hommes comme Zamora, qui par le labeur de toute une vie nous ont permis de mieux connaître les Écritures. Zamora avait bien saisi que pour espérer être sauvés les humains ont besoin de comprendre la Parole de Dieu et doivent s’y conformer (Jean 17:3). Mais pour cela, il leur faut disposer de traductions de la Bible dans des langues accessibles, car c’est à cette seule condition que son message peut toucher le cœur.

VENT

VENT
MODERATEUR
MODERATEUR

Vraiment stupéfiant tout ce travail pour que la bible arrive jusqu'à nous et en plus dans notre langue, que demander de plus ?

Merci pour cet article Smile

Josué

Josué
Administrateur

Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה. - Page 3 Le-livre-juif-001-457adc6
dans ce livre voilà  ce qui est dit concernant le no m de Dieu.
Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה. - Page 3 Le_nom14
Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה. - Page 3 Le_nom15

chico.

chico.

C'est quand même un comble d'en arrivé la et d'écrire Dieu seulement avec un D majuscule.

Josué

Josué
Administrateur

Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה. - Page 3 Ylohim11
encyclopédie biblique.

Josué

Josué
Administrateur

Traduction du MN Exode 3 :13 הוּא עָלָה לְהַר וְקָרָא אֵלָיו אֶת הָאֲנָשִׁים שֶׁרָצָה בָּהֶם, וְהֵם בָּאוּ אֵלָיו. 14 אָז הֵקִים קְבוּצָה בַּת שְׁנֵים־עָשָׂר אִישׁ, שֶׁאוֹתָם כִּנָּה שְׁלִיחִים, כְּדֵי שֶׁיִּתְלַוּוּ אֵלָיו וְשֶׁיִּשְׁלַח אוֹתָם לְבַשֵּׂר 15 וְשֶׁתִּהְיֶה לָהֶם סַמְכוּת לְגָרֵשׁ שֵׁדִים.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Salut Jo.
Es-tu sur que ce sont les passages d'Exode 3? Car dans ton renvoie au verset 15 on ne trouve pas le tétragramme alors que le texte hébreu le contient. Je ne vois pas non plus la phrase:" Ehyèh asher Ehyèh"(je serai ce que je serai).
Tiens-moi au courant stp surtout que tu nous dit que cela vient de la TMN;
a+

Josué

Josué
Administrateur

Je pense  car je les copier hier sur le site .mais tu me met un doute.

Josué

Josué
Administrateur

Le Troisième Commandement
Les deux moitiés de ce Nom sont aujourd’hui des marques d’affirmation en allemand, “Ja !”, et en français, “Oui !”, mais il faut les imaginer dites d’un seul souffle, comme deux fiancés répondant simultanément en ces deux langues au célébrant de leur mariage. Imaginer seulement, car personne ne sait comment ce Nom se prononce, si même il se prononce. Moïse tira en effet une conséquence prodigieuse de l’Unicité de Dieu, l’interdiction absolue de prononcer Son Nom. Ce n’est pas une superstition : prononcer le Nom de Dieu, c’est reconnaître qu’il y a autant de dieux qu’il y a de prononciations.
Cette affaire est si importante que Moïse en fit le troisième pilier du monothéisme, à savoir le Troisième des Dix Commandements. Le premier est l’affirmation “Je suis YHWH ton Elohim (…)“, le second est une longue négation de tout autre dieu : “Tu n’auras pas d’autres Elohim devant Ma face (…)“. Vient le Troisième (Exode 20, 7) : “Tu ne prononceras pas en vain le Nom de YHWH ton Elohim (AT-SM-YHWH ALHYK, Ète-Chem-Adonaï Elohéykha); car YHWH ne laisse pas impuni celui qui prononce son Nom en vain“.
Bien sûr, les traductions de l’hébreu LA TSA, Lo Tissa divergent (Voir A 30 : “le Troisième Commandement“). D’aucuns disent “Tu ne porteras pas… “, d’autres “Tu n’invoqueras pas…” Toujours est-il que la pratique juive est de ne jamais prononcer “Yahvé” ni “Jehovah” et de toujours prononcer autrement, souvent Adon-Aï, “Mon Seigneur”, proche du dieu égyptien Aton et du dieu grec Adonis, mais aussi HaQadosh, “le Saint”, ou encore AL-SDY, El-Shadday, “Dieu Tout-puissant”. Adonaï est surtout en usage à la synagogue et dans les prières et bénédictions quotidiennes. Dans l’usage courant contemporain, en Israël et en Diaspora, YHWH se prononce aussi HaChem, “le Nom”. On fait souvent suivre la prononciation choisie d’une formule de révérence, comme “Baroukh Hou“, béni soit-Il, d’où l’appellation fréquente de YHWH, HaQadosh-Baroukh-Hou, “le Saint-béni-soit-Il”.
Une fois ces précautions élémentaires prises, reste à comprendre que le Troisième Commandement vise le blasphème, l’injure faite au Nom de YHWH, prononcé “en vain”, “pour le mensonge” dit la traduction du Rabbinat. Cette injure consiste en quelque sorte à “dé-finir” Dieu, c’est-à-dire à en faire un concept fini, résumé en un nom, alors que Sa caractéristique fondamentale est d’être “in-fini”, et même transcendant à toute “dé-finition”. La formule “YHWH ne laisse pas impuni (celui qui blasphème)” indique à la fois que le blasphème contient sa propre punition, et qu’il est impossible de s’en repentir. Le blasphémateur s’isole, par le fait même, de toutes les autres créatures. Il reste un blasphémateur, quoi qu’il dise ou fasse pour s’en affranchir, jusqu’à ce qu’il voit “le sol s’ouvrir sous ses pas”, comme le rebelle Coré, QRE, Qora’h, qui se rebelle contre l’autorité de Moïse au chapitre 16 du Livre des Nombres et qui est finalement englouti par la terre.
Un cas particulier est celui de l’antisémite (anti-Chem-ite) qui, au lieu de s’en prendre au Nom, au Chem, YHWH, s’en prend à son dérivé YHWDY, Yehudi, “Jéhovien”, dont la langue allemande a fait ”Jud“, et la langue française “Juif”. Tout jugement enfermant les Juifs dans un qualificatif, fût-il élogieux, risque le blasphême, a fortiori s’il est péjoratif. La qualité de Juif n’empêche rien, comme le montre le cas récent de l’historien israélien Shlomo Sand, auteur de “Comment le peuple juif fut inventé” (traduit de l’hébreu, Fayard, 2008). Le processus habituel est que le blasphémateur antisémite, immédiatement dénoncé comme tel, voit dans les mesures d’isolement prises contre lui une justification de ses injures, et les réitère “indéfiniment”, jusqu’à ce qu’il résolve à … changer de nom, possibilité interdite à YHWH, béni-soit-Il.
Personnes morales
Parallèlement à YHWH, Moïse utilise le nom ALHYM, Elohim, parfaitement prononçable, lui. Quoique de forme plurielle - le suffixe YM est la marque du pluriel masculin en hébreu, - c’est un singulier, qu’on peut rendre par “La Totalité des dieux”. Il est vraisemblable que Elohim ait donné le “Allah” arabe, mais aussi le “Ille” latin, d’où vient notre pronom personnel “Il”. On peut donc rendre Elohim par “Il”, comme dans l’expression “Béni-soit-Il”, ou mieux, par “Ils”, comme quand on fait familièrement allusion à des forces qui nous dépassent : “Qu’est-ce qu’ils ont encore manigancé ?”
C’est Elohim qui crée le monde dans le premier chapitre de la Genèse. Pour la Création de l’Homme apparaît le Nom double, YHWH-ALHYM (Genèse 2, 4). Ensuite les deux Noms sont utilisés alternativement, mais non pas indifféremment. C’est faire injure au fondateur du monothéisme que de parler, comme le fait l’”hypothèse documentaire”, d’un “document yahviste” et d’un “document élohiste”. Comme si Edmond Dantès et le Comte de Monte-Cristo avaient été imaginés par deux auteurs différents ! De même, s’il y a deux récits de la Création, c’est que la conception d’un enfant peut être décrite du point de vue des parents ou de celui de l’enfant conçu, bien que ce soit la même conception.
Le recours à la notion de personne morale, qui nous est familière, permet d’approcher la différence entre Elohim et YHWH. Une personne morale, des entreprises de toutes tailles jusqu’aux États souverains, peut notamment “ester en justice”. Elle représente à la fois des gens décédés et des gens qui ne sont pas encore nés, puisqu’elle est censée survivre à ceux qui la composent aujourd’hui. Elohim est la “personne morale” représentative de la totalité du genre humain, de la totalité des humains déjà nés, non compris soi-même. Elohim nous est extérieur. Tandis que YHWH, au Nom imprononçable, représente tous les hommes déjà nés et à naître, y compris soi-même. YHWH nous inclut. “Écoute Israël, YHWH et Elohim ne font qu’UN”.
Le mot ETAT, en français, a quatre lettres, comme le Tétragramme Yod Hé Vav Hé, et ses deuxième et quatrième lettres sont identiques, le T pour Etat, le Hé pour YHWH. Au delà de cette analogie formelle, l’essentiel est que le mot Etat et le Tétragramme imprononçable sont chacun, dans leurs langues respectives, de la famille du verbe « Être ». YHWH est souvent traduit par « Celui Qui était, Qui est et Qui sera » avec force majuscules, et l’Etat, avec une majuscule, est en effet une personne morale qui non seulement préexistait à notre naissance et survivra à notre mort, mais dont une des fonctions est précisément d’enregistrer notre naissance et notre décès, et de développer toutes sortes de conséquences de notre venue au monde puis de notre présence dans notre famille et dans la société, et aussi tard que possible, de la gestion de nos restes, de notre héritage et de la trace, aussi ténue soit-elle, que nous laissons derrière nous.
Dans l’épisode du ”Buisson ardent” (Exode 3, 13-14), “Moïse dit à l’Elohim : “Or, je vais trouver les enfants d’Israël et je leur dirai: Le Dieu de vos pères m’envoie vers vous… S’ils me disent: “Quel est son nom?” (MH SMW, Mah Chemo?) que leur dirai-je ?”. Elohim dit à Moïse: “Je suis Celui Qui suis (AHYH ASR AHYH Ehyé Acher Ehyé), ” Et il ajouta: “Ainsi diras-tu aux enfants d’Israël: “Je suis” (AHYH, Ehyé) m’a envoyé vers vous.” (Voir A 31 : Je serai Qui Je serai)
Genèse 1, 27 : “Elohim crée l’Adam à son image, il le crée à l’image d’Elohim, il le crée mâle et femelle”.
René Descartes (1637) : “Je pense, donc je suis”. “Cogito ergo sum“.
http://www.hemmelel.fr/blog/2012/01/11/17-le-nom-imprononcable/

Josué

Josué
Administrateur

Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה. - Page 3 Msse_s10
Le Monde grec ancien et la Bible
Par Claude Mondésert

Josué

Josué
Administrateur

900+ noms et titres de Dieu
J'ai copié a partir de la lettre J seulement
Jaloux ( Qanna ' - Exode 34:14 )
Jaloux Dieu ( Qanna ' `El - Exode 20: 5 ; Deu 04:24. , Etc.)
Jechija-M'Kaddesh (hébreu)
Jéhovah (hébreu: יהוה ou YHWH )
Jéhovah `Elohiym ou Elohim (Hebrew- Gen. 3:23 , etc.)
Jéhovah-Jireh (hébreu)
Jéhovah-Mekoddishkem (hébreu-sens: «Le Seigneur qui sanctifie You")
Jéhovah-M'Kaddesh (hébreu)
Jéhovah-Nissi (hébreu: YHWH-Nissi ou Yahweh-Nissi- "L'Éternel , notre bannière» - Exode 17: 8-15 )
Jéhovah-Ra'ah (hébreu-sens: «Le Seigneur est mon berger " - Psa 23: 1. )
Jéhovah-Rapha (hébreu: YHWH-Rapha - à- d : «Le Seigneur qui guérit» - Exode 15:26 )
Jéhovah-Rohi (hébreu)
Jéhovah-Rophe (hébreu)
Jéhovah-Sabaoth (hébreu)
Jéhovah-Shalom ( en hébreu)
Jéhovah-Shamma (hébreu-sens: «Le Seigneur est là»)
Jéhovah-Tsidkenu (hébreu- à- dire «Le Seigneur notre justice »)
Je-Hoshua ( «Jéhovah est salut»)
http://www.christiananswers.net/dictionary/namesofgod.html

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Josué a écrit:Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה. C'est là une évidence qu'une superstition postérieure a fait sombrer dans l'oubli.
Quelle est la source de cette erreur hidtorique ? Il n'y a pas de référence. Il y a 2000 ans, c'était déjà perdu, Jésus n'a jamais prononcé Son Nom, mais disait "Papa", "Abba" en araméen.

Je fais plus confiance aux israëlites eux-mêmes qu'aux rumeurs non fondées.

Oh, vous trouverez toujours un auteur original par ci, par là, pour dire le contraire, sans rien pouvoir prouver, alors que l'Histoire des hébreux, elle, est très précise.

C'est vouloir justifier l'action actuelle des TJ depuis une cinquantaine d'années, mais sous Russel, cela ne se faisait pas, et lui, au contraire de Rutherford, était proche et ami avec de nombreux juifs pratiquants.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

chico.

chico.

Regarde le lien est cité à bas du message de Josué.

Josué

Josué
Administrateur

*** g04 22/1 p. 5-6 La lutte contre le nom de Dieu ***
La lutte contre le nom de Dieu
IL S’APPELAIT Hananiah ben Teradion. Érudit juif du IIe siècle, il était connu pour tenir des réunions publiques où il enseignait sur la base de la Sefer Torah, un rouleau comportant les cinq premiers livres de la Bible. Il était aussi réputé pour employer le nom personnel de Dieu et le faire connaître. Étant donné que le nom de Dieu apparaît plus de 1 800 fois dans les cinq premiers livres de la Bible, comment aurait-il pu enseigner la Torah sans enseigner le nom de Dieu ?
À son époque, cependant, les érudits juifs étaient en mauvaise posture. D’après des historiens juifs, l’empereur romain avait interdit l’enseignement ou la pratique du judaïsme, sous peine de mort. Ben Teradion a donc fini par être arrêté par les Romains. Lors de son arrestation, il portait sur lui une copie de la Sefer Torah. Devant ses accusateurs, il a innocemment reconnu qu’en enseignant la Bible il ne faisait qu’obéir à un commandement divin. Cela ne lui a pas épargné la peine capitale.
Le jour de son exécution, on l’a enveloppé dans le rouleau qu’il avait sur lui le jour de son arrestation, puis on l’a brûlé sur le bûcher. Selon l’Encyclopaedia Judaica, “ pour prolonger ses souffrances, on a placé sur son corps des touffes de laine mouillées, destinées à retarder le moment de sa mort ”. Son châtiment ne s’est pas limité à cela. On a aussi exécuté sa femme et vendu sa fille à une maison de prostitution.
Bien que les Romains soient responsables de cette exécution cruelle de Ben Teradion, le Talmud explique qu’“ on l’a brûlé parce qu’il avait prononcé le Nom tel qu’il était écrit ”. En effet, d’après les Juifs, prononcer le nom de Dieu était une transgression très grave.
Le troisième commandement
Apparemment, au cours des Ier et IIe siècles, une superstition sur l’usage du nom divin s’est imposée parmi les Juifs. La Mishna (un recueil de commentaires rabbiniques qui a servi de base au Talmud) stipule que “ celui qui prononce le nom divin tel qu’il s’écrit ” n’a pas de part dans le paradis terrestre promis par Dieu.
D’où cette interdiction tirait-elle ses origines ? D’après certains, les Juifs jugeaient le nom de Dieu trop sacré pour être prononcé par des humains imparfaits. Ils en sont même arrivés à hésiter à l’écrire. Comme l’explique un ouvrage, cette crainte venait du fait qu’un document où figurait le nom de Dieu risquait de finir à la poubelle, ce qui profanerait le nom divin.
Selon l’Encyclopaedia Judaica, “ le refus de prononcer le nom YHWH [...] provient d’une mauvaise compréhension du troisième commandement ”. Le troisième des Dix Commandements donnés par Dieu aux Israélites déclare : “ Tu ne dois pas prendre le nom de Jéhovah ton Dieu de manière indigne, car Jéhovah ne laissera pas impuni celui qui prendra son nom de manière indigne. ” (Exode 20:7). Le décret de Dieu contre l’utilisation abusive de son nom a donc été tourné en superstition.
Il est évident qu’aujourd’hui personne ne prétend que Dieu ferait brûler au bûcher quiconque prononcerait son nom ! Toutefois, les superstitions juives à l’égard du nom divin subsistent encore. Nombreux sont ceux qui parlent du Tétragramme comme étant le “ Nom ineffable ” et le “ Nom indicible ”. Dans certains cercles, toute expression faisant référence à Dieu est volontairement mal prononcée pour ne pas violer la tradition. À titre d’illustration, Jah, ou Yah, une abréviation du nom divin, est prononcé Kah. Alléluia est prononcé Alléluka. Certains refusent même d’écrire le mot “ Dieu ”. Ils remplacent une ou plusieurs lettres par un trait. Ils écrivent par exemple “ D--U ”.

papy

papy

Il en est question ici.
Haninah ben Teradion, Rabbi
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Haninah ben Teradion, Rabbi: (2ème siècle CE) mishnaïque sage, père de Rabbi Meir femme de Beruriah . Il a dirigé une académie Torah en Siknin, et était réputé pour son administration scrupuleusement honnête des fonds de charité. Il était l' un des Dix Martyrs , enveloppé dans un rouleau de la Torah et brûlé vif par la romaine pour l' enseignement public Torah.
http://www.chabad.org/search/keyword_cdo/kid/9303/jewish/Haninah-ben-Teradion-Rabbi.htm

Josué

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DEPUIS des siècles, le judaïsme traditionnel interdit strictement à ses fidèles de prononcer le nom divin, Jéhovah. Selon la Mishna, quiconque prononce le nom de Dieu n’aura “ pas part au monde futur ”. — Sanhédrin X, 1

Josué

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[size=44]Le nom hébreu original de Dieu redécouvert dans 1.000 manuscrits bibliques[/size]

25 janvier 2018


Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה. - Page 3 E8D271AF-AFF5-4BF6-81BB-85A503BF9742-771x351
Le 21 janvier 2018, la chercheuse biblique Nehemia Gordon et son équipe de chercheurs ont découvert le 1 000e manuscrit de la Bible hébraïque contenant le nom originel de Dieu en hébreu avec des voyelles.
Depuis deux cents ans, les savants pensent que le nom hébreu de Dieu a été prononcé à l'origine «Yahweh». À la fin de 2016, Gordon a trouvé des sources juives traditionnelles non traduites qui identifiaient explicitement les voyelles du nom de Dieu en hébreu. "Yehovah." Ceci est similaire à l'anglais Jéhovah, mais avec un "Y" et l'accent sur la syllabe finale.
Le nom de Dieu, connu sous le nom de Tetragrammaton, est écrit dans la plupart des manuscrits bibliques hébraïques avec une de ses voyelles manquantes, ce qui le rend illisible selon une ancienne interdiction juive de prononcer le nom. Malgré cela, Gordon avait déjà découvert cinq manuscrits bibliques avec un ensemble complet de voyelles hébraïques prouvant que la prononciation du Tétragramme était connue des scribes juifs comme «Yehovah».
Le projet visant à trouver de nouvelles preuves corroborant cette découverte a débuté en février 2017 et en moins d'un an, Gordon a trouvé 1 000 autres manuscrits bibliques hébraïques avec les voyelles complètes «Yehovah», dont les deux plus anciens manuscrits bibliques hébreux avec voyelles. , Evr. II B 100 de l'année 894 AD et le Codex du Caire des prophètes de 895 AD. Gordon et son équipe ont également trouvé les voyelles "Yehovah" dans trois manuscrits écrits avec le "pointage babylonien" perdu, découvert dans la Genizah du Caire en 1896.
Gordon est l'hôte du podcast "Hebrew Voices", qui a été téléchargé 5,1 millions de fois en 2017. Il est également l'auteur du livre populaire Shattering the Conspiracy of Silence , qui traite de l'interdiction par les Juifs de prononcer le nom "ineffable". Gordon est titulaire d'une maîtrise en études bibliques et d'un baccalauréat en archéologie de l'Université hébraïque de Jérusalem. Il a travaillé comme traducteur sur les manuscrits de la mer Morte et comme chercheur déchiffrant des manuscrits hébreux anciens. Gordon a écrit deux livres populaires sur les origines hébraïques du christianisme et est actif dans le dialogue interconfessionnel, s'exprimant dans les synagogues et les églises du monde entier.
Pour plus d'informations sur cette découverte, voir: 
https://www.nehemiaswall.com/nehemia-gordon-name-god

Légende de la photo: Le Shema (Deutéronome 6: 4) dans la couronne de Damas du 10ème siècle avec les voyelles récupérées du Tétragrammaton.
https://religionnews.com/2018/01/25/the-original-hebrew-name-of-god-re-discovered-in-1000-bible-manuscripts/

Josué

Josué
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Les Pères et les écrivains rabbiniques sont d'accord pour représenter Jéhovah comme un nom ineffable. Quant aux Pères, il suffit d'attirer l'attention sur les expressions suivantes: onoma arreton, aphraston, alekton, aphthegkton, anekphoneton, aporreton kai hrethenai me dynamenon, mystikon . Leusden ne pouvait inciter un certain Juif , malgré sa pauvreté, à prononcer le vrai nom de Dieu , bien qu'il tînt les promesses les plus séduisantes. L' obéissance du Juif aux vœux de Leusden n'aurait en effet pas vraiment profité à ce dernier; car les juifs modernes sont aussi incertains de la vraie prononciation du nom sacré que de leurs contemporains chrétiens . Selon unLa tradition rabbinique La vraie prononciation de Jéhovah a cessé d'être utilisée à l'époque de Siméon le Juste, qui était, selon Maïmonide , un contemporain d'Alexandre le Grand. En tout cas, il semble que le nom ne soit plus prononcé après la destruction du Temple . La Mishna se réfère à notre question plus d'une fois: Berachoth, ix, 5, permet l'utilisation du nom Divin à titre de salut; dans Sanhédrin, x, 1, Abba Shaul refuse toute part dans le monde futur à ceux qui le prononcent comme il est écrit; selon Thamid, vii, 2, les prêtres du Temple(ou peut-être à Jérusalem ) pourraient employer le vrai nom Divin, tandis que les prêtresdans le pays (en dehors de Jérusalem ) devait se contenter du nom Adonaï ; Selon Maïmonide ("More Neb.", I, 61, et "Yad chasaka", XIV, 10), le vrai nom Divin était utilisé seulement par les prêtres dans le sanctuairequi donnait la bénédiction , et par le grand-prêtre sur le jour du Grand Pardon . Phil ["De mut. Nom.", N. 2 (éd., Marg., I, 580); "Vita Mos.", Iii, 25 (ii, 166)] semble soutenir que même dans ces occasions les prêtres devaient parler à voix basse. Jusqu'à présent, nous avons suivi la tradition juive post-chrétienne concernant l'attitude des Juifs avant Siméon le Juste.

Mikael

Mikael
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Les hébreux pouvaient prononcer le nom de Dieu dans certaines circonstances.
Nous avons le cas de Boaz dans le livre de Ruth.

Josué

Josué
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Vampire Weekend, groupe de rock américain adresse un reproche à Dieu dans son titre Ya Hey : « à travers les flammes et le feu tu ne veux même pas dire ton nom » ♩ ♪ ♫. Il fait référence à l'épisode raconté dans le livre de l'Exode (Ex, 3), duBuisson qui brûle sans brûler, d'où Dieu parle à Moïse qui lui demande son nom. 
Le texte biblique
Dans le livre de la Genèse, Jacob bénit son fils Joseph en nommant Dieu, El Shaddaï, terme dont nous allons étudier le sens dans l’éclairage.
[Cela vient] du Dieu de ton père — et il t'aidera ! 

— avec Shaddaï — il te bénira des bénédictions du ciel en haut, 

des bénédictions de l’abîme qui gît en bas, 

des bénédictions des mamelles et du sein

Les bénédictions de ton père surpassent les bénédictions de ses ancêtres

jusqu'à la limite des collines éternelles : 

qu’elles soient sur la tête de Joseph, sur le front du Nazir de ses frères !
Chapitre 49, versets 25 et 26 dans le livre de la Genèse.
Traduction BEST 0.1.

papy

papy

Le problème c'est que Shaddaï n'est pas un nom propre mais plutôt un titre.

philippe83


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Et souvent d'ailleurs le terme Shaddaï est précédé du Nom de Dieu. Voir par exemple Gen 17:1. Donc ce terme est un titre (tout-puissant) comme d'autres appartenant à Jéhovah Dieu.
A+

samuel

samuel
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Si Dieu donne son nom, la tradition rabbinique assure cependant que ce nom ne pouvait être prononcé hors de l’enceinte du Temple. Voilà pourquoi on continue d’écrire sans les vocaliser ces 4 lettres : YHWH
Alors les Français, incorrigibles, ont quand même tenté des vocalisations : Yahweh ou Yahvé sont les reconstitutions les plus communément admises. 
Autre vocalisation : « Jéhovah ». Cette vocalisation problématique a été popularisée en particulier dans les traductions anglaises de William Tyndale, de la King James Version ou de la Bible de Genève.

Josué

Josué
Administrateur

Les Hébreux prononçaient le Nom de leur Dieu יהוה. - Page 3 Opera_41
Source : Le livre juif du pourquoi?

Josué

Josué
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Pierre Chaunu : Ils [les Juifs] aimaient les calembours, hein… 
Claude Tresmontant : Ah ! Mais ils faisaient cela constamment ! Les rabbins dans le Talmud, par exemple pour les Evangiles, pour décalquer le mot évangile, « euanggelion », ils ont trouvé l’astuce « ’aven gillayon », ce qui veut dire « les rouleaux de mensonges » ! Parce qu’ils disent ceci, les rabbins – c’est très intéressant pour notre sujet... On trouve chez les petits rabbins de la première génération… Ils discutent entre eux : qu’est-ce qu’on fait avec ces abominables rouleaux de ces « Minim » [3], de ces hérétiques ? Alors ils disent : « Quand il y a le saint Tétragramme dedans, qu’est-ce qu’on fait ? Est-ce qu’on le brûle ? Non ! On ne peut pas le brûler. Alors, il faut le découper au couteau » ! Ce qui prouve qu’il y avait des rouleaux en hébreu dans la première génération. Pierre Chaunu : Oui, on ne peut pas brûler le Tétragramme… Claude Tresmontant : On n’a pas le droit de le brûler, il fallait le découper… Pierre Chaunu : On peut l’enterrer aussi finalement ? Claude Tresmontant : Oui... Enfin, c’étaient des discussions horribles pour savoir qu’est-ce qu’on fait avec les Evangiles et les rouleaux en hébreu des Minim... [4]
Le professeur israélien Dan Jaffé, dans un livre [5] récemment paru, reproduit cinq petits extraits de la littérature rabbinique naissante, qui reprennent de façon voisine les termes de ce débat, et où l’on retrouve deux types de directives rabbiniques concernant les rouleaux en hébreu des Minim : les uns disent qu’il faut "couper les mentions [du Nom de Dieu] et brûler le reste", les autres qu’il faut "brûler le tout". Voici un de ces extraits (Tosefta Sabbath XIII, 5) dans la traduction de l’auteur. :
« [En cas d’incendie], on ne sauve pas les guilyonim [6] et les livres des Minim, ils brûlent sur place avec les mentions [du Nom de Dieu qu’ils renferment]. R. Yossi le Galiléen dit : "Les jours de semaine, on se met à découper les mentions [du nom de Dieu], et on les met à l’abri, tandis qu’on brûle le reste." R. Tarfon déclare : "Que je sois privé de mes enfants [plutôt que de manquer], si [ces livres] tombaient dans mes mains de les brûler, eux, et les mentions [du Nom de Dieu qu’ils renferment], car si l’on me poursuit, j’entrerai dans un lieu d’idolâtrie mais je n’entrerai pas dans leurs maisons [ variante du Talmud de Babylone (Sabbath 116a) : car si l’on poursuit quelqu’un afin de le tuer, et qu’un serpent se précipite pour le mordre, il entrera dans une maison d’idolâtrie mais non dans leur maison], car les idolâtres [7] (serviteurs de dieux étrangers) ne Le connaissent pas et Le renient alors qu’eux Le connaissent et Le renient." [...] R. Ismaël dit : "Puisque pour faire la paix entre un homme et sa femme, Dieu dit : Que mon Nom écrit dans la sainteté soit effacé avec de l’eau ; les livres des Minim qui entraînent l’inimitié, la jalousie et les dissensions entre le peuple juif et son Père qui est aux cieux, à plus forte raison pourra-t-on les brûler, eux, et les mentions [du Nom de Dieu qui s’y trouvent]." Et c’est pour eux que le verset dit : "Certainement, je hais ceux qui te haïssent, et ceux qui se dressent contre toi, je les déteste. Je les hais infiniment, je les considère comme des ennemis" (Ps 139, 21-22). Et de même qu’on ne les sauve pas d’un incendie, on ne les sauve pas non plus d’un éboulement, d’une inondation et de tout ce qui pourrait les perdre ».

Josué

Josué
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*** w99 1/7 p. 28 Le nom divin prononcé en Israël ***
DEPUIS des siècles, le judaïsme traditionnel interdit strictement à ses fidèles de prononcer le nom divin, Jéhovah. Selon la Mishna, quiconque prononce le nom de Dieu n’aura “ pas part au monde futur ”. — Sanhédrin X, 1.
Le 30 janvier 1995, l’ancien grand rabbin séfarade d’Israël a pourtant prononcé délibérément le nom divin. Il l’a fait en récitant un tikkun, une prière kabbalistique de réparation. Cette prière est dite afin que Dieu restitue à l’univers une certaine harmonie qui, selon les fidèles, a été perturbée par les forces du mal. Dans son édition du 6 février 1995, le journal Yedioth Aharonoth déclarait : “ C’est une liturgie d’une puissance tellement incroyable que son énoncé ne figure que dans un livret spécial qui n’est pas vendu au public. ” Invoquer le nom de Dieu dans ce contexte est censé conférer à la requête une force particulière.

Josué

Josué
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[size=24]Traditions ou superstitions ???[/size]
La Mishna (IIIe siècle de notre ère) affirme que celui qui prononce le nom divin selon les lettres qui le composent ” n’aura “ pas part au monde futur ”. — Sanhédrin X, 1. 

philippe83


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Mais dans le Zohar livre initiatique juif dans le commentaire sur Exode 20:7 (ne pas prendre en vain le Nom de Dieu), les commentateurs juifs disent que:" si le Nom est précédé d'un autre mot on ne profane pas le nom de Jéhovah". Exemple : "Sois béni Jéhovah" c'est bon par contre si on dit Jéhovah et que pour une raison quelconque on ne peut dire "soit béni" alors on mérite la mort éternelle!
Vraiment ces rabbins manipulent le texte sacré à un degré d'idiotie qui dépasse l'entendement. Combien Jésus avait raison de dire qu'ils annuler habilement le commandement de Dieu selon Marc 7
A+

Josué

Josué
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dans "Introduction à l’Ancien Testament", par G. Archer (Saint-Légier 1978, p. 63) :
"Mais les Juifs (...) commencèrent à ressentir des scrupules de prononcer le nom sacré, de peur de violer le troisième commandement. C’est pourquoi l’on se mit à substituer le titre "Adonay" (Seigneur) à Yahweh lors de la lecture à haute voix. Pour signaler cette substitution, les Massorètes placèrent les voyelles de Adonay sous les consonnes de Yahweh, ce qui donna Yehowah . "Et on lit en note : "Pour des raisons phonétiques, la première voyelle "a" de Adonay devient "e" après le y dans Yehowah".

Josué

Josué
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[size=30]Jéhovah, le Dieu d’Israël[/size]

À mesure que l’idée nationale se précise en Israël, se précise également l’idée de Jéhovah, son Dieu. La religion d’Israël a toujours été une religion nationale, raciale et elle l’est encore aujourd’hui. Jéhovah et Israël grandissent ensemble, luttent ensemble, traversent ensemble le désert, vainquent ensemble les Cananéens. La tradition est unanime à placer l’origine d’Israël en tant que peuple appartenant à Jéhovah dans les scènes qui ont eu pour théâtre le mont Sinaï. C’est dans cette montagne que Jéhovah apparaît pour la première fois à Moïse (Exode 3.15 ; Exode 4.24) ; c’est là qu’il se manifeste au peuple d’Israël comme son Dieu (Exode 20 ; Juges 5.5). Jéhovah est un esprit de montagne, le dieu de l’orage, du tremblement de terre, du volcan. Certains auteurs ont conclu d’Exode 24.16 ; Exode 24.17 que le Sinaï, fumeux et ardent, fut effectivement ou symbolise un volcan en activité. Le feu (voir ce mot) est l’élément qui précède Jéhovah (Ésaïe 30.27) ; le vent qui brûle est son souffle (Ésaïe 40.7) ; il habite dans le buisson ardent (Exode 3.2), dans les charbons embrasés (Psaumes 18.9), au milieu d’une colonne de feu et de fumée (Exode 13.22). Jéhovah est un feu dévorant (Deutéronome 4.24). Ses jugements se manifestent par le feu céleste (1 Rois 18.38 ; 2 Rois 1.12 ; Ésaïe 10.17). Son approche est signalée par le feu, la fumée, l’orage, l’arc-en-ciel (Nahum 1.3-5 ; Psaumes 18.8-16 ; Genèse 9.13). Ce Dieu fort est un guerrier (Exode 15.3). Son peuple est Israël = Dieu combat. Les ennemis d’Israël sont les ennemis de Jéhovah (Nombres 10.35). Nul ne résiste lorsque Jéhovah combat (Deutéronome 33.27 ; Deutéronome 33.29). Cette idée du Dieu guerrier s’exprime aussi dans les mots : Jéhovah Sebaoth, Éternel des Armées (voir article suivant, paragraphe 4), expression dont le sens primitif est discuté et qui désigne parfois les armées célestes (étoiles), mais aussi les armées d’Israël (1 Samuel 17.45).
Le droit a sa source dans les volontés du Dieu auquel Israël appartient. C’est au nom de Jéhovah que les anciens et les rois rendent la justice, concluent des contrats (Genèse 31.49-53 ; 1 Samuel 20.42 etc.). La justice de Jéhovah est souvent sociale, nationale plus qu’individuelle dans ses arrêts. Elle punit l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la 3e et la 4e génération. Elle punit le peuple entier (famine, peste, guerre) à cause de la faute d’un de ses chefs. Mais elle s’occupe aussi de la moralité interne, secrète des individus. Elle punit Caïn contre lequel aucun bras humain ne se lèvera (Genèse 4.15) ; Jéhovah ne laisse pas impunie la violation d’alliances politiques séculaires (2 Samuel 21.1). Un acte généreux est appelé la bonté de Dieu (2 Samuel 9.3).
Ce serait une erreur de penser que les Hébreux ne sont pas arrivés de très bonne heure à l’idée que la puissance de Jéhovah dépasse infiniment le territoire géographique d’Israël. Israël n’a jamais trouvé les limites de son Dieu. À mesure qu’il découvrit le monde, il s’aperçut que son Dieu l’avait déjà précédé. Jéhovah bénit Jacob en Mésopotamie et Joseph en Égypte. Il déploie son bras à la mer Rouge ; en son honneur, on chante le Chant de la Mer (Exode 15). Il habite le ciel (Genèse 11.5). Il fait pleuvoir du ciel (Genèse 19.24). L’armée des cieux est à sa droite et à sa gauche (1 Rois 22.19). Israël chercherait en vain un endroit de la nature d’où son Dieu serait exclu. Mais ce sont les prophètes qui de ce Dieu, vainqueur partout où les intérêts d’Israël l’appellent, feront le Dieu unique, s’occupant également et en tout temps de toutes les nations.

grandjean

grandjean

philippe83 a écrit:
Josué a écrit:Traduction du MN Exode 3 :13 הוּא עָלָה לְהַר וְקָרָא אֵלָיו אֶת הָאֲנָשִׁים שֶׁרָצָה בָּהֶם, וְהֵם בָּאוּ אֵלָיו. 14 אָז הֵקִים קְבוּצָה בַּת שְׁנֵים־עָשָׂר אִישׁ, שֶׁאוֹתָם כִּנָּה שְׁלִיחִים, כְּדֵי שֶׁיִּתְלַוּוּ אֵלָיו וְשֶׁיִּשְׁלַח אוֹתָם לְבַשֵּׂר 15 וְשֶׁתִּהְיֶה לָהֶם סַמְכוּת לְגָרֵשׁ שֵׁדִים.
Salut Jo.
Es-tu sur que ce sont les passages d'Exode 3? Car dans ton renvoie au verset 15 on ne trouve pas le tétragramme alors que le texte hébreu le contient. Je ne vois pas non plus la phrase:" Ehyèh asher Ehyèh"(je serai ce que je serai).
Tiens-moi au courant stp surtout que tu nous dit que cela vient de la TMN;

en fait ce passage na rien a voir avec le livre de lexode il sagit dune traduction en hebreu moderne de levangile de marc.

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Le peuple de Dieu a toujours connu le nom de Jehovah, les voisins aussi, comme Rahab connaissait Jehovah aussi, et les Pharisiens aussi connaissais le nom de Jehovah, ainsi que Jesus qui est venu leur parler de Jehovah et de tout ce qu'il a fait et ce qu'il fera, et nous aussi nous connaissons son nom 
Jehovah a fait un peuple pour son nom

grandjean

grandjean

Patrice1633 a écrit:Le peuple de Dieu a toujours connu le nom de Jehovah, les voisins aussi, comme Rahab connaissait Jehovah aussi, et les Pharisiens aussi connaissais le nom de Jehovah, ainsi que Jesus qui est venu leur parler de Jehovah et de tout ce qu'il a fait et ce qu'il fera
cest bien tu progresse patrice. alors maintenant que tu as comprit ca alors comment tu comprend les paroles de jesus en jean 17 lorsquil declare a propos des diciples "je leur ai fait connaitre ton nom"??

philippe83


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Comme si tu ne savais pas la réponse grandjean...
Connaitre ne veut pas dire seulement connaitre comment s'appelle une personne voir Osée 6 :6. On peut connaitre aussi Dieu à travers ce qu'il fait ou fera. Ici Jésus est venue faire connaître son Père ses qualités sa personnalité.MAIS et oui il y a un mais cela n'enlève pas le fait que Dieu à un Nom tout comme le Fils de Dieu a un Nom. Et quel est le Nom du Dieu et Père de Jésus? Exode 3:15,Ps 83:18 et Isaie 42:8 devrait te donner une petite idée en plus de Deut 32:6,1 Chro 29:10,11, Isaie 64:7,Mal 1:6 et tellement tellement d'autres versets...

grandjean

grandjean

phillipe merci pour ton commentaire mais je repondais a patrice car il y a quelque jours il a citer les paroles de jesus en jean 17 pour dire que jesus a apprit a ses disciples comment sappelle jehovah. je vois maintenant quil a comprit que ce nest pas du tout le sens de ce verset et je le felicite pour ca.

philippe83


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Peux-tu me montrer ou Patrice à écrit ce que tu dis car dans cette page je ne trouve pas ce commentaire sur Jean 17?

grandjean

grandjean

cest pas dans cette page cest dans une autre il y a plusieur sujet qui se ressemble.

Invité


Invité

Je donne  regulierement des liens pour lire, ca donnes  la reponse, car le travail on a pas beaucoup de temps dans ma pause pour faire de long commentaire ....
Alors si tu prend le temps de lire tu vas apprendre a connaitre Jehovah meme si tu connais son nom ...
Tu comprend?

grandjean

grandjean

Patrice1633 a écrit:Je donne  regulierement des liens pour lire, ca donnes  la reponse, car le travail on a pas beaucoup de temps dans ma pause pour faire de long commentaire ....
Alors si tu prend le temps de lire tu vas apprendre a connaitre Jehovah meme si tu connais son nom ...
Tu comprend?
oui je comprend bien mais "nul ne vient au pere si ce nest par Jesus" alors jessaye de faire les choses dans lordre car dieu est un dieu dordre.

Lechercheur



Au fait sur le grand prêtre il y avait bien inscrit le tétragramme!
Comment le juif lambda le lisait-il ?

grandjean

grandjean

personne ne le sait mais ce qui est sur cest que ca se lisait pas jehovah car le son "j" de jehovah ou de jesus nexiste pas en hebreu.

philippe83


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MODERATEUR

Pas de problème alors disons YeHoWaH par la suite mais surement pas Adonaï. FlaviusJoseph dira qu'il peut se prononcer comme il s'écrit Yod/Hé/Vav/Hé mais toujours pas.... Adonaï
Maintenant la forme Jéhovah francisé à traverser les âges et cette forme est même plus ancienne que la formule l'Eternel. Et de ce fait les noms 'francisé' comme Jérémie, Joseph, Jacob,Jonas, ect et bien sur Jésus pareillement.

grandjean

grandjean

philippe83 a écrit:Pas de problème alors disons YeHoWaH par la suite mais surement pas Adonaï. FlaviusJoseph dira qu'il peut se prononcer comme il s'écrit Yod/Hé/Vav/Hé mais toujours pas.... Adonaï
je comprend pas pourquoi tu me dit tout ca a moi comme si je serais pas daccord alors tu preche a un convaincu.

philippe83


MODERATEUR
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Alors si tu es d'accord tu appelle Dieu en français comment? Jéhovah? Tu es convaincu de ce Nom?

Invité


Invité

La video dans cette article est tellement magnifique je vous le montre et je le regarde en meme temps aussi ..

Un ancien manuscrit justifie l’emploi du nom de Dieu dans la Bible

Des spécialistes expliquent comment un manuscrit ancien justifie la décision de restituer le nom de Jéhovah à la place qui lui revient dans les Écritures grecques chrétiennes


--> https://www.jw.org/fr/la-bible-et-vous/histoire/ancient-manuscrit-nom-dieu-video/

Aussi 
Quel est votre attitude a l'egard du nom de Dieu?
--> https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/1980085

grandjean

grandjean

jai regarder attentivement cette video (la 1ere) et il y a plusieur chose ou je ne suis pas daccord. il y a plusieur biais de raisonnement a mon avis.

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