En attendant que vous me donniez votre verdict si Dieu passe l'examen du troisième facteur concernant ce qu'il a fait au verset 1 Samuel 2:25...
Je me suis demandé si Abraham avait en tête ce troisième facteur pour évaluer Celui qui lui parlait... à savoir si c'était vraiment Dieu qui lui parlait?
Lorsque Celui qui lui parlait lui avait promis qu'il allait avoir un fils par lequel sa descendance allait bénir tous les nations, alors là je ne crois pas que le troisième facteur ait posé un problème d'identification...
Mais lorsque Celui qui lui parlait lui a demandé cette fois de lui donner ce même fils en le tuant, en l'égorgeant sur un tas de branche pour finir à le brûler en sacrifice,
alors là, le troisième facteur lui aurait surement posé un problème de confiance. Ne pensez-vous pas?
Je m'imagine Abraham face à une telle demande se rassurer sur l'identité de ce Personnage (est-ce Dieu
Satan?) en vérifiant s'Il s'harmonisait bien avec les critères du troisième facteur. À savoir, les principes moraux et les qualités de Dieu, notamment sa
justice, son honnêteté, son impartialité, son amour, sa miséricorde et sa bonté.
Wow, tout un dilemme pour lui, ne trouvez-vous pas?
Et a en croire votre zèle pour ce troisième facteur dont vous vous servez pour justifier à déformer la prédestination telle que révélée, c'est certain qu'avoir été conseillé d'Abraham vous lui auriez fait manqué son coup.
En insistant sur le fait que les principes moraux et qualités de Dieu ne concordent pas avec la demande.
Louez soit Dieu pour la foi authentique qu'avait Abraham, malgré la douleur qu'il a pu ressentir,
démontrant une confiance inébranlable envers Dieu
même si ce qu'Il lui demandait le dépassait moralement.
Vous allez me dire. OK, mais on sait que Dieu l'en a empêché donc le troisième facteur est valable.
Oui,
mais lui il ne l'a su qu'à la dernière minute cette empêchement, et c'est ce qui lui donne sa valeur de foi authentique comparée à la vôtre, qui vous amène à murmurer sur la liberté de Dieu de choisir et de rejeter qui il veut selon son dessein d'élection.
Donc la morale de l'histoire, c'est que nous n'avons pas à juger Dieu sur ses décisions et décrets qu'Il révèle dans sa Bible. Pas plus d'essayer de modifier son message en fonction de nos attentes sur Lui.