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Stévia : 7 fois meilleure que le sucre

4 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Stévia : 7 fois meilleure que le sucre

Si vous avez une tendance au diabète, à l'obésité, à l'hypertension, une intolérance au glucose, ou simplement envie de rester en bonne santé, intéressez-vous à la stévia. Sans doute l'avez-vous déjà fait, d'ailleurs, mais si ce n'est pas le cas, il est urgent que vous lisiez cet article.

La stévia est un édulcorant naturel dérivé de la stevia rebaudiana, une plante qui est consommée depuis des siècles par les indiens Guarani du Paraguay et du Brésil. Mais ce n'est qu'à la fin du 19e siècle qu'un botaniste suisse, qui faisait des recherches en Amérique du Sud, a décrit cette plante, que les Guaranis appelaient ka'a he'ê (« herbe sucrée »), et l'a rapportée en Europe.

Les Japonais ont commencé à cultiver cette espèce au début des années 1970, pour remplacer les édulcorants artificiels en voie d'interdiction dans leur pays.

Aujourd’hui, la stévia est cultivée et consommée dans de nombreux pays d'Asie (Chine, Corée, Taïwan, Thaïlande et Malaisie), en Israël et en Amérique du Sud (Argentine, Brésil, Paraguay).

En France et en Europe, malheureusement, la stévia dans sa forme naturelle est interdite à la consommation. La raison invoquée par les autorités est que cette plante pourrait avoir un impact négatif sur la reproduction humaine, et être cancérigène.

Il est vrai que la stévia était traditionnellement considérée par les Indiens comme abortive, à fortes doses. Mais, après avoir analysé attentivement l’ensemble des données sur ces questions, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a conclu, en 2006, que les stéviosides n’ont pas d’effets négatifs sur la reproduction et ne sont pas cancérigènes. (1)

Cela n'a bien entendu pas empêché nos administrations de maintenir leur interdiction formelle de consommer les feuilles de stevia, en poudre ou autre. Cependant, grâce à l'intense lobbying de militants du bio, une autorisation provisoire a été consentie par la France, en 2009, de consommer un extrait particulier de stevia, le rebaudioside A (également abrégé RebA), sous une concentration de 97 % minimum. Les lecteurs québecois de Santé & Nutrition, eux, devront encore attendre, le RebA étant toujours interdit à la consommation au Canada, ainsi que toute forme de stévia.

En France, vous pouvez donc trouver aujourd'hui dans le commerce de nombreux produits et édulcorants à l'extrait de stévia, et c'est déjà formidable. En effet, l'extrait de stévia diffère du sucre par de nombreux aspects, et il y a de multiples raisons que vous la préfériez au saccharose (sucre de table), que vous soyez diabétique ou que vous cherchiez simplement à vivre de façon plus saine.

Nous allons les passer en revue.

La stévia est très, très puissante

Les feuilles crues de stévia (interdites à la consommation en France, je vous le rappelle), sont à peu près 40 fois plus sucrées que le sucre, et la poudre de stévia qui en est dérivée (que vous pouvez acheter dans le commerce) est jusqu'à 300 fois plus sucrée. Cela veut dire que 3,5 grammes d'extrait de stévia sucrent plus... qu'un kilo de sucre !

Cela veut dire que, pour toutes vos recettes sucrées, une petite pointe de stévia suffit. Comme vous pouvez garder la stévia dans vos étagères pendant cinq ans, l'investissement vaut la peine.

La stévia ne contient pas de calories

Le sucre raffiné fait grossir. Le saccharose contient 400 kilocalories pour 100 g, et il est tellement répandu dans l'alimentation moderne que cela devient une activité à plein-temps d'essayer de l'éviter. La conséquence est que 42 % de la population française est en surpoids ou obèse, et chez nos enfants – qui sont exposés au sucre raffiné dès leur plus jeune âge – le chiffre est de 19 %. (2)

Ces chiffres alarmants sont trois fois plus élevés qu'il y a trente ans. Heureusement, la stévia ne contient strictement aucune calorie. Bien que ce ne soit en aucun cas un produit amaigrissant, ses avantages en la matière sont évidents.

La stévia supprime les fringales

Comme nous le savons tous, il y a une accoutumance au sucre. Plus vous en mangez, plus vous avez envie d'en consommer. Les édulcorants artificiels comme l'aspartame n'ont peut être pas de calories, ils n'en provoquent pas moins des fringales et l'envie de sucreries. De plus, un nombre croissant de consommateurs au cours des années ont témoigné des effets secondaires indésirables des édulcorants artificiels, depuis les maux de tête jusqu’aux douleurs d'estomac. La stévia au contraire, supprime les fringales et le désir de sucreries. Et depuis 40 ans qu'elle est consommée à grande échelle au Japon (40 % du marché des édulcorants), aucun effet indésirable n'a été signalé.

La stévia est bonne pour vos dents

Quand vous consommez du sucre, une couche collante de bactéries se forme sur vos dents, provoquant de la plaque dentaire et, sur le long terme, des caries. Dans les chewing-gums et les dentifrices, les fabricants utilisent donc des « alcools de sucre » (aussi appelés polyols) comme le sorbital, l'erythritol et le xylitol parce que les bactéries dentaires ne peuvent pas les faire fermenter, et donc adhérer aux dents.

Ces alcools de sucre ont toutefois des inconvénients : ils contiennent encore beaucoup de calories, et certains peuvent encore avoir un index glycémique élevé, ce qui n'est pas bon pour les diabétiques. Enfin, ils peuvent provoquer ballonnements et flatulences chez les personnes sensibles. La stévia a les mêmes avantages pour les dents que les polyols... mais sans les inconvénients !

La stévia est formidable pour les diabétiques

Le sucre est mauvais pour les diabétiques parce qu'il contient de fortes quantités de glucides, jusqu'à 99 % pour le sucre blanc raffiné. Pour indiquer quels types de nourriture conviennent aux diabétiques, et quels sont ceux qu'ils doivent éviter, un système a été inventé : l'Index Glycémique.

Je vous épargnerai les détails de la façon dont ce système fonctionne. Il vous suffit de savoir qu'un aliment ayant un indice glycémique (IG) inférieur à 50 est considéré comme relativement bon pour les diabétiques. Plus l'IG est bas, mieux c'est. Pour vous donner une idée, une pomme a un IG de 39 (quoique cela puisse varier selon le type de pommes). Les frites ont un IG de 95. Le sucre de table a un IG de 80. La stévia, elle, a un IG de 0 (oui, zéro). C'est donc le produit idéal pour atténuer les symptômes du diabète, sans avoir à renoncer le moins du monde aux aliments sucrés.

La stévia régule l'hypertension

Pendant des générations, les Indiens d'Amérique du Sud ont utilisé la stévia pour sucrer leur maté, une sorte de tisane. En plus de son pouvoir sucrant, ils l'utilisaient pour diminuer la pression sanguine chez les personnes souffrant d'hypertension. Actuellement, les médecins d'Amérique du Sud prescrivent même officiellement des médicaments contenant de la stévia pour réguler l'hypertension. En Chine, 2 études cliniques de très bonne qualité et de longue durée (1 an et 2 ans, 750 mg et 1 500 mg de stéviosides par jour) ont donné des résultats concluants auprès de patients souffrant d’hypertension légère ou modérée (réduction d’environ 7 %). (3)

Des recherches approfondies ont également démontré que la stévia ne diminue pas la pression sanguine chez les personnes en bonne santé.

La stévia lutte contre la candidose

Le candida albicans est une levure naturelle présente dans vos intestins, y compris si vous êtes en bonne santé. Mais chez certaines personnes, la population de candida peut exploser, provoquant une infection appelée candidase, avec diarrhées, nausées, vomissements. La principale cause de candidase est la fermentation de sucre dans l'intestin. Par conséquent, on lutte souvent contre la candidase en supprimant le saccharose dans l'alimentation du malade.

Il ne devrait cependant y avoir aucun problème à ce que vous remplaciez le sucre par de la stévia, dans cette situation. Consultez toujours votre médecin avant de modifier votre régime alimentaire, cependant, et veillez à utiliser de l'extrait de stévia pur. Certaines marques ajoutent de la maltodextrine ou de l'inuline dans leurs produits ; ce sont des substances qu'il vaut mieux éviter si vous êtes sujet à la candidase.

Conclusion sur la stévia

Si vous êtes habitué au sucre, l'arrière-goût de réglisse de la stévia peut vous surprendre, et vous mettrez peut-être un petit peu de temps avant de vous y habituer. Mais l'un dans l'autre, les avantages de la stévia compensent très largement cet inconvénient. Alors, faites au moins l'essai !

A votre santé,

Jean-Marc Dupuis

**********************

chico.

chico.


ETUDE
Le sucre plus dangereux que le sel pour la santé
Par Myriam Amara | Mis à jour le 15.09.14
Le sucre, pas le sel, est responsable des hautes pressions sanguines et donc de risques d'attaque cardiaque, révèlent des scientifiques américains.


Selon des chercheurs américains, le sucre est plus dangereux pour la santé que le sel (Photo: DR)
D’après des chercheurs américains, de grandes quantités de sucre affectent l'hypothalamus, une aire dans le cerveau qui provoque une hausse du rythme cardiaque et de la pression sanguine. Ces dernières années, c’est plutôt le sel qui était incriminé pour les mêmes raisons, rapporte lundi 15 septembre le Daily Mail.

Les scientifiques de New York et du Kansas mettent en avant une récente étude menée sur 8670 Français adultes, qui n’a trouvé aucun lien de cause à effet entre le sel et la haute pression artérielle.

Des années durant, la population a été exhortée à diminuer la consommation de sel, pour ne pas dépasser l’équivalent d’une cuillère à café par jour (i.e. 5 ml). Selon des experts, le sodium augmenterait d’un quart les risques d’attaque et causerait trois millions de morts chaque année dans le monde.

Moins de sucre, «la meilleure stratégie diététique»

Mais dans un article publié dans l’American Journal of Cardiology, une équipe dirigée par le Dr James DiNicolantonio affirme que «c’est le sucre et non le sel qui pourrait être le facteur principal de la haute pression sanguine».

«Encourager les consommateurs à manger moins de sucre, et non moins de sel, pourrait être la meilleure stratégie diététique pour maîtriser la pression sanguine.»

D’après les chercheurs américains, un taux trop élevé de sucre affecte non seulement l’hypothalamus mais pousse aussi notre corps à produire plus d’insuline, une hormone qui accélère notre rythme cardiaque.

Le Dr DiNicolantonio, scientifique spécialisé dans la recherche cardiaque à Kansas City, vient ainsi contredire les experts qui ont affirmé que la réduction de la consommation de sel pourrait aider à lutter contre l’obésité et les maladies cardiaques.

(Tribune de Genève)

samuel

samuel
Administrateur

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié ce mercredi 4 mars des recommandations plus sévères pour réduire les quantités de sucre absorbées chaque jour. Une consommation excessive de sucre est mauvaise pour la santé, accroît le risque de surpoids, de diabète et de caries dentaires.
L'agence de l'ONU a rappelé sa recommandation antérieure, datant de 2002, de limiter à 10% la consommation de sucre par rapport à l'apport énergétique quotidien. Elle préconise désormais, «si possible», de réduire cette consommation à moins de 5% de l'apport journalier.
«Une réduction à moins de 5%, soit environ 25 grammes par jour ou six cuillères à café, procurerait des avantages supplémentaires pour la santé», a expliqué le Dr Francesco Branca, directeur du département de la nutrition pour la santé et le développement à l'OMS, en se fondant sur des études scientifiques récentes.
Sucres «cachés»
«Nous avons des preuves solides que de contenir à moins de 10% la consommation quotidienne de sucre réduit le risque de surpoids, d'obésité et de carie dentaire», a affirmé le Dr Branca, au terme d'une procédure de consultation lancée il y a un an. Au cours de cette dernière, plus de 170 commentaires d'experts ont été analysés.
L'OMS souligne qu'une grande partie des sucres consommés aujourd'hui sont «cachés» dans des aliments qui ne sont pas considérés comme des sucreries. Une cuillère à soupe de ketchup contient 4 grammes de sucre caché. Et une seule canette de soda sucré peut contenir jusqu'à 40 grammes de sucre, soit dix cuillères à café. (ats/Newsnet)
(Créé: 04.03.2015, 16h09)

Rene philippe

Rene philippe

Personnellement, je suis diabétique, et donc, je fais attention à mon alimentation. Il y a quelques temps, le stévia est arrivé en France, présenté comme étant révolutionnaire. D'abord, c'était plus cher que les édulcorants; j'ai essayé, mais le goût ne m'a pas plu du tout ! alors, je continue mes édulcorants.

Josué

Josué
Administrateur

Ma femme fait un peu de diabéte et prend son café sans sucre.
perso je n'aime pas le café sans sucre.

Rene philippe

Rene philippe

Josué a écrit: Ma femme fait un peu de diabéte et prend son café sans sucre.
perso je n'aime pas le café sans sucre.
Moi non plus ! même s'il paraît que les "connaisseurs" le préfèrent comme ça. Je ne peux pas démarrer la journée sans mon grand bol de café et une bonne tartine de pain Embarassed

Invité


Invité

Renephilippe2 a écrit:Moi non plus ! même s'il paraît que les "connaisseurs" le préfèrent comme ça. Je ne peux pas démarrer la journée sans mon grand bol de café et une bonne tartine de pain  Embarassed

heu Tu dois être nerveux sans bon sens toi frere !.un bol ! wow tu y penses un peu ? lol moi je prends une tasse de thé et parfois un café dans la journée et le matin deux roties avec beure d'arachide et cela me suffit .

PS: pas si mal les émoticônes.

samuel

samuel
Administrateur

Moi j'en bois deux fois le matin et un autre l'après midi.

Invité


Invité

Le thé est cependant mieux coté que le café pour la santé car il contient des flavonoïdes anti-oxydant. Ce qui est excellent pour les artères mais c'est comme n'importe quoi, il ne faut pas en abuser Very Happy

Rene philippe

Rene philippe

Lecanadien a écrit:
Renephilippe2 a écrit:Moi non plus ! même s'il paraît que les "connaisseurs" le préfèrent comme ça. Je ne peux pas démarrer la journée sans mon grand bol de café et une bonne tartine de pain  Embarassed

heu Tu dois être nerveux sans bon sens toi frere !.un bol ! wow tu y penses un peu ? lol moi je prends une tasse de thé et parfois un café dans la journée et le matin deux roties avec beure d'arachide et cela me suffit .

PS: pas si mal les émoticônes.
Et encore, quand j'étais dans le nord, c'est toute la journée qu'ils ont une cafetière en cours, et souvent, tu les voyais dans la cour une tasse de café dans une main, une cigarette dans l'autre; heureusement, ça se passant dehors Shocked

Invité


Invité

Renephilippe2 a écrit:Et encore, quand j'étais dans le nord, c'est toute la journée qu'ils ont une cafetière en cours, et souvent, tu les voyais dans la cour une tasse de café dans une main, une cigarette dans l'autre; heureusement, ça se passant dehors  Shocked

Ah oui je comprends tout. Disons aussi que j'ai été un bon buveur de café dans l'temps mais plus aujourd'hui car j'essaie de faire attention à cela car trop boire de café ou thé donne des palpitations cardiaques et empeche aussi de dormir convenablement. Je te fais graàce du reste Wink

Rene philippe

Rene philippe

Lecanadien a écrit:
Renephilippe2 a écrit:Et encore, quand j'étais dans le nord, c'est toute la journée qu'ils ont une cafetière en cours, et souvent, tu les voyais dans la cour une tasse de café dans une main, une cigarette dans l'autre; heureusement, ça se passant dehors  Shocked

Ah oui je comprends tout. Disons aussi que j'ai été un bon buveur de café dans l'temps mais plus aujourd'hui car j'essaie de faire attention à cela car trop boire de café ou thé donne des palpitations cardiaques et empeche aussi de dormir convenablement. Je te fais graàce du reste Wink
Un bol le matin (avec un nuage de lait), une petite tasse le midi après manger, jamais l'après-midi et jamais le soir, bien sûr; quand à la cigarette, j'ai essayé une dans mon adolescence, c'était pourri, et j'y ai plus jamais touché, pas maso...

Invité


Invité

Renephilippe2 a écrit:Un bol le matin (avec un nuage de lait), une petite tasse le midi après manger, jamais l'après-midi et jamais le soir, bien sûr; quand à la cigarette, j'ai essayé une dans mon adolescence, c'était pourri, et j'y ai plus jamais touché, pas maso...

Okay Wink . Pour la cigarette il est evident que c'est dangereux. Aujourd'hui c'est même pire. Ça été la même chose pour ma femme car elle en a essayé une quand elle etait plus jeune et n'a jamais persévéré.

Josué

Josué
Administrateur

En France le cafè prime sur le thé.

Invité


Invité

oui en effet. Le thé est à l'angleterre ce que le café est à la France. Wink

samuel

samuel
Administrateur

L'OMS a revu ses recommandations à la baisse : elle conseille désormais de ne consommer que 25 grammes de sucre par jour, contre 50 grammes auparavant. Cela représente 5% de nos apports énergétiques quotidiens, l'équivalent de 6 cuillères à café, ou de sept morceaux de sucre. Une baisse qui permettrait de lutter contre le surpoids, l'obésité et les caries dentaires.
Le sucre est souvent caché
Cette recommandation semble difficile à appliquer, car le sucre est très souvent caché dans des produits qui ne sont pas des sucreries. Par exemple, une cuillère à soupe de ketchup contient quatre grammes de sucre, une canette de soda en contient 40 grammes, soit 10 cuillères à café. Pourtant, l'enjeu sanitaire est important : 16 millions de personnes meurent prématurément chaque année dans le monde à cause d'une alimentation trop riche en graisses et en sucres, qui entraîne diabète, cancers et maladies cardio-vasculaires.

Josué

Josué
Administrateur

Le gras et le sucre en excès nuisent à nos nuits
Mots clés : sommeil, nutrition, alimentation
Par figaro iconCécile Thibert - le 25/01/2016
Une seule journée avec des repas riches en graisses saturées et en sucres suffit à fragiliser notre sommeil.
Si, comme une personne sur six en France, vous souffrez régulièrement d'insomnie, les principales causes identifiées de cette maladie ne vous sont sans doute pas inconnues: stress, consommation d'excitants, rythme de vie irrégulier ou encore utilisation excessive d'écrans. Mais il se pourrait aussi que le coupable présumé de vos nuits blanches se cache finalement dans votre assiette.
Publiée la semaine dernière dans American Academy of Sleep Medicine, une étude a montré qu'un régime riche en graisses saturées - présentes notamment dans le fromage, les viandes grasses, la charcuterie ou dans certains plats industriels- détériore la qualité de nos nuits en raccourcissant la phase de sommeil profond. Par contre une alimentation riche en fibres - présentes dans les fruits, les légumes et les céréales- permet d'augmenter sa durée.
Cinq nuits sous polysomnographe
La phase de sommeil profond, caractérisée par une activité cérébrale ralentie, favorise la sécrétion hormonale et en particulier celle de l'hormone de croissance chez l'enfant. Son rôle est également de renforcer l'efficacité des défenses immunitaires ainsi que l'ancrage des informations dans la mémoire. Plus que le sommeil, c'est donc l'ensemble de l'organisme qui est affecté. L'expérience a également montré qu'un apport en sucre trop important perturbe le sommeil en entraînant des réveils nocturnes fréquents.
Au total, 26 adultes -13 hommes et 13 femmes- âgés de 35 ans en moyenne et ne souffrant pas de problème de poids, ont accepté de passer cinq nuits dans un laboratoire. Les trois premiers jours, ce sont les chercheurs qui ont élaboré leurs menus. C'est à partir du quatrième jour que les participants ont de nouveau eu la possibilité de s'alimenter à leur guise.
Lors des troisième et quatrième nuits, leur sommeil a été étudié par polysomnographie, un examen complet enregistrant plusieurs variables physiologiques telles que le rythme cardiaque et respiratoire, l'activité cérébrale (par électroencéphalogramme) et celle des muscles (par électromyogramme).
Des applications très nombreuses
«Ce qui nous a le plus surpris, raconte Marie-Pierre St-Onge, directrice de l'étude et chercheuse en nutrition au Centre new-yorkais de recherche sur l'obésité, c'est que seule une journée avec ce régime alimentaire a suffi à influencer les paramètres déterminant la qualité du sommeil.»
Ces premiers résultats pourraient permettre d'élaborer des recommandations nutritionnelles favorisant des nuits de sommeil paisibles. «Cette découverte pourrait avoir d'immenses applications en santé publique, étant donné la reconnaissance croissante du rôle du sommeil dans le développement de maladie chroniques comme l'hypertension, le diabète et les maladies cardiovasculaires», a déclaré Marie-Pierre St-Onge.

Josué

Josué
Administrateur

Boissons chaudes à emporter : beaucoup de sucre masqué
Mots clés : nutrition, sucre, alimentation, Boissons, obésité
Par figaro iconPauline Fréour - le 19/02/2016
Une association dénonce les énormes quantités de sucre présentes dans certaines boissons proposées par les chaînes de type Starbucks et Costa Coffee.
En goguette par une froide journée de février, l'envie vous prend d'agrémenter la balade avec une boisson chaude. Ça tombe bien, les chaînes spécialisées dans les cafés à emporter n'ont jamais été si nombreuses. Latte aromatisé, mocha blanc, machiatto caramel: les combinaisons sont alléchantes. Les moufles serrées autour de votre gobelet fumant en carton, vous pensez simplement vous hydrater. Erreur: c'est une bombe calorique que vous sirotez.
Selon l'association britannique Action on sugar, plus d'une boisson chaude aromatisée sur 3 (35%) vendue dans les établissements type Starbucks, Costa coffee, KFC, contient plus de sucre qu'une cannette de coca-cola - qui ne fait pourtant pas figure d'exemple à suivre avec 9 cuillères à café de sucre par canette, soit l'équivalent de 7 biscuits au chocolat.
Si un étiquetage nutritionnel était imposé à ces boissons, 98% afficheraient un logo rouge, poursuit l'association. Les boissons qui affichent les pires scores parmi les 131 testées sont les chais latte, les mochas, les chocolats chauds et les laits chauds parfumés, souvent accompagnés de chantilly. Plus d'une boisson testée sur deux contenait autant voire plus que la dose quotidienne maximale de sucre recommandée par les autorités sanitaires (7 cuillères à café par jour).
Un plaisir qui doit rester rare
La palme du pire est attribuée à une boisson de Starbucks à base de jus de raisin concentré et de lait infusé d'épices (Hot Mulled Fruit Grape), qui dans son format le plus grand, contient 99 grammes de sucre, l'équivalent de 25 cuillères à café! C'est autant que dans 5 muffins, et 3 fois la dose journalière maximale recommandée, traduit Action on sugar.
L'organisme dénonce aussi la taille des boissons proposées par ces enseignes, et plus spécifiquement Starbucks, qui détient le record avec un gobelet de 568 ml.
«Ces boissons chaudes aromatisées devraient rester un plaisir occasionnel, et ne pas être une boisson de tous les jours, met en garde Kawther Hashem, nutritionniste pour Action on sugar. Elles sont lestées d'une quantité incroyable de sucre et de calories (
) Notre conseil, c'est de prendre une boisson chaude à la composition simple, de demander la quantité minimale de sirop, de préférence sans sucre, et de choisir les plus petits gobelets».
Starbucks a réagi en disant viser une réduction de sucre de 25% dans ses boissons gourmandes d'ici à 2020, rapporte le Guardian. La société Costa a pour sa part fait savoir qu'elle avait déjà pris des mesures pour abaisser la quantité de sucre dans ses produits et qu'elle fixerait de nouveaux objectifs pour le sucre et le sel en avril.

samuel

samuel
Administrateur

Le malheur c'est comme pour le sel il y en a partout.

Josué

Josué
Administrateur

SUCRES CACHÉS : CES ALIMENTS QUI EN REGORGENT

avec
NUTRITION – "60 millions de consommateurs" a analysé 192 aliments afin de déterminer la quantité de sucre qui s’y cache. Le résultat est surprenant.

Pizzas, vinaigrettes, sodas, les sucres sont partout. Photo: ISOPIX/SIPA
Quand nous mangeons des gâteaux ou des bonbons, nous savons que nous ingurgitons du sucre. Mais quand nous prenons une part de pizza ou que nous mettons de la vinaigrette dans notre salade, nous y pensons moins. Pourtant, le sucre est bien présent. Trop ? C’est en tout cas l’analyse que vient de faire 60 millions de consommateurs dans son dernier numéro.

EN SAVOIR + >> Pas plus de 25 grammes de sucres par jour : 3 conseils pour y arriver

L’association s’est intéressée à 192 aliments différents afin de déterminer la quantité de sucre présente dans chacun. Une analyse réalisée en partenariat avec la Fédération française des diabétiques. Ils ont fait la traque aux sucres cachés dans l’alimentation, et le constat est sans appel : il y en a trop. Pourtant, une consommation trop importante peut entraîner du diabète, des maladies cardiovasculaires et causer du surpoids. Aucune catégorie ne semble épargner par cette omniprésence.

► Les sauces crudités
Spontanément, les consommateurs pensent que les sauces allégées le sont aussi en sucres : erreur. 60 millions de consommateurs s’est penché sur la composition de deux sauces différentes, une...

Josué

Josué
Administrateur

Les sucres ajoutés, véritables dangers dans notre alimentation
Par Damien Mascret Mis à jour le 10/03/2017 à 17:26 Publié le 10/03/2017 à 15:4
Présents dans les boissons sucrées mais aussi dans de nombreux produits transformés, les sucres contribuent à l’épidémie mondiale de diabète.

En 2015, au Canada, la consommation moyenne de boisson sucrée équivalait à une canette par habitant et par jour, et près de deux canettes chez les 9-18 ans, soit 64 grammes de sucre. Le triple de la consommation des enfants français de cet âge.
À ce rythme-là, les chercheurs de l’université de Waterloo (Ontario) ont estimé qu’au cours des vingt-cinq prochaines années, la consommation de boissons sucrées au Canada serait responsable de plus de 63.000 décès, 40.000 accidents vasculaires cérébraux, 100.000 cancers, 300.000 infarctus du myocarde, de 1 million de diabétiques et de 3 millions d’obèses. Une étude de l’Imperial College de Londres, publiée en 2015, évaluait l’impact des boissons sucrées dans le monde à 184.000 morts par an, dont 133.000 à cause du diabète.
«Saviez-vous que dans un cordon-bleu, des chips, des biscottes ou des yaourts aromatisés, il y a beaucoup de sucres ?»
Béatrice de Reynal, nutritionniste
Voilà pourquoi, après s’être attaqués au tabac, au cholestérol puis à l’excès de sel dans notre alimentation, les spécialistes de la santé publique sont désormais en guerre contre le sucre. Pas celui que l’on trouve dans les fruits ou les aliments naturels, non, ce sucre-là est habituellement consommé en trop petite quantité pour inquiéter réellement les nutritionnistes. Celui qui préoccupe les experts du monde entier est plus redoutable, c’est le sucre caché.
Parfois mal caché, dans les boissons sucrées, parfois mieux, dans les plats tout préparés. «Les calories contenues dans les boissons sucrées passent inaperçues car on ne les perçoit pas», explique au Figaro le Pr Éric Renard, chef du service d’endocrinologie, diabète, nutrition au CHU de Montpellier. Mais ce n’est pas le seul piège. «Saviez-vous que dans un cordon-bleu, des chips, des biscottes ou des yaourts aromatisés, il y a beaucoup de sucres?», interroge la nutritionniste Béatrice de Reynal dans Ouvrez l’œil avant d’ouvrir la bouche (Robert Laffont, 2016).
Cet ingrédient «quasi magique» permet d’accroître les ventes

Alors pourquoi le sucre inonde-t-il notre univers nutritionnel, des boissons sucrées aux gâteaux apéritifs salés en passant par les plats tout préparés? Pour nous rendre heureux! Les géants de l’agroalimentaire ont en effet compris depuis longtemps qu’ajouter cet ingrédient «quasi magique» à leurs produits permettait d’accroître les ventes. Ils ont même inventé le terme de «point de félicité» pour qualifier le goût sensoriel optimal d’un mets.
Dans son livre Sucre, sel et matières grasses (Calmann-Lévy, 2014), le journaliste américain Michael Moss raconte comment l’un des consultants vedette de l’agroalimentaire, Howard Moskowitz, a découvert le point de félicité en 1972, en testant différentes compositions destinées à améliorer le goût des rations militaires de l’US Army. «Notre goût pour un aliment augmente en même temps que la quantité de sucre qu’il contient, mais seulement jusqu’à un certain point , explique Moskowitz, ajouter du sucre après ce pic n’était pas seulement du gâchis, ça diminuait l’attrait de l’aliment.»
Selon les repères de consommations alimentaires déterminés par l’Agence de l’alimentation (Anses) pour la population française, il faut «limiter les apports de sucres totaux de la population en deçà de la valeur maximale de 100 g/j». Un Français sur cinq est au-dessus de ce seuil. Un homme sur trois, entre 18 et 34 ans.
«Le sucre n’est pas un macronutriment essentiel. Vous n’avez pas besoin de consommer un seul gramme de sucre alimentaire»
James DiNicolantonio, expert sur les maladies cardio-vasculaires
L’accumulation de données est accablante pour le sucre, comme le confirme l’expertise réalisée par l’Anses: «La consommation de sucres au-delà de certaines quantités présente des risques pour la santé par des effets directs sur la prise de poids, l’augmentation de la triglycéridémie et de l’uricémie ainsi que par des effets indirects sur le diabète de type 2 et certains cancers, maladies qui constituent actuellement des enjeux de santé publique majeurs.»
Le rôle du sucre dans l’apparition du diabète a longtemps été nié, comme le fut celui du tabac dans le cancer du poumon. Chercheur à l’institut de cardiologie St Luke de Kansas City, James DiNicolantonio, est l’un des principaux experts américains sur les maladies cardio-vasculaires. Il dénonce dans un livre à paraître en juin prochain les restrictions excessives concernant le sel (The Salt Fix, Penguin Random House, 2017). «Le sucre, d’un autre côté, n’est pas un macronutriment essentiel, explique-t-il au Figaro. En d’autres termes, vous n’avez pas besoin de consommer un seul gramme de sucre alimentaire. Fondamentalement, nous ne devrions pas consommer beaucoup de sucres ajoutés (saccharose ou sucre de table, sirop de maïs à haute teneur en fructose) et viser un objectif de moins de 10 % du total des calories ingérées.»
«Ce n’est pas le sucre qui cause le diabète chez des personnes qui ne sont pas à risque, mais il le révèle chez les personnes prédisposées», conclut le Pr Éric Renard.
http://sante.lefigaro.fr/article/les-sucres-ajoutes-veritables-dangers-dans-notre-alimentation

Josué

Josué
Administrateur

L’addiction au sucre trouve son origine au plus profond du cerveau, là où agissent toutes les autres drogues.
Le sucre, blanc comme de la cocaïne… En 2007, Serge Ahmed et son équipe de l’université de Bordeaux relançaient avec virulence un débat qui perdurait depuis des années sur le pouvoir addictif du sucre. Les chercheurs montrent alors que le saccharose a un potentiel d’addiction plus élevé que la cocaïne! Dans leurs expériences, des rats avaient le choix entre une boisson sucrée et des doses croissantes de cocaïne. Et sur 100 rats testés, 94 préférèrent le sucre. Bien vite, au regard de ce pouvoir d’addiction, le sucre fut assimilé à une drogue dure. L’industrie sucrière s’indigna et réfuta ces résultats, faisant valoir entre autres que ces derniers n’étaient en rien applicables à l’homme.
Depuis, les recherches cliniques se sont enchaînées et, affirme Serge Ahmed, «elles laissent penser qu’il existe réellement un syndrome d’addiction aux aliments riches en sucres chez l’homme. Un patient est considéré comme dépendant aux produits sucrés, ou à une autre substance, quand il présente au minimum deux des onze critères d’addiction définis par le DSM (Manuel diagnostique des troubles mentaux, ndlr) pendant au moins un an. Or, de nombreuses personnes affirment ne pas pouvoir réduire leur consommation de sucre bien qu’elles aient conscience des effets délétères sur leur santé. C’est là une signature des plus courantes».
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Le goût du sucre augmente avec la prise de poids

Son pouvoir d’addiction semble toutefois moins important que celui évalué chez les rats en 2007. D’après les études, 5 % des consommateurs réguliers pourraient développer une dépendance aux délices sucrés (ce qui est déjà très important pour un simple nutriment) alors que 20 % des usagers de cocaïne deviennent accros à cette drogue et que 30 % des fumeurs s’aliènent à la cigarette. Néanmoins, précise Serge Ahmed, «le pouvoir d’addiction du sucre augmente avec la prise de poids. Une étude récente réalisée chez des femmes obèses a montré que près de 25 % d’entre elles avaient une relation addictive au sucre! Vous imaginez le problème? Il y a 7 à 8 millions d’adultes souffrant d’obésité en France et un quart peuvent être potentiellement accros au sucre alors qu’ils devraient maigrir et donc réduire les apports… en sucre!»
Mais d’où vient cette appétence? Et comment y faire face? «Le goût pour le sucré est inné», explique le Dr Pierre Nys, endocrinologue-nutritionniste. Nous l’apprécions donc tous très tôt». Par ailleurs le sucre a un effet apaisant et antistress avéré. Aussi dans un monde qui angoisse, il s’invite facilement à table. Enfin, chez certaines personnes, l’ingestion de sucres (glucides) aboutit à un effet paradoxal: des baisses de glycémie (le taux de sucre dans le sang) dites réactives. Devant l’apport sucré, l’organisme sécrète une quantité importante d’insuline - une hormone hypoglycémiante - dont l’effet persiste après que la glycémie est redevenue normale. Le cerveau ne tolère pas cette hypoglycémie et réclame encore du sucre.»

Josué

Josué
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[size=35]L'aspartame, faux sucre, vrai danger ?[/size]
Stévia : 7 fois meilleure que le sucre   1983-190949
Photo : Pixabay
C'est un des paradoxes de notre époque : on peut vous conseiller un médicament, un vaccin voire un aliment durant des années, pour finir par vous apprendre qu'en réalité, cela pouvait se révéler dangereux pour votre santé. C'est ainsi : bien des avis médicaux changent au fil du temps. C'est le cas pour l'aspartame, ce faux sucre dont on nous vante pourtant les mérites depuis des décennies, et que l'on retrouve dans bon nombre des produits achetés et consommés en France au quotidien. Depuis les yaourts et les chewing-gums, en passant par les sodas, et bien sûr les « sucrettes » des amateurs de café, l'aspartame s'est invitée un peu partout depuis son apparition dans les années 1980. Cet additif alimentaire prenant la forme d'une poudre blanche donne un goût sucré à tout et n'importe quoi. Il faut dire que son pouvoir sucrant est environ 200 fois supérieur à celui du sucre, l'un des pires ennemis de notre organisme, au potentiel addictif aussi important que celui de l'alcool et de la cocaïne.

Hélas, l'aspartame, elle non plus, n'est pas sans défaut. Bien au contraire : elle vient d'être classée "possiblement cancérogène" par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). Une annonce qui a fait l'effet d'un véritable tremblement de terre dans le monde de l'industrie agro-alimentaire, qui raffole de cet édulcorant. Les conclusions de cet organisme faisant partie l'Organisation mondiale de la santé (OMS), parues dans les colonnes de la revue scientifique The Lancet Oncology, sont en effet sans appel. Pour arriver à cet avis, les résultats de pas moins de 1300 études sur le cancer chez l'homme et l'animal de laboratoire ont été passés au crible. Et notamment une étude française d'envergure parue en mars 2022 et menée auprès de plus de 100 000 adultes entre 2009 et 2021. Selon elle, les personnes consommant le plus d'édulcorants, en particulier d'aspartame et d'acésulfame-K, présentaient un risque accru de développer un cancer, en particulier du sein ou lié à l'obésité. « Ces résultats ne soutiennent pas l'utilisation d'édulcorants en tant qu'alternatives sûres au sucre », concluait cette étude.

Pour autant, l'aspartame ne va pas être interdite. Étonnamment, le Comité mixte d'experts des additifs alimentaires (JECFA) n'est même pas allé jusqu'à préconiser d'abaisser la dose maximale recommandée au quotidien. En effet, pour l'instant, les études n'ont montré que des preuves « limitées » de cancer chez l'homme et l'animal, selon l'OMS. En attendant d'en savoir plus, le plus prudent est de limiter sa consommation d'aspartame au quotidien. Selon l'Agence européenne de sécurité des médicaments, la dose journalière admissible pour l'homme est de 40 mg par kilogramme de poids corporel. Soit, par exemple, 2 400 mg par jour pour une personne pesant 60 kg. À titre de comparaison, une simple canette de soda light à l'aspartame contient entre 200 et 300 mg. Le plus simple est de commencer par s'en passer, de ne pas sucrer son café… et de boire de l'eau !

Judikael Hirel

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