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L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous.

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Rene philippe
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Josué
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Josué

Josué
Administrateur

[size=38]L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous[/size]

Marlène Schiappa a dénoncé mardi 28 janvier les propos d’un responsable musulman, Abdallah Zekri, au sujet de l’« affaire Mila », les qualifiant de « criminels ». « Qui sème le vent récolte la tempête », avait estimé le délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), à propos de cette jeune fille qui a reçu insultes et menaces de mort après une diatribe contre l’islam.



  • Xavier Le Normand, 
  • le 28/01/2020 à 12:42




Lecture en 2 min.

L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. Propos-dAbdallah-Zekri-propos-affaire-Mila-vivement-reagir-Marlene-Schiappa-secretaire-dEtat-chargee-lEgalite-entre-femmes-hommes-mardi-28-janvier-plateau-France-Inter_0_729_410



Les propos d’Abdallah Zekri à propos de l’ « affaire Mila » ont fait vivement réagir Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, mardi 28 janvier sur le plateau de France Inter.[size=12]LEUNGCHOPAN/ADOBE
[/size]

L’« affaire Mila », du nom de cette adolescente de 16 ans qui a reçu des centaines de menaces de mort et d’insultes après ses propos peu amènes sur l’islam sur Instagram (« je déteste la religion, (…), l’islam c’est de la merde (…) votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul »), n’en finit pas de susciter des remous. Jeudi 23 janvier, Abdallah Zekri, délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), a ainsi estimé au micro de Sud Radio que « cette fille sait très bien ce qu’elle fait, qui sème le vent récolte la tempête ».
S’il a assuré qu’il était « entièrement contre » les menaces de mort dirigées contre Mila, il n’en a pas moins estimé que ses propos ne relevaient pas de liberté d’expression, mais plutôt de l’« insulte » et de la « provocation ». À l’inverse de Charlie Hebdo qui, selon une affirmation étonnante d’Abdallah Zekri, « fait des caricatures, mais dans le respect, sans insulter ».

Les propos d’Abdallah Zekri ont fait vivement réagir Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, qui les a critiqués avec virulence mardi 28 janvier sur le plateau de France Inter. Elle a ainsi dénoncé vertement des « propos criminels (…) des propos coupables ». Pour elle, les mots du délégué général du CFCM sont « indignes d’un responsable, qui est un leader d’opinion et qui a une parole dans le débat public ». Dès le 24 janvier, Mohammed Moussaoui, président du CFCM, avait déjà semblé prendre ses distances avec Abdallah Zekri en écrivant sur Twitter que « rien ne saurait justifier les menaces de mort à l’égard d’une personne quelle que soit la gravité des propos tenus ».

Plusieurs associations critiquées


Le CFCM n’est toutefois pas la seule entité critiquée pour sa réaction à l’« affaire Mila ». L’association Ni putes ni soumises a par exemple été vivement critiquée sur les réseaux sociaux en raison de son message affirmant un soutien à la jeune fille, tout en précisant aussitôt : « mais nous n’approuvons pas ses propos offensants pour nombre de personnes même modérées ». D’autres associations féministes ou LGBT ont également été prises à partie pour leur relatif silence, d’autant que les propos de Mila sur les religions (et l’islam en particulier) répondaient à une insulte homophobe, la jeune fille se disant lesbienne. Ces critiques ont également visé plusieurs responsables politiques.

Dans une tribune parue sur le site du Figaro lundi 27 janvier, plusieurs juristes de haut niveau – dont une ancienne membre du Conseil constitutionnel, un ancien bâtonnier de Paris ou encore un ancien premier président de la cour d’appel de Paris – se sont par ailleurs émus de la décision du procureur de la République de Vienne d’ouvrir deux enquêtes : la première visant les menaces contre Mila, la seconde contre la jeune fille pour « provocation à la haine religieuse ». Pour les signataires, par cette seconde enquête « le parquet amorce le basculement de tous les dangers pour la liberté d’expression : celui qui conduit à voir dans une charge contre la religion une incitation à la haine, ou une injure, ou une diffamation contre les croyants ».

Lechercheur



Personne ne sort grandie de cette affaire n'y son auteur et n'y les auteurs des menaces de mort a son égard.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Cette affaire fait du bruit sur les réseaux sociaux .

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Invitée à s'exprimer sur Quotidien ce lundi, la lycéenne de 16 ans menacée de mort est revenue sur l'affaire, à visage découvert.

Elle a été inondée de menaces sur les réseaux sociaux. Mila, la lycéenne iséroise de 16 ans dont les virulentes critiques sur l'islam ont été massivement relayées prend la parole pour la première fois depuis la polémique ce lundi soir dans l'émission Quotidien. Elle revient en détail sur l'affaire qui l'a fait quitter son lycée. Elle est toujours déscolarisée, car "pas en sécurité", et affirme que sa vie "est à l'arrêt". 
LIRE AUSSI >> Affaire Mila : "Nous paierons cher cette lâcheté" 
"Je me suis dit qu'il fallait que je m'exprime, que je prenne la parole par rapport à tout ça, quitte à le faire qu'une fois. Il fallait que je démontre une image différente de la fille que tout le monde a vue sur cette vidéo devenue virale. Je n'ai pas à me cacher, je n'ai rien fait de mal", explique-t-elle, interrogée par Yann Barthès. 

"J'ai toujours su faire la différence entre une religion et des personnes" 


Mila revient sur le 18 janvier, quand tout a commencé. "Je faisais un live où je me maquillais, en direct sur Instagram", se souvient-elle, affirmant qu'elle n'était regardée alors que par 10 à 30 personnes. Alors qu'elle parle de sa nouvelle couleur de cheveux, un garçon l'aborde dans le chat du live, pour la draguer, selon elle. "Je l'ai remis à sa place", affirme-t-elle.  

Belloubet sur l'affaire Mila : "un très mauvais signal pour la liberté d'expression" 
Mais il revient à la charge lorsque avec une abonnée, elles échangent sur leur orientation sexuelle et leurs goûts en matière de filles. Alors que Mila admet que les "noires et arabes" ce n'est pas trop son style de filles, le "dragueur" commence à la prendre à partie. "Il m'a insultée de sale lesbienne, sale raciste. Le sujet a basculé dans la religion, puis j'ai arrêté le live." Mais elle raconte alors avoir reçu des dizaines de messages violents. C'est pour cela qu'elle va publié sa story polémique dans laquelle elle s'en prend à la religion musulmane.  

La jeune lycéenne regrette deux choses aujourd'hui : "l'avoir dit sur les réseaux sociaux et d'une manière aussi vulgaire". Mais elle "ne regrette absolument pas [ses] propos, c'était vraiment [sa] pensée". "Je m'excuse un petit peu pour les personnes que j'ai pu blesser, qui pratiquent leur religion en paix, et je n'ai jamais voulu viser des êtres humains, j'ai voulu blasphémer, j'ai voulu parler d'une religion, dire ce que j'en pensais", a-t-elle précisé. 

papy

papy

C'est fou cette haine qui se propages sur les réseaux sociaux, cela fait peur.

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]Les Français (très) partagés sur l’affaire Mila et le droit au blasphème[/size]
L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. PlaceholderLa jeune Mila sur le plateau de l’émission « Quotidien », lundi 3 février 2020. (Capture d’écran/"Quotidien")

Selon un sondage Ifop pour « Charlie Hebdo », les Français sont partagés à 50/50 sur le droit au blasphème.

Par L'Obs avec AFP
Publié le 05 février 2020 à 08h45

 

 

 

Les Français sont divisés (50 % pour, 50 % contre) sur le droit au blasphème, ce droit de pouvoir critiquer une religion, selon un sondage Ifop pour « Charlie Hebdo » publié mardi 4 février au sujet de l’affaire Mila, cette adolescente faisant l’objet de menaces après avoir critiqué l’islam.
Ce sondage est réalisé quinze jours après la publication sur les réseaux sociaux d’une vidéo de cette lycéenne iséroise de 16 ans, dans laquelle elle critique l’islam de manière virulente, après avoir reçu des insultes homophobes. Elle a depuis été menacée de mort et de viol, et n’a toujours pas réintégré son établissement scolaire.

A la question « êtes-vous favorable à ce droit de critiquer, même de manière outrageante, une croyance, un symbole ou un dogme religieux ? », les personnes interrogées répondent à 50 % y être favorables (21 % « tout à fait favorables » et 29 % « plutôt favorables »), et à 50 % « pas favorables » (33 % « plutôt pas favorables » et 17 % « pas du tout favorables »).
Par ailleurs, 58 % des sondés estiment que les propos tenus par Mila ne relèvent pas de la « provocation à la haine à l’égard d’un groupe de personnes, en raison de leur appartenance à une race ou à une religion déterminée ».
Le parquet de Vienne avait initialement ouvert une enquête pour ce motif, avant de la classer sans suite.

grandjean

grandjean

papy a écrit:C'est fou cette haine qui se propages sur les réseaux sociaux, cela fait peur.

cest lhopital qui se fout de la charité ?

le present forum nest que pretexte a vomir votre haine contre les catholiques les protestants les musulmans et globalement contre tout ce qui nest pas temoin de jehovah. 20 morts en tanzanie dont plusieurs enfants et pas un seul mot de compassion a legard des victimes et de leur famille juste de la haine et des moqueries.

Invité


Invité

grandjean a écrit:
papy a écrit:C'est fou cette haine qui se propages sur les réseaux sociaux, cela fait peur.

cest lhopital qui se fout de la charité ?

le present forum nest que pretexte a vomir votre haine contre les catholiques les protestants les musulmans et globalement contre tout ce qui nest pas temoin de jehovah. 20 morts en tanzanie dont plusieurs enfants et pas un seul mot de compassion a legard des victimes et de leur famille juste de la haine et des moqueries.

Nous n'avons aucune haine contre personne, simplement du respect pour parler avec les autres de la réalité

Tu peut etre dans la religions que tu veux je connais plein de gens de differentes religions et j'ai du plaisir a parler avec eux, meme que un tres bonne conversation etait avec un musulman, j'ai youjours du plaisir de lui parler ...

Josué

Josué
Administrateur

Il faut nous montrer un sujet qui incite a la haine  sur des catholiques et protestants.
La formule tuer les tous car Dieu reconnaîtra les siens n'est pas de nous.
Tu devrais changer de logo et ne pas mettre une colombe, mais plutôt un vautour.

Rene philippe

Rene philippe

grandjean a écrit:
papy a écrit:C'est fou cette haine qui se propages sur les réseaux sociaux, cela fait peur.

cest lhopital qui se fout de la charité ?

le present forum nest que pretexte a vomir votre haine contre les catholiques les protestants les musulmans et globalement contre tout ce qui nest pas temoin de jehovah. 20 morts en tanzanie dont plusieurs enfants et pas un seul mot de compassion a legard des victimes et de leur famille juste de la haine et des moqueries.

Tu sais, entre ton insistance de la page 158, maintenant ta remarque infondée et improuvable (on parie que tu ne donneras aucun exemple et que tu « oublieras » de répondre), tu dévoiles petit à petit ton véritable but de ta venue dans le forum.

À bon entendeur...

Josué

Josué
Administrateur

Attend je pense que tu te trompes de personne.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Rene philippe a écrit:
grandjean a écrit:
papy a écrit:C'est fou cette haine qui se propages sur les réseaux sociaux, cela fait peur.

cest lhopital qui se fout de la charité ?

le present forum nest que pretexte a vomir votre haine contre les catholiques les protestants les musulmans et globalement contre tout ce qui nest pas temoin de jehovah. 20 morts en tanzanie dont plusieurs enfants et pas un seul mot de compassion a legard des victimes et de leur famille juste de la haine et des moqueries.

Tu sais, entre ton insistance de la page 158, maintenant ta remarque infondée et improuvable (on parie que tu ne donneras aucun exemple et que tu « oublieras » de répondre), tu dévoiles petit à petit ton véritable but de ta venue dans le forum.

À bon entendeur...
Oui tu te trompes de personne avec grfrançois.

Lechercheur



grandjean a écrit:
papy a écrit:C'est fou cette haine qui se propages sur les réseaux sociaux, cela fait peur.

cest lhopital qui se fout de la charité ?

le present forum nest que pretexte a vomir votre haine contre les catholiques les protestants les musulmans et globalement contre tout ce qui nest pas temoin de jehovah. 20 morts en tanzanie dont plusieurs enfants et pas un seul mot de compassion a legard des victimes et de leur famille juste de la haine et des moqueries.
Mais pourquoi tu ne montres pas ta compassion sur ce triste accident ?

papy

papy

Lechercheur a écrit:
grandjean a écrit:
papy a écrit:C'est fou cette haine qui se propages sur les réseaux sociaux, cela fait peur.

cest lhopital qui se fout de la charité ?

le present forum nest que pretexte a vomir votre haine contre les catholiques les protestants les musulmans et globalement contre tout ce qui nest pas temoin de jehovah. 20 morts en tanzanie dont plusieurs enfants et pas un seul mot de compassion a legard des victimes et de leur famille juste de la haine et des moqueries.
Mais pourquoi tu ne montres pas ta compassion sur ce triste accident ?
Mais le prédicateur qui c'est sauvé suite a cet accident il montré de la compassion pour ses ouailles ?
Que te haine que du diffuse dans tes propos.
Cela fait peine a voir.

Josué

Josué
Administrateur

Une adolescente qui a insulté l’islam relance le débat sur la critique des religions
Les faits Une adolescente de la région lyonnaise a attaqué de manière virulente la religion musulmane sur Instagram. Depuis, elle subit insultes et menaces de mort. Deux enquêtes ont été ouvertes : l’une la visant pour « provocation à la haine raciale » et l’autre, dont elle est victime pour « menaces de mort, menace de commettre un crime et harcèlement ».

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour à tous

L'expression deux poids, deux mesures signifie juger deux choses analogues avec partialité, selon des règles différentes. Elle implique donc un sens de la justice à géométrie variable, trop seulement dicté par les circonstances, et qui résulte en une inégalité de traitement.

Je vous laisse écouter ce partage, cela vous aideras à mieux comprendre la problématique :

http://www.aimer-jesus.com

Lechercheur



Mais qui a porté un jugement dans cette article ?

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour Lechercheur

Le but du partage de ma video était de réfuter l'idée de la légitimité d'insulter l'Islam. C'est pourquoi j'ai soulevé la notion de deux poids, deux mesures. La vrai question serait plutôt qu'elle est le traitement biblique à l'égard de ceux qui insultent Dieu ?

J'attends ta réponse à la lumière des textes de la Bible ...

http://www.aimer-jesus.com

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Les autres religions sont malheureusement aussi insulter et ne  font pas un anathème sur l'insulte urls pour autant.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]« Affaire Mila », Emmanuel Macron réaffirme le « droit au blasphème »[/size]

Les faits 

Dans un entretien exclusif publié mercredi 12 février sur le site du Dauphiné libéré, le président a rappelé le droit de « critiquer les religions », et défendu la jeune adolescente Mila, menacée de mort après avoir injurié l’islam sur les réseaux sociaux.



  • Malo Tresca (avec AFP), 
  • le 12/02/2020 à 13:35



L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. Emmanuel-Macron-revenu-controverse-entourant-propos-jeune-lyceenne-iseroise-Mila-menacee-mortavoir-injurie-lislam-reseaux-sociaux_0_729_486



Emmanuel Macron est revenu sur la controverse entourant les propos de la jeune lycéenne iséroise Mila, menacée de mort après avoir injurié l’islam sur les réseaux sociaux.[size=12]GRÉGORY YETCHMENIZA/PHOTOPQR/LE DAUPHINE/MAXPPP
[/size]
Jusque-là, il était resté plutôt relativement silencieux sur l’« affaire », contrairement à certains de ses ministres. Dans un entretien accordé au Dauphiné libéré (1) et à plusieurs titres du groupe Ebra, publié mercredi 12 février, le président Emmanuel Macron est revenu sur la controverse entourant les propos de la jeune lycéenne iséroise Mila, menacée de mort après avoir injurié l’islam sur les réseaux sociaux.
→ EXPLICATION. Affaire « Mila » : les religions face aux insultes

Interrogé sur la polémique parmi bien d’autres sujets – la transition énergétique, la préservation de l’environnement, les gilets jaunes… –, le chef de l’État a tenu à rappeler la loi. « [Celle-ci] est claire : nous avons droit au blasphème, à critiquer, à caricaturer les religions », a-t-il martelé au quotidien local, « ce qui est interdit, c’est l’appel à la haine, l’atteinte à la dignité. Je ne céderai pas là-dessus. L’ordre républicain n’est pas l’ordre moral ».

« L’État a pris ses responsabilités »


Après avoir été contrainte de quitter son lycée sous la pression du cyberharcèlement et d’un déferlement de menaces de mort, Mila a été finalement rescolarisée, à partir du jeudi 6 février, dans le sillage d’une proposition du ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer. Alors que la jeune fille reste extrêmement critiquée en France, le nom de son nouvel établissement n’a pas été dévoilé, par mesure de sécurité.
« La crispation autour des religions est une tradition française »
« Dans ce débat, on a perdu de vue que Mila est une adolescente (…) », a encore déploré Emmanuel Macron, rappelant la « tolérance » à adopter, en tenant compte aussi du jeune âge de Mila : « on lui doit donc une protection à l’école, dans sa vie quotidienne, dans ses déplacements. L’État a pris ses responsabilités ». Selon le chef de l’État, les enfants doivent « être mieux protégés » contre les « nouvelles formes de haine et de harcèlement en ligne ».

« Insulte à la religion »


Peu après les faits, la polémique avait fait irruption dans la sphère politique, dans le sillage d’une déclaration de la ministre de la justice, Nicole Belloubet, affirmant que « l’insulte à la religion, c’est évidemment une atteinte à la liberté de conscience ». La phrase avait suscité un tollé, lui valant d’être accusée de mal connaître le droit, ou de justifier le délit de blasphème. Dans une tribune publiée dans Le Monde daté du dimanche 9 février, celle-ci avait finalement regretté des propos « inexacts ».
Lors d’un déplacement au festival de la BD d’Angoulême, le 30 janvier dernier, Emmanuel Macron avait aussi déjà évoqué succinctement « la liberté de blasphème » ; « dans notre pays la liberté d’expression est protégée, dans ce pays et il y en a peu dans le monde, la liberté de blasphème est protégée, de critiquer les dirigeants, de les railler et ça c’est un trésor ».

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]Affaire Mila : « Elle avait mal parlé de Dieu, j’ai écrit ça pour me défouler »[/size]

[size=30]Treize personnes sont jugées ce 3 juin pour « harcèlement en ligne » et « menaces de mort » à l’encontre de Mila. Leurs déclarations sont édifiantes.[/size]


L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. 21763645lpw-21766893-article-jpg_8005152_660x281
À partir du 3 juin, 13 personnes seront jugées pour « harcèlement en ligne » et « menaces de mort » à l'encontre de Mila.:copyright: Vincent Isore / MAXPPP / IP3 PRESS/MAXPPP
L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. Nicolas-bastuck_50x50Par Nicolas Bastuck
Publié le 28/05/2021 à 17h37 - Modifié le 03/06/2021 à 09h38

[size=55]« Je suis le prix de votre liberté » : c'est le titre de son livre, à paraître le 23 juin, chez Grasset. Mila y évoque son enfance, sa vie d'avant et celle d'après, ses passions (le dessin, le maquillage artistique, la musique…), les réseaux sociaux et leur violence, mais aussi Dieu, le sexe, l'amour et la liberté d'expression… Mais avant cela, la jeune Iséroise, majeure depuis cette année, a un rendez-vous important. Un rendez-vous judiciaire.[/size]
Ce jeudi 3 juin, devant la 10e chambre correctionnelle du tribunal de Paris, elle y affrontera Jordan, Alyssa, Corentin, Enzo… Dix garçons et trois f...
https://www.lepoint.fr/societe/affaire-mila-elle-avait-mal-parle-de-dieu-j-ai-ecrit-ca-pour-me-defouler-28-05-2021-2428609_23.php?M_BT=52544877662#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20210603.

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]harceleurs : « La peur a changé de camp »[/size]

[size=30]Les débats « au fond » ont été renvoyés aux 21 et 22 juin, mais cette première audience de pure forme a offert une tribune insensée à l’avocat Juan Branco.[/size]


L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. 21807533lpw-21808034-article-jpg_8006785_660x281
Mila et ses avocats, dont Richard Malka (à droite), à l'ouverture du procès le 3 juin 2021. :copyright: BERTRAND GUAY / AFP
L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. Nicolas-bastuck_50x50Par Nicolas Bastuck
Publié le 03/06/2021 à 21h08 - Modifié le 04/06/2021 à 06h47

[size=55]S'ils n'étaient assis sur le banc des prévenus, on pourrait croire à des élèves d'une classe de terminale en visite pédagogique au tribunal. Ils sont remarquablement calmes, bien peignés et taiseux. Tassés sur leur banc, regardant leurs chaussures, engoncés pour certains dans une doudoune anachronique pour la saison, ils semblent ne toujours pas en revenir d'être là, cités en correctionnelle comme de vulgaires revendeurs de cannabis ou de simples voleurs à la roulotte, eux dont le casier est on ne peut plus vierge.
Elle ne détonnerait pas à leurs côtés ; elle a le même âge qu'eux, ou presque...
[/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]Mila : « Ils me harcèlent à nouveau, j’en peux plus, c’est monstrueux »[/size]

[size=30]Son compte Instagram a été piraté lundi et les menaces ont repris sur Twitter. « Je craque, je me demande ce que je fais encore là », se désespère-t-elle.[/size]



L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. Nicolas-bastuck_50x50Par Nicolas Bastuck
Publié le 07/06/2021 à 17h27 - Modifié le 07/06/2021 à 18h05

[size=40]Compte Instagram piraté, menaces et insultes en rafales… Mila vit à nouveau l'enfer, depuis jeudi et l'ouverture du procès de ses harceleurs, finalement renvoyé au 21 juin devant la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris. « Je pensais être tranquille, mais c'est de pire en pire, je suis à nouveau attaquée de manière monstrueuse », confie-t-elle au Point.
Durant plusieurs heures lundi, la jeune Iséroise a été coupée de sa « communauté Insta » (Instagram), le « seul lien qu'il (lui) reste avec le monde extérieur ». « Je soupçonne les types qui m'avaient hackée et doxée [le fait de dévoiler des informations sur la vie privée et l'identité d'une personne, NDLR] en janvier 2020 d'être à l'origine de ce nouveau piratage », se désole Mila, âgée aujourd'hui de 18 ans. « L'un de ces sinistres individus, jamais poursuivi et encore moins condamné, s'est vanté sur TikTok (autre réseau social) de torpiller mes comptes en usurpant mon identité et en achetant des abonnés par milliers. Ces types ne me lâcheront jamais ! »[/size]

Rene philippe

Rene philippe

C’est le paradis les réseaux sociaux

vulgate

vulgate

Rene philippe a écrit:C’est le paradis les réseaux sociaux
Il faut quand même dire que cette jeune fille y est allé un peu fort dans ses propos. D'autant que les musulmans sont connus pour leurs réactions violentes et excessives.

Rene philippe

Rene philippe

vulgate a écrit:
Rene philippe a écrit:C’est le paradis les réseaux sociaux
Il faut quand même dire que cette jeune fille y est allé un peu fort dans ses propos. D'autant que les musulmans sont connus pour leurs réactions violentes et excessives.

Je ne sais pas Vulgate, je n'ai pas regardé ce qu'elle a dit

Josué

Josué
Administrateur

vulgate a écrit:
Rene philippe a écrit:C’est le paradis les réseaux sociaux
Il faut quand même dire que cette jeune fille y est allé un peu fort dans ses propos. D'autant que les musulmans sont connus pour leurs réactions violentes et excessives.
Oui, mais de là des menaces de mort, c'est un peu fort.

Rene philippe

Rene philippe

Josué a écrit:
vulgate a écrit:
Rene philippe a écrit:C’est le paradis les réseaux sociaux
Il faut quand même dire que cette jeune fille y est allé un peu fort dans ses propos. D'autant que les musulmans sont connus pour leurs réactions violentes et excessives.
Oui, mais de là des menaces de mort, c'est un peu fort.

Les vies humaines ne valent plus grand chose de nos jours, des meurtres de et entre des jeunes de 14 ans sont courants.

Josué

Josué
Administrateur

Et oui cela confirme ce que dit la bible.
(2 Timothée 3:1-4) 3 Mais sache ceci : que dans les derniers jours des temps critiques, difficiles à supporter, seront là. 2 Car les hommes seront amis d’eux-mêmes, amis de l’argent, arrogants, orgueilleux, blasphémateurs, désobéissants à l’égard de [leurs] parents, ingrats, sans fidélité, 3 sans affection naturelle, sans esprit d’entente, calomniateurs, sans maîtrise de soi, cruels, sans amour du bien, 4 traîtres, entêtés, gonflés [d’orgueil], amis des plaisirs plutôt qu’amis de Dieu [...]

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]Peggy Sastre – Affaire Mila : l’étrange silence des féministes françaises[/size]

[size=30]CHRONIQUE. L’affaire Mila a mis en lumière la tendance de certaines féministes françaises à choisir leurs combats. Comment l’expliquer ?[/size]


L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. 21836440lpw-21836580-article-jpg_8023160_660x281
Pourquoi une telle désaffection de certaines féministes françaises pour certains combats, comme le montre l'affaire Mila ? s'interroge notre chroniqueuse.:copyright: BERTRAND GUAY / AFP
Par Peggy Sastre
Publié le 11/06/2021 à 10h00

[size=55]Les esclandres féministes français sont des phénomènes chaotiques quasi parfaits. Ils semblent n'être régis par aucune loi, et impossible de savoir ce qui va les déclencher, et donc de les prévoir. Pourquoi telle affaire va susciter la bronca et pas une autre, pourquoi le soutien collectif sera galvanisé pour telle personne et pas pour une autre alors que les faits concernés sont similaires et cohérents avec ce qui devrait être exposé, dénoncé, conspué ? À première vue, c'est bien l'aléatoire qui règne en maître absolu.
Mais à bien y regarder, les esclandres féministes français ne sont pas d...
[/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]Mila au procès de ses harceleurs : « Mon avenir ? Je ne le vois pas. »[/size]

[size=30]« Le cyberharcèlement est un univers destructeur », a témoigné Mila, longuement interrogée lundi soir. « On veut juste que ça s’arrête », a confié sa mère.[/size]


L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. 21870254lpw-21870308-article-jpg_8049629_660x287
Mila, au premier jour du procès de ses cyberharceleurs.:copyright: Alexis Sciard / MAXPPP / IP3 PRESS/MAXPPP
L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. Nicolas-bastuck_50x50Par Nicolas Bastuck
Publié le 22/06/2021 à 07h24

[size=55]Toute la journée, les prévenus ont défilé à la barre, assumant avec plus moins de contrition, avec plus ou moins de mauvaise foi, avec plus ou moins de regrets leurs messages haineux, leurs menaces sordides, leurs injures en 280 caractères, leur contribution à cette entreprise massive de harcèlement. Dix hommes et trois femmes, âgés de 18 à 29 ans, jeunes travailleurs, étudiants ou chômeurs, au casier parfaitement vierge. Carré vert (sa nouvelle couleur de cheveux), chemise ample, Mila se rapproche à son tour du tribunal, les traits tirés par dix heures d'audience. « Ça vous a fait du bien...
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Josué

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Administrateur

[size=62]Procès Mila : 11 harceleurs condamnés à de la prison avec sursis[/size]

[size=30]Le tribunal correctionnel de Paris a prononcé des peines allant de 4 à 6 mois de prison avec sursis pour 11 individus accusés d’avoir cyberharcelé Mila.[/size]



L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. BtnClose

Source AFP
Publié le 07/07/2021 à 10h23 - Modifié le 07/07/2021 à 13h28







[size=40]« On a gagné et on gagnera encore. Je ne veux plus jamais qu'on fasse culpabiliser les victimes. » Mercredi, Mila a semblé satisfaite à la sortie de son procès pour cyberharcèlement, au cours duquel 11 des individus accusés de l'avoir insultée, menacée et humiliée sur les réseaux sociaux ont été condamnés à des peines de quatre à six mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Paris. Un autre prévenu a bénéficié d'un vice de procédure et un dernier a été relaxé, faute de preuves. Plusieurs prévenus ont été condamnés en outre à verser à la jeune femme la somme de 1 500 euros en raison des souffrances qu'elle a endurées et à 1 000 euros chacun pour les frais d'avocats.
« Nous vous considérons responsables des dommages causés à Mila », a souligné le président de la 10e chambre correctionnelle, Michaël Humbert, en rendant son jugement. « Le réseau social, c'est la rue. Quand vous croisez quelqu'un dans la rue, on s'interdirait d'insulter quelqu'un, de le menacer, de se moquer. Ce que vous ne faites pas dans la rue, ne le faites pas sur les réseaux sociaux », a insisté le magistrat.

Faute de procédure pour un prévenu, relaxe pour un autre

À l'audience, le parquet avait requis des peines de prison avec sursis contre douze des prévenus et sollicité la relaxe d'un treizième. Les onze jeunes gens condamnés, âgés de 18 à 29 ans, étaient jugés pour avoir diffusé quelques-uns des milliers de messages de haine et des menaces de mort contre Mila.[/size]

Rene philippe

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On en entendra parler de cette affaire, et d’autres qui vont suivre.

Josué

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Administrateur

[size=38]Mila à la Grande mosquée de Paris, un signe d’apaisement Abonnés[/size]

Les faits
 

Au lendemain de la condamnation de onze jeunes ayant harcelé ou menacé en ligne la lycéenne Mila à la suite d’une vidéo polémique sur l’islam, celle-ci a visité la Grande mosquée de Paris, jeudi 8 juillet. Une rencontre qu’elle a voulue « apaisante pour tout le monde ».



  • Mélinée Le Priol (avec AFP), 
  • le 09/07/2021 à 16:43 
  • Modifié le 09/07/2021 à 19:17


L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. Mila-beneficiedeux-heures-visite-VIP-mosquee-jardins-minaret-recteur-Chems-eddine-Hafiz_0

Mila a bénéficié pendant deux heures d’une visite VIP de la mosquée, des jardins au minaret, par son recteur Chems-eddine Hafiz.[size=12]JOEL SAGET/AFP
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Un signe d’apaisement. Tel est le message qu’a voulu envoyer Mila en visitant, jeudi 8 juillet, la Grande mosquée de Paris (GMP) en présence de son recteur Chems-Eddine Hafiz. L’événement, souhaité par la lycéenne elle-même, s’est déroulé devant micros et caméras.
→ RÉCIT. Au procès Mila, des messages de haine postés « sans réfléchir »
La veille, le tribunal correctionnel de Paris

Josué

Josué
Administrateur

Ala sortie des tribunaux, chaque fois que les caméras pointent leur objectif sur Richard Malka et son sourire ignifugé, quelque chose d'un espoir paraît. En salle d'audience, les maux terrifiants de ce siècle viennent d'être auscultés - comme lors du procès des attentats de janvier 2015, où l'avocat représentait [size=16]Charlie Hebdo -, mais le sourire persiste qui semble dire : "Vous ne nous désarmerez pas." Ce fut encore le cas en ce début d'été quand Richard Malka a plaidé pour défendre Mila contre onze de ses harceleurs. Cette jeune femme de 18 ans vit sous protection policière depuis que, il y a un an et demi, elle a tenu des propos virulents sur l'islam qui lui ont valu une avalanche d'insultes et de menaces de mort. Les accusés ont tous écopé de peines allant de quatre à six mois de prison avec sursis. Pour L'Express, l'avocat revient sur cette affaire emblématique.  

Le procès des harceleurs de Mila a donné lieu à une sorte de bataille des récits. Certains commentateurs ont mis en avant la grande diversité des profils culturels et religieux des accusés pour pointer qu'il s'agissait là des dérives "usuelles" des réseaux sociaux, sans rapport avec l'idéologie. D'autres prétendaient que la justice avait "sélectionné" des profils pour noyer le poisson de l'islamisme... Qu'en est-il ? 
Richard Malka Il ne faut pas sombrer dans la paranoïa. La justice a retenu des menaces et messages haineux et violents sans savoir qui en étaient les auteurs, les harceleurs se cachant toujours derrière des pseudonymes, puis elle a découvert les auteurs sans savoir de qui il s'agirait. Et il n'y a pas de dossier laissé de côté. Pour autant, les deux phénomènes se conjuguent. Vous avez, d'une part, le déferlement de haine moutonnier qui enflamme les réseaux sociaux - cette espèce de sauvagerie dopée par un narcissisme aveugle, qui transforme ces jeunes gens en harceleurs. J'ai été frappé par leur absence totale d'informations sur ce qu'ils commentent. Ils ne vont même pas vérifier les propos auxquels ils réagissent par des menaces de mort. En fait, ils les inventent.  


La quasi-totalité des accusés citaient des propos que Mila n'avait jamais tenus. Bien entendu, ils ne lisent pas la presse, ils ne consultent même pas Wikipédia - au moins y auraient-ils appris que les poursuites envisagées contre de Mila avaient immédiatement été abandonnées, puisqu'elle n'a jamais rien dit de raciste. Leur seule source d'informations ce sont les "TT"* sur Twitter. Mais il y a aussi le dévoiement total de l'antiracisme. Tous les harceleurs, sans exception, prétendaient agir en son nom. Un "antiracisme", donc, qui leur permet de souhaiter lapider et lyncher une adolescente de 16 ans et demi pour des propos qu'elle n'a pas prononcés... Vous me direz, le paradoxe ne date pas d'aujourd'hui : c'est aussi au nom du bien qu'on brûlait jadis les "sorcières". On veut toujours brûler des jeunes femmes au nom du bien. A chaque génération, "le mal change de visage", nous dit la Bible. Le mal de cette génération, c'est peut-être celui-là. Une source de violence en tout cas. 
LIRE AUSSI >> Affaire Mila : "Nous paierons cher cette lâcheté" par E. Badinter, M. Gauchet, J. Julliard...
On a beaucoup pointé le silence de figures et d'associations néoféministes, d'habitude plus promptes à s'engager contre le cyberharcèlement ou l'homophobie - dont a été victime Mila depuis le départ. Comment interprétez-vous ce silence ?  
Dans le meilleur des cas, c'est de la lâcheté. De la peur maquillée en bien-pensance. Et dans le pire, il s'agit d'une adhésion opportuniste à l'air du temps. Chez certaines féministes, on fait carrière en disant : "Je ne suis pas Mila." On se donne bonne conscience et on fait parler de soi sur le dos de cette jeune fille. En vérité, on fait surtout avancer les ténèbres. Ces personnes parviennent curieusement à se convaincre qu'elles sont progressistes en légitimant, par leur refus de réaction ou leurs louvoiements, la terreur imposée à une adolescente. Je ne sais pas comment elles font. Notez : les fascistes aussi se pensent du côté du bien.  

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Me Richard Malka, l'avocat de Mila

afp.com/Alain JOCARD

N'y a-t-il pas un malentendu autour des slogans "Je suis Mila", ou "Je suis Charlie" ? Ça ne veut pas forcément dire qu'on est d'accord, ni "en sympathie", avec Mila ou Charlie Hebdo mais que l'on acte, d'abord, que ce qu'ils font ou disent n'est pas hors la loi, et qu'en aucun cas ils ne "méritent" d'être harcelés ou tués...  
Remarque juste... et à des années-lumière du degré de réflexion de ceux qui s'expriment dans une bouffée délirante sur Internet. Ça "leur fait du bien", "ça les soulage", nous expliquent-ils. Ça les soulage de menacer de mort... On est loin de ces nuances-là. Evidemment, lorsqu'on dit "Je suis Charlie", cela ne veut pas dire qu'on aime le contenu de ce journal : personne ne le demande. Cela veut simplement dire - et c'est la même chose pour Mila - que l'on adhère à des principes qui ont fondé notre société, notre République, notre manière de vivre. Que l'on reconnaît que la critique des religions est libre, totalement libre, parce que nous sommes dans un pays laïque, et pas dans une théocratie. Il faut être cohérent : si l'on veut aller vivre dans un pays où le blasphème est sévèrement réprimé, il en existe. Je pense au Pakistan ou à l'Iran. Je ne suis pas sûr que les jeunes qui s'insurgent contre Mila ou Charlie Hebdo puissent s'exprimer de la même manière dans ces sociétés. Mais en tout cas, ce n'est pas notre culture ni notre droit. J'ajouterais que chacun peut s'opposer au droit au blasphème, mais démocratiquement, en militant pour sa suppression, en votant, mais pas en menaçant, en harcelant et encore moins en tuant ! 
LIRE AUSSI >> Abnousse Shalmani : "Ma chère Mila, regretteront-ils d'avoir piétiné une jeune fille en fleur ?"
Cela ne va-t-il pas au-delà de la confrontation entre théocraties et régimes laïques ? Depuis Voltaire et son combat en faveur du chevalier de La Barre - décapité pour blasphème -, la France fait cavalier seul sur cette question. Encore aujourd'hui, Charlie ou Mila sont des symboles incompréhensibles pour les Anglo-Saxons... 
Nous sommes pris en étau entre l'islam politique prosélyte et la pensée anglo-saxonne extrêmement virulente à notre encontre. On est effectivement assez seuls au monde. Les uns et les autres arguent du "droit au respect" : cette notion folle est toxique. Ils disent "droit au respect" mais ils ne respectent rien. Et pour commencer : "au nom de Dieu", ils ne respectent pas la vie humaine. Ils disent "respect" comme si c'était un code mafieux. D'ailleurs, pour beaucoup, ça n'est pas du respect mais de la peur. Le respect, c'est la fraternité. Je n'ai jamais vu quelqu'un proférer des menaces de mort par fraternité... Donc, oui, on est assez seuls au monde. Et alors ? C'est peut-être la raison d'être de ce peuple que d'apporter au monde une pensée humaniste, qui permet de vivre ensemble. Qui fait que l'on se concentre sur nos ressemblances et pas sur ce qui nous distingue. 
Cet universalisme est-il en train de s'éteindre ? Ou ressentez-vous, en tant qu'avocat de Mila et de Charlie, le soutien d'une majorité silencieuse ? 
Je ressens clairement ce soutien. Vous n'imaginez pas les milliers de messages d'anonymes, de professeurs, de parents désespérés par leurs enfants que je reçois... Mais il y a une fracture générationnelle certaine. On ne peut que s'interroger sur l'absence de transmission de l'universalisme. Sur le manque de visions des politiques, puis sur leur manque de courage depuis trente ans - et je ne parle pas des actuels, qui font plutôt mieux que les précédents. Il y a de nombreuses causes à cet abandon du rêve de la raison et de la liberté. Nous pensions la liberté d'expression et la laïcité "acquises". En fait, cela peut très vite basculer. Le monde anglo-saxon devient ainsi chaque jour davantage un univers de censure. 
LIRE AUSSI >> Anne Rosencher. Face à la peur, résister
Est-ce que les prises de position courageuses - la semaine dernière, encore : celle du recteur de la mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz, qui a reçu Mila - peuvent faire "bouger les choses" ?  
Si je ne croyais pas au pouvoir de la conviction, j'arrêterais. Il faut continuer le combat même si l'on pense qu'il est perdu. Car, même si l'on perd provisoirement, ces idées ne disparaîtront pas. Il faut protéger la lumière, les petites flammes, surtout quand l'obscurité gagne.  
Quels sont les ressorts de la détermination de Mila ? Quand on a la vie devant soi, n'a-t-on pas la tentation de "lâcher l'affaire" ? J'imagine que de nombreuses personnes le lui ont conseillé... 
Ses parents et moi, les premiers, l'avons incité à la prudence ! Quand j'ai reçu Mila la première fois, elle avait 16 ans et demi. C'était une enfant. Quand on a une enfant en face de soi, on veut d'abord qu'elle ait une vie normale. Mais j'avais tort. C'était impossible. Elle est ainsi. Elle ne plie pas. Même si sa vie est en jeu, elle ne peut pas. Il y a des personnes comme ça. C'est rare, et je l'ai compris en quelques minutes. Elle a paradoxalement un côté christique [il rit]. Mais ce n'est pas si étonnant : je trouve que ce sont souvent les laïques qui ont un côté christique aujourd'hui.  
((* NDLR : Les TT ou Trending Topics sont les dix sujets les plus commentés ou partagés sur Twitter à un instant donné.)) 

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BenFis

BenFis

La question qu'il faudrait se poser dans cette affaire est pourquoi de simples mots, qui ne sont que du vent, déchaînent autant de haine chez autant d'individus, qui pour beaucoup ne sont ni musulmans, ni même croyants?

Rene philippe

Rene philippe

BenFis a écrit:La question qu'il faudrait se poser dans cette affaire est pourquoi de simples mots, qui ne sont que du vent, déchaînent autant de haine chez autant d'individus, qui pour beaucoup ne sont ni musulmans, ni même croyants?

Benfis. Tu aimes bien dicter aux autres ton point de vue, exemple : « qu’il faudrait se poser ». Si tu laissais aux autres leur libre arbitre ?

Des simples mots comme tu dis (qui ne sont que du vent) peuvent blesser quelqu’un, même non directement concernés. Ça s’appelle la morale, le respect des autres, même si on n’est pas directement concerné. Ça s’appelle respecter la dignité et l’honneur d’autrui. Il n’est pas possible que tu ne connaisses pas ces versets :

Jacques 3:5 De même, la langue est une petite partie du corps, et pourtant elle se vante de grandes choses. Voyez comme un petit feu suffit pour incendier une grande forêt ! 6 La langue est un feu. La langue représente un monde d’injustice parmi les membres de notre corps, car elle rend impur tout le corps et enflamme tout le cours d’une vie, et elle est enflammée par la géhenne.

BenFis

BenFis

Rene philippe a écrit:
BenFis a écrit:La question qu'il faudrait se poser dans cette affaire est pourquoi de simples mots, qui ne sont que du vent, déchaînent autant de haine chez autant d'individus, qui pour beaucoup ne sont ni musulmans, ni même croyants?

Benfis. Tu aimes bien dicter aux autres ton point de vue, exemple : « qu’il faudrait se poser ». Si tu laissais aux autres leur libre arbitre ?

Des simples mots comme tu dis (qui ne sont que du vent) peuvent blesser quelqu’un, même non directement concernés. Ça s’appelle la morale, le respect des autres, même si on n’est pas directement concerné. Ça s’appelle respecter la dignité et l’honneur d’autrui. Il n’est pas possible que tu ne connaisses pas ces versets :

Jacques 3:5 De même, la langue est une petite partie du corps, et pourtant elle se vante de grandes choses. Voyez comme un petit feu suffit pour incendier une grande forêt !  6 La langue est un feu. La langue représente un monde d’injustice parmi les membres de notre corps, car elle rend impur tout le corps et enflamme tout le cours d’une vie, et elle est enflammée par la géhenne.

Dans la même idée, de mémoire selon un Proverbe, une parole même douce peut briser les os.
Cela veut dire qu'il faut veiller à son propre langage.

Mais là en l'occurrence, je parlais de celui qui entend une parole qui lui semble injurieuse. Et qu'il devrait laisser filer comme le vent plutôt que de laisser se développer en lui la haine, au point de proférer des menaces de mort.
N'est-ce pas l'attitude que devrait avoir un Chrétien ?

L'utilisation du verbe devoir, ou falloir dans mon précédent message, n'obligeait personne. D'ailleurs tu n'y as pas vraiment répondu, puisque tu as préféré te concentrer sur un mot plutôt que sur le sens général de ma phrase. C'est ton choix.

Rene philippe

Rene philippe

Tu dois avoir des anguilles dans ta famille. L’art et la manière de passer au travers des questions et du fond sans y répondre.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Rene philippe a écrit:Tu dois avoir des anguilles dans ta famille. L’art et la manière de passer au travers des questions et du fond sans y répondre.
Tu l'as remarqué  Very Happy
Je pense qui a dû aller à l'école avec les Jésuites,car ils ont l'art que quand tu leurs posent une question ils répondent par une autre question.

papy

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[size=46]La questiologie, ou l’art de poser des questions[/size]
Fabrice Anguenot
Publié le 21/01/2015 à 14h47
Sujets relatifs :
[size=14]Communication
Management

    
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L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. 000005290_600x400_c

interrogation


:copyright: Coloures-pic_fotolia
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Nous ne sommes pas très forts pour interroger. Quoi de plus confortable que de ne poser que les questions qui nous arrangent et dont les réponses nous conviennent ? Il y a pourtant plus intelligent et plus productif.
Questionner, en famille ou dans le cadre professionnel, est un acte quotidien. Pourtant aucun d’entre nous n’a été formé à poser des questions ! Nos années passées à l’école nous apprennent à identifier une phrase interrogative. En revanche, rien n’est enseigné sur le questionnement !
La plupart d’entre nous posons systématiquement les mêmes types de questions, ce qui ne représente que 15 % des possibilités, et ceci afin d’obtenir des réponses qui nous conviennent, ou auxquelles nous sommes habitués. Et poser une question dont on a déjà la réponse est rarement intéressant et plutôt improductif… Dans ce cas, comment questionner différemment pour élargir le champ des possibles, et favoriser la communication ?

[size=30]L’art de poser des questions

La questiologie, c’est l’art de poser des questions. Cette technique a été théorisée par le coach et formateur Frédéric Falisse ((Intervention à la Sorbonne : [url=https://www.lettreducadre.fr/article/https ://www.youtube.com/watch?v=R6YYiZVQMFg]https ://www.youtube.com/watch?v=R6YYiZVQMFg[/url])). Cette discipline a pour ambition d’éveiller notre intelligence à interroger de façon pertinente, dans le but de découvrir de nouveaux possibles, de nouvelles perspectives de développement personnel, relationnel ou professionnel.
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Cette discipline a pour ambition d’éveiller notre intelligence à interroger de façon pertinente, dans le but de découvrir de nouveaux possibles.
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Cette technique permet d’étoffer notre panel de questions, autrement dit d’aller au-delà des 15 % que nous utilisons quotidiennement, afin de pouvoir nous adapter aux situations de communication rencontrées. Poser une question peut être considéré comme un acte audacieux, dans le sens où nous nous aventurons vers l’inconnu, vers ce que nous ne savons pas.
C’est encore accepter de lâcher prise sur une volonté obsessive de contrôle (conversations, situations, relations…).
Finalement, c’est devenir vulnérable ! Mais là encore, poser une question dont on a déjà la réponse, est plutôt improductif lorsque l’on veut avancer et aller plus loin. Alors que questionner différemment, c’est-à-dire autrement que pour valider sa propre vision du monde, est un acte ambitieux et profond.

[size=30]« La meilleure question à me poser »[/size]

Frédéric Falisse nous livre l’exemple d’Einstein qui disait ceci : « Si j’avais une heure pour résoudre un problème dont ma vie dépendait, je passerais les 55 premières minutes à chercher la meilleure question à me poser, et lorsque je l’aurais trouvée il me suffirait de 5 minutes pour y répondre ».
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C’est la mise en question, bien plus que la mise en réponse qui explique le génie des recherches d’Einstein.
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Cet exemple nous démontre que c’est la mise en question, bien plus que la mise en réponse qui explique le génie de ses recherches. Et, est-il besoin de le rappeler, ses recherches ont bousculé notre perception du monde…
Les fondements de la questiologie prennent leur source dans les enseignements de Socrate. Lorsqu’un de ses disciples avait le sentiment d’une injustice par exemple, Socrate ne demandait pas « pourquoi te sens-tu injustement traité ? », mais tournait plutôt sa question ainsi : « Quelle hypothèse fais-tu pour conclure à une injustice ? ». Le questionnement est totalement différent puisqu’il interroge le disciple sur sa façon de penser. Et penser à sa façon de penser, c’est réfléchir. C’était bien là la mission de Socrate, faire réfléchir à la seule fin d’éduquer. Ce n’est malheureusement pas ce que nous retrouvons dans les établissements scolaires d’aujourd’hui, où sont dispensés des cours dans le but d’une « interrogation » qui n’admettra qu’une seule et « bonne » réponse connue à l’avance…[/size][/size]

papy

papy

Et pour en finir : Jésuitique ,propre aux jésuites , par allusion à la casuistique trop accommodante ou au restrictions mentales qu'on leur a reprochées. Une réponse de Jésuite.
Dico QUILLET

BenFis

BenFis

En l'occurrence, je rappelle que c'est moi qui ait posé plus haut une question à savoir pourquoi de simples mots déchaînent autant de haine...?

C'était certainement une question de Jésuite car pour l'instant je n'ai eu pour réponse que des accusations bidons.
Cela part sans doute d'un désir sincère de vouloir enlever la paille que j'ai dans l'oeil. On va dire ça comme ça! Very Happy

chico.

chico.

Les accusations viennent des médias tout simplement.

Amaytois

Amaytois

Mikael a écrit:Cette affaire fait du bruit sur les réseaux sociaux .

Et sur ce site aussi.

Connaissez-vous ce dicton "Qui sème le vent récolte la tempête ?

Ce n'est pas que j'approuve les menaces que cette jeune fille reçois, mais des extrémistes sont partout et sont très dangereux, et cette jeune fille s'est attaquées de front avec cette religion plein d'amour.

Qui plus est, divers éléments de la société, en particulier les médias adorent mettre de l'huile sur le feu, attisant ainsi la haine. Oui, forcement après ce déballage, les autres sphères politiques et religieuses, ont débattus notamment sur les questions d'islamophobie, de droit au blasphème et de liberté d'expression

Mais une question, comment cette jeune fille en est arrivé à poster une vidéo dans laquelle elle critique l'islam et profère des insultes ?

Lechercheur



Il faudrait savoir ce qu'elle a réellement dit, si c'était des menaces ou des critiques contre l'Islam!

papy

papy

[size=62]Radicalisation : interpellation d’un activiste anti-Mila en Haute-Marne[/size]

[size=30]Une enquête pour apologie du terrorisme a été ouverte après que les services de renseignements ont repéré les agissements d’un jeune Tchétchène sur les réseaux sociaux.[/size]



L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. BtnClose

L’« affaire Mila » n’en finit pas de susciter des remous. Aziz-zemouri_50x50Par Aziz Zemouri
Publié le 31/08/2021 à 10h07 - Modifié le 31/08/2021 à 11h51

À6 heures, ce matin un jeune Tchétchène de 17 ans, Saïd A., a été interpellé par la police judiciaire de Reims après une alerte des services de renseignements. Les forces de l’ordre se sont rendues dans les quartiers neufs de Langres, troisième ville du département de la Haute-Marne, afin de le placer en garde à vue puis de l’interroger dans le cadre d’une procédure ouverte pour apologie du terrorisme. C’est « son activisme numérique sur le dossier Mila qui a attiré notre attention », indique une source proche de l’enquête.
Des éléments de radicalisation ont été retrouvés lors de l’interpellation, selon la police, sans préciser de quels éléments il s’agit à ce stade. Ces jeunes Tchétchènes, parfois mineurs, sont discrets et difficiles à repérer. Ils opèrent principalement sur les réseaux sociaux et passent sous le radar de la surveillance classique par le renseignement.




De jeunes radicalisés sur smartphone


« Il n’y a pas de communauté tchétchène » stricto sensu dans la Haute-Marne, mais il existe des éléments qui interpellent néanmoins : « On constate la présence de jeunes adolescents ou de jeunes hommes de 15 à 25 ans nés en France après l’exil des parents durant les années 2000 et qui parfois vivent au milieu de leurs familles et se radicalisent sur leurs smartphones », explique un fonctionnaire du renseignement territorial. 

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

La prétendue "affaire" Mila est une vaste blague qui n'intéresse pas les français. Les gens n'ont que faire du militantisme lesbien. Il y a des choses plus sérieuses : les nouveaux mutants de la covid-19, le terrorisme en France et les attentats déjoués chaque semaine, le passe sanitaire, la drogue (voir à Marseille), la légalisation du canabis Bio en France il y a juste quelques jours.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

papy

papy

C'est vrais qu'il y a à boire et à manger dans cette affaire, mais il ne faut pas oublier son harcèlement morale quelle a subit.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
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Elle a insulté les musulmans gratuitement parce que qu'elle s'est faite draguée par l'un d'eux apparemment. 
Si tous les revers de drague des jeunes devaient s'étaler sur les réseaux sociaux, il n'y aurait plus de place sur internet. 
Cette non affaire est un produit censé fonctionner pour des journalistes qui ne nous informent jamais de l'essentiel. 

Voici des questions que les français se posent vraiment :
- quelle est l'origine exacte du coronavirus ? 
- quand est-ce qu'un homme ou femme politique va enfin écouter le malheur des français et agir sans mentir ?
- que faire avec une immigration galopante ?
- quelles solutions devant les violences ?
- que faire avec les nouvelles drogues ? 
Voici quelques sujets de fond qui ne sont jamais approfondis.

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