Jeudi 5 février
Quand quelqu’un répond sur une affaire avant de l’entendre, c’estsottise chez lui et humiliation (Prov. 18:13).
Un parent plein de sagesse ne donnera pas son avis trop vite. C’est vrai, il n’est pas toujours facile de se taire quand son enfant dit quelque chose de contrariant. Pourtant, il est capital d’écouter attentivement avant de réagir. Si tu restes calme, ton enfant continuera à parler. Tu en entendras donc davantage. Avant de pouvoir apporter ton aide, tu dois connaître tous les faits. Des « propos en l’air » cachent peut-être une détresse profonde (Job 6:1-3). En parent aimant, écoute pour comprendre et parle pour guérir. Toi aussi, enfant, sois « lent à parler ». Dieu a confié à tes parents la responsabilité de t’éduquer, alors ne t’empresse pas de contester ce qu’ils disent (Jacq. 1:19 ; Prov. 22:6). Ils ont probablement vécu des situations semblables à celles que tu traverses aujourd’hui. Alors, vois en eux des alliés, pas des ennemis ; des conseillers, pas des contradicteurs (Prov. 1:5). w13 15/5 4:13, 14.