Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

le tabac en chiffre.

+14
Rene philippe
Patrice1633
charle.baude
luc47
VENT
edwfenec
Absent
chico.
Yirmeyah Jérémie
Aude
Psalmiste
samuel
Mikael
Josué
18 participants

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7  Suivant

Aller en bas  Message [Page 6 sur 7]

1le tabac en chiffre. - Page 6 Empty le tabac en chiffre. Jeu 27 Jan 2011 - 15:29

Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

[img]le tabac en chiffre. - Page 6 Tabac2001 [/img]


251le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mar 10 Jan 2017 - 18:00

Josué

Josué
Administrateur

Et cette image devrait avoir un impact sur les fumeurs.

252le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Dim 15 Jan 2017 - 14:48

Patrice1633

Patrice1633
MODERATEUR
MODERATEUR


Voila ce qui se passe quand vous arreter de fumer

https://www.jw.org/fr/

253le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Dim 15 Jan 2017 - 15:25

Josué

Josué
Administrateur

Le paquet neutre arrive peu à peu chez les buralistes. Depuis le 21 novembre, les fabricants de tabac ne livrent plus de paquets à leurs couleurs, mais utilisent le format standard fixé par l’ordonnance du 19 mai 2016 : couleur unique, taille de caractères uniformisée, absence de toute allégation quelle que soit la marque. À partir du 1er janvier 2017, les anciens paquets avec le logo de la marque seront totalement interdits à la vente.

Cette évolution n’est pas sans poser quelques soucis aux buralistes, perdus dans les centaines de références qu’ils ne peuvent plus repérer grâce aux couleurs des paquets. Mais elle était attendue par de nombreuses associations de lutte contre le tabagisme, tels la Ligue contre le cancer ou le CNCT, qui appelaient à adopter le paquet neutre pour protéger les jeunes.
Disparus, les agents de texture et de saveur ?
paquet de cigarettes : image commentée d'un paquet neutre DR
Plusieurs consommateurs nous ont cependant confié leur étonnement en découvrant les nouveaux paquets. Car les étiquettes des cigarettes ou du tabac à rouler ne doivent plus indiquer aucune information sur la teneur en nicotine, en goudron ou en monoxyde de carbone.

Aucune indication ne figure non plus sur les éventuels agents de texture et de saveur que les fabricants ajoutent couramment à leurs produits. « Je m’étonne de ne plus trouver trace des mentions légales comme la teneur en tabac, papier et additifs, s’inquiète ainsi Tristan. Plus rien ne me garantit que je fume encore du vrai tabac ! »

Éviter que les consommateurs ne comparent
C’est bien ce que prévoit la nouvelle réglementation, qui transpose la directive européenne 2014/40/UE sur les produits du tabac. La disposition peut paraître surprenante à l’heure où l’on réclame toujours plus d’information et de transparence sur ce que l’on consomme. Mais « cette interdiction a vocation à ne pas désinformer les consommateurs sur les dangers du tabagisme », explique le ministère français de la santé.

« La directive considère en effet, poursuit le ministère, qu’il convient d’éviter que les consommateurs comparent les cigarettes entre elles pour adopter celles qu’ils croient être les moins nocives, oubliant que nombre de risques liés au tabagisme sont identiques peu importe la composition des produits du tabac. »
Accroissement de l’accoutumance
Cette explication se heurte tout de même aux pratiques de certains fumeurs qui veillent à choisir des cigarettes contenant le moins d’additifs possible, le rôle de certains d’entre eux dans l’accroissement de l’accoutumance et dans l’émission de nouvelles substances dangereuses ayant été démontré.

Une fumeuse, Jeanne, explique : « Je ne fume que du 100 % tabac, mais sur les nouveaux paquets plus rien n’est indiqué ! Avec ces nouveaux paquets, je suis moins bien informée qu’avant ! »
Les listes d’ingrédients datent de 2013
Les fabricants sont tout de même toujours tenus de déclarer à l’État la liste des ingrédients qu’ils utilisent dans chacun de leurs produits. Jusque-là, ils étaient censés fournir ces informations au Laboratoire national d’essais (LNE). On peut en effet accéder à cette base de données par marques et fabricants sur le site du LNE. Mais le fichier n’est hélas plus à jour depuis 2013 !

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) indique qu'elle prévoit de rendre ces informations accessibles au public « d’ici la fin du premier semestre 2017 ».
À l’heure actuelle, aucune info officielle
En résumé, le consommateur n’a aucun moyen de savoir ce que contiennent les cigarettes actuellement commercialisées. Sauf à se tourner vers les informations publiées par les fabricants eux-mêmes. Plusieurs groupes fournissent en effet ces données. Par exemple, Philip Morris, qui commercialise aussi Chesterfield et Marlboro ; British American Tobacco, qui vend les marques Lucky Strike ou Winfield ; ou encore Japan Tobacco International, notamment propriétaire de Camel et Benson & Hedge.

Mais ces informations sont beaucoup moins détaillées que sur le site du LNE… et ne sont accessibles qu’en anglais.

À lire >>> Le fichage des députés européens par Philip Morris

Des cigarettes qui n’auraient plus le même goût
Il est donc impossible de savoir si les fabricants ont profité de l’arrivée du paquet neutre pour modifier la composition de leurs produits, comme le soupçonnent certains fumeurs :
copie d'écran d'un tweet de @pechromain @pechromain sur Twitter

Même constat de la part d’Éric, qui nous écrit : « Il n’y a pas que le paquet qui a changé ! Clairement elles n’ont plus le même goût. J’ai demandé à ma buraliste qui m’a dit que je n’étais pas le seul à m’en rendre compte. Un commercial de chez Lucky Strike lui aurait confirmé qu’ils en ont profité pour mélanger les références et qu’il n’y a pas de correspondance entre l’avant et l’après paquet neutre. »

L’industrie du tabac continuerait-elle à nous enfumer ?
http://www.60millions-mag.com/2016/11/23/tabac-le-paquet-neutre-oui-mais-ou-est-passee-la-composition-10798

254le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mar 31 Jan 2017 - 13:31

Josué

Josué
Administrateur

Le terrifiant coût du tabagisme pour l'économie mondiale
Par lefigaro.fr , AFP agence Mis à jour le 31/01/2017 à 11:24 Publié le 31/01/2017 à 08:51
En 2012, le tabagisme a été à l'origine d'un peu plus de 2 millions de décès chez des adultes âgés de 30 à 69 ans dans le monde.
D'après une étude publiée mardi dans la revue Tobacco Control, le coût total du tabagisme s'élevait en 2012 à 1.436 milliards de dollars. Ce montant représente 6% des dépenses mondiales consacrées à la santé et 2% du produit intérieur brut global.
Le tabagisme coûte cher, notamment dans les pays en développement. D'après la revue Tobacco Controlla qui publie ce mardi la première étude sur ce sujet, le coût total du tabagisme s'élevait en 2012 à 1.436 milliards de dollars dans le monde, dont 40% à la charge des pays en développement. Ce coût représente environ 6% des dépenses mondiales consacrées à la santé et 2% du produit intérieur brut (PIB) global. «Le tabagisme représente un fardeau économique important dans l'ensemble du monde et plus particulièrement en Europe et en Amérique du nord où l'épidémie est la plus avancée», relèvent les auteurs de l'étude coordonnée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Autre chiffre effrayant, en 2012, le tabagisme a été à l'origine d'un peu plus de 2 millions de décès chez des adultes âgés de 30 à 69 ans dans le monde, soit environ 12% de l'ensemble des décès survenus dans cette tranche d'âge. Les pourcentages les plus élevés ont, selon les chercheurs, été observés en Europe (26%) et en Amérique (15%). Au cours de la même année, les dépenses directes de santé liées au tabagisme se sont élevées au total à 422 milliards dans le monde, soit 5,7% de l'ensemble des dépenses de santé, un pourcentage qui atteint 6,5% dans les pays à forts revenus.
Quatre pays se partagent le quart du coût total du tabagisme

Le quart du coût économique total du tabagisme est assumé par quatre pays: la Chine, l'Inde, le Brésil et la Russie, note encore l'étude. Rapporté au PIB des différents pays, le tabagisme s'est avéré particulièrement coûteux en Europe de l'est (3,6% du PIB) ainsi qu'aux États-Unis et au Canada (3%). Le reste de l'Europe se situe à 2% contre 1,8% à l'échelle mondiale. «Ces résultats montrent qu'il y a urgence pour tous les pays à mettre en place des programmes de lutte anti-tabac pour réduire ces coûts», estiment les auteurs du rapport.
Pour obtenir ces chiffres, les chercheurs ont collecté des données sur 152 pays, représentant 97% de l'ensemble des fumeurs de la planète. Ils ont évalué le coût du tabagisme en incluant les dépenses directes - hospitalisations et traitements - et les dépenses indirectes, calculées sur la base de la productivité perdue en raison des maladies et des décès prématurés. Ils n'ont pas inclus dans leurs calculs les dommages liés au tabagisme passif, responsable d'environ 6 millions de morts par an, ou ceux liés au tabac non fumé (tabac à priser, à chiquer... etc) très utilisé en Asie du sud-est notamment. En outre, leurs calculs portent uniquement sur la population active.
L'OMS s'est fixée comme objectif de réduire d'un tiers les décès prématurés liés aux maladies non infectieuses, et notamment au tabagisme d'ici à 2030.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2017/01/31/20002-20170131ARTFIG00069-le-terrifiant-cout-du-tabagisme-pour-l-economie-mondiale.php

255le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mar 31 Jan 2017 - 15:28

samuel

samuel
Administrateur

Les états sont des mauvais gestionnaires car le tabac avec ses conséquences sur les gens revient plus cher que les taxes qu'il ne rapporte.

256le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Jeu 2 Fév 2017 - 15:10

Josué

Josué
Administrateur

Plusieurs marques de tabac devraient bientôt être interdites en France dans le cadre de la publication d'un décret sur l'homologation des prix de vente. Leur nom, jugé trop positif, inciterait à fumer.

La vente de cigarettes va bientôt subir un double coup de frein. D'un côté, le prix des cigarettes va augmenter pour la première fois depuis trois ans. De l'autre, certaines marques - dont l'image véhiculée demeure trop positive - devraient être interdites.

LIRE AUSSI >> Paquets de cigarettes: il se bat pour faire retirer une photo de son père décédé

Si aucune date n'a encore été communiquée, un décret devrait en effet être publié dans la semaine au Journal Officiel, selon Europe 1, pour acter d'une hausse du tabac, quelques mois après l'apparition des paquets neutres. Cosigné par Bercy et le ministère de la Santé, celui-ci devrait acter d'"une hausse de 20 centimes en moyenne par paquet" et jusqu'à "1,60 euro par paquet de tabac à rouler".

Or, la signature de la ministre de la Santé est requise pour valider l'homologation des prix des cigarettes - et donc leur présence dans les rayons. Cette fois, Marisol Touraine pourrait donc interdire la vente de certaines marques. Une mesure qu'elle souhaite depuis longtemps.

L'application d'une directive européenne
Vogue, Marlboro Gold ou encore les cigarillos Café crème seraient concernées, d'après Europe 1... Le nom de ces cigarettes est en effet jugé trop attractif pour qu'elles puissent encore être vendues en France, et ce, malgré les paquets neutres.

Pour motiver cette interdiction, le ministère de la Santé s'appuie sur la directive européenne de 2014 sur les produits du tabac. Celle-ci dispose notamment que l'on ne doit pas encourager la consommation de tabac en utilisant "des produits du tabac ou leurs conditionnements" qui pourrait suggérer "une nocivité moindre".

LIRE AUSSI >> Paquet neutre: à l'intérieur, les cigarettes ont-elles changé?

Le texte précise que: "certains emballages et produits du tabac pourraient également induire les consommateurs en erreur en suggérant des effets bénéfiques en termes de perte de poids, de 'sex appeal', de statut social, de vie sociale ou de qualités telles que la féminité, la masculinité ou l'élégance. De la même façon, la longueur et la présentation des cigarettes pourraient induire les consommateurs en erreur en créant l'impression qu'elles sont moins nocives".

LIRE AUSSI: Bientôt la fin des marques de cigarettes Lucky Strike, Gitanes ou Gauloises?

Les "slim" Vogue, particulièrement appréciées des femmes peuvent tout à fait correspondre à cette description. Quant à "Café crème", rien que le nom de la marque banaliserait le fait de fumer. Les cigarettes Lucky Strike ["Coup de chance"] auraient, elles, échappé de peu à l'interdiction.

Les marques devraient disposer d'un an pour réagir, d'après Le Figaro: en changeant de nom ou en supprimant la commercialisation de la gamme.

257le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 14 Avr 2017 - 18:12

Josué

Josué
Administrateur

étude comparant les efforts des pays européens relance le débat sur la lutte contre le tabagisme.
15.000 morts par an. C’est le nombre de victimes belges que fait la cigarette. Un nombre inquiétant qui montre à quel point la guerre contre le tabac est loin d’être gagnée. Une étude parue récemment dans la revue américaine The Lancet montre qu’en matière de lutte contre le tabagisme, certains pays (la Grande- Bretagne, l’Irlande, l’Islande et la Norvège) font mieux que d’autres, grâce à des mesures comme l’augmentation du prix du tabac, l’interdiction de fumer dans une voiture où se trouvent des mineurs, le paquet neutre ou l’interdiction de la publicité.

Et en Belgique ? On est à la traîne. "Pour que le nombre de fumeurs diminue, il faut que l’augmentation du prix du paquet de cigarettes soit conséquente. En dessous de 10 %, on estime que ça n’a aucun effet", explique-t-on à la Fondation contre le cancer. Et de rappeler que les dépenses engendrées par le tabac se chiffrent à environ 13 milliards d’euros par an.

Chez nous, le prix d’un paquet de 20 cigarettes tourne autour de 6 € en moyenne. C’est moitié moins qu’au Royaume-Uni et en Irlande où le paquet a franchi la barre symbolique de 10 €. Cela a permis de dissuader 30 % des fumeurs. Reste qu’augmenter le prix du paquet de tabac ou instaurer le paquet neutre ne suffit pas. Seul un ensemble de mesures peut faire bouger l’épidémie. La France vient tout juste d’en faire le constat. En effet, le paquet neutre était entré en vigueur en début d’année dans l’Hexagone, au grand dam des cigarettiers. Au sortir du premier trimestre, il ressort que les ventes de cigarettes ont rebondi, après une année 2016 en recul.

Comment lutter de manière efficace contre le fléau du tabagisme ? Fin mars, la Fondation contre le cancer rappelait quelques objectifs à atteindre pour que notre pays rejoigne le peloton de tête. Parmi eux : introduire les paquets neutres; compléter l’introduction des paquets neutres par une interdiction totale de toute forme de publicité dans les points de vente; interdire de fumer dans les voitures en présence de mineurs; augmenter substantiellement le prix du tabac.

Actuellement, la Belgique ne se classe qu’en treizième position dans la lutte contre le tabac. "C’est regrettable", juge-t-on à la Fondation contre le cancer. La Belgique avait en effet bien commencé. Par exemple, nous sommes le premier pays européen à avoir utilisé des photos dans les avertissements sanitaires et à avoir écrit le numéro de Tabacstop sur tous les paquets de cigarettes.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une personne environ meurt toutes les six secondes à cause du tabac. Ce chiffre représente un décès d’adulte sur dix.

258le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 28 Avr 2017 - 12:31

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Tabac: le paquet neutre est-il vraiment efficace ?
Par Cécile Thibert
Mis à jour le 28/04/2017 à 11:27
Publié le 27/04/2017 à 18:12
Tabac: le paquet neutre est-il vraiment efficace ?
56 commentaires
VIDÉO - Une nouvelle étude suggère que cette mesure peut réduire le tabagisme. Pourtant, depuis son entrée en vigueur le 1er janvier 2017, les ventes semblent être en légère hausse en France.

Paquet neutre ou pas, les bureaux de tabac ont encore de beaux jours devant eux. Au premier trimestre 2017, 10,82 milliards de cigarettes ont été livrées aux buralistes, contre 10,67 milliards un an plus tôt. Ces chiffres, fournis par Logista France - entreprise qui approvisionne la quasi-totalité des 25.000 bureaux de tabac de France - le prouvent: les ventes ont augmenté de 1,4% en un an.
Heureusement pour le ministère de la Santé, une étude scientifique aux résultats plutôt encourageants vient d’être publiée dans la revue Cochrane, une organisation scientifique indépendante à but non lucratif. Ceux-ci appuient l’idée que le paquet vert olive, où figurent de funestes mises en garde, contribue effectivement à réduire le tabagisme.
Baisse modeste

Les auteurs de ce travail - six chercheurs britanniques et canadiens - ont compilé les résultats de 50 études qui, d’une manière ou d’une autre, évaluent les conséquences du paquet neutre. Celles-ci ont, pour la grande majorité, été menées en Australie, premier pays à avoir instauré cette mesure en décembre 2012. L’une d’elle, menée auprès de 700.000 personnes, a montré que le paquet neutre a permis d’abaisser le nombre de fumeurs de 0,5% dans ce pays.
Privé de ses couleurs, le paquet de tabac neutre ne véhiculerait ainsi plus une image attractive incitant les jeunes à fumer. «Le tabac dans les emballages normalisés est généralement perçu comme étant de plus mauvaise qualité que le tabac dans les emballages de marque», expliquent les auteurs de l’étude. «Le paquet neutre semble également réduire la perception erronée selon laquelle certaines cigarettes sont moins nocives que d’autres (...)».
Paquet neutre...et hausse des prix

Des résultats à prendre avec des pincettes. En Australie, l’instauration du paquet neutre a en effet été associée à quatre augmentations des prix de 12,5% chacune et à une campagne d’information massive. «Cela rend mal aisée l’interprétation de la baisse très marquée de la consommation observée depuis lors, qui a fait tomber à 12,8% le taux de prévalence du tabagisme au sein de la population, avait noté la Cour des comptes dans son rapport public annuel de 2016. L’intensité de la réaction des industriels du tabac, qui ont notamment multiplié les recours contre l’État australien, peut cependant suggérer que son impact a été fort.»
Dans son rapport, la Cour des comptes recommandait à l’État français de «mettre en œuvre dans la durée une politique de relèvement soutenu des prix en usant de l’outil fiscal à un niveau suffisant pour provoquer une baisse effective et durable de la consommation». Pourtant, une hausse des prix a bien eu lieu, mais elle demeure modeste au regard de l’augmentation australienne. Le 20 février dernier, le prix du tabac à rouler a ainsi pris 15% supplémentaires, soit entre 1 euro et 1,50 euro par paquet. Le 10 mars, le prix des cigarettes les moins chères a quant à lui augmenté d’une poignée de centimes.
Les auteurs de l’étude restent, eux, prudents en rappelant qu’il n’existe à l’heure actuelle aucune donnée évaluant l’impact à long terme du paquet neutre. De même, aucune étude ne s’est encore intéressée à l’impact du paquet neutre sur l’entrée dans le tabagisme des jeunes. En attendant de nouvelles études, le tabac continuera de tuer. Ainsi, entre 1990 et 2015, le nombre de décès attribués au tabac a augmenté de 4,7% dans le monde, selon une grande étude publiée dans la revue The Lancet en avril 2017.

259le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mer 3 Mai 2017 - 14:14

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

03.05.2017
TABAC : 14 NOUVELLES IMAGES CHOCS BIENTÔT SUR LES PAQUETS

A partir du 20 mai prochain, 14 nouvelles images chocs seront visibles sur les paquets neutres de tabac. Elles viendront en remplacement de celles y figurant atuellement.

image: http://preprod-img.medisite.fr/files/resize/images/article/2/6/3/2238362/3896592-inline-500x522.jpg

©LeParisien
Obligatoire depuis le 1er janvier 2017 chez les buralistes, le paquet neutre affichera 14 nouvelles images chocs, censées dissuader ses consommateurs, à partir du 20 mai 2017. Ce, conformément à la directive européenne contre le tabagisme qui préconise de les changer tous les ans. Les 14 images actuelles vont ainsi disparaître pour laisser la place à ces nouveaux visuels, dévoilés par Le Parisien. Sur ces derniers par exemple, le visage d'une femme malade hospitalisée avec comme sous-titre "Fumer provoque 9 cancers du poumon sur 10" ou l'image d'un homme dans un cerceuil avec à côté de lui sa femme et son enfant en pleurs associé au message "Arrêtez de fumer : restez en vie pour vos proches".

Au total, 42 images vont se succéder sur le paquet neutre

"Il est établi que le changement des visuels rend plus efficace leur effet sur la population, limitant le risque de s'y habituer" argue la Direction générale de la santé. Au total, 42 images ont été validées par les services de la Commission européenne. Pour autant, dans les faits, l'arrivée du paquet neutre ne semble pas avoir les effets escomptés par le gouvernement et les autorités sanitaires françaises. En comparaison aux trois premiers mois de l'année 2016, les livraisons de cigarettes au buralistes ont augmenté de 1,4% depuis début 2017, selon les chiffres des douanes indiqués au Parisien et 4 milliards de cigarettes ont été vendues en France en mars 2017, soit 4,5% de plus en un an. Peut-être que les nouvelles images seront plus efficaces auprès des fumeurs....

Le cancer des poumons en images


En savoir plus sur http://www.medisite.fr/a-la-une-tabac-14-nouvelles-images-chocs-bientot-sur-les-paquets.2238362.2035.html?xtor=EPR-56-%5BMedisite-Info-Sante%5D-20170503-%5BtestA%5D&gcltc=3&gcltl=2&gcnid=2185407#mUsyBUj4kwpFTrj0.99

260le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mar 30 Mai 2017 - 11:59

Josué

Josué
Administrateur

Moins de fumeurs quotidiens parmi les jeunes mais la France fume encore trop
L'enquête baromètre santé 2016 révèle que, même s'il recule chez certaines catégories de personnes, le tabagisme est encore trop présent en France.
Le tabagisme quotidien a diminué parmi les hommes de 25-34 ans et les jeunes femmes de 15-24 ans entre 2010 et 2016 en France, selon l'enquête Baromètre santé 2016, qui constate cependant une tabagie globale toujours élevée, et en hausse chez les moins favorisés.
Un tiers de fumeurs quotidiens chez les 15-75 ans. L'enquête, réalisée auprès de plus de 15.000 personnes de France métropolitaine âgées de 15 à 75 ans, est publiée mardi dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l'agence sanitaire Santé publique France.
"En France, en 2016, 34,5% des 15-75 ans fumaient du tabac, 28,7% quotidiennement. Des chiffres qui sont stables depuis 2010, après la hausse observée entre 2005 et 2010", selon le BEH, qui déplore cependant le maintien d'un tel niveau.
Une part de fumeurs nettement plus élevée que chez nos voisins européens. Avec un tiers de fumeurs, la fréquence du tabagisme en France reste d'ailleurs "nettement plus élevée que dans les pays voisins : l'Allemagne compte environ un quart de fumeurs, comme l'Espagne, la Belgique et les Pays-Bas; l'Italie et la Grande-Bretagne en comptent environ un cinquième", note le Bulletin.
Les États-Unis et l'Australie ont un niveau de tabagisme nettement inférieur aux pays d'Europe occidentale, avec environ 15% de fumeurs parmi les adultes en 2014-2015. "Dans ces pays, aux contextes sociétaux et de politique de lutte anti-tabac variés, la tendance est, contrairement à la France, une baisse continue de la prévalence du tabagisme, plus ou moins forte selon les pays, depuis le début des années 2000", ajoute le BEH.
Des "résultats encourageants" néanmoins. Néanmoins, entre 2010 et 2016, la fréquence du tabagisme quotidien a diminué parmi les hommes de 25-34 ans (de 47,9% à 41,4%) et parmi les femmes de 15-24 ans (de 30% à 25,2%). Une diminution qualifiée de "résultat encourageant pour l'avenir" par les auteurs de l'étude.
À l'inverse, elle a augmenté parmi les 55-64 ans (de 15,5% à 21,1%) et parmi les 65-75 ans (de 5,7% à 8,9%).
Inégalités sociales. Au cours de la même période, la fréquence du tabagisme quotidien a augmenté de 35,2% à 37,5% parmi les personnes aux revenus de la tranche la plus basse, alors qu'elle a diminué de 23,5 à 20,9% parmi celles disposant des revenus de la tranche la plus haute.
"Les écarts selon le niveau de diplôme suivent une tendance similaire, témoignant ainsi d'une augmentation des inégalités sociales en matière de tabagisme", constatent les auteurs.
Le recours à la e-cigarette en baisse. Ces résultats "incitent à poursuivre de façon affirmée la lutte contre le tabagisme, en veillant notamment à ce que les personnes vivant dans les conditions les plus défavorisées bénéficient de plus d'attention et d'aides spécifiques pour arrêter de fumer", résume le BEH.
Quant à l'e-cigarette, son usage a baissé en 2016 par rapport à 2014, avec 3,3% d'utilisateurs chez les 15-75 ans (contre 5,9% deux ans auparavant) et 2,5% d'usagers quotidiens (contre 2,9%).

http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/moins-de-fumeurs-quotidiens-parmi-les-jeunes-mais-la-france-fume-encore-trop/ar-BBBFkvV?li=AA521z&ocid=spartandhp

261le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Lun 5 Juin 2017 - 18:04

Josué

Josué
Administrateur

de décès progresse

Vendredi dernier, le ministre béninois de la Santé, Alassane Seidou, a estimé à près de 6 millions de décès annuels dans le monde, occasionnés par le tabac. A l’horizon 2030, si rien n’est fait, le nombre de décès avoisinera 8 millions par an.
Le tabagisme régresse au Bénin

Au Bénin, on observe une régression progressive du fléau. Selon l’enquête Steps, effectuée en 2015, 5% des adultes béninois consomment le tabac contre 16% en 2008. Alassane Seidou : « Cette prévalence a nettement régressé au vu des efforts de réglementation provenant de tous les secteurs d’activités (sécurité, santé, justice, commerce, société civile) ».

262le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 16 Juin 2017 - 13:57

Josué

Josué
Administrateur

Cancers, ulcères... L’impact de la cigarette sur les intestins n’est pas à prendre à la légère.

On sait que la fumée du tabac est irritante et cancérigène et que l’arrêt de la cigarette réduit le risque de survenue de certains cancers, comme en témoignent les études épidémiologiques menées chez les anciens fumeurs. On pense évidemment aux poumons, mais tous les organes digestifs sont aussi concernés.
Pour les tumeurs du côlon, un cancer très fréquent (43 000 cas par an), la responsabilité spécifique du tabac semble peu importante tant il existe d’autres facteurs de risque (alcool, viande rouge, manque d’activité physique, surpoids…). Il n’en reste pas moins que «réduire, même de quelques pourcents, le risque d’un cancer très fréquent est loin d’être négligeable», rappelle le Pr Laurent Beaugerie, chef du service de gastro-entérologie de l’hôpital Saint-Antoine, à Paris.
Autre cancer, celui du pancréas. «Pour ce second cancer digestif (plus de 10 000 cas annuels, en augmentation), la contribution du tabac est plus franche: on sait qu’il en multiplie par deux ou trois le risque de survenue», poursuit le spécialiste. Même chose pour les tumeurs de la sphère ORL (17 000 cas par an) et de l’œsophage (6 000 cas par an), où le tabac potentialise l’effet d’autres facteurs de risque, comme la consommation excessive d’alcool.
Transit intestinal: un rôle discuté

La cigarette a bien d’autres effets délétères sur notre ventre: ainsi, elle accroît les risques d’infection par Helicobacter pylori, une bactérie responsable de la maladie ulcéreuse, facteur de risque principal du cancer de l’estomac… elle favorise aussi la maladie de Crohn, «même à raison d’une seule par jour!», rappelle le Pr Beaugerie. Car le tabac perturbe les mécanismes immunitaires qui siègent au niveau de l’intestin. «La substance interagit avec les prostaglandines, qui assurent la bonne vascularisation de la muqueuse intestinale ainsi que la production de mucus», explique-t-il. Pourtant, exception qui confirme la règle, fumer préserverait de la rectocolite hémorragique, une maladie qui apparaît habituellement dans les six mois qui suivent l’arrêt du tabac. Un effet anti-inflammatoire probable de la nicotine, dont on connaît par ailleurs bien les conséquences de l’excès (diarrhée, nausées).
Le rôle de la cigarette sur le transit intestinal reste cependant discuté. Si la constipation ne fait officiellement pas partie des symptômes du sevrage tabagique, elle pourrait néanmoins apparaître à l’arrêt du tabac. Il est en tout cas certain que le tabac agit sur le microbiote: en 2013, des chercheurs suisses ont analysé pendant neuf semaines le matériel génétique des bactéries intestinales trouvées dans les fèces de dix personnes qui avaient arrêté de fumer une semaine auparavant. Les résultats, comparés à ceux de dix témoins (cinq fumeurs, cinq non-fumeurs), ont révélé des modifications du microbiote. Celles-ci pourraient expliquer la prise de poids qui suit souvent l’arrêt du tabac. Cette étude, réalisée auprès d’un très petit nombre de personnes, reste cependant à confirmer.
http://sante.lefigaro.fr/article/tabac-ses-effets-deleteres-sur-le-systeme-digestif/?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Sante

263le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 7 Juil 2017 - 12:58

Josué

Josué
Administrateur

10 euros quel impact sur la consommation de tabac ?

La ministre de la Santé veut introduire le paquet de cigarettes à 10 euros "d'ici trois ans". Mais la consommation de tabac diminue-t-elle vraiment lorsqu'on augmente les prix ?

Par  Paul Veronique

264le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Lun 17 Juil 2017 - 14:08

Josué

Josué
Administrateur

Le tabac revient en force au cinéma
Par Aurélie Franc Publié le 13/07/2017 à 18:51
Le tabac revient en force au cinéma
Les experts américains s’inquiètent de l’augmentation des scènes avec des cigarettes sur grand écran.

Le tabac est de retour à l’écran. Dans La La Land, des cigarettes sont visibles dans une dizaine de scènes. Dans The Danish girl, le tabac est présent plus d’une cinquantaine de fois durant les deux heures du film. Alors que la présence du tabac au cinéma s’était réduite entre 2005 et 2010, ce dernier fait son retour sur grand écran. Les scènes de films présentant du tabac ont presque doublé entre 2010 et 2016.
L’année dernière, ce produit est apparu 3145 fois dans le top 10 du box-office, contre «seulement» 1824 en 2010. Cette étude menée par le Centers for Disease Control and Prevention (CDC) - l’agence de santé publique américaine -, a pu être réalisée grâce aux données du site Scenesmoking.org.
«Messages pro-tabac»

Toutes les semaines, ce portail mis en place par Breathe, une agence californienne à but non lucratif, classe les 10 premiers films du box-office en fonction du nombre d’apparition de produits liés au tabac à l’écran. Moonlight, Snowden ou encore X-Men Apocalypse avaient par exemple été classés comme laissant filtrer «un message pro-tabac».
Selon le rapport du CDC, la présence du tabac à l’écran - définie comme l’utilisation avérée ou implicite de cigarettes, de cigares, de pipes, de narguilés, de tabac sans fumée et de cigarettes électroniques - a grimpé de 72% entre 2010 et 2016, quelle que soit la catégorie de film.
Concentré de tabac

Pourtant, le nombre de films contenant des références au tabac, a lui, diminué. En 2016, 41% des films, qui faisaient partie du top 10 du box-office - comptant pour presque la totalité des tickets vendus aux États-Unis - incluaient un usage du tabac, contre 45% en 2010.
Malgré cette baisse, «il y a eu une augmentation du nombre de scènes avec du tabac. Autrement dit, la concentration de l’exposition au tabagisme s’est accrue, avec moins de films mais davantage de séquences. Le nombre moyen de scènes présentant du tabac a augmenté de 55% dans les films destinés à un public jeune (…) et de 91% dans les films qui nécessitent un accompagnement parental», soulignent les chercheurs américains du CDC.
Une industrie influente

Déjà pointés en 2012 par une étude de la Ligue contre le cancer, ces placements de produits grâce aux stars du cinéma sont un atout non négligeable pour les lobbys du tabac. «Nous pensons que la plupart des images fortes autour des cigarettes et de la tabagie sont créées par le cinéma et la télévision», était-il possible de lire dans une archive de Philip Morris datée de 1989 et publiée en 1998 sous la contrainte juridique. «Les films et les personnalités ont plus d’influence sur les consommateurs qu’une affiche statique d’un paquet de cigarettes.»
«Et mettre le tabac dans les mains du «méchant» n’est pas non plus dissuasif. Au contraire, il peut encourager le tabagisme chez les adolescents», affirment les bénévoles de Scenesmoking.org.
Risque accru chez les ados

«Plus les jeunes vont voir des cigarettes à l’écran, plus ils ont des risques de commencer à fumer. Un jeune qui est très fortement exposé à des images sur écran de cigarettes a environ deux à trois fois plus de risque de commencer à fumer», explique le CDC. De même, une étude publiée dans la revue Pediatrics en 2012 montrait que «réserver les films avec tabac aux plus de 18 ans pourrait réduire de 18% le nombre d’adolescents fumeurs.»
Le CDC demande aux «studios de cinéma de diminuer le nombre de séquences liées au tabac dans les films à destination des enfants.» L’Organisation Mondiale de la Santé réclamait, elle, en 2016, d’interdire aux mineurs les films dans lesquels on consomme du tabac.
La rédaction vous conseille
Quand le cinéma fait la promotion du tabac
Les Américains n'ont jamais aussi peu fumé
Le tabac banni des voitures avec un enfant, la e-cigarette encadrée
Pourquoi le gouvernement s'attaque aux publicités pour l'e-cigarette
http://sante.lefigaro.fr/article/le-tabac-revient-en-force-au-cinema/?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Sante

265le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Lun 31 Juil 2017 - 14:31

Josué

Josué
Administrateur

PAQUET À DIX EUROS: LES BURALISTES D'ANDORRE SE FROTTENT LES MAINS

"C'est bon pour nous. C'est évident": en Andorre, les commerçants se frottent les mains à la perspective d'un paquet à dix euros en France, soit cinq fois environ le prix dans la principauté pyrénéenne.

"C'est bon pour nous. C'est évident": en Andorre, les commerçants se frottent les mains à la perspective d'un paquet à dix euros en France, soit cinq fois environ le prix dans la principauté pyrénéenne.

Sous un soleil de plomb, les voitures et campings-cars se suivent en file indienne sur la nationale 20 qui monte à la frontière franco-andorrane. "Notre maximum est de 5.800 véhicules par jour", explique Frédédic Cattoen, chef divisionnaire au poste de douane de Porta (Pyrénées-Orientales).

Dans la file, un vieux break aux pare-chocs rapiécés est prié de se ranger sur le bas-côté. Le coffre ouvert laisse apparaître quelques cartouches de cigarettes scellées avec la demi-bouteille de Ricard traditionnellement offerte avec le lot, et quelques litres d'autres alcools.

"C'est du trafic de fourmi", explique un douanier. "Ils n'ont qu'une ou deux cartouches de plus que la limite (une cartouche et demie) mais ils font l'aller-retour parfois tous les jours depuis Toulouse pour les revendre".

"Non, je ne revends pas", assure le conducteur au fort accent d'Europe de l'Est.

"Quand vous savez qu'une cartouche de Marlboro vaut 70 euros en France et 35 en Andorre, vous comprenez pourquoi ils font les cinq heures de trajet aller-retour", explique Frédéric Cattoen. "Alors si le paquet passe à dix euros en France..."

La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a annoncé début juillet qu'elle souhaitait porter le prix du paquet de cigarettes à 10 euros d'ici trois ans. Dix euros, ce serait cinq fois environ le prix du paquet le moins cher en Andorre (1,79 euro).

"C'est certain, on ne va pas s'arrêter de venir acheter nos cigarettes ici. Et ils vont être encore plus nombreux", résume Olivier, 65 ans. Le retraité à la voix rauque de fumeur vient tous les mois du Tarn-et-Garonne, à environ trois heures de route, pour "faire le plein", dit-il entre les rayons du supermarché "EuroMercat", au Pas-de-la-Case.

Situé à cinq minutes de la frontière française, le village andorran a des allures d'immense supermarché à ciel ouvert. "Promo tabac", "prix choc", "50% gratis"... promettent d'alléchantes affiches sur les kms de vitrines surchargées de cartouches et bouteilles d'alcools.

- 'Je n'achète jamais en France' -

"Les visiteurs sont à 90% Français", indique Jean-Jacques Carrié, président de l'Union des commerçants du Pas-de-la-Case (250 adhérents environ).

"Ils viennent ici pour la journée faire leurs achats, en priorité du tabac et de l'alcool", résume-t-il. "Avec le paquet à dix euros, il y en aura encore plus".

"C'est facile", résume Valérie, 46 ans. "Nous sommes quatre dans la famille à fumer: nous économisons 270 euros par mois, rien qu'en cigarettes". Tous les mois, elle fait les 2h30 qui la sépare de chez elle, à Carcassonne, pour aller acheter ses "clopes" à moitié prix. "Je n'achète jamais en France".

"Tous les ans, huit millions de touristes vont en Andorre. Ils ne viennent pas pour visiter, ce sont des acheteurs", enrage Gérard Vidal, président des Buralistes frontaliers de France.

"850 tonnes de tabac sont importés tous les ans en Andorre. Or les habitants n'en consomment que 120 tonnes: tout le reste, c'est pour les étrangers", insiste-t-il.

Dans la région Occitanie, 33% environ des cigarettes sont achetées à l'étranger, soit le plus fort taux de l'Hexagone, devant les Hauts-de-France (32%) et le Grand Est (31%), selon une étude de juillet 2017 du cabinet d'audit KPMG.

Dans ce montant, les achats légaux, dans la limite de la franchise douanière, représentent quasiment autant que la contrebande: 480 millions de cigarettes ont été légalement achetées en Andorre et fumées en

Un paquet à dix euros ne devrait pas enrayer ce phénomène. "C'est bon pour nous, c'est évident", juge Sergi Fauste, gérant du magasin "Taxe Free". Mais il ne faut pas se faire trop d'espoir, avertit-il: "les commerçants andorrans vont en profiter pour augmenter leurs prix, comme ces dernières années, quand le paquet a gagné un euro environ".
et a gagné un euro environ".
http://www.medisite.fr/revue-du-web-paquet-a-dix-euros-les-buralistes-dandorre-se-frottent-les-mains.3007570.41633.html?xtor=EPR-56-%5BMedisite-Info-Sante%5D-20170731-%5BtestA%5D

266le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Lun 31 Juil 2017 - 16:00

Josué

Josué
Administrateur

États-Unis : la FDA veut moins de nicotine dans les cigarettes
Par Valérie Collet Mis à jour le 31/07/2017 à 10:19 Publié le 31/07/2017 à 06:00

VIDÉO - Food and Drug Administration (FDA), l'agence fédérale américaine chargée de protéger la santé publique préconise de réduire le niveau de nicotine dans les cigarettes afin d'atténuer le risque d'addiction.
Coup de tabac à Wall Street. Altria (Marlboro), British American Tobacco (Camel, Lucky Strike) et Vector Group ont dégringolé vendredi en Bourse après l'annonce de la Food and Drug Administration (FDA). L'agence fédérale américaine, chargée de protéger la santé publique en contrôlant la sécurité alimentaire, le tabac et les médicaments, préconise de réduire le niveau de nicotine dans les cigarettes, et ce afin d'atténuer le risque d'addiction inhérent à ce produit.
La FDA va modifier sa stratégie de lutte contre le tabagisme avec un «plan complet de régulation » prévoyant notamment de reconsidérer le rôle des arômes, qui attirent les jeunes, et surtout d'encourager le développement de «nouveaux produits du tabac » moins dangereux que les cigarettes. «Le nombre écrasant de morts et de maladies liés au tabac est causé par l'addiction aux cigarettes, le seul produit de consommation légal qui tue la moitié des utilisateurs à long terme », a déclaré Scott Gottlieb, le commissaire de la FDA.
Tour de vis

Avant de procéder à un tour de vis dans la régulation des produits du tabac, la FDA a annoncé qu'elle entamait un dialogue public sur la baisse du niveau de nicotine et qu'elle publierait rapidement des directives sur la mise en œuvre de ce plan. Une façon de considérer que le caractère addictif de la nicotine est, en soi, néfaste.
Les industriels du tabac ont tous salué ce «pas important » dans le développement d'une nouvelle politique de régulation du tabac luttant contre ses méfaits. Mais les lobbyistes des cigarettiers sont sur le pied de guerre pour défendre leur industrie. Plusieurs voix s'élèvent déjà sur le risque d'encourager indirectement le marché noir. D'autres se félicitent que les cigarettes électroniques se situent hors du champ du plan. Celles-ci seront examinées en 2022. En 2021, ce sera le tour des cigares, du tabac à pipe et à narguilé.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2017/07/31/20002-20170731ARTFIG00003-etats-unis-la-fda-veut-moins-de-nicotine-dans-les-cigarettes.php?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Economie

267le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mer 2 Aoû 2017 - 15:42

Josué

Josué
Administrateur

L’e-cigarette, outil supplémentaire de lutte antitabac ?
Par Aurélie Franc Mis à jour le 01/08/2017 à 11:23 Publié le 01/08/2017 à 11:23
Alors que les autorités sanitaires américaines envisagent de réduire le taux de nicotine dans les cigarettes, une étude montre un lien entre émergence de la cigarette électronique et baisse du nombre de fumeurs de tabac.

Le nombre de vapoteurs augmente, et celui des fumeurs de tabac diminue. C’est ce que montre une étude publiée dans le British Medical Journal, dans laquelle les chercheurs assurent que ces deux tendances sont liées.
Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques de l’Université de Californie ont analysé les données d’un grand sondage américain, relatif à l’usage de la cigarette, mené par le National cancer institute. Plus de 160.000 adultes américains étaient impliqués dans cette étude entre 2014 et 2015, dont 22.000 fumeurs et 2.100 ayant récemment arrêté la cigarette.
Davantage de tentatives d’arrêt

Parmi les fumeurs qui utilisaient l’e-cigarette, 65% avaient déjà tenté arrêter de fumer - c’est-à-dire avaient passé au moins 24h sans fumer-, contre seulement 40% chez les fumeurs.
«Cet outil permet, entre autres, de multiplier les tentatives d’arrêt de la cigarette car il renforce le sentiment d’efficacité personnelle. Grâce à une vapoteuse, l’individu va pouvoir stopper la cigarette durant de courtes périodes et ainsi réduire sa consommation. Cela va renforcer l’idée chez lui qu’il peut réussir à arrêter de fumer», affirme Nicolas Bonnet, pharmacien spécialisé en santé publique, addictologue et directeur du Réseau des établissements de santé pour la prévention des addictions RESPADD.
350.000 arrêts supplémentaires

En comparant avec des études précédentes et similaires (2000-1, 2003, 2006-7 et 2010-11), où la question de l’e-cigarette n’était pas abordée, les chercheurs ont également constaté que le taux global d’arrêt avait augmenté.
Alors qu’en 2010-2011, 4,5% des fumeurs avaient réussi à arrêter la cigarette, en 2014-15, le pourcentage s’élevait à 5,6%. Cela représente environ 350.000 Américains supplémentaires qui déclarent avoir arrêté de fumer, notent les chercheurs. Et ce sont les vapoteurs qui tirent ce chiffre vers le haut: 8,2% des utilisateurs de cigarette électronique avaient réussi à arrêter le tabac classique, contre 4,5% chez ceux qui ne l’utilisaient pas.
«Ces résultats ne me surprennent pas: en France, en 2012-2013, lorsqu’il y a eu une explosion des ventes de cigarettes électroniques, il y a eu en parallèle une baisse de celles des cigarettes classiques. De nombreux patients arrêtent grâce à l’e-cigarette», affirme le Dr Paul Vanderkam, chef de clinique en médecine générale à l’Université de Poitiers et chercheur en addictologie.
Un appui aux politiques publiques

Les chercheurs admettent cependant que la cigarette électronique n’est pas la seule responsable de la baisse du nombre de fumeurs. Les États-Unis ont en effet augmenté leur taxe sur le tabac dès 2009. De même, depuis 2012, des campagnes annuelles sont menées dans le pays pour sensibiliser la population aux dangers du tabac. Mais la cigarette électronique vient, selon les chercheurs, en appui à ces politiques publiques.
En France, selon la première enquete sur la cigarette électronique menée en 2013 par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies, 1% des Français estimaient avoir arrêté complètement de fumer grâce à une vapoteuse et la moitié des utilisateurs avait pour objhttp://sante.lefigaro.fr/article/l-e-cigarette-outil-supplementaire-de-lutte-antitabac-/?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Santeectif un sevrage total.

268le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 11 Aoû 2017 - 15:26

Josué

Josué
Administrateur

Moins de nicotine dans les cigarettes : la décision très contestable des autorités américaines
Par Aurélie Franc Mis à jour le 09/08/2017 à 17:16 Publié le 09/08/2017 à 17:16
Les Américains prévoient de lutter contre le tabagisme… en diminuant le taux de nicotine dans les cigarettes. Une mesure jugée contre-productive et dangereuse pour les jeunes par des médecins français.

Paquets à 10 euros, campagnes d’information ou interdiction de la publicité … Les outils de lutte contre le tabagisme sont nombreux. Pourtant, les autorités sanitaires américaines ont fait un tout autre choix, bien plus risqué. La Food and drug administration (FDA), l’agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux, a annoncé vouloir diminuer le taux de nicotine dans les cigarettes à des niveaux «qui ne rendent pas dépendants».
«Aux États-Unis 90% des fumeurs ont commencé avant 18 ans, et chaque jour, près de 2.500 jeunes s’initient au tabac. Baisser les taux de nicotine pourrait éviter de rendre dépendantes les générations futures et permettre aux fumeurs accros d’arrêter la cigarette», affirme la FDA, qui rappelle le poids sanitaire (480.000 morts par an) et économique (300 milliards de dollars par an) de la cigarette.
Profitable aux industriels du tabac?

Si l’argument semble imparable, «la FDA fait le contraire de ce qu’il faudrait. Un jeune qui fume sa première cigarette est rapidement pris de nausée car son corps n’est pas habitué à la nicotine. Mais si l’industrie réduit la dose de nicotine, hautement addictive, l’organisme du jeune acceptera plus facilement cette première cigarette», déplore le Pr Bertrand Dautzenberg, pneumologue à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière (Paris).
Par ailleurs, les fumeurs déjà accros risquent de compenser cette réduction de nicotine en s’exposant davantage: ils tireront plus fort et plus vite sur leur cigarette, et fumeront encore plus. Cela sera donc contre-productif pour eux, mais profitable pour les industriels du tabac, qui vendront en plus grande quantité leurs produits à faible taux de nicotine.
La décision de la FDA est d’autant plus incompréhensible que cette mesure a déjà montré son inefficacité et sa dangerosité. Les cigarettes dites «light» (comprenant moins de nicotine et à faible teneur en goudron) ont longtemps été considérées comme plus sûres. Avant qu’il soit établi, en 2006 par l’OMS, «qu’il n’y avait aucun bénéfice sanitaire à attendre des cigarettes «légères» ou «mild» par rapport aux cigarettes ordinaires».
Concernant cette nouvelle mesure, les industriels du tabac ont tous salué ce «pas important» dans le développement d’une nouvelle politique de régulation.
http://sante.lefigaro.fr/article/moins-de-nicotine-dans-les-cigarettes-la-decision-tres-contestable-des-autorites-americaines/?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Sante

269le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mer 16 Aoû 2017 - 18:25

Josué

Josué
Administrateur

Tabac : le paquet neutre n'a pas (encore) d'effet notable sur les ventes
Par Marie Simon Mis à jour le 16/08/2017 à 18:04 Publié le 16/08/2017 à 15:53
Le paquet neutre, mis en place le 1er janvier dernier,
LE SCAN ÉCO - Sept mois après son instauration, les ventes de cigarettes ont progressé entre janvier et juillet 2017. Le gouvernement compte faire passer le prix moyen du paquet de 7 à 10 euros à terme.
«Le paquet neutre, c'est laid et c'est fait pour. L'objectif est de casser le côté attractif de beaucoup de paquets de cigarettes», affirmait Marisol Touraine en mai 2016. La mesure phare de la loi Santé, appliquée depuis janvier 2017, a-t-elle eu l'effet escompté? Le «côté attractif» a peut-être été entamé mais les images de poumons abîmés ou de dents noircies ne semblent cependant pas avoir installé de «côté répulsif» sur les étals des buralistes. C'est ce que tendent à montrer les derniers chiffres de l'administration des Douanes. Les ventes dans le réseau des buralistes ont augmenté de 21,1% entre janvier et juillet 2017, à jours de livraison constants.
Peu d'effet immédiat et évident sur les ventes

Avec 3,923 milliards d'unités vendues en juillet 2017, c'est toutefois une évolution marquée de -10,4% par rapport à juillet 2016. Le mois de juillet 2017 est le mois de juillet où les ventes sont les plus faibles depuis 2013. Mais ce mois de baisse suit un premier semestre d'augmentation régulière, avec un mois de juin où les ventes ont même été les plus élevées depuis 2017, en ventes à jours de livraison constants. Difficile de tirer une conclusion sur l'impact du paquet neutre, à partir de chiffres mensuels.

Et au niveau semestriel? L'augmentation est notable, avec +4,27% des ventes à jours de livraison constants au premier semestre 2017, par rapport au premier semestre 2016. L'année précédente, l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) avait enregistré -2,74% des ventes à jours de livraison constants, par rapport au premier semestre 2015.

En déduire que le paquet neutre n'a aucun effet sur les ventes de tabac serait toutefois précipité. Les experts ont d'ailleurs bien du mal à se mettre d'accord, plus de cinq ans après l'instauration de cette mesure en Australie, pays pionnier en la matière. Le paquet neutre y a été instauré début 2012. L'année suivante, la consommation aurait augmenté de 0,3%, selon Philip Morris, alors que les chiffres officiels font état d'une diminution notable du nombre de fumeurs dans la population australienne, rappelait Le Monde.
http://www.lefigaro.fr/economie/le-scan-eco/dessous-chiffres/2017/08/16/29006-20170816ARTFIG00164-tabac-le-paquet-neutre-n-a-pas-encore-d-effet-notable-sur-les-ventes.php?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Economie

270le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mer 30 Aoû 2017 - 8:15

Josué

Josué
Administrateur

Une baisse du nombre de fumeurs s’installe, durablement depuis 2002, dans la ville de New York : il faudrait que ce processus s’accélère selon l’ambitieux maire de cette ville

271le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mer 13 Sep 2017 - 8:24

Josué

Josué
Administrateur

Une étude met en lumière les effets irréversibles du tabac sur les poumons
Fumer régulièrement pendant des années provoque des mutations dans les cellules pulmonaires qui favorisent l'apparition d'un cancer, selon une étude américaine.
SOURCE AFP
Publié le 12/09/2017 à 10:34 | Le Point.fr
Fumer régulièrement pendant des années provoque des mutations dans les cellules pulmonaires qui favorisent l'apparition d'un cancer, selon une étude américaine.
Fumer régulièrement pendant des années provoque des mutations dans les cellules pulmonaires qui favorisent l'apparition d'un cancer, selon une étude américaine. © AFP/ KENZO TRIBOUILLARD
ABONNEZ-VOUS
Le constat était connu depuis plusieurs dizaines d'années, mais cette nouvelle étude publiée par la revue américaine Cancer Cell apporte un nouvel éclairage sur les effets délétères du tabagisme sur le poumon. Fumer régulièrement pendant des années provoque des changements dans les cellules pulmonaires qui les rendent plus vulnérables au développement d'un cancer, démontre cette étude effectuée en laboratoire. Ces chercheurs ont exposé quotidiennement des cellules de poumon humain à une forme liquide de cigarette pendant quinze mois, ce qui pourrait équivaloir à une personne fumant durant vingt à trente ans entre un et deux paquets par jour.
Après environ dix jours, ils ont observé des changements génétiques dans les cellules qui, après quinze mois, les prédisposaient davantage à un cancer. « Quand on fume, on accumule des changements génétiques qui, nous pensons, accroissent les risques de provoquer des mutations responsables d'une tumeur », relève Stephen Baylin, codirecteur du programme de biologie du cancer à la faculté de médecine de l'université américaine Johns-Hopkins, l'un des principaux auteurs de cette étude.
Le Point.fr.

272le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 29 Sep 2017 - 11:46

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

compter du 1er octobre, l'usage de la cigarette électronique sera interdit dans les bureaux, les établissements scolaires et dans les transports en commun.

Dès dimanche prochain, il sera interdit d'utiliser la cigarette électronique dans les établissements scolaires ou destinés à l'accueil de mineurs, les transports en commun ainsi que dans les «lieux de travail fermés et couverts à usage collectif». Cette disposition, inscrite dans la loi de modernisation de notre système de santé de janvier 2016, est mise en oeuvre par un décret publié en avril 2017.
Quels sont précisément les lieux de travail soumis à l'interdiction? Le décret précise qu'il s'agit «des locaux recevant des postes de travail, situés ou non dans les bâtiments de l'établissement, fermés et couverts, et affectés à un usage collectif, à l'exception des locaux qui accueillent du public». Boutiques de cigarettes électroniques, bars et restaurants ne sont donc pas concernés par cette interdiction.
En outre, ce décret rend obligatoire l'affichage d'une signalisation rappelant le principe de l'interdiction de vapoter et, le cas échéant, ses conditions d'application dans l'enceinte des lieux concernés.
Enfin, il prévoit une contravention de 2e classe à l'encontre des personnes qui méconnaissent l'interdiction de vapoter (une amende de 150 euros au plus), ainsi qu'une contravention de 3e classe pour les responsables des lieux où s'applique l'interdiction qui n'auraient pas mis en place la signalisation (450 euros au plus).
Aujourd'hui, l'e-cigarette est utilisée quotidiennement par 3 % des Français, selon une étude de Santé Publique France publiée en mai 2017.

273le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Lun 6 Nov 2017 - 19:54

Josué

Josué
Administrateur

Tabac: quelle est la meilleure méthode pour arrêter ?
Par    Cécile Thibert   Mis à jour le 06/11/2017 à 10:37  Publié le 03/11/2017 à 12:25
Tabac: quelle est la meilleure méthode pour arrêter ?
À l'occasion du Mois Sans Tabac, Le Figaro passe au crible les différents moyens d'aide au sevrage tabagique.

Patchs, gommes à mâcher, inhalateurs, médicaments... Les moyens pour augmenter ses chances d'arrêter de fumer ne manquent pas! Les substituts nicotiniques permettent de continuer à absorber de la nicotine sans pour autant inhaler le goudron, le monoxyde de carbone et les 4000 produits chimiques toxiques contenus dans la fumée de cigarette.
Il n'existe pas de preuve scientifique qu'un substitut nicotinique soit plus efficace qu'une autre. Par contre, on sait que la combinaison de plusieurs d'entre eux est plus efficace que l'usage d'un seul de ces traitements. L'association d'un patch avec les gommes ou l'inhalateur, formes de délivrance de nicotine plus rapide, constitue une bonne aide au sevrage tabagique. Le Figaro fait le point sur les avantages et les inconvénients de ces méthodes avec le Dr Ivan Berlin, médecin pharmacologue-addictologue à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière (AP-HP) à Paris.
Les patchs (ou timbres)


Le patch ou timbre de nicotine s'applique sur la peau et diffuse progressivement la nicotine à travers la peau, sur une période de 16 ou 24 heures. Il doit être collé sur une surface de la peau sèche et sans poils, à un emplacement différent chaque jour. Il n'est pas recommandé de fumer avec un patch mais il n'est pas dangereux de fumer en parallèle si c'est un besoin. Retirer le patch le temps d'une cigarette ne change rien puisque la nicotine continue de se diffuser pendant environ deux heures.
Avantages:
Le patch fournit de la nicotine plus lentement que la gomme et les comprimés, mais de façon plus constante et durable tout au long de la journée. Cela permet de soulager l'irritabilité, l'envie de grignoter, les sautes d'humeur, les difficultés de concentration, l'envie de fumer et d'autres désagréments qui peuvent survenir à l'arrêt du tabac. Le patch a également l'avantage de pouvoir se combiner à d'autres substituts nicotiniques. Il est possible de porter le patch toute la journée, tout en consommant ponctuellement les substituts nicotiniques qui s'absorbent rapidement comme les gommes ou les comprimés.
Inconvénients:
Les effets indésirables les plus fréquents sont des rougeurs et des démangeaisons à l'endroit où le patch est collé. Elles sont en général plus intenses en début de traitement et disparaissent dans les deux jours suivants le retrait du patch. Quand il est porté la nuit, le patch peut également induire des modifications du sommeil. Plus rarement, on observe d'autres effets indésirables comme les nausées, les maux de tête et une accélération de la fréquence cardiaque.
L'avis du Dr Berlin:
Une fois qu'il est collé, l'utilisateur n'a plus à s'occuper de son patch pendant 16 ou 24 heures. Souvent, le patch tout seul ne suffit pas. Les résultats sont meilleurs lorsqu'il est associé à des gommes ou des pastilles à sucer.
» Voir aussi: quiz - évaluez vos chances d'arrêter de fumer.
Les gommes à mâcher


Les gommes doivent être mâchées intensément et lentement pendant 20 à 30 minutes, en faisant des pauses pendant lesquelles on ne les mâche pas du tout. La nicotine, qui diffuse directement à travers la muqueuse de la bouche, agit assez rapidement (en 5 à 10 minutes). Il est recommandé de prendre les gommes régulièrement sur la journée, ou uniquement lorsque l'envie est forte. Il est possible d'utiliser en même temps ou en alternance un autre substitut nicotinique.
Avantages:
Les gommes soulagent rapidement les désagréments liés à l'arrêt du tabac en les diminuant nettement, voire en les supprimant. Elles permettent de réduire ou d'éviter la prise de poids après l'arrêt du tabac.
Inconvénients:
Des problèmes de sommeil peuvent survenir, surtout si les gommes sont prises le soir. En début de traitement, les gommes peuvent causer une irritation de la bouche, un hoquet, des brûlures d'estomac, une salivation augmentée, des troubles digestifs ou encore des problèmes dentaires ou gingivaux. Il est recommandé d'éviter de boire du café ou du jus de fruit avant et pendant la prise de la gomme, car ces boissons diminuent son efficacité.
Les comprimés à sucer

Les comprimés et les pastilles de nicotine fonctionnent selon le même principe que les gommes mais sans les inconvénients liés à la mastication.
Avantages:
Comme les autres substituts nicotiniques, les comprimés à sucer soulagent rapidement les symptômes de manque et les envies de fumer grâce à l'absorption rapide de la nicotine. Les comprimés existent sous différentes formes. Certains sont assez gros et se sucent longuement pour occuper la bouche, d'autres, plus petits, fondent rapidement pour soulager un besoin urgent.
Inconvénients:
Chez environ 20% des patients traités avec des substituts nicotiniques oraux (dont les comprimés à sucer), on observe des effets indésirables, qui sont généralement légers et limités à la durée du traitement. La majorité des symptômes qui apparaissent lors d'un sevrage tabagique sont plus souvent liés au sevrage qu'aux substituts nicotiniques. Ces derniers sont très bien tolérés et leurs effets indésirables sont très rares. La prise de café ou de jus de fruits, comme pour les gommes nicotiniques, diminue l'efficacité des comprimés.
L'inhaleur

Cela ressemble à une cigarette en plastique. L'air aspiré lors de l'utilisation de l'inhaleur est chargé de micro-gouttelettes de nicotine qui viennent se déposer sur la muqueuse buccale.
Avantages:
L'inhaleur permet d'arrêter de fumer tout en conservant le geste de la cigarette.
Inconvénients:
Une toux et des irritations de la bouche et de la gorge apparaissent chez environ 40% des patients au début du traitement. Leur intensité s'atténue progressivement. L'inhaleur délivre relativement peu de nicotine, souvent insuffisant pour combler le manque.
L'avis du Dr Berlin:
Inhaleur, spray buccal, comprimés, gommes ont tous la même efficacité. C'est au fumeur de choisir le substitut nicotinique qui lui convient le mieux.
La varénicline (Champix)


La varénicline est une molécule capable de se lier à certains récepteurs nicotiniques dans le cerveau et d'imiter l'action de la nicotine. Des effets indésirables du médicament, tels que des problèmes cardiaques et des troubles dépressifs, ont été rapportés au début des années 2010, entraînant un suivi renforcé par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Plusieurs études récentes ont infirmé ces soupçons et l'ANSM a levé le suivi renforcé en 2015. Ce médicament n'est disponible que sur prescription. Il n'est pas destiné aux personnes de moins de 18 ans, aux femmes enceintes ou allaitantes et aux personnes avec des problèmes rénaux.
Avantages:
L'efficacité de la varénicline comme aide au sevrage tabagique est supérieure à celle des substituts nicotiniques seuls; et équivalente à l'association de deux substituts nicotiniques (par exemple patch + comprimé à sucer). Elle diminue les symptômes de sevrage en agissant sur le système nerveux à la place de la nicotine et elle réduit le plaisir de fumer en diminuant la sensibilité du système nerveux à la nicotine.
Inconvénients:
Les effets indésirables les plus courants, observés chez plus d'un patient sur dix, sont les nausées, l'insomnie, les rêves anormaux et les maux de tête.
L'avis du Dr Berlin:
Cette molécule a subi un mauvais procès. C'est actuellement le médicament le plus efficace dont on dispose. Depuis novembre 2016, il est remboursé à 65% par la sécurité sociale.
Le bupropion (Zyban)


Le chlorhydrate de bupropion (ou Zyban) a initialement été utilisé aux États-Unis comme antidépresseur. Des médecins se sont alors aperçus que ce médicament ôtait l'envie de fumer à certains patients. Depuis, des études scientifiques ont démontré l'efficacité de ce produit dans l'arrêt du tabac. Ce médicament, comme la varénicline, est destiné aux fumeurs dont la dépendance au tabac est très forte. Il est fortement déconseillé d'utiliser ce médicament en cas d'hypersensibilité au produit, de trouble grave du comportement alimentaire ou de sevrage d'alcool.
Avantages:
Le bupropion réduit le plaisir de fumer, les symptômes de manque et limite la prise de poids.
Inconvénients:
25 à 35% des patients qui prennent ce médicament font des insomnies.
L'avis du Dr Berlin:
Ce médicament est très peu prescrit en France car il n'est pas remboursé. Il fonctionne aussi bien que les substituts nicotiniques, mais il semblerait qu'il soit un peu moins efficace que le Champix.
Il est à noter que les substituts nicotiniques, tout comme la varénicline et le bupropion, réduisent la prise de poids qui peut survenir lors de l'arrêt des cigarettes.
Il est indispensable que les fumeurs sachent que le sevrage tabagique est un processus long, qui peut durer plusieurs mois avec des hauts et des bas. De plus, il est important que les traitements évoqués soient pris suffisamment longtemps, c'est-à-dire au moins 5 semaines, et de préférence pendant quelques mois.
La cigarette électronique


L'efficacité de la cigarette électronique dans le sevrage tabagique n'est pas encore directement démontrée. Mais d'après les derniers travaux du Haut Conseil de la Santé Publique, elle peut toutefois constituer une aide pour arrêter ou réduire sa consommation de tabac.
Avantages:
L'utilisation de l'e-cigarette (vapotage) conjuguée à l'arrêt total du tabac, permet de réduire les risques de développer des maladies liées au tabac, comme les cancers, les troubles respiratoires ou cardiaques.
Inconvénients:
La majorité des utilisateurs gardent continuent en parallèle de fumer des cigarettes, en plus du vapotage. Cette double utilisation ne permet probablement pas de réduire les risques liés au tabac. L'objectif doit rester l'arrêt total des cigarettes. La cigarette électronique est certainement moins toxique que la cigarette, toutefois, son avènement récent ne permet pas de dire si son usage comporte des risques pour la santé ou pas.
Si la cigarette électronique est reconnue comme un outil de réduction des risques liés au tabac, son efficacité dans le sevrage tabagique n'est pas encore formellement démontrée. De même, son avènement récent ne permet pas de dire si son usage comporte des risques pour la santé.
L'avis du Dr Berlin:
La cigarette électronique est un bon substitut nicotinique, qui assure une meilleure absorption en nicotine que les gommes ou les comprimés à sucer car la vapeur descend dans les poumons. Par contre, nous ne disposons pas de données sur ses effets indésirables éventuels, pour la simple raison que la cigarette électronique est considérée comme un produit de consommation et non comme un dispositif médical et donc les fabricants n'ont pas l'obligation d'étudier son rapport bénéfice-risque, comme doivent le faire les industriels du médicament ou des produits de santé.
http://info.sante.lefigaro.fr/article/tabac-quelle-est-la-meilleure-methode-pour-arreter-/?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Sante

274le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 10 Nov 2017 - 13:31

Josué

Josué
Administrateur

interdire la vente de tabac à partir de 2018
Par franceinfo – France Télévisions
Mis à jour le 09/11/2017 | 15:12 – publié le 09/11/2017 | 15:11
Le pape ne mégote pas avec la santé de ses ouailles. Le Vatican s'apprête à interdire, à partir du 1er janvier 2018, la vente de cigarettes dans le magasin détaxé où les employés, résidents, retraités et diplomates du micro-Etat peuvent faire leurs courses. "La raison est assez simple, précise le porte-parole Greg Burke, jeudi 9 novembre. Le Saint-Siège ne peut pas cautionner une pratique qui nuit clairement à la santé des gens."

Jusqu'ici, rappelle La Repubblica (en italien), la carte donnant accès à ce supermarché permettait d'acheter cinq cartouches par mois, à un prix défiant toute concurrence.

Le Vatican fait une croix sur une manne financière

"Les cigarettes, vendues aux employés et aux retraités du Vatican à un prix réduit, étaient une source de revenus pour le Saint-Siège, poursuit Greg Burke. Cependant, aucun profit n'est légitime s'il met en jeu la vie des gens."

Des milliers de personnes non autorisées réussissent tout de même à contourner la loi pour se procurer des cigarettes à peu de frais, expliquait en 2015 L'Espresso (en italien, pour abonnés), dans un dossier consacré à la vente de tabac. Au Vatican, seule la fumée qui s'échappe de la chapelle Sixtine est en odeur de sainteté.

A LIRE AUSSI

Le prix du paquet de cigarettes augmentera de 30 centimes en moyenne dès lundi 13 novembre
La cigarette électronique efficace pour réduire la consommation de tabac, mais pas pour arrêter définitivement
Le prix du tabac ne flambera qu'à partir du 13 novembre
Tabac : une réputation qui part en fumée
Mois sans tabac : "Il faut adapter à sa personnalité, il n'y a pas de méthode standard de sevrage"
SUJETS ASSOCIÉS

Drogue-Addictions
Lutte contre le tabagisme
Santé

ActualitésSantéDrogue-AddictionsLutte contre le tabagisme

275le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 2 Fév 2018 - 18:55

samuel

samuel
Administrateur

marques, les patchs utilisés dans le sevrage tabagique ne libèrent pas la nicotine de la même manière, ce qui peut entraîner des effets indésirables.
«J’arrête de fumer», 750 000 personnes parviennent à tenir cette bonne résolution pendant au moins un an en France. Pour y parvenir, des solutions de substitution à la nicotine, comme les patchs, sont bien souvent utilisées. Cependant, l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) alerte sur ce dispositif: tous les patchs ne sont pas équivalents, ils ne sont donc pas interchangeables d’une marque à l’autre. 

4 patchs différents à ne pas mélanger 

Dans son communiqué, l’Agence rappelle qu’il existe quatre marques de patchs sur le marché: Nicotinell, Nicopatch, Niquitin et Nicoretteskin. La quantité de nicotine qu’ils contiennent et la vitesse de diffusion sont différentes. En effet, pour les trois premiers, les doses sont de 7, 14 ou 21 mg par patch sur une durée de 24h. Or, pour Nicoretteskin, les quantités de nicotines sont plus élevées et sur un temps de diffusion plus court: 10, 15 ou 25 mg sur 16h.
Par ailleurs, la vitesse et la dose de nicotine absorbée pour obtenir des effets thérapeutiques n’ont jamais été comparées entre les différents patchs, à l’exception de Nicotinell et son générique Nicopatch. «C’est pourquoi, pour un même dosage, deux patchs de nicotine de marque différente peuvent libérer le principe actif plus ou moins rapidement au cours de la période indiquée; la bioéquivalence entre les patchsne peut donc être garantie» précise l’ANSM. 

De possibles effets indésirables

Il est déjà difficile pour les fumeurs d’arrêter la cigarette, avec un mauvais dosage de nicotine la tâche devient plus rude. C’est pourtant ce qu’il risque d’arriver en substituant une marque de patch à l’autre. En remplaçant un patch à 7mg par un autre à 10mg à diffusion plus rapide, les quantités de nicotine dans le sang augmentent trop vite, ce qui peut entraîner un surdosage. Les patients risquent alors de connaître des épisodes de nausées, de maux de tête ou de palpitations cardiaques. 
À l’inverse, si la quantité de nicotine est trop faible, des effets indésirables peuvent aussi être ressentis. Le sevrage étant inefficace, des symptômes de manque peuvent apparaître comme l’irritabilité, l’anxiété ou la perturbation du sommeil.

276le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 2 Mar 2018 - 13:45

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Prix du tabac: une hausse très attendue pour faire décrocher les fumeurs[/size]

  • Par  le tabac en chiffre. - Page 6 Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> Damien Mascret 

     

VIDÉO - Le paquet de cigarette à 8 euros, et bientôt 10 euros, ne doit pas masquer les pudeurs du président Macron contre l’alcoolisme.

C’est aujourd’hui que le prix du paquet de cigarette augmente d’un euro, pour atteindre 7,90 euros, en moyenne. Une hausse significative, contrairement à la précédente (en novembre dernier) de seulement 30 centimes d’euros. Mais l’essentiel n’est pas là. Cette fois-ci, tout le monde semble d’accord avec l’objectif d’atteindre, d’ici novembre 2020, un paquet de cigarettes à 10 euros. Du président de la République à la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, en passant par le Premier ministre, Édouard Philippe, et le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, chacun s’aligne enfin derrière l’étendard de la santé publique. Ce n’est pas anodin, pour au moins deux raisons.

L’échec du quinquennat précédent


D’abord parce que cela ne va pas de soi au sommet de l’État. Lors du quinquennat précédent, la ministre de la santé Marisol Touraine avait expliqué que le prix du paquet était «déjà très élevé en France» et le président François Hollande soulignait même qu’en France «le prix du tabac est devenu le plus élevé d’Europe continentale». En réalité, Mme Touraine avait dû s’incliner devant l’arbitrage du Premier ministre, Manuel Valls, donnant raison à Bercy - occupé par un certain Emmanuel Macron - qui ne voulait pas de hausse. Mal inspiré (conseillé?) François Hollande feignait d’oublier que le paquet coûtait 2 euros de plus au Royaume-Uni, 3 euros de plus en Irlande et que la France était le mauvais élève de l’Europe, en matière de lutte contre le tabagisme. Un homme sur trois, un jeune sur trois et une femme sur quatre sont des fumeurs réguliers.

Et maintenant l’alcool?


Ensuite parce que la santé publique n’est pas le point fort d’Emmanuel Macron. Le président vient ainsi de faire preuve d’une méconnaissance manifeste de l’alcoolisme allant jusqu'au populiste: «N’emmerdez pas les Français!». Certains y voient l’influence de sa conseillère agriculture, Audrey Bourolleau, une ex-lobbyiste réputée de la filière viticole, prompte à promouvoir la consommation responsable et l’oenotourisme. Ces fausses barbes n’ayant qu’un seul et même objectif, celui d’élargir les chemins de la publicité, clôturé par la loi Évin de 1991. Insoutenable s’agissant d’une pathologie responsable de 50.000 décès par an et qui est, selon Santé publique France, source de «difficultés médicales, psychologiques ou sociales» pour 5 millions de personnes.

Le précédent de 2002-2004


En attendant la prise de conscience des méfaits de l’alcool, il faut donc se satisfaire et se réjouir de l’action volontariste du Président et du Gouvernement contre le tabagisme. La mesure sera-t-elle efficace? C’est probable. Entre 2002 et 2004, grâce à des hausses annuelles, répétées et sensibles du prix du tabac, 1,8 million de Français ont décroché de la cigarette. Une réussite considérable et insuffisamment soulignée, sous l’impulsion de Jacque Chirac, engagé dans «une guerre contre la cigarette». De plus, l’impact pourrait être majeur chez les jeunes, ce qui est là aussi un point crucial lorsque l’on sait que 90% des fumeurs adultes ont commencé à fumer avant 18 ans et qu’un jeune de 17 ans sur trois fume quotidiennement.

277le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mer 4 Avr 2018 - 18:30

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]La cigarette électronique est-elle vraiment moins dangereuse que le tabac?[/size]

  • Par  le tabac en chiffre. - Page 6 Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> Cécile Thibert 
     
  • Mis à jour le 04/04/2018 à 17:20 
     

À chaque fois que paraît une étude affirmant que la cigarette électronique n’est pas nocive, une autre assurant l’inverse est publiée. Lesquelles peut-on croire ? Le Figaro fait le point sur les connaissances scientifiques.
Certains ex-fumeurs ne jurent désormais plus que par elle. D’autres accros à la nicotine estiment, eux, qu’en l’absence de données scientifiques claires, mieux vaut s’en tenir à la cigarette classique. Il est vrai que les connaissances sur les risques et les bénéfices de la cigarette électronique manquent. En partie parce que l’intérêt des scientifiques pour cette question n’est que très récent: moins d’une trentaine d’études ont été publiées avant 2014, contre près de 1800 depuis.
En janvier dernier, l’Académie des sciences américaine a publié un rapport de 600 pages consacré à la cigarette électronique, aboutissement de l’analyse de 800 études. Selon la qualité des études réalisées, les scientifiques américains ont classé les résultats en fonction de leur «niveau de preuve». En clair, un résultat avancé par des études de mauvaise qualité ou sur lequel les publications scientifiques divergent est estampillé comme ayant un niveau de preuve limité. Au contraire, si un bon nombre d’études bien menées aboutissent toutes au même résultat, le niveau de preuve est jugé probant.
» LIRE AUSSI - E-cigarette: les vapoteurs moins exposés aux substances toxiques que les fumeurs

Que contient la vapeur de cigarette électronique?


La cigarette électronique n’a de commun avec son homologue classique que le nom et la gestuelle. À la différence des cigarettes, elle ne contient pas de tabac, n’a pas de combustion et ne créé pas de fumée. Elle permet d’inhaler de la vapeur obtenue par chauffage d’un liquide composé principalement de propylène glycol, de glycérol, d’arômes et, le plus souvent, de nicotine.
• Les preuves solides:
Un bon nombre de liquides pour cigarette électronique contiennent et/ou entraînent la production de substances potentiellement toxiques, tels que des métaux et des composés potentiellement cancérigènes (l’acroléine), voire cancérigènes avérés pour l’homme (le formaldéhyde). Toutefois, le nombre et la quantité de ces substances dépendent fortement du type de cigarette électronique utilisé et de la façon dont celle-ci est utilisée, ainsi que des caractéristiques des e-liquides.
- La quantité de nicotine inhalée avec la cigarette électronique est comparable à celle de la cigarette conventionnelle.
» LIRE AUSSI - L’e-cigarette, outil supplémentaire de lutte antitabac?

278le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Lun 9 Avr 2018 - 14:33

Josué

Josué
Administrateur

Les douanes françaises rapportent une baisse de près de 20% des ventes de cigarettes sur le mois de mars 2018 par rapport à la même période l’année dernière. Un effet probable de l’annonce du prix prochain du paquet à 10 euros.
C’est presque trop beau pour être vrai. En mars 2018, la vente de cigarettes a chuté de 19,8% par rapport à mars 2017, soit la plus forte baisse mesurée sur un mois depuis 2004. Les ventes de tabac à rouler ont aussi reculé de 15,65% sur cette période, a annoncé ce vendredi matin la direction générale des douanes. Elle s’appuie sur les données fournies par Logista, le premier distributeur de tabac auprès des 26.000 buralistes français. Pour les spécialistes, cette baisse ne serait pas liée à la hausse de la contrebande, ou des achats transfrontaliers, puisqu’on observe aussi une hausse des achats de produits de substitution dans les pharmacies. «Ces résultats fantastiques sont massivement liés aux augmentations du prix du tabac en février et novembre 2017», assure enthousiaste le Pr Bertrand Dautzenberg, pneumologoque-tabacologue à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière (AP-HP).
Cette baisse record est d’autant plus réjouissante qu’elle s’inscrit dans la durée. «Sur l’ensemble de l’année 2017, les livraisons ont baissé de 1,4% pour tous les produits du tabac. Et en cumul sur janvier et février 2018, elles ont diminué de 5,6%», commente Aurélie Lermenier, chargée d’études à l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT). La spécialiste précise que cette reculade des ventes concerne surtout le tabac à rouler, preuve qu’il devient financièrement moins intéressant pour un fumeur de se tourner vers ce produit. De fait, un paquet de 20 cigarettes coûte aux alentours de 8 euros tandis que le tabac à rouler coûte plus de 10 euros.

«L’effet mode a disparu avec le paquet neutre»
Pr Bertrand Dautzenberg, pneumologue et tabacologue.
[size]

Des prix élevés qui semblent avoir détourné les jeunes du tabac. «Alors qu’en 2014, un tiers des jeunes de 17 ans étaient des fumeurs quotidiens, ils ne sont plus qu’un quart en 2017. C’est peut-être le prémisse d’une baisse dans l’avenir», glisse Aurélie Lermenier. Une bonne nouvelle liée aussi au paquet neutre. «Les jeunes s’initient au tabagisme en achetant une marque. Or l’effet mode a disparu avec le paquet neutre», décrit le tabacologue.

Le paquet à 10 euros en 2020

Pour les plus âgés, la hausse graduelle du prix du paquet de cigarettes - qui atteindra 10 euros en 2020 - ne serait pas la seule explication. Les actions de lutte antitabac tels que le Moi(s) sans tabac ont convaincu des usagers d’écraser leur dernière cigarette. «En novembre 2016, le forfait annuel de remboursement des aides au sevrage tabagique a été multiplié par 3, passant de 50 à 150 euros, ce qui a encouragé des fumeurs à arrêter», ajoute le Pr Dautzenberg. Et le bilan 2017 du tableau de bord publié par l’OFDT à la mi-mars le confirme: la vente de substituts nicotinique a grimpé de 28% l’an dernier. Avec une augmentation de 45%, les patchs nicotiniques ont été particulièrement plébiscités. «Environ 2,5 millions de personnes ont été traitées avec des substituts nicotiniques l’an dernier», précise Aurélie Lermenier. Un chiffre qui pourrait encore augmenter ces prochains mois grâce au remboursement par l’Assurance maladie de ces traitements annoncé fin mars.
En revanche, l’usage de la cigarette électronique semble stable. «Le vapotage se structure aujourd’hui autour d’un noyau dur d’usagers qui ont remplacé le tabac par la e-cigarette», explique la chargée d’études de l’OFDT.[/size]

279le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Lun 28 Mai 2018 - 14:57

Josué

Josué
Administrateur


Un million de fumeurs en moins en un an en France

En 2017, 26,9% des 18-75 ans fumaient chaque jour, contre 29,4% un an auparavant.




[size=15]TABAC - Un million de Français qui fumaient chaque jour ont arrêté en l'espace d'un an, s'est félicité lundi 28 mai le ministère de la Santé, selon qui l'augmentation des prix du tabac est un "facteur dissuasif".

En 2017, 26,9% des 18-75 ans fumaient chaque jour, contre 29,4% un an auparavant, selon des chiffres dévoilés par le ministère. "Ces résultats sont encourageants, ils marquent une rupture", a déclaré Agnès Buzyn lors d'une conférence de presse. "Avec la hausse de la fiscalité nous pouvons espérer que ces résultats soient pérennes", a-t-elle ajouté.

"Le tabac est un vecteur d'inégalités"
L'une des tendances marquantes est la baisse parmi les fumeurs les plus défavorisés pour "la première fois depuis 2000", selon le ministère. Parmi "les plus défavorisés", 34% fumaient chaque jour en 2017, contre 38,8% en 2016. Parmi les chômeurs, ils étaient 43,5% en 2017 contre 49,7% en 2016.

"Le tabac est un vecteur d'inégalités. Il pèse particulièrement sur les plus défavorisés et cela s'aggrave", a commenté la ministre, dont la lutte contre le tabagisme est un des chevaux de bataille. Agnès Buzyn a mis en oeuvre le passage du prix du paquet de cigarettes à 10 euros d'ici novembre 2020, par le biais de plusieurs augmentations successives.

Au premier trimestre 2018, les ventes de tabac avaient chuté de 9,1% en un an. Et en mars, juste après la hausse d'un euro du prix du paquet de cigarettes, les ventes ont perdu près de 20%. "Au-delà de la hausse de la fiscalité nationale, qui a déjà porté ses fruits, nous travaillons au niveau européen, sur le cadre fiscal européen", a indiqué Agnès Buzyn.
Il faut "continuer cette lutte majeure"
Outre la question du prix, les traitements anti-tabac ont progressivement commencé à être remboursés comme n'importe quel médicament, dans le cadre du volet prévention de la stratégie santé du gouvernement annoncé fin mars.
Cette prise en charge va remplacer le forfait de 150 euros par an qui couvrait jusque-là les substituts nicotiniques (patchs, gommes, pastilles, inhaleurs...) prescrits sur ordonnance.
Une autre mesure spectaculaire de lutte contre le tabagisme était entrée en vigueur sous le précédent gouvernement: le paquet neutre (même couleur olivâtre pour toutes les marques, photos choc et avertissements en lettres capitales).
"En France, je le rappelle, le tabac tue chaque jour 200 personnes(...) On sait qu'un fumeur sur deux mourra des suites du tabac", a martelé la ministre, selon laquelle il faut "continuer cette lutte majeure contre l'un des plus grands fléaux de santé publique".

[/size]

280le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Jeu 31 Mai 2018 - 8:36

Josué

Josué
Administrateur


7 raisons pour lesquelles mes tentatives pour arrêter de fumer ont été des échecs

Il n'y a pas de méthode miracle pour arrêter de fumer, du moins à ma connaissance. Il n'y a que des histoires très personnelles que l'on a avec la cigarette, qui déterminent la technique que l'on choisit pour en finir avec le tabac.



  • Melina LoupiaCommunity Manager et blog editor du HuffPost






le tabac en chiffre. - Page 6 Http%3A%2F%2Fo.aolcdn
[size=7]ANDRIANO_CZ VIA GETTY IMAGES

7 raisons pour lesquelles mes tentatives pour arrêter de fumer ont été des échecs.



Aujourd'hui, c'est la journée mondiale sans tabac.
Nous avons donc chacun une histoire différente avec la cigarette. Une histoire de famille, une santé plus ou moins fragile, nos fréquentations, notre âge...

En ce qui me concerne, moi, j'entretiens depuis l'âge de 13 ans une relation étroite, intime et destructrice avec la cigarette, entourée d'un conjoint qui n'était finalement que fumeur occasionnel, "festif" et qui n'avait augmenté sa consommation de tabac qu'en ma présence, et d'enfants biberonnés aux campagnes de prévention puis sensibilisés en milieu scolaire, qui ont bien compris ce que fumer implique et sont donc non-fumeurs.

On ne connaît désormais que trop bien les effets dévastateurs du tabac sur notre organisme et notre entourage. En France, le tabac tue 200 personnes par jour.
On connaît également tous les bienfaits d'une vie sans tabac, sur notre corps, sur notre budget sur nos proches.

Mais comme de nombreux fumeurs, ni les risques que j'encours en fumant, ni les excellentes raisons de ne pas fumer ne m'ont suffi pour en finir avec le tabac.
Et comme de nombreux fumeurs, mes tentatives pour en finir avec le tabac ont été nombreuses et décourageantes.

[/size]
Vous avez envie de raconter votre histoire? Un événement de votre vie vous a fait voir les choses différemment? Vous voulez briser un tabou? Vous pouvez envoyer votre témoignage à temoignage@huffingtonpost.fr et consulter tous les témoignages que nous avons publiés.

Je n'ai jamais eu le fameux déclic, je n'ai pas non plus programmé mon arrêt du tabac à une date clé, comme le 1er janvier, mes 40 ans, le décès soudain de mes parents, un changement de vie radical opéré en famille il y a 3 ans.
Il n'y a pas de méthode miracle pour arrêter de fumer, du moins à ma connaissance. Il n'y a que des histoires très personnelles que l'on a avec la cigarette, qui déterminent la technique que l'on choisit pour en finir avec le tabac.

En ce qui me concerne, la cigarette et moi formions un véritable couple. Jamais l'une sans l'autre, étroitement liées, pendant plus de 30 ans, au quotidien. Dans la santé comme dans la maladie, pour le meilleur et pour le pire.

J'ai longtemps aimé, voire adoré fumer. La cigarette a été mon métronome, mon chronomètre, celle qui m'aide à démarrer, à arrêter, à aimer, à détester, à m'apaiser ou au contraire, à me relancer.
J'ai aimé la détester, celle qui a jauni mes dents, ridé et terni ma peau, empêché de prendre les kilos dont j'avais besoin pour aimer mon reflet dans le miroir.
Elle s'est incrustée partout, de mon haleine à mes cheveux, jusqu'à mes habits dans les armoires et les placards, les sièges en tissu de mes voitures, mes draps, mes oreillers.
Elle a été le témoin de mes rires, de mes larmes, de mes angoisses comme de mes espoirs. Elle a même agi comme un anti-dépresseur dans les moments les plus difficiles de mon existence.
Elle a souvent été plus forte que la maladie, que les grossesses, que les interdictions en vigueur, que le froid glacial de février en bord de mer, que les parents qui n'étaient pas dupes mais persistaient à me faire croire qu'ils ignoraient que je fumais en cachette dans ma chambre d'adolescente.
Elle a repris le dessus malgré la nicotine en patch, malgré ce traitement dont la molécule aide au sevrage tabagique, malgré les encouragements et félicitations de la famille, des amis, des collègues de boulot.

Elle m'a dominée, elle a réglé ma vie, mon quotidien et je n'imaginais pas vivre sans elle, alors qu'elle pouvait me tuer.

En mai 2016, comme les dernières fois, un matin, après la 6 ou 7e clope depuis le lever du soleil, j'ai eu cette idée folle d'arrêter. Il s'agissait d'un acte irréfléchi, spontané, imprévu, qui a provoqué une montée d'adrénaline, et une impatience de celles que l'on connaît enfant, lorsqu'on sait pertinemment que le Père Noël n'existe pas, mais que cette fois, c'est sûr et certain, il déposera des joujoux par milliers au pied du sapin. C'était un samedi et j'ai décidé d'inviter mari et enfants au restaurant pour leur annoncer la nouvelle, de celles qu'on prépare et emballe comme l'annonce d'une grossesse.
C'est la première grosse erreur que j'ai commise. Voici les autres, qui m'ont conduite à rallumer une cigarette quasiment un an après avoir écrasé la dernière.
Avertir mes parents, amis, collègues, voisins que j'ai arrêté de fumer
Même si j'en étais très fière, je comprends aujourd'hui qu'en faire part à tout mon entourage n'a fait qu'exercer une énorme pression sur moi et m'a éloignée du but de départ: me défaire de cette addiction dangereuse pour ma santé. Je n'ai fait que penser au jour où je reprendrais, au jugement de toutes celles et ceux que j'aurais déçus ou qui, blasés, diraient: "Je m'en doutais, t'es trop accro pour arrêter". Certains, au contraire, par peur de me gêner, n'osent plus aborder le sujet, ni allumer une cigarette en ma présence. Je n'aime pas gêner ni imposer ma présence, alors la pression n'en a été que plus forte et certaines relations ont d'ailleurs pris fin.
Croire que la vie sans tabac serait moins belle
J'appréhendais les réunions de famille, les fêtes entre amis ou les événements au cours desquels la cigarette aurait été de la partie, pas par peur de céder à la tentation, mais parce que tout me paraissait fade, socialement. Je tentais de visualiser à la terrasse d'un café, dans l'espace fumeur au boulot, au restaurant, en soirée chez des amis, sur ma terrasse sans cigarette, et l'angoisse montait. Sans clope, c'était impossible. Je ne réalisais pas que je prenais le problème à l'envers, que sans la cigarette, j'étais libre de rester à table à apprécier le goût des bonnes choses, qu'accompagner un collègue de boulot fumer n'avait rien d'insurmontable, d'autant que c'est lui qui fume, pas moi, que personne ne remarquerait que ma voix était plus claire, moins caverneuse, mes joues plus roses et mes fesses enfin plus rebondies et que tout le monde trouverait ça bien plus agréable, surtout moi. Je n'imaginais pas que boire un verre et allumer une cigarette entre chaque gorgée était finalement bien contraignant, que le serveur avait enfin la place de poser le bol des amuse-bouches sans me demander de ranger mon paquet de clopes et mon briquet. J'appréhendais à l'idée d'avoir les mains vides, plus aucune prestance, celle que je croyais devoir au fait de tenir une cigarette entre l'index et le majeur, alors qu'une clope entre les doigts, c'est encombrant.
Arrêter pour les autres
Je ne réalise qu'aujourd'hui que lorsque j'ai décidé de ne plus fumer, je projetais la réaction et l'admiration des autres, mais mettais de côté ma propre satisfaction, ma petite fierté personnelle d'avoir relevé ce défi que je pensais insurmontable. Un peu comme de jouer à "Cap ou pas cap", mais avec soi. Or, j'ai été rapidement déçue de l'indifférence de l'entourage. J'étais persuadée que tous les jours, mon mari, mes enfants, mes collègues lèveraient le pouce en ma direction, me tresseraient des couronnes de laurier ou me décerneraient la médaille de la non-fumeuse du mois. Au lieu de ça, je devais provoquer leurs réactions, lesquelles, pas toujours spontanées, me frustraient davantage. Je n'ai pas tout de suite compris que si pour moi, arrêter de fumer représente un challenge, pour mon entourage immédiat, la vie continue et personne ne se lève le matin en se disant fier que j'aie arrêté de fumer. Personne non plus ne télécharge une application qui décompte le nombre de cigarettes que je n'ai pas fumées depuis que j'ai arrêté. La vérité est que j'ai arrêté de fumer, que tout le monde s'en fout et que c'est bien normal.
Me dire que je reprendrai un jour ou l'autre
Ce matin-là, j'ai décidé d'arrêter de fumer mais je me suis également dit que je reprendrai un jour, qu'on verra bien quand. Je pensais justement ne pas me mettre la pression et que la clé du succès était là. Je ne me suis pas considérée comme une ancienne fumeuse, je n'ai d'ailleurs jamais dit, pendant cette période de sevrage, que je ne fume plus, mais que je ne fume pas en ce moment. Si chaque tentative pour arrêter qui se solde par la reprise ne doit pas être perçue comme un échec mais plutôt comme une pause pour son organisme et une avancée vers un arrêt définitif, j'aurais dû me persuader que cette fois-ci était la bonne. Au lieu de cela, le jour où j'ai décidé que je fumerai à nouveau, j'ai acheté un paquet et pendant 8 jours, j'ai vécu l'enfer. L'enfer de celle qui reprend la clope après un an d'arrêt: les nausées, les étourdissements, les crampes d'estomac, les palpitations, les mauvaises odeurs. Je ne pensais pas que mon addiction était forte au point de me forcer à fumer et de devoir fournir plus d'efforts que pour arrêter, ce qui ne m'a d'ailleurs jamais posé de problème. Ne pas se fixer d'objectif est une chose, aller tirer un but contre son camp en est une autre.
Ne pas être honnête avec moi-même
Je dois ce dernier échec à un manque d'analyse de cette relation que j'entretiens avec la cigarette. J'ai mis du temps à admettre que j'ai aimé fumer, que j'y ai pris du plaisir, que j'avais hâte de me lever le matin pour fumer une cigarette sur la terrasse, avec vue sur mer, une tasse de café brûlant à la main, en admirant le lever du soleil, que je me régalais de fumer la fameuse "dernière clope avant d'aller me coucher", que je ne pouvais pas concevoir une soirée entre amis sans fumer, et que la vie était plus belle dans le brouillard. J'ai refusé de donner la priorité à ces douleurs thoraciques qui me donnaient des sueurs froides, de me peser pour constater que 38 kilos pour 1,60 m, ça n'est pas être bien gaulée pour une mère de 3 enfants, c'est être maigre. J'ai ignoré les remarques des copines qui me disaient "Mais tu pues la clope!" en repoussant leurs joues des miennes quand on se faisait la bise, des collègues de boulot qui se font de plus en plus rares à la pause-clope, et de toutes les contraintes logistiques qu'être la seule fumeuse de la maison implique.
Ne voir que les inconvénients de l'arrêt du tabac
Nous ne sommes pas tous égaux face aux conséquences de l'arrêt du tabac. Certains ont besoin d'une aide, qu'elle soit psychologique, comme l'hypnose, la psychothérapie comportementale, ou physiologique, lorsqu'on inhale, ingère ou s'applique des substituts nicotiniques, sans parler de la très controversée cigarette électronique. D'autres prennent du poids, parce que recouvrer le goût et l'odorat implique souvent que l'on redécouvre le plaisir de manger, éprouvent des difficultés de concentration, des troubles du sommeil ou de l'humeur. Ce ne sont là que les inconvénients sur lesquels j'ai focalisé toute mon attention, au détriment des avantages du sevrage tabagique, d'autant que j'ai arrêté par ma seule "volonté", celle qu'on dit indispensable pour arrêter de fumer. Indispensable, mais pas essentielle. J'ai dans un premier temps détesté prendre du ventre, des cuisses, voir apparaître de la cellulite sur mes cuisses et mes fesses. Je me suis ensuite mise à l'écart volontairement socialement, pour ne pas montrer que le manque de sommeil, d'entrain étaient plus forts que ma volonté, ou encore pour éviter aux autres de subir ma mauvaise humeur. Ce mécanisme a inévitablement entraîné la reprise.
En mai 2016, j'ai arrêté de fumer sans aide, comme une grande, mais pour de mauvaises raisons.
En mai 2017, j'ai repris la cigarette et en 8 jours, j'ai mis KO tous les bienfaits de cet arrêt.
En février 2018, après avoir compris où étaient mes erreurs, après avoir admis qu'à 44 ans, il est grand temps de me dire que si j'ai parcouru une bonne moitié de mon existence, ce serait bien de faire l'autre moitié, et que pour ça, ce serait sans la cigarette. Pour que cette fois, cette tentative d'arrêter de fumer soit la dernière, j'ai compris que je devais admettre mes erreurs, me faire davantage confiance, et analyser tout ce que la cigarette m'enlevait plutôt que de penser uniquement à ce qu'elle m'apportait.
Aujourd'hui, c'est la journée mondiale sans tabac. Mais cela ne me posera aucun problème, puisque je ne fume plus.

281le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Dim 10 Juin 2018 - 9:16

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Tabac: Les paquets de cigarettes les moins chers vont augmenter au 2 juillet[/size]

HAUSSE Les paquets qui étaient aux alentours de 7,50 euros vont connaître une hausse de 20 ou 30 centimes…

F.H. avec AFP


 
Publié le 09/06/18 à 18h39 — Mis à jour le 09/06/18 à 20h31

le tabac en chiffre. - Page 6 310x190_paquets-cigarettes-moins-chers-vont-augmenter-20-30-centimes-euro-2-juillet-2018
Les paquets de cigarettes les moins chers vont augmenter de 20 à 30 centimes d'euro au 2 juillet 2018. — GILE MICHEL/SIPA
Un paquet d’argent pour un paquet de cigarettes. Selon un arrêté daté du 7 juin et publié samedi au Journal officiel, les paquets de cigarettes les moins chers vont augmenter au 2 juillet. Les marques, qui étaient restées aux alentours de 7,50 euros le paquet lors du dernier train d’augmentations appliqué au 1er mai, vont augmenter à 7,70 euros ou 7,80 euros, selon cet arrêté signé par le directeur général de la Santé et le directeur général des Douanes et droits indirects, certaines
« Il y a très peu de changements sauf dans les références qui avaient visé un plafond un peu bas lors de la précédente révision des tarifs », a commenté un connaisseur du secteur.

4e révision des prix du tabac depuis mai 2017


Dans le haut du marché, le paquet de 20 Marlboro Red (groupe Philip Morris), qui coûte 8 euros depuis le 1er mars, contre 7,30 euros auparavant, va conserver ce prix. Le paquet de Camel Filters reste aussi à 7,90 euros.
Le paquet de Benson and Hedges Original Red de 20 cigarettes augmente en revanche à 7,80 euros, contre 7,50 euros précédemment. Et celui de Winston Connect Blue passe de 7,60 euros à 7,70 euros. Les deux marques sont, comme les Camel, vendues par le groupe Japan Tobacco.
Il s’agit de la quatrième révision des prix du tabac depuis l’arrivée du gouvernement Macron en mai 2017, après quatre années de stabilité. Pour réduire la consommation, le gouvernement a prévu un train de hausses successives pour atteindre, d’ici novembre 2020, un prix de 10 euros le paquet de 20 cigarettes.
>> A lire aussi: «A partir d'une cigarette par jour, il y a un risque de maladie cardiovasculaire»

282le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mar 26 Juin 2018 - 9:39

Josué

Josué
Administrateur

SANTÉ ET PRÉVENTION
Profiter de l'été pour arrêter de fumer
L'été est souvent la saison préférée des fumeurs pour arrêter de fumer. Promenades dans la nature, reprise d'une activité physique, régime alimentaire plus équilibré, rythme moins stressant...Tenter de s'arrêter de fumer, c'est déjà faire un grand pas. Pour aider les fumeurs dans leur démarche de sevrage, le remboursement des substituts nicotiniques évolue. L'appli Tabac info services peut également les accompagner.

283le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Lun 7 Jan 2019 - 10:19

Josué

Josué
Administrateur

[size=48]Les réseaux sociaux, eldorado des trafiquants de tabac
Par Matthieu Pechberty,publié le 07/01/2019 à 07:00 , mis à jour à 10:15

 [/size]le tabac en chiffre. - Page 6 Jugee-meilleure-au-gout-que-le-tabac-moins-dangereuse-et-plus-saine-l-herbe-de-cannabis-a-une-image-positive-et-dedramatisee-aupres-des-adolescents-selon-une-etude-de-l-observatoire-francais-des-drogues-et-des-toxicomanies-ofdt-publiee-mardi_6008112
La contrebande de tabac sur Internet pèserait déjà entre 4 et 5 % du marché français.
 
afp.com/JOEL SAGET


Avec la hausse des prix du paquet de cigarettes, la contrebande de tabac prend de l'ampleur. Via Facebook notamment.


Les coups de filet sont rares, mais celui-là était juteux. En mars dernier, à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon, les gendarmes français ont interpellé sept personnes qui stockaient dans un discret entrepôt quelque 2,4 tonnes de cigarettes, soit plus de 120 000 paquets. Ce réseau revendait ces cigarettes de contrebande sur Facebook entre 3 et 5 euros le paquet, contre 8 euros en moyenne chez un buraliste. Un magot estimé à près de 600 000 euros. 
Officiellement, la vente et la distribution de tabac sur le Net sont totalement interdites en France. Reste que le trafic de cigarettes sur la Toile a littéralement explosé depuis deux ans. Certes, les fins limiers des Douanes ont fait quelques jolies prises ces derniers mois, largement médiatisées par le ministre du Budget, Gérald Darmanin, et les amendes viennent d'être doublées (de 2 500 euros à 5 000 euros). Mais cet arsenal reste insuffisant pour enrayer l'essor du phénomène. 


Une contrebande qui pèse près de 5 % du marché français


A combien se monte cette fraude ? Difficile de quantifier ce trafic 2.0. Selon les industriels, il pèserait déjà entre 4 % et 5 % du marché français, estimé à 18 milliards d'euros. Un récent rapport du cabinet KPMG - largement alimenté par l'industrie -, évalue à 88 millions le nombre de paquets de cigarettes écoulés sur le Web en 2017. La tendance s'est encore accélérée l'an passé avec l'augmentation de 1 euro du prix du paquet en mars. Du coup, le cap des 100 millions de paquets de contrebande vendus sur la Toile dans l'Hexagone devrait avoir été franchi. 
LIRE AUSSI >> Juul, la e-clope star des ados débarque en France 

Il faut dire que le grand écart sur les prix du paquet en Europe - largement lié au poids des impôts - est un véritable pousse-au-crime : de 2,70 euros en moyenne en Bulgarie à 3,50 euros en Lettonie et en Roumanie, jusqu'à 11,30 euros en Irlande. Pour ces fraudeurs de la clope, le business est enfantin : il suffit d'acheter en toute légalité des cartouches là où les prix sont bon marché et de les revendre dans les pays où le tabac est surtaxé, 30 à 50 % moins cher.  
Ainsi, des dizaines de sites Internet spécialisés ont prospéré, sans être inquiétés, depuis le Luxembourg ou la Pologne. "tabac-boutique.com", "tabac-online.eu" ou "cigarettespacher.fr" font un carton. Le premier, "tabac-boutique.com", a enregistré quelque 240 000 connexions par mois après le nouveau coup de bambou sur les prix en France au printemps 2018, contre 160 000 en 2017. Dans 95 % des cas, les connexions sont faites à partir d'un ordinateur situé en France. 

Des mafias organisées sur les réseaux sociaux


Mais un business plus opaque, plus mafieux aussi et encore plus difficile à démonter est en train de se développer à grande vitesse : les ventes sur les réseaux sociaux. Une fraude qui passe essentiellement par Facebook, à l'aide de "rabatteurs" sur Snapchat ou Instagram. La méthode ? Des groupes fermés, où seul le chef de file peut accepter un nouveau membre, proposent à la vente des cartouches de cigarettes, en général entre 30 et 50 euros l'unité. Les clients intéressés contactent ensuite le vendeur par message privé et les numéros de portable sont échangés. 

284le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Jeu 10 Jan 2019 - 15:22

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Cigarettes: les ventes partent en fumée sous l'effet de la politique anti-tabac[/size]

  • Par  Pierre Zéau 
     


Corollaire de la politique publique anti-tabac et de la hausse des prix, un recul des ventes de cigarettes de 9,32% a été enregistré en 2018.
Face aux hausses successives du prix du paquet de cigarettes, les fumeurs français ont considérablement réduit leur consommation. En 2018, il s'est vendu 4,13 milliards de cigarettes de moins qu'en 2017, soit un recul de 9,32% en volume, selon un bilan établi par le fournisseur Logista France que l'AFP a pu consulter. En cause, un paquet de 20 unités tournant autour de huit euros depuis le mois de mars (l'objectif étant de le porter progressivement à 10 euros en 2020) et des politiques publiques anti-tabac qui n'ont pas faibli.
C'est la troisième année consécutive que les ventes diminuent (1,48% en 2017, 1,2% en, 2016) et la huitième en neuf ans. Le tabac à rouler, malgré son succès auprès des jeunes en raison de son moindre prix, suit une trajectoire similaire, avec des ventes en recul de 9,4%.



» LIRE AUSSI - Lutte anti-tabac: la hausse des prix porte ses fruits


«Ce n'est pas une grosse surprise mais ça traduit surtout un départ des achats légaux vers d'autres moyens, comme les achats hors des frontières»
Philippe Coy, Président de la confédération nationale des buralistes


«La politique de santé publique fonctionne, cela représente des milliers de vies sauvées», assure Bertrand Dautzenberg, pneumologue à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. En moyenne chaque année, le tabac tue 75.000 Français. Le Professeur estime que la hausse d'un euro en mars dernier a «incité beaucoup de gens à arrêter de fumer. Car fumer un paquet par jour coûte maintenant 240 euros par mois». Le paquet neutre a lui aussi joué un rôle, estime-t-il.
Un optimisme que ne partage pas Philippe Coy, président de la Confédération nationale des buralistes, qui appelle à une harmonisation des prix à l'échelle européenne. «Cette baisse des ventes n'est pas une grosse surprise mais elle traduit surtout un départ des achats légaux vers d'autres moyens, comme les achats hors des frontières où le tabac est moins cher», nuance-t-il. À ce titre, il «salue» les efforts du ministre de l'Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, en matière de saisie aux douanes.
«Nous sommes compréhensifs face au plan de santé publique, que nous avons d'ailleurs soutenu en novembre en accompagnant les fumeurs vers le vapotage, poursuit-il, mais l'horizon 2020 avec un paquet à 10 euros est inquiétant pour nous si la France est le seul pays européen à mettre en œuvre cette stratégie». Deux hausses de 50 centimes sont attendues cette année, ce qui portera le prix du paquet à 9 euros en moyenne.

285le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Jeu 10 Jan 2019 - 17:50

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Mais c'est oublier la vente des cigarettes de contrebande dans ses chiffres.

286le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 1 Mar 2019 - 11:13

samuel

samuel
Administrateur

raison d'une augmentation des taxes sur le tabac, le prix du paquet de cigarette augmente de 50 à 60 centimes à partir de ce vendredi.

Les cigarettes seront plus chères dès ce vendredi en raison de la hausse de fiscalité programmée par le gouvernement pour réduire la consommation de tabac en France. Publié au Journal officiel jeudi, un arrêté ministériel daté du 30 janvier fixe les nouveaux prix, qui augmentent de 50 à 60 centimes. 
Cette hausse résulte du premier des deux relèvements de taxes, de 50 centimes chacun, programmés cette année par le gouvernement, le deuxième interviendra en novembre, avec l'objectif d'un paquet à 10 euros en novembre 2020. 

287le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 1 Mar 2019 - 12:56

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Je ne suis pas sûr que cela va empêcher les fumeurs de vouloir arrêter mal grès ce prix prohibitif du tabac.

288le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Sam 2 Mar 2019 - 16:42

Lechercheur



Il parait que depuis les fortes augmentations du prix beaucoup de personnes ont arrêté de fumer.

289le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 3 Mai 2019 - 15:22

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Marchands de tabac: cinq siècles de cynisme mis en bulles[/size]

  • Par  Soline Roy 
     

  • Mis à jour le 03/05/2019 à 11:27 
     

LE PLAISIR DES LIVRES -Sous forme de bande dessinée, Pierre Boisserie et Stéphane Brangier livrent un formidable et très pédagogique récit des turpitudes d’une industrie avide d’argent.
Vingt morts. Le temps que vous lisiez cet article, vingt personnes dans le monde auront été tuées par le tabac. En France, c’est l’équivalent de La Rochelle (75.000 habitants), rayée de la carte chaque année. Tels sont les ravages provoqués par une industrie sans scrupule, dont une remarquable bande dessinée nous narre les basses manœuvres pour s’enrichir toujours plus aux dépens de la santé publique.


Synonyme de patriotisme et de liberté pendant les guerres mondiales, le tabac US se fera tour à tour symbole antimarxiste, indice de virilité, outil d’émancipation des femmes


«Tout ce que vous allez lire dans cette bande dessinée est vrai, écrivent les auteurs en ouverture de l’ouvrage. Ce sont des faits reconnus, jugés par des tribunaux ou publiés dans différents ouvrages dont vous retrouverez les références à la fin du livre.» Pas de révélation, donc, mais un formidable et très pédagogique récit des turpitudes d’une industrie avide d’argent. Au fildes pages, «MrNico», mauvais génie de Big Tobacco au sourire carnassier, chemine à travers plus de cinq siècles d’histoire, depuis que Christophe Collomb a fait sortir des Amériques la feuille de tabac. Tandis que le monde découvre les joies des volutes parfumées, les autorités hésitent entre délices de la taxation et rigueurs de la répression: fumer est une activité jugée immorale, ceux qui s’y adonnent sont menacés d’excommunication par le pape Urbain VIII, de fouet et déportation par le tsar de Russie, voire de… décapitation par l’empereur de Chine Chongzhen! Qu’importe: d’emblée, c’est un succès, et le tabac finira par donner naissance, aux États-Unis, à une industrie surpuissante.
» VOIR AUSSI: Hausse du prix du tabac: quelles conséquences?




Hausse du prix du tabac : quelles conséquences ?
Loïc Josseran, professeur de santé publique, Ivan Letessier, du Figaro et Philippe Presles, tabacologue, décryptent les enjeux de la hausse du prix du tabac.


Hausse du prix du tabac : quelles conséquences ? - Regarder sur Figaro Live


«Colosse aux pieds d’argile»


Mr Nico nous dévoile alors les tactiques élaborées pour nous faire fumer toujours plus. Synonyme de patriotisme et de liberté pendant les guerres mondiales, le tabac US se fera tour à tour symbole antimarxiste, indice de virilité, outil d’émancipation des femmes. Big Tobacco a tout gagné! Très tôt, les cigarettiers embauchent des génies du marketing qui leur permettront de toujours vaincre leurs trop timides ennemis. Interdits de publicité? Qu’à cela ne tienne, créons des événements sportifs à nos noms! Des soupçons (vite suivis de certitudes) sur les dangers sanitaires du tabac? Inventons le filtre ou la cigarette light, qui ne protègent de rien du tout maisfont du bien à notre image. Obligés de financer des programmes de prévention? Profitons-en pour recruter les jeunes en leur signalant que la cigarette est un produit d’adultes. Des taxes toujours plus lourdes? Organisons la contrebande, pour vendre à bas prix sur des marchés prometteurs.
Dans les années 1990, le vent commence à tourner. La justice se fait plus sévère et les gouvernants cherchent des parades. Mais l’industrie n’a pas dit son dernier mot. Dans les pays occidentaux, elle se lance sur le marché de la vape, promesse un peu rapide (comme l’étaient le filtre ou les cigarettes light…) d’un tabac sans danger. Elle se tourne aussi vers l’Asie et l’Afrique, marchés prometteurs où elle applique les mêmes recettes qui ont fait sa fortune dans le reste du monde. «Nous avons mis une stratégie en place il y a plus d’un siècle et nous n’avons absolument pas l’intention d’en changer, que ce soit ici ou ailleurs, maintenant ou dans le futur», assure Mr Nico. «Colosse aux pieds d’argile», il sait que«cela ne va pas durer éternellement. Alors, en attendant: faisons un maximum de pognon!»
«Cigarettes. le dossier sans filtre», Pierre Boisserie et Stéphane Brangier, Dargaud.

290le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mar 28 Mai 2019 - 9:09

Josué

Josué
Administrateur

Le tabagisme a entraîné la mort de 75 000 personnes en 2015, selon l'agence sanitaire Santé publique France. Il reste la première cause de décès évitables en France.

Cancers, maladies cardiovasculaires et respiratoires... Le tabac a fait 75 000 morts en France en 2015, ce qui représente plus d'un décès sur huit, selon les derniers chiffres officiels, publiés ce mardi avant la journée mondiale sans tabac.  
LIRE AUSSI >> Pour lutter contre la contrebande, les paquets de cigarettes sont désormais traçables 

"Comme dans la plupart des pays industrialisés, le tabagisme reste la première cause de décès évitables en France", souligne le bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l'agence sanitaire Santé publique France. Le précédent bilan datait de 2016 et portait sur l'année 2013. Il était de 73 000 morts, soit la même proportion par rapport au nombre total de décès cette année-là (environ 13%).  

Les hommes particulièrement touchés

Dans le détail, "en 2015, 75 320 décès ont été estimés attribuables au tabagisme sur les 580 000 décès enregistrés en France métropolitaine", selon le BEH. Les hommes sont particulièrement touchés, puisque 19% des hommes décédés en 2015 sont morts à cause du tabac (55 400), contre 7% pour les femmes (19 900).  

Pour autant, sur le long terme, la tendance est défavorable aux femmes. Entre 2000 et 2015, le nombre de morts attribuables au tabac chez les hommes a diminué (-11%), alors qu'il a été multiplié par 2,5 chez les femmes (passant de 8000 à 19 900). Cette évolution est due à un changement des modes de vie : diminution globale du tabagisme chez les hommes depuis 1970, mais augmentation chez les femmes.  
LIRE AUSSI >> Décès liés au tabac: ils doublent chez les femmes en 15 ans 
Les causes des morts attribuables au tabagisme sont les cancers (dans 61,7% des cas), au premier rang desquels celui du poumon, une maladie cardiovasculaire (22,1%) et une pathologie respiratoire (16,2%). 

Moins de fumeurs quotidiens

Par ailleurs, Santé publique France confirme des chiffres déjà dévoilés fin mars par la ministre de la Santé Agnès Buzyn : depuis 2016, le nombre de fumeurs quotidiens a baissé d'1,6 million, dont 600.000 au premier semestre 2018. Obtenus grâce au Baromètre santé, enquête réalisée par téléphone, ces chiffres 2018 montrent que la tendance à la baisse se poursuit. Les pouvoirs publics l'attribuent à l'augmentation progressive du prix du paquet (jusqu'à 10 euros d'ici 2020), au remboursement des substituts nicotiniques et à l'opération "Mois sans tabac" en novembre.  

291le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Jeu 3 Oct 2019 - 17:28

Josué

Josué
Administrateur

[size=48]Danger du vapotage : les poumons de 17 malades sont comme brûlés aux gaz toxiques
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 03/10/2019 à 10:26 , mis à jour à 11:04
[/size]

le tabac en chiffre. - Page 6 Un-homme-vapote-dans-un-magasin-de-cigarettes-electroniques-a-monterrey-au-mexique-le-1er-fevrier-2019_6218190
Un homme vapote dans un magasin de cigarettes électroniques à Monterrey, au Mexique, le 1er février 2019
 
REUTERS


"Il semble que ce soit une sorte de lésion (...) similaire à ce qu'on pourrait voir lors d'une exposition à des émanations chimiques toxiques", selon une étude.


Nouvelle inquiétante pour les adeptes de la cigarette électronique. Les biopsies des poumons de 17 personnes frappées par les maladies pulmonaires liées au vapotage aux États-Unis, dont deux décédées, révèlent des lésions similaires à une exposition à des gaz toxiques, selon une étude médicale publiée mercredi.  
LIRE AUSSI >> Cigarettes électroniques : où en est la législation en France ? 

"Il semble que ce soit une sorte de lésion chimique directe, similaire à ce qu'on pourrait voir lors d'une exposition à des émanations chimiques toxiques, des gaz ou des agents toxiques", explique le médecin Brandon Larsen, de l'hôpital Mayo Clinic Arizona, auteur de l'étude parue dans la revue médicale New England Journal of Medicine.  
Plus de 800 malades sont recensés à ce jour outre-Atlantique. Au 27 septembre, 12 décès ont été confirmés par les autorités fédérales. 

Des e-liquides souvent achetés sur le marché noir



Aucun des cas étudiés ne correspondait à l'un des diagnostics évoqués initialement, à savoir une "pneumonie lipidique", qui se produit quand des huiles pénètrent les poumons. L'huile de vitamine E a été citée par les autorités de l'État de New York comme une possible cause des maladies. 
"D'après ce que nous avons vu dans notre étude, nous estimons que la plupart des cas impliquent des contaminants chimiques, des dérivés toxiques ou d'autres agents nocifs contenus dans les liquides de vapotage", poursuit Brandon Larsen. 

292le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mar 12 Nov 2019 - 9:39

Josué

Josué
Administrateur

Robert Norris, le cow-boy Marlboro qui n'a jamais fumé, est mort

Grâce à son visage et sa clope au bec, Marlboro est passée d'une petite marque confidentielle de cigarettes pour femmes à un mastodonte du tabac.


  • Le HuffPost

293le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Sam 28 Déc 2019 - 14:05

Josué

Josué
Administrateur

[size=39]Cigarette électronique : 2019, une année entre enfumage et polémiques[/size]
Par Stéphanie Benz,publié le 27/12/2019 à 08:00



le tabac en chiffre. - Page 6 L-usage-de-la-cigarette-electronique-a-triple-chez-les-jeunes-americains-en-a-peine-un-an-et-depasse-pour-la-premiere-fois-celui-des-produits-conventionnels_5322719
La cigarette électronique a donné lieu à d'intenses controverses tout au long de l'année 2019.
 
afp.com/Justin Sullivan
Article Abonné

Rapport critique de l'OMS, épidémie de maladies pulmonaires aux Etats-Unis, études alarmistes : l'année 2019 laisse un goût amer aux vapoteurs. Que faut-il en retenir ?

Attention, sujet sensible. Sur le marché depuis une dizaine d'années, la cigarette électronique continue de déchaîner les passions. Il y a les pour - les vapoteurs, des tabacologues qui y voient le moyen d'aider leurs patients à décrocher du tabac, et bien sûr les marchands de vapoteuses. Il y a aussi les sceptiques - des médecins et des scientifiques, prudents vis-à-vis d'un produit encore mal évalué. 
Comme souvent dans les domaines où les études disponibles ne permettent pas de tirer de conclusions définitives, les discussions tournent vite au pugilat et au dogmatisme. Cette année, le débat a pris un tour nouveau, tant les sources d'inquiétudes et de polémiques se sont multipliées : épidémie de maladies pulmonaires aux Etats-Unis, rapport critique de l'OMS, publications alarmistes...  

294le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Jeu 9 Jan 2020 - 16:58

Josué

Josué
Administrateur

La cigarette, ennemie de notre santé mentale
[size=12][size=12]A LA UNE POLITIQUE SANTÉ

 
Publié le 09/01/2020 à 15h45 par destinationsante.com.[/size]


 

 

 [size=13]0 COMMENTAIRE[/size]le tabac en chiffre. - Page 6 La-cigarette-ennemie
DESTINATIONSANTE.COM
[/size]

[size=16][size=16]Troubles de la fertilité, maladies respiratoires, cancers des poumons… la cigarette dégrade la santé physique. Mais pas seulement. Selon des chercheurs israéliens, le tabac serait aussi préjudiciable au bien-être psychologique.


Depuis plusieurs années, l’étude des méfaits du tabac est focalisée sur la santé physique. Et à juste titre étant donné que la cigarette coûte la vie à 3,3 millions de fumeurs* dans le monde (données Organisation mondiale de la Santé, 2017). L’impact des maladies cardiovasculaires, des cancers du poumon mais aussi de l’hypertension artérielle, de la naissance de bébé de petits poids.
Et la santé mentale ? Pour le savoir, l’équipe du Pr Hagai Levine** a suivi 2 000 étudiants, recrutés à l’Université de Pristina (Kosovo) pour le premier groupe, et à l’Université de Belgrade (Serbie) pour le second groupe.

Un risque accru de dépression

Résultat, au sein des deux établissements, les fumeurs étaient en moyenne 2 à 3 fois plus exposés au risque de dépression comparés aux non-fumeurs. Parmi les adeptes du tabac, 14% des jeunes souffraient de cette maladie, contre 4% chez les abstinents dans l’Université de Pristina. Des données respectivement établies à 19% et 11% chez les jeunes de l’Université de Belgrade. Le niveau de vitalité et le degré de sociabilité étaient aussi diminués chez les fumeurs.
« Cette étude reste observationnelle. Il n’est pas question de dire que la cigarette déclenche automatiquement une dépression. Mais cela permet de confirmer que le tabac impacte négativement la santé mentale. »
*ces décès concernent notamment 1,5 million de patients atteints d’affections respiratoires chroniques, 1,2 million de patiens atteints d’un cancer (de la trachée, des bronches et du poumon), 600 000 patients souffrant d’affections respiratoires et de tuberculose
**Hebrew University of Jerusalem’s-Hadasssah Braun School of Public Health and Community Medicine

Un mode de vie sain repousse les maladies chroniques

Source : Destination Santé
[/size][/size]

295le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 8 Jan 2021 - 16:09

Josué

Josué
Administrateur

Fumer du thé : Est-ce que cela affecte votre santé ?
Soins du Corps



Pourquoi les gens fument-ils du thé ?


C’est plus habituel de penser que le thé vert est quelque chose que nous buvons. Ces dernières années, fumer du thé vert est également devenu populaire.

Les cigarettes au thé vert ont gagné en popularité au Vietnam il y a des décennies. C’est aussi une tendance récente en Amérique.

Le thé vert (Camellia sinensis) – également source de thé oolong, noir et blanc – présente de nombreux bienfaits pour la santé.

Sous forme de thé, il est consommé pour la santé et à des fins rituelles depuis des milliers d’années. De nombreux autres types de théiers ont également été fumés à des fins spirituelles et de santé tout au long de l’histoire.

Les gens fument le thé vert pour ces raisons et plus encore, comme pour aider à arrêter la dépendance au tabac cigarette.

Toutefois, les études sur ces avantages, les risques et la sécurité de fumer du thé vert font défaut.

https://genialsante.com/fumer-du-the-est-ce-que-cela-affecte-votre-sante/

296le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 8 Jan 2021 - 19:48

Amaytois

Amaytois
MODERATEUR
MODERATEUR

Bonjour

lorsque je regarde une usine elle rejette toute la fumée, car toxique. Et nous les humains, que faisons nous, l'inverse. à la place de rejeter nous inhalons toutes les toxines que nous conservons bien au chaud dans notre organisme.

Devenu à la mode, le vapotage. Certains de ces produits non pas de nicotine,  Oui, réfléchissons, vous vapotez un produit à la fraise, mais si je mange une fraise elle fini dans mon estomac pas dans mes poumons. Qui plus est ce produit est un liquide, avec des aromes chimiques qui viendront se loger dans mes alvéoles et à la longue cela provoquera de la toux, de l'essoufflement et des douleurs thoraciques. Mais également cela peut augmenter le risque de maladies cardiaques et de crises d'asthme.

Il me viens autre chose en tête, lorsque j'étais plus jeune certains parlaient de fumer des peaux de banane, j'ai fait une recherche et j'ai trouver un site (je ne le donne pas) qui explique comment fumer ce fruit. ainsi que d'autres choses et cela en toute légalité aux yeux des hommes.

297le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Sam 1 Mai 2021 - 8:33

Josué

Josué
Administrateur

En Nouvelle-Zélande, les poumons c'est sacré. Après avoir protégé sa population du Covid-19 grâce à une stratégie agressive et efficace (2600 cas, 26 morts), le gouvernement néo-zélandais veut maintenant sauver ses 5 millions d'habitants du danger du tabac. Son plan, annoncé le 15 avril, prévoit de l'éradiquer de l'archipel à l'horizon 2025.  

Des paquets déjà à plus de 20 euros

A la pointe de ce combat, Wellington veut mettre le dernier clou dans le cercueil du tabac. Depuis dix ans, les taxes ont fait accroître le prix du paquet de cigarettes à plus de 20 euros. Résultat, seulement 11,6% des Néo-Zélandais fument quotidiennement, contre un Français sur trois. Des chiffres toujours trop hauts, juge le gouvernement "kiwi", qui a décidé de prendre des mesures sans filtre. 

298le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Ven 3 Déc 2021 - 11:42

samuel

samuel
Administrateur

6. Existe-t-il une vie après la cigarette pour les géants du tabac ? 
 [table class= style="border-collapse: collapse; max-width: 532px; margin-right: auto; margin-left: auto;" align="center" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"]
[tr style=][td style="border-collapse: collapse; text-align: center; vertical-align: top; font-size: 0px;" align="center"]le tabac en chiffre. - Page 6 B9d314713825222b
[/td]
[/tr]


[tr style=][td style="border-collapse: collapse; font-size: 3px; height: 3px; line-height: 3px;" colspan="2" height="0"] [/td]
[/tr]

[/table]
Image dégradée, facture salée et restrictions en tout genre... La cigarette n'a plus beaucoup de beaux jours devant elle et les géants du tabac l'ont bien compris. Alors pour se diversifier, Philip Morris, British American Tobacco ou encore Seita se positionnent sur la cigarette électronique et le tabac chauffé.

📖 Extrait de l'hebdo du 2 décembre : "'Pour les industriels, l'enjeu est capital. Résultat, rien que sur l'e-cigarette, le nombre de lobbyistes déclarés est passé de 37 à 81 entre 2018 et 2020', détaille Anca Toma, directeur de l'ONG bruxelloise Smoke Free Partnership (SFP). 'S'ils parviennent à leurs fins, ils feront coup double : les fumeurs resteront dans l'addiction par le biais de la nicotine et leurs marges s'envoleront'". 

🔎 Une enquête à retrouver dans l'hebdo 

papy aime ce message

299le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Sam 11 Déc 2021 - 17:47

papy

papy

Les fabricants de tabac assurent vouloir désormais aller vers des produits moins nocifs, comme le tabac chauffé ou la cigarette électronique, pour aider les fumeurs à décrocher. Philip Morris, lui, se voit carrément un avenir dans le bien-être. Virage stratégique ou fariboles ?

https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/le-plan-des-geants-du-tabac-pour-survivre-a-la-mort-annoncee-de-la-cigarette_2163200.html

300le tabac en chiffre. - Page 6 Empty Re: le tabac en chiffre. Mar 31 Mai 2022 - 9:42

Josué

Josué
Administrateur

Une vie sans tabac est-elle possible ?
La journée mondiale sans tabac, organisée depuis 1987 par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), se déroule aujourd'hui, alors que l'industrie prépare l'après-cigarette.

Le chiffre. 
Le tabagisme est la deuxième cause de décès au niveau mondial et tue chaque année 8 millions de personnes selon l'OMS, dont plus de 1,2 million de non-fumeurs.

le tabac en chiffre. - Page 6 1x1Pourquoi ça compte. La fin annoncée de la cigarette force l'industrie du tabac à se réinventer. Elle a pourtant raté le coche de la cigarette électronique "que les géants du tabac n'ont pas prise au sérieux suffisamment tôt, trop habitués à des décennies d'un oligopole solidement constitué autour du même produit", note notre journaliste Emmanuel Botta.
Lire notre analyse

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 6 sur 7]

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7  Suivant

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum