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Joyaux de la parole de Dieu.

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Mikael
philippe83
Josué
samuel
8 participants

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1Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Joyaux de la parole de Dieu. Lun 4 Jan - 13:30

samuel

samuel
Administrateur

Rappel du premier message :


JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

« Le vrai culte demande des efforts assidus » (10 min) :
2Ch 29:10-17 : Hizqiya rétablit le vrai culte avec détermination.
2Ch 30:5, 6, 10-12 : Hizqiya invite toutes les personnes sincères à se réunir pour le culte.
2Ch 32:25, 26 : Hizqiya corrige son orgueil en devenant humble (w05 15/10 25 § 20).
Recherchons des perles spirituelles (8 min) :
2Ch 29:11 : Quel bon exemple Hizqiya a-t-il donné en matière de priorités ? (w13 15/11 17 § 6-7).
2Ch 32:7, 8 : Quel est le mieux à faire pour se préparer aux difficultés à venir ? (w13 15/11 20 § 17).
Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
Quelles idées de la lecture biblique de cette semaine puis-je utiliser en prédication ?
Lecture de la Bible : 2Ch 31:1-10


Josué

Josué
Administrateur

* g88 8/4 p. 27 L’avortement — Solution à la surpopulation? ***
Par contre, les premiers chrétiens s’élevèrent fermement contre l’avortement. Will Durant écrit: “L’avortement et l’infanticide, qui décimaient la société païenne, étaient interdits aux chrétiens comme équivalant au meurtre.” Ainsi, tandis que la famille peu nombreuse devenait un phénomène social caractéristique chez les Grecs et les Romains, la communauté chrétienne respectait fidèlement un code moral strict qui enseignait le respect pour le caractère sacré de la vie. Comme dans l’ancien Israël, les premiers chrétiens considéraient les enfants comme étant une bénédiction accordée par le Créateur. Le psalmiste déclare: “Voici, les fils sont un héritage de Jéhovah; le fruit du ventre est une récompense.” — Psaume 127:3.
D’après la Parole de Dieu, la Bible, il est manifeste que Jéhovah, la “source de la vie”, reconnaît le droit à la vie d’un enfant à naître. D’une part, la Bible montre qu’Il ne considère pas le fœtus comme une simple boule de chair. L’intérêt que Dieu porte à la procréation, cette merveilleuse disposition qu’il a prévue, est décrite en ces termes par le psalmiste: “Tu [Jéhovah] m’as tenu à l’abri dans le ventre de ma mère. (...) Tes yeux virent mon embryon, et dans ton livre se trouvaient inscrites toutes ses parties.” — Psaumes 36:9; 139:13-16.
D’autre part, Dieu demande des comptes à celui qui interrompt accidentellement une grossesse. Notez que d’après la Loi mosaïque cet individu portait une lourde responsabilité: “Si des hommes se querellent, et que l’un d’eux heurte une femme enceinte et qu’elle accouche sans qu’il y ait de malheur, une amende sera payée selon ce que le mari de la femme lui imposera, et il la donnera suivant la décision des juges. Et s’il arrive malheur, tu donneras vie pour vie.” — Exode 21:22, 23, Darby.
Si Jéhovah considère que l’interruption accidentelle d’une grossesse peut avoir des conséquences aussi graves, à combien plus forte raison s’il s’agit d’une interruption volontaire, comme dans le cas d’un avortement! En outre, Dieu ne fixant aucune limite d’âge du fœtus en Exode chapitre 21, il est inutile de vouloir en déterminer une.

102Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 1 Sep - 15:27

chico.

chico.

LES OBLIGATIONS RELIGIEUSES
(Elles étaient résumées dans le plus grand commandement de la Loi, celui d’aimer Jéhovah de tout son cœur, de toute sa pensée, de toute son âme et de toute sa force ; Dt 6:5 ; 10:12 ; Mc 12:30.)
Seul Jéhovah devait être adoré (Ex 20:3 ; 22:20 ; Dt 5:7).

103Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 7 Sep - 17:48

Josué

Josué
Administrateur

** w93 1/10 p. 27-28 Qu’est-ce qui dirige votre vie: les principes, ou l’opinion des autres? ***
S’il est souhaitable de faire tout son possible pour s’entendre avec ses semblables, il est toutefois dangereux de suivre aveuglément ce qui plaît à la majorité. Pourquoi? Eh bien, ce qui séduit le grand nombre est rarement agréable à Dieu. En effet, la Bible nous dit que “le monde entier gît au pouvoir du méchant”. (1 Jean 5:19.) Satan utilise sournoisement tous les moyens dont il dispose, le matérialisme, la morale décadente, les préjugés raciaux, la bigoterie et le nationalisme, pour influencer les masses et les éloigner de Dieu. En adoptant ces idées, on s’opposerait, en fait, à Jéhovah Dieu et à ses desseins. C’est pour cette raison que Paul conseille aux chrétiens: “Et ne vous modelez plus sur ce système de choses-ci, mais transformez-vous en renouvelant votre esprit, afin de constater par vous-mêmes quelle est la bonne, l’agréable et la parfaite volonté de Dieu.” — Romains 12:2.
Dans le système actuel, les chrétiens sont constamment incités à faire comme tout le monde. Sur ce point, les jeunes sont particulièrement vulnérables. Ils sont très tentés de s’habiller et d’agir comme leurs camarades. Il leur faut beaucoup de courage pour expliquer à leurs compagnons pourquoi ils refusent de participer à certaines activités. Mais, s’ils ne défendaient pas leurs idées, ils risqueraient de sombrer sur le plan spirituel. — Proverbes 24:1, 19, 20.
Les adultes subissent également les mêmes influences sur leur lieu de travail. Ils peuvent être invités à prendre part à des activités de détente, en soirée ou pendant certains jours fériés. En refusant d’y participer, ils passent pour des gens hautains et peu coopératifs, ce qui n’arrange pas les relations entre collègues. Certains chrétiens se sentent parfois obligés de faire de nombreuses heures supplémentaires, parce qu’il est de bon ton de faire comme les autres. S’ils se laissaient fléchir, leur spiritualité en pâtirait, et ils ne pourraient plus faire face à leurs autres responsabilités. — 1 Corinthiens 15:33; 1 Timothée 6:6-8.
Ce n’est pas uniquement à l’école et au travail que les chrétiens sont incités à faire comme tout le monde. Une chrétienne racontait qu’un jour elle n’avait pas infligé à son enfant une correction amplement méritée, par crainte de se sentir désapprouvée par les autres mamans présentes. — Proverbes 29:15, 17.
La foule peut avoir tort
La Bible fournit force conseils très directs à ceux qui seraient tentés de suivre la foule. Par exemple, Jéhovah a dit à la nation d’Israël: “Tu ne devras pas suivre la foule dans de mauvais desseins, et tu ne devras pas déposer, à propos d’une controverse, de manière à dévier avec la foule, afin de faire dévier la justice.” (Exode 23:2; voir aussi Romains 6:16). Cet avertissement n’a pas toujours été suivi. Peu de temps après la sortie d’Égypte, alors que Moïse s’était absenté, certains individus ont incité Aaron et le peuple à fabriquer un veau d’or et à l’adorer sous le couvert d’“une fête pour Jéhovah”. Les Israélites se sont mis à manger et à boire, ils ont dansé et chanté tout en offrant des sacrifices au veau d’or. Quelque 3 000 meneurs ont été exécutés à cause de cet acte licencieux et idolâtrique. Un grand nombre d’Israélites ont également été punis par Jéhovah pour avoir suivi la foule sans réfléchir. — Exode 32:1-35.
Ce qui s’est passé au Ier siècle, à la mort de Jésus Christ, montre bien qu’en suivant la foule on peut être amené à commettre le mal. Les chefs religieux avaient persuadé nombre de Juifs d’exiger, eux aussi, l’exécution de Jésus (Marc 15:11). Aussi, à la Pentecôte, après la résurrection et l’ascension de Jésus, quand Pierre a mis en évidence cette grave erreur, beaucoup “eurent le coeur transpercé”; ils se sont rendu compte de ce qu’ils avaient fait en se laissant influencer. — Actes 2:36, 37.

104Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Jeu 17 Sep - 10:06

Josué

Josué
Administrateur

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

L’esclavage, une bénédiction – L’esclavage était utile à l’homme pauvre, car elle lui procurait la nourriture, le vêtement et l’abri, à lui et à sa famille, et en même temps il faisait un travail honorable pour subvenir à ses besoins. Un esclave israélite pouvait être racheté par un parent et affranchi. Sinon, la septième année, il était automatiquement libéré, mais pas dans le dénuement. Il recevait du grain, de l’huile et du vin, selon les moyens de son maître (Ex. 21:2). Ainsi, l’esclave pouvait prendre un bon départ jusqu’à ce qu’il soit en mesure de subvenir à ses besoins par son travail ou ses affaires. Les esclaves avaient diverses possibilités. Quelques-uns sont devenus riches, car ils avaient le droit de faire fructifier leur argent (Lév. 25:49). Grâce à leur zèle et à leur honnêteté, de nombreux esclaves ont été élevés à des positions très honorables ; certains se sont vus confier toutes les affaires de leur maître. - TG1970 1/10 p597 §9

Les femmes étaient protégées par les lois sur le mariage.
 Dieu n’étant pas encore intervenu pour restaurer la monogamie originelle, la polygamie était pratiquée, mais elle était réglementée. La nourriture, le vêtement et les droits conjugaux étaient garantis à la jeune esclave juive qui avait été prise pour femme par un homme, même si celui-ci accordait ensuite ses faveurs à une autre femme (Ex. 21:7-11). Le soldat qui épousait une jeune vierge captive ne pouvait pas la vendre plus tard comme esclave. - TG1970 1/10 p597 §16

Toute personne était considérée comme sacrée. Les femmes étaient protégées contre le viol (Deut. 22:25-27). Le kidnapping était un crime puni de la peine capitale. L’homme entre les mains de qui on retrouvait la personne enlevée ou celui qui l’avait vendue comme esclave devait être mis à mort sans faute. —
Ex. 21:16 - TG1970 1/10 p597 §19

Le cercle familial servait de base à l’union de la nation. On y enseignait un profond respect des chefs et des parents (Ex. 22:28). Par exemple, quiconque frappait son père ou sa mère, ou prononçait une malédiction sur eux, était mis à mort (Ex. 21:15, 17). Le respect du foyer et de la famille favorisait le respect des chefs de la nation et plus particulièrement de Jéhovah Dieu, le Chef suprême. - TG1970 1/10 p597 §20

La Loi de Dieu autorisait-elle la vengeance ?
L’expression biblique « œil pour œil, dent pour dent » a provoqué bien des débats (Exode 21:24). Pour certains, cela veut dire que Dieu approuve la vengeance. Mais cette idée s’oppose à ce commandement de Dieu : « Tu ne dois pas te venger, ni garder rancune aux fils de ton peuple » (Lévitique 19:18). Alors comment comprendre les paroles d’Exode ?
Exode 21:22 prend le cas où deux hommes sont en train de se battre et où l’un d’eux bouscule une femme enceinte, provoquant un accouchement prématuré. Le mari de cette femme n’était pas autorisé à se venger. Si la mère et le bébé restaient en vie, l’homme qui avait bousculé la femme devait payer « une indemnité, selon ce que le propriétaire de la femme lui imposait ; et il devait la donner par l’intermédiaire des juges ». En d’autres termes, les juges condamnaient le fautif à payer des dommages-intérêts au mari. Et si la femme ou le bébé mourait, le coupable était condamné à mort.
Dans ce cas, c’était le tribunal, et non la victime, qui appliquait le principe de « vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent »... (Exode 21:23, 24, note). Ce principe rappelait aux juges que leur punition ne devait être ni excessive ni trop légère. Le bibliste Richard Friedman a écrit : « Le principe de base qui s’en dégage, c’est que la punition devait correspondre au délit et ne jamais aller au-delà. »
Mais alors, d’où vient l’idée que la Loi de Dieu autorisait la vengeance personnelle ? La réponse ressort de Matthieu 5:38, 39, où Jésus déclare : « Vous avez entendu qu’il a été dit : “Œil pour œil et dent pour dent.” » Apparemment, à l’époque de Jésus, certains chefs religieux avaient introduit la loi du talion dans leur tradition orale pour justifier la vengeance personnelle. Cependant, Jésus a clairement expliqué que la Loi de Dieu n’appuyait pas cet enseignement, disant : « Ne vous opposez pas à celui qui est méchant ; mais qui te gifle sur la joue droite, tourne aussi vers lui l’autre joue. » - TG2014 9/1 p8-9

La restitution et la compensation étaient incluses dans la Loi que Dieu avait donnée à Israël. Si, par exemple, un homme avait volé un taureau, il devait compenser au double, ou même plus dans certains cas. Sinon, il devait se louer comme travailleur à gages jusqu’à ce qu’il ait payé tout son dû à la victime (Ex. 22:1-9). Des compensations étaient aussi prévues en cas de calomnie, de blessures ou de déprédations (Ex. 21:35, 36). On constate que ces lois justes protégeaient la victime, lui permettaient d’être indemnisée, donnaient une sérieuse leçon au malfaiteur et ne faisaient pas supporter à la collectivité le fardeau d’un système pénitentiaire.
Tout en reconnaissant la sagesse du système judiciaire que Dieu avait donné à Israël, on pourrait se dire qu’il appartient au passé et se demander qui pourrait bien rétablir une telle justice pour tous à une époque aussi difficile que la nôtre.
La justice viendra d’en haut. Nous avons l’assurance que Jéhovah l’établira. Il y aura donc bien une justice pour tous – TG1977 1/6 p325

Si un Israélite tuait quelqu’un, il n’était pas exécuté automatiquement. Les anciens de la ville devaient d’abord vérifier les faits pour pouvoir décider si la peine de mort était méritée ou non. Ils jugeaient aussi des affaires du quotidien, comme des conflits entre conjoints et des querelles concernant des biens (Ex. 21:35). Quand les anciens se montraient justes et que les Israélites obéissaient à la Loi, toute la nation en tirait profit. De plus, cela honorait Jéhovah
Leçons : Jéhovah s’intéresse à chaque aspect de notre vie. Il veut que nous traitions les autres avec justice et amour. Et il remarque ce que nous faisons et disons même dans notre vie privée – TG2019/2 p13 §17,18

Les lois sur le crime - La Loi ne prévoyait pas de prison. Ce n’est que plus tard, au temps des rois, que les prisons furent indûment introduites en Israël (Jér. 37:15, 16 ; 38:6, 28). Le fait qu’aucune peine de prison n’était infligée pour quelque crime que ce soit signifiait que les criminels n’étaient pas nourris ni logés aux frais des Israélites laborieux qui obéissaient à la Loi. Lorsqu’un homme avait volé quelque chose à un de ses frères, il n’était pas mis en prison, car il aurait été ainsi incapable de rendre ce qu’il avait dérobé, et sa victime aurait souffert une perte. Il devait plutôt rendre le double de ce qu’il avait volé ou même davantage, selon la nature des objets dérobés et l’usage qu’il en avait fait (Ex. 22:1, 4, 7). S’il ne payait pas, il était alors vendu comme esclave ; il devait ainsi travailler jusqu’à ce qu’il fût en mesure de payer la somme prévue par les juges et correspondant à la valeur de ce qu’il avait dérobé (Ex. 22:3). Non seulement cette loi venait en aide à la victime du voleur, mais elle était une vigoureuse mise en garde contre le vol. - TG1970 1/10 p597 §17

Condamné par Dieu
.- La Bible parle du vol, il s’agit dans la plupart des cas de l’action illégale qui consiste à prendre ce qui appartient à autrui. La loi que Jéhovah donna à Israël déclarait explicitement : “ Tu ne dois pas voler. ”. Le voleur devait compenser au double, au quadruple et parfois même jusqu’au quintuple, selon ce que stipulait la Loi. S’il ne le pouvait pas, il était vendu en esclavage et ne retrouvait sa liberté sans doute qu’après avoir donné toute la compensation exigée (Ex 22:1-12). Le voleur déshonoré (Jr 2:26) devait non seulement donner la compensation, mais aussi apporter un sacrifice de culpabilité et demander au prêtre de faire propitiation pour ses péchés – it-2 p1169 Voleur

105Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Ven 18 Sep - 3:15

Invité


Invité

Tout le rituel que les pretres devais effectuer pour la maison de Jehovah  representait la presence de Jehovah et les anges la protection de Jehovah pour le peuple qui lui vouais un culte pur.
Oui cela demandais beaucoup de discipline et d'attentions a chaque jours pour penser a aller changer les pains de propitiation, d'aller asperger le sang  etc ...
Mais grace a cela ce peuple etait different de leir voisins, ils brnificiait de la presence du createur avec eux et sa protections.
Imaginer au temps de Ezekiya, quand les Assyriens son venu pour combattre contre eux ...
Ils on eu peur mais ils ont benificier de la protections  de Jehovah.
Le pardon des péché  aussi, continuellement, une relation avec le createur, mais cela demandais des actions a CHAQUES jours pour Jehovah, son organisation.
De nos jours la meme chose, nos bethel s'occupe de jouer  un role similaire, nous apportons argents et soutiens a cette organisation de Jehovah.
Tout ces diapositions nous permet a nous le peuppe choisi par Jehovah, de benificier de sa presence avec nous et le pardons de nos pecher grace a Jesus qui soutiens cet organisation dont  ous faisons parti ...

Continuons a le faire chaque jours ppur benificier de la presence, de la purification de nos péchés  et de le protection venant de Jehovah et son fils Jesus Christ

106Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 22 Sep - 9:07

Josué

Josué
Administrateur

En même temps qu’il lui donna sa Loi, Dieu commanda à Israël de bâtir le tabernacle, une tente portative, appelé aussi “ la tente de réunion ”, qui serait l’élément central de la structure permettant de s’approcher de lui. Ce tabernacle avait deux autels. Celui des holocaustes, en acacia plaqué de cuivre, était devant l’entrée et servait à offrir des sacrifices d’animaux - Exode 27:1-8 . L’autel de l’encens, également en acacia mais plaqué d’or, était à l’intérieur du tabernacle, devant le rideau du Très-Saint. On y brûlait un encens spécial deux fois par jour, matin et soir – TG2003 15/2 p28

Il y avait de petites colonnes dans le tabernacle, quatre en bois d’acacia pour soutenir le rideau qui séparait le Saint du Très-Saint, et cinq pour soutenir le voile situé à l’entrée (Ex 26:32-37). Soixante autres colonnes supportaient les tentures en lin qui entouraient la cour et le voile mis à la porte de la cour. — Ex 27:9-16.
Emploi figuré. Par la matière dont elles étaient faites et par leur fonction, les colonnes de maçonnerie étaient des symboles appropriés de l’appui solide. Elles représentaient ce qui constitue un soutien sûr. Ainsi, on a appelé la congrégation chrétienne “ colonne et soutien de la vérité ”, car elle fait valoir la vérité qui s’oppose à l’erreur religieuse. Des chrétiens vainqueurs il sera fait des colonnes dans “ le temple ” de Dieu, autrement dit ils acquerront une position permanente dans cet édifice spirituel – it-1 p499 Colonne

La prêtrise.
 Jéhovah décida aussi de mettre à part une famille dans la tribu de Lévi, famille dont les membres serviraient en tant que prêtres-sacrificateurs pour lui, à savoir Aaron, ses fils et leurs descendants mâles (Ex 28:1-3). Ces hommes furent alors sanctifiés par des sacrifices appropriés selon un cérémonial d’actes symboliques décrit en Exode chapitre 29. Sont également sanctifiés Jésus Christ, le Grand Prêtre éternel de Jéhovah, et ses prêtres adjoints, ou sous-prêtres, c’est-à-dire ceux qui suivent les traces de Christ et que Dieu oint pour être membres du corps de Christ. – it-2 p886 sanctification

Le grand prêtre d’Israël. En Israël, le turban du grand prêtre avait sur le devant, au-dessus du front du prêtre, une plaque d’or, “ le signe saint de consécration ”, sur laquelle étaient écrits “ en gravures de sceau ” les mots : “ La sainteté appartient à Jéhovah. ” (Ex 28:36-38 ; 39:30). En sa qualité de principal représentant du culte de Jéhovah en Israël, il convenait que le grand prêtre fasse que sa fonction reste sainte ; de plus, cette inscription rappelait à tout Israël la nécessité de demeurer saint constamment au service de Jéhovah contrairement aux nations païennes qui rendaient hommage à des divinités impures, Israël adorait un Dieu pur, saint. En outre, ce signe préfigurait très bien le Grand Prêtre souverain, Jésus Christ, et le fait que Jéhovah le consacrerait au service sacerdotal qui soutient Sa sainteté.
Si vous êtes vous-même Témoin de Jéhovah, êtes-vous pleinement conscient que le Dieu que vous adorez est pur, saint et juste? Le rappel d’une vérité aussi élémentaire ne vous paraît peut-être guère nécessaire. Après tout, Jéhovah ne nous a-t-il pas bénis, nous qui sommes ses serviteurs, en nous accordant l’intelligence des “choses profondes de Dieu”: les prophéties complexes de la Bible, l’application de ses principes ainsi que sa doctrine. Pourtant, il apparaît que certains ne reconnaissent pas sincèrement la sainteté de Jéhovah. En effet, chaque année, plusieurs milliers de Témoins tombent dans l’impureté. Des milliers d’autres s’attirent des ennuis en s’engageant dans des actions qui frisent la transgression des lois bibliques. Manifestement, il en est qui ne comprennent pas toute l’importance de ces paroles consignées en 1 Pierre 1:15, 16: “En accord avec le Saint qui vous a appelés, vous aussi devenez saints dans toute votre conduite, parce qu’il est écrit: ‘Vous devez être saints, car je suis saint.’” – it-1 p931

Lors d’un entretien privé avec Moïse au sommet du Sinaï, Jéhovah désigna expressément Aaron pour être grand prêtre d’Israël ainsi que ses quatre fils pour être sous-prêtres et il ordonna qu’on leur fît des vêtements sacerdotaux : “ Tu en revêtiras Aaron, ton frère, et ses fils avec lui. Tu les oindras, tu les consacreras, tu les sanctifieras, et ils seront à mon service dans le sacerdoce. ” (Ex. 27:21 à 28:41E). Ce qui précède nous montre que ces hommes n’étaient pas autorisés à se revêtir eux-mêmes de la charge de prêtre de l’alliance de la loi. Non, mais ils devaient d’abord être appelés et choisis, ensuite c’était Dieu qui les consacrait dans leurs fonctions au moyen de Moïse, son agent et serviteur visible. – TG1952 15/9 p275 §13

Lorsque Jéhovah eut choisi les enfants d’Israël pour en faire son peuple particulier, il ordonna qu’on revêtît ses prêtres de vêtements sacrés. Le chapitre 28 du livre de l’Exode décrit la magnificence des vêtements d’Aaron. Ils le distinguaient de tous les autres prêtres. Quand il paraissait devant Jéhovah, il était en certaines circonstances paré de ses robes de gloire et de beauté. Jadis, quand le peuple de Jéhovah marchait dans le désert, il le fit se ranger dans un certain ordre, selon la position que devait occuper chaque tribu. Tout s’effectua sous sa direction. C’était de l’organisation. Chaque tribu était heureuse d’occuper la place qu’on lui avait désignée. Une tribu ne cherchait pas à occuper une meilleure position au détriment de sa voisine. C’est Dieu qui les plaça toutes dans un certain ordre. Jéhovah était leur Dieu et leur guide. Il les conduisit à travers le désert pour les faire entrer finalement dans la Terre promise. Elles auraient dû l’adorer dans un ordre sacré. Aussi quand elles allèrent adorer d’autres dieux, Jéhovah leur manifesta-t-il sa désapprobation. – TG1953 1/ 2 p36 §11

107Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 28 Sep - 13:41

Josué

Josué
Administrateur

ENCENS
Mélange de gommes aromatiques et de résines qui brûle lentement en dégageant un parfum. Les mots hébreux qetorèth et qetôrah viennent de la racine qatar, qui signifie “ faire de la fumée sacrificielle ”. Dans les Écritures grecques chrétiennes, l’équivalent en est thumiama. En français, “ encens ” est également synonyme d’“ oliban ” (héb. : levônah ou : levonah), gomme-résine provenant de divers Boswellia qui peut être un des ingrédients de l’encens biblique. — Voir OLIBAN.
L’encens sacré prescrit à l’usage du tabernacle dans le désert se composait de produits coûteux offerts par la congrégation (Ex 25:1, 2, 6 ; 35:4, 5, 8, 27-29). La formule de ce mélange composé de quatre ingrédients fut donnée par Jéhovah, qui déclara à Moïse : “ Procure-toi des parfums : des gouttes de stacté et de l’ongle odorant, du galbanum parfumé et de l’oliban pur. Il y aura la même portion de chaque. Tu devras en faire un encens, un mélange d’aromates, œuvre de confectionneur d’onguents, salé, pur, chose sainte. Tu devras en broyer une partie en poudre fine et en mettre un peu devant le Témoignage dans la tente de réunion, là où je me présenterai à toi. Pour vous, il sera très saint. ” Puis, pour marquer dans l’esprit des Israélites le caractère exclusif et saint de cet encens, Jéhovah ajouta : “ Quiconque en fera de semblable pour en savourer l’odeur devra être retranché de son peuple. ” — Ex 30:34-38 ; 37:29.
Plus tard, les rabbins juifs ajoutèrent d’autres ingrédients à l’encens du temple, et Josèphe précise qu’il était fait de 13 parfums (Guerre des Juifs, V, 218 [V, 5]). Selon Maimonide, les substances qui furent ajoutées comprenaient entre autres l’ambre, la casse, le cinnamome, la myrrhe, le safran et le nard.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Tout comme l’électricité peut servir à réaliser une infinité de choses, de même l’esprit de Dieu sert à charger de mission et à rendre capables des humains pour effectuer une très grande variété de tâches (Is 48:16 ; 61:1-3). À propos des dons de l’esprit qui permettaient les miracles à son époque, Paul écrivit : “ Or il y a diversité de dons, mais il y a le même esprit ; il y a diversité de ministères, et pourtant il y a le même Seigneur ; il y a diversité d’opérations, et pourtant il y a le même Dieu qui accomplit toutes ces opérations en tous. Mais la manifestation de l’esprit est donnée à chacun à des fins utiles. ” — 1Co 12:4-7.
L’esprit peut doter des hommes de certaines qualités, les pourvoir des capacités voulues pour effectuer une œuvre ou pour remplir une fonction. Certes, Betsalel et Oholiab connaissaient sans doute leur métier avant que Dieu leur confie la fabrication du matériel destiné au tabernacle et la confection des vêtements sacerdotaux, mais l’esprit de Dieu les ‘ remplit de sagesse, d’intelligence et de connaissance ’ de façon que les ouvrages soient exécutés de la manière voulue. L’esprit aiguisa toute aptitude naturelle en eux et tout savoir acquis, et il les rendit capables de former d’autres personnes (Ex 31:1-11 ; 35:30-35). Plus tard, David reçut les plans architecturaux du temple par inspiration, c’est-à-dire par l’opération de l’esprit de Dieu, grâce à quoi il put entreprendre de grands préparatifs en vue de la construction. — 1Ch 28:12.
L’esprit de Dieu agit sur Moïse et par son intermédiaire, lui donnant de prophétiser et de faire des miracles, mais aussi de conduire la nation et de lui servir de juge, en quoi il préfigura le rôle futur de Jésus Christ (Is 63:11-13 ; Ac [url=x-apple-data-detectors://2]3:20-23[/url]). Néanmoins, Moïse, homme imparfait, trouva lourde la charge de cette responsabilité, si bien que Dieu ‘ enleva une partie de l’esprit qui était sur lui et la mit sur 70 anciens ’ afin qu’ils l’aident à porter cette charge (Nb [url=x-apple-data-detectors://3]11:11-17[/url], 24-30). Pareillement, dès le jour où David fut oint par Samuel, l’esprit de Dieu commença à agir sur lui, en le guidant et en le préparant pour son futur rôle de roi. — 1S [url=x-apple-data-detectors://4]16:13[/url].
Successeur de Moïse, Josué devint “ plein de l’esprit de sagesse ”. Toutefois, cet esprit ne lui donna pas la capacité de prophétiser ou de faire des miracles autant que Moïse (Dt 34:9-12). Par contre, il le rendit capable de conduire Israël dans la conquête militaire du pays de Canaan. De façon comparable, l’esprit de Jéhovah “ enveloppa ” d’autres hommes, tels Othniel, Guidéôn, Yiphtah et Samson, les ‘ poussant ’ à combattre en faveur du peuple de Dieu. — Jg 3:9, 10 ; [url=x-apple-data-detectors://5]6:34[/url] ; [url=x-apple-data-detectors://6]11:29[/url] ; [url=x-apple-data-detectors://7]13:24[/url], 25 ; 14:5, 6, 19 ; [url=x-apple-data-detectors://8]15:14[/url].

109Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 12 Oct - 18:17

Mikael

Mikael
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*** w90 [url=x-apple-data-detectors://0]15/3[/url] p. 7 Le Moïse aux cornes — Une curiosité artistique ***
SI VOUS avez déjà visité l’Italie, peut-être avez-vous vu la célèbre statue de Michel-Ange représentant Moïse assis. Elle se trouve maintenant dans l’église Saint-Pierre-aux-Liens, à Rome. Cette sculpture du XVIe siècle est curieuse, car elle dote Moïse de cornes sur la tête. C’est d’ailleurs ce qu’ont fait un certain nombre d’artistes dans leurs œuvres. Pour quelle raison? Cette façon de représenter Moïse trouve-t-elle un quelconque appui dans la Bible?
Selon la Vulgate, version latine de la Bible, Moïse avait le visage “cornu” après avoir parlé avec Dieu sur le mont Sinaï (Exode 34:29, 30, 35; voir TOB, note en bas de page). Comme la Vulgate était très appréciée dans une grande partie de la chrétienté, elle a influencé la façon dont on comprenait les Écritures.
Cependant, le mot hébreu traduit par “cornu” a aussi le sens d’‘émettre des rayons’. (Voir Osty, note en bas de page se rapportant à Exode 34:29.) Selon le Dictionnaire théologique de l’Ancien Testament (angl.), ce mot “suggère la forme, plutôt que la substance, d’une ou de plusieurs cornes”. Sur une illustration, des rayons de lumière ressemblent effectivement à des cornes.
On peut expliquer que le visage de Moïse émettait des rayons par le fait que la gloire de Jéhovah venait de passer devant lui (Exode 33:22; 34:6, 7). Paul confirme qu’il s’agit là de la bonne explication, car il parle de “la gloire” du visage de Moïse, non de ses “cornes”. — 2 Corinthiens 3:7.
Une bonne intelligence du vocabulaire biblique permet donc d’avoir une connaissance plus exacte du récit biblique. Les cornes de la célèbre statue de Michel-Ange ne sont donc qu’une curiosité artistique due à une erreur de traduction corrigée depuis fort longtemps.

110Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 19 Oct - 8:26

Josué

Josué
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La ‘ richesse de la générosité ’ procure la joie ***
Les 12 tribus d’Israël avaient été délivrées de l’Égypte qui les tenait en esclavage. Elles stationnaient à présent au pied du mont Sinaï, et Jéhovah leur demanda de construire un tabernacle et de l’équiper de tous les ustensiles nécessaires à l’exercice du culte. Cela demanderait des moyens importants, et la nation était invitée à contribuer au projet.
Quelle fut la réaction des Israélites ? “ Ils vinrent, tous ceux dont le cœur les y poussait, et ils apportèrent, tous ceux dont l’esprit les y incitait, la contribution de Jéhovah pour le travail de la tente de réunion. ” (Exode 35:21). L’offrande de la nation fut-elle généreuse ? Le mot est faible ! Moïse entendit le compte rendu suivant : “ Le peuple apporte beaucoup plus qu’il n’en faut au service pour le travail que Jéhovah a ordonné d’exécuter. ” — Exode 36:5.
Mais quelle était la situation économique des Israélites à ce moment-là ? Peu avant, ils étaient encore de misérables esclaves, ‘ opprimés quand ils portaient leurs fardeaux ’, menant ‘ une vie amère ’, une vie d’“ affliction ”. (Exode 1:11, 14 ; 3:7 ; 5:10-18.) Il est peu probable qu’ils aient connu la prospérité matérielle à cette époque. Il est vrai qu’ils ont quitté le pays de leur esclavage avec du petit et du gros bétail (Exode 12:32). Mais ces troupeaux ne devaient pas être si nombreux que cela, puisque peu après avoir quitté l’Égypte les Israélites se plaignirent de n’avoir ni viande ni pain à manger. — Exode 16:3.
D’où venaient alors ces biens qu’ils donnèrent en contribution à la construction du tabernacle ? De leurs anciens maîtres, les Égyptiens. La Bible explique : “ Les fils d’Israël [...] demandèrent aux Égyptiens des objets d’argent, des objets d’or et des manteaux. [...] [Les Égyptiens] leur accordèrent les choses demandées. ” Ces actes de générosité des Égyptiens furent une bénédiction venant de Jéhovah, et non un geste de la part de Pharaon. Le récit divin précise : “ Jéhovah fit que le peuple trouva faveur aux yeux des Égyptiens, si bien que ceux-ci leur accordèrent les choses demandées. ” — Exode 12:35, 36.
Imaginez les sentiments des Israélites ! Pendant des générations, ils avaient subi un esclavage implacable et les privations. Voilà qu’ils étaient libres et possédaient de nombreux biens. Comment allaient-ils réagir à l’idée de se séparer d’une partie de ces biens ? Ils auraient pu estimer qu’ils les avaient bien mérités et qu’ils étaient en droit de les garder. Pourtant, quand on les a invités à soutenir financièrement le culte pur, ils ont répondu à l’appel, sans se faire prier et sans mesquinerie ! Ils n’avaient pas oublié que c’était de par Jéhovah qu’ils avaient obtenu ces biens. C’est pourquoi ils ont donné avec libéralité de leur argent, de leur or et de leur bétail. Ils avaient le “ cœur bien disposé ” ; leur cœur ‘ les y incitait ’ ; ‘ leur esprit les y incitait ’. Ce fut vraiment “ une offrande volontaire à Jéhovah ”. — Exode 25:1-9 ; 35:4-9, 20-29 ; 36:3-7.

111Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 27 Oct - 8:52

Josué

Josué
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Les autels du tabernacle. Lorsqu’on dressa le tabernacle, on construisit deux autels d’après le modèle fourni par Dieu. L’autel de l’holocauste (appelé également “ l’autel de cuivre ” [Ex 39:39]) était en acacia et avait la forme d’une caisse creuse, probablement sans fond ni couvercle. Il mesurait 2,20 m de côté et 1,30 m de haut et avait quatre “ cornes ” proéminentes aux quatre angles supérieurs. Il était entièrement recouvert de cuivre, et sous son rebord était placé un grillage de cuivre, ouvrage en filet, “ par en bas, à l’intérieur ”, “ vers le milieu ”. Aux quatre extrémités, près du filet, étaient fixés quatre anneaux, ceux apparemment dans lesquels on introduisait les deux barres en acacia recouvertes de cuivre qui servaient à porter l’autel. Cela peut signifier qu’on avait découpé une fente sur deux faces opposées de l’autel, afin d’y glisser un grillage horizontal, les anneaux faisant saillie de chaque côté. Les opinions des biblistes sont très divergentes à ce sujet. Beaucoup sont d’avis qu’il y avait deux séries d’anneaux et que ceux de la deuxième série, dans lesquels on introduisait les barres servant à porter l’autel, étaient directement fixés à l’extérieur de l’autel. On avait aussi fabriqué des ustensiles de cuivre : des récipients et des pelles pour les cendres, des bols pour recueillir le sang des animaux, des fourchettes pour la viande et des récipients à feu. — Ex 27:1-8 ; 38:1-7, 30 ; Nb 4:14.
L’autel de cuivre pour les holocaustes fut placé à l’entrée du tabernacle (Ex 40:6, 29). Bien qu’il fût relativement bas, ce qui n’exigeait donc pas de prévoir un moyen d’accès, il se peut qu’en vue de faciliter la manutention des sacrifices placés à l’intérieur de l’autel, on ait surélevé le sol tout autour ou prévu une rampe d’accès (voir Lv 9:22 où il est dit qu’Aaron “ descendit ” après avoir offert les sacrifices). Étant donné que l’animal offert en sacrifice était tué “ sur le côté de l’autel, au nord ” (Lv 1:11), que “ l’endroit des cendres grasses ” enlevées de l’autel se situait à l’E. (Lv 1:16) et que le bassin de cuivre pour l’ablution était à l’O. (Ex 30:18), le moyen d’accès à l’autel ne pouvait logiquement se trouver qu’au S., le côté dégagé.
L’autel de l’encens. L’autel de l’encens (également appelé “ l’autel d’or ” [Ex 39:38]) était lui aussi en acacia. La partie supérieure, recouverte d’or comme les côtés, était entourée d’une bordure d’or. Cet autel, qui mesurait 44,50 cm de côté et 89 cm de hauteur, comportait également des “ cornes ” faisant saillie aux quatre coins. Quatre anneaux d’or, deux de chaque côté, étaient fixés au-dessous de la bordure. On y introduisait les barres d’acacia recouvertes d’or qui servaient à porter l’autel (Ex 30:1-5 ; 37:25-28). Un encens spécial était brûlé deux fois par jour sur cet autel, le matin et le soir (Ex 30:7-9, 34-38). Comme en d’autres occasions il est question d’un encensoir ou d’un récipient à feu pour brûler de l’encens, on devait probablement utiliser aussi ces instruments dans le cadre du service à l’autel de l’encens (Lv 16:12, 13 ; Hé 9:4 ; Ré 8:5 ; voir aussi 2Ch 26:16, 19). Dans le tabernacle, l’autel de l’encens se trouvait juste devant le rideau du Très-Saint ; aussi est-il dit qu’il était “ devant l’arche du témoignage ”. — Ex 30:1, 6 ; 40:5, 26, 27.

112Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 27 Oct - 16:39

papy

papy

Com­pa­rez Exode 24.10-40
La confec­tion de l’arche et du pro­pi­tia­toire, qui sont les ob­jets les plus sa­crés de tous, est ex­pres­sé­ment at­tri­buée à Bet­sa­léel.

113Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 10 Nov - 11:02

Josué

Josué
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Des sacrifices qui plaisaient à Dieu ***
13 Les holocaustes, les offrandes de grain et les sacrifices de communion comptaient parmi les offrandes volontaires qu’on faisait à Dieu comme dons ou pour s’avancer vers lui afin d’obtenir sa faveur. Des biblistes donnent au mot hébreu pour “ holocauste ” le sens d’“ offrande de montée ” ou d’“ offrande montante ”, ce qui correspond bien au fait qu’une bonne odeur, une odeur reposante, montait vers Dieu quand on brûlait l’animal sur l’autel. L’holocauste avait ceci de particulier que l’animal, dont on avait préalablement fait l’aspersion du sang autour de l’autel, était offert à Dieu en entier. Les prêtres faisaient “ fumer le tout sur l’autel, comme holocauste, sacrifice par le feu d’une odeur reposante pour Jéhovah ”. — Lévitique 1:3, 4, 9 ; Genèse 8:21.
14 L’offrande de grain est décrite en Lévitique chapitre 2. Cette offrande volontaire se composait de fleur de farine généralement arrosée d’huile et accompagnée d’oliban. “ Le prêtre [devait] en empoigner une pleine poignée, tant de sa fleur de farine que de son huile, avec tout son oliban ; et il [devait] faire fumer cela sur l’autel comme mémorial de l’offrande, comme sacrifice par le feu d’une odeur reposante pour Jéhovah. ” (Lévitique 2:2). L’oliban entrait dans la composition de l’encens sacré qu’on brûlait sur l’autel de l’encens dans le tabernacle ou le temple (Exode 30:34-36). C’est sans doute ce à quoi le roi David pensait quand il a écrit : “ Que ma prière soit préparée comme l’encens devant toi, l’élévation de mes paumes comme l’offrande de grain du soir. ” — Psaume 141:2.
15 Une autre offrande volontaire est décrite en Lévitique chapitre 3 : le sacrifice de communion, ou “ sacrifice d’offrandes de paix ”. En hébreu, le mot “ paix ” signifie bien plus que l’absence de guerre ou de troubles. “ Dans la Bible, explique le livre Études des institutions mosaïques (angl.), il exprime en plus l’état ou les relations de paix avec Dieu, la prospérité, la joie et le bonheur. ” On ne faisait donc pas des sacrifices de communion pour être en paix avec Dieu, comme pour l’apaiser, mais pour le remercier, pour célébrer la condition bénie dont jouissent ceux qui sont en paix avec lui parce qu’il les approuve. Une fois le sang et la graisse offerts à Jéhovah, les prêtres et l’offrant consommaient le sacrifice (Lévitique 3:17 ; 7:16-21 ; 19:5-Cool. Symboliquement, l’offrant, les prêtres et Jéhovah Dieu partageaient ainsi un repas, belle image des liens de paix qui les unissaient.

114Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 10 Nov - 15:52

samuel

samuel
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Ce livre est à la fois un manuel pour le culte de Jéhovah en Israël et un exposé les théologiques du système rituel de l'ancienne alliance.

115Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 17 Nov - 8:52

Josué

Josué
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 w97 15/8 p. 27-28 Pourquoi révéler ce qui est mal ? ***
Quand les anciens sont mis au courant d’une faute grave, ils vont trouver la personne concernée, afin de lui apporter l’assistance et la discipline dont elle a besoin. Il leur appartient de juger ceux qui font le mal à l’intérieur de la congrégation chrétienne. Vigilants quant à la condition spirituelle de celle-ci, ils aident et avertissent quiconque s’engage sur une voie peu sage ou mauvaise. — 1 Corinthiens 5:12, 13 ; 2 Timothée 4:2 ; 1 Pierre 5:1, 2.
Mais que faire si vous n’êtes pas ancien et que vous appreniez qu’un compagnon chrétien a commis une faute grave ? La Loi que Jéhovah avait donnée à la nation d’Israël nous met sur la voie. Quiconque était témoin d’actes d’apostasie ou de sédition, d’un meurtre ou d’un autre crime grave était tenu de le révéler et d’attester ce qu’il savait. On lit en Lévitique 5:1 : “ Si maintenant une âme pèche en ce qu’elle a entendu une imprécation publique, et elle est témoin ou elle a vu ou est venue à savoir la chose, si elle ne la révèle pas, alors elle devra répondre de sa faute. ” — Voir aussi Deutéronome 13:6-8 ; Esther 6:2 ; Proverbes 29:24.
Bien que n’étant pas sous la Loi mosaïque, les chrétiens se laissent guider par les principes qui s’en dégagent (Psaume 19:7, Cool. Dès lors, que devriez-vous faire si vous apprenez qu’un autre chrétien a commis une faute grave ?
La marche à suivre
Avant toute chose, assurez-vous que vous avez de solides raisons de croire qu’une faute grave a été commise. “ Ne deviens pas un témoin contre ton semblable sans de bonnes raisons, a écrit le sage Salomon. Il te faudrait alors être sot de tes lèvres. ” — Proverbes 24:28.
Même s’il n’y a rien de mal à en parler directement aux anciens, c’est généralement en allant trouver le chrétien concerné que vous manifesterez le mieux votre amour. Peut-être avez-vous été trompé par les apparences. Ou bien peut-être les anciens s’occupent-ils déjà de cette affaire. Quoi qu’il en soit, discutez calmement de la question avec l’individu en question. Si vous restez persuadé qu’il a commis une faute grave, encouragez-le à rechercher l’aide des anciens en lui expliquant la sagesse de cette démarche. Ne parlez de tout cela à personne d’autre : ce serait du bavardage.
Si, au bout d’un temps raisonnable, ce chrétien n’a rien dit aux anciens, faites-le. Un ou deux d’entre eux s’entretiendront alors avec lui. Les anciens doivent “ rechercher, enquêter et interroger avec soin ” pour déterminer s’il y a eu faute. Le cas échéant, ils traiteront l’affaire en suivant les directives des Écritures. — Deutéronome 13:12-14.
Pour qu’une accusation soit retenue, il faut au moins deux témoins (Jean 8:17 ; Hébreux 10:28). Si l’accusé nie et qu’il n’y ait pas d’autre témoignage que le vôtre, les anciens laisseront l’affaire entre les mains de Jéhovah (1 Timothée 5:19, 24, 25). Ils agiront ainsi parce qu’ils savent que toutes choses sont “ mises à découvert ” aux yeux de Jéhovah et que, si l’accusé est coupable, ses péchés finiront par ‘ l’atteindre ’. — Hébreux 4:13 ; Nombres 32:23.

116Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 1 Déc - 11:36

Josué

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it-1 p. 1189-1190 Installation ***
Moïse prit un peu du sang du bélier et de l’huile d’onction (apparemment mélangés) et en fit l’aspersion sur Aaron et ses fils, ainsi que sur leurs vêtements, afin de les sanctifier. Cela aussi les associait à la fonction de sacrificateurs, selon les instructions de l’esprit de Dieu. Il n’est dit nulle part si les fils d’Aaron furent oints en recevant de l’huile sur la tête, comme l’avait été leur père. — Lv 8:30.
À l’entrée de la tente de réunion, Aaron et ses fils durent cuire la partie de la chair du bélier qui n’avait pas été brûlée sur l’autel ni donnée à Moïse. Ils la mangèrent avec les gâteaux qui restaient dans la corbeille, mais tous les restes de cette nourriture devaient être brûlés le lendemain matin. Ce geste attirait l’attention sur la pureté et soulignait, en outre, le caractère complet de leur sanctification et de leur service (parce que les aliments qu’ils mangèrent n’étaient ni putréfiés ni faisandés, et que les restes furent détruits complètement). On note également qu’il n’y avait pas de levain dans les gâteaux. — Lv 8:31, 32 ; Ex 29:31-34.

117Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 7 Déc - 13:33

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Nous devons être saints dans toute notre conduite ***
Pour beaucoup d’entre nous, l’étude de la Bible n’est peut-être pas chose facile. Bien entendu, ce n’est pas en les culpabilisant que Jéhovah incite ses serviteurs à étudier. Mais que nous lui soyons voués depuis des années ou depuis relativement peu de temps, il nous faut absorber la nourriture solide continuellement. C’est indispensable pour rester sur la voie de la sainteté.
Pour être saints, il nous faut soigneusement examiner les Écritures et faire ce que Dieu attend de nous. Revenons à Nadab et Abihou, les fils d’Aaron. Ils ont été exécutés pour avoir offert « un feu irrégulier », peut-être parce qu’ils étaient ivres (Lév. 10:1, 2). Note ce que Dieu a alors dit à Aaron (lire Lévitique 10:8-11). Ce passage signifie-t-il que nous ne devons rien boire d’alcoolisé avant de nous rendre à une réunion chrétienne ? Réfléchis à ces différents points : Nous ne sommes pas sous la Loi (Rom. 10:4). Dans certains pays, nos coreligionnaires ne voient pas d’objection à consommer avec modération des boissons alcoolisées aux repas avant d’assister aux réunions. Lors de la Pâque, on servait quatre coupes de vin. Quand il a institué le Mémorial, Jésus a donné à boire à ses apôtres du vin, qui représentait son sang (Mat. 26:27). La Bible condamne l’ivresse et l’ivrognerie (1 Cor. 6:10 ; 1 Tim. 3:Cool. Enfin, la conscience de nombreux chrétiens les incite à s’abstenir de toute boisson alcoolisée avant de participer à une forme quelconque du service sacré. Cependant, les circonstances varient d’un pays à l’autre. L’important, c’est que les chrétiens « fa[ssent] une distinction entre la chose sainte et la chose profane » afin de se conduire avec sainteté, et de plaire à Jéhovah.

118Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 14 Déc - 9:20

Josué

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Les diverses formes et leurs effets. La maladie appelée aujourd’hui lèpre, ou maladie de Hansen, qui n’est que peu contagieuse, se présente sous trois formes principales. La première, nodulaire, provoque un épaississement de la peau et la formation de nodules, d’abord sur le visage, puis sur d’autres parties du corps. Elle entraîne aussi une dégénérescence des muqueuses du nez et de la gorge. C’est ce qu’on appelle la lèpre noire. Une autre forme est la lèpre anesthésique, appelée parfois lèpre blanche. Moins grave que la précédente, elle attaque essentiellement les nerfs périphériques. Elle rend parfois la peau douloureuse au toucher, mais elle peut aussi provoquer l’insensibilité. Le troisième type de lèpre est mixte, associant les symptômes des deux formes précédentes.
Au fur et à mesure que la lèpre progresse vers sa phase finale, les enflures qui se sont formées suppurent ; il peut y avoir chute de la barbe et des sourcils et décollement des ongles, qui pourrissent et tombent. Ensuite les doigts, les membres, le nez ou les yeux du malade peuvent être rongés lentement. Enfin, dans les cas les plus graves, la mort s’ensuit. Le terme “ lèpre ” dans la Bible incluait certainement cette grave maladie, car Aaron dit qu’à cause d’elle la chair est “ à demi rongée ”. — Nb 12:12.
La description qui précède permet de mieux comprendre ce que la Bible déclare à propos de cette maladie redoutable et les terribles conséquences de l’acte présomptueux d’Ouzziya, qui voulut offrir de l’encens dans le temple de Jéhovah alors qu’il n’en avait pas le droit. — 2R 15:5 ; 2Ch 26:16-23.
Diagnostic. Dans la Loi mosaïque, Jéhovah fournit à Israël des renseignements qui permettaient au prêtre de diagnostiquer la lèpre et de la différencier d’autres affections cutanées moins graves. Lévitique 13:1-46 montre que la lèpre pouvait commencer par une éruption, une dartre, une tache, un furoncle ou une cicatrice due au feu. Parfois, les symptômes étaient très évidents. Le poil, dans la partie atteinte, était devenu blanc et le mal paraissait plus profond que la peau. Par exemple, une éruption blanche dans la peau pouvait faire virer le poil au blanc et la chair à vif apparaître dans l’éruption. Cela signifiait que la personne avait la lèpre, et elle devait être déclarée impure. Dans d’autres cas, toutefois, le mal n’était pas plus profond que la peau. La personne était alors mise en quarantaine, puis le prêtre l’examinait et prenait une décision définitive à son sujet.
Il était reconnu que la lèpre pouvait atteindre un stade où elle n’était pas contagieuse. Quand elle recouvrait tout le corps, que celui-ci était devenu tout blanc, sans qu’on voie de chair vive, c’était la preuve que la maladie n’agissait plus et que seules restaient les marques des ravages qu’elle avait causés. Le prêtre déclarait alors la personne pure, car le mal ne constituait plus un danger pour quiconque. — Lv 13:12-17.

119Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 22 Déc - 9:35

Josué

Josué
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** w89 1/6 p. 13-14 § 17-18 Parachevons la sainteté dans la crainte de Dieu ***
Toutefois, un chrétien qui désire ‘parachever la sainteté dans la crainte de Dieu’ sait qu’il n’est pas libre de se marier avec n’importe quelle personne de son choix. Juste avant de conseiller à ses compagnons chrétiens de ‘se purifier de toute souillure de la chair et de l’esprit, parachevant la sainteté dans la crainte de Dieu’, l’apôtre Paul écrivit: “Ne formez pas avec les incroyants un attelage mal assorti. En effet, quels rapports y a-t-il entre la justice et le mépris de la loi? (...) Ou quelle part a le fidèle avec l’incroyant?” (2 Corinthiens 6:14, 15; 7:1). Puisqu’il fait partie du peuple mis à part et pur de Jéhovah, un chrétien ou une chrétienne qui désire se marier respectera la restriction apostolique enjoignant de le faire “dans le Seigneur seulement”. Il choisira donc pour conjoint une personne qui s’est vouée à Jéhovah et qui le sert fidèlement (1 Corinthiens 7:39). De nos jours, comme dans le passé, il serait certainement insensé pour des serviteurs de Dieu de faire fi de ce conseil biblique (voir Deutéronome 7:3, 4; Néhémie 13:23-27). Ce ne serait pas faire preuve d’une crainte salutaire envers notre grand Maître, Jéhovah. — Malachie 1:6.
18 Par ailleurs, en Israël, des lois limitaient l’usage des facultés sexuelles, même entre conjoints. Un mari devait s’abstenir de relations avec sa femme lorsqu’elle avait ses règles (Lévitique 15:24; 18:19; 20:18). Dans l’antique Israël, les hommes devaient donc faire preuve de maîtrise de soi et d’une considération empreinte d’amour. Les chrétiens devraient-ils témoigner moins d’égards à leurs femmes? L’apôtre Pierre les encourage à demeurer avec elles “selon la connaissance”, c’est-à-dire en tenant compte de leur nature comparée à un “vase plus faible, le vase féminin”. — 1 Pierre 3:7.

120Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 28 Déc - 9:19

Josué

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Questions des lecteurs ***
Dans l’Israël antique, que représentait la lumière miraculeuse, parfois appelée Shekina, qui éclairait le Très-Saint du tabernacle, puis du temple ?
Jéhovah, en Père aimant et en Protecteur de son peuple, rendait sa présence manifeste en Israël. Il utilisait pour cela, entre autres moyens, un nuage resplendissant, qui était indissociable de son lieu de culte.
Cette lumière saisissante, qui brillait miraculeusement dans le Très-Saint du tabernacle, puis du temple construit par Salomon, symbolisait la présence invisible de Jéhovah. Elle ne signifiait pas que Jéhovah était là en personne ; aucune construction humaine ne peut le contenir (2 Chroniques 6:18 ; Actes 17:24). Cette lumière surnaturelle dans le sanctuaire, symbole de la présence protectrice de Jéhovah, donnait au grand prêtre, et par son intermédiaire à tous les Israélites, l’assurance qu’Il prenait soin de son peuple.
En araméen postbiblique, on a appelé cette lumière Shekina (shekhinah), mot qui signifie “ ce qui demeure ” ou “ demeure ” (habitation). Ce terme n’apparaît pas dans la Bible, mais on le trouve dans les traductions araméennes des Écritures hébraïques, connues aussi sous le nom de targoums.
Lorsqu’il a donné les instructions pour la construction du tabernacle, Jéhovah a dit à Moïse : “ Tu devras placer le couvercle sur l’Arche, par-dessus, et tu placeras dans l’Arche le témoignage que je te donnerai. Oui, c’est là que je me présenterai à toi et que je parlerai avec toi, d’au-dessus du couvercle, d’entre les deux chérubins qui sont sur l’arche. ” (Exode 25:21, 22). L’Arche était un coffre recouvert d’or, placé dans le Très-Saint. Sur son couvercle étaient deux chérubins en or.
D’où Jéhovah parlerait-il ? Il le fit savoir à Moïse en ces termes : “ J’apparaîtrai dans un nuage au-dessus du couvercle. ” (Lévitique 16:2). Ce nuage flottait au-dessus de l’Arche sacrée, entre les deux chérubins. La Bible ne révèle pas à quelle hauteur il se trouvait ni jusqu’où il s’élevait au-dessus des chérubins.
Ce nuage lumineux éclairait le Très-Saint. Il était même la seule source de lumière de ce compartiment. Le grand prêtre bénéficiait de son éclairage lorsqu’il entrait dans cette pièce, la plus retirée, le jour des Propitiations. Il se tenait en présence de Jéhovah.
Cette lumière miraculeuse a-t-elle une signification pour les chrétiens ? Dans une vision, l’apôtre Jean a vu une ville dans laquelle “ la nuit n’existera pas ”. Il s’agit de la Nouvelle Jérusalem, composée des chrétiens oints ressuscités pour régner avec Jésus. La lumière de cette ville symbolique n’émane pas du soleil ni de la lune. La gloire de Jéhovah Dieu illumine directement cette organisation, de la même manière que la Shekina illuminait le Très-Saint. En outre, l’Agneau, Jésus Christ, en est la “ lampe ”. À son tour, pour les guider, cette “ ville ” déverse sur des gens rachetés de toutes nations sa lumière spirituelle et sa faveur. — Révélation 21:22-25.
Puisqu’ils reçoivent en abondance de telles bénédictions, les adorateurs de Jéhovah peuvent avoir la certitude qu’il est pour eux un Berger protecteur et un Père affectueux.

121Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Semaine du 4 Janvier. Lun 4 Jan - 16:51

samuel

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*** w03 [url=x-apple-data-detectors://0]15/7[/url] p. 27-28 Ougarit, ville antique sous le signe de Baal ***
Les textes mis au jour attestent la bassesse de la religion ougaritique. Un ouvrage explique : “ Les textes montrent les effets dégradants du culte de ces divinités, l’accent étant porté sur la guerre, la prostitution sacrée et le sexe, avec l’avilissement social qu’on imagine. ” (The Illustrated Bible Dictionary). Roland de Vaux déclare : “ À lire ces poèmes, on comprend la répulsion que les vrais fidèles du Yahvisme, que les grands prophètes ont éprouvée pour ces cultes. ” Les lois divines données à l’Israël antique étaient un rempart contre pareil faux culte.
À Ougarit, divination, astrologie et magie étaient courantes. On cherchait des signes et des présages non seulement dans les corps célestes, mais aussi dans des fœtus malformés et dans les viscères d’animaux sacrifiés. “ La croyance voulait que le dieu, à qui était offert un animal rituellement sacrifié, s’identifiât à lui, et que son esprit fusionnât alors avec celui de l’animal, commente l’historienne Jacqueline Gachet ; en conséquence, la lecture des signes observés sur ces organes permettait d’accéder avec clarté à l’esprit des divinités susceptibles d’apporter une réponse, favorable ou non, à une question sur des événements futurs ou la conduite à tenir dans des circonstances précises. ” (Le pays d’Ougarit autour de 1200 av. J.C.). À l’inverse, les Israélites devaient rejeter de telles pratiques. — Deutéronome 18:9-14.
La Loi mosaïque interdisait clairement la bestialité (Lévitique [url=x-apple-data-detectors://1]18:23[/url]). Comment cette pratique était-elle considérée à Ougarit ? Dans les écrits découverts, Baal s’accouple avec une génisse. “ Que Baal adopte la forme d’un taureau pour réaliser cet acte, admettons, commente l’archéologue Cyrus Gordon, mais que dire de ses prêtres qui rejouaient son parcours mythologique ? ”
Les Israélites avaient reçu ce commandement : “ Vous ne devez pas vous faire d’entailles dans la chair pour une âme décédée. ” (Lévitique [url=x-apple-data-detectors://2]19:28[/url]). En réaction à la mort de Baal, cependant, El “ se taillada la peau avec un couteau, se fit des incisions avec un rasoir ; il s’entailla les joues et le menton ”. La lacération rituelle était apparemment une coutume chez les adorateurs de Baal. — 1 Rois [url=x-apple-data-detectors://3]18:28[/url].
Un poème ougaritique laisse à penser que la cuisson d’un chevreau dans du lait faisait partie d’un rite cananéen de la fertilité. De son côté, la Loi mosaïque ordonnait aux Israélites : “ Tu ne dois pas faire cuire un chevreau dans le lait de sa mère. ” — Exode [url=x-apple-data-detectors://4]23:19[/url].

122Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 12 Jan - 16:16

Josué

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 w89 1/6 p. 13-14 § 16-18 Parachevons la sainteté dans la crainte de Dieu ***
 Le célibat obligatoire est contraire aux Écritures (1 Timothée 4:1-3). Les relations sexuelles n’ont rien d’impur dans le cadre du mariage. La Parole de Dieu déclare: “Que le mariage soit honoré chez tous et le lit conjugal sans souillure, car Dieu jugera les fornicateurs et les adultères.” — Hébreux 13:4.
17 Toutefois, un chrétien qui désire ‘parachever la sainteté dans la crainte de Dieu’ sait qu’il n’est pas libre de se marier avec n’importe quelle personne de son choix. Juste avant de conseiller à ses compagnons chrétiens de ‘se purifier de toute souillure de la chair et de l’esprit, parachevant la sainteté dans la crainte de Dieu’, l’apôtre Paul écrivit: “Ne formez pas avec les incroyants un attelage mal assorti. En effet, quels rapports y a-t-il entre la justice et le mépris de la loi? (...) Ou quelle part a le fidèle avec l’incroyant?” (2 Corinthiens 6:14, 15; 7:1). Puisqu’il fait partie du peuple mis à part et pur de Jéhovah, un chrétien ou une chrétienne qui désire se marier respectera la restriction apostolique enjoignant de le faire “dans le Seigneur seulement”. Il choisira donc pour conjoint une personne qui s’est vouée à Jéhovah et qui le sert fidèlement (1 Corinthiens 7:39). De nos jours, comme dans le passé, il serait certainement insensé pour des serviteurs de Dieu de faire fi de ce conseil biblique (voir Deutéronome 7:3, 4; Néhémie 13:23-27). Ce ne serait pas faire preuve d’une crainte salutaire envers notre grand Maître, Jéhovah. — Malachie 1:6.
18 Par ailleurs, en Israël, des lois limitaient l’usage des facultés sexuelles, même entre conjoints. Un mari devait s’abstenir de relations avec sa femme lorsqu’elle avait ses règles (Lévitique 15:24; 18:19; 20:18). Dans l’antique Israël, les hommes devaient donc faire preuve de maîtrise de soi et d’une considération empreinte d’amour. Les chrétiens devraient-ils témoigner moins d’égards à leurs femmes? L’apôtre Pierre les encourage à demeurer avec elles “selon la connaissance”, c’est-à-dire en tenant compte de leur nature comparée à un “vase plus faible, le vase féminin”. — 1 Pierre 3:7.

123Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 25 Jan - 8:42

Josué

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w11 15/11 p. 17 § 4-5 “ Résidents temporaires ” dans un monde mauvais ***
Les descendants d’Abraham, les Israélites, sont devenus nombreux et ont fini par être organisés en nation, avec une législation et un territoire (Gen. 48:4 ; Deut. 6:1). Ils devaient toujours se souvenir que ce territoire appartenait à Jéhovah, et pas à eux (Lév. 25:23). En tant que locataires, ils seraient tenus de respecter les conditions fixées par le propriétaire. Il leur faudrait également se rappeler que “ l’homme ne vit pas de pain seul ” ; leur prospérité ne devrait pas leur faire oublier Jéhovah (Deut. 8:1-3). Voici l’avertissement qu’a reçu la nation d’Israël avant qu’elle ne s’installe en Terre promise : “ Il devra arriver ceci : quand Jéhovah ton Dieu te fera entrer dans le pays qu’il a juré à tes ancêtres, Abraham, Isaac et Jacob, de te donner : villes grandes et belles que tu n’as pas bâties, maisons pleines de toutes bonnes choses et que tu n’as pas remplies, citernes creusées que tu n’as pas creusées, vignes et oliviers que tu n’as pas plantés, et quand tu auras mangé et te seras rassasié, prends garde à toi, de peur que tu n’oublies Jéhovah. ” — Deut. 6:10-12.
5 Cet avertissement était justifié. Aux jours de Nehémia, un groupe de Lévites a relaté, non sans honte, ce qui s’est passé après la conquête de la Terre promise. Les Israélites ont emménagé dans des maisons confortables ; ils ont eu abondance de nourriture et de vin. “ Ils ont mangé, se sont rassasiés, ont engraissé. ” Ils se sont alors rebellés contre Dieu et ont même tué les prophètes qu’il leur envoyait. Aussi Jéhovah a-t-il livré le peuple à ses ennemis. (Lire Nehémia 9:25-27

124Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 25 Jan - 9:19

samuel

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Nous aussi comme Abraham nous sommes des résidents temporaires de ce vieux monde,car nous attendons le monde nouveau avec impatience.

125Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 2 Fév - 8:56

Josué

Josué
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 Que savons-nous sur la fièvre ? ***
LA FIÈVRE est souvent une cause d’inquiétude pour les mères qui ont de jeunes enfants, mais, comme on va le voir, elles s’inquiètent probablement plus qu’il n’est nécessaire.
Selon l’histoire de la médecine, “la fièvre est reconnue comme un signe de maladie depuis (...) les observations d’Hippocrate”, qu’on a appelé le “père de la médecine”. Mais la Bible montre qu’un millier d’années plus tôt, Moïse a parlé de la “fièvre brûlante” dans la législation qu’il a donnée, par inspiration, à la nation d’Israël (Lév. 26:16 ; Deut. 28:22). De nombreux siècles plus tard, les rédacteurs des Évangiles racontent que Jésus Christ, le Fils de Dieu, guérit la belle-mère de l’apôtre Pierre qui souffrait d’une “forte fièvre”. Et l’apôtre Paul naufragé guérit la fièvre qui accablait le père de Publius, le “principal personnage” de l’île de Malte. — Luc 4:38, 39 ; Actes 28:7, 8.
Une meilleure connaissance
Depuis l’époque d’Hippocrate, les hommes ont appris à mieux connaître la fièvre. En 1714, un pas important a été fait quand Fahrenheit inventa le premier thermomètre. Puis, il y a environ une centaine d’années, on découvrit que la fièvre était déterminée par un système thermorégulateur. Même aujourd’hui, on reconnaît qu’elle est un signe si certain de maladie que prendre la température est sans doute le procédé clinique le plus courant.
C’est seulement au cours des vingt dernières années qu’on a mieux compris comment survient la fièvre. On savait que dans l’hypothalamus, région de l’encéphale située à la base du cerveau, se trouve le centre de la régulation thermique. Mais comment fonctionnait-il ?
On a découvert que les globules blancs, lorsqu’ils combattent une infection, produisent des corps pyrogènes, littéralement des “producteurs de fièvre”. Ces corps agissent sur la partie antérieure de l’hypothalamus et exaltent ainsi le système thermorégulateur. C’est pourquoi l’on dit que la fièvre est une élévation de la température causée par un trouble du mécanisme de régulation thermique dans le cerveau. La fièvre provoque une sensation de froid et des frissons, bien que la température du corps soit au-dessus de la normale.
Des recherches récentes ont également montré que la constance de la température de l’organisme a un rapport avec l’équilibre du sodium et du calcium dans l’hypothalamus. Le calcium semble agir comme une sorte de frein qui empêche les ions sodium de faire monter la température. Les corps pyrogènes produits par les globules blancs ou leucocytes feraient disparaître ce frein

126Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Livre des Nombres. Lun 8 Fév - 13:28

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Nombres ***
 Les Nombres se divisent logiquement en trois sections. La première, qui se termine au chapitre 10, verset 10, couvre les événements qui se sont produits alors que les Israélites campaient encore au mont Sinaï. La deuxième, qui prend fin au chapitre 21, révèle les épisodes survenus durant les 38 années et un ou deux mois qui ont suivi, quand les Israélites étaient dans le désert et jusqu’à ce qu’ils arrivent dans les plaines de Moab. La troisième et dernière section, qui va jusqu’au chapitre 36, rapporte ce qui s’est passé dans les plaines de Moab, tandis que les Israélites se préparaient à entrer en Terre promise.
   Événements au mont Sinaï (1:[url=x-apple-data-detectors://0]1–10:10[/url]). Les Israélites se trouvent dans la région montagneuse du Sinaï depuis environ un an déjà. Là, ils ont été formés en une organisation fortement structurée. Sur l’ordre de Jéhovah un recensement de tous les hommes est effectué, depuis l’âge de 20 ans et au-dessus. L’importance numérique des tribus varie de 32 200 hommes robustes en Manassé à 74 600 en Juda, soit un total de 603 550 hommes aptes au service dans l’armée d’Israël, sans compter les Lévites, les femmes et les enfants — la population du camp s’élevant probablement à trois millions ou plus. La tente de réunion est située au centre du camp, avec les Lévites. Les autres Israélites campent aux places qui leur sont assignées de chaque côté, par division de trois tribus, chaque tribu ayant reçu des instructions quant à son ordre de marche lors des déplacements. Jéhovah donne les directives, et le récit dit : “ Les fils d’Israël se mirent à faire selon tout ce que Jéhovah avait ordonné à Moïse. ” ([url=x-apple-data-detectors://1]2:34[/url]). Ils obéissent à Jéhovah et se montrent respectueux vis-à-vis de Moïse, le représentant visible de Dieu.

127Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 16 Fév - 11:34

Josué

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L’Israël de Dieu” et la “grande foule” ***
Lorsque Jéhovah choisit les Israélites pour en faire sa nation, sa possession spéciale, il conclut une alliance avec eux, disant: “Si vous obéissez strictement à ma voix et si vous gardez vraiment mon alliance, alors vous deviendrez assurément ma propriété spéciale parmi tous les autres peuples, car toute la terre m’appartient. Et vous, vous deviendrez pour moi un royaume de prêtres et une nation sainte.” (Exode 19:5, 6). Israël était le peuple de Jéhovah, un peuple à part, en vertu de l’alliance de la Loi. Cependant, comment allait se réaliser cette promesse concernant un royaume de prêtres et une nation sainte?
  Tant qu’ils furent fidèles à Jéhovah, les Israélites reconnaissaient sa souveraineté et acceptaient de l’avoir pour Roi (Ésaïe 33:22). Ils étaient donc un royaume. Mais, comme cela fut révélé plus tard, la promesse concernant “un royaume” allait signifier bien plus que cela. De surcroît, tant qu’ils obéissaient à la Loi de Jéhovah, ils étaient purs, séparés des nations d’alentour. Ils étaient une nation sainte (Deutéronome 7:5, 6). Étaient-ils un royaume de prêtres? En fait, en Israël, la tribu de Lévi était mise à part pour le service du temple, et au sein de cette tribu se trouvait la prêtrise lévitique. Quand la Loi mosaïque entra en vigueur, les Lévites du sexe masculin furent pris à la place des premiers-nés de toutes les familles non lévites (Exode 22:29; Nombres 3:11-16, 40-51). Ainsi, chaque famille d’Israël était en quelque sorte représentée dans le service du temple. C’est de cette façon, d’une manière représentative, que la nation s’approcha le plus des fonctions de la prêtrise. Néanmoins, elle représentait Jéhovah devant les nations. Tout étranger qui souhaitait adorer le vrai Dieu devait se joindre aux Israélites. — 2 Chroniques 6:32, 33; Ésaïe 60:10.

128Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 22 Fév - 8:57

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La vaillante armée des combattants à plein temps ***

Imitons l’exemple des naziréens
12 Beaucoup ont entrepris le service de pionnier poussés par le désir de faire davantage. Ils n’avaient pas un esprit de compétition ni le désir orgueilleux de faire plus que leurs frères et sœurs chrétiens, mais ils voulaient manifester davantage leur amour pour Jéhovah et pour leur prochain (Matthieu 22:37-39). À ce sujet, l’exemple biblique des naziréens est très intéressant. Dans l’antique Israël, des hommes et des femmes pouvaient décider volontairement de devenir naziréens, nom qui vient du terme hébreu nazir, qui signifie voué ou mis à part. S’il fallait faire un vœu pour devenir naziréen, le chrétien qui décide d’être pionnier n’a pas, quant à lui, à faire un vœu ni à s’acquitter ensuite de certaines obligations solennelles. Nous n’essaierons donc pas d’établir un parallèle entre ces deux décisions; néanmoins, nous nous arrêterons sur certains points de similitude entre les naziréens et les pionniers, car ces ressemblances sont riches d’enseignements.
13 L’Israélite qui était volontaire pour devenir naziréen acceptait certaines restrictions qui soulignaient le rôle “à part” qu’il jouait dans le culte de Jéhovah. Comme l’explique Nombres 6:3, 4, l’une de ces restrictions concernait la nourriture et la boisson. Un naziréen ne pouvait pas consommer de boissons enivrantes ni aucun des produits de la vigne (Psaume 104:15). Cela impliquait un certain degré d’abnégation, mais il n’était privé d’aucun aliment nécessaire. Le naziréen ne souffrait donc pas de cette restriction.
14 Ceux qui réussissent dans le service de pionnier centrent leur vie, non pas sur les choses matérielles, telles que la nourriture ou les articles de luxe, mais sur le service qu’ils accomplissent à la louange de Dieu. C’est là une condition essentielle pour éprouver la joie profonde et durable qu’envient de nombreuses personnes qui, sur le plan matériel, donnent pourtant l’impression de vivre “mieux”. (Voir Luc 12:16-21.) Le fait de mener une vie plus simple ou plus modeste sur le plan matériel peut aussi procurer des bienfaits que l’on oublie facilement. De grands médecins insistent sur les multiples dangers que l’on court en prenant souvent des repas riches et copieusement arrosés. Le pionnier, lui, a davantage de chances d’être en bonne santé, du fait qu’il prend généralement des repas simples, bien qu’équilibrés et nutritifs, et qu’il fait beaucoup de marche dans le cadre de son activité de prédication de maison en maison. En outre, les gens qui possèdent de grandes maisons, le dernier cri de la mécanique ou de l’électronique et bien d’autres choses encore, savent que tout cela est une source de fréquents “cassements de tête” et de nombreux problèmes. Les rapprochements que l’on peut faire entre Nombres 6:3, 4 et le service de pionnier méritent vraiment notre attention, n’est-ce pas?
15 La deuxième restriction qu’un naziréen s’imposait était l’interdiction de se couper les cheveux (Nombres 6:5). Ses cheveux longs étaient un signe grâce auquel tout le monde pouvait le reconnaître. Paul expliqua plus tard que la chevelure d’une femme chrétienne rappelait l’obligation où elle était de se soumettre (I Corinthiens 11:3-15). Pour revenir aux cheveux du naziréen, nous reconnaîtrons qu’un frère ou une sœur qui est volontaire pour servir comme pionnier manifeste une soumission particulièrement grande envers Jéhovah Dieu. Ce chrétien rejette ou relègue au second rang de nombreux avantages personnels afin de s’occuper d’abord du ministère. Le pionnier apprend aussi à se confier en Dieu et à se soumettre à lui.
16 En dernier lieu, on exigeait du naziréen qu’il s’abstienne de toucher un corps mort, même lorsqu’un membre de sa famille proche, son père ou sa mère par exemple, venait de mourir (Nombres 6:6, 7). Un naziréen devait rester saint, pur, sans souillure (voir aussi ce que l’on exigeait du grand prêtre, selon Lévitique 21:10, 11). Aujourd’hui, on n’interdit à aucun chrétien, pas même à un pionnier, de s’occuper de l’enterrement d’un proche parent ou d’y assister. Mais, comme les naziréens, les pionniers veulent éviter toute pratique ou conduite douteuse qui pourrait les amener à ne plus remplir les conditions requises pour accomplir leur service. Ils veulent être des exemples. En outre, il y a des pionniers qui ont été envoyés dans des territoires lointains et qui ne peuvent donc pas rendre visite aux membres de leur famille aussi souvent qu’ils le feraient en d’autres circonstances. Ces pionniers qui aiment leur famille sont heureux de savoir que Jéhovah apprécie un tel sacrifice de leur part.
17 La Bible montre qu’on ne devenait pas naziréen en accomplissant simplement un rite religieux. Il s’agissait d’adopter un mode de vie satisfaisant et chargé d’une signification importante, car il fallait “vivre en naziréen pour Jéhovah”. (Nombres 6:2.) De même, le service de pionnier est aujourd’hui un mode de vie; et quel mode de vie heureux!

129Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 8 Mar - 11:52

Josué

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w93 1/2 p. 31 Questions des lecteurs ***
Si un chrétien est malade ou en voyage et qu’il ne puisse assister au Mémorial, est-il tenu de le célébrer un mois après?
Dans l’Israël antique, la Pâque était célébrée tous les ans le 14e jour du premier mois, appelé Nisan (ou Abib). Cependant, Nombres 9:10, 11 énonce une disposition particulière: “Parle aux fils d’Israël, en disant: ‘Même si un homme d’entre vous ou de vos générations se trouve impur de par une âme ou en voyage au loin, il devra, lui aussi, préparer la victime pascale pour Jéhovah. C’est au deuxième mois [appelé Iyyar ou Ziv], le quatorzième jour, entre les deux soirs, qu’ils devront la préparer. Ils devront la manger avec des gâteaux sans levain et des légumes verts — amers.’”
Remarquez bien que ce texte ne donne pas deux dates possibles (le 14 Nisan ou le 14 Ziv) pour célébrer la Pâque, chaque personne ou famille étant libre de choisir l’une ou l’autre selon sa convenance. La célébration de la Pâque le deuxième mois revêtait un caractère exceptionnel: par exemple lorsque, le 14 Nisan, un Israélite était impur au regard de la Loi ou qu’il était très éloigné du lieu où la célébration devait se tenir.
La seule fois où on lit dans les Écritures que cette disposition a été utilisée sur une grande échelle, c’est lorsque le fidèle roi Ézéchias a rétabli l’observance de la fête des Gâteaux sans levain. Les Israélites n’avaient pas le temps de se préparer pour le premier mois (les prêtres n’étaient pas prêts ni le peuple rassemblé), aussi a-t-elle eu lieu le 14e jour du deuxième mois. — 2 Chroniques 29:17; 30:1-5.
Lorsqu’aucune circonstance exceptionnelle de ce genre ne l’exigeait, les Juifs célébraient la Pâque à la date prévue par Dieu (Exode 12:17-20, 41, 42; Lévitique 23:5). Jésus et ses disciples ont célébré cette fête comme le prescrivait la Loi; ils n’ont pas pris à la légère la date fixée. Luc dit à ce propos: “Vint alors le jour des Gâteaux sans levain, où l’on devait sacrifier la victime pascale; et [Jésus] envoya Pierre et Jean, en disant: ‘Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions.’” — Luc 22:7, 8.
C’est à cette occasion que Jésus a institué la célébration annuelle que les chrétiens connaissent sous le nom de Repas du Seigneur. On ne saurait trop insister sur la nécessité pour les chrétiens d’y assister. Pour les Témoins de Jéhovah, c’est l’événement le plus important de l’année. Ces paroles de Jésus montrent pourquoi: “Continuez à faire ceci en souvenir de moi.” (Luc 22:19). Ainsi, des mois à l’avance, chaque Témoin de Jéhovah devrait prévoir d’être libre de toute autre obligation ce jour-là. Le Repas du Seigneur sera célébré le mardi 6 avril 1993, après le coucher du soleil à l’endroit où l’on se trouve.
Dans de rares cas, un événement imprévu, tel que la maladie ou des complications lors d’un voyage, peut empêcher un chrétien d’assister au Mémorial selon ses projets. Que doit-il faire?
Pendant la célébration, on fait passer le pain sans levain et le vin rouge; en prennent ceux qui ont été oints de l’esprit saint de Dieu et choisis pour vivre au ciel (Matthieu 26:26-29; Luc 22:28-30). Si un chrétien qui prend chaque année les emblèmes se trouve alité, que ce soit chez lui ou à l’hôpital, les anciens de la congrégation locale prendront des dispositions pour que l’un d’entre eux apporte un peu du pain et du vin au malade, examine les textes bibliques appropriés au sujet et lui présente les emblèmes. Si un chrétien oint est éloigné de sa congrégation, il doit prendre des dispositions pour assister au Mémorial dans une congrégation proche du lieu où il se trouvera à ce moment-là.
En conséquence, ce ne devrait être que dans des circonstances exceptionnelles qu’un chrétien oint célèbre le Repas du Seigneur 30 jours après (un mois lunaire), cela en accord avec l’ordre formulé en Nombres 9:10, 11 et l’exemple fourni en 2 Chroniques 30:1-3, 15.
Ceux qui appartiennent à la classe des autres brebis de Jésus et qui ont l’espérance de vivre éternellement dans le paradis terrestre n’ont pas reçu l’ordre de prendre du pain et du vin (Jean 10:16). Il est, certes, important pour eux d’assister à cette célébration annuelle, mais ils n’ont pas part aux emblèmes. Par conséquent, si l’un d’entre eux est malade ou en voyage, et donc éloigné de toute congrégation ce soir-là, il peut, pour lui-même, lire les parties de la Bible appropriées (y compris le récit où Jésus institue la célébration) et prier pour que Jéhovah bénisse cet événement dans le monde entier. Toutefois, dans ce cas il est inutile de prendre d’autres dispositions en vue d’une réunion ou d’un examen particulier de la Bible un mois plus tard.

Josué

Josué
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[size=16]Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Comment montrer que nous reconnaissons la direction de Dieu ? “ Obéissez à ceux qui vous dirigent et soyez soumis ”, a exhorté l’apôtre Paul (Héb. 13:17). Pas toujours facile, n’est-ce pas ? Maintenant, mettez-vous à la place d’un Israélite. Vous marchez depuis un moment quand la colonne s’arrête. Combien de temps va-t-elle rester à cet endroit ? Un jour ? Une semaine ? Plusieurs mois ? Vous vous demandez s’il vaut la peine de déballer toutes vos affaires. Dans un premier temps, vous ne sortez que le strict nécessaire. Mais au bout de quelques jours, fatigué d’avoir à fouiller pour trouver quelque chose, vous décidez de défaire tous vos bagages. Et là, alors que vous avez presque fini, vous voyez la colonne s’élever ! Il vous faut refaire tous vos bagages. Rien de très agréable. Il n’empêche que les Israélites devaient lever le camp “ aussitôt après ”. — Nomb. 9:17-22.
Comment réagissons-nous quand nous recevons des instructions de Dieu ? Nous efforçons-nous de les appliquer “ aussitôt après ” ? Ou bien continuons-nous à agir comme nous en avons l’habitude ? Nous montrons également que nous reconnaissons la direction de Dieu en acceptant les conseils. Lorsque nous devons prendre des décisions qui portent à conséquence, nous ne nous appuyons pas sur notre sagesse personnelle, mais nous recherchons la direction de Jéhovah et de son organisation. Et tout comme des enfants se réfugient auprès de leurs parents quand souffle une tempête, nous cherchons protection auprès de l’organisation de Jéhovah quand les problèmes de ce monde s’abattent sur nous. TG2011 15/4

Naturellement, ceux qui dirigent la partie terrestre de l’organisation de Dieu ne sont pas parfaits. Moïse ne l’était pas davantage. Pourtant, la colonne rappelait en permanence qu’il avait été choisi par Dieu et bénéficiait de son approbation. Remarquez également qu’il n’appartenait pas à chaque Israélite de décider du moment où il lèverait le camp. Le peuple partait “ sur l’ordre de Jéhovah, transmis par le moyen de Moïse ”. (Nomb. 9:23) C’est donc vraisemblablement Moïse qui donnait le signal du départ.
De nos jours, quand le moment est venu de prendre telle ou telle direction, l’intendant de Jéhovah émet un signal clair. Il le fait au moyen d’articles publiés dans La Tour de Garde et dans Le ministère du Royaume, ou encore de nouvelles publications et de discours prononcés aux assemblées. Il communique aussi des instructions aux congrégations par l’intermédiaire de surveillants itinérants, de lettres ou d’écoles auxquelles sont invités les frères qui assument des responsabilités théocratiques. Les signes de la direction divine sont-ils pour vous bien visibles ? Durant les derniers jours, grâce à son organisation, Jéhovah nous guide dans ce désert qu’est le monde de Satan. De ce fait, nous vivons dans l’unité, l’amour et la sécurité. TG2011 15/4

Le déplacement de ce vaste camp d’un lieu à un autre (en Nombres 33, Moïse répertorie environ 40 de ces campements) témoignait aussi d’une organisation extraordinaire. Aussi longtemps que le nuage était au-dessus du tabernacle, le camp demeurait sur place. Dès que le nuage se déplaçait, le camp se déplaçait aussi. “ Sur l’ordre de Jéhovah ils campaient et sur l’ordre de Jéhovah ils partaient. ” (Nb 9:15-23). Deux trompettes d’argent martelé transmettaient ces ordres divins à l’ensemble du camp (Nb 10:2, 5, 6). Des sonneries modulées particulières signalaient la levée du camp. Cela eut lieu pour la première fois “ dans la deuxième année [1512 av. n. è.], au deuxième mois, le vingtième jour ”. S’ébranla alors, l’arche de l’alliance en tête — Nb 10:11-28.
“ Ils partirent donc de la montagne de Jéhovah pour trois jours de route [...]. Et le nuage de Jéhovah était au-dessus d’eux. ” (Nb 10:33, 34). Les Écritures ne révèlent ni la longueur de la colonne de marcheurs conduite par le nuage, ni son allure, ni la distance parcourue en un jour. Mais avec leurs petits enfants et leurs troupeaux, les Israélites devaient vraisemblablement se déplacer lentement. Lors de cette marche de trois jours, ils n’installèrent probablement pas le camp selon un plan précis ni ne dressèrent le tabernacle simplement pour passer la nuit ; ils ne durent sortir que le nécessaire pour manger et dormir. It-1 p385

Nous sommes tous convaincus que Jéhovah dirige son peuple et qu’il lui donne ce dont il a besoin pour rester proche de lui durant ces « derniers jours ». Évidemment, c’est à nous de suivre le chemin qu’il nous indique. Nous pouvons comparer notre situation à celle des Israélites dans le désert. Quand ils entendaient les prêtres sonner de la trompette, ils devaient passer à l’action. Jéhovah avait demandé à Moïse de faire deux trompettes en argent martelé « pour convoquer la communauté et pour lever les camps » (Nomb. 10:2). Les prêtres sonnaient de la trompette de différentes façons en fonction de ce que le peuple devait faire (Nomb. 10:3-Cool.
Pareillement, aujourd’hui, les serviteurs de Dieu sont guidés de différentes façons. Quand Jéhovah voulait que « toute la communau » se rassemble devant l’entrée du tabernacle, située à l’est, les prêtre s sonnaient des deux trompettes (Nomb. 10:3). Jéhovah voulait que tous se rassemblent pour écouter les instructions qui leur seraient données. Aujourd’hui, nous ne nous rassemblons pas devant un tabernacle. Mais nous sommes toujours invités à nous réunir. – TG2020/6 p30

Quand les prêtres ne sonnaient que d’une trompette, « seulement les chefs [...] des milliers d’Israël » étaient convoqués devant le tabernacle (Nomb. 10:4). Moïse leur fournissait alors des directives qui les aideraient à assumer leurs responsabilités dans leur tribu. Si tu avais été un de ces chefs, est-ce que tu n’aurais pas fait tout ton possible pour être présent et bénéficier de la formation ? Aujourd’hui, les anciens des assemblées ne sont pas des « chefs » ; ils ne commandent pas en maîtres le troupeau de Dieu qui leur est confié. Ils font de leur mieux pour en prendre soin. C’est pourquoi ils acceptent avec plaisir les formations qui leur sont proposées. Ces cours leur apprennent à mieux assumer leurs responsabilités. Résultat ? La spiritualité de toute l’assemblée s’en trouve renforcée. - TG2020/6 p30

Les prêtres faisaient parfois retentir une sonnerie modulée. Cette sonnerie indiquait que Jéhovah voulait que tout le camp se déplace (Nomb. 10:5, 6). Ce déplacement était un chef-d’œuvre d’organisation, mais pour chaque famille, il représentait beaucoup de travail. Sans doute que, parfois, certains n’étaient pas si contents que cela à l’idée de partir. Pourquoi ? Ils trouvaient peut-être que les sonneries de trompette retentissaient trop souvent et de façon trop imprévisible.
La Bible dit : « Tant que le nuage restait au-dessus du tabernacle, les Israélites campaient. » Mais « parfois, le nuage ne restait que du soir au matin ». Et d’autres fois, il restait « deux jours, un mois ou plus longtemps » (Nomb. 9:21, 22). Combien de fois le camp s’est-il déplacé ? Nombres chapitre 33 mentionne 40 endroits où les Israélites ont campé. Quand les tribus commençaient à partir, certains trouvaient peut-être difficile d’attendre leur tour. Tous avaient entendu la sonnerie de trompette, mais tous ne pouvaient pas partir en même temps. La première sonnerie de trompette modulée signalait que les tribus qui campaient à l’est devaient se mettre en route (Nomb. 2:3-7 ; 10:5, 6). Après leur départ, les prêtres faisaient retentir une deuxième sonnerie modulée pour indiquer aux trois tribus qui campaient au sud qu’il leur fallait partir à leur tour. Ils continuaient ainsi jusqu’à ce que tout le camp se soit mis en marche.
Certains changements organisationnels t’ont-ils paru difficiles à accepter ? Tu t’es peut-être senti submergé parce que tu ne t’y attendais pas et qu’ils étaient nombreux. Ou alors tu étais content des dispositions en place et tu aurais bien voulu qu’elles ne changent pas. Quoi qu’il en soit, ta patience a peut-être été mise à l’épreuve, et il t’a fallu du temps pour t’adapter. Toutefois, si nous nous efforçons de réagir à un changement comme il le faut, nous constaterons sans aucun doute que Dieu nous bénit. - TG2020/6 p30
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131Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 16 Mar - 16:34

Josué

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 w95 1/3 p. 15-16 § 10 Fidèles à l’offrande de soi “jour après jour” ***
Pour commencer, Paul nous recommande de ne pas ‘désirer des choses mauvaises’. (1 Corinthiens 10:6.) Cela peut nous faire penser à cet épisode où les Israélites se sont plaints d’avoir de la manne pour toute nourriture. Jéhovah leur a envoyé des cailles. Une situation similaire était survenue environ un an plus tôt dans le désert de Sin, peu avant que les Israélites déclarent se vouer à Jéhovah (Exode 16:1-3, 12, 13). Mais la situation n’était pas tout à fait la même. Lorsque Jéhovah leur avait envoyé des cailles la première fois, il n’avait pas demandé des comptes aux Israélites pour leurs murmures. Cette fois-là, cependant, il en allait autrement. “La viande était encore entre leurs dents, avant qu’elle fût mâchée, quand la colère de Jéhovah flamba contre le peuple, et Jéhovah se mit à frapper le peuple par un très grand carnage.” (Nombres 11:4-6, 31-34). Qu’est-ce qui avait changé? Étant une nation vouée à Dieu, les Israélites avaient à présent des comptes à rendre. Manquant de gratitude pour les dispositions de Jéhovah, ils se sont plaints de Dieu, alors qu’ils avaient promis de faire tout ce que Jéhovah avait dit! À notre époque, se plaindre de la table de Jéhovah revient au même. Certains n’accordent pas de prix aux dispositions d’ordre spirituel que Jéhovah prend par l’entremise de “l’esclave fidèle et avisé”. (Matthieu 24:45-47.) Souvenons-nous donc que l’offrande de notre personne suppose qu’avec gratitude nous ne perdions jamais de vue ce que Jéhovah a fait en notre faveur et que nous appréciions la nourriture spirituelle qu’il nous donne.

132Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 22 Mar - 8:59

Josué

Josué
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 w11 15/7 p. 10-12 § 4-7 Vous laisserez-vous guider par Jéhovah ? ***
Nous risquons à tout moment d’être incités à suivre la foule. Cette pression se fait parfois sentir tout à coup, et il peut être très difficile d’y résister. Songez par exemple à ce que Josué et Caleb ont un jour vécu. Ils faisaient partie des 12 espions envoyés en Terre promise. Une fois de retour, dix d’entre eux ont tenu des propos négatifs et décourageants. Ils ont même affirmé que certains habitants du pays étaient des géants qui descendaient des Nephilim, hybrides nés de l’union entre des anges rebelles et des femmes (Gen. 6:4). Cette affirmation était absurde. Les Nephilim avaient été supprimés lors du déluge, des siècles auparavant, et ils n’avaient pas eu d’enfants. Malheureusement, même des déclarations non fondées parviennent à influencer ceux qui manquent de foi. Le compte rendu négatif de ces dix espions a rapidement semé la panique chez les Israélites. La plupart en ont bientôt conclu que ce serait une erreur d’entrer en Terre promise, alors que Jéhovah les y invitait. Dans cette situation pour le moins tendue, qu’ont fait Josué et Caleb ? — Nomb. 13:25-33.
  Ils n’ont pas suivi la foule. Ils ont défendu la vérité, même quand on les a menacés de mort. D’où tiraient-ils leur courage ? En grande partie de leur foi. Les hommes de foi voient clairement la différence entre les opinions humaines non fondées et les promesses sacrées de Jéhovah Dieu. Les deux hommes ont plus tard exprimé leur confiance en Jéhovah, affirmant qu’il réalise la moindre de ses promesses. (Lire Josué 14:6, 8 ; 23:2, 14.) Josué et Caleb étaient attachés à Dieu et n’ont jamais envisagé de suivre la foule incrédule, ce qui les aurait conduits à le décevoir. Ils sont restés fermes et sont donc pour nous d’excellents exemples. — Nomb. 14:1-10.
  Vous arrive-t-il d’être tenté de suivre la foule ? Les gens qui ne se soucient pas de Jéhovah et qui méprisent ses normes morales constituent assurément une foule immense de nos jours. En matière de divertissements, cette foule exprime souvent des points de vue non fondés. Elle affirme que l’immoralité sexuelle, la violence et le spiritisme — omniprésents dans les émissions télévisées, dans les films ou dans les jeux vidéo — sont totalement inoffensifs (2 Tim. 3:1-5). Lorsque votre famille et vous souhaitez vous détendre, permettez-vous au laxisme ambiant d’influencer vos décisions et de modeler votre conscience ? Agir ainsi ne reviendrait-il pas à suivre la foule ?
  Pour nous aider à prendre des décisions, Jéhovah nous a fait un don précieux : nos “ facultés de perception ”. Nous devons cependant développer ces facultés “ par l’usage ”. (Héb. 5:14.) Suivre la foule n’est pas le moyen d’y parvenir, pas plus que recourir à un arsenal de règles strictes sur des questions faisant normalement appel à la conscience. Voilà pourquoi l’on ne fournit pas aux serviteurs de Jéhovah une longue liste de films, de livres ou de sites Internet à bannir. Étant donné la vitesse à laquelle le monde évolue, une telle liste ne resterait pas longtemps à jour (1 Cor. 7:31). Mais surtout, elle nous conduirait à négliger une démarche essentielle, celle qui consiste à nous livrer à un examen attentif des principes bibliques et à prier avant de prendre une décision. — Éph. 5:10.

133Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 29 Mar - 8:25

Mikael

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La présomption conduit au déshonneur ***
3 Ce n’est pas pour rien que les Écritures disent : “ La présomption est-elle venue ? Alors viendra le déshonneur ; mais la sagesse est avec les modestes. ” (Proverbes 11:2). L’examen de quelques exemples bibliques illustrant cette vérité nous fera toucher du doigt le danger qu’il y a à passer certaines bornes. Voyons donc comment les trois hommes mentionnés plus haut ont sombré dans le déshonneur pour avoir agi présomptueusement par envie, ambition ou impatience.
Qorah, un rebelle dévoré par l’envie
4 Qorah est un Lévite qehathite, cousin de Moïse et d’Aaron. Visiblement fidèle à Jéhovah depuis plusieurs dizaines d’années, il a eu le privilège de vivre le passage miraculeux de la mer Rouge et sans doute a-t-il participé, au mont Sinaï, à l’exécution du jugement divin contre les Israélites adorateurs du veau (Exode 32:26). Or, le voilà qui prend la tête d’une insurrection à laquelle se rallient les Rubénites Dathân, Abiram et Ôn, ainsi que 250 chefs israélites. “ C’en est assez de vous, interpellent-ils Moïse et Aaron, car toute l’assemblée, eux tous sont saints, et Jéhovah est au milieu d’eux. Pourquoi donc vous élevez-vous au-dessus de la congrégation de Jéhovah ? ” — Nombres 16:1-3.
5 Pourquoi Qorah se rebelle-t-il après des années de fidélité ? Moïse, ‘ de beaucoup le plus humble de tous les hommes qui sont sur la surface du sol ’, ne dirige pourtant pas Israël en despote (Nombres 12:3). Non, mais sans doute Qorah envie-t-il la position éminente de Moïse et d’Aaron et, aveuglé par l’amertume, il accuse les deux frères de s’être élevés arbitrairement au-dessus de la congrégation par intérêt personnel. — Psaume 106:16.
6 Qorah ne se complaît pas dans les responsabilités que Dieu lui a attribuées, et c’est sûrement là que le bât blesse. Les Lévites qehathites, il est vrai, ne sont pas tous prêtres, mais ils enseignent tout de même la Loi de Dieu. Certains d’entre eux également transportent le mobilier et les ustensiles du tabernacle, tâche non négligeable quand on sait qu’elle exige la pureté cérémonielle et morale (Isaïe 52:11). Voilà pourquoi Moïse rétorque en quelque sorte à Qorah : ‘ Accordes-tu si peu d’importance à ta fonction qu’il te faille aussi la prêtrise ? ’ (Nombres 16:9, 10). Le Qehathite n’a pas compris que le plus grand honneur n’est pas d’accéder à une position particulière, mais de servir Jéhovah avec fidélité en respectant la structure qu’il a mise en place. — Psaume 84:10.
7 Moïse convoque Qorah et ses partisans pour le lendemain matin à la tente de réunion : qu’ils apportent des récipients à feu et de l’encens. Or ces hommes ne sont pas prêtres ; il leur est donc théoriquement interdit d’offrir de l’encens. S’ils viennent ainsi équipés après avoir eu toute la nuit pour réfléchir, il sera clair qu’ils continuent à penser qu’ils ont le droit de servir comme prêtres. Quand ils se présentent au rendez-vous le lendemain, Jéhovah déverse sur eux sa légitime fureur. Pour ce qui est des Rubénites, ‘ la terre ouvre sa bouche et les engloutit ’. Les autres, y compris Qorah, sont consumés par un feu venant de Dieu (Deutéronome 11:6 ; Nombres 16:16-35 ; 26:10). Sa présomption a conduit Qorah au pire déshonneur qui soit : la désapprobation divine.

134Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 6 Avr - 18:04

Josué

Josué
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 Jéhovah est ma part ” ***
“ C’est moi qui suis ta part et ton héritage au milieu des fils d’Israël. ” — NOMB. 18:20.
APRÈS la conquête d’une bonne partie de la Terre promise, Josué s’est mis en devoir de répartir le pays par le sort. Il a bénéficié pour cela de l’aide du grand prêtre Éléazar et des chefs de tribus (Nomb. 34:13-29). Contrairement aux autres Israélites, les Lévites ne devaient recevoir aucun héritage territorial, aucune part, en Terre promise (Jos. 14:1-5). Pourquoi ? Étaient-ils des laissés-pour-compte ?
2 On trouve la réponse dans les paroles que Jéhovah avait adressées à Aaron au sujet des Lévites : “ C’est moi qui suis ta part et ton héritage au milieu des fils d’Israël. ” (Nomb. 18:20).

 w11 15/9 p. 7-8 “ Jéhovah est ma part ” 
Jéhovah prend soin de la tribu de Lévi
3 Avant que la Loi ne soit donnée aux Israélites, c’étaient les chefs de famille qui leur servaient de prêtres. Lorsqu’il a institué la Loi, Jéhovah a décrété que les prêtres qui exerceraient leurs fonctions à plein temps et ceux qui les aideraient seraient de la tribu de Lévi. Quelles étapes ont conduit à ce changement ? Lorsqu’il a fait mourir les premiers-nés d’Égypte, Jéhovah a sanctifié — ou mis à part pour son service — les premiers-nés d’Israël, qui sont devenus sa propriété. Puis il a ordonné que les Lévites le servent “ à la place de tous les premiers-nés parmi les fils d’Israël ”. Un recensement ayant montré que le nombre des fils premiers-nés d’Israël excédait le nombre des Lévites, un prix de rachat a dû être payé pour compenser la différence (Nomb. 3:11-13, 41, 46, 47). Les Lévites ont alors pu accomplir leur service pour le Dieu d’Israël.
4 Jéhovah avait dit aux Lévites qu’il serait leur part. En quel sens ? Il leur confierait des fonctions particulières à son service au lieu de leur donner un territoire en héritage. “ La prêtrise de Jéhovah ” serait leur héritage (Jos. 18:7). Le contexte de Nombres 18:20 montre qu’ils ne s’en trouveraient pas lésés matériellement. (Lire Nombres 18:19, 21, 24.) Ils devaient recevoir “ pour héritage [...] tout dixième en Israël, en échange de leur service ”, autrement dit 10 % des produits de la terre et 10 % des animaux domestiques qui viendraient grossir le troupeau. À leur tour, les Lévites devaient offrir un dixième de ce qu’ils recevaient, ‘ de ce qu’il y avait de meilleur ’, pour subvenir aux besoins des prêtres (Nombres 18:25-29). On donnait aussi aux prêtres “ toutes les saintes contributions ” que les fils d’Israël apportaient à Dieu. Les membres de la prêtrise avaient donc de bonnes raisons de croire que Jéhovah prendrait soin d’eux.
5 Il semble que la Loi mosaïque prévoyait une dîme supplémentaire, qu’on mettait de côté pour assurer l’alimentation et le confort des familles israélites à l’occasion des fêtes annuelles (Deut. 14:22-27). Toutefois, à la fin de la troisième et de la sixième année de chaque cycle sabbatique de sept ans, cette dîme était mise à la disposition des pauvres et des Lévites. Pourquoi les Lévites en bénéficiaient-ils ? Parce qu’ils n’avaient “ ni part ni héritage ” en Israël. — Deut. 14:28, 29.
6 Puisque les Lévites n’avaient hérité d’aucun territoire, où habitaient-ils ? Dieu leur a attribué 48 villes ainsi que leurs terrains de pâture. Dans ce nombre étaient comprises les six villes de refuge (Nomb. 35:6-Cool. Les Lévites avaient donc un endroit où demeurer lorsqu’ils ne servaient pas au sanctuaire. Jéhovah était généreux à l’égard de ceux qui se consacraient à son service. Les Lévites pouvaient montrer qu’il était leur part en ne doutant ni de sa volonté ni de sa capacité de subvenir à leurs besoins.
7 La Loi ne sanctionnait pas celui qui ne donnait pas la dîme. Mais lorsque le peuple négligeait de la payer, les prêtres et les Lévites en pâtissaient. C’est ce qui s’est produit à l’époque de Nehémia : les Lévites, obligés d’aller travailler dans leurs champs, ont délaissé leurs fonctions au temple. (Lire Nehémia 13:10.) De toute évidence, la subsistance de la tribu de Lévi dépendait de la bonne spiritualité de la nation. Il fallait en outre que les prêtres et les Lévites cultivent la foi en Jéhovah et dans les dispositions qu’il avait prises à leur intention.

135Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 12 Avr - 8:40

Josué

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w87 15/10 p. 30-31 Questions des lecteurs ***
Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 1x1 Quelle faute fit perdre à Moïse le privilège d’entrer en Terre promise? Celle d’avoir frappé le rocher et non de lui avoir simplement parlé, ou celle de ne pas avoir glorifié Jéhovah Dieu?
Il semble que la faute de Moïse ne fut pas simplement d’avoir frappé le rocher au lieu de lui parler, comme Dieu le lui avait dit.
Vers la fin de leurs 40 années de pérégrinations, les Israélites campèrent à Cadès-Barnéa, dans le désert de Zin (ou Paran). Ils avaient déjà séjourné là quelques décennies auparavant, probablement parce que dans cette région trois sources arrosent une oasis verdoyante, comme l’illustre la page suivante. Mais en cette occasion, l’eau se faisant rare, le peuple ne trouva peut-être pas beaucoup de nourriture. Il se prit donc de querelle avec Moïse, le représentant de Jéhovah, et dit: “Pourquoi nous avez-vous fait monter d’Égypte pour nous amener en ce lieu sinistre? Ce n’est pas un lieu de semailles et de figues, de vignes et de grenades, et il n’y a pas d’eau à boire.” — Nombres 20:5.
Dieu parla alors en ces termes à Moïse, et à Aaron: “Prends le bâton et convoque l’assemblée, (...) et vous devrez parler au rocher, devant leurs yeux, pour qu’il donne vraiment son eau; et tu devras faire sortir pour eux de l’eau du rocher et donner à boire à l’assemblée et à ses bêtes de somme.” (Nombres 20:Cool. Que se passa-t-il ensuite?
“Moïse et Aaron convoquèrent la congrégation devant le rocher, et il leur dit: ‘Entendez donc, rebelles! Est-ce de ce rocher que nous ferons sortir de l’eau pour vous?’ Là-dessus Moïse leva sa main et frappa deux fois le rocher avec son bâton, et il commença à en sortir de l’eau en abondance.” — Nombres 20:10, 11.
Certains ont fait remarquer que Dieu avait demandé à Moïse et à Aaron de “parler au rocher”, mais que Moïse “frappa deux fois le rocher”. Cette différence déplut-elle à Jéhovah au point de déclarer à Moïse et à Aaron qu’il ne leur permettrait pas de conduire Israël en Terre promise?
Il ne semble pas que ce soit le cas. En effet, quelques mois seulement après l’Exode, le peuple s’était plaint une première fois du manque d’eau près du mont Sinaï (Horeb), à l’endroit qui fut appelé par la suite Mériba, et voici ce que Dieu avait dit à Moïse en cette occasion: “Je me tiens devant toi, là, sur le rocher, en Horeb. Et tu devras frapper sur le rocher, et il devra en sortir de l’eau, et le peuple devra la boire.” (Exode 17:2-7; 33:6). À Cadès, quand Moïse reçut l’ordre de parler au rocher, il fut donc peut-être porté à agir comme il l’avait fait auparavant sous la direction divine, bien qu’en cette occasion Dieu ait considéré qu’il lui suffirait de parler au rocher.
Il fallait, semble-t-il, davantage pour provoquer le jugement divin contre Moïse et Aaron. De quoi peut-il bien s’agir? Moïse déclara aux Israélites qui lui cherchaient querelle: “Est-ce de ce rocher que nous ferons sortir de l’eau pour vous?” Psaume 106:33 précise que le peuple aigrit l’esprit de Moïse, lequel “se mit à parler légèrement de ses lèvres”. Dans sa colère, il attira l’attention du peuple sur lui et sur Aaron plutôt que sur Celui qui pouvait vraiment lui fournir miraculeusement de l’eau. C’est pourquoi, juste avant que Moïse ne meure à la frontière de la Terre promise, Dieu rappela cet incident et indiqua que la faute de Moïse avait été de ne pas ‘sanctifier Dieu devant les yeux du peuple’. — Nombres 27:12-14.
Nous pouvons tirer une leçon de cet épisode du passé. S’il est important que nous nous retenions d’agir sous l’empire de la colère, il est tout aussi important que nous maîtrisions notre esprit, particulièrement quand nos compagnons commettent des erreurs. Si nous nous emportons, nous risquons de commencer à considérer les serviteurs de Dieu sur la base de critères humains, au lieu de reconnaître qu’ils sont toujours les “brebis” de Dieu. Certes, ils sont imparfaits et font parfois des choses irritantes, mais ils n’en sont pas moins “son peuple et les brebis de son pâturage”. (Psaume 100:3.) Dieu a laissé son Fils mourir pour eux; ne devons-nous donc pas nous efforcer d’être patients envers eux, en nous intéressant moins à nos sentiments et à nos intérêts qu’à la position qu’ils occupent devant Dieu?

136Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 19 Avr - 8:44

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 w07 15/10 p. 18-19 “ Les navires de Kittim ” sillonnent les mers ***
Balaam faisait allusion aux navires de Kittim dans sa “ parole proverbiale ”. (Nombres 24:15, 24.) Les vaisseaux chypriotes étaient apparemment bien connus au Proche-Orient. Mais à quoi ressemblaient-ils ?
Les navires marchands
On a retrouvé dans des caveaux de l’ancienne ville d’Amathus, à Chypre, beaucoup de modèles de bateaux en argile. Ils donnent de précieux renseignements sur les différents types de vaisseaux chypriotes, et certains sont exposés dans des musées.
Ces modèles révèlent que les premiers bateaux étaient manifestement réservés à un commerce pacifique. Les plus petits étaient généralement propulsés par 20 rameurs. Leurs cales, larges et profondes, convenaient parfaitement au transport de marchandises et de passagers sur de courtes distances, tout autour des côtes de Chypre. Pline l’Ancien confirme que les Chypriotes avaient conçu un bateau petit et léger, propulsé à la rame et qui avait une capacité de charge allant jusqu’à 90 tonnes.
En outre, ils ont fabriqué de plus grands navires marchands, comme celui qui a été découvert aux abords de la côte turque. Certains naviguaient en haute mer avec une cargaison de 450 tonnes. Les gros bateaux comptaient jusqu’à 50 rameurs, 25 de chaque côté ; ils mesuraient 30 mètres de long et étaient dotés d’un mât de plus de 10 mètres.
Les navires de guerre de “ Kittim ” dans les prophéties bibliques
L’esprit de Jéhovah a suscité cette déclaration : “ Il y aura des navires de la côte de Kittim ; à coup sûr, ils affligeront l’Assyrie. ” (Nombres 24:2, 24). Cette prédiction s’est-elle réalisée ? Quel rôle les vaisseaux de Chypre ont-ils joué dans son accomplissement ? Ces “ navires de la côte de Kittim ” n’étaient pas des vaisseaux marchands inoffensifs qui sillonnaient la Méditerranée. C’étaient des navires de combat qui semaient le malheur.
Les besoins de la guerre évoluant, les modèles de base ont été adaptés de façon à produire des vaisseaux plus rapides et plus puissants. Ce sont probablement les premiers bâtiments de guerre chypriotes qui figurent sur une peinture découverte à Amathus. Elle représente un navire long et effilé avec une poupe relevée et incurvée vers l’intérieur, semblable à un vaisseau de combat phénicien. Ce bateau est doté d’un éperon et de boucliers ronds répartis de chaque côté, près de la poupe et vers la proue.
Le VIIIe siècle avant notre ère a vu apparaître en Grèce les premières birèmes (bateaux à deux rangs de rames). Ces galères mesuraient 24 mètres de long et 3 mètres de large. Au départ, elles servaient au transport des fantassins, car le combat à proprement parler se déroulait sur la terre ferme. Mais on n’a pas tardé à s’apercevoir combien il était avantageux de passer à trois rangs de rames et de munir la proue d’un éperon recouvert de bronze. Ce prototype fut connu sous le nom de trirème, comme indiqué en introduction. Les navires de ce genre sont devenus célèbres grâce à la bataille de Salamine (en 480 avant notre ère), quand les Grecs ont vaincu la marine perse.
Plus tard, dans sa quête de pouvoir, Alexandre le Grand a mobilisé sa flotte de trirèmes à l’est. Ces navires étaient destinés à la bataille et non aux longs voyages en pleine mer, car ils ne disposaient que de peu d’espace pour le stockage des provisions. De ce fait, ils devaient faire escale dans les îles égéennes pour se ravitailler et réparer les avaries. L’objectif d’Alexandre était l’anéantissement de la flotte perse. Pour réussir, cependant, il devait d’abord prendre l’impressionnante île forteresse de Tyr. En chemin, il a fait une halte à Chypre.
Les Chypriotes se sont rangés à ses côtés durant le siège de Tyr (en 332 avant notre ère) et lui ont fourni une flotte de 120 navires. Trois rois de Chypre ont rallié leur flotte à celle d’Alexandre. Ils ont participé au siège de Tyr, qui a duré sept mois. Tyr est tombée, et la prophétie de la Bible s’est accomplie (Ézékiel 26:3, 4 ; Zekaria 9:3, 4). En signe de reconnaissance, Alexandre a accordé aux rois chypriotes une autorité élargie.
Un accomplissement remarquable
Strabon, historien du Ier siècle, rapporte qu’Alexandre s’est assuré l’appui des bateaux de Chypre et de la Phénicie pour sa campagne d’Arabie. Ils étaient légers et faciles à démonter, si bien qu’ils ont atteint Thapsaque (Tiphsah) au nord de la Syrie en à peine sept jours (1 Rois 4:24). À partir de là, ils pouvaient descendre le fleuve jusqu’à Babylone.
Ainsi, une déclaration biblique qui semblait énigmatique a connu un accomplissement remarquable quelque dix siècles plus tard ! Conformément aux paroles de Nombres 24:24, la

137Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 26 Avr - 9:14

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 w02 15/10 p. 29 Les chrétiens devraient-ils être jaloux ? ***
Peu avant d’entrer en Terre promise, bon nombre d’Israélites qui campaient dans les plaines de Moab ont suivi des femmes moabites et madianites dans l’immoralité et l’idolâtrie. Afin de purifier le camp et d’apaiser la colère ardente de Jéhovah, les juges d’Israël ont reçu l’ordre de tuer tous les hommes qui avaient ainsi dévié. Animé d’intentions immorales, le chef siméonite Zimri a osé introduire dans le camp Kozbi, une Madianite, “ sous les yeux de toute l’assemblée des fils d’Israël ”. Phinéas a agi avec fermeté : poussé par sa jalousie, son zèle, pour le culte de Jéhovah, et par son désir de maintenir la pureté morale du camp, il a exécuté les fornicateurs dans leur tente. Il a été loué pour sa “ colère jalouse ”, pour ‘ n’avoir toléré aucune rivalité ’ avec Jéhovah. Son intervention immédiate a mis fin au fléau punitif qui avait déjà emporté 24 000 âmes. Résultat, Jéhovah l’a récompensé en contractant avec lui une alliance de prêtrise qui resterait dans sa lignée pour des temps indéfinis. — Nombres 25:4-13 ; The New English Bible.

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*** w02 1/12 p. 12 Les souvenirs de Josué ***
À l’approche de sa mort, Moïse a demandé à Dieu de lui préposer un successeur, afin que les Israélites ne deviennent pas “ comme des brebis qui n’ont pas de berger ”. Le choix de Jéhovah ? Josué, “ homme en qui il y a de l’esprit ”, devait être établi dans cette charge sous les yeux de toute l’assemblée. Tous devaient l’écouter. Quelle recommandation ! Jéhovah avait vu la foi et les capacités de Josué. Israël n’aurait pu être confié à des mains plus qualifiées (Nombres 27:15-20). Néanmoins, Moïse savait que Josué rencontrerait des difficultés gigantesques. Il a donc invité son successeur à se montrer “ courageux et fort ”, car Jéhovah resterait avec lui. — Deutéronome 31:7, 8.
Dieu en personne a répété le même encouragement à Josué, en ajoutant : “ Pour avoir soin de faire selon toute la loi que t’a ordonnée Moïse mon serviteur. Ne t’en écarte ni à droite ni à gauche, afin d’agir sagement partout où tu iras. Ce livre de la loi ne doit pas s’éloigner de ta bouche ; il faudra que tu y lises à voix basse jour et nuit, afin d’avoir soin de faire selon tout ce qui y est écrit ; car alors tu feras réussir ta voie et alors tu agiras sagement. Ne t’ai-je pas donné ordre ? Sois courageux et fort. Ne tremble pas et ne sois pas terrifié, car Jéhovah ton Dieu est avec toi partout où tu iras. ” — Josué 1:7-9.
Avec les paroles de Jéhovah qui résonnaient à ses oreilles et l’expérience qu’il avait déjà acquise, comment Josué aurait-il douté ? Le pays serait conquis. Certes, des difficultés se présenteraient, dont l’une des premières, et pas la moindre, serait la traversée du Jourdain en crue. Mais Jéhovah lui-même avait donné cet ordre : “ Lève-toi, traverse le Jourdain. ” Dès lors, où était le problème ? — Josué 1:2.
Les événements suivants de la vie de Josué (la conquête de Jéricho, l’assujettissement progressif des ennemis et la répartition du pays) attestent qu’il n’a jamais perdu de vue les promesses de Dieu. Vers la fin de ses jours, alors que Jéhovah avait livré à Israël les derniers de ses ennemis, Josué a rassemblé le peuple pour passer en revue avec lui les manières d’agir de Dieu et l’inciter à le servir de tout cœur. En conséquence, Israël a renouvelé solennellement son alliance avec Jéhovah et, sans aucun doute inspiré par l’exemple de son guide, “ Israël servit Jéhovah durant tous les jours de Josué ”. — Josué 24:16, 31.
Josué constitue un exemple pour nous. Les chrétiens de notre époque voient leur foi éprouvée de bien des façons. Il est indispensable de surmonter les épreuves si l’on veut garder l’approbation de Jéhovah et finalement hériter de ses promesses. La réussite de Josué dépendait de la solidité de sa foi. Il est vrai que nous n’avons pas vu, comme lui, des actes de puissance de Dieu, mais, si quelqu’un doutait, le livre biblique qui porte le nom de Josué renferme un témoignage oculaire que la parole de Jéhovah est digne de foi. Comme Josué, nous aurons sagesse et réussite si nous lisons la Parole de Dieu chaque jour et si nous prenons soin de la mettre en pratique.
Êtes-vous parfois blessé par la conduite d’autres chrétiens ? Pensez à l’endurance de Josué pendant les 40 années où il a été obligé, alors qu’il n’y était pour rien, d’errer dans le désert avec des compagnons sans foi. Avez-vous du mal à affirmer vos croyances ? Rappelez-vous Josué et Caleb. Leur foi et leur obéissance leur ont valu une récompense magnifique. Oui, Josué avait foi que Jéhovah réaliserait toutes ses promesses. Qu’il en soit de même en ce qui nous concerne ! — Josué 23:14.

139Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 4 Mai - 11:45

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[size=33]Libation DICTIONNAIRE ENCYCLOPÉDIQUE DE LA BIBLE DE AUGUSTIN CALMET Westphal[/size]
Libamen, libamentum. Ces termes sont consacrés dans le langage de l’Écriture, pour marquer l’effusion des liqueurs, du vin, par exemple, que l’on répandait sur les victimes immolées au Seigneur (Lévitique 23.13 Nombres 15.5). La mesure du vin pour les libations était la quatrième partie du hin ; c’est-à-dire une pinte, un poisson, cinq pouces cubes et un peu plus.
Chez les Hébreux les libations se faisaient sur la victime déj à immolée, et sur les pièces de l’hostie posée sur l’autel, et prête à être consumée par les flammes. Voyez le Lévitique (Lévitique 6.20 ; 8.25-26 ; 9.4. ; 16.12, 20 ; 23.13). Moïse, après avoir immolé les victimes qui devaient servir à la consécration d’Aaron son frère, prit la graisse, la queue de la brebis, ou du bélier, la graisse qui couvre les reins, l’enveloppe qui couvre le foie, les deux reins, avec la graisse qui les couvre, et l’épaule droite de l’animal ; et prenant de la corbeille un pain sans levain, un gâteau pétri avee l’huile, et un tourteau, il les rangea sur les graisses de l’hostie, et sur l’épaule droite de la victime, et mit le tout sur les mains d’Aaron et de ses fils, qui les élevèrent devant le Seigneur, et Moïse les voyant reçues de leurs mains, les brûla devant le Seigneur, etc.
Ces libations consistaient en offrandes de pain, de vin et de sel ; les offrandes de pain étaient des gâteaux de plusieurs sortes : les uns cuits au four, les autres cuits dans la poële, ou dans une tourtière ; les uns pétris avec de l’huile, les autres frottés d’huile, et les autres frits dans l’huile ; quelquefois c’était de la simple farine, ou du gâteau arrosé d’huile. On en offrait sur l’autel une partie qui devait être consumée avec la victime ; le reste demeurait au prêtre, qui était de service, et se partageait avec les autres prêtres qui étaient actuellement dans le temple : car les offrandes ne se portaient pas et ne se consumaient pas au dehors.
Chez les Grecs et les Latins on offrait aussi des libations avec les sacrifices, mais on les versait sur la tête de la victime, pendant qu’elle était encore en vie. Cela paraît par vingt endroits des anciens. Par exemple, Sinon racontant de quelle manière on l’avait voulu immoler, dit qu’il était entre les mains du sacrificateur, prêt à être égorgé, qu’il était chargé de liens et de guirlandes ou de festons, et qu’on était prêt à répandre sur lui les libations de grains ou de farine salée.
Et Didon, prête à faire un sacrifice, verse le vin entre les cornes de la victime.
Saint Paul dit qu’il est comme une victime toute prête à être immolée, et qu’on a déjà en quelque sorte fait sur lui les libations de farine et de vin accoutumées (2 Timothée 4.6).

140Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 10 Mai - 12:23

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 it-1 p. 369-370 Bracelet de cheville ***
Les mots hébreux rendus par “ chaînettes de chevilles ” (ʼètsʽadhah ; Nb 31:50) et “ chaînettes des pieds ” (tseʽadhah ; Is 3:20) viennent de la racine tsaʽadh, qui signifie “ faire des pas, marcher (d’un pas lent et solennel) ”. (Jr 10:5 ; Pr 7:8.) L’hébreu ʽèkhès (anneau, bracelet de cheville) vient de la racine ʽakhas, qui veut dire “ produire un tintement ” ou “ agiter des anneaux ”. (Is 3:16, 18, notes.) Dans l’Antiquité, au Proche-Orient, on portait couramment des bracelets de chevilles, ornements en formes d’anneaux mis au-dessus des chevilles. Ils étaient souvent en bronze, en or, en argent, en fer, en verre ou en ivoire. Des monuments égyptiens montrent des hommes et des femmes portant des bracelets aux chevilles. En Égypte, bracelets de chevilles et bracelets étaient souvent assortis.
Quand quelqu’un qui portait de lourds bracelets de chevilles marchait, ceux-ci tintaient bruyamment en s’entrechoquant. Parfois, cependant, on mettait des cailloux à l’intérieur d’anneaux creux afin de faire du bruit. On voit encore des jeunes filles arabes porter elles aussi, occasionnellement, des bracelets de chevilles auxquels sont fixées des clochettes. En outre, il arrivait que les femmes accrochent à leurs bracelets de chevilles des chaînettes de chevilles qui les reliaient entre eux. Quand elles marchaient, ces chaînettes tintaient et, bien sûr, chaînettes et bracelets de chevilles attiraient l’attention. Les chaînettes de chevilles ou chaînettes de pieds obligeaient également ces femmes à marcher à pas menus, à pas légers, ce qui était peut-être considéré comme une démarche gracieuse ou distinguée pour une femme. — Is 3:16.
Des “ chaînettes de chevilles ” étaient au nombre des bijoux composant le butin que les Israélites prirent aux Madianites et qu’ils présentèrent comme “ offrande de Jéhovah ”. (Nb 31:50, 51.) Plus tard, il fut dit des orgueilleuses “ filles de Sion ” qu’elles ‘ allaient à petits pas et produisaient un tintement avec leurs pieds ’, autrement dit ‘ agitaient des anneaux à leurs pieds ’. Par l’intermédiaire d’Isaïe, Jéhovah les avertit qu’il leur ôterait leurs ornements et “ la beauté des anneaux ”, ou bracelets de chevilles, ainsi que leurs “ chaînettes des pieds ”. (Is 3:16, 18, 20.) La conquête de Juda et de Jérusalem par les Babyloniens en 607 av. n. è. bouleversa certainement la vie de ces femmes, qui perdirent leurs nombreux ornements ainsi que leur liberté.

141Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 17 Mai - 8:58

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*** w04 1/6 p. 15-16 Bénis sont ceux qui rendent gloire à Dieu ***
Une difficulté qui s’est présentée autrefois
Avant qu’Israël n’entre en Terre promise, les membres de la tribu de Gad ont demandé l’autorisation de s’installer dans le pays propice à l’élevage qui se situait à l’est du Jourdain (Nombres 32:1-5). En vivant à cet endroit, ils se heurteraient à de sérieuses difficultés. Les tribus qui habiteraient à l’ouest seraient protégées par la vallée du Jourdain, qui constituait une barrière naturelle contre les invasions (Josué 3:13-17). Mais, en ce qui concerne les terres à l’est du Jourdain, on lit dans Géographie historique de la Terre sainte (angl.), par George Smith : “ [Elles] s’étendent presque sans aucun obstacle sur le grand plateau d’Arabie. Par conséquent, elles ont de tout temps été exposées à l’invasion de nomades affamés, dont certains les envahissaient chaque année pour y faire paître leurs troupeaux. ”
Comment la tribu de Gad s’accommoderait-elle de cette menace permanente ? Des siècles auparavant, son ancêtre Jacob avait prophétisé sur son lit de mort : “ Quant à Gad, une bande de maraudeurs l’assaillira, mais lui, il assaillira la queue de l’arrière-garde. ” (Genèse 49:19). Au premier abord, ces paroles semblent pessimistes. En réalité, elles revenaient à donner aux Gadites l’ordre de riposter. Jacob leur certifiait que, s’ils contre-attaquaient, leurs assaillants battraient en retraite, humiliés, et eux poursuivraient la queue de leur arrière-garde.
Les difficultés pour adorer Dieu de nos jours
Comme la tribu de Gad, les chrétiens d’aujourd’hui supportent les menaces et les fardeaux que leur impose le système de Satan ; ils n’en sont pas dispensés par une quelconque protection miraculeuse (Job 1:10-12). Nombre d’entre nous subissent des contraintes parce qu’il nous faut aller à l’école, gagner notre vie ou élever des enfants. Sans compter les tensions d’ordre personnel ou les conflits intérieurs. Certains doivent endurer “ une épine dans la chair ” qui revêt la forme d’une infirmité ou d’une maladie grave (2 Corinthiens 12:7-10). D’autres sont abattus par un sentiment d’indignité. “ Les jours funestes ” de la vieillesse empêchent certains chrétiens de servir Jéhovah avec autant de vigueur que par le passé. — Ecclésiaste 12:1.

142Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 31 Mai - 8:34

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Mieux vaut tard que jamais !... Bonne lecture et recherches à tous. Affectueusement.
[size=16]*** w00 1/10 p. 32 Êtes-vous avisé ? ***

LORSQU’IL a établi des juges sur Israël, Moïse s’est efforcé de trouver “ des hommes sages, avisés et expérimentés ”. (Deutéronome 1:13.) L’expérience, liée à l’âge, ne constituait pas le seul critère de sélection ; il était également important que ces hommes soient sages et avisés.
Une personne avisée fait preuve de bon jugement tant dans ses paroles que dans sa conduite. Elle est notamment capable de garder prudemment le silence, car elle sait qu’il y a “ un temps pour parler ” et “ un temps pour se taire ”. (Ecclésiaste 3:7.) Garder le silence est souvent approprié ; la Bible déclare en effet : “ Dans l’abondance des paroles la transgression ne manque pas, mais celui qui retient ses lèvres se montre avisé. ” — Proverbes 10:19.
Les chrétiens veillent également à être avisés dans leurs relations avec autrui. Celui qui parle le plus ou le plus fort n’est pas toujours le plus important ou le plus indispensable. Rappelez-vous que si Moïse était “ puissant dans ses paroles ”, il n’a pu conduire efficacement la nation d’Israël qu’après avoir cultivé la patience, l’humilité et la maîtrise de soi (Actes 7:22). Par conséquent, ceux qui ont reçu une certaine autorité sur autrui doivent particulièrement s’efforcer d’être modestes et de se montrer souples envers les autres. — Proverbes 11:2.
La Bible qualifie de ‘ fidèles et avisés ’ ceux à qui Jésus Christ a confié “ tous ses biens ”. (Matthieu 24:45-47.) Ils n’ont pas la présomption d’aller plus vite que Jéhovah selon leurs caprices, mais ils ne traînent pas non plus les pieds lorsque la volonté de Dieu sur une question est claire. Ils savent quand il est temps de parler et quand il est temps d’attendre en silence que les choses se précisent. Tous les chrétiens feront bien d’imiter non seulement leur foi, mais aussi leur nature avisée. — Hébreux 13:7.

143Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 8 Juin - 7:51

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 w02 1/6 p. 14-15 § 8-11 Prenez plaisir à la justice de Jéhovah ***
8 Pour comprendre le lien entre la justice de Dieu et le salut qu’il accorde avec amour, examinons la Loi qu’il a donnée à la nation d’Israël par l’intermédiaire de Moïse. Incontestablement, la Loi était juste. Dans ses dernières paroles, Moïse a rappelé ceci aux Israélites : “ Quelle est la grande nation qui ait des prescriptions et des décisions judiciaires justes, comme toute cette loi que je mets aujourd’hui devant vous ? ” (Deutéronome 4:Cool. Des siècles plus tard, le roi David d’Israël a déclaré : “ Les décisions judiciaires de Jéhovah sont vérité ; elles se sont révélées justes l’une comme l’autre. ” — Psaume 19:9.
9 Au moyen de la Loi, Jéhovah a exposé explicitement ses normes du bien et du mal. La Loi expliquait en détail comment les Israélites devaient se comporter non seulement dans le domaine religieux, mais aussi dans les affaires, les relations conjugales, les habitudes alimentaires et de santé et, bien sûr, les questions judiciaires. La Loi prévoyait également des sanctions strictes contre les transgresseurs, jusqu’à la peine de mort dans certains cas. Mais les exigences justes de Dieu énoncées dans la Loi constituaient-elles, comme beaucoup le prétendent de nos jours, un fardeau lourd et épuisant pour le peuple, un fardeau qui le privait de liberté et de joie ?
10 Ceux qui aimaient Jéhovah prenaient beaucoup de plaisir à ses lois et à ses décrets justes. Par exemple, non seulement le roi David reconnaissait que les décisions judiciaires de Jéhovah étaient vraies et justes, comme nous l’avons vu, mais il leur était aussi attaché et les admirait. Il a écrit à propos des lois et des décisions judiciaires de Jéhovah : “ Elles sont plus désirables que l’or, oui que beaucoup d’or affiné ; et plus douces que le miel et que le miel qui coule des rayons. En outre, ton serviteur a été averti par elles ; à les garder il y a une grande récompense. ” — Psaume 19:7, 10, 11.
11 Des siècles plus tard, Paul a mentionné un aspect encore plus précieux de la Loi. Il a écrit dans sa lettre aux Galates : “ La Loi est devenue notre précepteur menant à Christ, pour que nous soyons déclarés justes en raison de la foi. ” (Galates 3:24). Aux jours de Paul, un précepteur (pédagogue, Kingdom Interlinear) était un serviteur ou un esclave dans une grande maisonnée. Il était chargé de protéger les enfants et de les conduire à l’école. Pareillement, la Loi protégeait les Israélites des pratiques corrompues des nations environnantes dans le domaine des mœurs et de la religion (Deutéronome 18:9-13 ; Galates 3:23). Par ailleurs, elle rendait les Israélites conscients de leur état de pécheurs et de leur besoin d’être pardonnés et sauvés (Galates 3:19). Le système des sacrifices montrait la nécessité d’un sacrifice rédempteur et constituait un modèle prophétique qui permettrait d’identifier le Messie (Hébreux 10:1, 11, 12). Par conséquent, s’il a manifesté sa justice dans la Loi, Jéhovah l’a fait pour le bien de son peuple et dans la perspective de son salut éternel.

144Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 15 Juin - 8:49

Mikael

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Jéhovah Dieu ne tolère aucune rivalité. Jéhovah exige un attachement exclusif dans la deuxième des Dix Commandements, qu’il écrivit de son doigt. On lit : “Je suis Jéhovah ton Dieu. Tu ne dois jamais avoir d'autres contre ma face ou d'autres dieux pour me défier] [...], car moi, Jéhovah ton Dieu, je suis un Dieu qui exige un attachement exclusif. ” (Dt 5:6-9). En Exode 34:14, la Sainte Bible, par l’abbé Drioux (1884), dit : “ Dieu veut être aimé uniquement ”, c’est-à-dire à l’exclusion des autres, seulement lui. Jésus confirma cette idée dans les propos qu’il tint à un Juif qui voulait le mettre à l’épreuve (Mt 22:37). Jéhovah était à la fois le Dieu et le Roi de la nation d’Israël, le Chef de la religion et de l’État. Si donc un Israélite violait les deux premiers commandements en servant d’autres dieux, il commettait en fait un crime de lèse-majesté, une trahison, le pire des forfaits qui méritait la peine la plus lourde. Un jour, Israël se mit à adorer un faux dieu et adopta une conduite immorale, mais comme Jéhovah exige d’être l’objet d’un attachement exclusif, la nation faillit être exterminée. Elle ne dut son salut qu’à la prompte intervention de Phinéas, petit-fils d’Aaron, qui ne ‘ toléra aucune rivalité ’ avec Jéhovah. — it-1 p222

Quand les Israélites ont pris connaissance des termes de l’alliance de la Loi, qui fait partie des Écrits sacrés appelés la Bible, le commandement suivant leur a été imposé : “ Tu ne dois jamais avoir d’autres dieux contre ma face. ” (Deutéronome 5:7). Combien de personnes s’expriment ici ? Une réponse limpide est fournie enDeutéronome 6:4 : “ Écoute, ô Israël ! Jéhovah notre Dieu est un seul Jéhovah. ” “ Un seul ”, et non trois ! Les Israélites venaient tout juste de quitter l’Égypte, où étaient adorées diverses triades de divinités, comme Osiris, Isis et Horus (représentés ci-contre). C’est pour cette raison qu’il leur était ordonné de n’adorer qu’un seul Dieu. – TG2012 1/3 p23

Mais les Dix Commandements n’interdisent-ils pas de prononcer le nom divin? Aucunement. Bien que beaucoup aient ainsi interprété le troisième commandement, notez ce commentaire de l’Encyclopaedia Judaica (angl.): “Si l’on évite de prononcer le nom divin YHWH, c’est (...) à cause d’une mauvaise compréhension du troisième commandement (Ex. 20:7; Deut. 5:11), comme s’il signifiait: ‘Tu ne dois pas prendre le nom de YHWH ton Dieu en vain’, alors qu’il veut dire en réalité: ‘Tu ne dois pas faire de faux serments par le nom de YHWH ton Dieu5.’” Remarquez que le texte n’interdit pas de “prendre” ou de prononcer le nom de Dieu. Toutefois, même s’il signifiait prendre le nom de Dieu “en vain”, notez ce que déclare le lexique hébreu de Koehler et Baumgartner (all. et angl.) à propos du terme traduit par “en vain” (hébreu lashshawʼ): “Nommer un nom sans raison, (...) faire un mauvais emploi d’un nom6.” Par conséquent, ce commandement n’interdit pas l’emploi du nom de Dieu, mais plutôt son usage impropre.
Si Jéhovah n’avait pas voulu que l’homme prononce son nom, il aurait pu le lui interdire expressément. Pourtant, la Bible n’interdit nulle part d’employer le nom divin de façon digne ou de le prononcer. Les hommes fidèles des temps bibliques employaient librement ce nom. . En réalité, Dieu a souvent condamné ceux qui faisaient oublier son saint nom à son peuple. wi 19-20

La loi relative au sabbat témoignait de l’intérêt que Jéhovah portait au bien-être tant physique que spirituel de son peuple. Non seulement il permettait aux Israélites de se reposer, mais encore il leur offrait l’occasion de s’approcher de leur Créateur et de lui prouver leur amour (Deutéronome 5:12). Il s’agissait d’une journée consacrée exclusivement aux activités spirituelles, notamment le culte en famille, la prière et la méditation de la Loi de Dieu. 
De cette façon, les Israélites n’allaient pas consacrer la totalité de leur temps et de leur énergie à des préoccupations matérielles. Le sabbat leur rappelait que leurs relations avec Dieu étaient ce qui comptait le plus. 
Même si les serviteurs de Dieu ne sont plus tenus d’observer un repos sabbatique de 24 heures, le sabbat demeure bien plus qu’une curiosité historique. Ne nous rappelle-t-il pas que, nous aussi, nous devons accorder la priorité aux activités spirituelles ?– TG2006 15/6

La loi que Jéhovah donna à Israël mettait ce peuple à part et conférait au mariage et à la vie de famille un niveau moral bien plus élevé que ne le faisaient les nations environnantes. Le septième commandement du Décalogue déclarait en termes directs et non équivoques : “ Tu ne dois pas commettre d’adultère. ” (Dt 5:18). Sous la Loi de Moïse, l’adultère entraînait un châtiment très sévère : la mort pour les deux coupables. Les chrétiens ne sont pas sous la Loi de Moïse, mais ils doivent eux aussi s’interdire l’adultère. Commettre l’adultère revient à “ pécher vraiment contre Dieu ”. 
Comment pourrait-on se rendre coupable d’adultère spirituel ? Au sens spirituel est “ adultère ” celui qui est lié à Jéhovah par une alliance et qui se montre infidèle. Ainsi, la nation d’Israël, qui était liée à Dieu par l’alliance de la Loi, se rendit coupable d’adultère spirituel en se livrant à des pratiques de la fausse religion, notamment en participant à des rites rattachés au culte du sexe et en méprisant le septième commandement. De même aujourd’hui, si des chrétiens voués à Jéhovah et admis dans la nouvelle alliance se souillent avec le système de choses actuel, ils commettent un adultère spirituel. — it-1 Adultère

Moïse a dit aux Israélites que les commandements de Jéhovah étaient pour leur bien et que, s’ils y obéissaient, ils resteraient en vie (Deutéronome 5:28-33). C’est pareil aujourd’hui. Tout ce que Jéhovah nous demande de faire va améliorer notre vie. Notre Père, Jéhovah, sait toujours ce qu’il y a de mieux pour nous. – lvs chap1 p4

Jéhovah a clairement précisé qui devait être le destinataire du culte que les Israélites pratiquaient : « Tu ne dois pas avoir d’autres dieux que moi » (Ex. 20:3-5). Les sacrifices qu’ils lui offraient devaient être de la meilleure qualité. Pour ce qui est de la façon de pratiquer le culte, les Israélites ont reçu des instructions précises concernant les sacrifices à Jéhovah ; ils savaient quoi offrir, où l’offrir et comment l’offrir. Les plus de 600 lois qui réglementaient leur vie étaient assorties de cet ordre : « Veillez à faire exactement ce que Jéhovah votre Dieu vous a ordonné. Vous ne devez vous en écarter ni à droite ni à gauche » (Deut. 5:32). Le lieu où les Israélites offraient leurs sacrifices avait-il de l’importance ? Oui. Jéhovah a demandé à son peuple de construire un tabernacle qui est devenu le centre du culte pur. À l’époque, si les Israélites voulaient que Dieu approuve leurs offrandes, ils devaient les apporter au tabernacle. Mais il y avait plus important encore : leurs mobiles ! Les Israélites devaient avoir un amour sincère pour Jéhovah et pour ses normes - rr chap2 p15 §23

En quel sens les Israélites devaient-ils porter la loi de Dieu comme un fronteau entre leurs yeux ?
Jéhovah voulait dire que les Israélites devaient garder en vue tout aussi distinctement la Loi et y prêter autant d’attention que si elle avait été écrite sur une tablette entre leurs yeux et si elle avait été un signe sur leurs mains, de sorte que, où qu’ils regardent et quoi qu’ils fassent, ils aient systématiquement la Loi devant eux. Pourtant, à un moment, après leur retour de Babylone, les Juifs forgèrent une religion formaliste fondée sur des traditions humaines, dans laquelle ils firent une application littérale de cette loi. Ils utilisèrent des bandelettes de parchemin sur lesquelles étaient inscrits quatre passages de l’Écriture, à savoir Exode 13:1-10, 11-16 ; Deutéronome 6:4-9 ; 11:13-21. Plus tard au moins, ils roulèrent ce parchemin dans de petites boîtes en vélin qu’ils s’attachaient au front et au bras gauche. Les hommes les portaient pendant la prière du matin, sauf les jours de fête et le sabbat.
Jésus Christ condamna l’hypocrisie des scribes et des Pharisiens qui, afin d’impressionner leurs semblables par leur justice, élargissaient les boîtes renfermant des passages de l’Écriture qu’ils portaient comme des moyens de protection (Mt 23:2, 5). Le terme grec phulaktêrion, “ phylactère ”, qui désigne ce genre de boîte renfermant des passages de l’Écriture, a le sens premier de poste de garde, de fortification, de sauvegarde ou de protection. On portait donc ces boîtes comme moyen de protection, amulette ou talisman.
En revanche, la Bible dit que ce qu’il faut garder, ce n’est pas une apparence extérieure belle ou pieuse, mais le cœur. Elle souligne également que ce n’est pas le port sur soi de textes bibliques écrits qui est d’un grand secours, mais le fait de préserver la sagesse pratique et la capacité de réflexion, ainsi que l’acquisition de l’intelligence - it-1 p932

La Bible dit : “ Tu devras les attacher [“ ces paroles ” ou commandements divins] comme un signe sur ta main, et elles devront servir de fronteau entre tes yeux ; tu devras les écrire sur les montants de porte de ta maison et sur tes portes. ” (Deutéronome 6:8, 9). Cela ne signifie pas que les parents israélites devaient littéralement écrire les lois de Dieu sur les montants de porte et sur les portes, en attacher une copie sur les mains de leurs enfants, ou la fixer entre leurs yeux. L’idée à retenir, c’est que les parents devaient rappeler sans cesse les enseignements divins à leurs enfants, les dispenser avec constance et régularité pour que les enfants aient l’impression de les avoir sous les yeux en permanence. – TG2005 1/ 4 p12,13

Dans les temps anciens, seuls les membres de certaines classes privilégiées, les scribes de Mésopotamie et d’Égypte par exemple, savaient lire et écrire. Par contre, en Israël tous étaient encouragés à apprendre à lire et à écrire. Bien que devant apparemment être pris au sens figuré, le commandement consigné en Deutéronome 6:8, 9, selon lequel les Israélites devaient écrire sur les montants des portes de leurs maisons, sous-entend qu’ils savaient écrire. Très jeunes, les enfants apprenaient à écrire. Certains spécialistes pensent que le calendrier de Guézer, un des plus anciens exemples d’écriture hébraïque primitive, servait d’exercice de mémoire à un écolier. – TG1996 1/ 2 p9 §13

Quand ils entrèrent dans la Terre de la promesse, les Hébreux se sédentarisèrent ; ils se consacrèrent à la culture et à l’élevage. Ils étaient indéniablement avantagés de posséder une terre déjà cultivée. En effet, la grande majorité de ceux qui avaient pratiqué l’agriculture en Égypte étaient morts dans le désert ; par conséquent, il n’y avait que très peu de cultivateurs compétents et expérimentés, voire aucun, pour mettre cette terre nouvelle et étrangère en culture. Il était donc très avantageux pour eux d’hériter alors ‘ des maisons pleines de toutes bonnes choses, des citernes creusées, des vignes et des oliviers déjà plantés et productifs ’. — Dt 6:10, 11 - Puisque l’olivier est un arbre à croissance lente qui met parfois dix ans ou plus pour commencer à produire de bonnes récoltes, le fait que ces arbres poussaient déjà représentait un avantage certain pour les Israélites. Cet arbre a une longévité exceptionnelle ; il donne du fruit pendant des siècles, et on suppose que certains oliviers de Palestine ont plus de 1 000 ans. - it-1 p58

Les commandements de Jéhovah ne sont absolument pas pesants ; ils nous procurent même de grands bienfaits. Moïse a pu dire au peuple de l’ancien Israël : “ Jéhovah nous a ordonné d’appliquer toutes ces prescriptions, de craindre Jéhovah notre Dieu pour notre bien, toujours, afin que nous restions en vie comme en ce jour. ” (Deutéronome 6:24)
Nous aussi, nous pouvons être certains qu’en nous donnant ses lois, Jéhovah se soucie de nos intérêts, et cela à très long terme, puisqu’il s’agit de notre bonheur éternel. D’ailleurs, est-ce qu’il pourrait en être autrement ? Jéhovah est un Dieu d’une sagesse infinie. Il sait donc ce qui est le mieux pour nous. Jéhovah est aussi la personnification de l’amour. L’amour, qui est sa caractéristique essentielle, détermine tout ce qu’il dit et tout ce qu’il fait. Cette qualité est le fondement de tous les commandements qu’il prescrit à ses serviteurs. – lv chap1 §15

145Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 15 Juin - 19:54

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15/5 p. 7 § 17-18 Tenez-vous le mariage en haute estime ? ***
Que nous soyons célibataires ou mariés, nous devons tous nous souvenir de ces paroles de Jésus : “ N’avez-vous pas lu que celui qui les a créés [à savoir Dieu], dès le commencement les a faits mâle et femelle, et qu’il a dit : ‘ C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux seront une seule chair ’ ? Si bien qu’ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Donc, ce que Dieu a attelé au même joug, que l’homme ne le sépare pas. ” (Mat. 19:4-6). Convoiter le conjoint de quelqu’un d’autre est un péché (Deut. 5:21). Si un chrétien se mettait à nourrir ce genre de désir égoïste et malsain, il lui faudrait l’extirper sans tarder de son cœur, même s’il devait en éprouver une vive souffrance affective (Mat. 5:27-30). Il est capital de réprimer toute pensée condamnable et de couper net les élans d’un cœur qui est traître. — Jér. 17:9.
Quantité de gens qui ne connaissent rien ou presque rien du mariage tel qu’il a été institué par Dieu accordent du prix aux liens conjugaux. Combien plus nous qui sommes voués au “ Dieu heureux ”, Jéhovah, devrions-nous nous réjouir de toutes les dispositions qu’il a prises pour notre bonheur et tenir ce don en haute estime ! — 1 Tim. 1:11.

146Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 21 Juin - 8:31

Josué

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*** w99 15/8 p. 25-27 Les bienfaits du “ grain du ciel ” ***
En procurant la manne, Jéhovah ne cherchait pas uniquement à satisfaire les besoins physiques des quelque trois millions d’Israélites. Il voulait aussi ‘ les humilier et les mettre à l’épreuve ’, afin de les affiner et de les discipliner pour leur profit (Deutéronome 8:16 ; Isaïe 48:17). S’ils réagissaient docilement à cet affinage et à cette discipline, Jéhovah prendrait plaisir à ‘ leur faire du bien dans leur avenir ’ en leur accordant paix, prospérité et bonheur en Terre promise.
L’une des leçons fondamentales qu’ils avaient besoin d’apprendre était que “ l’homme ne vit pas de pain seul, mais que l’homme vit de toute déclaration de la bouche de Jéhovah ”. (Deutéronome 8:3.) Si Dieu ne leur avait pas fourni la manne, ils seraient morts de faim, ce qu’ils admettaient bien volontiers (Exode 16:3, 4). Ceux d’entre eux qui en éprouvaient de la reconnaissance se voyaient rappeler quotidiennement qu’ils dépendaient totalement de Jéhovah, et ils étaient ainsi humiliés. Ceux-là seraient moins susceptibles d’oublier Jéhovah et leur dépendance vis-à-vis de lui une fois qu’ils jouiraient de l’abondance matérielle en Terre promise.
Comme les Israélites, les chrétiens doivent rester conscients qu’ils dépendent de Dieu pour obtenir ce qui est nécessaire à leur vie, que ce soit sur le plan physique ou sur le plan spirituel (Matthieu 5:3 ; 6:31-33). En réponse à l’une des tentations du Diable, Jésus Christ a cité les paroles de Moïse consignées en Deutéronome 8:3. “ Il est écrit, a-t-il rappelé : ‘ L’homme doit vivre, non pas de pain seul, mais de toute parole qui sort par la bouche de Jéhovah. ’ ” (Matthieu 4:4). De fait, quand ils lisent les déclarations de Jéhovah dans sa Parole écrite, les vrais adorateurs de Dieu sont nourris. En outre, leur foi est affermie quand ils constatent dans leur vie les effets bénéfiques de ces déclarations dans la mesure où ils marchent avec Dieu et donnent la priorité aux intérêts de son Royaume.
Les humains imparfaits peuvent perdre leur reconnaissance pour des choses qui se banalisent, même si ces choses sont une marque de l’intérêt bienveillant que Jéhovah leur porte. C’est ce qui est arrivé avec la manne. Alors que la première réaction des Israélites devant cette nourriture surnaturelle avait été l’étonnement et la gratitude, par la suite beaucoup se sont mis à se plaindre. “ Notre âme a pris en aversion ce pain méprisable ”, maugréaient-ils irrespectueusement, montrant par là qu’ils commençaient à ‘ s’éloigner du Dieu vivant ’. (Nombres 11:6 ; 21:5 ; Hébreux 3:12.) Leur exemple “ nous [avertit], nous sur qui les fins des systèmes de choses sont arrivées ”. — 1 Corinthiens 10:11.
Comment pouvons-nous tenir compte de cet avertissement ? En n’en venant jamais à considérer les enseignements bibliques ou la “ nourriture ” que nous recevons par l’intermédiaire de l’esclave fidèle et avisé comme ordinaires, insipides (Matthieu 24:45). À partir du moment où nous prenons les dons de Jéhovah comme allant de soi ou que nous les trouvons rébarbatifs, nos relations avec lui se refroidissent.
Ce n’est pas sans raison que Jéhovah ne nous noie pas sous un flot constant d’informations passionnantes et inédites, mais qu’il préfère nous faire comprendre sa Parole progressivement, petit à petit (Proverbes 4:18). Il nous permet ainsi d’assimiler et de mettre en pratique ce que nous apprenons. Jésus a imité son Père lorsqu’il enseignait ses disciples. Il leur expliquait la Parole de Dieu “ dans la mesure où ils étaient capables d’écouter ”, c’est-à-dire, selon certaines versions, de “ comprendre ”. — Marc 4:33 ; voir aussi Jean 16:12.

147Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 28 Juin - 8:30

Josué

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g89 22/1 p. 4-5 Pourquoi Jéhovah a-t-il expulsé et les Cananéens et les Israélites? ***
Moïse, le porte-parole de Jéhovah, expliqua clairement au peuple juif les raisons qui motivaient Dieu. Il dit: “Ce n’est pas à cause de ta justice, ni à cause de la droiture de ton cœur, que tu entres, pour en prendre possession, dans leur pays; c’est vraiment à cause de la méchanceté de ces nations que Jéhovah, ton Dieu, les expulse de devant toi.” — Deutéronome 9:5.
C’est donc en raison de leur méchanceté que les Cananéens ont été évincés. Après avoir présenté Baal et sa femme Aschtoreth comme les principales divinités du panthéon cananéen, le Manuel biblique de Halley (angl.), édition révisée, déclare: “Les temples de Baal et d’Aschtoreth étaient généralement associés. Les prêtresses et les sodomites étaient des prostitués sacrés. Le culte de Baal, d’Aschtoreth et d’autres dieux cananéens consistait en des orgies sans nom; leurs temples étaient des centres de dépravation.” — Page 166.
Dans les ruines d’un de ces “hauts lieux” de la civilisation cananéenne, les archéologues “ont trouvé de nombreuses urnes contenant les restes d’enfants sacrifiés à Baal. Tout le périmètre alentour était un cimetière de nouveau-nés”. On a également mis au jour un “grand nombre incalculable de sculptures et de plaques gravées représentant Aschtoreth dotée d’organes génitaux hypertrophiés de façon obscène, tous objets destinés à exacerber la sensualité. Les Cananéens adoraient donc leurs dieux en pratiquant devant eux des actes immoraux qui avaient valeur de rite religieux, et en assassinant leurs premiers-nés, qu’ils offraient en sacrifice à ces mêmes dieux”. — Pages 166, 167.
L’ouvrage précité pose ensuite cette question: “Faut-il encore se demander pourquoi Dieu ordonna à Israël d’exterminer les Cananéens? Une civilisation aussi répugnante et barbare avait-elle le droit de subsister plus longtemps? (...) Les archéologues qui effectuent des fouilles dans les villes cananéennes s’étonnent que Dieu ne les ait pas détruits plus tôt.” — Page 167.
Voici également ce qu’on peut lire à la page 259 de l’Emphasized Bible, une version de la Bible traduite par J. Rotherham: “Qui dira que le Très-Haut n’était pas en droit d’anéantir de tels profanateurs de la terre et corrupteurs de l’humanité?”
Expliquant aux Israélites pourquoi il expulsait les Cananéens, Jéhovah leur déclara: “Ne vous rendez impurs par aucune de ces choses, car c’est par toutes ces choses que se sont rendues impures les nations que je chasse de devant vous. Aussi le pays est-il impur, et je ferai venir sur lui la punition pour sa faute, et le pays vomira ses habitants.” Par la suite, il leur donna cet avertissement sans ambiguïté: “Et vous devrez garder toutes mes ordonnances et toutes mes décisions judiciaires et les pratiquer, pour que ne vous vomisse pas le pays où je vous mène pour y habiter.” — Lévitique 18:24-26; 20:22.
Le message est clair. Les Cananéens ont été anéantis parce qu’ils souillaient le pays en se livrant à des actes d’une rebutante immoralité: l’adultère, l’homosexualité et le meurtre d’enfants. Si les Israélites copiaient la religion cananéenne et se mettaient à adorer Baal, ils subiraient le même sort.
C’est pourtant ce qu’ils firent. Dans des strates correspondant à l’époque où Israël occupait le pays, les archéologues ont découvert les ruines d’un temple dédié à Aschtoreth et, “à quelques mètres du temple, un cimetière avec de nombreuses urnes renfermant les restes de nouveau-nés qui avaient été sacrifiés dans le temple. (...) Les prophètes de Baal et d’Aschtoreth étaient chargés du meurtre des petits enfants”. — Manuel biblique de Halley, page 198.

148Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 6 Juil - 10:09

Josué

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 w95 1/5 p. 9-10 § 6-9 Acceptons la Bible pour ce qu’elle est réellement ***
6 À l’époque où la nation d’Israël se préparait à franchir le Jourdain et à entrer en Terre promise, tirant ainsi un trait sur la vie nomade qu’elle avait connue dans le désert, il était approprié qu’elle revoie la Loi de Jéhovah et ses façons d’agir envers son peuple. Poussé par l’esprit de Dieu, Moïse passa la Loi en revue devant le peuple. Il lui en rappela les détails et fit ressortir les principes et les comportements qui influenceraient leurs relations avec Jéhovah (Deutéronome 4:9, 35; 7:7, 8; 8:10-14; 10:12, 13). Si aujourd’hui de nouvelles tâches nous sont confiées ou si nous rencontrons des situations nouvelles, nous avons tout autant intérêt à nous demander quelle influence les Écritures devraient avoir sur notre comportement.
7 Israël venait de traverser le Jourdain quand le peuple se réunit de nouveau pour revoir ce que Jéhovah lui avait dit par l’intermédiaire de Moïse. La nation se rassembla à environ 50 kilomètres au nord de Jérusalem. La moitié des tribus se tenaient vis-à-vis du mont Ébal, l’autre moitié vis-à-vis du mont Guérizim. Josué “lut à haute voix toutes les paroles de la loi, la bénédiction et la malédiction”. Ainsi, hommes, femmes et petits, tout comme les résidents étrangers, entendirent à point nommé un rappel des lois sanctionnant les comportements passibles de la désapprobation de Jéhovah, mais aussi un rappel des bénédictions qu’ils s’attireraient par leur obéissance (Josué 8:34, 35). Il leur fallait clairement comprendre ce que Jéhovah considérait comme bon et comme mauvais. Par ailleurs, ils devaient graver dans leur cœur l’amour du bien et la haine du mal, tout comme y est tenu chacun de nous aujourd’hui. — Psaumes 97:10; 119:103, 104; Amos 5:15.
8 Mais la Loi n’a pas été lue seulement en ces circonstances historiques; Deutéronome 31:10-12 stipulait que la Parole de Dieu serait lue régulièrement. Tous les sept ans, la nation entière devait se rassembler pour écouter cette lecture. Le peuple recevait de la sorte une nourriture spirituelle. Cette disposition ravivait dans son esprit et son cœur les promesses concernant la Postérité et dirigeait les fidèles vers le Messie. Les directives instituées à l’époque où Israël se trouvait dans le désert et leur garantissant cette nourriture spirituelle n’ont pas été suspendues lors de l’entrée en Terre promise (1 Corinthiens 10:3, 4). Au contraire, la Parole de Dieu s’est enrichie des révélations ultérieures des prophètes.
9 Le rappel des conseils de la Parole de Dieu ne se limiterait pas aux seuls grands rassemblements du peuple. Des passages de la Parole de Jéhovah et les principes qu’elle renferme devaient faire l’objet de conversations quotidiennes (Deutéronome 6:4-9). De nos jours, dans la plupart des pays, les jeunes gens peuvent se procurer une Bible, et il est très bénéfique qu’ils le fassent. Mais jadis, en Israël, ce n’était pas le cas. À l’époque, quand les parents instruisaient les enfants de la Parole de Dieu, ils devaient se fier à leur mémoire et s’en tenir aux vérités qu’ils chérissaient dans leur cœur, en ajoutant, éventuellement, de courts extraits qu’ils avaient personnellement recopiés. Par des répétitions fréquentes, ils s’efforçaient d’implanter chez leurs enfants l’amour pour Jéhovah et pour ses voies. L’objectif visé n’était pas simplement de remplir les têtes de connaissance, mais d’aider chaque membre de la famille à vivre de manière à manifester cet amour pour Jéhovah et pour sa Parole. — Deutéronome 11:18, 19, 22, 23.

149Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 12 Juil - 8:17

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 w02 15/10 p. 16-17 § 14 Jéhovah se soucie de vous ***
Juste avant que les Israélites n’entrent en Terre promise, Moïse leur a transmis ce conseil : “ C’est à la suite de Jéhovah votre Dieu que vous marcherez, et c’est lui que vous craindrez, et ce sont ses commandements que vous garderez, et c’est sa voix que vous écouterez, et c’est lui que vous servirez, et c’est à lui que vous vous attacherez. ” (Deutéronome 13:4). Ils devaient suivre Jéhovah, le craindre, lui obéir et s’attacher à lui. En rapport avec le terme traduit ici par ‘ s’attacher ’, un bibliste déclare que “ ce langage évoque des relations très étroites et très intimes ”. Le psalmiste a déclaré : “ L’intimité avec Jéhovah appartient à ceux qui le craignent. ” (Psaume 25:14). Nous entretiendrons des relations précieuses et étroites avec Jéhovah à la condition qu’il soit réel pour nous et que nous l’aimions au point de craindre de lui déplaire en quoi que ce soit. — Psaume 19:9-14.

150Joyaux de la parole de Dieu. - Page 3 Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 26 Juil - 12:24

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 g88 8/8 p. 26-27 Pourquoi les prophéties bibliques sont-elles d’une grande valeur? ***
Des centaines de prophéties bibliques se sont accomplies en la personne de Jésus Christ. Certains prétendent que Jésus et ses disciples ont fait en sorte de réaliser ces prédictions. Mais peut-il réellement en être ainsi? Voyons les faits.
Ni Jésus ni ses parents n’auraient pu inciter l’empereur romain à promulguer un décret ordonnant un recensement à des fins d’imposition, ce qui obligea Joseph et Marie à se rendre à Bethléhem, leur ville d’origine, juste au moment de la naissance de Jésus. Ainsi, les Romains, qui pourtant ne se souciaient pas le moins du monde de la réalisation des prophéties bibliques, jouèrent un rôle dans l’accomplissement des paroles contenues en Michée 5:2, qui annonçaient que Jésus naîtrait à Bethléhem.
Plus Jésus dévoilait l’hypocrisie des chefs religieux juifs, plus ceux-ci avaient le désir de le tuer. Mais sa mort ne devait pas survenir directement de la main de ses compatriotes. Si les Juifs avaient exécuté Jésus, ils l’auraient probablement lapidé, puisque c’était le moyen prévu par la Loi mosaïque pour mettre quelqu’un à mort (Jean 8:59; 10:31). Cependant, selon les prophéties, le Messie devait être pendu à un poteau, afin d’ôter “la malédiction de la Loi”. (Comparer Deutéronome 21:22, 23 avec Galates 3:13.) Il fallait qu’il soit “élevé” pour ‘attirer à lui des hommes de toutes sortes’. (Comparer Nombres 21:4, 9 avec Jean 3:14 et 12:32, 33.) En étant attaché sur un poteau, selon la coutume des Romains, Jésus accomplit manifestement ces prophéties. Ainsi, involontairement, les Romains contribuèrent de nouveau à prouver la véracité de la Parole prophétique de Jéhovah.
En outre, alors qu’il était attaché sur le poteau, Jésus ne pouvait rien décider de ce que deviendraient ses vêtements. Il lui était impossible de faire en sorte que les soldats romains les tirent au sort. C’est pourtant ce qu’ils firent, exactement comme l’avaient annoncé les Écritures (Psaume 22:18; Jean 19:24). Une fois encore, ce furent les Romains, et non Jésus ou ses disciples, qui jouèrent un rôle dans l’accomplissement d’une prophétie biblique.
Jésus déclara que certains événements qui surviendraient à Jérusalem durant sa génération annonceraient la fin brutale de la ville (Luc 21:5-24). Daniel l’avait déjà prédit plus de 500 ans auparavant (Daniel 9:26, 27). Et en 70 de notre ère, Jérusalem fut effectivement détruite, conformément aux paroles de Jésus et de Daniel. Une fois de plus, les prophéties bibliques s’avéraient dignes de foi.

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