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Joyaux de la parole de Dieu.

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Mikael
philippe83
Josué
samuel
8 participants

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1Joyaux de la parole de Dieu. Empty Joyaux de la parole de Dieu. Lun 4 Jan - 13:30

samuel

samuel
Administrateur


JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

« Le vrai culte demande des efforts assidus » (10 min) :
2Ch 29:10-17 : Hizqiya rétablit le vrai culte avec détermination.
2Ch 30:5, 6, 10-12 : Hizqiya invite toutes les personnes sincères à se réunir pour le culte.
2Ch 32:25, 26 : Hizqiya corrige son orgueil en devenant humble (w05 15/10 25 § 20).
Recherchons des perles spirituelles (8 min) :
2Ch 29:11 : Quel bon exemple Hizqiya a-t-il donné en matière de priorités ? (w13 15/11 17 § 6-7).
2Ch 32:7, 8 : Quel est le mieux à faire pour se préparer aux difficultés à venir ? (w13 15/11 20 § 17).
Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
Quelles idées de la lecture biblique de cette semaine puis-je utiliser en prédication ?
Lecture de la Bible : 2Ch 31:1-10

samuel

samuel
Administrateur

Voila la nouvelle formule des réunions qui remplace l'école du ministère.

Josué

Josué
Administrateur

Question 1 : Quelle est la première décision que prend Hizqiya en montant sur le trône de Juda ?

Question 2 : Qu’exige-t-il en premier lieu des Lévites et des sacrificateurs ?

Question 3 : Pour quelles raisons, à votre avis, se mettent-ils immédiatement à l’ouvrage, alors que tout récemment encore le roi Ahaz leur avait fermé les portes du temple et s’était fait un devoir de promouvoir le culte d’autres divinités ? Pourtant une petite fausse note apparaît au verset 34.

samuel

samuel
Administrateur

de s’appuyer sur Jéhovah et de ne pas se laisser influencer par des personnes que nous rencontrons par exemple en prédication, la personne voudrais nous convaincre qu'un de ses enseignements est meilleur.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Salut à vous tous.
En tous cas la préparation à travers ces nouveaux programmes pour nos réunions va encore plus booster notre foi et notre connaissance des Ecritures. Quel bonheur.Combien il est important de remercier Jéhovah et son organisation terrestre pour de telles bénédictions. bonheur
A+

Josué

Josué
Administrateur

Tout à fait mon frère.

Joyaux de la parole de Dieu. Temple10

Josué

Josué
Administrateur

Le miel de fruits. Le mot hébreu devash peut aussi désigner le jus ou sirop de fruits (figues, dattes, etc.). C’est souvent le contexte qui indique au lecteur s’il est ou non question de miel d’abeilles. De toute évidence, c’est le sirop de fruits que Lévitique 2:11 interdisait d’offrir sur l’autel, parce qu’il a tendance à fermenter. Le verset suivant, qui classe le “ miel ” interdit parmi les prémices qui devaient être offertes à Jéhovah, montre qu’il ne s’agissait pas ici de miel d’abeilles. Puisque le miel utilisé par les Israélites était essentiellement du miel sauvage et non de culture, le “ miel ” offert comme prémices après que Hizqiya eut exhorté le peuple à soutenir la prêtrise était sans aucun doute du jus ou sirop de fruits. — 2Ch 31:5.

Invité


Invité

Oui, j'ai bien aimez le nouveau programme, en couleur avec image aussi pour comprendre ...

Hizqiya on montant sur le trône de Juda n'as pas en premier lieu chercher à remonter l'économie comme les politiciens font, mais plutôt à remonter l'amour du peuple pour Jehovah ...

Moi je comprend pas quel était l'orgueil que Hizqiya avait, dans 2 Chronique 32:25,26 ...
Quel était son orgueil et comment il s'humilia?

Josué

Josué
Administrateur

*** it-1 p. 1134 Hizqiya ***
La faute de Hizqiya et son repentir. Les Écritures rapportent que “ selon le bienfait dont il avait été l’objet, Hizqiya ne paya pas de retour, car son cœur s’enorgueillit et il y eut de l’indignation contre lui et contre Juda et Jérusalem ”. (2Ch 32:25.) La Bible ne dit pas si cet orgueil était lié à l’initiative malavisée qu’il prit en montrant tout le trésor de sa maison et tout son domaine aux messagers que le roi de Babylone Berodak-Baladân (Merodak-Baladân) envoya auprès de lui après sa guérison. Peut-être Hizqiya exhiba-t-il toutes ces richesses pour impressionner le roi de Babylone, éventuel allié contre le roi d’Assyrie. Mais ce geste, évidemment, pouvait exciter la convoitise des Babyloniens. Le prophète Isaïe désapprouvait toute alliance avec Babylone ou toute dépendance vis-à-vis de cet ennemi séculaire de Dieu. Quand il apprit comment Hizqiya avait reçu les messagers babyloniens, Isaïe prononça une prophétie, sous l’inspiration de Jéhovah, annonçant qu’un jour viendrait où les Babyloniens emporteraient tout à Babylone, y compris certains descendants de Hizqiya. Mais le roi s’humilia et, avec bonté, Dieu permit que ce malheur n’arrive pas de son vivant. — 2R 20:12-19 ; 2Ch 32:26, 31 ; Is 39:1-8.
Aux jours du prophète Jérémie, certains chefs du peuple de Jérusalem firent l’éloge de Hizqiya, parce qu’il avait écouté Mika de Morésheth, prophète de Jéhovah. — Jr 26:17-19.

Josué

Josué
Administrateur

Homme choisi spécialement dans la garde personnelle d’un roi pour transmettre ses décrets et toute autre correspondance urgente dans les régions reculées de son royaume. La vitesse avec laquelle les courriers (héb. : ratsim ; littéralement : “ coureurs ”) s’acquittaient de leur mission était d’une importance capitale. Très tôt, on qualifia ces hommes de “ coureurs ”. C’est ainsi qu’ils sont appelés en 2 Chroniques 30:6, 10 ; Jérémie 51:31.
Dans l’Empire perse, on se servait de chevaux rapides et de relais, des postes, où des courriers et des chevaux frais étaient prêts pour faire suivre les messages importants (Est 3:13-15 ; 8:10, 14). Jour et nuit, et par tous les temps, ils se hâtaient de faire parvenir les messages à destination. Dans l’Empire romain, tous les quelques kilomètres s’échelonnaient, à l’intention des courriers, des relais où on gardait en permanence 40 chevaux. Les courriers romains pouvaient parcourir environ 160 km par jour, allure considérable pour l’époque. Grâce à ce système de chevaux de poste, il fallait relativement peu de temps pour que des messages royaux atteignent les confins d’un empire.

Josué

Josué
Administrateur

Quand Ézéchias devint roi de Juda en 745 av. n. è., la puissante nation assyrienne opprimait Israël et Juda. En 740, les armées assyriennes avaient conquis et ravagé Israël, le royaume du nord, après quoi elles avaient commencé à envahir Juda. Les villes fortifiées de Juda tombaient l’une après l’autre aux mains des cruels Assyriens (II Rois 18:9-11, 13). C’était maintenant au tour de Jérusalem. Comment allait-elle pouvoir résister aux armées invincibles de la Deuxième Puissance mondiale de l’histoire biblique ?
Sennachérib, roi d’Assyrie, envoya un haut fonctionnaire du nom de Rabschaké pour intimider les Juifs. S’adressant en hébreu aux Juifs qui étaient sur les murailles, Rabschaké essaya de les démoraliser et de briser leur volonté de résistance. Quand on pense à la chaleur qui règne dans ce pays du Proche-Orient, on imagine la frayeur des Juifs quand Rabschaké les menaça de les faire mourir “par la famine et par la soif”. (II Chron. 32:11.) Mais n’avaient-ils vraiment que cette alternative : Se rendre, ou mourir de soif ?
Non, car quelque temps auparavant Ézéchias avait décidé avec ses hommes “d’obstruer les eaux des sources qui étaient en dehors de la ville”. (II Chron. 32:2-4.) Par conséquent, les assiégeants assyriens allaient avoir beaucoup de peine à trouver de l’eau pour eux-mêmes. Mais puisque, comme s’en vantait Sennachérib, Ézéchias et son peuple étaient enfermés comme “un oiseau dans sa cage”, où les Juifs allaient-ils pouvoir se procurer de l’eau ? Effectivement, les Juifs savaient qu’il y avait de l’eau à profusion à la source de Guihon, au pied du versant oriental de la ville. Mais cette source avait été ‘obstruée’ ou dissimulée, afin que les Assyriens ne la découvrent pas. De plus, Guihon était à l’extérieur des murs de Jérusalem. Comment cette source allait-elle donc permettre aux Juifs de survivre ?
La Bible nous le dit. Elle nous explique qu’Ézéchias “obstrua l’issue supérieure des eaux de Guihon et (...) les fit se diriger par en bas vers l’ouest de la ville de David”. (II Chron. 32:30 ; II Rois 20:20.) Mais comment s’y est-il pris ? Il a fait percer un canal dans le rocher, canal qui existe toujours. Les spécialistes le considèrent comme “une des plus grandes réalisations techniques de l’Antiquité”. Aujourd’hui encore, vous pouvez visiter ce canal et le traverser.

Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi cette différence? Et pourquoi Sennachérib n’a-t-il pas pu se vanter d’avoir conquis la capitale de Juda, Jérusalem, comme il l’a fait pour la ville fortifiée de Lachis? Trois rédacteurs bibliques nous donnent la réponse. L’un d’eux, qui a été témoin des événements, a écrit: “L’ange de Jéhovah sortit et abattit dans le camp des Assyriens cent quatre-vingt-cinq mille hommes. Quand on se leva de bon matin, eh bien, voici que tous étaient des cadavres, des morts! Alors Sennachérib, roi d’Assyrie, partit, et s’en alla et s’en retourna, et il s’établit à Ninive.” — Ésaïe 37:36, 37; 2 Rois 19:35; 2 Chroniques 32:21.
Dans son livre Trésors des temps bibliques, Millard conclut: “Il n’y a pas de bonne raison de douter de ce récit (...). Sennachérib n’allait naturellement pas rapporter un tel désastre. Ses successeurs le liraient, et il serait discrédité.” Au lieu de cela, Sennachérib a essayé de donner l’impression que son invasion de Juda avait été un succès, et qu’Ézéchias était toujours soumis, envoyant le tribut à Ninive.

13Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Dim 10 Jan - 14:25

Josué

Josué
Administrateur

AUX jours des rois judéens Achaz et Manassé, la nation d’Israël se laissa entraîner à pratiquer le culte dégradant des nations voisines. Elle se mit entre autres à sacrifier ses enfants à Molech (II Chroniques 28:3; 33:6, 9). Bien que le roi Josias ait plus tard aboli nombre de pratiques “détestables”, “Jéhovah ne revint pas du grand embrasement de sa colère, dont sa colère s’était embrasée contre Juda, par suite de toutes les choses irritantes par lesquelles Manassé leur avait fait causer de l’irritation”. (II Rois 23:10, 26.) Pourquoi cela? Qu’est-ce qui rendait cette transgression si ‘irritante’ qu’elle ne pouvait être pardonnée?
“Les sacrifices d’enfants constituaient une partie essentielle du culte rendu au Malik-Baal-Kronos phénicien”, déclare l’Encyclopédie juive (angl.) de Funk et Wagnalls. Les Phéniciens occupaient à l’origine les régions côtières du nord de Canaan. Comme c’était un peuple de marins, ils fondèrent des colonies tout autour de la Méditerranée, et partout où ils allèrent ils apportèrent avec eux leur détestable rite du sacrifice des enfants. Une découverte archéologique récente, faite dans l’antique ville phénicienne de Carthage (aujourd’hui un faubourg de Tunis, en Afrique du Nord), a révélé en partie jusqu’à quel point cette pratique était dépravée.
C’est en 1921 que ce site a été découvert. Mais à partir des années 1970, on y a entrepris des fouilles intensives parce que la ville moderne s’étendait vers cette zone. Il est apparu que ce terrain était un immense ossuaire où étaient enterrés les restes des enfants sacrifiés. La Revue d’archéologie biblique (angl.) rapporte:
“En cet endroit, du VIIIe au IIe siècle avant notre ère, les mères et les pères de Carthage ont brûlé les ossements de leurs enfants sacrifiés au dieu Baal Hammon et à la déesse Tanit. Vers le IVe siècle avant notre ère, le Tophet [du Topheth de la Bible] avait probablement une surface de 6 000 mètres carrés et neuf niveaux de sépultures.”

Josué

Josué
Administrateur

Il est à noter que si Tsephania a prêché les jugements divins contre les autorités civiles, les “ princes ” de Juda (les nobles, ou les chefs de tribu), et contre les “ fils du roi ”, il n’a jamais fait mention du roi lui-même dans ses attaques (Tsephania 1:8 ; 3:3). Peut-être est-ce une indication que le jeune roi Yoshiya avait déjà montré une certaine inclination pour le culte pur, même si, d’après la situation dénoncée par Tsephania, il n’avait manifestement pas encore engagé ses réformes religieuses. Compte tenu de tous ces éléments, il semble que Tsephania ait prophétisé en Juda pendant les premières années du règne de Yoshiya, qui a exercé la royauté de 659 à 629 avant notre ère. Par son activité prophétique énergique, il a indubitablement sensibilisé le jeune Yoshiya à l’idolâtrie, à la violence et à la corruption qui sévissaient alors en Juda et a encouragé la campagne contre l’idolâtrie que le jeune monarque a menée par la suite. — 2 Chroniques 34:1-3

Josué

Josué
Administrateur

C’est à juste titre que Jéhovah était en colère contre les chefs et les habitants de Juda et de sa capitale, Jérusalem. Par la bouche de Tsephania, il a déclaré : “ Je tendrai ma main contre Juda et contre tous les habitants de Jérusalem, et je retrancherai de ce lieu ceux qui restent du Baal, le nom des prêtres des dieux étrangers avec les prêtres, et ceux qui se prosternent sur les toits devant l’armée des cieux, et ceux qui se prosternent en faisant des serments à Jéhovah et en faisant des serments par Malkam. ” — Tsephania 1:4, 5.
Juda était souillé par les rites de la fécondité dégradants du culte de Baal, par l’astrologie démoniaque et par l’adoration du dieu païen Malkam. Si, comme certains le pensent, Malkam et Molek sont le même dieu, cela veut dire que le faux culte observé en Juda incluait la pratique abominable des sacrifices d’enfants. Ces rites religieux étaient immondes aux yeux de Jéhovah (1 Rois 11:5, 7 ; 14:23, 24 ; 2 Rois 17:16, 17). Ils attisaient d’autant plus sa fureur que les idolâtres continuaient à faire des serments en se servant de son nom. Jéhovah n’allait plus tolérer cette impureté religieuse ; il retrancherait les prêtres païens, mais également les prêtres apostats.

Josué

Josué
Administrateur

Le règne de Yoshiya fut marqué par d’immenses réformes religieuses dans le pays de Juda. Après avoir mené une campagne de six ans contre l’idolâtrie et purifié le pays, Yoshiya entreprit de réparer la maison de Jéhovah. Au cours des travaux, le grand prêtre Hilqia fit une trouvaille sensationnelle : l’original du “ livre de la loi de Jéhovah ” ! Il le confia à Shaphân le secrétaire, qui alla rapporter l’événement au roi. La réussite de Yoshiya, alors âgé de 25 ans, lui monta-t-elle à la tête ? — 2 Chroniques 34:3-18.
“ Dès que le roi entendit les paroles de la loi, écrit Ezra, aussitôt il déchira ses vêtements. ” Il manifestait là un chagrin sincère, car il comprenait que ses ancêtres n’avaient pas suivi tous les commandements de Dieu. Que d’humilité dans ce geste ! Immédiatement, Yoshiya envoya une délégation de cinq hommes interroger Jéhovah par l’intermédiaire de la prophétesse Houlda. Voici la réponse qu’ils rapportèrent : ‘ Le malheur viendra en conséquence de la désobéissance à la Loi de Jéhovah. Mais parce que toi, roi Yoshiya, tu t’es humilié, tu seras réuni à ton cimetière dans la paix et tu ne verras pas le malheur. ’ (2 Chroniques 34:19-28). Ainsi, l’état d’esprit de Yoshiya plaisait à Jéhovah.
Nous pouvons, nous aussi, malgré notre passé, nous humilier devant le vrai Dieu, Jéhovah, et manifester du respect envers lui et sa Parole, la Bible. C’est ce qu’a fait Nicolas. Il raconte : “ Ma vie était un gâchis, car je me droguais et je buvais énormément, mais, tout de même, je m’intéressais à la Bible et je cherchais un but à la vie. Pour finir, j’ai rencontré les Témoins de Jéhovah, j’ai changé de vie et j’ai embrassé la vérité. ” Il est donc possible d’être respectueux de Dieu et de sa Parole quel que soit le climat dans lequel on a grandi.

17Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Ven 15 Jan - 13:44

Josué

Josué
Administrateur

Après qu’on lui eut lu “ le livre même de la loi ” que le grand prêtre Hilqia avait trouvé pendant la réparation du temple, Yoshiya envoya une délégation interroger Jéhovah. Les représentants du roi se rendirent chez Houlda, qui leur rapporta la parole de Jéhovah selon laquelle tous les malheurs annoncés dans le “ livre ” en cas de désobéissance allaient s’abattre sur la nation apostate. Houlda ajouta que, parce qu’il s’était humilié devant Jéhovah, Yoshiya ne verrait pas ce malheur, mais serait réuni à ses ancêtres et à son cimetière dans la paix. — 2R 22:8-20 ; 2Ch 34:14-28.
Étant donné que Yoshiya trouva la mort au cours d’une bataille inutile, certains estiment que la prophétie de Houlda était erronée (2R 23:28-30). Cependant, la “ paix ” dans laquelle le roi serait réuni à son cimetière est manifestement en opposition avec “ le malheur ” qui allait s’abattre sur Juda (2R 22:20 ; 2Ch 34:28). Yoshiya mourut avant que ce malheur survienne en 609-607 av. n. è., quand les Babyloniens assiégèrent et détruisirent Jérusalem. En outre, l’expression ‘ être réuni à ses ancêtres ’ n’exclut pas forcément la possibilité d’une mort violente à la guerre : la preuve en est qu’une expression semblable, ‘ se coucher avec ses ancêtres ’, est employée aussi bien en rapport avec la mort d’un homme au combat qu’à propos d’une mort paisible. — Voir Dt 31:16 ; 1R 2:10 ; 22:34, 40.

18Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Sam 16 Jan - 11:58

Josué

Josué
Administrateur

Pour une raison non précisée dans la Bible, le roi Josias fit sortir ses armées, apparemment pour barrer le passage aux troupes de Néchao, roi d’Égypte, qui voulaient passer par la célèbre vallée de Méguiddo, située à environ quatre-vingt-cinq kilomètres au nord-ouest de Jérusalem. Naturellement, l’action de Josias était dans l’intérêt de Babylone.
Les deux armées se rencontrèrent à Méguiddo. Le pharaon Néchao envoya des messagers à Josias pour lui dire qu’il n’était pas venu combattre le royaume de Juda. “Ne t’oppose pas à Dieu, dit-il, qui est avec moi, de peur qu’il ne te détruise.” Quelle fut la réaction de Josias ? Le récit biblique répond : “Josias ne se détourna point de lui, et il se déguisa pour l’attaquer, sans écouter les paroles de Néco, qui venaient de la bouche de Dieu. Il s’avança pour combattre dans la vallée de Méguiddo.” Le déguisement de Josias ne le sauva pas, car une flèche égyptienne l’atteignit et il mourut. Son corps fut transporté à Jérusalem, où on l’enterra dans le sépulcre de ses pères.
La mort de ce bon roi plongea le peuple dans l’affliction. “Tout Juda et Jérusalem pleurèrent Josias. Jérémie fit une complainte sur Josias ; tous les chanteurs et toutes les chanteuses ont parlé de Josias dans leurs complaintes jusqu’à ce jour, et en ont établi la coutume en Israël. Ces chants sont écrits dans les Complaintes.” — II Chroniques 35:20-25 ; II Rois 23:29, 30.
Pour une raison qui nous est inconnue, le peuple de Juda prit Joachaz, le fils cadet de Josias, âgé de vingt-trois ans, et l’oignit roi de Juda. À la différence de son père, Joachaz se révéla être un mauvais roi, et son règne ne dura que trois mois, car pour l’empêcher de régner à Jérusalem, le pharaon Néchao le fit prisonnier et imposa au royaume de Juda une lourde contribution. Néchao prit alors Éliakim, le frère aîné de Joachaz, âgé de vingt-cinq ans et qui était né alors que son père, le roi Josias, n’avait que quatorze ans, et l’établit roi de Juda. Le pharaon changea le nom du nouveau roi en celui de Jojakim. Ce dernier régna onze ans à Jérusalem, et il plut au pharaon d’Égypte parce qu’il se montrait opposé à Babylone (II Chroniques 36:1-5 ; II Rois 23:30-37). Tout comme son frère Joachaz, Jojakim fut un mauvais roi.
Au commencement du règne de Jojakim, le prophète Jérémie se tint dans la cour du temple de Jéhovah et annonça que Jéhovah traiterait cette maison magnifique comme il avait traité le tabernacle dressé dans la ville de Silo, dépossédé pour toujours de la sainte arche de l’alliance divine. Les prêtres, les prophètes et le peuple prirent ses paroles pour une trahison, et ils se saisirent de Jérémie, en lui disant : “Tu mourras ! Pourquoi prophétises-tu au nom de Jéhovah en disant : ‘Cette maison sera comme Silo, et cette ville sera dévastée et sans habitants ?’” Mais quand Jérémie présenta sa défense devant les princes de Juda, ceux-ci ne trouvèrent aucun motif valable pour le condamner à mort. “La main d’Ahicam, fils de Saphan, soutint Jérémie, en sorte qu’il ne fut pas livré au peuple pour être mis à mort.” Aussi Jérémie fut-il remis provisoirement en liberté. — Jérémie 26:1-24, AC ; 7:1-34.

Josué

Josué
Administrateur

‘“Aussi vrai que je suis vivant”, telle est la déclaration du Souverain Seigneur Jéhovah, “c’est dans le lieu même du roi [Nébucadnezzar] qui a installé comme roi celui [Sédécias] qui a méprisé son serment et qui a rompu son alliance, c’est chez lui, au milieu de Babylone, qu’il mourra. Et Pharaon, avec de grandes forces militaires et avec une congrégation nombreuse, ne le rendra pas efficace dans la guerre, en élevant un rempart de siège et en bâtissant un mur de siège, afin de retrancher beaucoup d’âmes. Et il [Sédécias] a méprisé un serment en rompant une alliance, et voici, il avait donné sa main [comme signe qu’il respecterait l’alliance], et il a fait toutes ces choses. Il n’échappera pas.”’ ‘“C’est pourquoi voici ce qu’a dit le Souverain Seigneur Jéhovah: ‘Aussi vrai que je suis vivant, oui, mon serment qu’il a méprisé et mon alliance qu’il a rompue — je ferai venir cela sur sa tête.’”’” — Ézéchiel 17:13-19; II Chroniques 36:11-13.

Josué

Josué
Administrateur

Deux Chroniques ajoute son puissant témoignage à celui des autres témoins de cette période (1037-537 av. n. è.) si riche en événements. De plus, ce livre fournit de précieux renseignements qui ne se trouvent dans aucun autre texte historique canonique, par exemple en 2 Chroniques chapitres 19, 20 et 29 à 31. Par son choix des matériaux, Ezra a mis l’accent sur les éléments fondamentaux et permanents de l’histoire de la nation, à savoir la prêtrise et son service, le temple et l’alliance du Royaume. Cela a permis de maintenir l’unité de la nation dans l’espérance du Messie et de son Royaume.
35 Les derniers versets de Deux Chroniques (36:17-23) fournissent des preuves concluantes de la réalisation de Jérémie 25:12 ; ils démontrent, de surcroît, qu’il faut compter 70 années complètes entre la désolation totale du pays et la restauration du culte de Jéhovah à Jérusalem en 537 av. n. è. Par conséquent, cette désolation a commencé en 607 av. n. è.. — Jér. 29:10 ; 2 Rois 25:1-26 ; Ezra 3:1-6.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

*** w14 15/3 p. 30-31 Dis-tu parfois : « Oui et cependant Non » ? ***
En 55 de n. è., alors qu’il se trouve à Éphèse au cours de son troisième voyage missionnaire, Paul a l’intention de traverser la mer Égée pour se rendre à Corinthe puis gagner la Macédoine. Avant de rentrer à Jérusalem, il compte repasser par Corinthe, de toute évidence pour recueillir les dons généreux des Corinthiens à l’intention des frères de Jérusalem (1 Cor. 16:3). C’est ce qu’indique clairement 2 Corinthiens [url=x-apple-data-detectors://1]1:15[/url], 16 : « C’est donc avec cette confiance que je me proposais d’abord de venir chez vous, pour que vous ayez une seconde occasion de joie, et après une halte chez vous de me rendre en Macédoine, et de revenir de Macédoine chez vous pour être accompagné un bout de chemin par vous vers la Judée. »
Il semble que, dans une lettre précédente, Paul avait annoncé ses intentions aux Corinthiens (1 Cor. 5:9). Peu après cependant, il a appris par la maisonnée de Chloé que la congrégation de Corinthe connaissait de graves dissensions (1 Cor. [url=x-apple-data-detectors://2]1:10[/url], 11). Alors, il a décidé de modifier ses plans et a écrit la lettre appelée 1 Corinthiens. Il y conseille ses frères et les reprend avec amour. Il les informe également qu’il prendra un autre itinéraire : il ira d’abord en Macédoine puis à Corinthe (1 Cor. 16:5, 6).
Lorsque les frères de Corinthe ont reçu sa lettre, il semble que certains « super-apôtres » de la congrégation l’ont accusé d’être versatile, de manquer à sa parole. Pour sa défense, Paul a demandé : « Eh bien, quand je me proposais cela, je n’ai pas fait preuve de légèreté, n’est-ce pas ? Ou bien les choses que je projette, est-ce que je les projette selon la chair, pour que chez moi il y ait “Oui, Oui” et “Non, Non” ? » (2 Cor. [url=x-apple-data-detectors://3]1:17[/url] ; 11:5).
En l’occurrence, Paul avait-il vraiment « fait preuve de légèreté » ? Non, évidemment ! Le mot traduit par « légèreté » évoque la « versatilité » et peut qualifier le comportement d’un individu peu fiable, qui ne tient pas ses promesses. La question rhétorique « Est-ce que je [...] projette [les choses] selon la chair ? » a dû montrer clairement aux Corinthiens que s’il avait changé ses plans, ce n’était pas par manque de fiabilité.
Paul s’est énergiquement défendu : « Mais aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n’est pas Oui et cependant Non » (2 Cor. [url=x-apple-data-detectors://4]1:18[/url]). Nul doute que, s’il a changé ses plans, c’était dans l’intérêt de ses frères et sœurs de Corinthe. On lit en 2 Corinthiens [url=x-apple-data-detectors://5]1:23[/url] qu’il a retardé son passage à Corinthe « pour [les] épargner ». Manifestement, il leur laissait ainsi l’occasion de redresser certaines choses avant sa venue. Et en Macédoine, il a appris par Tite que, comme espéré, sa lettre avait suscité en eux tristesse et repentance, ce qui l’a beaucoup réjoui (2 Cor. [url=x-apple-data-detectors://6]6:11[/url] ; 7:5-7).

papy

papy

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

À propos de Celui qui est à l’origine de la lumière, tant physique que spirituelle, Paul écrit : “ Dieu est celui qui a dit : ‘ Que des ténèbres brille la lumière ’, et il a éclairé nos cœurs pour les illuminer avec la glorieuse connaissance de Dieu par la face de Christ. ” (2 Corinthiens 4:6). Puisque Jéhovah nous accorde l’immense honneur de faire de nous ses ministres, gardons-nous purs, afin d’être en mesure de refléter sa gloire comme des miroirs.
Les individus qui sont dans les ténèbres spirituelles sont incapables de voir la gloire de Jéhovah ou le reflet qu’en donne Jésus Christ. Mais nous qui servons Jéhovah, nous captons la lumière glorieuse qui émane des Écritures et nous la reflétons vers autrui. Ceux qui sont actuellement dans les ténèbres ont absolument besoin de la lumière venant de Dieu pour échapper à la destruction. D’où notre joie et notre zèle à obéir au commandement divin d’illuminer les ténèbres, à la gloire de Jéhovah. TG2004 15/3 p17 §9,10

23Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 14 Mai - 11:33

Josué

Josué
Administrateur

 Mon compagnon de travail pour vos intérêts ” ***
DES difficultés surgissaient parfois dans la congrégation chrétienne du Ier siècle. Pour les résoudre, il fallait du courage et de l’obéissance. Tite a été un homme qui a réussi à régler plus d’une fois de tels problèmes. Collaborateur de l’apôtre Paul, il s’efforçait sincèrement d’aider ses compagnons à faire les choses à la manière de Jéhovah. C’est pourquoi Paul a dit aux chrétiens de Corinthe que Tite était ‘ son compagnon de travail pour leurs intérêts ’. — 2 Corinthiens 8:23.
Qui était Tite ? En quoi a-t-il contribué à régler des problèmes ? Quelles leçons pouvons-nous tirer de l’analyse de sa conduite ?
La question de la circoncision
Tite était un Grec, un incirconcis (Galates 2:3). Il était peut-être un des enfants spirituels de l’apôtre Paul, puisque celui-ci l’appelle “ mon véritable enfant selon une foi qui nous est commune ”. (Tite 1:4 ; voir aussi 1 Timothée 1:2.) Vers 49 de notre ère, quand Paul, Barnabas et des frères d’Antioche de Syrie se sont rendus à Jérusalem pour débattre de la question de la circoncision, Tite était avec eux. — Actes 15:1, 2 ; Galates 2:1.
Certains supposent que Tite avait été emmené à Jérusalem parce qu’on allait y débattre de la conversion des Gentils incirconcis et qu’il servirait de preuve que les Juifs et les non-Juifs, circoncis ou non, pouvaient obtenir la faveur de Dieu. Des membres de la congrégation de Jérusalem, Pharisiens avant d’accepter le christianisme, soutenaient que les convertis d’origine gentile avaient l’obligation de se faire circoncire et d’observer la Loi. Mais leur avis était contesté. Forcer Tite et les autres Gentils à se faire circoncire serait revenu à nier que le salut dépend de la faveur imméritée de Jéhovah et de la foi en Jésus Christ plutôt que des œuvres de la Loi. Cela serait revenu aussi à rejeter la preuve que les Gentils, les gens des nations, avaient reçu l’esprit saint de Dieu. — Actes 15:5-12.
Dépêché à Corinthe
Quand la question de la circoncision a été réglée, Paul et Barnabas se sont vu accorder toute autorité pour prêcher aux nations. En même temps, ils ont veillé aussi à penser aux pauvres (Galates 2:9, 10). En effet, lorsque Tite est de nouveau mentionné dans le récit inspiré, environ six ans plus tard, il se trouve à Corinthe comme envoyé de Paul chargé d’organiser une collecte pour les saints. Toutefois, pendant qu’il accomplissait sa mission, Tite a rencontré une autre situation tendue.
La correspondance de Paul avec les Corinthiens révèle qu’il leur avait écrit de “ cesser de fréquenter les fornicateurs ”. Il avait été obligé de leur dire d’ôter du milieu d’eux un fornicateur non repentant. Il leur avait écrit une lettre énergique, “ avec bien des larmes ”. (1 Corinthiens 5:9-13 ; 2 Corinthiens 2:4.) Dans le même temps, Tite avait été dépêché à Corinthe pour aider à la collecte qui y était organisée pour les chrétiens indigents de Judée. Peut-être avait-il été envoyé également pour observer la réaction des Corinthiens à la lettre de Paul. — 2 Corinthiens 8:1-6.
Comment les Corinthiens allaient-ils réagir aux conseils de l’apôtre ? On suppose que, impatient de le savoir, Paul a envoyé Tite à Corinthe depuis Éphèse par la mer Égée, avec l’instruction de revenir lui donner des nouvelles dès que possible. S’il achevait sa mission avant que la navigation cesse pour l’hiver (vers la mi-novembre), Tite pourrait aller à Troas en bateau ou prendre la voie terrestre, plus longue, passant par l’Hellespont. Paul est probablement arrivé avant lui au lieu convenu à Troas, puisque l’émeute provoquée par les orfèvres lui a fait quitter Éphèse plus tôt que prévu. Après l’avoir attendu avec inquiétude à Troas, Paul a compris que Tite ne viendrait pas par la mer. Il est parti aussitôt par voie de terre dans l’espoir de le rencontrer en chemin. Arrivé sur le sol européen, Paul a sans doute emprunté la via Egnatia, et finalement il a retrouvé Tite en Macédoine. Il a été soulagé et heureux d’entendre que les nouvelles de Corinthe étaient bonnes. La congrégation avait bien réagi à ses conseils. — 2 Corinthiens 2:12, 13 ; 7:5-7.
Bien que Paul se soit inquiété pour l’accueil que recevrait son messager, Dieu avait aidé Tite à accomplir sa mission. Tite avait été reçu avec “ crainte et tremblement ”. (2 Corinthiens 7:8-15.) Voici une remarque du commentateur W. Thomas : “ On peut supposer que, sans édulcorer la force du blâme de Paul, [Tite] supplia les Corinthiens avec habileté et doigté ; il leur assura qu’en leur parlant comme il l’avait fait Paul n’avait en tête que leur bonne santé spirituelle. ” Au cours de sa mission, Tite s’était attaché aux chrétiens de Corinthe parce qu’ils avaient un esprit obéissant et avaient changé en bien. Leur attitude louable avait été pour lui un bel encouragement.
Qu’en fut-il de l’autre aspect de la mission de Tite à Corinthe, à savoir la collecte pour les saints de Judée ? Tite s’en était acquitté aussi, ce que l’on déduit du contenu de 2 Corinthiens. Cette lettre a probablement été écrite en Macédoine pendant l’automne 55 de notre ère, peu après la rencontre entre Tite et Paul. Paul y écrit que Tite, qui avait commencé la collecte, était maintenant envoyé de nouveau à Corinthe pour la terminer avec deux auxiliaires (dont il ne donne pas le nom). Comme il s’intéressait sincèrement aux Corinthiens, Tite était très désireux de retourner les voir. En prenant le chemin de Corinthe, il a probablement emporté la seconde lettre, divinement inspirée, de Paul aux Corinthiens. — 2 Corinthiens 8:6, 17, 18, 22.
Non seulement Tite était un bon organisateur, mais il était aussi le genre d’homme à qui on pouvait confier des missions délicates dans des situations difficiles. Il était courageux, mûr et ferme. À l’évidence, Paul estimait Tite capable de venir à bout des difficultés que posaient alors les “ super-apôtres ”. (2 Corinthiens 11:5.) Cette impression que l’on a de Tite est confirmée par la mention ultérieure que font de lui les Écritures, dans un autre rôle exigeant.

24Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 20 Mai - 10:53

Josué

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Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Rappelons-nous comment Satan s’y est pris pour tromper Ève. L’apôtre Paul a écrit : “ J’ai peur que d’une manière ou d’une autre — comme le serpent a séduit Ève par sa ruse — votre intelligence ne se corrompe loin du Christ. ” (2 Corinthiens 11:3). En se servant d’un serpent, un animal d’ordinaire prudent, Satan a séduit Ève : il l’a persuadée d’adopter une conduite aux conséquences désastreuses. Pour cela, il s’est efforcé de corrompre son intelligence, de fausser son raisonnement. Sa tactique a réussi. Ève l’a écouté, et sa façon de voir les choses a changé : ce qui était répréhensible est devenu désirable. Son intelligence ayant été corrompue, il devenait facile d’amener Ève à commettre un péché. 
Satan n’a pas changé. Son principe de base reste le même : corrompre l’intelligence de sorte que les péchés s’ensuivent. Pour diffuser sa propagande, Satan dispose de la politique, de la religion, du commerce et des divertissements du système actuel. Les chrétiens ne sont pas à l’abri des méthodes de Satan. Heureusement, Jéhovah nous avertit des méthodes de Satan – Livre Amour de Dieu p192

Paul ne considérait pas son métier comme une vocation ou une carrière. Il ne l’exerçait que pour subvenir à ses besoins dans le ministère, pour annoncer la bonne nouvelle ‘ sans qu’il en coûte rien ’ à personne (2 Cor. 11:7). Et Priscille et Aquila, comment considéraient-ils leur travail profane ? Certainement comme Paul, puisqu’ils étaient chrétiens. D’ailleurs, quand Paul a quitté Corinthe en 52, ils ont déménagé et l’ont suivi à Éphèse, où leur maison a servi de lieu de réunion pour la congrégation locale (1 Cor. 16:19). Plus tard, ils sont revenus à Rome, puis de nouveau à Éphèse. Ces croyants zélés donnaient la priorité aux intérêts du Royaume et se sont dépensés volontiers au service des autres, ce qui leur a valu la gratitude de “ toutes les congrégations des nations ”.
Aujourd’hui, les chrétiens imitent Paul, Aquila et Priscille. Ainsi, des ministres zélés font tout “ pour n’imposer de fardeau coûteux à personne ”. Dignes d’éloges, beaucoup de prédicateurs à plein temps travaillent à temps partiel ou comme saisonniers pour gagner leur vie tout en suivant leur vocation, le ministère chrétien. Comme Aquila et Priscille, beaucoup de serviteurs de Jéhovah ouvrent cordialement leur foyer aux responsables de circonscription – Livre Rends témoignage p148-150.

Vers l’an 55, Paul envoya Tite à Corinthe pour qu’il aide la congrégation à rassembler les dons destinés aux chrétiens de Judée qui se trouvaient dans le besoin, et peut-être aussi pour voir si elle suivait les conseils qu’il lui avait adressés. Écrivant par la suite aux Corinthiens, Paul leur rappela la visite encore récente de Tite et leur posa cette question: Est-ce que Tite vous a tant soit peu exploités? N’avons-nous pas marché dans le même esprit ? sur les mêmes traces ?” (2 Corinthiens 12:18). Qu’entendait Paul par marcher “dans le même esprit” et “sur les mêmes traces”?
L’apôtre indiquait par-là que Tite et lui œuvraient dans l’unité. Tite accompagnait parfois Paul dans ses voyages, et nul doute qu’il avait beaucoup appris grâce à lui. Toutefois, l’unité qui existait entre les deux hommes avait un fondement plus solide: tous deux entretenaient de belles relations avec Jéhovah et suivaient les traces de Christ; oui, Tite imitait Paul comme Paul imitait le Christ. Par conséquent, c’est dans l’esprit de Jésus et sur ses traces que marchaient ces deux disciples.
Il n’est donc pas étonnant que les vrais chrétiens, qui marchent “dans le même esprit” et sur “les mêmes traces” que Paul et Tite, jouissent d’une unité incomparable - TG 1988 1/5 p16 §3-5

13:5. ‘ ’Examinez-vous sans cesse pour voir si vous êtes dans la foi » implique de juger notre conduite d’après ce que nous apprenons de la Bible. ‘ S’examiner ce que nous sommes nous-mêmes ’ signifie évaluer notre niveau de spiritualité, notamment la finesse de nos “ facultés de perception ” et l’étendue de nos œuvres de foi. Appliquons le sage conseil de Paul, et nous continuerons à marcher sur la voie de la vérité. – TG2008 15/7 p28

L’apôtre Paul a fourni certains moyens de cultiver un point de vue positif. Il a adressé cette exhortation à la congrégation de Corinthe : « Examinez-vous sans cesse pour voir si vous êtes dans la foi ; vérifiez sans cesse ce que vous êtes vous-mêmes. (2 Cor. 13:5). « La foi » désigne l’ensemble des croyances révélées dans la Bible. Si nos paroles et nos actes sont en accord avec ces croyances, nous passons l’épreuve avec succès : nous montrons que nous sommes « dans la foi ». Bien sûr, nous devons comparer notre vie avec l’intégralité des enseignements chrétiens. Il n’est pas question de faire un tri en fonction de nos préférences.
Tu hésites peut-être à te soumettre à cette épreuve, surtout si tu as peur d’échouer. Pourtant, le regard que Jéhovah porte sur nous est plus important que le nôtre et ses pensées bien plus hautes que les nôtres. Dieu observe ses adorateurs, non pour les condamner, mais pour découvrir leurs qualités et leur venir en aide. Si tu te sers de sa Parole « pour voir si tu es dans la foi », tu te verras davantage comme lui te voit. Cette démarche peut t’aider à remplacer l’idée selon laquelle tu n’as pas de valeur à ses yeux par cette assurance biblique : Tu es précieux aux yeux de Jéhovah. Et là, ce sera comme si les rideaux d’une pièce plongée dans le noir s’ouvraient pour laisser entrer le soleil.
Une bonne façon de mener cet examen personnel consiste à méditer sur l’exemple de fidèles dont parle la Bible. Compare leur situation ou leurs sentiments aux tiens, et demande-toi ce que tu aurais fait à leur place. – TG2014 15/3 p13 §5-7

En 33 de notre ère, le Diable a meurtri la Semence, Jésus Christ, en provoquant sa mort. Ce faisant, Satan accomplissait l’Écriture et apportait par là même la preuve, bien que ce ne fût évidemment pas son intention, que Jéhovah est un Dieu de vérité. Sa haine de la vérité et de la justice ainsi que son attitude d’esprit orgueilleuse et non repentante l’ont conduit à faire exactement ce que Dieu avait prédit. Ainsi, pour tout opposant à la vérité, fût-ce Satan en personne, se vérifie ce principe : “ Nous ne pouvons rien faire contre la vérité, mais seulement pour la vérité. ” — 2 Corinthiens 13:8. – TG1997 1/6 p9

Les chrétiens sont semblables à des bateaux dans l’océan de l’humanité. Notre objectif est d’“être finalement trouvés par Jéhovah sans tache et sans défaut, et dans la paix”. (2 Pierre 3:14.) Mais tout comme pour un bateau, des forces, internes et externes, tendent à nous faire dévier. Par conséquent, combien sont appropriées ces paroles que Paul a adressées aux Corinthiens: « nous prions : pour votre redressement.’ continuez à vous laisser redresser »— 2 Corinthiens 13:9, 11. À notre époque, les Témoins de Jéhovah doivent eux aussi travailler à leur redressement. Satan le Diable ‘fait la guerre’ contre nous, s’efforçant fébrilement de briser notre intégrité. Nous devons également faire sans cesse la guerre à nos tendances pécheresses héréditaires. Sans un redressement constant, nous pourrions facilement dévier – TG1990 1/11 p29-31

samuel

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*** w87 1/8 p. 13 § 11-14 Christ dirige activement sa congrégation ***

Le Christ a soutenu les membres du collège central
   La première fois que Paul chercha à entrer en relation avec les disciples de Christ qui se trouvaient à Jérusalem, ceux-ci se montrèrent, c’est compréhensible, peu désireux de le rencontrer. “Alors Barnabas vint à son secours et le mena aux apôtres.” (Actes [url=x-apple-data-detectors://1]9:26[/url], 27). Paul passa quinze jours en compagnie de l’apôtre Pierre. Il fit également la connaissance de Jacques, demi-frère de Jésus, qui était maintenant l’un des anciens de la congrégation de Jérusalem (Galates [url=x-apple-data-detectors://2]1:18[/url], 19). Plus loin, le livre des Actes montre que les anciens de Jérusalem sont devenus membres du collège central de la congrégation chrétienne primitive, aux côtés des douze apôtres. — Actes 15:2; [url=x-apple-data-detectors://3]21:18[/url].
   Au cours des deux semaines qu’il passa à Jérusalem, Paul donna le témoignage aux Juifs de langue grecque, mais “ceux-ci cherchaient à le supprimer”. Luc ajoute: “Quand les frères s’en rendirent compte, ils le firent descendre à Césarée et l’envoyèrent à Tarse.” (Actes 9:28-30). Toutefois, qui était derrière cette sage décision? Des années après, lorsqu’il relata cet événement, Paul déclara que c’était Jésus qui lui était apparu et lui avait ordonné de quitter rapidement Jérusalem. Paul avait voulu raisonner avec Jésus, mais celui-ci lui avait répondu: “Va, car je t’enverrai vers les nations lointaines.” (Actes [url=x-apple-data-detectors://4]22:17-21[/url]). Depuis sa demeure céleste, le Christ suivait les événements de près et il agissait à la fois par l’intermédiaire des frères qui avaient la responsabilité de la congrégation de Jérusalem et en parlant directement à Paul.
   De même, une lecture attentive des Écritures montre clairement que le Christ était à l’origine de l’importante réunion tenue par le collège central afin de décider de cette question: les Gentils devenus chrétiens devaient-ils ou non se faire circoncire et se soumettre à la loi de Moïse? Le livre des Actes déclare que lorsqu’éclata le conflit “on [probablement les membres responsables, c’est-à-dire les anciens, de la congrégation d’Antioche] décida que Paul et Barnabas et quelques autres d’entre eux monteraient à Jérusalem auprès des apôtres et des aînés, à propos de cette discussion”. (Actes 15:1, 2.) Cependant, lorsque Paul décrit les circonstances qui l’ont conduit à se rendre à Jérusalem pour que soit réglée la question de la circoncision, il déclare: “J’y suis monté à la suite d’une révélation.” (Galates 2:1-3; voir [url=x-apple-data-detectors://6]1:12[/url]). Étant le Chef actif de la congrégation, le Christ voulait que cette importante question doctrinale soit réglée par le collège central dans son entier. Par l’intermédiaire de l’esprit saint, il guida l’esprit de ces hommes dévoués dans la décision qu’ils prirent. — Actes [url=x-apple-data-detectors://7]15:28[/url], 29.

26Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 3 Juin - 13:17

Josué

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Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

L’importance de l’unité chrétienne
 - À Rome, vivaient des croyants d’origine juive et d’origine gentile. Apparemment, certains chrétiens d’origine juive ne parvenaient pas à s’affranchir de coutumes qu’ils observaient sous la Loi mosaïque, même s’ils avaient compris qu’elles n’étaient pas indispensables au salut. D’autres chrétiens d’origine juive acceptaient l’idée que le sacrifice du Christ les avait libérés d’exigences qu’ils suivaient avant de devenir chrétiens. De ce fait, ils avaient changé une partie de leurs habitudes et de leurs coutumes (Galates 4:8-11). Tous, Paul en témoignait, étaient des “ bien-aimés de Dieu ”. Tous pouvaient louer Dieu “ d’une seule bouche ”, pourvu qu’ils conservent les uns envers les autres la bonne attitude mentale. De nos jours encore, nous n’avons pas forcément le même point de vue sur certaines questions. Il nous sera donc bénéfique d’examiner les explications de Paul sur ce principe important. – TG2004 1/9 §4

Paul a énuméré “ les œuvres de la chair ”, nombreuses et “ manifestes ”. Avant que quelqu’un ne prenne conscience de la valeur des exigences de Dieu, il suit dans sa vie les voies du monde et se livre parfois à certaines choses mentionnées par Paul : “ Or les œuvres de la chair se voient clairement ; ce sont actes sexuels immoraux, impureté, conduite indigne et effrontée, idolâtrie, spiritisme, hostilité, querelle, jalousie, accès de colère, dissensions, divisions, dissidences, envie, ivresse, fêtes débridées et choses semblables » (Galates 5:19-21). Mais en progressant spirituellement, il se débarrasse peu à peu de ces “ œuvres de la chair ” indésirables et les remplace par “ le fruit de l’esprit ”. Sa transformation évidente atteste qu’il avance vers la maturité chrétienne. — Galates 5:22. – TG2001 1/8 p15 §13

6:1, 2, 5. Ceux qui ont les “ aptitudes spirituelles ” peuvent nous aider à porter un fardeau, comme quelque chose de pénible ou de lourd résultant d’un faux pas que nous aurions fait sans nous en rendre compte. Toutefois, c’est à nous qu’il revient de porter la charge que sont nos responsabilités spirituelles. – TG2008 15/8 p26

RESPECTONS LE LIBRE ARBITRE DES AUTRES - Une des limites à notre libre arbitre est notre devoir de respecter le droit des autres à prendre leurs propres décisions. Pourquoi ? Étant donné que tous ont le don du libre arbitre, deux chrétiens ne prendront pas toujours exactement la même décision. Cela se vérifie aussi dans les questions concernant la conduite et le culte. Rappelle-toi le principe de Galates 6:5 « Car chacun portera sa propre charge ». Si nous reconnaissons que chaque chrétien doit « porter sa propre charge », nous respecterons le droit des autres à user de leur propre libre arbitre. – TG2017/1 §15

Dans sa lettre aux Galates, Paul a mis en évidence une autre raison encore pour laquelle de prétendus chrétiens tenaient à suivre la Loi. Il a expliqué que ces hommes voulaient paraître respectables en étant membres d’une religion établie. Au lieu de se démarquer de leur entourage, ils étaient prêts à presque tous les compromis pour se fondre dans la masse. Ils préféraient l’approbation des hommes à celle de Dieu. — Galates 6:12.
Les chrétiens avisés qui ont étudié attentivement les écrits divinement inspirés rédigés par Paul et d’autres ont tiré les bonnes conclusions concernant la Loi mosaïque. Cependant, il a fallu attendre l’an 70 pour que ces conclusions s’imposent à tous les chrétiens d’origine juive. Ils ont dû se rendre à l’évidence quand Dieu a permis la destruction de Jérusalem, de son temple et des registres relatifs à la prêtrise. Il était dorénavant impossible d’observer tous les aspects de la Loi. 
Après avoir examiné ces événements anciens, peut-être vous demandez-vous : ‘ Si j’avais vécu à l’époque, comment aurais-je réagi à la révélation progressive de la volonté divine ? Me serais-je accroché à la tradition ? Ou aurais-je attendu patiemment que la bonne compréhension soit explicite ? Et à ce moment-là, l’aurais-je adoptée sans réserve ? 
Bien entendu, nous ne pouvons pas dire avec certitude comment nous aurions réagi si nous avions vécu alors. Il n’empêche que nous pouvons nous poser ces questions : ‘ Quelle est ma réaction lorsqu’une explication biblique est affinée. Quand Jéhovah nous guide au moyen de sa Parole, de son esprit ou de son organisation terrestre, écoutons attentivement. Il nous accordera pour l’éternité une vie qui nous comblera de bonheur – TG2003 15/3 §16-19

27Joyaux de la parole de Dieu. Empty Ephèsiens 1-3 Lun 10 Juin - 10:09

Josué

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À propos de l’époque où a lieu le marquage initial, l’apôtre Paul a écrit aux chrétiens oints : “ Vous avez espéré en lui après avoir entendu la parole de vérité, la bonne nouvelle concernant votre salut. Par son moyen aussi, après avoir cru, vous avez été scellés de l’esprit saint promis. ” (Éphésiens 1:13, 14). À de nombreuses reprises, le récit biblique montre que les chrétiens du Ier siècle étaient effectivement scellés peu après avoir entendu la bonne nouvelle et avoir cru au Christ. Ce marquage au sceau attestait qu’ils étaient agréés de Dieu. Pourtant, cela ne signifiait pas qu’ils étaient agréés définitivement. Pourquoi cela ? Paul a déclaré que les chrétiens oints sont “ scellés pour un jour de libération ”. (Éphésiens 4:30.) Cela indique qu’il doit s’écouler un certain temps, habituellement de nombreuses années, après ce marquage initial. À compter du jour où ils ont été scellés à l’aide de l’esprit saint, ces oints doivent rester fidèles jusqu’au ‘ jour où ils sont libérés ’ de leurs corps de chair, c’est-à-dire jusqu’à leur mort – TG2007 1/1 p31

Tous les oints ne prennent pas conscience de leur appel céleste exactement de la même manière. Pour certains, cette prise de conscience est soudaine et pour d’autres, elle est progressive. Mais quoi qu’il en soit, chacun possède ce dont l’apôtre Paul a parlé ainsi : « Après avoir cru, vous avez été scellés de l’esprit saint promis, qui est un gage par anticipation de notre héritage » (Éph. 1:13, 14). Cette opération particulière de l’esprit saint est comparable à un acompte, une garantie (ou gage) de ce qui est à venir. Ce « gage » donne aux chrétiens oints l’intime conviction d’avoir l’espérance céleste. Le chrétien qui reçoit ce « gage » a-t-il la garantie qu’il vivra au ciel ? Non. Il est sûr d’y avoir été invité, mais il ne recevra sa récompense céleste que s’il se montre fidèle jusqu’à la fin, sa mort. – TG2016/1 p18

28Joyaux de la parole de Dieu. Empty Ephésiens 4_6 Lun 17 Juin - 11:40

Josué

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Prêchons avec franchise - Comment pouvons-nous prêcher avec franchise même dans des situations qui ont tout pour nous intimider ? Penchons-nous sur l’exemple de l’apôtre Paul. Emprisonné à Rome, il a demandé à ses compagnons chrétiens de prier ‘ afin que la capacité de parler lui soit donnée quand il ouvrait la bouche, afin qu’il puisse parler avec hardiesse comme il devait parler ’. (Éphésiens 6:19, 20.) Leurs prières ont-elles été entendues ? Sans l’ombre d’un doute ! Durant son incarcération Paul a continué de ‘ [b]prêcher le Royaume de Dieu [...] avec la plus grande franchise, sans empêchement[/b] - TG2006 15/5 p14

29Joyaux de la parole de Dieu. Empty Colossiens Mar 2 Juil - 8:09

Mikael

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5/5 p. 30-31 Épaphras : “ Un fidèle ministre du Christ ” ***
QUI a fondé les congrégations chrétiennes de Corinthe, d’Éphèse et de Philippes ? Peut-être répondriez-vous sans hésitation : ‘ Paul, l’“ apôtre des nations ”. ’ (Romains [url=x-apple-data-detectors://1]11:13[/url]). Vous auriez raison.
Mais savez-vous qui a établi celles de Colosses, de Hiérapolis et de Laodicée ? Il s’agirait, sans qu’on puisse l’affirmer, d’un nommé Épaphras. Quoi qu’il en soit, sans doute aimeriez-vous faire plus ample connaissance avec cet évangélisateur, qu’on a qualifié de “ fidèle ministre du Christ ”. — Colossiens 1:7.
Évangélisateur de la vallée du Lycus
Le nom Épaphras est une abréviation d’Épaphrodite ; mais Épaphras n’est pas à confondre avec l’Épaphrodite de Philippes. Il était originaire de Colosses, une des trois villes de la vallée du Lycus, en Asie Mineure, où se trouvaient des congrégations chrétiennes. Colosses se situait à environ 18 kilomètres de Laodicée et 19 kilomètres de Hiérapolis, dans l’ancienne région de Phrygie.
La Bible ne précise pas comment la bonne nouvelle du Royaume a atteint la Phrygie. Néanmoins, des Phrygiens, dont certains pouvaient venir de Colosses, étaient présents à Jérusalem le jour de la Pentecôte en 33 de notre ère (Actes 2:1, 5, 10). Lorsque Paul prêcha à Éphèse (vers 52-55 de notre ère), le témoignage donné fut si énergique et si efficace que non seulement les Éphésiens mais aussi “ tous ceux qui habitaient dans le district d’Asie entendirent la parole du Seigneur, tant Juifs que Grecs ”. (Actes 19:10.) Il semblerait que Paul n’ait pas prêché la bonne nouvelle dans la vallée du Lycus, car les nombreuses personnes qui étaient devenues chrétiennes dans cette région ne l’avaient jamais vu. — Colossiens 2:1.
Selon l’apôtre Paul, ce fut Épaphras qui enseigna aux Colossiens “ la faveur imméritée de Dieu dans la vérité ”. Le fait que Paul qualifie ce coesclave de ‘ fidèle ministre du Christ à notre place ’ indique qu’Épaphras était un évangélisateur actif dans la région. — Colossiens 1:6, 7.
L’apôtre Paul et l’évangélisateur Épaphras se souciaient beaucoup de la santé spirituelle de leurs compagnons dans la foi vivant dans la vallée du Lycus. En tant qu’“ apôtre des nations ”, Paul dut se réjouir de recevoir des nouvelles de leurs progrès ; c’est d’ailleurs par Épaphras qu’il fut informé de l’état spirituel des Colossiens. — Colossiens 1:4, 8.
Le rapport d’Épaphras
Les problèmes auxquels faisaient face les Colossiens étaient suffisamment graves pour qu’Épaphras ait accompli le long voyage qui menait jusqu’à Rome dans le but précis d’en discuter avec Paul. Selon toute vraisemblance, c’est son rapport détaillé qui poussa l’apôtre à adresser deux lettres à ces frères qu’il ne connaissait pas. L’une était destinée aux Colossiens ; l’autre, qui, semble-t-il, n’a pas été préservée, était envoyée aux Laodicéens (Colossiens [url=x-apple-data-detectors://2]4:16[/url]). Il est raisonnable de penser que le contenu de ces lettres visait à répondre aux besoins de ces chrétiens, tels qu’Épaphras les avait perçus. Qu’avait-il remarqué ? Et qu’est-ce que cela nous apprend sur sa personnalité ?
La lettre aux Colossiens semble indiquer qu’Épaphras s’inquiétait du danger que représentaient pour les chrétiens de Colosses les philosophies païennes comme l’ascétisme, le spiritisme et la superstition idolâtrique. De plus, il se peut que quelques membres de la congrégation se soient laissé influencer par la doctrine juive sur l’abstinence d’aliments et sur l’observance de certains jours. — Colossiens 2:4, 8, 16, 20-23.
Le fait que Paul aborde ces sujets nous montre qu’Épaphras était vigilant et sensible aux besoins de ses compagnons chrétiens. Il se préoccupait avec amour de leur bonheur spirituel, conscient des dangers qui régnaient dans leur environnement. Épaphras recherchait le conseil de Paul, ce qui témoigne de son humilité. Peut-être a-t-il ressenti le besoin de se tourner vers quelqu’un de plus expérimenté. En tout cas, Épaphras a agi sagement. — Proverbes [url=x-apple-data-detectors://3]15:22[/url].

30Joyaux de la parole de Dieu. Empty 1 Thessaloniciens. Mar 9 Juil - 7:23

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Points marquants des lettres aux Thessaloniciens et à Timothée ***
[url=x-apple-data-detectors://1]5:23[/url] — Que voulait dire Paul quand il a exprimé le souhait que “ l’esprit et l’âme et le corps [des frères] soient conservés ” ? Paul faisait référence à l’esprit, à l’âme et au corps de la congrégation chrétienne dans son ensemble, qui comprenait les chrétiens oints de Thessalonique. Au lieu de demander simplement que la congrégation soit préservée, il a prié pour qu’elle conserve son “ esprit ”, ou état d’esprit. Il a aussi prié en faveur de l’“ âme ” de la congrégation, sa vie ou existence, et de son “ corps ”, que constituait l’ensemble des chrétiens oints (1 Cor. [url=x-apple-data-detectors://2]12:12[/url], 13). Par conséquent, cette prière souligne le profond intérêt que Paul portait à la congrégation

31Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 15 Juil - 14:08

Josué

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Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

Que faire si nous sommes traités injustement ? Jésus a aussi enseigné à ses disciples qu’ils devaient être convaincus que Jéhovah ferait en sorte que « justice soit rendue à ceux [...] qui crient vers lui jour et nuit » (Luc 18:6, 7). Cette déclaration est en fait une promesse : notre Dieu juste est conscient des épreuves que nous subissons en ces derniers jours, et il fera en sorte que justice nous soit rendue en temps voulu (2 Thess. 1:6). Si nous sommes victimes d’injustices dans le monde de Satan, nous pouvons trouver du réconfort en nous rappelant que, c’est une certitude, Jéhovah nous rendra justice. – TG2019/5 p7 §18,19

Que nous soyons dans la vérité depuis longtemps ou pas, pour être sauvés à Armaguédon, nous devons montrer que nous ‘connaissons Dieu’ et que nous ‘obéissons à la bonne nouvelle concernant notre Seigneur Jésus’ (2 Thess. 1:7-9). Connaître Dieu, c’est savoir ce qu’il aime, ce qu’il n’aime pas et quelles sont ses normes. C’est aussi l’aimer, lui obéir et n’adorer que lui. Quand nous montrons que nous connaissons Dieu, nous avons l’honneur d’être ‘connus de lui’, ce qui nous permettra d’être sauvés à Armaguédon !. Pourquoi ? Parce qu’« être connu de Dieu » signifie avoir son approbation. Armaguédon est une bonne nouvelle pour ceux qui connaissent Dieu, qui obéissent à son Fils et qui sont déterminés à endurer jusqu’à la fin – TG2019/9 p13 §16

Satan empêche les gens de savoir qui est Jéhovah
. Après la mort des apôtres, de soi-disant chrétiens ont commencé à répandre de faux enseignements (2 Thess. 2:3). Ces apostats ont rendu floue l’identité du seul vrai Dieu. Par exemple, ils ont arrêté d’utiliser le nom de Dieu dans leurs copies de la Bible et l’ont remplacé par « Seigneur » ou d’autres titres. Il est alors devenu difficile pour un lecteur de la Bible de faire la différence entre Jéhovah et les autres « seigneurs » mentionnés dans ce livre (1 Cor. 8:5). Comme ils ont utilisé le même mot, « Seigneur », pour Jéhovah et pour Jésus, beaucoup ne se rendent pas compte que Jéhovah et son Fils sont des personnes différentes, qui occupent des positions différentes. Cette confusion a contribué à la naissance du dogme de la Trinité, un dogme qui n’est pas enseigné dans la Bible. Depuis, beaucoup pensent que Dieu est un mystère et que nous ne pouvons pas le connaître. Mais c’est complètement faux – TG2019/6 p7 §11

Notre cœur est consolé. Un grand bienfait de la faveur imméritée de Jéhovah est la consolation pour un cœur en détresse. Paul a écrit aux chrétiens de Thessalonique, qui subissaient la persécution : « Que notre Seigneur Jésus Christ lui-même et Dieu notre Père, qui nous a aimés et a donné consolation éternelle et bonne espérance par le moyen de la faveur imméritée, consolent vos cœurs et vous affermissent » (2 Thess. 2:16, 17). Comme il est réconfortant de savoir que, dans sa générosité, Jéhovah nous porte une attention pleine d’amour – TG2016/7 §14

Nous devons protéger notre amitié avec Jéhovah 
: c’est ce que nous avons de plus précieux. C’est pour cela que nous ne voulons pas avoir comme ami quelqu’un qui pourrait mettre en danger notre foi ou notre amitié avec Jéhovah. Si nous plongeons une éponge dans de l’eau sale, nous ne pouvons pas espérer qu’elle soit pleine d’eau propre. De la même façon, si nous avons des amis qui font des choses mauvaises, nous ne pouvons pas espérer que ce sera facile pour nous de faire des choses bonnes. Nous devons choisir nos amis avec prudence (2 Thessaloniciens 3:6, 7,14). Plus nous imiterons Jéhovah, plus les autres auront envie d’être nos amis – lvs chap3 p31 §14

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?


L’apostasie, c’est prendre position contre la vérité contenue dans la Bible. Les apostats se rebellent contre Jéhovah et contre Jésus, le Roi du royaume de Dieu, et ils poussent les autres à se joindre à eux. Ils veulent faire naître des doutes dans l’esprit de ceux qui adorent Jéhovah. Certains membres de l’assemblée du premier siècle sont devenus apostats, et il en est de même de nos jours (2 Thessaloniciens 2:3). Ceux qui sont fidèles à Jéhovah n’ont rien à faire avec les apostats. Nous ne voudrons jamais laisser les pressions qu’on exerce sur nous ou la curiosité nous amener à lire ou à écouter les idées des apostats. Nous sommes fidèles à Jéhovah et nous n’adorons que lui. – lvs p255 Notes

Après la mort des apôtres, de faux enseignants ont fait entrer dans l’assemblée des idées fausses et des fêtes et des coutumes païennes. Ils ont même donné un nouveau nom à des fêtes païennes pour donner l’impression qu’elles étaient chrétiennes (2 Thessaloniciens 2:7, 10). Beaucoup de ces fêtes sont toujours populaires aujourd’hui. Et elles favorisent de fausses croyances, et même le spiritisme. Aujourd’hui, partout dans le monde, les fêtes ont une grande importance dans la vie des gens – lvs chap13 p172 §3

Satan veut qu’on ait peur de lui (2 Thessaloniciens 2:9, 10). C’est un menteur. Il sait comment manipuler ceux qui sont attirés par le spiritisme et leur faire croire des choses qui ne sont pas forcément vraies. Ces personnes racontent peut-être des choses qu’elles croient avoir vues ou entendues. Plus ces histoires sont répétées, plus elles sont exagérées. Nous ne voulons pas aider Satan, en répétant ces histoires, à répandre la peur parmi les humains.
Les adorateurs de Jéhovah ne doivent pas du tout avoir peur de ce que le Diable et les démons peuvent faire. Nous devons plutôt nous concentrer sur Jésus et sur le pouvoir que Jéhovah lui a donné. N’oublions pas que l’objectif de Satan est de détruire notre amitié avec Jéhovah. Il va tout essayer pour y arriver. Mais nous connaissons ses méthodes et nous sommes bien décidés à résister à toutes les formes de spiritisme. Nous ‘ne donnerons pas de prise au Diable’ : nous ne lui donnerons pas l’occasion de nous décourager. Si nous nous opposons au Diable, nous ne tomberons pas dans ses pièges et nous serons en sécurité, protégés par Jéhovah – lvs chap16 p225 §20-22

Paul a exhorté ses frères de Thessalonique à « tenir ferme » et à s’attacher à ce qu’ils avaient appris (2 Thessaloniciens 2:15). Qu’étaient ces « traditions » qui leur avaient été enseignées ? Sûrement pas celles que les fausses religions défendaient et présentaient comme aussi valables que le contenu des Écritures. Paul parlait des enseignements que lui et d’autres avaient reçus de Jésus, ainsi que des paroles que Dieu l’avait incité à transmettre, la plupart faisant maintenant partie des Écritures inspirées. Paul a loué ses frères de la congrégation de Corinthe parce que, leur a-t-il écrit, « en toutes choses vous vous souvenez de moi, et [...] vous tenez ferme les traditions comme je vous les ai transmises » (1 Cor. 11:2). De tels enseignements venaient d’une source fiable. Ils étaient dignes de la plus grande confiance – TG2013 15/12 p8 §10

32Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 22 Juil - 11:46

Josué

Josué
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Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

La Bible relie une bonne conscience à la foi et à l’amour. L’apôtre Paul a écrit : « Le but de cet ordre, [...] c’est l’amour qui vient d’un cœur pur, d’une bonne conscience et d’une foi sans hypocrisie » (1 Tim. 1:5). Plus nous éduquerons et écouterons notre conscience, plus notre amour pour Jéhovah et notre foi se renforceront. En réalité, la manière dont nous nous servons de notre conscience révèle la profondeur de notre spiritualité, la qualité de notre cœur et la force de notre désir de plaire à Jéhovah. Ce que nous dicte notre voix intérieure reflète le genre de personnes que nous sommes réellement. TG2015 15/9 p9§3

Nous pouvons cultiver le bon état d’esprit en imitant celui de Jéhovah. Il n’a jamais cessé d’être le “ Dieu heureux ”. (1 Timothée 1:11.) Tandis qu’il attend, il est heureux, car il continue de travailler à l’accomplissement de son dessein : élever à l’état de perfection les humains qui l’aiment, perfection qu’il avait prévue pour eux lorsqu’il les a créés. Et il constate les résultats réjouissants de son travail : des millions de personnes ont été attirées vers le vrai culte. Jésus a dit : “ Mon Père n’a cessé de travailler jusqu’à maintenant, et moi je ne cesse de travailler. ” (Jean 5:17). Faire des choses pour les autres est indispensable au bonheur. Les vrais chrétiens non plus n’attendent pas les bras croisés. Au contraire, ils poursuivent leurs efforts pour aider leurs semblables à connaître le dessein de Dieu concernant le genre humain. – TG2007 1/3 p17

Pour connaître le monde nouveau, l’instruction est indispensable. « Dieu veut que toutes sortes d’hommes soient sauvés et parviennent à une connaissance exacte de la vérité », lit-on en 1 Timothée 2:3, 4. Cette vérité comprend les enseignements de la Bible concernant ce que nous pourrions appeler la constitution du Royaume de Dieu — les lois et les principes grâce auxquels ce Royaume régnera, et dont on peut trouver des exemples dans le Sermon sur la montagne prononcé par Jésus Christ. La “ connaissance exacte de la vérité ” est une condition essentielle à la foi (1 Timothée 2:4). Seule “ la vérité ”, affirme la Bible, “ vous libérera ” des enseignements trompeurs, qu’ils soient scientifiques ou religieux – RV2016/4

Jéhovah a fait preuve d’une sagesse et d’un amour sans pareils quand il a pris des dispositions pour libérer les humains du péché et de ses terribles conséquences, l’imperfection et la mort. Il a fait en sorte que naisse un fils exempt du péché dont tous les autres humains ont hérité, le péché du premier homme, Adam. Cette disposition, la rançon, a été fournie pour que chaque humain qui vit conformément aux principes divins puisse obtenir la vie éternelle. 1 Timothée 2:5, 6. 

Le ‘ saint secret de l’attachement à Dieu ’. Le meilleur exemple d’attachement à Dieu est celui de Jésus Christ. L’apôtre Paul écrivit à Timothée : “ Oui, il faut avouer qu’il est grand, le saint secret de cet attachement à Dieu : ‘ Il a été manifesté dans la chair, a été déclaré juste dans l’esprit, est apparu aux anges, a été prêché parmi les nations, a été cru dans le monde, a été enlevé dans la gloire. ’ ” (1Tm 3:16). Adam, homme parfait, n’avait pas donné un exemple parfait d’attachement à Dieu. Aucun de ses enfants, nés imparfaits, ne pouvait laisser un tel exemple. Qui le pourrait donc ? La venue du Fils de Dieu sur la terre et son intégrité fournirent la réponse, ce qui révéla l’explication du saint secret. C’est vers lui que Timothée devait porter ses regards pour avoir un exemple parfait de conduite empreinte d’attachement à Dieu. — 1Tm 3:15. – it-1 Attachement à Dieu

33Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 30 Juil - 9:29

Josué

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Si nous voulons servir Jéhovah éternellement, nous ne devons pas être motivés uniquement par le sens du devoir. À Timothée, qui servait Jéhovah depuis de nombreuses années, l’apôtre Paul fit cette exhortation : “ Exerce-toi en ayant pour but l’attachement à Dieu. ” (1 Timothée 4:7). L’attachement naît dans un cœur rempli de reconnaissance envers quelqu’un. “ L’attachement à Dieu ” est l’expression d’une profonde déférence pour Jéhovah, d’une grande affection inspirée par une estime illimitée pour sa personne et ses voies. Ce sentiment nous fait désirer que tous tiennent son nom en haute estime. Tel est l’attachement que nous devons cultiver si nous voulons marcher à toujours au nom de Jéhovah, le seul vrai Dieu – wt chap2

Si nous remarquons que le désir de devenir plus riche grandit dans notre cœur, agissons rapidement pour corriger notre façon de penser (1 Tim. 6:7, Cool. Si nous ne le faisons pas, notre cœur sera partagé, et Jéhovah n’acceptera pas notre culte. En effet, il « exige un attachement sans partage » - TG2019/10 §6

Jéhovah récompense ses serviteurs fidèles en leur accordant la vie ; mais quelle sorte de vie ? Voyons... Ce que vous vivez actuellement, est-ce cela, la vraie vie ? La plupart d’entre nous répondrions que la réponse est évidente. Il est certain que nous respirons, mangeons et buvons. Par conséquent, nous vivons. Et dans les moments les plus heureux de notre existence, il nous arrive peut-être de dire : “ Ça, c’est la vraie vie ! ” Toutefois, la Bible indique que, dans un sens important, aucun humain ne vit vraiment aujourd’hui.
La Parole de Dieu nous encourage à ‘ saisir fermement la vie véritable ’. (1 Timothée 6:19.) Ces paroles montrent que “ la vie véritable ” est quelque chose que nous espérons connaître dans l’avenir. Quand nous serons parfaits, nous serons vivants au plein sens du terme, car nous vivrons comme Dieu voulait à l’origine que nous vivions. Lorsque nous vivrons sur la terre transformée en paradis, et que nous serons en parfaite santé, dans la paix et le bonheur, enfin nous connaîtrons “ la vie véritable ”, la vie éternelle (1 Timothée 6:12). Comment pouvons-nous ‘ saisir fermement la vie véritable ’ ? 
Dans le même contexte, Paul a invité les chrétiens à “ travailler au bien ” et à “ être riches en belles œuvres ”. (1 Timothée 6:18.) Il est donc capital que nous appliquions les vérités que nous avons apprises dans la Bible - Qu’enseigne la Bible ? p192-193

34Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 5 Aoû - 14:36

Josué

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Ne sous-estimez jamais le bien qu’une visite peut faire à une de nos sœurs ou à un de nos frères âgés. Quand il est arrivé à Rome, un chrétien du nom d’Onésiphore a cherché Paul avec soin, l’a trouvé, puis ‘ l’a souvent réconforté ’. (2 Timothée 1:16, 17.) – TG2004 15/5 p20 §18

Celui qui « nomme le nom de Jéhovah renonce à l’injustice » d’une autre manière encore. Laquelle ? Il ne fréquente pas ceux qui pratiquent l’injustice. Remarquons qu’après l’image du « solide fondement de Dieu », Paul recourt à une autre image. Il parle d’« une grande maison » dans laquelle ne se trouvent « pas seulement des récipients en or et en argent, mais aussi en bois et en terre cuite ; les uns pour un usage honorable, mais les autres pour un usage vulgaire » (2 Tim. 2:20, 21). Ensuite, Paul exhorte les chrétiens à se tenir « à distance », ou à se séparer, des ustensiles destinés à un usage « vulgaire ».
Que signifie cette image ? Paul compare la congrégation chrétienne à « une grande maison » et ses membres à des « récipients », ou accessoires à usage domestique. Dans une maison, certains ustensiles peuvent être contaminés par des substances dangereuses ou par un environnement insalubre. L’occupant doit les maintenir séparés des ustensiles propres, notamment de ceux qui servent à cuisiner.
Pareillement aujourd’hui, les adorateurs de Jéhovah, qui s’efforcent de mener une vie pure, ne doivent pas être les intimes de membres de la congrégation qui persistent à ne pas tenir compte des principes divins. Si cela concerne des individus à l’intérieur de la congrégation, à combien plus forte raison faut-il « se détourner » de la fréquentation d’individus extérieurs à la congrégation. Les individus qui n’ont pas une conduite conforme aux exigences divines sont des ‘ vases pour un usage vulgaire ’. En revanche, en vivant en accord avec la volonté de Dieu, nous serons ‘ des vases pour un usage honorable, sanctifiés ou mis à part pour le service de Jéhovah et préparés pour toute œuvre bonne ’. Demandons-nous donc : ‘ Suis-je “ un vase pour un usage honorable ” ? Ai-je une bonne influence sur les autres croyants ? Suis-je un membre de la congrégation qui travaille épaule contre épaule avec les autres adorateurs ? ’. – TG2014 15/7 p15

Quand notre amitié avec Jéhovah est menacée, nous devons agir avec rapidité et fermeté. C’est ce que Paul suggérait quand il a dit à Timothée : « Fuis donc les désirs de la jeunesse » (2 Tim. 2:22). À cette époque, Timothée était déjà adulte. Il avait probablement passé la trentaine. Toutefois, les « désirs de la jeunesse » ne tentent pas que les jeunes. Face à ce genre de désirs, Timothée devait « fuir ». Autrement dit, il devait « renoncer à l’injustice ». En l’absence de la discipline appropriée, plus d’un jeune s’est laissé aller à des comportements cédant à l’esprit de compétition, à la convoitise, à la fornication, à l’amour de l’argent et à la poursuite des plaisirs. Ce sont là autant de “ désirs de la jeunesse ” que la Bible nous presse de fuir. Aujourd’hui, le chrétien qui tient compte de ce conseil prend, sans hésiter ni tarder, des mesures fermes contre ce qui menace sa spiritualité. – TG2014 15/7 p16 §18

L’amour de soi mentionné en 2 Timothée 3:2 n’est pas un amour normal et équilibré. C’est un amour dénaturé et égoïste. Celui qui s’aime de façon excessive pense de lui-même « plus qu’il ne faut penser ». Il se soucie plus de lui-même que des autres. Quand les choses se passent mal, il rejette la responsabilité sur les autres plutôt que de l’assumer. Un commentaire biblique le compare à « un hérisson qui [...] se roule en boule, restant au chaud dans sa douce fourrure », mais « tournant ses piquants vers les autres ». Cette personne n’est pas vraiment heureuse. – TG2018/1 §5

Nous le savons, Timothée a décidé de poursuivre des objectifs spirituels. Mais qu’est-ce qui lui en a donné l’envie ? Dans la deuxième lettre qu’il lui a adressée, Paul a cité deux facteurs déterminants : “ Demeure dans les choses que tu as apprises et qu’on t’a persuadé de croire, sachant de quelles personnes tu les as apprises et que depuis ta toute petite enfance tu connais les écrits sacrés. ” (2 Timothée 3:14, 15). Remarquons les trois aspects de l’apprentissage que Paul a mentionnés : 1) connaître les Écrits sacrés, 2) être persuadé de croire et 3) devenir sage pour le salut grâce à la foi en Christ Jésus. La foi de Timothée, foi qui le poussait à faire une déclaration publique, reposait sur sa connaissance des Écritures. L’avait-il acquise tout seul ? Non. Il avait eu besoin d’aide pour accéder à la connaissance exacte et à l’intelligence spirituelle de ce qu’il lisait (Colossiens 1:9). On l’avait “ persuadé de croire. Le fait qu’il ait eu cette connaissance ‘ depuis sa toute petite enfance ’ laisse entendre, compte tenu d’un père très certainement incroyant, que sa mère et sa grand-mère ont été les premières à l’instruire. — 2 Timothée 1:5. Grâce à l’influence que des chrétiens ont eue sur lui, Timothée a pu faire de bons choix. TG2007 1/5 p24 §5

Lire la Bible, c’est comme se regarder attentivement dans un miroir. Le puissant message de la Parole de Dieu nous permet de voir ce que nous sommes réellement. Autrement dit, il fait la distinction entre ce que nous semblons être et ce que nous sommes vraiment. Tel un miroir, il montre ce qui est à corriger. La Bible ne se contente pas de révéler quels sont les changements nécessaires, elle nous aide aussi à les effectuer. L’apôtre Paul a déclaré : “ Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, pour reprendre, pour remettre les choses en ordre, pour discipliner dans la justice. ” (2 Timothée 3:16, 17). Remarquez que, sur les quatre effets utiles mentionnés, trois impliquent un changement d’état d’esprit et de comportement : reprendre, remettre les choses en ordre et discipliner. Si nous avons besoin de nous regarder souvent dans la glace pour vérifier notre aspect, à combien plus forte raison devrions-nous lire régulièrement la Parole de Dieu – TG2006 1/8 p13

“ Prêche la parole, fais-le avec insistance. ” 2 Timothée 4:2. - Notons que la forme du verbe grec employé par Paul dans l’expression ‘ prêcher avec insistance ’ suggère l’idée d’urgence. À la manière d’un chirurgien consciencieux qui est très concentré sur son travail parce qu’une vie est en jeu, le chrétien qui prêche avec insistance se concentre sur son ministère. Par exemple, il réfléchit aux problèmes ou aux questions qui préoccupent les gens. Parfois même il modifie son programme de manière à aller les voir à un moment qui leur convienne. Prêcher avec insistance, motivé par un sentiment d’urgence, implique également de se fixer des priorités. Imaginez : Vous avez passé un examen médical et vous recevez les résultats. Votre médecin vous convoque et vous dit : “ Votre état est inquiétant ! Vous disposez d’un mois tout au plus pour agir. ” Qu’allez-vous faire ? Vous allez certainement écouter ses recommandations, rentrer chez vous et revoir attentivement vos priorités. – km2014/10 §7,8

35Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 5 Aoû - 16:35

Mikael

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Oui nous sommes exhorter à nous aider mutuellement d'autant plus que les jours sont mauvais.

36Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 13 Aoû - 9:34

Josué

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Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

“ Ayant des enfants croyants ” 
- Dans les instructions qu’il a données à Tite concernant l’établissement de responsables dans les congrégations crétoises, Paul stipulait : “ S’il y a quelque homme qui soit exempt d’accusation, mari d’une seule femme, ayant des enfants croyants qui n’aient pas été sous une accusation de débauche ni indisciplinés. Il faut en effet qu’un surveillant soit exempt d’accusation en tant qu’intendant de Dieu. ” Que faut-il entendre par ‘ avoir des enfants croyants ’ ? — Tite 1:6, 7.
L’expression “ enfants croyants ” désigne des jeunes gens qui ont déjà voué leur vie à Jéhovah et sont baptisés, ou qui progressent vers l’offrande de soi et le baptême. Les membres de l’assemblée s’attendent à ce que les enfants d’un ancien soient raisonnablement bien élevés et obéissants. Il devrait être évident qu’un ancien fait tout son possible pour bâtir la foi de ses enfants –TG1996 15/10 p21

Selon Tite 1:6, les enfants d’un chrétien doivent-ils tous être baptisés pour que celui-ci remplisse les conditions requises d’un ancien?
Paul énumère les conditions requises des hommes qui assument la fonction d’ancien dans la congrégation. L’une de ces conditions est qu’ils soient ‘exempts d’accusation et qu’ils aient des enfants croyants’.
Il ne faudrait pas en déduire que les enfants d’un ancien doivent tous être baptisés, car certains peuvent être très jeunes. À la lecture de Tite 1:6, il est raisonnable de conclure que les enfants mineurs d’un ancien doivent être baptisés ou étudier la vérité biblique, l’accepter, l’appliquer et progresser vers le baptême, tandis qu’ils se trouvent sous le mérite familial. Un ancien doit tout faire pour que ses enfants deviennent des disciples et ne soient pas “sous le coup d’une accusation de débauche ni insoumis”.
On discerne mieux le sens de ce verset lorsque l’on considère l’emploi que la Bible fait du mot “croyant”. Bien sûr, on peut avoir foi, ou croire, en bien des choses. Toutefois, dans les Écritures, le terme “croyant” désigne le plus souvent celui qui accepte le christianisme et se fait baptiser. C’est particulièrement en se faisant baptiser que quelqu’un montre qu’il est croyant. Les enfants d’un ancien peuvent ne pas être encore suffisamment mûrs sur les plans physique, affectif ou spirituel pour se faire baptiser. Cependant, conformément à Tite 1:6, ils sont “croyants” s’ils progressent vers le baptême dans la mesure où leur âge et leurs capacités le leur permettent – TG1989 15/2 p29

Pour être efficace, un responsable doit être capable d’enseigner. Comme Paul l’a écrit à Tite, il doit être « fermement attaché à la parole fidèle pour ce qui est de son art d’enseigner, afin qu’il soit capable d’exhorter par l’enseignement qui est salutaire et aussi de reprendre les contradicteurs » (Tite 1:9). Il est capable de raisonner avec autrui, d’argumenter, de surmonter des objections et de faire l’application des Écritures de manière à convaincre ses auditeurs et à affermir leur foi. Un responsable emploie ses capacités d’enseignant tant en époque favorable qu’en époque difficile (2 Tim. 4:2). Il a la patience nécessaire pour reprendre avec douceur une personne qui a commis une faute ou pour convaincre quelqu’un qui a des doutes et l’inciter à pratiquer de belles œuvres motivées par la foi. S’il est capable d’enseigner soit devant un auditoire soit en privé, cela montre qu’il remplit cette condition requise essentielle. – od 35 §16

Tite 1:9 - Un bon berger chrétien ne force pas une brebis à agir de telle ou telle façon. Non, il réfléchit à la manière dont il stimulera son cœur. Il attirera peut-être son attention sur les principes bibliques à considérer avant de prendre une décision importante. Il reverra avec elle ce que les publications ont dit sur la question. Il l’exhortera à réfléchir aux conséquences de tel ou tel choix sur ses relations avec Jéhovah. Il pourra aussi insister sur l’importance de demander à Dieu sa direction avant de prendre une décision. La seule autorité que les responsables chrétiens détiennent leur vient des Écritures. Alors ils doivent absolument se servir de la Bible avec habileté et adhérer à son contenu. Ils se garderont ainsi d’un éventuel abus de pouvoir. Car ils ne sont que sous-bergers ; chaque membre de l’assemblée est responsable devant Jéhovah et Jésus de ses propres décisions – TG2013 15/11 p29 §11,12

37Joyaux de la parole de Dieu. Empty épître aux Hébreux. Lun 19 Aoû - 11:30

Josué

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Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

Un Dieu qui communique - Puisqu’il éprouve un grand amour pour ses créatures, Dieu leur donne amplement la possibilité de le connaître, Lui, ainsi que ses desseins. Il lui est arrivé de communiquer par l’intermédiaire d’anges et par l’intermédiaire d’hommes auxquels il transmettait des directives et des révélations, comme Moïse, mais surtout par l’intermédiaire de son Fils, Jésus Christ (Hé 1:1, 2) – it1 p637

Jéhovah va bientôt utiliser son Fils, Jésus Christ, pour « réduire à rien celui qui a le moyen de causer la mort, c’est-à-dire le Diable » (Hébreux 2:14). La Bible montre d’ailleurs que le Diable lui-même sait « qu’il lui reste peu de temps » (Révélation 12:12). Dieu va aussi supprimer tous ceux qui causent la méchanceté – TG2019/1

Quand Dieu choisit quelqu’un pour l’appel céleste (Hébreux 3:1), il le fait entrer dans son alliance sur le sacrifice du Christ. Jésus Christ est le Médiateur de la nouvelle alliance et la Semence principale d’Abraham. Par sa médiation, il aide ceux qui sont dans la nouvelle alliance à devenir partie intégrante de la vraie semence d’Abraham (Hébreux 2:16) et ce grâce au pardon de leurs péchés. Jéhovah les déclare justes. 1t-1 p76

Nous lisons dans la Bible: “Toute maison, en effet, est construite par quelqu’un, et celui qui a tout construit, c’est Dieu.” (Hébreux 3:4, Bible de Jérusalem). Si toute maison, au demeurant simple, doit avoir un constructeur, alors l’univers, infiniment plus complexe, ainsi que l’immense variété des formes de vie sur la terre doivent également avoir eu un constructeur. Et puisque nous reconnaissons l’existence d’humains qui ont inventé divers objets tels l’avion, la télévision ou l’ordinateur, ne devrions-nous pas reconnaître l’existence de Celui qui leur a permis de réaliser ces choses en les dotant d’un cerveau ? - Dieu se soucie-t-il, p8 §22

Paul a écrit  toute maison, en effet, est construite par quelqu’un, mais celui qui a construit toutes choses, c’est Dieu ”. (Hé 3:4.) Jéhovah fait ce que bon lui semble de ce qu’il a lui-même bâti, l’utilisant comme il lui convient, tout comme le fait l’homme qui construit une maison. Il est le Créateur de toutes choses, est le Bâtisseur par excellence (it-1 p912

Le manque de foi en Dieu est un péché de première gravité, puisqu’il est un signe de méfiance à son égard ou de manque de confiance en sa capacité d’accomplir ce qu’il a décidé de faire (Hé 3:12, 13, 18, 19). Le péché abîme par conséquent le reflet que donne l’homme de la ressemblance et de la gloire de Dieu ; il prive l’homme de la sainteté, c’est-à-dire le rend souillé, impur, terni aux sens spirituel et moral. L’apôtre Paul parle du “ pouvoir trompeur du péché ” qui endurcit le cœur des humains (Hé 3:13-15) – it-2 p520 Péché

En Hébreux chapitres 3, l’apôtre Paul montre que les Juifs dans le désert n’avaient pas pu entrer dans le repos, ou sabbat, de Dieu en raison de leur désobéissance et de leur manque de foi (Hé 3:18, 19). Ceux qui purent entrer en Terre promise sous la conduite de Josué connurent un repos, mais ce n’était pas le repos total qu’on connaîtrait sous le Messie. Ce n’était qu’un type, une ombre de la réalité. Toutefois, explique Paul, il reste “ un repos de sabbat pour le peuple de Dieu ”. (Hé 4:9.) Ceux qui se montrent obéissants et qui exercent la foi en Christ goûtent de ce fait un “ repos de sabbat ” où ils se reposent de ‘ leurs œuvres ’, œuvres par le moyen desquelles ils essayaient autrefois de paraître justes. Paul montre par-là que le sabbat, ou repos, de Dieu se poursuivait à son époque et que des chrétiens y entraient, ce qui indique que le jour de repos de Dieu dure des milliers d’années. – it-2 p841

38Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Mar 20 Aoû - 9:57

chico.

chico.

Jésus est digne d’être honoré - Jésus est-il digne d’un tel hommage ? Assurément ! Dans sa lettre aux Hébreux, l’apôtre Paul explique qu’“ établi héritier de toutes choses ”, “ il s’est assis à la droite de la Majesté dans les hauteurs ”. (Hébreux 1:2-4.) Dieu l’a élevé “ afin qu’au nom de Jésus plie tout genou …..
Christ utilisera bientôt cette position élevée et les pouvoirs étendus qui s’y rattachent pour faire de la terre un paradis. Sous la direction divine, et grâce à son sacrifice rédempteur, il mettra fin à toute forme de douleur et de tristesse pour le bien de ceux qui se soumettront à sa domination juste. Ne mérite-t-il pas que nous l’honorions, le respections et lui obéissions ? RV2000 8/4

39Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 26 Aoû - 13:48

Josué

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Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

Qu’est-ce que le “ repos ” dont l’apôtre Paul a parlé en Hébreux 4:9-11, et comment peut-on “ entrer dans ce repos ” ? 

Aux chrétiens hébreux du 1er siècle l’apôtre Paul a écrit : “ Il reste [...] un repos de sabbat pour le peuple de Dieu. Car l’homme qui est entré dans le repos de Dieu s’est reposé lui aussi de ses œuvres, comme Dieu des siennes. Faisons donc tout notre possible pour entrer dans ce repos. ” — Hébreux 4:9-11. En déclarant que Dieu se reposait de ses œuvres, Paul faisait apparemment référence à ce qui est dit en Genèse 2:2, où nous lisons : “ Pour le septième jour Dieu acheva son œuvre qu’il avait faite ; et il s’est mis à se reposer le septième jour de toute son œuvre qu’il avait faite. ” Pourquoi Jéhovah s’est-il mis “ à se reposer le septième jour ” ? Certainement pas parce qu’il avait besoin de reprendre des forces après “ toute son œuvre qu’il avait faite ”. Le verset suivant nous donne cette indication : “ Dieu s’est mis à bénir le septième jour et à le rendre sacré, parce qu’en lui il se repose effectivement de toute son œuvre que Dieu a créée dans le but de faire. ”
Notons qu’“ il reste [...] un repos de sabbat pour le peuple de Dieu ”, et que l’apôtre a exhorté ses compagnons chrétiens à faire tout leur possible “ pour entrer dans ce repos ”. Cela montre que lorsque Paul a écrit ces mots “ le septième jour ”, le repos de Dieu, qui avait débuté quelque 4 000 ans plus tôt, était toujours en cours. Il prendra fin seulement quand le dessein de Dieu à l’égard de l’humanité et de la terre sera totalement accompli, à la fin du Règne millénaire de Jésus Christ, le “ Seigneur du sabbat ”- TG2001 1/10 p30

4:9-11 — Comment pouvons-nous “ entrer dans le repos de Dieu ” ?
 À la fin des six jours de création, Dieu s’est reposé de ses œuvres créatrices, assuré que son dessein à l’égard de la terre et de l’humanité se réaliserait. Nous “ entrons dans ce repos ” en cessant de produire des œuvres dans le seul souci de paraître justes et en acceptant les dispositions que Dieu a prises pour notre salut. Quand nous exerçons la foi en Jéhovah et suivons docilement son Fils au lieu de poursuivre nos intérêts égoïstes, nous recevons chaque jour des bénédictions qui s’avèrent réconfortantes et reposantes. Le grand jour de repos de Jéhovah est une longue période, car il parle de ce jour comme étant encore accessible, de sorte que par la foi et l’obéissance les chrétiens peuvent entrer dans le repos de ce jour. S’agissant d’un jour saint, c’est une époque de soulagement et de réjouissance pour les chrétiens, même au milieu d’un monde épuisé et accablé par le péché – TG2008 15/8 p32

L’ampleur prise par la méchanceté en ce “ temps de la fin ” rend la foi en Celui qui est invisible particulièrement nécessaire. Devant la généralisation de la malhonnêteté et de l’immoralité sexuelle, il est sage de nous rappeler que, même quand aucun humain ne nous voit, Jéhovah, lui, nous observe. Certains l’oublient, profitant d’être seuls pour se livrer à des actes que les Écritures réprouvent. N’oublions pas ce qu’a dit l’apôtre Paul : “ Chacun de nous rendra compte à Dieu pour soi-même. ” (Romains 14:12). Soyons bien conscients que chaque fois que nous péchons, c’est contre Jéhovah. Cela nous aidera à respecter ses principes élevés et à nous garder d’une conduite impure. “ Il n’y a pas de création qui ne soit manifeste aux regards de Dieu, nous rappelle la Bible, mais toutes choses sont nues et mises à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte. ” (Hébreux 4:13). Nous devons effectivement rendre compte à Dieu, mais c’est bien sûr d’abord par amour que nous faisons sa volonté et que nous nous conformons à ses normes justes. – TG2001 15/6 p22 §15,16

Jéhovah s’intéresse à chaque aspect de notre vie. Il veut que nous traitions les autres avec justice et amour. Et il remarque ce que nous faisons et disons même dans notre vie privée (Héb. 4:13). – TG2019/2 §18

Josué

Josué
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Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Le repas du Seigneur nous permet de réfléchir à la valeur de la rançon, mais aussi à l’humilité et au courage de Jésus. Nous sommes très reconnaissants qu’il continue à manifester ces qualités en tant que Grand Prêtre au ciel, qui intercède en notre faveur (Héb. 7:24, 25). Nous montrons notre reconnaissance en commémorant fidèlement sa mort, comme il nous l’a ordonné (Luc 22:19, 20). Nous le faisons le jour qui correspond au 14 nisan, la date la plus importante de l’année. – TG2019/1 p20 §11

La Bible déclare au sujet de Jésus : “ Il peut aussi sauver complètement ceux qui s’avancent vers Dieu par son intermédiaire, parce qu’il est toujours vivant pour solliciter pour eux. ” (Hébreux 7:25). Autrement dit, il est habilité à intercéder, avec compassion, en faveur de ceux qui “ s’avancent vers Dieu par son intermédiaire ”. Cela ne signifie pas que l’on doive prier Jésus, qui en quelque sorte ferait suivre nos requêtes, mais plutôt que l’on prie Dieu au nom de Jésus, reconnaissant par-là l’autorité dont il est investi. – RV2010/11 p21

Par sa résurrection et son ascension à la droite de Dieu, Jésus Christ est devenu “ plus haut que les cieux ” (Hé 7:26) en ce sens qu’il fut ainsi établi “ bien au-dessus de tout gouvernement, et pouvoir, et puissance, et seigneurie [...], non seulement dans ce système de choses-ci, mais encore dans celui qui est à venir ”. – it-1 p480

Quantité d’hommes ont été grands prêtres par le passé. Toutefois, Jésus exerce la fonction de Grand Prêtre d’une manière tout à fait unique. En quel sens ? Paul explique : “ Il n’a pas besoin chaque jour, comme les grands prêtres, d’offrir des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés et ensuite pour ceux du peuple (car cela, il l’a fait une fois pour toutes quand il s’est offert lui-même) ; car la Loi établit grands prêtres des hommes ayant de la faiblesse, mais la parole du serment qui est intervenu après la Loi établit un Fils, lequel est rendu parfait pour toujours. ” — Héb. 7:27, 28.
Jésus était un homme parfait, l’équivalent exact d’Adam avant que celui-ci ne pèche. En tant que tel, Jésus était le seul humain à pouvoir offrir un sacrifice parfait et complet, le genre de sacrifice qui n’avait nul besoin d’être renouvelé. Sous la Loi mosaïque, les sacrifices étaient offerts quotidiennement. Tous ces sacrifices et les services de la prêtrise n’étaient cependant qu’une ombre de ce que Jésus allait accomplir (Héb. 8:5 ; 10:1). En somme, la fonction de Grand Prêtre assumée par Jésus est unique en raison de son efficacité et de sa permanence – TG2008 15/12 p14 §15,16[/size]

41Joyaux de la parole de Dieu. Empty Hébreux 9-10 Lun 9 Sep - 17:10

Josué

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Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

L’Arche servait d’archives où on mettait en sûreté les saints rappels ou témoignage ; son contenu principal était les deux tablettes du témoignage ou Dix Commandements (Ex 25:16). On y avait ajouté une “ jarre d’or contenant la manne, et le bâton d’Aaron qui avait bourgeonné ”, mais ils furent ôtés de l’Arche avant la construction du temple de Salomon (Hé 9:4) - it-1 p159

Les sacrifices requis par la Loi donnée à Israël préfiguraient le sacrifice du Fils de Dieu et la prêtrise prévue par la Loi représente sa prêtrise royale au ciel (avec des prêtres adjoints) pendant son Règne millénaire (Hé 9:23, 24 – 10 :1 ) Par conséquent, la Loi devint un “ précepteur menant à Christ ”. – it-2 p674

Paul a associé la mort de Jésus à une autre fête juive annuelle, le jour des Propitiations. On lit en Hébreux 9:25, 26 : “ Ce n’est pas non plus afin [que Jésus] s’offre lui-même souvent, comme le grand prêtre en effet entre dans le lieu saint d’année en année [le jour des Propitiations] avec du sang qui n’est pas le sien. [...] Mais maintenant il s’est manifesté une fois pour toutes à l’achèvement des systèmes de choses pour abolir le péché grâce au sacrifice de sa personne. ”[/b] Puisque le sacrifice de Jésus a remplacé le sacrifice offert chaque année le jour des Propitiations, il est logique de commémorer sa mort une fois par an. Il n’existe aucune raison biblique de le faire plus souvent. – TG2003 1/1

Jésus a prouvé son amour pour les humains en acceptant de sacrifier sa vie humaine pour faire la volonté de Dieu. Paul a écrit : « Jésus dit : “Vois ! Je suis venu pour faire ta volonté.” [...] Par cette volonté”-là, nous avons été sanctifiés grâce à l’offrande du corps de Jésus Christ une fois pour toutes » (Héb. 10:9, 10). 
Aucun humain ne peut faire preuve d’un plus grand amour. – TG2017/8 p27

Jésus a patienté. En l’an 33, après être resté intègre sur la terre jusqu’à sa mort, il a présenté la valeur de son sacrifice à Jéhovah au ciel. Pourtant, il a dû attendre 1914 avant de commencer à régner (Hébreux 10:12, 13). Et il devra attendre la fin de son Règne de mille ans pour que tous ses ennemis soient totalement détruits. L’attente aura été longue, mais nous pouvons être sûrs qu’elle en aura valu la peine – TG2017/8 §17

Jésus est le premier à avoir mentionné une vie au ciel après la mort. Il a dit à ses apôtres qu’il leur préparerait une place dans le ciel. C’était une idée nouvelle pour les serviteurs de Dieu. L’apôtre Paul a expliqué plus tard que Jésus, après sa mort et sa résurrection au ciel, a “ ouvert ” (ou inauguré) pour ses disciples “ un chemin nouveau et vivant ”, un chemin qu’aucun autre humain n’avait emprunté jusque-là. — Hébreux 10:19, 20. Est-ce à dire que dès lors tous les fidèles iraient au ciel ? Non, car la résurrection au ciel avait un lien étroit avec une mission confiée à certains humains seulement – TG2011 1/6

L’apôtre Paul a invité les membres des assemblées à ‘se soucier les uns des autres’ (Hébreux 10:24). Par cette expression, il nous encourage à apprendre à nous connaître. En apprenant à connaître d’autres membres de l’assemblée, nous nous rendons compte qu’ils ont réussi à surmonter des difficultés semblables à celles que nous avons. Ils peuvent donc nous aider à venir à bout des nôtres. – Livre Volonté de Jéhovah, p9

Au 1er siècle, ceux qui acceptèrent le christianisme, mais qui adoptèrent ensuite un mode de vie immoral, se révélèrent des “ ennemis du poteau de supplice ”. (Ph 3:18, 19.) Leurs actions prouvaient qu’ils n’avaient aucune reconnaissance pour les bienfaits qui découlaient de la mort de Jésus sur le poteau de supplice. Ils ‘ piétinaient le Fils de Dieu et considéraient comme une chose ordinaire le sang de l’alliance par lequel ils avaient été sanctifiés ’Hé 10:29. – it-2 p622

Paul a parlé des frères qui étaient en prison pour leur foi. Il a félicité la congrégation parce qu’elle avait montré « de la compassion pour ceux qui étaient en prison » (Hébreux 10:34). Paul était en prison depuis 4 ans, et certains frères et sœurs l’aidaient. Mais d’autres habitaient loin. Comment pouvaient-ils l’aider eux aussi ? Ils pouvaient continuer de prier pour lui avec beaucoup de force.
Aujourd’hui, beaucoup de Témoins sont en prison parce qu’ils ont foi en Jéhovah. Les frères et sœurs qui habitent près des prisons peuvent faire des choses pratiques pour les aider. Mais beaucoup d’entre nous habitent loin des chrétiens emprisonnés. Comment pouvons-nous les aider, et ne pas les oublier ? L’amour fraternel nous poussera à prier avec force pour eux. – TG2016 1/10 §13,14

Pour être endurant, il ne suffit pas de supporter les difficultés avec détermination. L’endurance implique d’être patient, courageux et ferme, de ne pas perdre espoir dans les épreuves, devant les obstacles, face à la tentation ou sous la persécution. Puisque nous vivons ‘ dans l’attachement à Dieu par notre relation avec Christ Jésus ’, nous nous attendons à être persécutés. Nous devons être endurants si nous voulons prouver notre amour envers Jéhovah et acquérir les qualités nécessaires au salut. Sans endurance, nous n’obtiendrons pas la vie éternelle. — Hébreux 10:36. Nous devons donc endurer jusqu’à la fin, que ce soit la fin de notre vie ou la fin du système de choses méchant. Dans les deux cas, nous devons rester fidèles à Dieu. Cependant, si nous n’ajoutons pas l’attachement à Dieu à notre endurance, nous ne pourrons pas plaire à Dieu et nous n’aurons pas la vie éternelle – TG2002 15/7 §5,6

Puisque la grande tribulation est très proche, nous voulons faire partie « de ceux qui ont foi » pour être sauvés. (Hébreux 10:39) Nous devons donc faire des efforts pour renforcer notre foi. Nous voulons être parmi ceux qui seront récompensés quand Jésus Christ, notre Roi, sera révélé. – TG2015 15/10 §2

samuel

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Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

« La foi est l’attente assurée de choses qu’on espère, la démonstration évidente de réalités que pourtant on ne voit pas » (Hébreux 11:1). Paul explique que deux sortes de « choses » invisibles sont l’objet de notre foi. Premièrement, il y a les réalités présentes qu’« on ne voit pas ». Nos yeux ne peuvent pas voir certaines « réalités », telles que Jéhovah, son Fils ou le Royaume établi dans le ciel. L’expression « attente assurée » signifie plus qu’un sentiment intérieur ou qu’un doux rêve. La foi désigne donc une conviction basée sur des preuves solides. Pour que son attente soit assurée, une personne doit disposer de raisons valables qui la confortent dans cette confiance. Cette attente est si ferme qu’elle détermine nos priorités dans la vie. Deuxièmement, il y a les « choses qu’on espère » : des évènements qui n’ont pas encore eu lieu. Par exemple, nous ne pouvons pas voir le monde nouveau que le Royaume de Dieu apportera bientôt. – RV2016/3 p12

Que devons-nous faire pour que Dieu nous écoute ? 
Sans la foi, nous ne pouvons pas nous adresser à Dieu par la prière. Nous devons être convaincus qu’il existe et qu’il se soucie de nous. Nous pouvons renforcer notre foi en étudiant la Bible. Jéhovah veut que notre foi repose sur des faits et un raisonnement logique, non sur des philosophies humaines ou des traditions religieuses. Pour acquérir une foi forte en Dieu, nous devons d’abord être convaincus qu’il existe. Nous n’y croyons pas parce que nous avons envie d’y croire, mais parce que nous avons examiné les faits et usé de notre « raison ». En effet, la vraie foi se base sur les preuves et les garanties que nous trouvons dans la Parole de Dieu (Hébreux 11:1, 6).
Nous devons prier avec sincérité et humilité. Même le Fils de Dieu, Jésus, se montrait humble quand il priait. Alors, plutôt que de dicter à Dieu ce qu’il doit faire, essayons de comprendre ce qu’il attend de nous en lisant la Bible. Nous pourrons ainsi prier en harmonie avec la volonté de Dieu – TG2013 1/8

Hébreux 11:7 
met en valeur la foi de Noé, qui, « après avoir été divinement averti de choses qu’on ne voyait pas encore, a montré une crainte de Dieu et a construit une arche pour sauver sa maisonnée ». Noé a exercé sa foi en construisant une immense arche. Ses voisins ont dû lui demander pourquoi il entreprenait une construction aussi colossale. Noé a-t-il gardé le silence, ou leur a-t-il dit de s’occuper de leurs affaires ? Sûrement pas ! Sa foi l’a incité à prêcher hardiment et à avertir ses contemporains du jugement imminent de Dieu. Il leur a très probablement répété mot pour mot ce que Jéhovah lui avait dit : « La fin de toute chair est venue devant moi, car la terre est pleine de violence à cause d’eux ….. » Noé a certainement fait savoir à ses semblables quel était le seul moyen d’être sauvés, en répétant l’ordre de Dieu : « Tu devras entrer dans l’arche. » Ainsi, Noé a aussi exercé sa foi en étant un « prédicateur de justice » Comment Noé a-t-il acquis une telle foi ? À l’évidence, il a pris le temps de réfléchir à tout ce qu’il savait sur Jéhovah, et il s’est laissé guider par cette connaissance. Il est hors de doute qu’il priait Dieu. En fait, il en est devenu si proche qu’il ‘ marchait avec Dieu ’. En tant que chef de famille, Noé prenait plaisir à consacrer du temps à sa maisonnée et à s’occuper d’elle avec amour. Cela sous-entend qu’il se souciait des intérêts spirituels de sa femme, de ses trois fils et de ses belles-filles. 
Comme Noé, les vrais chrétiens d’aujourd’hui savent que Jéhovah mettra bientôt fin à ce système de choses impie. Nous ne connaissons ni le jour ni l’heure de cette intervention, mais nous sommes conscients qu’imiter la foi et l’obéissance de ce “ prédicateur de justice ” nous vaudra “ le maintien en vie de l’âme ” - TG2016/10 p27

43Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 23 Sep - 18:13

samuel

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Courez de manière à obtenir le prix ’ ***

Dans les jeux antiques, les coureurs n’étaient pas alourdis par des vêtements ou un équipement. “ Lors des courses à pied, [...] les athlètes étaient entièrement nus ”, lit-on dans La vie des Grecs et des Romains (angl.). La nudité favorisait l’agilité, la liberté de mouvement et la dextérité. Les athlètes ne portaient aucun poids inutile qui leur aurait fait gaspiller de l’énergie. C’est probablement ce à quoi Paul pensait lorsqu’il écrivit aux chrétiens hébreux : “ Débarrassons-nous aussi de tout poids [...], et courons avec endurance la course qui est placée devant nous. ” — Hébreux 12:1.
Quel genre de poids pourrait nous entraver dans notre course pour la vie ? Par exemple, le désir d’accumuler des biens matériels superflus ou d’avoir un train de vie coûteux ; le sentiment que la richesse constitue un gage de sécurité ou de bonheur. Ainsi chargé, le chrétien risque de ralentir et de ne plus réellement se soucier de Dieu (Luc [url=x-apple-data-detectors://1]12:16-21[/url]). L’espérance de la vie éternelle devient lointaine. ‘ Le monde nouveau viendra un jour, se dit-il, mais en attendant pourquoi ne pas profiter de ce que le monde nous offre ? ’ (1 Timothée [url=x-apple-data-detectors://2]6:17-19[/url]). Un tel point de vue matérialiste peut lui faire abandonner la course pour la vie ou l’empêcher de s’y engager.
Dans son Sermon sur la montagne, Jésus a dit : “ Personne ne peut travailler comme un esclave pour deux maîtres ; car ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez travailler comme des esclaves pour Dieu et pour la Richesse. ” Puis, après avoir souligné que Jéhovah prenait soin des animaux et des plantes et que les humains valaient plus que ces derniers, il recommanda à ses auditeurs : “ Ne vous inquiétez donc jamais, disant : ‘ Qu’allons-nous manger ? ’ ou : ‘ Qu’allons-nous boire ? ’ ou : ‘ Qu’allons-nous mettre ? ’ Ce sont là, en effet, toutes les choses que les nations recherchent avidement. Car votre Père céleste sait que vous avez besoin de toutes ces choses. Continuez donc à chercher d’abord le royaume et sa justice, et toutes ces autres choses vous seront ajoutées. ” — Matthieu 6:24-33.
‘ Courez avec endurance ’
Dans l’Antiquité, toutes les courses à pied n’étaient pas des sprints. Le dolichos, par exemple, était une épreuve de force et d’endurance qui se courait sur 4 000 mètres. La tradition dit qu’en 328 avant notre ère un certain Ageas remporta l’épreuve, puis, dans la foulée, courut jusqu’à Argos annoncer sa victoire. Ce jour-là, il fit environ 110 kilomètres !
La course chrétienne est aussi une épreuve d’endurance. C’est en persévérant jusqu’au bout que l’on reçoit l’approbation de Jéhovah et le prix, la vie éternelle. Paul courait de manière à obtenir le prix. Peu avant sa mort, il a pu dire : “ J’ai combattu le beau combat, j’ai achevé la course, j’ai observé la foi. Désormais m’est réservée la couronne de justice. ” (2 Timothée 4:7, Cool. Comme Paul, nous devons ‘ achever la course ’. Si nous nous relâchons pour la simple raison que la course est un peu plus longue que prévu, nous n’obtiendrons pas notre récompense (Hébreux 11:6). Qu’il serait dommage d’abandonner aussi près de la ligne d’arrivée !
Le prix
Dans les concours sportifs de la Grèce antique, le vainqueur recevait une couronne généralement faite de feuilles et ornée de fleurs. Lors des Jeux pythiques, le prix était une couronne de laurier ; lors des Jeux olympiques, une couronne de feuilles d’olivier sauvage ; lors des Jeux isthmiques, une couronne de pin. “ Pour stimuler l’ardeur des athlètes pendant les épreuves, écrit un bibliste, on plaçait les couronnes, prix de la victoire, ainsi que des palmes, sur un trépied (une petite table) installé bien en vue dans le stade. ” Porter la couronne était un grand honneur. À son retour, le vainqueur faisait une entrée triomphale dans sa cité, debout sur un char.
Ayant cette image présente à l’esprit, Paul demanda aux Corinthiens : “ Ne savez-vous pas que les coureurs, dans une course, courent tous, mais qu’un seul reçoit le prix ? Courez de manière à l’obtenir. [...] Eux, naturellement, le font pour recevoir une couronne corruptible, mais nous, une incorruptible. ” (1 Corinthiens [url=x-apple-data-detectors://4]9:24[/url], 25 ; 1 Pierre 1:3, 4). Quelle différence ! Contrairement aux couronnes des jeux antiques, qui finissaient par se flétrir, le prix destiné à ceux qui achèvent la course pour la vie est impérissable.

44Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 23 Sep - 20:42

Mikael

Mikael
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La course chrétienne et longue et semée d'embûches.
Mais avec l'aide de Jéhovah c'est possible d'atteindre le but.

fonewix

fonewix

Quel genre de poids pourrait nous entraver dans notre course pour la vie ? Par exemple, le désir d’accumuler des biens matériels superflus ou d’avoir un train de vie coûteux ; le sentiment que la richesse constitue un gage de sécurité ou de bonheur. Ainsi chargé, le chrétien risque de ralentir et de ne plus réellement se soucier de Dieu

J'aime beaucoup ce commentaire qui engage à se soucier de Dieu plutôt que des biens matériels.

46Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Dim 29 Sep - 12:22

papy

papy

Ce qui coule de source pour une personne chrétienne.
Avis personnel.

47Joyaux de la parole de Dieu. Empty Re: Joyaux de la parole de Dieu. Lun 30 Sep - 19:36

Josué

Josué
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La foi nous pousse à l’action ***
LES gens qui disent avoir foi en Dieu sont légion. Cependant, une foi qui ne se manifeste qu’en paroles n’est pas plus vivante qu’un cadavre. “ La foi, si elle n’a pas d’œuvres, est morte en elle-même ”, a en effet écrit le disciple Jacques, ajoutant qu’Abraham, un homme qui craignait Dieu, avait une foi qui “ travaillait avec ses œuvres ”. (Jacques 2:17, 22.) Quelle signification ces paroles ont-elles pour nous ?
2 Posséder la vraie foi, ce n’est pas seulement croire ce qu’on entend aux réunions chrétiennes. C’est donner des preuves de sa foi en étant un Témoin de Jéhovah actif. La foi nous incite donc à appliquer la Parole de Dieu quotidiennement et nous pousse à l’action.
Le favoritisme : incompatible avec la foi
3 Celui qui a vraiment foi en Dieu et en Christ ne fait pas de favoritisme (Jacques 2:1-4). Certains destinataires de la lettre de Jacques ne manifestaient pas l’impartialité qu’on attend de vrais chrétiens (Romains 2:11). D’où cette exclamation de Jacques : “ Vous ne possédez tout de même pas la foi de notre Seigneur Jésus Christ, notre gloire, avec des actes de favoritisme ? ” Quand deux non-croyants se présentaient pour assister à une réunion, l’un riche, portant des bagues d’or et des habits splendides, l’autre pauvre, “ avec un habit sale ”, tous deux auraient dû être bien reçus. Or, on accordait une attention particulière au riche en lui donnant un siège ‘ à une belle place ’, alors qu’on disait au pauvre de rester debout ou de s’asseoir par terre aux pieds de quelqu’un.
4 Jéhovah a pourvu au sacrifice rédempteur de Jésus Christ aussi bien pour les riches que pour les pauvres (2 Corinthiens 5:14). Dès lors, si nous favorisions le riche nous nous écarterions de la foi du Christ, qui ‘ est devenu pauvre pour que nous devenions riches par sa pauvreté ’. (2 Corinthiens 8:9.) Ne jugeons jamais nos semblables selon ce critère qui nous amènerait à honorer des humains avec de mauvais mobiles. Dieu n’est pas partial ; ne le soyons pas non plus, car nous rendrions “ des sentences mauvaises ”. (Job 34:19.) Celui qui désire plaire à Dieu ne succombera pas à la tentation de faire du favoritisme ou d’‘ admirer des personnes pour en tirer profit ’. — Jude 4, 16.
5 Jacques explique qui sont les vrais riches et insiste pour que l’amour soit manifesté en toute impartialité (Jacques 2:5-9). ‘ Dieu a choisi les pauvres pour qu’ils soient riches en foi et héritiers du royaume. ’ S’il en est ainsi, c’est parce que les pauvres sont souvent plus sensibles à la bonne nouvelle (1 Corinthiens 1:26-29). Collectivement, les riches sur le plan matériel oppriment les autres sous le rapport des dettes, des salaires et des poursuites judiciaires. Ils parlent en mal de Christ et nous persécutent parce que nous portons son nom. Que cela n’entame pas notre détermination à obéir à “ la loi royale ”, qui nous fait obligation d’aimer notre prochain et donc d’aimer autant le riche que le pauvre (Lévitique 19:18 ; Matthieu 22:37-40). C’est là ce que Dieu exige ; faire du favoritisme reviendrait donc à ‘ commettre un péché ’.
‘ La miséricorde se glorifie aux dépens du jugement ’
6 Par son manque de miséricorde, celui qui fait du favoritisme enfreint la loi (Jacques 2:10-13). Un faux pas dans ce seul domaine nous rend coupables à l’égard de toutes les lois de Dieu. L’Israélite qui ne commettait pas l’adultère mais qui volait devenait un transgresseur de la Loi mosaïque. Étant des chrétiens, nous sommes jugés par “ la loi d’un peuple libre ” : l’Israël spirituel dont les membres ont les lois de la nouvelle alliance dans leur cœur. — Jérémie 31:31-33.
7 Si nous prétendons avoir foi tout en persistant à faire du favoritisme, nous sommes en danger. Ceux qui ne manifestent ni amour ni miséricorde seront jugés sans miséricorde (Matthieu 7:1, 2). Jacques écrit : “ La miséricorde, triomphante, se glorifie aux dépens du jugement. ” Si nous nous soumettons à la direction de l’esprit saint de Jéhovah en faisant preuve de miséricorde dans toutes nos actions, nous ne serons pas condamnés lorsque nous serons jugés. Nous serons au contraire l’objet de la miséricorde et nous triompherons ainsi aux dépens de la stricte justice ou du jugement défavorable.
La foi produit de belles œuvres
8 Outre l’amour et la miséricorde, la foi produit d’autres belles œuvres (Jacques 2:14-26). Une simple profession de foi qui ne serait pas étayée par des œuvres ne nous assurerait évidemment pas le salut. Il est vrai que les seules œuvres de la Loi ne suffisent pas non plus à nous faire paraître justes aux yeux de Dieu (Romains 4:2-5). Les œuvres dont Jacques parle ici sont motivées, non par un code de lois, mais par la foi et l’amour. Si ces qualités nous animent, nous ne nous contenterons pas d’adresser des vœux pieux à nos compagnons dans le besoin. Si nous constatons que l’un d’eux n’a pas de quoi s’habiller ou se nourrir, nous lui apporterons un secours matériel. Jacques pose cette question : ‘ Si vous dites à un frère ou à une sœur : “ Allez en paix, restez au chaud et continuez à bien vous nourrir ”, mais que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire, à quoi cela sert-il ? ’ À rien (Job 31:16-22). Pareille “ foi ” est sans vie !
9 Même si nous fréquentons plus ou moins étroitement le peuple de Dieu, seules des œuvres sincères peuvent concrétiser la foi que nous disons avoir. Il est bien d’avoir rejeté la doctrine de la Trinité et de croire qu’il n’y a qu’un seul vrai Dieu. Mais la croyance seule ne fait pas la foi. “ Les démons croient ” et ils “ frissonnent ” de peur, car ils sont promis à la destruction. Si nous avons vraiment la foi, celle-ci doit nous pousser à produire des œuvres comme prêcher la bonne nouvelle et fournir nourriture et vêtement à nos compagnons chrétiens dans le besoin. Jacques demande : “ Veux-tu savoir, ô homme vain [c’est-à-dire n’ayant pas la connaissance exacte de Dieu], que la foi en dehors des œuvres est inactive ? ” Oui, la foi exige des actes.

Josué

Josué
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Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Ce n’est pas facile d’atteindre la ligne d’arrivée. Il faut de la discipline et de la détermination. Un seul homme, Jésus Christ, a été capable de franchir cette ligne sans avoir jamais trébuché. Alors que nous, ses disciples, « tous, nous trébuchons souvent », selon l’expression de Jacques (Jacq. 3:2). Comme c’est vrai ! Nous subissons tous nos imperfections et celles des autres. C’est ce qui nous fait parfois trébucher, puis chanceler et ralentir l’allure. Il se peut même que nous tombions, mais nous nous relevons et continuons à courir. Pour certains, la chute est si grave qu’ils ont besoin d’aide pour se relever et reprendre la course. Ainsi, il peut nous arriver, une fois ou même plusieurs, de trébucher ou de tomber –TG2013 15/3 p4 §4

Jacques 3:5 : « Voyez quel petit feu suffit pour incendier une si grande forêt ! » Mais pourquoi le rédacteur biblique disait-il cela ?
Jacques établissait en fait une comparaison, comme le montre le verset 6 : « La langue est un feu. » La langue représente la faculté de parler. Comme le feu, nos paroles peuvent causer d’immenses dégâts. La Bible dit même que « la mort et la vie sont au pouvoir de la langue ». Bien sûr, on ne va pas s’interdire d’utiliser le feu parce qu’on a peur des dégâts qu’il pourrait faire. De même, on ne va pas s’interdire de parler parce qu’on a peur de dire quelque chose de dommageable. La clé, c’est la maîtrise. Un feu maîtrisé permet de cuire des aliments, de se réchauffer ou de s’éclairer la nuit. Si nous maîtrisons notre langue, nous pourrons utiliser son pouvoir pour honorer Dieu et faire du bien aux autres – TG2015 15/12 p18 §2

Pour débusquer le gibier, il arrive qu’un chasseur mette le feu à la végétation. Ensuite, il n’a plus qu’à capturer les animaux qui tentent de fuir. Figurément parlant, le Diable essaie de mettre le feu à l’assemblée. Il espère ainsi que les chrétiens quitteront ce lieu sûr et se précipiteront tout droit vers lui. Comment pourrions-nous involontairement lui faciliter la tâche et nous laisser prendre au piège ?
Jacques a comparé la langue à un feu. (Jacques 3:6-8.) Si nous ne maîtrisons pas notre langue, nous risquons d’allumer un “ incendie ” dans l’assemblée. Comment cela pourrait-il se produire ? Imaginons la scène suivante : lors d’une réunion, on annonce qu’une sœur vient d’être nommée pionnière permanente. Une fois la réunion terminée, deux proclamatrices commentent la nouvelle. L’une s’en réjouit et souhaite que la pionnière s’épanouisse dans son service. L’autre met en doute ses mobiles et laisse entendre qu’elle cherche seulement à se distinguer. De ces deux proclamatrices, laquelle aimeriez-vous avoir pour amie ? On devine aisément qui risque le plus de mettre le feu à l’assemblée par ses propos. – TG2012 15/8 p20 §3,4

Jacques écrit : “ Si quelqu’un ne trébuche pas en parole, celui-là est un homme parfait, capable de tenir aussi tout son corps en bride. Jacques 3:5-12. Étant imparfaits, tous, y compris les très bons enseignants, nous “ trébuchons souvent ”. Trébucher en parole est l’un des manquements les plus courants et les plus susceptibles de causer du tort. Contrairement à Jésus Christ, nous n’avons pas une maîtrise parfaite de notre langue. Si tel était le cas, nous pourrions aussi maîtriser les autres membres de notre corps. Après tout, une bride et un mors suffisent à diriger un cheval, et c’est un petit gouvernail qui permet au barreur de diriger où il le veut un grand bateau même poussé par des vents violents. Comparée à un cheval, une bride n’est pas grand-chose ; de même qu’un gouvernail par rapport à un bateau. Quant à la langue, à côté du corps humain elle est un petit membre “ et qui pourtant se vante de grandes choses ”. Puisque les Écritures indiquent franchement que Dieu n’aime pas que l’on se glorifie, recherchons son aide pour nous dominer dans ce domaine – TG1997 15/11 p16 §13,14

La sagesse divine exige que nous soyons pacifiques. Cela implique que nous nous gardions d’être agressifs, belliqueux et de faire quoi que ce soit qui trouble la paix. Jacques appuie cette idée quand il écrit : “ La semence du fruit de justice se sème dans la paix pour ceux qui font la paix. ” (Jacq. 3:18). Remarquez l’expression ‘ faire la paix ’. Dans l’assemblée, sommes-nous connus pour favoriser la paix ou pour la troubler ? Avons-nous souvent des différends avec nos compagnons ? Avons-nous tendance à nous vexer pour un rien ou à offenser les autres ? – TG2008 15/3

Nous pouvons être victorieux dans notre guerre spirituelle contre le Diable et les forces spirituelles méchantes qu’il dirige. Nous n’avons pas de raison de trembler de peur devant Satan, puisque le disciple Jacques a écrit : “ Soumettez-vous [...] à Dieu ; mais opposez-vous au Diable, et il fuira loin de vous. ” (Jacques 4:7). Une façon de passer à l’offensive dans le combat contre Satan et les créatures spirituelles méchantes qui se sont liguées avec lui consiste à rejeter les pratiques occultes ou magiques, et à ne rien avoir à faire avec ceux qui se livrent à de telles pratiques.
Les Écritures montrent clairement que les serviteurs de Jéhovah doivent refuser de chercher les présages ou de toucher à l’astrologie, à la divination et au spiritisme. Si nous sommes actifs et forts sur le plan spirituel, nous n’avons pas à craindre que quelqu’un nous jette un sort. – TG2006 15/1 p30 §19

Certains des premiers chrétiens sont tombés dans l’orgueil et sont devenus arrogants. “ Vous tirez fierté de vos vantardises arrogantes ”, a écrit Jacques à leur propos. Puis il a ajouté : “ Toute fierté de ce genre est mauvaise. ” (Jacques 4:16). Nous vanter de ce que nous avons accompli ou de nos privilèges dans notre service pour Jéhovah ne nous grandit en rien, bien au contraire. Nous n’oublions pas ce qui est arrivé à l’apôtre Pierre qui, dans un moment de trop grande confiance en lui, s’est vanté – TG2005 1/6 p13 §17

5:20 — De qui “ celui qui ramène un pécheur de l’erreur de sa voie ” sauve-t-il l’âme de la mort ?
 Le chrétien qui ramène un individu de sa conduite pécheresse fait échapper l’âme de ce repentant à la mort spirituelle, voire à la destruction éternelle. Celui qui secourt le pécheur de cette façon ‘ couvre aussi une multitude de péchés ’, ceux du repentant. – TG2008 15/11 p20

papy

papy

Il  est bon de temps en temps de relire cette lettre pour amélioré nos relations avec nos frères et soeurs.

Josué

Josué
Administrateur

12 “ Raisonnable. ” Que signifie être raisonnable ? De l’aveu de biblistes, le terme grec utilisé en Jacques 3:17 est difficile à traduire. On l’a rendu diversement par des adjectifs comme “ modérée ”, “ douce ” ou “ indulgente ”. Dans la Traduction du monde nouveau, une note indique que son sens littéral est “ indulgente, conciliante ”. Comment montrer que cet aspect de la sagesse d’en haut opère en nous ?

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