27 avril Lecture de la Bible : 1 Samuel 26-31
Les camps militaires. Quand il est question de la guerre, l’emploi du mot “ camp ” varie. Par exemple, il peut désigner le quartier général ou le centre des opérations d’où partaient les incursions ; on peut citer les camps de Guilgal et de Shilo (Jos 4:19 ; 5:10 ; 9:6 ; 10:6, 15, 43 ; 18:9 ; Jg 21:12). Le mot “ camp ” s’applique parfois à l’armée elle-même plutôt qu’au lieu où cette dernière dresse ses tentes pour la nuit (Jos 10:5 ; 11:4, 5). “ Camper contre ” une ville signifiait lui faire la guerre, de même que ‘ camper ’ à tel ou tel endroit signifiait aussi préparer la guerre. — Jg 9:50 ; 1S 11:1 ; 28:4 ; 2R 25:1.
Le choix d’un campement était fonction de différents facteurs. Une élévation de terrain d’accès limité offrait une protection naturelle et demandait moins de surveillance qu’un terrain ouvert et vulnérable (1S 26:3). Il fallait de l’eau à proximité du camp (2R 3:9). Josué vainquit des rois coalisés qui campaient aux eaux de Mérom (Jos 11:5). L’armée de Guidéôn campa près de la source de Harod (Jg 7:1), et un tiers des hommes de l’armée de David installèrent leur campement au ouadi de Besor, attendant là que leurs compagnons reviennent vainqueurs. — 1S 30:9, 10.
L’enceinte d’un camp, comme celle qui entourait le camp de Saül, pouvait se composer de bagages, de chariots et d’animaux (1S 26:5, 7). Les armées équipées de chars utilisaient peut-être ceux-ci pour enclore leur camp. Les camps plus permanents étaient parfois protégés par des tranchées et des buttes de terre. D’ordinaire, les batailles ne se livraient pas sur les lieux mêmes du camp, sauf en cas d’attaque-surprise (Jos 11:7). Par conséquent, on n’avait pas coutume de creuser des tranchées profondes ni de construire des murs d’enceinte robustes.
Les camps militaires. Quand il est question de la guerre, l’emploi du mot “ camp ” varie. Par exemple, il peut désigner le quartier général ou le centre des opérations d’où partaient les incursions ; on peut citer les camps de Guilgal et de Shilo (Jos 4:19 ; 5:10 ; 9:6 ; 10:6, 15, 43 ; 18:9 ; Jg 21:12). Le mot “ camp ” s’applique parfois à l’armée elle-même plutôt qu’au lieu où cette dernière dresse ses tentes pour la nuit (Jos 10:5 ; 11:4, 5). “ Camper contre ” une ville signifiait lui faire la guerre, de même que ‘ camper ’ à tel ou tel endroit signifiait aussi préparer la guerre. — Jg 9:50 ; 1S 11:1 ; 28:4 ; 2R 25:1.
Le choix d’un campement était fonction de différents facteurs. Une élévation de terrain d’accès limité offrait une protection naturelle et demandait moins de surveillance qu’un terrain ouvert et vulnérable (1S 26:3). Il fallait de l’eau à proximité du camp (2R 3:9). Josué vainquit des rois coalisés qui campaient aux eaux de Mérom (Jos 11:5). L’armée de Guidéôn campa près de la source de Harod (Jg 7:1), et un tiers des hommes de l’armée de David installèrent leur campement au ouadi de Besor, attendant là que leurs compagnons reviennent vainqueurs. — 1S 30:9, 10.
L’enceinte d’un camp, comme celle qui entourait le camp de Saül, pouvait se composer de bagages, de chariots et d’animaux (1S 26:5, 7). Les armées équipées de chars utilisaient peut-être ceux-ci pour enclore leur camp. Les camps plus permanents étaient parfois protégés par des tranchées et des buttes de terre. D’ordinaire, les batailles ne se livraient pas sur les lieux mêmes du camp, sauf en cas d’attaque-surprise (Jos 11:7). Par conséquent, on n’avait pas coutume de creuser des tranchées profondes ni de construire des murs d’enceinte robustes.