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20 avril Lecture de la Bible : 1 Samuel 23-25

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Josué

Josué
Administrateur

20 avril Lecture de la Bible : 1 Samuel 23-25
L’éphod qu’Abiathar, le prêtre, emporta du sanctuaire de Nob au camp de David était probablement celui du grand prêtre Ahimélek, son père, puisque celui-ci, ainsi que les sous-prêtres, avaient été tués par Doég (1S 22:16-20 ; 23:6). David demanda à Abiathar d’approcher l’éphod afin de pouvoir interroger Jéhovah sur ce qu’il devait faire. — 1S 23:9-12 ; 30:7, 8.
Les éphods des sous-prêtres. Les sous-prêtres portaient eux aussi des éphods, bien que seul celui du grand prêtre soit spécifiquement mentionné et décrit dans les instructions de Jéhovah relatives à la confection des vêtements sacerdotaux. Il n’est question que de “ robes ”, d’“ écharpes ”, de “ coiffures ” et de “ caleçons ” pour les fils d’Aaron, qui servaient en tant que sous-prêtres sous la direction de leur père (Ex 28:40-43). Il semble que les sous-prêtres ne portèrent l’éphod qu’ultérieurement. Bien qu’il ne fût pas sous-prêtre, Samuel mettait un éphod quand, jeune garçon, il servait Jéhovah au sanctuaire (1S 2:18), de même que les 85 prêtres qui furent abattus par Doég sur l’ordre du roi Saül (1S 22:18). Peut-être ceux-ci le revêtaient-ils surtout comme marque de leurs fonctions sacerdotales, et non parce que la Loi en aurait prescrit l’usage pour officier. L’éphod de sous-prêtre avait probablement la même coupe que celui du grand prêtre, mais il était fait de tissu blanc uni, non brodé, d’un lin qui n’était peut-être pas de la même qualité que l’éphod du grand prêtre. Le mot hébreu rendu par “ lin ” employé pour décrire l’éphod que portaient le jeune Samuel et les 85 prêtres est badh, tandis que le mot employé pour l’éphod du grand prêtre est shésh, “ fin lin ”. — Ex 28:6 ; 1S 2:18 ; 22:18.

Josué

Josué
Administrateur

Abiathar vivait à Nob, “ la ville des prêtres ”, non loin de Jérusalem, quand le roi Saül chargea Doég l’Édomite de tuer son père, qui était grand prêtre, ainsi que d’autres prêtres (85 en tout), tous accusés de soutenir David. Doég frappa également du tranchant de l’épée tous les autres habitants de la ville. Seul Abiathar s’échappa. Il s’enfuit auprès de David, fugitif lui aussi, sans doute à Qéïla, quelques kilomètres plus au S.-O. Ayant le sentiment de porter une part de responsabilité dans ce drame, David dit à Abiathar : “ Je savais bien en ce jour-là, puisque Doég l’Édomite était là, qu’il ne manquerait pas d’informer Saül. Moi-même, j’ai fait du tort à toutes les âmes de la maison de ton père. Reste avec moi. N’aie pas peur, car quiconque cherche mon âme cherche ton âme, car tu es un homme ayant besoin de protection auprès de moi. ” — 1S 22:12-23 ; 23:6.
Abiathar suivit dès lors David durant tout le temps où celui-ci demeura hors la loi et il servit de prêtre aux forces armées de David. Le texte de 1 Samuel 23:6 révèle qu’Abiathar avait emporté un éphod. Il est vrai que les prêtres en général portaient un éphod de lin (1S 22:18), mais suivant les versets 9 à 12 du chapitre 23, il s’agissait apparemment de l’éphod qui appartenait au père d’Abiathar le grand prêtre et qui renfermait l’Ourim et le Thoummim.
Durant les règnes de David et de Salomon. Il semble bien que David établit Abiathar grand prêtre lorsqu’il monta finalement sur le trône. Certains biblistes avancent l’idée qu’après la mort d’Ahimélek le grand prêtre, le roi Saül fit installer Tsadoq à cette charge, montrant par là qu’il ne reconnaissait pas Abiathar, qui s’était rallié à David, son futur successeur. Selon eux, une fois devenu roi, David aurait établi Abiathar grand prêtre adjoint aux côtés de Tsadoq. Cette opinion repose certainement sur le fait que Tsadoq et Abiathar sont régulièrement mentionnés ensemble, comme s’ils avaient partagé une haute fonction sacerdotale (2S 15:29, 35 ; 17:15 ; 19:11 ; 20:25 ; 1R 1:7, 8, 25, 26 ; 4:4 ; 1Ch 15:11). Toutefois, le récit divinement inspiré ne dit nulle part que Tsadoq fut établi grand prêtre pendant le règne de Saül. Il se peut que Tsadoq ait occupé une position en vue parce qu’il était voyant ou prophète, tout comme le prophète Samuel occupe une place plus importante dans le récit divin que le grand prêtre de son temps (2S 15:27). En tout état de cause, les faits indiquent qu’Abiathar était le seul grand prêtre durant le règne de David et que Tsadoq occupait une position inférieure. — 1R 2:27, 35 ; Mc 2:26.

Josué

Josué
Administrateur

EN-GUÉDI
(Source du Chevreau).
Nom d’une ville et du désert d’alentour sur le territoire de Juda (Jos 15:62 ; 1S 24:1). On identifie généralement cette ville à Tell Djourn (Tel Gorèn), près de la localité moderne de ʽEn Gedi, à environ 37 km au S.-S.-E. de Jérusalem, au bord de la mer Morte.
La jeune Shoulammite fit allusion à la fertilité de la région lorsqu’elle parla d’“ une grappe de henné, parmi les vignes d’En-Guédi ”. (Ct 1:14.) Ce n’est là, toutefois, qu’un aperçu de la flore luxuriante qui y abonde encore aujourd’hui. La situation particulière d’En-Guédi dans la dépression que constitue la région de la mer Morte favorise la croissance d’une végétation semi-tropicale, palmiers et baumiers, ainsi que de nombreux arbres fruitiers, et fait de ce lieu une oasis qui tranche sur l’aridité extrême du désert de Juda avoisinant. — Voir JUDA (DÉSERT DE).
Outre la richesse de sa végétation, l’inaccessibilité de la région d’En-Guédi en fit une cachette idéale pour David à l’époque où il était poursuivi par le roi Saül. D’ailleurs, la Bible parle de certains “ lieux d’accès difficile près d’En-Guédi ”. (1S 23:29.) Des voyageurs qui ont visité cette région à l’époque moderne ont dépeint eux aussi ses cols rocheux dangereux et escarpés. Sa nature hostile à certains endroits est aussi sous-entendue par l’expression “ les rochers dénudés des chèvres de montagne ”. (1S 24:2.) Certains biblistes considèrent cette expression comme un nom propre, “ Rocs des Bouquetins ” (Jé [v. 3] ; voir Os ; TOB [v. 3]), qui désignerait un lieu particulier où les chèvres étaient susceptibles de se regrouper, comme elles le font encore aujourd’hui dans la région d’En-Guédi. Toutefois, d’autres y voient simplement une évocation des pics et des crêtes accidentés et peuplés de chèvres de cette région. Les rochers d’En-Guédi sont criblés de larges grottes. C’est peut-être dans l’une d’elles que David et ses hommes se cachèrent (1S 24:3). Certains pensent que les “ enclos à moutons ” où Saül s’arrêta désignent ces grottes, dont on aurait fermé l’entrée par un mur sommaire protégeant du mauvais temps. — 1S 24:2-10.

Josué

Josué
Administrateur

David se cachait dans une grotte de la région d’En-Guédi quand Saül est entré pour satisfaire un besoin naturel. Même s’il a coupé un pan du manteau de Saül, il n’a toutefois pas fait de mal à “l’oint de Jéhovah”. Plus tard, il a hélé Saül alors que ce dernier était peut-être en contrebas dans le feuillage abondant (1 Samuel 24:1-22). ‘Comment, du feuillage abondant par ici?’ demanderez-vous.
Eh bien, oui. Quand il est bien arrosé, ce désert peut fleurir. Prenons l’exemple d’En-Guédi. Dans ce ravin qui s’ouvre sur la rive occidentale de la mer Morte, l’eau qui s’infiltre à travers les roches poreuses ressort en sources et en cascades. En-Guédi devient alors une véritable jungle à la flore luxuriante. On y trouve plusieurs variétés de fleurs et de fruits, ainsi que des animaux sauvages, depuis le daman des rochers jusqu’au bouquetin; il y a même des léopards! — 1 Samuel 24:2; Cantique des cantiques 1:14.

Josué

Josué
Administrateur

. Le premier livre de Samuel nous apprend qu’en une certaine occasion, David, pour échapper à Saül, se cacha dans la caverne d’Adullam (I Sam. 22:1) et, une autre fois, dans une caverne du désert d’En-Guédi (I Sam. 24:1, 3). Le contenu du psaume laisse entendre qu’il concernait probablement le deuxième événement. Nous lisons au verset sept :
Ils avaient tendu un filet sous mes pas :
Mon âme se courbait ;
Ils avaient creusé une fosse devant moi :
Ils y sont tombés.”
En effet, Saül et ses hommes poursuivaient David. Ils avaient, pour ainsi dire, creusé une fosse devant lui. Mais qu’arriva-t-il ? Dans I Samuel 24:3, 4, il est rapporté que Saül “entra pour se couvrir les pieds” dans la caverne où David et ses gens s’étaient cachés. Cela fournissait à David l’occasion de tuer Saül, s’il en avait vraiment le désir. Ainsi donc, en pénétrant dans cette caverne et en se mettant à la merci de David, Saül tomba dans la fosse même qu’il avait creusée pour David.
Comme David, les fidèles serviteurs de Jéhovah de notre époque sont souvent victimes de complots. Mais, de même que Saül échoua dans ses tentatives pour perdre David, de même les chrétiens peuvent être assurés que ceux qui cherchent à leur faire du mal échoueront et seront pris à leurs propres pièges.

Josué

Josué
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Emploi métaphorique. L’habitude répugnante qu’a le chien de régurgiter la nourriture qu’il a avalée, puis de revenir la manger plus tard, sert à illustrer la façon d’agir de ceux qui abandonnent la voie de la justice pour retourner à leur ancien état de souillure (2P 2:20-22 ; Pr 26:11). Les gens moralement impurs sont qualifiés de chiens. Ainsi lit-on dans la loi que Dieu donna à Israël : “ Tu ne dois pas apporter dans la maison de Jéhovah ton Dieu, pour un vœu quelconque, le salaire d’une prostituée ou le prix d’un chien [d’un “ prostitué ”, AC, note ; Os, note ; “ probablement un pédéraste, un individu qui pratique la copulation anale, surtout avec des garçons ”, MN, note], car ils sont chose détestable pour Jéhovah ton Dieu, oui l’un et l’autre. ” (Dt 23:18). Tous ceux qui, comme les chiens nécrophages des rues, pratiquent des choses immondes, telles que la sodomie, le lesbianisme, la brutalité et la cruauté, ceux-là se voient interdire l’accès à la Nouvelle Jérusalem. — Ré 22:15 ; voir aussi Ph 3:2.
On trouve d’autres indications du mépris dont étaient l’objet les chiens sauvages et nécrophages en considérant les exemples suivants : “ Suis-je un chien ? ” hurla Goliath à David parce que celui-ci venait vers lui avec un bâton (1S 17:43). “ Après qui fais-tu la poursuite ? Après un chien crevé ? ” demanda David au roi Saül, montrant ainsi qu’il était insignifiant et ne pouvait pas lui faire plus de mal qu’un chien mort (1S 24:14). Pareillement, s’adressant à David, Mephibosheth, fils de Yonathân, déclara qu’il était lui-même comme “ un chien crevé ”, condition la plus basse qui soit (2S 9:8 ; voir aussi 2S 3:8 ; 16:9 ; 2R 8:13). Le prophète Isaïe compara les prétendus guetteurs spirituels de Dieu à des chiens muets, ensommeillés, pleins du désir de l’âme, totalement inefficaces en cas de danger (Is 56:10, 11). Les ennemis des serviteurs de Jéhovah furent comparés à des chiens, et il en fut de même des Gentils (Ps 22:16, 20 ; 59:6, 14 ; Mt 15:26, 27 ; voir SYRO-PHÉNICIENNE). Jésus Christ compara les personnes qui n’accordaient pas de valeur aux choses spirituelles à des chiens lorsqu’il déclara : “ Ne donnez pas ce qui est saint aux chiens. ” — Mt 7:6.
À la lumière du sens figuré défavorable rattaché au chien, l’état déplorable du personnage appelé Lazare dans l’exemple de Jésus est clairement évoqué par ces mots : “ Les chiens [...] venaient lécher ses ulcères. ” (Lc 16:21). Toutefois, même le chien méprisé est en meilleure situation qu’un lion mort, car le chien vivant est conscient, tandis que le lion, le roi des animaux, n’est conscient de rien du tout une fois mort. — Ec 9:4, 5.

Josué

Josué
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Les endroits choisis pour enterrer quelqu’un étaient variés. Par “ tombe ” aujourd’hui on entend généralement un trou creusé dans la terre pour y ensevelir un mort, mais jadis chez les Hébreux et les autres Orientaux il était courant de se servir d’une grotte naturelle ou d’un caveau taillé dans la roche. On n’aimait pas beaucoup au Proche-Orient, même si cela arrivait certainement, enterrer dans le sol comme c’est l’habitude en Occident. Débora, la nourrice de Rébecca, fut enterrée sous un grand arbre ; également le roi Saül et ses fils, dans un premier temps au moins (Gn 35:8 ; 1Ch 10:12). Mais apparemment, comme dans le cas d’Abraham, la préférence allait aux grottes naturelles ou aux grottes artificielles creusées dans le calcaire tendre très répandu en Palestine. Souvent on préparait soi-même sa tombe longtemps à l’avance (Gn 50:5 ; Is 22:16 ; 2Ch 16:14). Cette tombe pouvait être près de la maison qu’on habitait, par exemple dans un jardin. — 1S 25:1 ; 1R 2:34 ; 2R 21:25, 26 ; voir aussi 2R 21:18 ; 2Ch 33:20.

Josué

Josué
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Lorsque David est informé de la réponse de Nabal, il est furieux. “ Ceignez chacun son épée ! ” ordonne-t-il. Il s’arme lui-même, prend 400 soldats et se met en marche, se jurant d’éliminer tout mâle de chez Nabal (1 Samuel 25:12, 13, 21, 22). Si sa colère est concevable, la manière dont il l’exprime n’est pas bonne. La Bible dit : “ La colère de l’homme n’accomplit pas la justice de Dieu. ” (Jacques 1:20). Comment Abigaïl va-t-elle sauver sa maisonnée ?
“ Béni soit ton bon sens ”
D’une certaine façon, Abigaïl a déjà fait un pas pour réparer le terrible tort. Contrairement à son mari, elle est en effet disposée à écouter. Or le serviteur affolé dit de son maître : “ Il a trop du vaurien pour qu’on puisse lui parler. ” (1 Samuel 25:17). Gonflé de son importance, Nabal ne veut malheureusement rien entendre. De nos jours encore, une telle arrogance est courante. Le garçon sait Abigaïl différente, raison pour laquelle, sans doute, il lui soumet le problème.
Sa maîtresse réfléchit puis agit rapidement. “ Aussitôt Abigaïl se hâta ”, lit-on. Dans ce seul récit, le verbe “ se hâter ” apparaît quatre fois en rapport avec cette femme vertueuse. Elle prépare un présent copieux pour David et sa troupe : pain, vin, mouton, grain rôti, gâteaux de raisins secs et gâteaux de figues. Telle la femme capable que décrira le livre des Proverbes, elle a visiblement une idée précise de ce dont elle dispose et assume consciencieusement ses tâches domestiques (Proverbes 31:10-31). Elle confie le cadeau à ses jeunes gens, les envoie en avant et part derrière eux, seule. “ Mais, rapportent les Écritures, elle ne dit rien à son mari Nabal. ” — 1 Samuel 25:18, 19.
Se rebelle-t-elle en cela contre l’autorité légitime de son mari ? Absolument pas. Il a été odieux envers un serviteur oint de Jéhovah, ce qui risque de coûter la vie à de nombreux innocents. Si elle s’abstient d’agir, partagera-t-elle la faute de son conjoint ? En tout état de cause, elle doit faire passer la soumission à Dieu avant la soumission à son mari.
Elle ne tarde pas à se trouver face à David et à son armée. Là encore, elle se hâte, cette fois pour descendre de son âne et se jeter aux pieds de David (1 Samuel 25:20, 23). Puis elle lui livre en détail ce qu’elle ressent, implorant la clémence en faveur de Nabal et de sa maison. À quoi tient l’efficacité de son “ plaidoyer ” ?

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