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L'Esprit de tolérance en Islam

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Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Rappel du premier message :

Au nom de d'Allah, l'infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que la prière et bénédiction soient sur son messager, Mohammad, le dernier des prophètes. Amine

Bonjour tout le monde

L’Islam c’est  la religion de la conviction, et non de la contrainte. Il ne veut pas de croyants du bout des lèvres, mais du profond des coeurs. Il les veut les yeux ouverts à la lumière, de leur pleine volonté, faisant librement leur choix. Il les veut convaincus en leur âme et conscience, et non menés dans l’obscurité. Il ne veut pas les voir embrasser la religion de Dieu, de peur d’être châtiés, punis ou tués, c'est pourquoi le Coran dit :

“Si ton Dieu l’avait voulu, tous les habitants de la terre, sans exception, auraient cru. Est-ce à toi de contraindre les gens à devenir Croyants (Musulmans) ?” [Jonas : 99].

Dans l’Islam, la contrainte est  un péché, parce qu’elle va à l’encontre de l’esprit de cette religion qui porte, en son essence, les éléments de son éternité. Il n’a pas besoin d’une épée brandie, ni d’aucun autre moyen de violence matérielle ou morale. La méthode à respecter pour propager la foi ne doit pas dépasser l'argumentation et le conseil, dans les limites de la courtoisie et la bienveillance:

- “Par la sagesse et la bonne exhortation appelle (les gens) au sentier de ton Seigneur. Et discute avec eux de la meilleure façon. Car c’est ton Seigneur qui connaît le mieux celui qui s’égare de Son sentier et c’est Lui qui connaît le mieux ceux qui sont bien guidés.”, [Les Abeilles : 125].

Encore un ordre de Dieu à Mohammad, dans le même sens. De tels ordres, et leurs semblables, trouvent leur fondement dans un principe essentiel unique; ils émanent d’une source essentielle unique, illustrée par quatre mots qui ont rendu l’Islam célèbre dans l’Histoire :

“Point de contrainte en religion”, [La Vache : 256].

A cette source s’abreuvèrent les premiers croyants, Émigrés et partisans,
ayant accompagné le Prophète et partagé sa vie; ils l’entendirent et le virent gérer les problèmes de la communauté avec cet esprit de tolérance et de compréhension qui le distingua.

A cette source s’abreuve, tout particulièrement, le second des Calife bien-guidés, Omar ibn al Khattab. A Jérusalem-Al Qods, et dans l’église du Saint Sépulcre, se souvenant des paroles de Dieu et de la Sunna de Son Prophète, il s’interdit de prier dans ladite église, si chère aux coeurs des Chrétiens, afin de la leur conserver, empêchant, ainsi, qu’elle soit, par la suite, transformée en mosquée. C’est en cette occasion qu’il accorda aux habitants de Jérusalem-Al Qods la mémorable charte qui porte son nom -la Charte omarienne- qui, dans l’histoire des religions, est, sans conteste, une perle unique.

Omar ibn al Khattab puisait son comportement dans le Livre de Dieu et la Sunna de Son Prophète; il se conformait à l’esprit de l’Islam. Il ne cherchait, en aucune manière, à conclure un “marché politique”, à l’instar de ce que font habituellement les conquérants ou les envahisseurs, dans pareilles circonstances. La “Charte omarienne” ne fut guère une mesure opportuniste et intéressée prise dans l’intention de se rallier les Chrétiens de Jérusalem et de les éloigner intellectuellement, socialement et religieusement de Byzance, comme l’ont prétendu la plupart des historiens occidentaux.

En 614, dans les guerres contre Byzance, les armées perses commandées par Chosroès II, remportèrent des victoires qui leur ouvrirent le chemin de Jérusalem-Al Qods; elles y entrèrent, y commirent destructions et vols, laissant l’église du Saint Sépulcre en ruines après en avoir volé les trésors et les reliques, entre autres la vraie Croix. Puis elles envahirent Damas et terrorisèrent ses habitants qui se virent, ainsi, exposés à la mort et à la captivité.

Plus tard, en 628, Héraclius, l’empereur byzantin, réussit à effacer les séquelles de cette défaite en infligeant, à son tour, une défaite aux armées persanes, et reprit la Croix. Jusqu’à ce jour la Chrétienté orientale commémore cet événement sous l’appellation de “Fête de la Croix”.

Dans une telle conjoncture, il nous incombe de comparer le comportement des Perses avec celui des Musulmans, vingt ans après. Ainsi, il nous sera donné de rendre justice à l’Islam et de réaliser l’ampleur de sa tolérance et de sa magnanimité.

Cette tolérance de l’Islam s’illustra, dans ses aspects les plus resplendissants, en Andalousie qui, à l’origine, lors de la conquête musulmane, était habitée de Chrétiens.

Des centaines d’années après cette conquête - alors que les arabes musulmans les gouvernaient - les Andalous étaient restés à majorité chrétienne, avec une minorité juive. Ce qui prouve que les gouvernants musulmans avaient laissé à leurs administrés la liberté de croyance et de foi.

Will Durant écrit ce qui suit : “Jamais l’Andalousie ne fut gouvernée avec tant de douceur, de justice et de sagesse que par ses conquérants arabes … Ils se comparent favorablement aux empereurs grecs de leur temps; ils furent certainement en amélioration sur le régime visigothique despotique qui les avait précédés. Leur administration des affaires publiques fut la meilleure du monde occidental de cette époque. Les lois étaient rationnelles et humaines et étaient mises en oeuvre par un pouvoir judiciaire bien organisé. Dans la plupart des cas, les peuples conquis, dans leurs affaires intérieures, étaient gouvernés par leurs propres lois et leurs propres fonctionnaires … D’autre part, les autorités maures accordèrent la liberté du culte à toutes les religions non musulmanes” (Histoire de la civilisation) , Paris 1966, Tome X, pp. 501, 502, 505).

Comme nous venons de le dire, les événements se comparent et se jugent à travers leurs semblables dans le temps et l’espace : En 1492, Grenade, le dernier État musulman d’Andalousie disparut, et avec lui prit fin le gouvernement de l’Andalousie par les Arabo-Musulmans, après environ 800 ans au cours desquels Cordoue, Tolède et Grenade - pour ne citer qu’elles - scintillèrent de l’une des plus grandes civilisations que le monde ait jamais connues.

Au lendemain de la chute de Grenade, Isabelle, la “Très Catholique” reine de Castille, épouse du “Très Catholique” roi d’Aragon, promulgua son terrible et tristement célèbre édit qui ordonnait aux Musulmans, et aux Juifs d’Andalousie, - c’est-à-dire aux non Chrétiens - de choisir l’une des trois options suivantes :

1- Embrasser la religion chrétienne
2- Quitter l’Andalousie
3- La prison ou la mort

À partir de cet “Edit”, commencèrent les malheurs des Juifs et des musulmans d’Andalousie, auxquels le fanatisme espagnol aveugle proposa
trois verres dont le plus doux est d’un goût amer humainement insupportable. Sans nul doute, les Juifs de ces temps-là firent, en leur âme et conscience, une comparaison entre la tolérance arabe musulmane et le fanatisme chrétien espagnol, et réalisèrent l’énorme distance qui les sépare.

Source :  L'Islam tel que je l'ai connu: religion de la clémence et de la paix. Écrit par un chrétien Nasri Salhab  2003

Wa Salam

.

http://www.aimer-jesus.com

Lechercheur



Mais le sujet concerne la tolérance en Islam et n'a pas  de lien a mon humble avis avec le prophète et ses déboires avec le sexe opposé.

Yacoub

Yacoub
surveillant
surveillant

"Point de contrainte en religion" la ikrah fi Dîn est venu quand des enfants d'arabes chrétiens ont voulu devenir musulmans ce qui déplaisait à leurs parents.

Si tu te convertis à l'islam puis tu apostasies la RATP tu auras la tête tranchée dans les pays mahométans qui appliquent la charia dure, tu seras ostracisé dans les pays à charia molle.

Tu connais le mot du Grand Savant de l'Islam Al Quardaoui:
"Ô Nobles Musulmans, chariez dur, chariez mou mais chariez toujours selon le Saint Coran, la Parole d'Allah Puissant et Sage.

J'ai mis le chercheur dans mes ignorés pour ne pas répondre aux corâneries.

http://apostats-de-lislam.xooit.org/index.php

Josué

Josué
Administrateur

Lechercheur



Il ne faut pas oublier que pour les musulmans la tolérance est à sens unique.
Il demandent de la tolérance pour construire des mosquées dans les pays chrétiens, mais l'inverse n'existe pas car chez eux il est interdit de construire des bâtiments religieux autres que des mosquées.

Yacoub

Yacoub
surveillant
surveillant

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http://apostats-de-lislam.xooit.org/index.php

Josué

Josué
Administrateur

L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Chrzot10

papy

papy

Après quatre ans de détention préventive, le plus jeune prisonnier politique d’Arabie saoudite risque la peine de mort. Issu d’une famille chiite, il a participé à 10 et 13 ans à des manifestations pour les droits de l’homme.




L’Arabie saoudite va-t-elle exécuter son plus jeune prisonnier politique, sans doute le plus jeune au monde ? C’est la crainte d’Amnesty international. Murtaja Qureiris a eu 18 ans vendredi et cette majorité ouvre en théorie la porte à la peine capitale, sanction requise contre lui en août dernier.
Les torts de ce garçon, détenu depuis 2014 ? Deux événements font de lui, aux yeux de la justice saoudienne, un opposant membre d’une organisation terroriste. À 10 ans, en 2011, il se trouvait parmi d’autres petits Saoudiens à bicyclette qui accompagnent une manifestation d’Arabes chiites. CNN a retrouvé des images de la scène, on le voit sur son vélo au centre d’un groupe de garçons. Un peu plus tard, il tourne le dos à son père, qui dans un mégaphone demande « des droits » pour le peuple chiite.








L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Lm7DFvGe_normal


Tamara Qiblawi@tamaraqiblawi






L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 TFaAcd6N5xZ34-5x?format=jpg&name=small


Puis à 13 ans, il assistait aux funérailles de son frère Ali Qureiris, tué en 2011 dans une manifestation au cours de laquelle des cocktails Molotov avaient été lancés sur un poste de police. Le père des deux garçons a été emprisonné lui aussi, pour s’être opposé au régime saoudien.
Arrêté en 2014 par la police des frontières alors que la famille se rendait à Bahreïn, l’adolescent de 13 ans aurait été placé à l’isolement pendant un mois dans un centre de détention pour mineurs dans la ville de Dammam, selon Amnesty International. Là, il aurait subi des coups, des brimades, de multiples tentatives d’intimidation. Les geôliers qui l’interrogeaient lui auraient également promis de le libérer s’il avouait les charges qui pesaient sur lui.
Selon CNN, il aurait au total passé quinze mois à l’isolement ces quatre dernières années. Sans jamais voir d’avocat avant sa première apparition devant un tribunal, spécialisé dans les dossiers de terrorisme, en août 2018. Depuis, alors que la peine de mort a été requise, il attend la suite de son procès, assure Amnesty. Qui appelle l’opinion à réagir.
Rien qu’au mois d’avril, le royaume sunnite aurait exécuté 37 personnes, selon les organisations de défense des droits de l’Homme. La plupart seraient issues de la communauté chiite.
InternationalArabie saoudite

Lechercheur



Les faits actuels ne sont pas pour démontrer que l'Islam est une religion tolérante.

samuel

samuel
Administrateur

Hier soir sur Arte il y avait une émission, Golfe, la guerre des princes.
Sur le Qatar,l'Arabie Saoudite et les Émirats arabes unis.
Dans un de ses états le fait de critiquer l'émir et considérer comme un blasphème et passible de la peine de mort.
Alors dans ses pays le mot tolérance ne doit pas exister.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Il faut dire aussi que lors de la reconquête espagnol les catholiques étaient loin d'être tolérant envers les musulmans.
Les deux religions sont du même bois sur ce point.

Lechercheur



Même chez les bouddhistes il y a des courants extrémistes et de plus en plus violents.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Suisse : quand des islamistes enseignent le maniement du couteau[/size]


[size=33]Le Conseil central islamique suisse (CCIS) a organisé fin septembre un week-end de survie réservé aux hommes, avec apprentissage de l'utilisation du couteau…[/size]


 De notre correspondant à Genève, Ian Hamel
Publié le 14/10/2019 à 12:48 | Le Point.fr


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Nicolas Blancho lors d'une conférence de presse en 2013.
:copyright: FABRICE COFFRINI / 
Si Mickaël Harpon n'avait pas poignardé à mort quatre policiers à la préfecture de police de Paris au début du mois d'octobre, la presse helvétique ne se serait peut-être pas intéressée à l'agenda du Conseil central islamique suisse (CCIS). Elle a découvert ce week-end que la plus extrémiste des organisations islamistes de la Confédération avait organisé les 21 et 22 septembre dernier un camp de survie pour apprendre « la psychologie dans des situations d'urgence » et « le maniement du couteau », comme le révèle le quotidien 24 Heures de Lausanne. Le CCIS, fondé par Nicolas Blancho en 2009, en pleine campagne contre les minarets, est un habitué des provocations.
Ce converti, âgé de 36 ans, à la barbe rousse broussailleuse, se bat en faveur de l'introduction de la charia en Suisse. Il qualifie la lapidation de « valeur de ma religion ». Des propos qui feraient (presque) passer Hani Ramadan, le directeur du Centre islamique de Genève, et frère de Tariq Ramadan, auteur d'un article sur « La charia incomprise », paru dans Le Monde, pour un modéré. Certaines des actions menées par Nicolas Blancho inciteraient davantage à le classer dans la catégorie des « zozos ». Notamment son minaret gonflable lors d'un congrès du CCIS, et la distribution d'étoiles jaunes portant l'inscription « Muslim », car les musulmans de Suisse subiraient, selon lui, les mêmes discriminations que les juifs sous les nazis…



Lire aussi Les Frères musulmans en Europe : tout a commencé à Genève

« Le sauveur de l'islam en terre chrétienne »


Bien que le père de Nicolas Blancho soit français, le CCIS recrute principalement en Suisse alémanique. Il revendique autour de 4 000 membres, soit à peine 1 % des musulmans de la Confédération. Cela n'a pas empêché cet ancien apprenti imprimeur d'être reçu par les autorités du Koweït, puis du Qatar, et d'être présenté par la chaîne de TV par satellite Al Rayane, en 2016, comme le « sauveur de l'islam en terre chrétienne », rappelle le magazine suisse L'Illustré. Le Conseil central islamique suisse ne fait pas que de la provocation. Il a diffusé en 2015 une vidéo de 38 minutes du Saoudien Abdullah al-Muhaysini, le chef spirituel du Front Al-Nostra, la branche d'Al-Qaïda en Syrie, rebaptisée front Fatah Al-Cham. Ce qui a valu à Nicolas Blancho d'être poursuivi par le Ministère public devant le Tribunal pénal fédéral pour « propagande terroriste ».



Lire aussi Le Qatar accusé d'arroser généreusement l'islam de Suisse
Nicolas Blancho, qui proclame que « le terrorisme est toujours une interprétation politique », et que « l'extrémisme de droite croissant est un bien plus grand problème », a pourtant été relaxé en juin 2018. Mais le Ministère public de la Confédération a annoncé qu'il faisait recours contre cette décision. Quant à ce week-end de survie réservé aux hommes, par combien de personnes a-t-il été suivi ? Où avait-il lieu ? Qui donnait des cours d'initiation au maniement du couteau ? Autant de questions restées sans réponse. Le Conseil central islamique suisse ne répond pas aux questions des journalistes. « Il n'a aucun intérêt à contribuer à un article qui vise uniquement à le diaboliser, et avec lui l'islam et les musulmans de ce pays », déclare-t-il.
« Le nombre de ceux qui suivent activement le CCIS n'a jamais été communiqué. Je pense qu'il s'agit de quelques dizaines de personnes. Les convertis et les nés musulmans de ce groupe salafiste sont originaires de divers pays tels que le Kosovo, la Bosnie, la Macédoine, la Turquie, l'Allemagne et les pays du Maghreb », constate Saïda Keller-Messahli, présidente du Forum pour un islam progressiste, et auteur de La Suisse, plaque tournante de l'islamisme, paru en 2018.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

critiquée peine de flagellation pour « se conformer aux normes internationales des droits humains [contre] les châtiments corporels », selon un document de la Cour suprême consulté samedi par l’AFP. Le royaume ultraconservateur essuie de vives critiques des ONG en raison des violations des droits humains, notamment l’existence d’une peine de flagellation applicable en cas de meurtre, d’atteinte à « l’ordre public » ou même de relations extra-conjugales.
« La Cour suprême a décidé en avril de supprimer la flagellation parmi les peines que peuvent décider les juges », a déclaré la plus haute instance judiciaire du royaume dans ce document, sans préciser de date exacte. Selon elle, les magistrats devront désormais opter pour l’emprisonnement et/ou des amendes ainsi que des peines alternatives telles que les travaux d’intérêt général, pour « se conformer aux normes internationales des droits humains [qui prohibent] les châtiments corporels ».

Répression accrue contre les dissidents

Cette décision intervient, selon ce document, dans le cadre « des réformes et avancées réalisées en matière de droits humains » sous la supervision du roi Salmane et du prince héritier Mohammed ben Salmane. Ce dernier, dirigeant de facto du pays depuis 2017, est particulièrement pointé du doigt par les organisations de défense des droits humains. L’ouverture économique et sociale que celui qu’on surnomme « MBS » a menée, s’est accompagnée d’une répression accrue contre les dissidents.
L’annonce de la suppression de la flagellation intervient au lendemain de vives critiques d’ONG contre le royaume, après la mort en prison des suites d’un AVC du militant des droits humains Abdallah al-Hamid, qui purgeait une peine de 11 ans pour avoir « rompu l’allégeance » au roi saoudien, « incité au désordre » et cherché à déstabiliser la sécurité de l’Etat, selon Amnesty International.

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d’Allah, L'Infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que le salut et bénédictions soient sur son messager, Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour à tous

Donc vous croyez toujours ce qu'on vous racontes dans les média ? si tel le cas alors pourquoi vous ne croyez pas au média lorsqu'on parle des témoins de Jéhovah ? Connaissez vous ce que c'est deux poids , deux mesures ?

Pas la peine de nous bombarder sur le forum des amas de copier-coller de ce que racontent les média car c'est ce qu'il y a de plus facile. Je peux faire la même chose si je veux. Mais je préfère le dialogue constructif basé sur les échanges scientifiques que le dialogue de sourd.

C'est toujours les mêmes diffamations qui se propagent sur l'Islam et les musulmans ! comme disait l'adage : Les chiens aboient, la caravane passe.  Wink

Wa Salam

http://www.aimer-jesus.com

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Arabie saoudite : Après la flagellation, le pays abolit la peine de mort pour mineurs[/size]

SENTENCE Vendredi dernier, l’Arabie saoudite avait annoncé l’abolition de la flagellation

20 Minutes avec AFP
Publié le 27/04/20 à 10h00 — Mis à jour le 27/04/20 à 10h08



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La Mosquée du prophète dans la ville sainte de Médine en Arabie saoudite, en décembre 2008. — KHALED DESOUKI / AFP
Quelques jours après l’annonce de l’abolition de la flagellation, l’Arabie saoudite a supprimé la peine de mort pour des crimes commis par des mineurs, a indiqué un responsable saoudien dimanche.
Le royaume ultraconservateur est régulièrement accusé de violations des droits humains par les ONG internationales. Selon le décret royal, dévoilé par Awad Al-Awad, le chef de la Commission des droits humains, un organisme gouvernemental, la peine de mort est supprimée pour les individus reconnus coupables de crimes commis alors qu’ils étaient mineurs.

Un nombre record d’exécutions dans le pays en 2019


Une peine de prison ne dépassant pas les dix ans dans un centre de détention pour mineurs remplacera la peine de mort, selon lui. Ce décret devrait épargner au moins six hommes de la communauté musulmane chiite, minoritaire dans le royaume sunnite, qui avaient été condamnés à mort pour participation à des manifestations antigouvernementales alors qu’ils étaient âgés de moins de 18 ans.
« C’est un important jour pour l’Arabie saoudite », a dit Awad Al-Awad. « Ce décret nous aide à établir un Code pénal plus moderne. » Dans un rapport sur la peine capitale dans le monde, publié cette semaine, Amnesty International a affirmé que « l’Arabie saoudite a exécuté un nombre record de personnes en 2019, malgré une baisse générale des exécutions dans le monde ». «  Les autorités saoudiennes ont mis à mort 184 personnes l’année dernière, soit le nombre le plus élevé jamais enregistré par Amnesty en une seule année dans le pays », a-t-elle précisé.

L’Arabie saoudite pointée du doigt par les ONG de droits de l’homme


L’homicide, le viol, le vol à main armée, le trafic de drogue, les attaques à main armée, la sorcellerie, l’adultère, la sodomie, l’homosexualité et l’apostasie sont passibles de la peine capitale dans le royaume, qui suit une version rigoriste de l’islam. Vendredi, la Commission des droits humains a annoncé que la Cour suprême avait décidé « d’éliminer la flagellation comme peine potentielle ».
Depuis que Mohammed ben Salmane​ est devenu prince héritier en 2017, l’Arabie saoudite est particulièrement pointée du doigt par les organisations de défense des droits humains. L’ouverture économique et sociale promue par le prince Mohammed s’est accompagnée d’une répression accrue contre les voix discordantes, au sein de la famille royale comme dans le milieu des intellectuels et militants.
Désolé les source sont sur.

216L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Empty L'Islam et les média Mar 28 Avr - 0:23

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d’Allah, L'Infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que le salut et bénédictions soient sur son messager, Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour Josué

Voici une question pertinente qu'on a posé à Alain Gresh dans une interview

Comment les médias se représentent ils l'objet islam ?

Alain Gresh,  spécialiste du Proche-Orient, directeur adjoint du Monde Diplomatique et animateur du blog « Nouvelles d’Orient » répond : Je crois qu'il faut faire une remarque préliminaire. En parlant de médias, on parle de choses extrêmement différentes. Le système médiatique est un système énorme, avec la presse écrite, la presse régionale comme nationale, les hebdomadaires comme les quotidiens ou les mensuels, la radio, la télévision, maintenant Internet. Je crois qu'il faut éviter de trop généraliser et de dire qu'il y a une seule vision de n'importe quel problème en général. Il y a, dans la presse occidentale, un certain pluralisme, il y a un certain débat.

En même temps, cela ne veut pas dire que la presse ou les médias sont en dehors des préjugés ou des problèmes que connaisse la société et je crois que dans la vision générale des médias - mais, encore une fois, ce ne sont pas tous les médias -, il y a une vision de l'islam qui est assez, je dirais, unilatérale et assez peu nuancé qui est le mélange d'un manque d'information. Ça, c'est un problème qu'on rencontre toujours si vous voulez avec la formation des journalistes. Dans le système médiatique, en particulier dans le système qui est le plus fort, celui de la télévision, on a des gens qui traitent de sujets sans les connaître vraiment donc il y a effectivement, quand l'on ne connaît pas un sujet spontanément, on est porteur de tous les préjugés qui a sur le thème et donc, évidemment dans l'islam, on est souvent dans ce cas de figure. Et puis il y a effectivement une vision de l'islam qui est assez schématique, c'est-à-dire qui voit l'islam comme une espèce d'entité homogène qu'on pourrait analyser.

Source : https://www.saphirnews.com/Le-traitement-de-l-islam-par-les-medias_a12.html

Wa Salam

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Mikael

Mikael
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L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Quils-vivent-Caire-gouvernorats-ruraux-deende-jeunes-Egyptiens-seloignent-religion_3_729_583



Qu’ils vivent au Caire ou dans des gouvernorats ruraux, de plus en plus de jeunes Égyptiens s’éloignent de la religion.[size=12]JOHANN ROUSSELOT/SIGNATURES


Long format
[size=57]Être athée en monde musulman[/size]
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[/size]

  • Claire Planes, 
  • le 05/06/2020 à 18:03 
  • Modifié le 06/06/2020 à 12:22


Qu’ils vivent au Caire ou dans des gouvernorats ruraux, de plus en plus de jeunes Égyptiens s’éloignent de la religion. Johann ROUSSELOT/SIGNATURES

Les printemps arabes l’ont montré : les sociétés du Moyen-Orient et du Maghreb bougent et la modernité y fait son œuvre. Le rapport compliqué avec « l’Occident » et la force des traditions culturelles rendent ces évolutions peu visibles. Il n’empêche, l’athéisme – plus précisément l’irréligiosité – est un phénomène bien réel dans le monde musulman. Reportage en Égypte.


 

 

 

 



Mohamed est un habitué du café El Horreya. Avec ses tables de guingois, son sol collant caressé par le balai d’un vieil Égyptien en galabeya et sa pénétrante odeur de tabac, l’établissement est le dernier du centre du Caire à servir de l’alcool.
Dissimulés de la rue par des cloisons, les clients viennent y savourer le plaisir de la transgression – sous la forme d’une bière locale –, bien conscients que leur refuge ne sera pas éternel : l’an dernier, la sécurité a tardé à lui renouveler sa licence, l’obligeant à garder porte close durant plusieurs semaines. Parmi les clients, certains se diraient athées. Peut-être Mohamed, jeune ingénieur de 26 ans. Mais pas Adel, son ami, qui vient de le rejoindre autour d’un verre (1).

En Égypte, ne pas croire en Dieu oblige à « classer ses connaissances en ”cercles’’ », explique Mohamed, passé maître en la matière : d’un côté, les athées, agnostiques ou sceptiques, avec lesquels il peut échanger des plaisanteries sur la religion – « les plus drôles » –, de l’autre, l’immense majorité de ses connaissances, avec lesquelles il évite le sujet.

[size=32]L’athéisme, un secret bien gardé en Égypte

Adel ? Il fait partie d’une catégorie spéciale à ses yeux : celle des musulmans « ouverts », qui connaissent ses opinions sur la foi sans s’en offusquer. Interrogé sur cette tolérance peu commune, l’intéressé en délimite toutefois le périmètre : « Mohamed a le droit de croire ou de ne pas croire tant que cela reste discret et qu’il ne met pas en cause les fondements de la société ou de l’identité égyptienne. Un athée qui garde ses convictions me dérange moins qu’une féministe ou un militant homosexuel. »
L’athéisme est l’un des secrets les mieux gardés au pays des pyramides. Pas de statistiques officielles, ni d’étude universitaire. Seulement des rumeurs, peut-être exagérées, que diffusent les responsables religieux pour effrayer leurs ouailles : deux, voire trois millions, les chiffres ont circulé dans la presse, sans preuves. En 2014, le ministère de la jeunesse et celui des affaires religieuses ont annoncé « une campagne pour sauver les jeunes de l’athéisme », signe – peut-être – d’un début de prise de conscience…
L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Hommes-fument-narguile-centre-Caire_5_730_584


Des hommes fument le narguilé dans un café du centre du Caire.  / Johann ROUSSELOT/SIGNATURES

Car pendant des siècles, douter de Dieu ou cesser de croire ont fait partie des impensés en Égypte, comme dans l’ensemble du monde musulman. À la sanction prévue par le droit islamique – la peine de mort –, s’ajoute la forte réprobation sociale. Chacun se souvient que l’essayiste Farag Foda fut assassiné par le mouvement islamiste Gamaa Al-Islamiya en 1992 en raison d’une fatwa le déclarant apostat.
La même année, l’universitaire Nasr Hamid Abu Zaid a été contraint de divorcer et de fuir l’Égypte pour la même raison. D’Alexandrie à Assouan, chacun sait ce qui peut se dire et ce qui doit rester dans le secret de la conscience. L’abandon de la religion en fait partie.

[size=32]La foi, pilier de l’identité égyptienne

Or, malgré le solide rempart que lui offre le conservatisme bien connu des Égyptiens, l’édifice se craquelle. Avec leur anonymat protecteur, les réseaux sociaux permettent à ceux qui doutent ou qui ne se reconnaissent plus dans une appartenance confessionnelle de s’exprimer, d’échanger leurs vues.
→ INTERVIEW. « La liberté de conscience, un droit fragile et résilient »
Le tabou s’efface un peu. En cherchant et en promettant de dissimuler leur identité, il devient possible de rencontrer des Égyptiens a-religieux, dans le cadre protecteur du café El Horreya. De leur faire raconter comment et pourquoi ils ont perdu la foi. D’essayer de comprendre comment on vit sans Dieu dans un pays où la religion est, avec le foul – la purée de fèves – et le Nil, un pilier de l’identité nationale.
Mohamed est prêt à courir le risque : malgré le rejet qu’elle lui inspire, la religion reste l’un de ses sujets de discussion favoris. Chez ce jeune homme mince, à la peau sombre, qui vit à Choubra, quartier majoritairement chrétien du Caire, les questions sont apparues vers l’âge de 10 ans, avec le début de la pratique religieuse.
Mohamed apprend les gestes de la prière rituelle à la mosquée, commence à jeûner pendant le Ramadan, sans jamais cesser de s’interroger : « Faire les mêmes mouvements au même moment, en quoi ça nous aide, en quoi ça résout nos problèmes ? Même quand je le prie, Dieu ne fait rien : je fais les gestes et rien ne se passe. »

[size=32]Plus Mohammed lit, moins il comprend sa religion[/size]

Au lycée, ce lecteur boulimique fait une découverte qui le stupéfie : une partie des romans « ne parlent pas de Dieu ». Il dévore tout, surtout les philosophes : Kant, Hegel, Nietzsche, Sartre, Camus. Plus il lit, moins il comprend sa religion. Rien ne lui paraît « logique » : « Comment une vierge (Marie, NDLR) donnerait-elle naissance à un enfant ? Pourquoi nous promettre des vierges au paradis alors qu’il n’y aura pas de sexe ? »
La similitude entre certains récits présents dans différentes traditions – y compris celle de l’Égypte antique – le trouble. « Elles se copient toutes, il n’y a aucune créativité : Dieu ne peut pas être prévisible à ce point », assène-t-il. Enfin, les guerres dont il voit chaque jour les ravages, en Syrie ou au Yémen, achèvent de le convaincre de l’impossibilité d’un Dieu « tout-puissant ».
[/size][/size]
[size=31]Mohammed décide à 20 ans qu’il était désormais athée[/size]
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En quelques phrases, Mohamed a résumé quelques-unes des questions qui agitent les théologiens depuis des siècles. Mais lui, comme des millions d’autres jeunes Égyptiens, livre bataille à mains nues. Tout seul, il cherche des réponses. Tout seul, il a cherché à concilier le créationnisme enseigné dans son école d’ingénieur et ce qu’il a lu, dans des livres ou sur Internet, sur « le big bang, le chaos, l’expansion infinie de l’univers ». Tout seul, dans sa chambre, il a décidé un jour de sa vingtième année qu’il était désormais « athée ».

[size=32]Le choc entre tradition musulmane et vidéos Youtube[/size]

En Égypte, ce début de XXIe siècle voit des univers clos s’entrechoquer : celui de la tradition musulmane, avec ce que le philosophe Mohammed Arkoun appelait ses « clôtures dogmatiques », et celui des réseaux sociaux, réservoir infini de vidéos humoristiques et pédagogiques, de conférences et de débats enflammés. Certains jeunes, tel Ahmed El Ghandour, étudiant à l’American University du Caire, y font fureur avec de courtes séquences sur les sciences.
→ ANALYSE. Les athées égyptiens, cible des autorités
​​​​​​D’autres chaînes YouTube expliquent la philosophie, la sociologie, l’histoire, toutes ces sciences « occidentales » sévèrement rejetées par Al Azhar, la principale autorité religieuse pour une majorité d’Égyptiens. Étudiant en littérature, le talentueux Sherif Gaber a eu l’audace de les appliquer à l’islam. Intitulées « Dieu existe-t-il ? », « Daech représente-t-il l’islam ? » ou « Critiquer la religion est-il un droit de l’homme ? », ses vidéos, condensés de savoir et d’humour, recueillent des milliers de vues, au grand dam des autorités, politiques comme religieuses. 
L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 En-2011-revolution-egyptienne-permis-liberation-parole-idees-Politique-sexualite-atheisme-Ces-sujets-irruption-debat-public-refermela-lactuel-dirigeant_1_729_583


En 2011, la révolution égyptienne a permis une libération de la parole et des idées. Politique, sexualité, athéisme… Ces sujets ont fait irruption dans le débat public. Mais tout s’est refermé sous la main de fer de l’actuel dirigeant. / Johann ROUSSELOT/SIGNATURES


Le jeune Cairote, loin de se contenter d’afficher son athéisme, a eu le tort de s’en prendre aux dogmes musulmans les plus sacrés, le Coran et le prophète Mohammed. C’est en cela qu’il a franchi la ligne rouge. Enregistrée le 29 janvier 2019 dans un lieu tenu secret, sa dernière vidéo n’a plus la légèreté de celles de ses débuts. Intitulée « Aidez-moi à quitter l’Égypte », elle est un appel au secours adressé aux pays européens.

[size=32]Des dizaines de jeunes arrêtés pour « atteinte aux religions »[/size]

Car si, en Égypte, l’apostasie n’est pas punie par la loi, le code pénal, en revanche, sanctionne « l’atteinte aux religions », une incrimination s’apparentant davantage au blasphème qui a conduit à l’arrestation et à l’emprisonnement – souvent sans preuves – de dizaines de jeunes.
Parce qu’il sait tout cela, Waël fait le choix de la discrétion. Ce jeune Cairote ne saurait dire s’il est agnostique ou athée. Une chose le « retient vers Dieu : la perspective de perdre (sa) mère ou (ses) amis »« Je ne peux supporter cette idée qu’en me disant que je les retrouverai dans l’au-delà », avoue-t-il avec sincérité. Ce dont il est sûr, c’est qu’il a coupé les liens avec sa religion : « Trop stupide pour moi. »[/size][/size]

218L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Empty Re: L'Esprit de tolérance en Islam Sam 11 Juil - 15:15

Josué

Josué
Administrateur


Cette chanson à été interdite dans certains pays musulmans.

219L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Empty Re: L'Esprit de tolérance en Islam Sam 11 Juil - 17:07

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est pourtant une très belle chanson!

220L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Empty Re: L'Esprit de tolérance en Islam Mer 15 Juil - 14:46

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]En Tunisie, six mois de prison ferme pour une parodie sur le Coran[/size]

L’étudiante et blogueuse Emna Chargui, poursuivie depuis le 4 mai par la justice tunisienne pour avoir partagé une publication sur le coronavirus parodiant le Coran, a été condamnée à six mois de prison ferme, mardi 14 juillet.



  • Lucie Sarr, 
  • le 15/07/2020 à 11:39



L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Emna-Charki-27-blogueuse-tunisienne-vient-detre-condamnee-prisonun-Facebook-parodiant-Coran_0_729_496



Emna Charki, 27 ans, blogueuse tunisienne, vient d’être condamnée à six mois de prison pour un post Facebook parodiant le Coran.[size=12]FETHI BELAID/
[/size]


Six mois de prison ferme assortis d’une amende de 2 000 dinars (650 €), c’est la peine dont écope la blogueuse tunisienne Emna Chargui, 27 ans, pour avoir partagé, le 4 mai, sur son mur Facebook, une publication intitulée « sourate Corona ».
→ À LIRE. En Tunisie, report de l’audience d’Emna Chargui, accusée d’avoir partagé une publication parodiant le Coran
Le texte d’origine, publié par un internaute athée algérien vivant en France, est écrit en arabe et parle de la pandémie du Covid-19 en imitant le style des versets coraniques. Il était censé inciter les gens à se laver les mains tout en les faisant sourire.

Descente aux enfers


La publication disait

Josué

Josué
Administrateur

Ni Daech ni Al-Qaïda. Emna Charki, 27 ans, aura été condamnée en première instance par la paisible justice de son pays, la justice tunisienne, au motif qu'elle a partagé sur Facebook une sourate fictive consacrée au coronavirus. Elle n'a pas été la victime de djihadistes bas de plafond, mais du pouvoir judiciaire et républicain. Au cœur d'un été sous menace sanitaire, à la veille d'un Armageddon socio-économique, voici une étonnante affaire qui se situe à Tunis et ses environs. Une histoire où tout le monde sera perdant : 

222L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Empty Re: L'Esprit de tolérance en Islam Dim 23 Aoû - 17:39

Josué

Josué
Administrateur

Une adolescente tondue pour avoir fréquenté un chrétien

La famille musulmane de cette jeune fille d'origine bosniaque installée à Besançon l'a également violemment frappée lundi.

Par Le Figaro avec AFP

Publié le 21 août 2020 à 11:14, mis à jour le 21 août 2020 à 18:50


Son père, sa mère, son oncle et sa tante ont été placés en garde-à-vue et mis en cause pour «violences sur mineur, en présence de mineurs et en réunion». (Photo d'illustration) HJBC - stock.adobe.com

Battue et tondue par ses proches pour avoir envisagé d'épouser son petit ami chrétien… Le 17 août, à Besançon, une jeune Bosniaque de confession musulmane a été la cible d'une explosion de violence de la part de sa propre famille sur un fond apparent de vieilles haines interreligieuses et interethniques. Arrivée en France avec ses parents en 2017, la jeune fille de 17 ans habitait dans un des immeubles du quartier des Clairs-Soleils, classé « quartier prioritaire politique de la ville », au nord-est du centre-ville de Besançon. Il y a quelques mois, elle fait la connaissance d'un de ses voisins habitant le même immeuble. Le garçon est âgé de 20 ans et il est d'origine serbe et de confession chrétienne. Naît alors une idylle, un quart de siècle après la fin du conflit bosniaque.
À LIRE AUSSI : Gironde: le maire d'un village frappé après s'être plaint de tapage nocturne
À Besançon, loin des cimetières de Sarajevo et des charniers de Srebrenica, les relations entre les deux familles étaient a priori bonnes et l'amour que se portaient leurs enfants ne semblait pas poser problème. Jusqu'au moment où les jeunes ont commencé à parler mariage. Selon Margaret Parietti, vice-procureur de la République de Besançon, les parents de l'adolescente lui auraient dit : « Nous sommes musulmans, tu ne te marieras pas avec un chrétien ». Selon la tradition musulmane, un homme peut se marier avec une non-musulmane si elle est d'une des religions du Livre (juive ou chrétienne). Une femme ne peut en revanche épouser un non-musulman.

Dans l'appartement familial des Clairs-Soleils, la situation s'envenime. L'amoureuse est privée de téléphone et se voit interdire tout contact avec son petit ami. Pendant quelques jours, elle finit par fuguer avec lui. Mais le contact aurait été maintenu par SMS avec les familles, notamment pour les rassurer. Et tout semble se passer au mieux, la famille bosniaque ne paraissant pas trop tenir rigueur à sa fille de sa virée.

« Déferlement de violence »


Après quatre jours de fugue, les deux amoureux sont de retour à Besançon. Et comptent visiblement régler le problème. Lundi, ils se rendent tous deux, avec les parents du jeune homme, chez la famille bosniaque. Et tout dégénère dans un « déferlement de violence » selon le vice-procureur. Sa mère gifle la victime, qui est amenée de force dans une des chambres de l'appartement puis violemment frappée. Son petit ami et ses parents sortent alors de l'appartement pour trouver de l'aide. La jeune femme se retrouve face à sa mère, son père, son oncle et sa tante. En présence d'autres mineurs membres de la famille, elle reçoit des coups de poing, de pied, sur le visage et le corps.
Selon les déclarations de la jeune fille, à la chevelure épaisse, son père donne alors à son oncle une tondeuse et lui demande de la tondre. Pendant toute cette scène, sa famille l'empêche de sortir de la chambre. Peu après, l'amoureux revient avec plusieurs autres personnes et la police arrive sur place. Les policiers finissent par découvrir la victime terrorisée, que sa famille voulait garder cachée.
Elle est transportée à l'hôpital, où un médecin lui prescrit 14 jours d'incapacité totale de travail. Elle souffre d'une côte cassée, de nombreux hématomes et d'un traumatisme à l'oreille. Ses parents, son oncle et sa tante ont été interpellés, placés en garde à vue. Ils sont poursuivis pour « violences sur mineur, en présence de mineurs et en réunion », passibles de 10 ans d'emprisonnement et 150.000 euros d'amende. Ils n'ont pas été placés en détention mais sous contrôle judiciaire avec une interdiction logique de contacter leur fille et nièce. La victime a été placée sous protection judiciaire. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a condamné vendredi un « acte de torture » et une « barbarie » appelant « les sanctions les plus sévères ». Ministre déléguée à la Citoyenneté, Marlène Schiappa a également réagi : « Honte à ces parents, à cet oncle ignobles. Ces actes doivent être condamnés. Soutien à cette jeune fille, à sa liberté, à son intégrité, à sa dignité. Et merci à son petit ami qui a permis de la sauver ». Premier président de la Cour des comptes et ancien élu PS du Doubs, Pierre Moscovici a fait de même : « Une adolescente de 17 ans frappée et tondue à Besançon parce qu'elle aimait un chrétien ! Cet acte de torture et d'humiliation est atroce, rétrograde et insupportable. Il doit être dûment sanctionné ».

223L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Empty Re: L'Esprit de tolérance en Islam Lun 24 Aoû - 12:46

Amaytois

Amaytois

Bonjour

Je n'ai strictement rien contre les musulmans, dans ma famille mon beau frère et ma belle sœur le sont. Mais ce que je n'aime pas se sont les intégristes, ceux qui veulent même par la force faire appliquer des choses qui sont contraires aux écritures.

Voici une vidéo "RÉPONSE MAGISTRALE À UNE MUSULMANE "MODÉRÉE""



Et oui, les intégristes ne suivent pas ceci: "Pas de contrainte en religion. La bonne guidance se distingue de l'errance" (sourate 2, "La Génisse", verset 257).

Ou encore : "Est-ce à toi de les contraindre ? La vérité de Dieu est de dire : Que celui qui le veut croit. Que celui qui le veut soit incroyant" (sourate 18, "La caverne", verset 28).

Enfin et surtout : "Tuer une âme, non coupable du meurtre d'une autre âme ou de dégâts sur terre, c'est comme d'avoir tué l'humanité entière. Et sauver une vie, c'est comme sauver l'humanité entière" (sourate 5, "La Table", verset 35).

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Bangladesh : sept ans de prison pour « commentaires obscènes sur le prophète Mohammed »[/size]
Les faits 

Un homme hindou vient d’être condamné à sept ans de prison pour avoir diffusé sur son compte Facebook des propos qualifiés de blasphématoires envers le prophète Mohammed.


  • La Croix (avec AFP), 
  • le 17/09/2020 à 18:23

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Dans tous les pays musulmans le blasphème est punie.

Josué

Josué
Administrateur

Le blasphème est puni de mort en Iran, au Pakistan, en Afghanistan, à Brunei, en Mauritanie et en Arabie saoudite. Pour ce qui concerne les pays non musulmans, c'est en Italie que la loi est le plus sévère : la peine maximale prévue est de trois ans de prison

Lechercheur



En français, ce mot désigne des paroles irrespectueuses ou injurieuses dites contre Dieu ou contre des choses sacrées.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Que dit exactement le coran sur le blasphème ?

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

En Thaïlande le crime de lèse majesté est fortement punie.

Elqana



[size=36]Que dit l’islam du blasphème ?[/size]
   

L'islam interdit la représentation de Dieu et de son prophète. Y contrevenir est perçu comme une insulte grave,mais il n'en a pas toujours été ainsi. Publié le 21 janvier 2015. 

L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Croire_0_100_20
«La notion de blasphème n'a pas d'équivalent en islam, précise Tareq Obrou, théologie et imam à la mosquée de Bordeaux. Il s'agit plutôt d'apostasie (riddat), qui ne concerne que le musulman qui renie sa foi. Quant à la représentation de Dieu et celle du Prophète, leur interdiction ne concerne que le musulman et non pas le non musulman, sachant qu'il n'y a aucune source scripturaire qui interdirait la représentation du Prophète. En effet, l'interdiction de la représentation du Prophète relève du principe de précaution, une interdiction préventive. L'islam est une religion aniconique : l'interdiction de la représentation du Prophète est comprise dans le sens d'une prévention contre l'idolâtrie ou iconolâtrie de la personne du Prophète.»

Voir aussi sur croire.com


  • Blasphème
  • Islam
  • Musulman

Dans le passé, cependant, ces représentations ont existé comme dans la miniature persane des XIVe-XVIe siècle ou dans l’enluminure des sultanats de l’Inde, rappelle le dominicain François Boespflug, professeur d'histoire des religions à la Faculté de Théologique Catholique de l'Université Marc Bloch de Strasbourg. La montée des fondamentalismes dans les pays musulmans (wahhabisme à la fin du XVIIIe s. repris par les Frères musulmans en Égypte au début du XXe s.) s’est coupé de cette tradition.
Dans les pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, les lois qui sanctionnent le blasphème peuvent aller jusqu’à la peine de mort. Selon le Pew Research Center, un pays sur deux, dans le monde légifère contre le blasphème, l’apostasie (renier sa foi) ou la diffamation de la religion.

«Intolérance, irrespect, insensibilité»

L’organisation de coopération islamique (OCI), par la voix de sa commission permanente indépendante des droits de l'homme, considère la publication du numéro de Charlie Hebdo après les attentats, représentant à nouveau le prophète Mahomet, comme «une expression intolérante, irrespectueuse et manifeste de la haine et de l’insensibilité envers les sentiments de plus de 1,6 milliard de musulmans à travers le monde» (communiqué daté du 18 janvier 2015).
Pour l'organisation, qui compte 57 États membres, «l'acte a encore exacerbé le débat existant sur les limites de la liberté d'expression en transformant le soi-disant «droit d'offenser» en un «devoir d'offenser»».
Elle «exhorte les musulmans du monde entier à continuer de faire preuve de retenue dans leur réaction à cet acte extrême de provocation malveillante et de haine basée sur la présomption infondée du droit d'insulter et de diffamer la foi, les valeurs et les cultures d’autrui au nom de la liberté d'expression.»
L’OCI «soutient pleinement la liberté d'expression et la nécessité de discuter de toutes les idées et questions d'une manière ouverte, bien informée et franche y compris la critique des croyances sacrées. Cependant, les insultes et les stéréotypes négatifs n’ont jamais donné de résultats positifs.»

Gilles Donada

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Pour les musulmans, la liberté reste à conquérir[/size]


[size=33]ÉDITO. Les libertés individuelles sont piétinées dans la plupart des pays musulmans. Mais l'exemple tunisien montre qu'il n'y a pas de fatalité.[/size]


 Par Luc de Barochez
Publié le 05/10/2020 à 07:00 | Le Point.fr


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Manifestation de soutien à l'avocate anti-voile Nasrin Sotoudeh devant l'ambassade d'Iran à Paris, le 13 juin 2019. :copyright: FRANCOIS GUILLOT / AFP


« Ce dont le monde arabe a le plus besoin, c'est de la liberté d'expression. » Le titre de la dernière chronique écrite par le journaliste saoudien Jamal Khashoggi avant son assassinat reste, à l'heure du procès de l'attentat contre Charlie Hebdo, toujours aussi pertinent. Quand le Washington Post publia le texte, il y a deux ans, son auteur venait d'être découpé en morceaux par des agents saoudiens dans le consulat du royaume à Istanbul. L'étouffement de la parole dénoncé par Khashoggi est emblématique de la répression de l'ensemble des libertés individuelles dans la quasi-totalité des pay...

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]La chanteuse Rihanna accusée de « blasphème » contre l’islam[/size]

Les faits 

La chanteuse Rihanna fait l’objet d’une accusation de « blasphème » envers l’islam. Une chanson reprenant des extraits d’un texte musulman a été diffusée lors d’un défilé de sa marque de lingerie, suscitant des centaines de milliers de messages de colère sur les réseaux sociaux, ainsi que des appels au boycott.



  • Héloïse de Neuville, 
  • le 06/10/2020 à 18:26





L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 Rihanna-presente-excuses-mardi-6-octobre_0



Rihanna a présenté ses excuses mardi 6 octobre.[size=12]CHRIS PIZZELLO/INVISION/AP
[/size]
C’est une nouvelle controverse, qui ne manquera pas de relancer la question ultrasensible chez les fidèles musulmans du « blasphème » envers leur religion. Sur le banc des accusés : la chanteuse, créatrice et femmes d’affaires Rihanna, accusée d’avoir insulté l’islam, après qu’une chanson de musique électronique reprenant des extraits d’un hadith a été diffusée pendant un défilé de sa marque de lingerie « Savage X Fenty » vendredi 2 octobre.
→ À LIRE. Quelle est l’origine du mot blasphème ?

https://www.la-croix.com/Religion/chanteuse-Rihanna-accusee-blaspheme-contre-lislam-2020-10-06-1201117975

Josué

Josué
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[size=33]Adrien Candiard : « Il faut prendre au sérieux le discours fanatique »[/size]


[size=33]INTERVIEW. Dans son nouvel essai, ce frère dominicain, islamologue reconnu, explore les racines du fanatisme religieux, en particulier musulman.[/size]


 Propos recueillis par Jérôme Cordelier
Publié le 11/10/2020 à 11:00 | Le Point.fr


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Adrien Candiard au couvent Saint-Jacques, Paris :copyright: Khanh Renaud Pour Le Point
Ce trentenaire est sans doute l'essayiste catholique le plus vif de notre époque. Le dominicain Adrien Candiard vit et travaille à l'Institut dominicain des études orientales (Ideo), fondé au Caire par les frères en 1928, d'où il nous fait parvenir à intervalles très réguliers des textes spirituels qui éclairent nos problématiques contemporaines. Depuis plusieurs années, Adrien Candiard étudie les manuscrits de l'islam médiéval, en particulier les écrits d'Ibn Taymiyya, penseur du XIV[size=11]e siècle auquel se réfèrent de nos jours encore les musulmans radicaux.[/size]

philippe83


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MODERATEUR

Et ailleurs sous peine de mort. Arabie saoudite, Pakistan

Lechercheur



Les pays musulmans non pas la réputation de tolérance,ceci il n'y pas eux car des pays chrétiens font aussi malheureusement la même chose.

Josué

Josué
Administrateur

L'écrivain et poète syrien réfugié en France Omar Youssef Souleimane appelle quant à lui à dissocier la religion musulmane de toute identité politique ou communautaire. Et affirme : "C'est avant tout aux imams de résoudre la crise de l'islam"

Lechercheur



Josué a écrit:L'écrivain et poète syrien réfugié en France Omar Youssef Souleimane appelle quant à lui à dissocier la religion musulmane de toute identité politique ou communautaire. Et affirme : "C'est avant tout aux imams de résoudre la crise de l'islam"
En fait l'Islam est une maison divisée.
Donc problème insoluble.

Josué

Josué
Administrateur

[size=36][size=30]La Question du Mardi[/size]
En association avec
Une Minute avec Marie et les Questions de fond d'Aleteia
[/size]
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Le Djihad est-il une réplique légitime aux croisades ?


L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 2

Martin Aurell
Professeur d’histoire médiévale à l’université de Poitiers, et membre de l’Institut universitaire de France.

L'Esprit de tolérance en Islam - Page 5 4d072d32-3862-42f2-a061-c8cb5ca7f3ad
Non, car le djihad des terroristes est d’une nature très différente des croisades. Il vise à soumettre le monde entier, alors que le motif des croisades a été de rendre à nouveau possible l’accès aux lieux saints chrétiens.
1. Les termes chrétiens de « croisades », « croisés » ou « martyrs » sont profondément dévoyés dans leur usage médiatique et de moins en moins compris dans le grand public. Il est abusif et absurde de faire de tous les Occidentaux des croisés, surtout en cette époque où ils se sécularisent. C’est une distorsion grossière de l’histoire, de la part de minorités d’extrémistes qui s’imaginent pouvoir restaurer par les armes et la terreur la supériorité culturelle de l’islam au début du Moyen-Âge. En savoir +

2. Les croisades dans leur principe n’étaient pas dirigées contre l’Islam : il s’agissait de libérer les lieux saints dont l’accès pour les pèlerins chrétiens était rendu difficile par les Turcs Seldjoukides. Jamais personne n’a eu l’idée de porter le combat jusqu’à La Mecque : ce n’était pas le but. Les croisades n’étaient donc ni anti-musulmanes, ni anti-arabes, ni anti-califat, ni même anti-seldjoukides. Du reste, par intermittence, les relations avec les musulmans pouvaient être excellentes. En témoignent, en parallèle des croisades, le respect mutuel entre Richard Cœur de Lion et Saladin, François d’Assise reçu par le sultan en Égypte ou l’accueil par les théologiens chrétiens de la pensée arabe au XIIIe siècle. En savoir +

3. Si l’on veut faire une comparaison, il faudrait se demander quelle serait la réaction des musulmans si les occidentaux envahissaient l’Arabie Saoudite et empêchaient les croyants musulmans d’aller à la Mecque. Il faut évidemment ne pas nier que les croisades ont été parfois gravement détournées de leur but et que l’intention de certains croisés n’était pas toujours très droite. En savoir +

4. Le djihad est conçu dans la doctrine traditionnelle musulmane comme un outil au service de l’islam. Que ceci signifie le devoir de soumettre la terre entière par les armes et la terreur va contre une tradition plus solide et heurte de plus en plus de musulmans, comme en témoigne la récente intervention du président égyptien, Abd Al-Fattah Al-Sisi, dans un discours prononcé à l’Université Al-Azhar. Le djihad tel qu’il est vécu aujourd’hui, par des extrémistes qui considèrent le reste du monde comme un ennemi à vaincre et soumettre, n’a rien à voir ni avec l’islam tel qu’il est vécu par l’écrasante majorité des musulmans, ni (encore moins !) avec les croisades. En savoir +

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est presque du kif kif et aussi sanglant.
Deux religions violentes.

Lechercheur



Les croisades sont la négation du christianisme et en à donné une très mauvaise image.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Vous racontez n'importe quoi sans rien y connaitre. Les croisades furent une réponse attendue par les chrétiens d'Orient de plus en plus sous pression mahométane. Les sites sacrés devinrent payant, puis interdits, puis les meurtres rituels au nom d'Allah s'amplifièrent. Les pèlerins en appelèrent de par le monde aux papes qui se succédaient. Il fut un temps où les chevaliers français, surtout du sud de la France d'alors, plus puissants que le roy de France, partirent donc pour assurer la protection des pèlerins. Or il y eut deux autres croisades lancées, celle des "pauvres", et celle "des enfants". Les mahométans s'inquiétaient de cette armée de défense passive, de ces chevaliers francs qu'ils n'avaient jamais vu. De folles rumeurs circulaient sur eux, ils vivraient dans des bois, ils auraient de longs cheveux tel des femmes, ce seraient des sauvages. Les nobles chevaliers prirent les ports, ralentissant leur venue. Pendant ce temps, la croisade spontanée des pauvres s'amplifiait partout où elle passait, partie de Rome. Elle arriva la première. Les mahométans crurent que c'étaient là ces fiers chevaliers et... les exterminèrent tous, sans exception. Le soir de cette monstruosité, ils fêtèrent leur immense victoire sans un seul mort dans leurs rangs. C'est alors qu'un matin, les chevaliers découvrirent ces centaines de milliers de cadavres de pauvres bougres innocents, porteur du seul bâton de pèlerin. Ils les inhumèrent en larmes, et leur colère monta si forte qu'ils décidèrent d'outre passer leur mission, en vengeance. Le massacre dans Jérusalem fut terrible. Ainsi commença cette guerre absurde, comme tant d'autres.
La première croisade a ouvert le monde chrétien au monde entier, parce que tous les historiens des autres civilisations en parlent avec admiration, tout comme aujourd'hui on admire les légionnaires.
La création des premiers chevaliers pauvres templiers, gardien du temple de Salomon retrouvé (!!), la création du chèque de banque pour payer d'un point opposé à un autre du monde, combien d'ordres hospitaliers de soins gratuits, nouveauté totale dans l'humanité. Le roi Louis IX devint le conseiller de l'Europe en formation, et donc de la justice égale entre les pays, des ambassadeurs, etc.
Ces trésors précieux de connaissances sont toujours conservés au Vatican. Ainsi, selon les premiers templiers, le temple retrouvé en ruines souterraines de Salomon n'est absolument pas où la place de la mosquée de Jérusalem est installée.

Pour l'esprit de tolérance en islam, veuillez consulter la colère des français qui monte, qui monte, qui monte, et que rien ne semble plus arrêter.
Liste des attentats islamiques en France
Nous revoici dans une configuration de guerre contre le terrorisme islamique.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

Josué
Administrateur

Le Christ recommande t-il ce genre de pratique sur la simple raison qu'il fallait reprendre les lieux saints?

Amaytois aime ce message

BenFis

BenFis

Cela pose le problème des guerres en général. Peut-on légitimer certaines guerres ?
Par ex. fallait-il laisser Hitler tuer tous les Juifs d'Europe sans rien faire ?

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Ne mélange pas tout car la deuxième guerre mondiale ne fut pas une guerre de religion.
Les alliés n'ont pas déclaré la guerre pour aller délivrer les juifs des camps de concentrations.
Lors de la nuit du cristal ils n'ont pas levé le petit doig devant les atrocités qui se passaient envers les juifs.

samuel

samuel
Administrateur

Tout à fait il ne faut pas mélanger les genres.

Amaytois

Amaytois

De toute façon qu'ils se disent chretiens ou bien musulmans la finalité est identique...... massacre

BenFis

BenFis

Mikael a écrit:Ne mélange pas tout car la deuxième guerre mondiale ne fut pas une guerre de religion.
Les alliés n'ont pas déclaré la guerre pour aller délivrer les juifs des camps de concentrations.
Lors de la nuit du cristal ils n'ont pas levé le petit doig devant les atrocités qui se passaient envers les juifs.
Oui, tout cela est vrai.

Ce que je veux dire, c'est que sans cette guerre perdue par les nazis, la destruction totale des Juifs en Europe aurait été effective; et qu'il a donc bien fallu des combattants pour en venir à bout. De plus, nombreux sont ceux qui se s'étaient engagés dans l'armée ou qui ont mené leur combat au sein de la résistance dans le but de libérer les camps de la mort.

chico.

chico.

Et c'était écrit quoi sur les écussons des soldats allemands ?

Josué

Josué
Administrateur

[size=38] Être noir en islam, c’est compliqué »[/size]
Analyse 

À Marseille, la communauté musulmane représente environ un tiers des habitants et est tissée de multiples origines. Cette diversité ne va pas sans divergences de vues, voire de franches stigmatisations. L’islam, pourquoi c’est compliqué.



  • Coralie Bonnefoy, correspondante à Marseille, 
  • le 26/01/2021 à 07:46 
  • Modifié le 26/01/2021 à 11:38

  •  Être noir en islam, c’est compliqué »

    la-croix.com - Coralie Bonnefoy, correspondante à Marseille

    « J’ai été reçu au Vatican, je suis allé à Jérusalem, mais cette mosquée-là, je n’y suis jamais entré », soupire le mufti Mohamed Kassim. La mosquée …

papy

papy

Les noirs sont considéré comme des musulmans de seconde zone.

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