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La grippe aviaire de retour.

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1La grippe aviaire de retour. Empty La grippe aviaire de retour. Dim 13 Avr - 9:05

samuel

samuel
Administrateur

La grippe aviaire de retour au Japon
Mis à jour à 07:50
Le virus a été détecté à deux reprises dans un élevage de poulets au Japon. Une première depuis 2011.

112'000 poulets vont être abattus. (Photo: Key
Deux cas de grippe aviaire ont été confirmés dans un élevage de poulets au Japon, a annoncé dimanche le ministère japonais de l'Agriculture. Il s'agit des premiers cas recensés dans le pays depuis trois ans.

Le virus hautement pathogène H5 a été détecté grâce à un examen génétique des volailles de la ferme située dans la préfecture de Kumamoto, dans le sud de l'archipel. Au total, 1100 poulets sont morts et 112'000 vont être abattus, selon les médias japonais.

Le virus ne se transmet normalement pas aux humains via la consommation d'oeufs ou de viande, a déclaré un fonctionnaire du ministère. En 2011, le précédent cas de grippe aviaire avait touché la préfecture de Chiba, au nord de Tokyo.

(ats)

samuel

samuel
Administrateur

Mesures urgentes en Europe pour contenir la grippe aviaire
Mis à jour il y a 57 minutes
La Commission européenne devrait prendre lundi des mesures d'urgence destinées à contenir la propagation d'un cas de grippe aviaire issu de la souche hautement pathogène H5N8 du virus.

La grippe aviaire de retour. Image_big_ipad_http___files2.newsnetz.ch_story_3_0_0_30079952_1_topelement.jpg_1416211694


(Photo: Keystone ARCHIVES / PHOTO D'ILLUSTRATION)
Aux Pays-Bas, où un cas de grippe aviaire issu de la souche hautement pathogène H5N8 du virus a été découvert dans un élevage, ainsi qu'en Grande-Bretagne, des restrictions sont d'ores et déjà en vigueur.
«La Commission devrait adopter (...) le lundi 17 novembre une décision portant sur des mesures de prévention urgentes liées à ce cas», a précisé dimanche Ricardo Cardoso, porte-parole de l'institution.
Les autorités néerlandaises ont annoncé que le cas de grippe aviaire découvert dans un élevage d'Hekendorp, au centre des Pays-Bas, était le fait de la souche hautement pathogène H5N8 du virus. Celle-ci est mortelle pour la volaille et capable de franchir la barrière des espèces.
Nombreuses mesures
Dans un communiqué diffusé tard samedi soir, les autorités néerlandaises ont indiqué les transports de volaille ont été provisoirement interdits à l'échelle du pays tout entier. Quelque 150'000 poulets sont en outre sur le point d'être abattus, conformément aux règles européennes en matière de grippe aviaire.
«Les prochains jours seront consacrés à déterminer l'origine du virus et la manière dont il s'est propagé ainsi qu'à empêcher qu'il ne se propage plus encore», a assuré la secrétaire d'Etat aux Affaires économiques Sharon Dijkstra.
Pour limiter les risques de contamination, les autorités ont décrété une interdiction du transport de volailles, d’œufs ou de fumier de volailles. Cette interdiction durera 72 heures au maximum. Dans un rayon de 10 kilomètres autour de l'exploitation concernée, elle durera «en principe» 30 jours. Seize autres exploitations se trouvent dans ce rayon et des analyses vont y être menées.
Un protocole visant à contrôler les visites rendues aux diverses exploitations du pays a également été instauré, tout comme une interdiction de chasser.
Cas britanniques
Cette variante de la grippe aviaire, jusque-là cantonnée à l'Asie, avait été détectée début novembre pour la première fois en Europe, en Allemagne. Elle est différente de la H5N6, contre laquelle l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) avait mis en garde en septembre, en raison de sa forte virulence.
Selon les médias néerlandais, la variante H7N7 de la grippe aviaire avait durement frappé les Pays-Bas en 2003. Quelque 30 millions de volailles avaient été détruites par les autorités sanitaires.
De son côté, la Grande-Bretagne a signalé dimanche de nouveaux cas de grippe aviaire dans une ferme d'élevage de canards dans le Yorkshire, au nord du pays. Elle a toutefois assuré que le risque pour la santé publique était «très faible».
Une zone de restriction a été mise en place autour de la ferme et l'abattage a commencé, a déclaré une porte-parole du ministère de l'Environnement, de l'alimentation et des affaires rurales. La responsable britannique n'a pas précisé quelle souche de la maladie a été détectée dans cette ferme.
(ats)

Articles en relation

Les Pays-Bas ont détecté une souche de grippe aviaire
La grippe aviaire de retour. Chevron

samuel

samuel
Administrateur

Quatre décès dus à la grippe aviaire
Mis à jour le 27.12.14
Les autorités sanitaires libyennes ont annoncé le décès de quatre personnes, sans évoquer l'épidémie. La souche du virus a déjà fait 400 morts en Asie.

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ILLUSTRATION - Trois cas ont été enregistrés à Tripoli et un quatrième à Tobrouk dans l'extrême est pays, a expliqué le ministre de la Santé. (Photo: AFP)
Le ministère libyen de la Santé a fait état ce samedi 27 décembre de quatre décès dus à la grippe aviaire et affirmé qu'il n'existait pas de cas de l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola dans le pays.
«Quatre personnes atteintes de la grippe aviaire sont mortes tout récemment en Libye», a déclaré Ridha Awkali, ministre de la Santé au sein du gouvernement reconnu par la communauté internationale, sans préciser la souche du virus ayant provoqué ces décès.
400 morts en Asie
Trois cas ont été enregistrés à Tripoli et un quatrième à Tobrouk dans l'extrême est pays, a expliqué le ministre.
«Une autre personne est toujours sous traitement à Tobrouk», a-t-il ajouté.
La souche H5N1 de la grippe aviaire a fait plus de 400 morts, surtout en Asie du sud-est, depuis son apparition en 2003. Une nouvelle souche, H7N9, a tué plus de 170 personnes depuis son apparition en 2013. Une autre, la H5N8, a été récemment détectée pour la première fois en Europe.
En Egypte, voisine de la Libye, huit décès dus au virus H5N1 ont été enregistrés cette année.
Le responsable libyen a d'autre part affirmé qu'il n'existait pas dans son pays de cas d'Ebola, un virus ayant causé en un an au moins 7693 morts dans plusieurs pays, à 99% dans trois Etats voisins: le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée, d'après un bilan de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) diffusé vendredi.
(afp)

La grippe aviaire de retour. Chevron

samuel

samuel
Administrateur

37'000 poulets abattus à cause de la grippe aviaire
Mis à jour il y a 56 minutes
Les autorités japonaises ont ordonné mardi l'abattage de 37'000 poulets après la confirmation d'un troisième foyer de grippe aviaire en moins d'un mois.

La grippe aviaire de retour. Image_big_ipad_http___files2.newsnetz.ch_story_1_7_1_17136458_2_topelement.jpg_1419922219


37'000 poulets ont été abattus au Japon à cause de la grippe aviaire (Photo: Keystone archives)
La confirmation d'un troisième foyer de grippe aviaire au Japon a amené ce mardi 30 décembre à l'abattage de 37'000 poulets au Japon. La veille, 42'000 poulets avaient déjà été tués.

Des tests génétiques ont confirmé la présence d'une souche H5 du virus dans une ferme de la préfecture de Yamaguchi, dans le sud-ouest de l'île principale d'Honshu, selon le ministère de l'Agriculture.
L'abattage des bêtes concernées a déjà commencé, et un périmètre sanitaire de 10 kilomètres a été établi autour de l'exploitation contaminée, avec interdiction de transporter des poulets en dehors de cette zone.
Des mesures similaires avaient été prises lundi à Miyazaki (île méridionale de Kyushu), où un autre foyer a été détecté et 42'000 poulets tués. Un précédent cas avait été découvert à la mi-décembre à 100 km de là, dans la même préfecture, pour la première fois depuis avril (4000 poulets abattus).
Les autorités nippones mettent régulièrement en garde les éleveurs contre les risques d'infection, rappelant la présence persistante de la maladie en Asie.
(ats)

samuel

samuel
Administrateur

l'épidémie de grippe aviaire. Pour faire face, les élevages d'oies et de canards dans la zone du Sud-Ouest touchée par la maladie devront fermer plusieurs mois, annonce le ministère de l'Agriculture, jeudi 14 janvier, après concertation avec les professionnels.

Il n'y aura "pas d'abattage massif préventif des animaux en cours d'élevage", mais une procédure de vide sanitaire sera mise en place à partir du 18 janvier, indique le communiqué. Les élevages ne pourront donc plus accueillir de nouveaux canetons pendant plusieurs mois, pour permettre "l'assainissement de l'environnement".

Déjà 69 foyers recensés
Mercredi, le ministère faisait état de 69 foyers recensés en Dordogne, en Haute-Vienne, en Haute-Garonne, dans les Landes, le Gers, les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées et le Lot.
France info.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

L’épizootie de grippe aviaire met en lumière l’organisation industrielle de la filière. Plus productive grâce à la « taylorisation » du travail, elle est aussi plus sensible à la diffusion des virus.

Nouveau coup dur pour les professionnels du foie gras, cet épisode de grippe aviaire va-t-il aussi conduire à réorganiser la filière ? Avec la parution ce matin au « Journal Officiel » d'un arrêté sanitaire signé par les ministères de l'Agriculture et de l'Economie, c'est l'abattage de plusieurs centaines de milliers d'animaux qui a démarré jeudi et jusqu'au 20 janvier dans plusieurs départements du sud-ouest.

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Grippe aviaire : abattage massif de canards dans le Sud-Ouest
D'abord le Gers, qui concentre la moitié des foyers, mais aussi les Landes, les Pyrénées-Atlantiques et les Hautes-Pyrénées. Dans la zone concernée, qui concentre la majorité des foyers de contamination liée au virus H5N8, l'épidémie n'est pas « stabilisée », selon le ministère de l'Agriculture. Sur 1,3 million de palmipèdes prêts à gaver (des canards essentiellement) recensés, 800.000 animaux au moins devraient être abattus afin d'éviter l'extension de l'épidémie à d'autres territoires, et notamment la Chalosse, coeur de la région de production située plus à l'ouest dans les Landes.

Il faut arrêter cet incendie au plus vite.
La plupart des professionnels approuvent cette mesure à l'image de Christophe Barrailh, président du Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (Cifog) et lui-même éleveur dans les Landes : « Il faut arrêter cet incendie au plus vite. Nous sommes tous mobilisés pour réaliser l'opération dans les meilleurs délais. » Même si des voix divergentes se font déjà entendre. « Aujourd'hui, c'est la seule solution. Le problème, c'est que si on avait réagi un mois plus tôt, au lieu d'abattre un million de canards, on en aurait abattu 100.000 », a déclaré à l'AFP Christian Candelon, membre du collectif « Canards en colère ».

Deux types de filières

Et, à plus long terme, l'organisation de la filière autour de ses 5.000 producteurs va peut-être également se voir remise en cause. Des professionnels aujourd'hui organisés selon deux filières distinctes. Dans l'une, courte, les producteurs - souvent des agriculteurs - sont indépendants. Ils achètent des canetons qu'ils élèvent puis gavent eux-mêmes, assurant ensuite la vente du foie gras.

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Le retour de la grippe aviaire porte un coup dur aux producteurs de foie gras
La filière longue est, en revanche, organisée autour des grandes coopératives (Euralis, Maisadour, Vivadour...), avec une forte division du travail : reproducteurs, accouveurs, éleveurs, gaveurs, puis les abattoirs en bout de chaîne. Les coopératives assurent la vente via leurs marques comme Delpeyrat, Rougié ou Montfort. Cette filière intégrée très bien rodée et quasi-industrielle est responsable de la très grande majorité des quelque 37 millions de canards élevés en France, produisant environ 19.000 tonnes de foie gras.

Augmentation des risques

Si la production a beaucoup augmenté les risques également. Notamment à cause du transport des animaux. Augmentant du même coup les risques de diffusion du virus en cas d'épidémie. « La grippe aviaire existe depuis que les volailles existent. Et, aujourd'hui, les oiseaux migrateurs ne sont pas les seuls responsables. A force de transporter des animaux dans tous les sens ; on devient plus sensible en cas d'épidémie », dénonce Bernard Lannes, président de la Coordination Rurale, lui-même agriculteur dans le Gers et ancien éleveur de canards à foie gras.

« Cette nouvelle crise devra être l'occasion de faire un diagnostic sur l'organisation de cette filière et des modes de production. Il faudrait pour l'avenir pouvoir de se prémunir des risques de façon pérenne », reconnaît Thierry Mazet, directeur de l'agriculture au Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine.

Frank Niedercorn (correspondant à Bordeaux)

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/0211662339782-grippe-aviaire-lorganisation-de-la-filiere-foie-gras-en-question-2054812.php#qvbZ1qVBZTsUF32H.99

Josué

Josué
Administrateur

Grippe aviaire : reprise de la production dans les élevages de canards et de volailles
La Croix (avec AFP), le 29/05/2017 à 11h42
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La crise aviaire a réellement pris fin lundi 29 mai avec la réintroduction des canards et des volailles dans les élevages. Le gouvernement avait décrété, vendredi 5 mai, que le risque d’épidémie était redevenu « négligeable » sur tout le territoire français.

L’éleveur Jean-Michel Berho regroupant les canards de son élevage avant un contrôle vétérinaire, le 17 avril 2017.
ZOOM
L’éleveur Jean-Michel Berho regroupant les canards de son élevage avant un contrôle vétérinaire, le 17 avril 2017. / IROZ GAIZKA/AFP
Les oies et canards font « progressivement » leur retour lundi 29 mai chez les éleveurs des cinq départements du Sud-Ouest touchés par l’épidémie de grippe aviaire depuis fin novembre.

« On essaie logiquement de faire reprendre en premier ceux qui avaient été arrêtés en premier », explique Richard Violle, technicien auprès de la coopérative du foie gras de Chalosse (Landes).

Le gouvernement avait annoncé vendredi 5 mai que le risque épizootique était redevenu « négligeable » sur l’ensemble du territoire, ce qui signifiait la fin de l’épidémie.

À LIRE : L’épidémie de grippe aviaire officiellement terminée

Plus de 4 millions de canards euthanasiés

Le 17 avril, un vide sanitaire « obligatoire » de six semaines avait été mis en place dans 1 134 communes du Sud-ouest pour tenter de juguler définitivement l’épizootie de grippe aviaire H5N8.

Ce vide sanitaire venait compléter l’abattage préventif des palmipèdes mis en place début janvier. Plus de 4 millions ont ainsi été euthanasiés, essentiellement dans Les Landes et le Gers, premiers départements producteurs.

L’État s’est engagé à indemniser les éleveurs

Pour les éleveurs, cette deuxième crise de grippe aviaire a poussé toute la filière à réviser ses pratiques.

« Les principaux risques, ce sont les manquements à la biosécurité, dans les transports en particulier, et non pas que les canards soient dehors, ou les contacts avec la faune sauvage, explique Richard Violle, technicien auprès de la coopérative du foie gras de Chalosse (Landes). On a le sentiment que si tout le monde fait comme il faut désormais en matière de transports, on n’aura pas de souci. »

L’État s’est engagé à indemniser les producteurs pour environ 300 millions d’euros, mais les acomptes versés jusqu’ici et les avances de trésorerie n’empêcheront pas que certaines exploitations se retrouvent en difficulté.
http://www.la-croix.com/Economie/France/Grippe-aviaire-reprise-production-elevages-canards-volailles-2017-05-29-1200850911?utm_source=Newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=welcome_media&utm_content=2017-05-29

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Certains, désorientés, tournent en rond sur des rochers. Quelques-uns gardent la tête penchée vers l'arrière sans pouvoir la relever. D'autres enfin, tombent carrément du ciel et s'écrasent sur les plages... Depuis quelques mois, la grippe aviaire fait des ravages chez les laridés, une famille d'oiseaux regroupant une centaine d'espèces dont les mouettes, les goélands ou les sternes. Les scientifiques s'interrogent : "Dans le passé, les vagues d'influenza ne créaient pas de clusters aussi importants dans la faune sauvage. Elles ne survivaient pas non plus aux fortes chaleurs. Désormais, non seulement l'épidémie décime des colonies d'animaux (50% de la population des fous de Bassan aurait disparu depuis le printemps), mais le virus continue de faire des dégâts pendant l'été, sans que l'on puisse l'expliquer", confie Anne Van De Wiele, responsable nationale des actions influenza aviaire de la faune sauvage à l'Office français de la biodiversité.

La scientifique partage quelques chiffres confirmant le caractère inédit de la situation. "Lors des vagues précédentes, nous avions 2 ou 3% de cas positifs parmi les animaux rapportés en laboratoire. Cette fois-ci, nous sommes montés entre 10 et 15%". Le profil des animaux touchés évolue lui aussi." Avant, il s'agissait vraiment d'une maladie des canards sauvages. Mais en 2020/2021, l'épidémie a basculé vers les oies sauvages avant de se propager vers des espèces plus improbables : les vautours au mois de mai, puis les laridés.

Un virus aux mutations incessantes

Aucun continent ne semble épargné. "Jusqu'ici, on n'avait jamais eu de souche commune entre l'Europe et les Etats-Unis. Chacun voyait circuler les siennes et même si elles provenaient d'Extrême-Orient, il s'agissait toujours de phénomènes indépendants. Là, tout d'un coup, nous avons une souche en train d'envahir le monde entier", détaille Anne Van De Wiele.

LIRE AUSSI >> Grippe aviaire : "Un vaccin pourrait devenir indispensable pour prévenir les crises futures"
Au passage, le virus se complexifie. A la manière de ce qui se passe pour Ebola, il tue moins rapidement mais touche plus de cibles. S'agit-il d'une tendance de fond ou bien d'un élément hasardeux ? Impossible à dire. Il faudra peut-être des années de recherche pour trancher la question. Au moins, la maladie ne semble pas menacer à court terme la santé de l'homme. Certes, en 2006, un épisode zoonotique avait marqué la France, mais depuis, les mutations observées ne présentent pas de risque particulier pour l'espèce humaine.

chico.

chico.

Une nouvelle grande épreuve survint quand l’Église d’Occident ajouta le mot latin filioque (“et du Fils”) au Credo de Nicée pour indiquer que le Saint-Esprit procédait à la fois du Père et du Fils. Finalement, cette addition datant du VIe siècle aboutit à un désaccord quand “en 876 un synode [d’évêques] réuni à Constantinople condamna le pape d’une part en raison de ses activités politiques, d’autre part parce qu’il ne corrigeait pas la clause du filioque, qui constituait une hérésie. Cette action était un aspect du rejet total par l’Orient de la prétention du pape à la juridiction universelle sur l’Église”. (Les religions de l’humanité.)

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