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Ozurgeti, la Géorgie attaque sur une salle

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

TBILISSI, DFWatch-Quand des étrangers ont attaqué une voiture et une maison où les Témoins de Jéhovah se réunissent à Ozurgeti, la Géorgie, le 1er Janvier, ce n'était pas la première attaque.

Il ya deux ans, les étrangers ont brisé les fenêtres de la Salle du Royaume en Ozurgeti. Les auteurs ont trouvé, et le juge a considéré leur délivrant un GEL 150 (USD 90) d'amende, mais a décidé de leur donner seulement un avertissement verbal.

"Il semble que ce les a encouragés», dit Giorgi Arbolishvili, représentant des Témoins de Jéhovah. Il dit que les gens ne sont pas très tolérants envers les ici.

Il ya une communauté d'environ 70 Témoins de Jéhovah dans Ozurgeti, une ville d'environ 20 000 personnes et la capitale de la région Guria ouest de la Géorgie.

Les gens ici vivent pour la plupart dans de petites maisons et avoir des relations de voisinage amicales. Les Témoins de Jéhovah de la Salle du Royaume est dans une de ces petites maisons, mais aussi Giorgi Arbolishvili, le représentant des Témoins de Jéhovah dit, les gens ne sont pas très tolérants envers les ici.

Arbolishvili dit DF montre qu'il ils ont été la collecte dans Ozurgeti depuis plusieurs années, et dans cette période il ya eu plusieurs incidents.

"La Parole de Dieu nous enseigne à pardonner, et lorsque cela est possible, nous ne manquez pas l'occasion de pardonner," at-il dit, ajoutant que c'est une question délicate souvent suivis par la confrontation, c'est pourquoi ils ne déposent pas une plainte pour chaque violence verbale ou petite infraction.

"Mais quand il s'agit de vandalisme et d'autres abus, nous pensons qu'il est nécessaire d'impliquer la police."
Après le 1er Janvier, leur avocat a déposé Tsimintia 6 nouvelles plaintes de harcèlement des Témoins de Jéhovah.

Arbolashvili pense que beaucoup doit être fait dans le pays, car il ya moins de tolérance, au moins dans les écoles, mais en général, la situation s'est améliorée, comme il ya 10-15 ans, ils n'ont même pas aller à la police parce qu'ils obtiendraient menaces bien plus graves et harcèlement là.

Le Défenseur public dit DF montre que, en 2013, l'étendue de violences physiques et verbales envers les minorités religieuses sont devenus plus fréquents. Les Témoins de Jéhovah font appel le plus souvent à l'ombudsman d'être physiquement ou verbalement maltraité en raison de leurs convictions religieuses. Le médiateur pense que c'est un problème persistant que ces cas ne sont pas examinées rapidement.

"Il a toujours existé des incidents sur fond religieux dans le pays, mais en 2013 que les médias et l'intérêt de la société à ces questions a augmenté et tout le monde a vu le problème de l'intolérance sur fond religieux clairement,« Public Defender Ucha Nanuashvili dit DF Watch.

L'ombudsman étudie un cas d'une attaque sur la Salle du Royaume dans le village Zeda Etseri, qui est proche de Zougdidi, le 16 Novembre 2013. Le bureau de l'ombudsman appliquée au ministère de l'Intérieur en Novembre pour recevoir des informations sur l'enquête de cette attaque, mais n'a pas reçu de réponse.

Selon les données du ministère de la Justice du Août 2013, 15 cas de harcèlement des Témoins de Jéhovah ont été déposés loin. Une seule enquête a été mené à son terme, tandis que 22 autres cas étaient encore à l'étude à ce moment-là.
http://dfwatch.net/january-1-not-the-first-attack-on-jehovas-witnesses-in-ozurgeti-43003

Josué

Josué
Administrateur

file:///C:/Users/alain/Downloads/Arret%20Begheluri%20et%20autres%20c.%20Georgie%20%20Harcelement%20de%20temoins%20de%20Jehovah.pdf

Josué

Josué
Administrateur

Droits de l’homme
CEDH, 7 octobre 2014
Liberté de religion - Discrimination - Traitements inhumains et dégradants - Inaction des autorités

Publié le 22 octobre 2014[url=http://twitter.com/share?text=Actu %3A CEDH%2C 7 octobre 2014 - Droit %26]Ozurgeti, la Géorgie attaque sur une salle  E2sxYT07N5BP8A8lwEjSU+7RkAAAAASUVORK5CYII=[/url]

Parce que les autorités géorgiennes ont toléré le harcèlement agressif et les violences contre les Témoins de Jéhovah durant les années 2000-2001, avec l’approbation si ce n’est la participation d’agents de l’État, la Cour européenne des droits de l’homme a fermement condamné la Géorgie pour violation de la liberté de religion, pour discrimination et surtout pour traitements inhumains et dégradants à l’encontre de plusieurs dizaines de ses citoyens.
Selon le communiqué du Greffier de la Cour, « La Cour conclut en particulier que les autorités de l’État ne sont pas parvenues à prévenir ces violences fondées sur des motifs religieux, ni à y mettre fin. Elle constate que des agents de l’État ont directement participé à des agressions commises contre des témoins de Jéhovah ou ont toléré des actes de violence perpétrés par des particuliers contre des membres de cette communauté religieuse. Ce faisant, les autorités ont créé un climat d’impunité qui a encouragé de nouvelles agressions dans tout le pays. La Cour souligne en outre la réticence des autorités à veiller à ce que les responsables de ces actes soient traduits en justice en vue d’un procès équitable. »
Par exemple, lors d’un rassemblement religieux dans la propriété privée de l’un des requérants, la police a dispersé les 700 assistants, ouvert le feu, dévasté la maison et même frappé quelques-uns des Témoins de Jéhovah. Plusieurs ont été agressés par des groupes d’individus à l’occasion de la célébration d’une fête religieuse ou de la distribution d’ouvrages bibliques dans la rue. D’autres ont été retenus à un poste de contrôle, pendant qu’un groupe de fidèles de l’Église orthodoxe s’est rendu sur le lieu de rassemblement pour détruire des objets de culte et frapper les participants déjà présents. Le groupe de fidèles orthodoxes mené par l’ancien prêtre surnommé le « père Basile », responsable d’une bonne partie de ces agressions, a même fait irruption en plein procès dans une salle d’audience à Tbilissi en agressant des Témoins de Jéhovah, des journalistes et des observateurs à coups de croix de bois. En témoignent les vidéos qui ont été diffusées par deux chaînes de télévision.
Toutes les plaintes qui ont été déposées par les requérants n’ont abouti à aucun résultat concret, au mieux à une réponse écrite. De plus, les autorités n’ont pris aucune mesure de sécurité lors de la tenue du procès pénal contre deux Témoins de Jéhovah à Tbilissi, malgré le caractère délicat de l’affaire et le risque d’un affrontement violent.
Dans son arrêt du 7 octobre 2014, la Cour a conclu à la violation de l’article 3 (interdiction des traitements inhumains ou dégradants) de la Convention européenne des droits de l’homme pour 32 des requérants, en tant que victimes de violences physiques, de comportements abusifs, ainsi que d’humiliations lors d’une agression. Les mauvais traitements qu’ils ont subis étaient suffisamment établis par des dépositions détaillées voire des preuves précises, tels que des enregistrements vidéos, non contestées par le gouvernement. Non seulement la police n’a pas empêché ces attaques, mais elle y a parfois même participé.
La Cour a également conclu à la violation de l’article 3 de la Convention pour 47 des requérants en raison du manquement des autorités à leur obligation de mener une enquête effectives suite aux faits dénoncés auprès des autorités compétentes. Selon le Greffier, « les autorités avaient le devoir de vérifier promptement les informations qu’ils leur avaient fournies et de prendre les mesures nécessaires pour poursuivre, le cas échéant, toutes les infractions constatées ». Pourtant, soit les enquêtes n’ont pas été diligentées à la suite de certaines plaintes, soit elles ont rencontré divers dysfonctionnements, même lorsqu’il existait des preuves suffisantes permettant d’identifier les coupables.
Pour les magistrats européens, « le caractère discriminatoire des mobiles des attaques perpétrées contre les requérants, tous témoins de Jéhovah, par leurs agresseurs – particuliers ou agents de l’État – ressort clairement de l’étendue des dommages et de l’ampleur des violences constatées en Géorgie à l’époque pertinente ». En outre, les nombreux dysfonctionnements relevés « suffisent à la Cour pour conclure à l’existence d’une pratique systématique des autorités géorgiennes consistant à refuser d’enquêter de manière adéquate et effective sur les violences perpétrées contre les témoins de Jéhovah ».
La violation de l’article 9 (liberté de pensée, de conscience et de religion) de la Convention a aussi été retenue pour 88 des requérants, dans la mesure où le gouvernement n’a pas contesté que les requérants ont été harcelés, humiliés et que certains ont été agressés physiquement, en raison de leurs convictions religieuses. La juridiction siégeant à Strasbourg a reproché à l’État géorgien « l’absence de réaction adéquate des autorités aux atteintes violentes, réitérées et massives portées à la pratique religieuse des témoins de Jéhovah », rappelant que ces autorités avaient le « devoir de prendre les mesures nécessaires pour garantir aux témoins de Jéhovah le respect de leur liberté de religion ».
Enfin, elle estime qu’il y a eu violation de l’article 14 (interdiction de la discrimination) de la Convention, combiné avec les articles 3 et 9, car il est clairement « établi que les diverses formes de violence exercées contre les requérants par des agents de l’État ou par des particuliers étaient motivées par une attitude sectaire à l’égard de la communauté des témoins de Jéhovah, et que ce même état d’esprit discriminatoire constituait le motif principal du manquement des autorités à leur devoir de mener une enquête effective sur ces violences fondées sur des motifs religieux », comme le résume au final le Greffier de la Cour.
Cour européenne des droits de l’homme, communiqué du Greffier, 7 octobre 2014 ;
Cour européenne des droits de l’homme, 7 octobre 2014, affaire Begheluri et autres c. Géorgie (anglais) ;

Josué

Josué
Administrateur

http://www.jw.org/fr/actualites/juridique/par-region/georgie/republique-respect-des-droits-de-l-homme/

Josué

Josué
Administrateur

Un tribunal de première instance à Tbilissi a inscrit dans le registre des associations l’Union des Témoins de Jéhovah de Géorgie le 17 avril 1998 et la filiale géorgienne de la Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania (organisme à but non lucratif enregistré aux États-unis depuis 1884) le 11 juin 1998.

Cependant, le 26 juin 2000, la Cour d’appel de Tbilissi a annulé l’enregistrement de l’Union, au motif que ses activités étaient de nature publique et qu’elle ne pouvait donc être classée en tant qu’organisme de droit privé. De même, du fait de ses activités religieuses, la filiale de la Société Watch Tower relève du droit public et, en tant qu’organisme à but non lucratif, elle aurait dû être enregistrée par le ministère de la Justice et non par un tribunal. La cour a donc estimé que ces personnes morales de droit public devaient être fondées sur une loi spécifique qui se rapporte à de telles activités. Or, il n’existe aucune loi de ce type régissant les activités des différents groupes religieux en Géorgie.

Le 22 février 2001, la Cour suprême a confirmé cet arrêt en considérant que l’annulation de l’enregistrement de ces associations n’a pas violé leurs droits constitutionnels, ni ceux de la Convention européenne des droits de l’homme, puisque leurs libertés de religion et d’association n’ont pas été restreintes directement ou indirectement.

Une requête a été introduite le 16 août 2001 auprès de la Cour européenne des droits de l’homme.

Par une lettre du 19 juin 2014, la Gouvernement géorgien a proposé à la cour d’émettre une déclaration unilatérale afin de résoudre l’affaire qui lui est soumise et de la rayer du rôle, suivant l’article 37 de la Convention. Les requérants ont contesté aussitôt cette déclaration qui ne reconnaît pas toutes les violations de la Convention alléguées et qui a été soumise en dehors de toute procédure habituelle de règlement amiable.

Dans sa déclaration unilatérale révisée du 5 septembre 2014, le Gouvernement reconnaît la violation des articles 9 et 11 de la Convention européenne des droits de l’homme à l’encontre de l’Union des Témoins de Jéhovah de Géorgie et de la filiale de la Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania. D’une part, l’ingérence dans leurs libertés de religion et d’association résultant de l’annulation de leur enregistrement par les autorités nationales n’était pas justifiée ; d’autre part, l’absence de dispositions régissant la création, l’organisation et l’activité des associations religieuses les privait de la possibilité d’être inscrites en tant que personnes morales de droit privé.

Le Gouvernement ajoute qu’à la suite d’une modification législative, la filiale de la Société Watch Tower a été enregistrée par le ministère de la Justice le 28 novembre 2003. De plus, l’adoption de l’article 1509 du Code civil en 2005 permettait à l’Union de s’inscrire en tant que personne morale de droit privé. À partir du 5 juillet 2011, ce même article ouvrait aux associations religieuses la possibilité d’être enregistrées à leur guise, soit en tant que personne morale de droit public, soit en tant qu’organisme non-commercial, ou même de constituer une union non enregistrée.

Le Gouvernement propose alors de régler à chacune des associations 1 500 € pour couvrir les dommages et les dépenses découlant de ces violations de leurs droits. Il demande par conséquent à la Cour européenne de rayer l’affaire du rôle, dans le cadre de « tout autre motif » justifiant de ne plus poursuivre l’examen de la requête, conformément à l’article 37 de la Convention.

Dans sa décision du 21 mai 2015, la Cour européenne des droits de l’homme conclut que des circonstances exceptionnelles justifient la prise en considération de la déclaration unilatérale du Gouvernement, qui reconnaît l’atteinte portée aux libertés de religion et d’association protégées par les articles 9 et 11 de la Convention, malgré l’absence de négociations préalables en vue d’un règlement amiable. Par ailleurs, elle n’estime pas nécessaire d’examiner les plaintes sous l’angle des articles 10 et 14 de la Convention.

La quatrième section décide donc de rayer l’affaire du rôle et d’accorder à l’Union des Témoins de Jéhovah de Géorgie et à la filiale de la Société Watch Tower la somme de 3 000 € au titre des frais et dépens.

epourkwapa



Encore une victoire des Témoins de Jéhovah à la CEDH !

Josué

Josué
Administrateur

Coups de feu à des témoins de la maison de Jehovah à Tbilissi - nouveau
par DFWATCH PERSONNEL | 3 décembre 2015
jehovas_witnesses_kingdom_hall_vazisubaniTBILISI , DFWatch - Pour une deuxième fois en une semaine , des coups de feu ont été tirés dans une salle de congrégation utilisée par les Témoins de Jéhovah à Tbilissi .
Lundi matin , quelqu'un a tiré sur le bâtiment Uni Hall à Vazisubani , une banlieue de la capitale géorgienne . Il n'y avait pas une à l'intérieur et aucune blessure n'a été signalée.
23 novembre inconnu a ouvert le feu dans le même bâtiment. La police enquête sur la fusillade que les dommages à la propriété d'autrui , mais personne n'a été arrêté .
Manuchar Tsimintia , un avocat pour les Témoins de Jéhovah , a déclaré une caméra de surveillance a capturé le tir , et la police pourrait utiliser pour enquêter sur l'affaire .
Nukri Mibchuani , témoin de Jéhovah , a déclaré aux journalistes lundi que ils ne savent pas qui pourrait avoir effectué les attaques .

Josué

Josué
Administrateur

Un homme attaque des Témoins de Jéhovah à Kutaisi
par le PERSONNEL DFWATCH | 11 mars 2016
jehovahs_witnesses_kutaisi
(Interpressnews.)
TBILISI, DFWatch-Un homme a attaqué un membre des Témoins de Jéhovah à Kutaisi, Géorgie occidentale, le jeudi. L'attaquant ivre l'a battu et déchiré livre et, dépliants et a brisé le stand JW.
L'incident a eu lieu jeudi matin près l'ancienne usine de verre.
Manuchar Tsimintia, un avocat représentant les Témoins de Jéhovah, a déclaré aux journalistes que le premier homme insulté deux femmes sur le stand, puis les battre, après quoi il a échappé.
Le ministère de l'Intérieur étudie l'incident, mais une enquête n'a pas encore été lancé.
http://dfwatch.net/man-attacks-jehovahs-witnesses-in-kutaisi-40821

samuel

samuel
Administrateur

Dans presque toutes les ex républiques de l'URSS les témoins de Jéhovah ont des difficultés.

Josué

Josué
Administrateur

Ozurgeti, la Géorgie attaque sur une salle  Georgi10
https://books.google.fr/books?id=BNdCbS2LotEC&pg=PA86&lpg=PA86&dq=les+orthodoxes+contre+les+t%C3%A9moins+de+j%C3%A9hovah&source=bl&ots=BhpM6M6PTd&sig=iE9QlyRmh3_ME8PRo8PcxWK9dSI&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiJ9v-MyvrLAhXFWywKHammAK4Q6AEIPzAF#v=onepage&q=les%20orthodoxes%20contre%20les%20t%C3%A9moins%20de%20j%C3%A9hovah&f=false

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