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NOËL : FÊTE CHRÉTIENNE OU PAÏENNE ?

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Josué
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Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

NOËL : FÊTE CHRÉTIENNE OU PAÏENNE ?

Chaque année, à l’approche de l’hiver, les préparatifs vont bon train. Tout le monde s’affaire, du plus petit au plus grand, pour que la fête soit belle. Parce qu’il s’agit bien d’une fête, moment particulier de l’année où les gens se réjouissent de se retrouver en famille. Pour quelques jours, parents, enfants, grands-parents, petits-enfants, oncles et tantes s’assemblent pour fêter Noël. Ambiance chaleureuse, à la lumière des bougies, autour d’un bon repas, souvent copieux, décors multicolores, atmosphère joyeuse, musique de circonstance, chants des enfants devant le beau sapin orné de guirlandes, de bougies, de boules et de chocolat, la crèche et ses personnages nous rappelant que Noël est la fête de la naissance de Jésus, l’échange des cadeaux, et au cœur de la nuit, la célébration de la messe de la nativité. Ce tableau n’est certes pas exhaustif, mais dépeint en quelques phrases ce que Noël représente aux yeux de la plupart de nos contemporains. C’est aussi le souvenir de notre enfance.

UNE SAINE REMISE EN QUESTION

En tant que chrétien, me suis-je posé les questions suivantes ?

D’où vient cette tradition de fêter Noël ?
A partir de quelle date a-t-on commencé à fêter Noël ?
Noël est-elle vraiment une fête chrétienne ?
Est-ce que je peux m’associer à cette fête ou au contraire, dois-je m’en distancer ?
Toutes ces questions méritent qu’on s’y attarde et qu’on y réponde, non pas en plongeant nos regards dans la tradition, si précieuse soit-elle, mais en examinant cette fête sous la loupe des Saintes Ecritures, à la lumière de la Parole de Dieu.
Que nous dit la Bible sur la fête de Noël ? Quelles sont les origines de Noël ? Puisse Dieu nous aider à nous remettre en question.

« Examinons toutes choses et retenons ce qui est bon. » I Thessaloniciens 5 : 21
« Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires du monde et non sur Christ» Colossiens 2 : 8

QUELQUES ELEMENTS SUR LA FETE DE NOEL

Curieusement, cette fête était inconnue des premiers chrétiens. L’Eglise naissante se remémorait la mort et la résurrection de Jésus. Cette fête n’est pas mentionnée par les principaux Pères de l’Eglise que sont Tertullien et Irénée.

Tout semble prouver que Jésus n’est pas né le 25 décembre comme on le prétend, mais bien plutôt en septembre ou à une autre période. Il y a plusieurs raisons à cela :

a) En Palestine, selon un rythme très régulier, le temps est frais et humide pendant six mois, chaud et sec le reste de l’année. Les premières pluies d’hiver commencent à la mi-octobre, quand l’air humide venant de la mer rencontre l’air chaud qui s’élève de la surface de la terre. Des chutes de neige sont possibles (II Samuel 23 : 20 ; Proverbes 25 : 13 ; 31 : 21) surtout à Jérusalem et dans ses environs ; les nuits peuvent être glaciales. Les bergers, en Palestine, ne passent pas les veilles de la nuit « à la belle étoile » pendant la période hivernale. Les animaux sont parqués dans des enclos parfois couverts qui sont surveillés par les bergers logés sous tente. D’après le verset huit du deuxième chapitre de l’Evangile de Luc, l’automne n’avait même pas commencé.

b) La Bible ne nous dit rien sur la période de la naissance de Jésus. Ce que nous savons, c’est que Jésus a été crucifié au temps de la Pâque juive (Jean 18 : 39). Qu’il avait environ trente ans quand Il a commencé son ministère (Luc 3 : 23) et que celui-ci a duré trois ans et demi. D’après ce calcul, Jésus pourrait être né vers le début de l’automne.

c) Le temps du recensement (Luc 2 : 1-5) : Rien ne nous autorise à penser qu’il ait eu lieu au milieu de l’hiver. Au contraire il est vraisemblable qu’il se soit déroulé pendant la période de septembre, à la fin des moissons, lors de la fête des Tabernacles qui avait lieu à Jérusalem. Ce qui expliquerait pourquoi Marie accompagnait Joseph et qu’il n’y avait plus de place pour eux dans la ville (Luc 2 : 7). Selon l’historien Josèphe, Jérusalem était normalement une ville de 120’000 habitants, mais durant les fêtes, elle pouvait atteindre parfois plus de deux millions d’habitants avec ses alentours. Bethléhem ne se trouve qu’à quelques kilomètres au sud de Jérusalem.

Finalement, l’essentiel n’est pas de connaître la date exacte du jour où Jésus est né, mais bien plus qu’Il est né. Qu’Il est venu dans ce monde pour le sauver. Que Dieu s’est fait homme et qu’Il a habité parmi nous, plein de grâce et de vérité.

D’où vient donc cette tradition de fêter Noël le 25 décembre ?

Jusqu’au IVe siècle, il y avait différentes opinions au sujet de la date de la naissance de Jésus.
Ce n’est que vers la fin du IVe siècle que l’Eglise catholique romaine a commencé à observer le 25 décembre comme la date d’anniversaire de la naissance du Christ.
En l’an 354 fut fêté pour la première fois à Rome le jour de Noël. Cette période coïncide avec l’institution du christianisme comme religion d’état, sous le règne de l’empereur romain Constantin.

L’observation des 24 et 25 décembre trouve sa source dans beaucoup de traditions et coutumes païennes.

Chez les anciens Romains, le 25 décembre était l’anniversaire de la naissance de « Sol », un des noms du dieu soleil.
Le 25 décembre était aussi le jour du festival d’hiver appelé la « nativité du soleil non conquis », fête païenne.
C’était aussi la période du solstice d’hiver, temps de festivités et de joie dans la Rome antique, la Grèce, parmi les Barbares teutons et dans les anciennes civilisations égyptiennes. Cette période du solstice d’hiver était si populaire, qu’elle a été adoptée et imposée par l’Eglise catholique romaine comme le temps où Jésus serait né.
La grande divinité perse dont le nom signifie « l’ami » est née d’un rocher, un 25 décembre, jour de la renaissance du soleil. On trouve, par ailleurs, des correspondances avec Apollon ainsi qu’avec le dieu serpent des Aztèques, censés tous deux être nés un 24 décembre.
Beaucoup de traditions et de coutumes païennes qui ont trait au soleil, ont été ainsi christianisées. On peut voir la confusion qui en a résulté : Tertullien et Augustin durent dénoncer la fausse identification qu’on attribuait à Jésus : Jésus était Sol, le dieu Soleil.

D’autres coutumes relatives à la période de Noël

L’échange des cadeaux provient des « saturnales », coutume chez les anciens Romains, en l’honneur du dieu Saturne. L’Eglise catholique se justifie en évoquant les mages (Matthieu 2 : 1-12). Pourtant il n’y avait là aucun échange de cadeaux, mais des offrandes volontaires à Jésus seul.

L’origine du sapin de Noël, tel qu’on le connaît, vient d’une tradition alsacienne vieille de quelques siècles. L’idée de l’arbre sacré est, par contre, très ancienne, puisqu’elle remonte aux premières civilisations. Dans une fable babylonienne, on raconte que Nimrod est revenu à la vie en tant que Tammuz, son fils, sous la forme d’un arbre qui reverdit.
L’arbre de Noël décoré par des bougies fut introduit définitivement dès le XVIe siècle.

On retrouve plusieurs fois l’idée de l’arbre sacré, par exemple le chêne chez les druides, le palmier chez les Egyptiens. Les Romains décoraient le sapin avec des baies rouges durant la période des saturnales.
Les Scandinaves et anciens Germains croyaient que leur dieu Odin allait leur distribuer des cadeaux s’ils s’approchaient de l’arbre sacré pendant la période entourant le 25 décembre et ils considéraient cette nuit comme celle de la mère, c’est-à-dire de la création, qu’ils fêtaient par des masques et des danses.

Tous les éléments de la fête, tels que la dinde, le sapin décoré, les cartes de Noël, le père Noël, la bûche de Noël, le houx, les cloches et les chants de Noël, ont été empruntés à différents peuples païens et se sont fondus jusqu’à faire partie intégrante du 25 décembre. Par exemple, c’est aux Celtes que revient la paternité de la bûche de Noël. Elle était brûlée au moment du solstice pour faire revenir la vie dans la nature, ses cendres étaient répandues sur le pas de la porte pour protéger la maison du malheur et dans les champs pour garantir l’abondance des récoltes.

Alors pourquoi tout cela ? Comme on va le voir, pour en comprendre la raison profonde, il faut se plonger dans des origines encore plus lointaines.

« Ainsi parle l’Eternel : n’imitez pas la voie des nations, et ne craignez pas les signes du ciel, parce que les nations les craignent. Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. » Jérémie 10 : 2-3

SES ORIGINES PAIENNES OU LE MYSTERE DE BABYLONE

La Bible nous parle d’un homme qui a marqué son temps et son époque : NIMROD. Pour replacer ce personnage dans son contexte, il est bon de se remémorer l’événement majeur qui a précédé son époque : le déluge, duquel seuls Noé et sa famille ont été sauvés. De Noé sont sortis trois fils qui ont dessiné les trois grands courants de l’humanité et dont la postérité s’est répandue sur toute la terre.

Ce sont SEM, CHAM et JAPHET.

SEM dont sont issus les Arabes et les Juifs (les Sémites)
CHAM dont sont issus les peuples, tribus et ethnies qui ont gagné l’Afrique
JAPHET ancêtre de la race blanche
De la lignée de Cham est sorti Nimrod (Genèse 10 : 8-9). La Bible nous dit que c’était un homme très fort, un vaillant chasseur devant l’Eternel. Il commença à être très puissant sur la terre. Il semble qu’il devait sa réputation d’homme vaillant et de grand chasseur à ses combats contre les bêtes sauvages, qui étaient, à l’époque, le principal danger auquel on devait faire face. Nimrod est certainement à l’origine de la civilisation naissante. Il a bâti de nombreuses villes et des royaumes et a peut-être été à la tête de l’une des toutes premières civilisations citées dans l’Histoire de l’humanité.

L’autre fait marquant dont il faut parler, c’est la tour de Babel. Dieu vit que les êtres humains étaient en train de se construire une ville et une tour qui devait toucher le ciel. Projet insensé sanctionné par son intervention. Il mélangea leur langage, interrompit leur réalisation et les dispersa sur la face de toute la terre. Cette tour était le symbole de la rebellion contre Dieu.

Nimrod, dont le nom signifie « rebelle », régna d’abord sur Babel (Genèse 10 : 10). Le passage de Genèse 10 : 9 peut aussi être traduit par « était un grand chasseur contre l’Eternel. » D’autres sources abondent dans ce sens et ajoutent que Nimrod était l’être le plus rebelle à Dieu.

Le Mystère de Babylone

Selon les sources archéologiques, Nimrod était marié à une femme du nom de Sémiramis qui, à la mort de son mari, eut un fils nommé Tammuz. Elle prétendit que celui-ci avait été conçu et était né surnaturellement. Elle fit admettre cela comme une réalité et déclara qu’il était le germe promis, le sauveur annoncé dans la prophétie de Genèse 3 : 15 où, on le sait, il est question de Jésus, le Messie qui devait venir (pour écraser la tête du serpent).

A ce moment précis, quelque chose s’est déclenché dans l’Histoire de l’humanité. Un système de contrefaçon a vu le jour et s’est propagé jusqu’à nous ; son aboutissement sera l’apparition de l’homme impie (II Thessaloniciens 2 : 3-9).

Sémiramis, la mère, et son fils, Tammuz (petit bébé), se sont fait adorer, surtout la mère. L’adoration de la mère et de l’enfant se retrouve dans beaucoup de civilisations anciennes païennes :

Représentation babylonienne : Sémiramis qui tient dans ses bras son fils Tammuz.
Représentation égyptienne : Isis, déesse égyptienne et son fils Horus.
Représentation indienne : Indrani et son enfant ; Devaki et Crishna.
La déesse d’Ephèse : Diane.
A partir des anciens Babyloniens, cette coutume de l’adoration de la déesse mère et de son enfant s’est répandue sur toute la terre.

Chez les Chinois, la déesse mère se fait appeler « sainte mère », elle est représentée avec un enfant dans ses bras et un rayon de gloire autour de sa tête. Les anciens Germains connaissaient la vierge Erta avec son enfant dans ses bras, qui étaient aussi adorés, de même que chez les Scandinaves et les Etrusques. Chez les druides, elle était appelée la « mère de Dieu ». Chez les Grecs, il y avait Aphrodite ; chez les Sumériens, Nana ; chez les Romains, Vénus. Chez les Phéniciens, la déesse de la fertilité était représentée par un croissant de lune sous ses pieds. Chez les Egyptiens, Isis était représentée par un croissant de lune sous ses pieds et des étoiles autour de sa tête. Nous retrouvons cela aujourd’hui, dans l’Eglise catholique, avec les représentations de Marie. L’immaculée conception était déjà appliquée aux déesses mythologiques.

En Asie, la mère était connue sous le nom de Cybèle et son enfant, Deoius. Elle était considérée comme l’épouse de Baal et comme la reine du ciel, vierge qui enfanta sans concevoir. L’attrait de cette déesse était tel, que même les Israélites se firent prendre à un moment donné et adorèrent la reine du ciel (Jérémie 44 : 5-19).

En Egypte, plusieurs siècles après Jésus-Christ, il fut admis par décret épiscopal que les représentations d’Isis et d’Horus seraient désormais attribuées à la vierge Marie et à son enfant, Jésus.

Voici encore quelques indications qui montrent que l’adoration ou la vénération de Marie tire son origine de l’adoration de la déesse mère. Ce sont les titres qui lui sont attribués : Marie est souvent appelée « Notre Dame de… ». Cette expression est, en fait, la traduction d’un des titres sous lesquels la déesse babylonienne était connue. En effet, Nimrod apparut plus tard sous une forme divinisée, le dieu Baal et Sémiramis, sa femme comme la déesse Baalti dont le nom signifie en anglais « My Lady », en latin « Mea Domina » et en italien « Madonna », qui aujourd’hui se dit « Notre Dame de… ». Cette énumération est certes fastidieuse, mais elle nous ouvre les yeux sur certaines choses, sur le comment et le pourquoi de ces événements.

La religion babylonienne et ses mystères se sont propagés d’une manière formidable dans l’Empire romain. Rome avait pour principe d’englober dans son système religieux tous les dieux des peuples, nations ou royaumes conquis. L’adoration de la déesse mère était très populaire, non seulement à Rome, mais aussi dans tout l’Empire.

Et encore…

L’Eglise primitive, jusqu’au IVe siècle, ignorait ces choses. Puis il y eut une lente évolution et une intégration progressive de certaines pratiques païennes sous le règne de l’empereur Constantin.

Le Concile d’Ephèse en 431, décréta une doctrine relative à une vénération très poussée de Marie. Rappelons que c’est dans cette même ville que l’apôtre Paul prêcha l’Evangile, et fut à l’origine d’une émeute au sujet du temple de la déesse Diane d’Ephèse (Actes 19 : 23-40). Ce Concile provoqua un attroupement sans précédent : joie, liesse et cris de victoire. Après cette étude, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi.

Le pape Pie IX définit le 8 décembre 1854, la doctrine de l’immaculée conception. Cette doctrine précise que Marie, dès l’instant de sa conception, fut préservée du péché originel. Jusqu’au XVe siècle, ce fut un sujet de controverses entre les Franciscains et les Dominicains qui, eux, y étaient très fortement opposés.

Le pape Pie XII établit la doctrine de l’assomption le 1er novembre 1950. Cette fête a lieu le 15 août, qui était un jour sacré pour Isis et Diane.

La Bible nous enseigne que seul Jésus n’a jamais péché et que, par conséquent, Il est lui seul digne d’être adoré. La prétendue « vénération » de Marie en opposition à l’adoration n’est qu’un alibi qui a conduit des millions de personnes à l’hérésie, par rapport à la Bible.

LE COMPROMIS OU LA VERITE

Il est alors primordial qu’en parlant de Noël, nous ayons les pensées claires. Que nous sachions quel esprit est derrière cette fête. En réalité, c’est le mystère de l’iniquité (II Thessaloniciens 2 : 7), allusion au mystère de Babylone (Apocalypse 17 : 1-6) qui agit aujourd’hui dans ce monde et qui trouvera son apogée dans l’apparition de l’homme impie, le plus rebelle à Dieu.

Il faut se souvenir que Noël, ainsi que tout ce qui entoure cette fête, est basé sur des pratiques païennes.

Tirons un parallèle avec un passage de la Parole de Dieu : une fête en l’honneur de l’Eternel qui a engendré la colère de Dieu : l’adoration du veau d’or.

… « Allons ! fais-nous un dieu qui marche devant nous… »
… « Demain, il y aura fête en l’honneur de l’Eternel !… »
… « Ils offrirent des holocaustes et des sacrifices d’actions de grâces. Le peuple s’assit pour
manger et pour boire ; puis ils se levèrent pour se divertir. »
… « Car ton peuple s’est corrompu. Ils se sont promptement écartés de la voie que leur avait
prescrite… Israël ! voici ton dieu… »
… « Ah ce peuple a commis un grand péché. Ils se sont fait un veau d’or. »
… « C’est celui qui a péché contre moi que j’effacerai de mon livre… »
… « Ote maintenant tes ornements de dessus toi… »
Exode 32 : 1, 5, 6, 7, 31, 32 et 33 : 5, 6

Il est affligeant de penser qu’une grande partie de la chrétienté s’est laissée prendre par ces coutumes et ces traditions qui nous viennent directement des anciennes civilisations païennes.

Tout notre système actuel est pollué par ces mystères babyloniens et ce n’est pas pour rien que l’Apocalypse nous parle de la grande prostituée, Babylone. Tout est préparé depuis des siècles. Aujourd’hui la vieille tentative de la tour de Babel est en train de se reproduire ; avec les moyens de communication, avec l’informatique, avec tous les moyens modernes que nous avons à disposition. Tout cela facilite et favorise l’émergence d’un empire qui apparaît très clairement et s’élève contre Dieu (II Thessaloniciens 2 : 3-11).

Maintenant, laissons-nous interpeller par ce que Dieu dit et comprenons qu’en tant que chrétien, ce n’est plus une question de sensibilité ou de point de vue, mais un choix de vie ou de mort. Soyons sérieux avec la Parole de Dieu. Mettons-la en pratique et ne nous bornons pas seulement à l’écouter. Choisissons aujourd’hui qui nous voulons servir !

Comment devons-nous nous comporter, maintenant ? Que devons-nous faire ? Comment devons-nous réagir par rapport à nos familles, à ceux qui nous entourent ? Le but n’est pas que nous soyons des trouble-fêtes et des démolisseurs. Remettons-nous devant le Seigneur et laissons-nous remplir de Sa présence, de Sa puissance et de Sa sagesse. Soyons des témoins de la vérité, avec courage et droiture, mais remplis d’amour et de compréhension pour ceux qui n’ont pas encore été éclairés par le Saint-Esprit.

Portons un témoignage à JESUS-CHRIST vivant. Si Marie pouvait revenir, elle pleurerait et dirait : « mais qu’avez-vous fait de moi ? ». Chaque fois que vous verrez une crèche avec une mère et un bébé joufflu, n’oubliez jamais Sémiramis et Tammuz, parce que ce sont eux que vous allez voir ; ce ne sont ni Marie, ni Jésus, mais la Baalite – la Madone – et Tammuz. N’oublions plus jamais l’esprit qu’il y a derrière ce monde.

Nous allons vers des temps où Dieu va restaurer son peuple dans toute sa pureté, exempt de toutes les saletés et pollutions qui viennent directement d’en bas. Combien c’est important d’avoir la vision de la restauration de toutes choses, selon le plan de Dieu. Malheureusement, des millions de personnes ne sont pas conscientes de l’émergence d’un système inique, et se fondent avec celui-ci, commettant l’adultère conformément à la prophétie de l’Apocalypse, concernant la grande prostituée. Dieu veut un peuple débarrassé de toute souillure, marchant dans la pureté, la droiture et la vérité.

Pour terminer, peu importe que Jésus soit né un 30 septembre, un 1er juillet ou le 25 décembre.

Ce qui compte, c’est qu’Il est né, qu’Il est venu dans les ténèbres, pour sauver ceux qui étaient perdus. Il n’est pas resté le petit bébé joufflu, mais Il est devenu le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs.

Pro/APV décembre 1995 CM
© 1995 by Alliance Pierres Vivantes, Editions Lorema, CH – 1678 Siviriez
Tous droits réservés – Imprimé en Suisse – Alliance Pierres Vivantes

http://www.viecatholique.com/noel-fete-paienne/


Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Star de Toronto disait dans son numéro du 20 décembre 1969: “Cessons de faire semblant de croire que cette fête a un rapport quelconque avec la naissance de Jésus. (...) Il est grand temps que les chrétiens se rappellent que pendant les 380 premières années de son existence, l’Église n’a jamais pensé à observer la naissance de Jésus.”

jc21



De toute façon, Noel n'existe pas dans la Bible et tout le monde sait que c'est une fête qui sous le couvert de fêter la naissance de Jésus, est d'origine paienne. Cette fête ne fait pas honneur à Jésus et encore moins à Jéhovah, donc ne peut être approuvé par lui. Jésus n'a jamais demandé de fêter cette fête. Ceux qui font ça, participent aux rites paiens et font partis de la fausse religion qui sera bientôt détruite et condamné par Jéhovah. Donc, il faut bien réfléchir avant de continuer de célébrer cette fête qui doit dégouter Jéhovah et Jésus.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est le foie gras et le champagne qui prime.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Dans le récit biblique, la naissance du Messie est annoncée aux rois mages par l’Étoile de Bethléem. C’est elle qui les guide jusqu’à la maison où le nourrisson se trouve.
Selon les astronautes, il pourrait en réalité s’agir du passage d’une comète ou, plus certainement, d’une conjonction des planètes Saturne et Jupiter.
Ce phénomène astral est assez exceptionnel : chacun des moments où il s’est produit est scientifiquement d éterminé. A l’époque de Jésus, une seule occurrence est connue, à la fin septembre de – 7 avant JC. Le pape Benoît XVI a d’ailleurs repris cette théorie dans son dernier ouvrage L’enfance de Jésus, publié le 21 novembre dernier !


La Nativité aurait vraisemblablement eu lieu à cette date, fin septembre de -7 avant JC. Ce qui serait somme tout logique : autour de la crèche de Jésus, les Évangiles expliquent que des bergers et leurs bêtes sont présents. Et qui a déjà vu des troupeaux pâturer la nuit, en décembre ?

Lechercheur



Je retient cette phrase.
C’est elle qui les guide jusqu’à la maison où le nourrisson se trouve.


Les bergers ont vues un bébé dans une grotte, mais les rois mages un enfant dans une MAISON.
Monsieur Benfis peut-i me donner une réponse rationnelle?

BenFis

BenFis

Lechercheur a écrit:Je retient cette phrase.
C’est elle qui les guide jusqu’à la maison où le nourrisson se trouve.


Les bergers ont vues un bébé dans une grotte, mais les rois mages un enfant dans une MAISON.
Monsieur Benfis peut-i me donner une réponse rationnelle?

La Bible est bourrée d'affirmations qui semblent incompatibles au premier abord. L'histoire des rois mages est loin d'être la seule.

La grotte en question ne servait-elle pas aussi de maison ? De type troglodyte par ex ?

papy

papy

Non tu as une mauvaise compréhension tout simplement, car entre la visite des berger et des astrologues il y a une différence d'au moins un an.
C'est pourquoi les bergers ont vu un bébé dans une grotte et que les parents après l'accouchement sont retourné habiter dans une maison.
Tu as un voile devant les yeux ou tu le fais exprès de vouloir contredire?

BenFis

BenFis

papy a écrit:Non tu as une mauvaise compréhension tout simplement, car entre la visite des berger et des astrologues il y a une différence d'au moins un an.
C'est pourquoi les bergers ont vu un bébé dans une grotte et que les parents après l'accouchement sont retourné habiter dans une maison.
Tu as un voile devant les yeux ou tu le fais exprès de vouloir contredire?

A ce que je vois, ce sont plutôt les TJ qui dénigrent systématiquement la moindre tradition catholique. Alors oui, on peut dire que lorsque je lis les raisons invoquées, ça m'incite à contredire lorsque je les trouvent infondées, mais pas systématiquement si tu me lis bien.

Donc il est possible que pour la venue des mages, j'interprète mal.
Mais il faudrait me donner de bonnes raisons pour que je change d'avis. Par ex. où est-il indiqué dans la Bible que leur visite auraient eu lieu un an après la naissance de Jésus?
Et surtout, en quoi ce décalage d'un an empêcherait-il de commémorer cet évènement ?

samuel

samuel
Administrateur

Donc pour toi la tradition prime sur la vérité sur Noël ?

BenFis

BenFis

samuel a écrit:Donc pour toi la tradition prime sur la vérité sur Noël ?
Cette question est trop générale pour que je puisse y répondre par oui ou par non. Tout n'est pas binaire dans la vie. Certaine facettes de Noël n'ont rien à voir avec le christianisme, alors que d'autres sont basées sur des évènement bibliques.
Je ne jette donc pas le bébé avec l'eau du bain. Smile

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Durant les deux premiers siècles du christianisme, la célébration des anniversaires de naissance des martyrs, tout comme celle de Jésus, a connu une forte opposition », déclare l’Encyclopædia Britannica. Pour quelle raison ? Les chrétiens considéraient les anniversaires de naissance comme des coutumes païennes qu’ils devaient totalement rejeter. D’ailleurs, on ne trouve la date de la naissance de Jésus nulle part dans la Bible.
Même l'église reconnaît que Jésus ne serait pas le 25 Décembre.

Josué

Josué
Administrateur

Fait intéressant, au milieu du XVIIe siècle, en Angleterre, le Parlement a interdit les festivités de Noël. Aux États-Unis, la Cour générale du Massachusetts a fait de même. Pourquoi ? Le livre Bataille pour Noël (angl.) explique : “
Il n’y a aucune raison biblique ou historique de situer la naissance de Jésus le 25 décembre. ” Et d’ajouter que pour les puritains “ Noël n’était rien d’autre qu’une fête païenne sous un vernis de christianisme ”.

Lechercheur



BenFis a écrit:
Lechercheur a écrit:Je retient cette phrase.
C’est elle qui les guide jusqu’à la maison où le nourrisson se trouve.


Les bergers ont vues un bébé dans une grotte, mais les rois mages un enfant dans une MAISON.
Monsieur Benfis peut-i me donner une réponse rationnelle?

La Bible est bourrée d'affirmations qui semblent incompatibles au premier abord. L'histoire des rois mages est loin d'être la seule.

La grotte en question ne servait-elle pas aussi de maison ? De type troglodyte par ex ?
Tu mets en doutes les rois mages venus adorer Jésus?

BenFis

BenFis

Lechercheur a écrit:
BenFis a écrit:
Lechercheur a écrit:Je retient cette phrase.
C’est elle qui les guide jusqu’à la maison où le nourrisson se trouve.


Les bergers ont vues un bébé dans une grotte, mais les rois mages un enfant dans une MAISON.
Monsieur Benfis peut-i me donner une réponse rationnelle?

La Bible est bourrée d'affirmations qui semblent incompatibles au premier abord. L'histoire des rois mages est loin d'être la seule.

La grotte en question ne servait-elle pas aussi de maison ? De type troglodyte par ex ?
Tu mets en doutes les rois mages venus adorer Jésus?

Ce n'est pas la question ; ce récit est bien biblique.

Josué

Josué
Administrateur

Ta manière de répondre semblait que tu mettais en doute le récit des rois mages.

Invité


Invité

Une fetes qui réuni plusieurs situation plusieurs autres fetes ils ont créé la Noel pour contrôler plus de gens
La même chose se reproduit à notre époque ils veulent enlever le nom Noel pour coïncider avec plusieurs autres religions et plusieurs autre situation
Dommage que beaucoup de sujets sur Noel ont été effacer, il y en avais qui avais de grande recherche qui avais été faite

Josué

Josué
Administrateur

Le plus fort c'est que maintenant même des athées font cette fête.

Invité


Invité

Je ne retrouve pas le sujet dans l’actualité de cette semaine mais on voyais lés gouvernement qui voulais remodeler cette religion, enlever le nom. De Noel pour réunir les autres religions les athée etc
La même chose que lors de sa création, réunir les plus de gens possible
On voyais le pape qui ne voulais pas que on touche au nom « Noel », c’est dernièrement dans l’actualité

Nous on le sais que ils le feront bientôt
J’aurais aimer relire cet article

https://www.famillechretienne.fr/37381/article/leurope-veut-supprimer-le-mot-noel-le-vatican-sinsurge
L’Europe veux supprimer le mot noel

Effacer le nom Noel n’aide pas à la discremination

Même chose qui se reproduit que à l création de cette fête qui n’avais aucun rapport avec Jesus ni le culte pure



Dernière édition par Patrice1633 le Jeu 2 Déc - 17:05, édité 1 fois

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Je n'ai rien vue de tel sur les informations.

Invité


Invité

Regarde plus haut j’ai trouver 2 articles
Quand ils détruiront les religions
Ils feront sûrement une fetes à leur nouveau projet

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Pourquoi fêtons-nous Noël le 25 décembre ? Abonnés[/size]

Explication
 

C’est vers l’an 330 que Noël a commencé à être fêté à Rome le 25 décembre...



  • La Croix, 
  • le 23/12/2016 à 00:00 
  • Modifié le 30/11/2021 à 18:29




NOËL : FÊTE CHRÉTIENNE OU PAÏENNE ? - Page 7 24-decembre-2013-pretre-apporte-enfant-Jesus-creche-leglise-Trinite-Paris_0



Le 24 décembre 2013, le prêtre apporte l'enfant Jésus dans la crèche, en l’église de la Trinité, à Paris.[size=12]STÉPHANE OUZOUNOFF/CIRI
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Seul évangéliste à évoquer la Nativité, Luc ne donne aucune date de naissance pour le Christ. Les rares éléments permettent d’estimer que la Nativité a probablement eu lieu vers l’an 5 ou 6 avant notre ère, mais sans.

Ce qui montre que les premiers


 chrétiens ne fêtaient pas cette fête.

Josué

Josué
Administrateur

03.12.2021
Noël en Suisse.
NOËL : FÊTE CHRÉTIENNE OU PAÏENNE ? - Page 7 20211210

Josué

Josué
Administrateur

Seul évangéliste à évoquer la Nativité, Luc ne donne aucune date de naissance pour le Christ. Les rares éléments permettent d’estimer que la Nativité a probablement eu lieu vers l’an 5 ou 6 avant notre ère, mais sans qu’un jour précis soit connu. D’ailleurs, pour les premiers chrétiens, la fête de Noël n’existait pas : seule comptait Pâques, fête de la Résurrection…
C’est vers 330 que Noël a commencé à être fêté à Rome le 25 décembre. Une date qui correspond à une fête païenne, la fête de Sol invictus, le Soleil invincible, fêté au moment où les jours commençaient à rallonger et au cours de laquelle on allumait de grands feux.

https://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Pourquoi-Noel-est-il-fete-le-25-decembre-_NG_-2010-12-26-560953

samuel

samuel
Administrateur

Donc l'église reconnaît du bout des lèvres que Noël n'est pas d'origine chrétienne.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Alors la question se pose pour il y la messe de minuit et des crèches dans les églises ?

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Parce que c'est une religion païenne. Pour Noël voir par exemple les deux babylones pages 132-140. Et voir le dict des religions par E. Royston Pike adaptation française de Serge Hutain aux presses universitaires de France 1954 pages 230/231. C'est très instructif !
a+

Lechercheur



Donc pendant trois siècles les chrétiens ne faisaient  pas cette fête!

Josué

Josué
Administrateur

Lechercheur a écrit:Donc pendant trois siècles les chrétiens ne faisaient  pas cette fête!
Et oui!

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]L’évêque qui a dit que le Père Noël n’existait pas s’explique[/size]
NOËL : FÊTE CHRÉTIENNE OU PAÏENNE ? - Page 7 Web3-child-shout-santa-claus-shutterstock
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Agnès Pinard Legry - publié le 15/12/21 - mis à jour le 15/12/21


Évêque de Noto, en Sicile, Mgr Antonio Staglianò a provoqué l’émoi récemment en déclarant que le Père Noël n’existait pas. Face à la polémique suscitée par ses propos, il a tenu à préciser sa pensée. Un rappel qui trouve un écho tout particulier en cette période de l’Avent.


Qui aurait pu croire qu’affirmer que le Père Noël n’existe pas puisse provoquer un tel émoi ? C’est pourtant ce qui s’est passé récemment en Sicile. Mgr Antonio Staglianò, évêque de Noto, ville du sud-ouest de l’île, a déclaré lors d’une célébration dans la basilique, devant des parents et leurs enfants, que Babbo Natale (le Père Noël, en italien), « n’existe pas ». Et il a ajouté que Coca-Cola « utilise l’image de son costume rouge pour véhiculer de fausses valeurs saines à des fins publicitaires ».


Le consumérisme est différent de la culture du cadeau, du don qui est à la base du vrai message de Noël.
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Face à la levée de boucliers suscitée par un tel discours, le prélat sicilien a tenu à clarifier ses propos quelques heures plus tard… par voie de communiqué. « Je n’ai pas dit aux enfants que le Père Noël n’existait pas, mais nous avons parlé de la nécessité de distinguer ce qui est réel de ce qui ne l’est pas. J’ai donc donné l’exemple de saint Nicolas de Myre, un saint qui apportait des cadeaux aux pauvres. Dans la tradition anglo-saxonne il est alors devenu le Père Noël, mais certainement pas le Père Noël créé par Coca-Cola », a-t-il souligné. « Je voulais expliquer que le consumérisme est différent de la culture du cadeau, du don qui est à la base du vrai message de Noël. »

« L’Enfant Jésus est né pour se donner à toute l’humanité », a rappelé Mgr Antonio Staglianò. Là, dans la pauvreté d’une étable, Jésus est venu au monde pour sauver l’humanité. « Sa naissance est un acte d’amour », a-t-il lancé. « Alors, lorsque les enfants recevront leurs cadeaux, ils devront penser à leurs pairs qui ne pourront pas les recevoir et ne pas cultiver cet égoïsme qui consiste à dire ‘Tout est à moi’ ».
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Lechercheur



Pour une fois qu'un évêque parle franchement sur Noël il se trouve à l'index.

samuel

samuel
Administrateur

Les origines du sapin de Noël sont tellement nombreuses qu'il est difficile de dire s'il est religieux ou non. Toutefois, il peut être intéressant de retracer son histoire. Celle-ci diffère selon les pays et les époques et elle reste encore floue de nos jours.


Aujourd'hui, le sapin de Noël est devenu une véritable tradition de fêtes de fin d'année. Il s'installe de plus en plus tôt dans les salons et se décline sous différentes tailles et différentes couleurs. Il est même devenu un élément de décoration indispensable. La tradition souhaite qu'on aille le couper en forêt, mais les sapins artificiels sont vite apparus. Le vert a même laissé sa place au blanc, au noir et même au rose. Histoire, traditions et origines ne cessent donc de se mêler, même de nos jours. Une chose est sûre, c'est qu'il reste un véritable symbole de Noël. Mais qui est à l'origine du sapin de Noël ? Est-il religieux ou est-ce une simple tradition ?

Les multiples origines du sapin de Noël

Beaucoup de pays se revendiquent d’être à l'origine du sapin de Noël. Notamment la Lettonie et l'Estonie qui ne cessent de se battre pour imposer leur histoire. En Lettonie, en 1510, une association nommée la Maison des Têtes Noires aurait décoré un sapin pour le brûler. Toutefois, l'Estonie affirme que cette association avait déjà fait de même en 1441 à Tallinn, la capitale du pays. À Riga, capitale de la Lettonie, une plaque commémorative aurait même été installée à la place du premier sapin de Noël. Malgré cette bataille qui perdure aujourd'hui, on peut affirmer que le sapin de Noël nous vient tout droit des pays de l'Est. Il symbolise l'arbre de vie, le renouveau de la vie.

Et si le sapin de Noël était religieux ?

Le sapin de Noël représente également un symbole fort dans la sphère religieuse. À l'époque des Romains, les Saturnales qui avaient lieu lors du solstice d'hiver étaient l'occasion d'organiser une fête sans barrière sociale et dans l'unique but de partager et de s'offrir des cadeaux lors de banquets. Les Germains et les Celtes faisaient de même autour d'un arbre qui symbolisait la vie. Chez les chrétiens, le symbole du sapin de Noël est repris, mais reste toujours un arbre de vie. Pour se différencier, ils décident d'y accrocher des pommes, fruits symboliques également, qui se transformèrent au fil des années en boules de Noël. En France, le sapin de Noël serait apparu en Alsace en 1521 grâce aux protestants. Ils l'auraient choisi comme coutume et symbole pour se démarquer des chrétiens qui, eux, avaient comme habitude d'installer une crèche. Après la guerre de 1870, le sapin de Noël s'est répandu dans tous les foyers français.

Quel est le symbole du sapin de Noël ?

Lors du solstice d’hiver, le sapin symbolisait la renaissance. Pendant le solstice, le soleil s’éloigne considérablement de la terre. Créant ainsi des saisons de froid glacial. Or c’est pendant cette période, quasiment tous les arbres perdent leur feuillage. A contrario du sapin qui conserve ses feuilles. C’est pourquoi le sapin symbolise traditionnellement “arbre de vie”.

Pourquoi on met une étoile sur le sapin de Noël ?

L’étoile posée à la cime du sapin symbolise chez les chrétiens, l’étoile aperçue par les marges, lors de la naissance du Christ. Lorsque les rois mages ont aperçu cette étoile, elle les a guidés vers l’étable où est né Jésus-Christ. C’est d’ailleurs cette étoile qui a poussé le roi de l’époque, à décimer tous les enfants de deux ans. Parce que, la symbolique de l'étoile à cette époque stipulait le règne infini d’un nouveau roi. Ce qui n’était pas du goût du roi Hérode le Grand.

Quel était le symbole du sapin avant le christianisme ?

Si par abus, on attribue le sapin à la naissance de Christ, ce n’était pas le cas au XI siècle. Car à cette époque le sapin symbolisait “l’arbre du paradis, de la renaissance, de vie”. On l’a définitivement attribué à la naissance du Christ au XIIème siècle. Car, l'Europe traditionnellement chrétienne, Christ est considéré chez la communauté chrétienne comme “la vie, la renaissance, le paradis”. En outre, dans toute l’Europe, c’est premièrement en Alsace que le sapin fut symboliquement attribué à la naissance de Christ.

Josué

Josué
Administrateur

[size=42]La Chine communiste interdit aux enfants de fêter Noël[/size]

27 décembre 2023 17 h 39 min


NOËL : FÊTE CHRÉTIENNE OU PAÏENNE ? - Page 7 Chine-interdit-enfants-Noel-e1703695078898
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Les Chinois catholiques de plusieurs régions se sont heurtés à la traque croissante par les autorités de tout ce qui va contre le communisme athée, avec au premier chef la foi catholique dont l’expression est en principe interdite aux mineurs dans les sanctuaires depuis 2018 et fortement découragée chez les jeunes. AsiaNews, relayé par Infocatólica, constate un resserrement des contrôles sur la religion mis en place dans l’ensemble de la République populaire depuis quelques années. Les plus jeunes sont les premiers visés : la Chine communiste interdit aux enfants de fêter Noël…
A travers le pays, le gouvernement, les responsables du Parti communiste chinois, mais aussi les écoles et les entreprises diffusent des avis sur la manière de « boycotter les fêtes étrangères » et d’« interdire la promotion commerciale de Noël ». Pendant ce temps, certains comptes de médias sociaux contrôlés par le gouvernement commémorent l’anniversaire de la bataille du lac Changjin en Corée du Nord, au cours de laquelle l’armée chinoise a forcé les troupes de l’ONU à se replier vers le sud en 1950, et affirment que c’est l’armée, et non « le Père Noël », qui a apporté la paix au peuple chinois.
 

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Le Noël interdit des enfants de Chine

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Sur le terrain, le très ancien diocèse de Baoding aux nombreuses ouailles catholique a été marqué par une vigilance particulière de la part des forces de l’ordre. La police a mis en place des « mesures de sécurité » exceptionnelles dans le centre-ville à la veille de Noël, organisant notamment des contrôles de sécurité dans le centre historique de Yuhua Road où se trouve la cathédrale Saints-Pierre-et-Paul. Tous les véhicules ont été interdits d’accès au centre historique après 16 heures le 24 décembre et les bus desservant la zone ont reçu l’ordre de se détourner. En outre, tous les commerces situés à proximité de la cathédrale ont reçu l’ordre de fermer et aucune vente ou promotion de Noël n’a été autorisée.
D’après une source sur place, la zone autour du sanctuaire était envahie de policiers. Des véhicules de police étaient garés près de la cathédrale et les agents portaient des tenue anti-émeute. La source a indiqué à AsiaNews que la police empêchait les parents accompagnés d’enfants d’entrer dans l’église. Omniprésente même à l’intérieur de la cathédrale, la police obligeait les parents à quitter les lieux, prétextant que ceux-ci « n’étaient pas sûrs pour les enfants car il y avait trop de monde à l’intérieur ».
Selon la même source, l’atmosphère était également tendue à Donglu, situé à 20 kilomètres de Baoding et célèbre pour sa Madone chinoise : l’église du lieu est un centre de pèlerinage. La police était stationnée dans le village depuis une semaine avant Noël. En 1900, des catholiques s’étaient réfugiés dans ce village lors de la rébellion des Boxers, la vague de violence contre les étrangers et le christianisme soutenue par la dynastie des Qing : le groupe de Boxers qui tentait d’attaquer l’église de Donglu avait été vaincu.
 

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Les étudiants de Baoding interdits de quitter leur campus pour aller à la messe de Noël

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Les autorités sont allées encore plus loin en adressant aux étudiants des écoles et universités locales un avis leur demandant de rester sur le campus la veille de Noël afin d’éviter les célébrations. L’avis précisait que tous les objets ayant une signification de Noël étaient interdits dans les dortoirs.
Comme on le sait, un accord entre le Saint-Siège et la Chine a organisé, au détriment de l’Eglise catholique clandestine fidèle la Rome, l’intégration de tous les catholiques de Chine dans l’Eglise patriotique sous contrôle du Parti communiste. En ce Noël 2023, les autorités chinoises ont envoyé leurs vœux à l’Association patriotique des catholiques chinois et au Conseil chrétien chinois, organismes officiellement reconnus des catholiques et des protestants. Dans la lettre publiée par l’Administration nationale des affaires religieuses, les deux associations sont félicitées pour avoir suivi les orientations de la pensée de Xi Jinping et l’esprit du 20e Congrès du Parti communiste chinois. Le souhait de Noël du gouvernement de Pékin est donc qu’elles continuent à adhérer à la voie tracée par Xi et à la sinisation, et qu’elles « gèrent rigoureusement les affaires religieuses ».
C’est une affaire qui marche. L’association protestante officielle vient ainsi d’élire sa nouvelle direction lors de sa 11e conférence la semaine dernière. Wang Huning, conseiller politique et idéologique de Xi Jinping, a exhorté les délégués à « adhérer à la direction de la sinisation », aux valeurs fondamentales du socialisme et à la culture chinoise traditionnelle. Wang a invité les dirigeants des associations chrétiennes à « acquérir une compréhension approfondie des théories et des politiques du Parti en matière de religion ». « Vous êtes appelés à gérer strictement les affaires religieuses », a répété M. Wang, confirmant ainsi l’orientation qui est aussi celle proclamée par Xi Jinping.
 

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Anne Dolhein

Josué

Josué
Administrateur

NOËL : FÊTE CHRÉTIENNE OU PAÏENNE ? - Page 7 20240518
Source: Ta parole est un trésor.

Lechercheur





https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2020/12/25/tres-breve-histoire-de-jesus-cet-inconnu_6064470_6038514.html

Pas né l’année zéro des astronomes
Que sait-on donc, au juste, de la vie de Jésus ? Commençons par briser une idée reçue : Jésus n’est pas né « l’année zéro » des astronomes, contrairement à ce que le moine Denys le Petit, au VIe siècle, avait déduit de ses calculs. C’est plutôt entre l’an 7 et l’an 4 avant notre ère (probablement en 6) qu’une certaine Marie donne naissance à un nourrisson prénommé Yeshoua, « Dieu sauve », en hébreu.

Lire aussi Article réservé à nos abonnés Comment Marie la juive, mère de Jésus, est devenue la Vierge qui enfanta Dieu

De même, il n’est vraisemblablement pas venu au monde un 25 décembre, jour hautement symbolique de la naissance du dieu antique Mithra, aux environs du solstice d’hiver et prélude au retour du printemps. Et finalement, Jésus ne serait pas mort en 33, mais quelques années plus tôt – vraisemblablement le 7 avril 30, à l’âge de 36 ans.

Un doute subsiste sur le lieu de cet enfantement. D’après les évangélistes Matthieu et Luc, l’enfant n’est pas né à Nazareth, la ville de ses parents, mais à Bethléem – cité du roi David dont le règne, au Xe siècle avant notre ère, est fantasmé comme un âge d’or pour Israël. Un procédé classique, visant sans doute à idéaliser la biographie du fondateur du christianisme.

Jésus est plus certainement né à Nazareth, en Galilée. C’est en tout cas là qu’il passe toute son enfance et sa jeunesse – d’où, sans doute, le surnom de « Nazaréen » qui lui est donné. Conformément à la Loi juive, Jésus est circoncis huit jours après sa naissance. L’enfant aurait manifesté très tôt le désir de fréquenter le Temple de Jérusalem, comme en témoigne l’épisode de « Jésus parmi les docteurs » (Luc 2, 41-50).

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EnsembleJesus



Tiens tiens ; je viens de découvrir ce sujet sur
NOËL ;
(déjà 333 réponses = 334 messages [avant celui-ci, n°335 --- lundi 18/11/2024)
ouvert par Josué qui a envoyé le message n°1 à 16:51 le mercredi 25/12/2013.

Heureusement les 6 dernières lignes de mon smartphone donnent l'origine du message n°1.

=== +++ === Mince !  « Adresse introuvable »
Un problème dans le recopiage de l'adresse, pour que ce ne soit pas un lien vers un site chrétien, par exemple ?

=== +++ === Et vous Chico, svp, quelle est la référence de la brochure liée à votre 1ère question dans votre 1er message, le n° 2 ?

Lechercheur



Mince alors après tous ses réponses tu n'a pas encore compris que cette fête est d'origine païenne.

Lechercheur



Bien que Noël soit célébré le 25 décembre, il n'existe aucune preuve historique que Jésus soit né à cette date exacte.
Voici pourquoi :
* Absence de date précise dans les Évangiles : Les textes bibliques ne mentionnent pas de date précise pour la naissance de Jésus.
* Adoption tardive de la date : La date du 25 décembre a été choisie plusieurs siècles après les événements, vers le IVe siècle.
* Remplacement des fêtes païennes : Cette date correspondait au solstice d'hiver, une fête païenne célébrant le retour de la lumière. Les premiers chrétiens ont choisi cette date pour christianiser ces célébrations.
En résumé, le 25 décembre est une date symbolique plutôt qu'historique.
Pour plus d'informations, tu peux consulter ces articles :
* Fêter Noël : https://noel.catholique.fr/questions/jesus-est-il-ne-le-25-decembre/jesus-est-il-ne-le-25-decembre/
* Diocèse de Paris :

EnsembleJesus



Vous avez raison :
ce n'est pas de l'ordre de la preuve historique,
c'est de l'ordre de la tradition vivante ;

pas comme les traditions qui s'accumulent et qui alourdissent la vie et qui font courber l'échine.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Et que dit Jesus sur les traditions?

papy

papy

Le mot Épiphanie, signifiant : manifestation, est employé par saint Paul dans 2 Timothée 1.10 pour désigner la venue de Jésus sur la terre (voir Épiphanie). On l’adopta au IVe siècle pour la fête de la Nativité qui avait lieu en Orient le 6 janvier et en Occident le 25 décembre. Pendant les trois premiers siècles on ne célébrait pas la naissance de Jésus ; la seule fête générale de l’Église était celle de Pâques, où l’on unissait le souvenir de la mort et celui de la résurrection du Sauveur.
Dictionnaire protestant.
Donc pendant plus de 3 siècles les premiers chrétiens ne célébraient pas cette fête.
Nous allons tourner en rond encore longtemps sur cette question?

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