23 sept. Lecture de la Bible : 2 Corinthiens 8-13
Appels à la générosité
Pour commencer, Paul parle des Macédoniens, dont la participation à l’opération de secours a été exemplaire. “ Durant une grande épreuve, au milieu des afflictions, écrit-il aux Corinthiens, l’abondance de leur joie et leur profonde pauvreté ont fait abonder la richesse de leur générosité. ” Les Macédoniens n’avaient pas eu besoin d’être aiguillonnés. Paul dit qu’au contraire “ d’eux-mêmes ils nous demandaient avec beaucoup d’insistance le privilège de donner de bon cœur ”. Cette générosité joyeuse était d’autant plus remarquable qu’ils étaient eux-mêmes dans une “ profonde pauvreté ”. — 2 Corinthiens 8:2-4.
En faisant l’éloge des Macédoniens, Paul essayait-il de susciter un esprit de compétition chez les Corinthiens ? Évidemment non, car il savait que ce n’est pas une manière correcte de motiver les gens (Galates 6:4). Il savait aussi qu’il n’était pas nécessaire de donner mauvaise conscience aux Corinthiens pour les inviter à bien faire. Il ne doutait pas de la sincérité de leur amour pour leurs frères de Judée et de leur désir de contribuer à l’opération de secours. “ Voilà un an déjà, leur écrit-il, vous avez pris l’initiative non seulement du faire, mais aussi du vouloir faire. ” (2 Corinthiens 8:10). En fait, sous certains aspects de cette opération humanitaire, les Corinthiens étaient des exemples. “ Je connais votre bonne volonté dont je me glorifie à votre sujet auprès des Macédoniens ”, les félicite Paul, ajoutant : “ Votre zèle a stimulé la plupart d’entre eux. ” (2 Corinthiens 9:2). Il fallait néanmoins que les Corinthiens concrétisent en actes leur zèle et leur bonne volonté.
Paul leur dit donc : “ Que chacun fasse comme il l’a résolu dans son cœur, non pas à regret ou par contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie. ” (2 Corinthiens 9:7). Le but de l’apôtre n’était donc pas de faire pression sur les Corinthiens, car il est difficile de donner avec joie sous la contrainte. Paul, semble-t-il, supposait que la bonne motivation était présente, que chacun était déjà résolu à donner. Il dit aussi : “ Si la bonne volonté y est tout d’abord, elle est surtout agréée selon ce que quelqu’un a, non selon ce que quelqu’un n’a pas. ” (2 Corinthiens 8:12). Oui, quand la bonne volonté y est, c’est-à-dire quand une personne fait les choses par amour, Dieu agrée ce qu’elle offre, même s’il s’agit apparemment de peu. — Voir Luc 21:1-4.
Appels à la générosité
Pour commencer, Paul parle des Macédoniens, dont la participation à l’opération de secours a été exemplaire. “ Durant une grande épreuve, au milieu des afflictions, écrit-il aux Corinthiens, l’abondance de leur joie et leur profonde pauvreté ont fait abonder la richesse de leur générosité. ” Les Macédoniens n’avaient pas eu besoin d’être aiguillonnés. Paul dit qu’au contraire “ d’eux-mêmes ils nous demandaient avec beaucoup d’insistance le privilège de donner de bon cœur ”. Cette générosité joyeuse était d’autant plus remarquable qu’ils étaient eux-mêmes dans une “ profonde pauvreté ”. — 2 Corinthiens 8:2-4.
En faisant l’éloge des Macédoniens, Paul essayait-il de susciter un esprit de compétition chez les Corinthiens ? Évidemment non, car il savait que ce n’est pas une manière correcte de motiver les gens (Galates 6:4). Il savait aussi qu’il n’était pas nécessaire de donner mauvaise conscience aux Corinthiens pour les inviter à bien faire. Il ne doutait pas de la sincérité de leur amour pour leurs frères de Judée et de leur désir de contribuer à l’opération de secours. “ Voilà un an déjà, leur écrit-il, vous avez pris l’initiative non seulement du faire, mais aussi du vouloir faire. ” (2 Corinthiens 8:10). En fait, sous certains aspects de cette opération humanitaire, les Corinthiens étaient des exemples. “ Je connais votre bonne volonté dont je me glorifie à votre sujet auprès des Macédoniens ”, les félicite Paul, ajoutant : “ Votre zèle a stimulé la plupart d’entre eux. ” (2 Corinthiens 9:2). Il fallait néanmoins que les Corinthiens concrétisent en actes leur zèle et leur bonne volonté.
Paul leur dit donc : “ Que chacun fasse comme il l’a résolu dans son cœur, non pas à regret ou par contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie. ” (2 Corinthiens 9:7). Le but de l’apôtre n’était donc pas de faire pression sur les Corinthiens, car il est difficile de donner avec joie sous la contrainte. Paul, semble-t-il, supposait que la bonne motivation était présente, que chacun était déjà résolu à donner. Il dit aussi : “ Si la bonne volonté y est tout d’abord, elle est surtout agréée selon ce que quelqu’un a, non selon ce que quelqu’un n’a pas. ” (2 Corinthiens 8:12). Oui, quand la bonne volonté y est, c’est-à-dire quand une personne fait les choses par amour, Dieu agrée ce qu’elle offre, même s’il s’agit apparemment de peu. — Voir Luc 21:1-4.