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16 sept.  Lecture de la Bible :  2 Corinthiens 1-7

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Josué

Josué
Administrateur

16 sept.  Lecture de la Bible :  2 Corinthiens 1-7

Josué

Josué
Administrateur

Livre de la Bible numéro 47 — 2 Corinthiens

Écrivain : Paul

Lieu de composition : Macédoine

Fin du travail de composition : vers 55 de n. è.

C’ÉTAIT probablement vers la fin de l’été ou au début de l’automne 55 de n. è. Certaines affaires dans la congrégation chrétienne de Corinthe préoccupaient encore l’apôtre Paul. Quelques mois seulement s’étaient écoulés depuis la rédaction de sa première lettre aux Corinthiens. Depuis lors, Tite avait été envoyé à Corinthe pour aider à la collecte en faveur des saints de Judée et probablement aussi pour connaître la réaction des Corinthiens à la première lettre (2 Cor. 8:1-6 ; 2:13). Comment l’avaient-ils accueillie ? Quelle consolation ce fut pour Paul d’apprendre qu’elle avait suscité en eux la tristesse et la repentance ! Tite avait retrouvé Paul en Macédoine pour lui communiquer cette bonne nouvelle, et maintenant le cœur de l’apôtre débordait d’amour pour ses compagnons chrétiens bien-aimés de Corinthe. — 7:5-7 ; 6:11.
2 Paul a donc écrit de nouveau aux Corinthiens. Cette deuxième lettre, qui est chaleureuse et puissante, a été écrite de Macédoine, et c’est vraisemblablement Tite qui l’a portée à Corinthe (9:2, 4 ; 8:16-18, 22-24). L’une des questions préoccupantes qui incitèrent Paul à écrire était la présence parmi les Corinthiens de “ super-apôtres ” qu’il qualifie aussi de “ faux apôtres, des ouvriers trompeurs ”. (11:5, 13, 14.) Le bien-être spirituel de cette congrégation relativement jeune était en jeu, et l’autorité apostolique de Paul était contestée. Sa deuxième lettre aux Corinthiens répondait donc à un grand besoin.
3 On notera que Paul dit : “ Voyez ! C’est la troisième fois que je suis prêt à venir chez vous. ” (2 Cor. 12:14 ; 13:1). Il se proposait de les visiter pour la deuxième fois quand il a écrit sa première lettre, mais, bien qu’il s’y fût préparé, cette “ seconde occasion de joie ” ne se concrétisa pas (1 Cor. 16:5 ; 2 Cor. 1:15). En fait, Paul n’était allé à Corinthe qu’une fois auparavant pour un séjour de 18 mois, de 50 à 52 de n. è., époque à laquelle la congrégation chrétienne de Corinthe avait été fondée (Actes 18:1-18). Plus tard, Paul vit néanmoins se réaliser son désir d’aller à Corinthe une fois encore. Alors qu’il se trouvait en Grèce pour trois mois, probablement en 56 de n. è., il passa au moins une partie de ce temps à Corinthe, et c’est de là qu’il écrivit sa lettre aux Romains. — Rom. 16:1, 23 ; 1 Cor. 1:14.

Josué

Josué
Administrateur

“ Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des tendres miséricordes et le Dieu de toute consolation. ” — 2 COR. 1:3.

DÈS sa naissance, l’être humain éprouve le besoin d’être consolé. Un bébé fait usage de ses cordes vocales quand il souhaite qu’on s’occupe de lui, qu’on le prenne dans les bras ou qu’on lui donne à manger. En grandissant, nous continuons d’éprouver ce besoin d’être réconfortés, notamment lorsque nous traversons des situations difficiles.
Notre famille et nos amis sont souvent en mesure de nous réconforter. Mais il est des difficultés qui sont insolubles d’un point de vue humain. Dieu seul peut nous consoler quelle que soit la gravité de notre situation. Sa Parole nous offre cette garantie : “ Jéhovah est près de tous ceux qui l’invoquent [...], et il entendra leur appel à l’aide. ” (Ps. 145:18, 19). Ou encore : “ Les yeux de Jéhovah sont vers les justes, et ses oreilles vers leur appel à l’aide. ” (Ps. 34:15). Toutefois, si nous voulons obtenir le soutien et le réconfort de Dieu, nous devons placer notre confiance en lui. C’est ce que David a exprimé clairement dans un chant : “ Jéhovah deviendra une hauteur sûre pour l’écrasé, une hauteur sûre dans les temps de détresse. Ceux qui connaissent ton nom mettront leur confiance en toi, car tu ne quitteras nullement ceux qui te cherchent, ô Jéhovah ! ” — Ps. 9:9, 10.

Josué

Josué
Administrateur

Le mot grec thlipsis, rendu d’ordinaire par “ tribulation ”, signifie fondamentalement angoisse, affliction ou souffrance dues à la pression d’une situation. Il est employé à propos des douleurs qui accompagnent l’accouchement (Jn 16:21), de l’affliction liée à la persécution (Mt 24:9 ; Ac 11:19 ; 20:23 ; 2Co 1:8 ; Hé 10:33 ; Ré 1:9), à l’emprisonnement (Ré 2:10), à la pauvreté et à d’autres adversités communes aux orphelins et aux veuves (Jc 1:27), à la famine (Ac 7:11) et à la punition pour une mauvaise action (Rm 2:9 ; Ré 2:22). La “ tribulation ” mentionnée en 2 Corinthiens 2:4 désigne apparemment l’angoisse que l’apôtre Paul ressentait à cause de la mauvaise conduite des chrétiens de Corinthe et parce qu’il devait les corriger avec sévérité.

Josué

Josué
Administrateur

À quoi l’apôtre Paul pensait-il quand il a parlé d’un “ cortège triomphal ” ?
▪ Paul a écrit : “ Dieu [...] nous conduit dans un cortège triomphal en compagnie du Christ et [...], par notre intermédiaire, rend perceptible en tout lieu l’odeur de sa connaissance. Car pour Dieu nous sommes une agréable odeur de Christ parmi ceux qui sont en train d’être sauvés et parmi ceux qui périssent ; pour ceux-ci, une odeur venant de la mort pour la mort, pour ceux-là, une odeur venant de la vie pour la vie. ” — 2 Corinthiens 2:14-16.
L’apôtre faisait allusion à la coutume romaine d’organiser un cortège de célébration en l’honneur d’un général qui avait vaincu des ennemis de l’État. À ces occasions, on exposait le butin ainsi que les prisonniers de guerre et on menait des taureaux au sacrifice, tandis que le général victorieux et son armée recevaient les acclamations de la foule. Au terme de la procession, on sacrifiait les taureaux et on exécutait vraisemblablement un bon nombre de prisonniers.
La métaphore de l’“ agréable odeur de Christ ” qui signifierait la vie pour certains et la mort pour d’autres est “ sans doute tirée de la coutume romaine de brûler de l’encens sur le chemin du cortège, déclare une encyclopédie (The International Standard Bible Encyclopedia). Le parfum qui était synonyme de triomphe pour les vainqueurs rappelait aux captifs l’exécution qui les attendait probablement* ”.

Josué

Josué
Administrateur

Jésus expliqua à ses disciples ce qu’était un vrai ministre de Dieu : “ Les rois des nations les commandent en maîtres, et ceux qui ont pouvoir sur elles sont appelés Bienfaiteurs. Mais vous, vous ne devez pas être ainsi. Au contraire, que le plus grand parmi vous devienne comme le plus jeune, et celui qui occupe la fonction de chef comme celui qui sert. Car qui est le plus grand, celui qui est étendu à table ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est étendu à table ? ” Puis, citant sa propre conduite en exemple, il ajouta : “ Mais moi, je suis au milieu de vous comme celui qui sert. ” (Lc 22:25-27). En la circonstance, il fit une démonstration puissante de ces principes, notamment de celui de l’humilité, en lavant les pieds de ses disciples. — Jn 13:5.
De plus, Jésus montra à ses disciples que les véritables ministres de Dieu n’acceptent pas de titres religieux flatteurs ni n’en donnent à d’autres. “ Mais vous, ne vous faites pas appeler Rabbi, car un seul est votre enseignant, tandis que vous êtes tous frères. En outre, n’appelez personne votre père sur la terre, car un seul est votre Père, le Céleste. Ne vous faites pas non plus appeler ‘ conducteurs ’, car un seul est votre Conducteur, le Christ. Mais le plus grand parmi vous doit être votre serviteur [ou : ministre]. Quiconque s’élève sera humilié, et quiconque s’humilie sera élevé. ” — Mt 23:8-12.
Les disciples oints du Seigneur Jésus Christ sont appelés ‘ ministres de la bonne nouvelle ’, ce qu’était Paul (Col 1:23) ; ils sont aussi “ ministres d’une nouvelle alliance ”, étant dans cette relation d’alliance avec Jéhovah Dieu, ayant le Christ comme Médiateur (2Co 3:6 ; Hé 9:14, 15). Ils sont de ce fait ministres de Dieu et de Christ (2Co 6:4 ; 11:23). Ils sont habilités non par un homme ni par une organisation, mais par Dieu grâce à Jésus Christ. La preuve qu’ils sont des ministres ne consiste pas en une pièce écrite ou en un certificat quelconque, tel qu’une lettre de recommandation ou de référence. Leur “ lettre ” de recommandation, ce sont les personnes qu’ils ont instruites et formées pour qu’elles deviennent, comme eux, ministres de Christ. L’apôtre Paul dit à ce sujet : “ Se pourrait-il que, comme certains hommes, nous ayons besoin de lettres de recommandation pour vous ou de vous ? C’est vous-mêmes qui êtes notre lettre, inscrite sur nos cœurs, connue et lue par tous les humains. Car il est manifeste que vous êtes une lettre de Christ écrite par nous comme ministres, inscrite non avec de l’encre, mais avec l’esprit d’un Dieu vivant, non sur des tablettes de pierre, mais sur des tablettes de chair, sur des cœurs. ” (2Co 3:1-3). L’apôtre montre ici l’amour, l’attachement, l’affection et l’intérêt chaleureux que le ministre chrétien témoigne à ceux qu’il sert, car ils sont ‘ inscrits sur le cœur [du ministre] ’.
Ainsi, après être monté au ciel, Christ fit des “ dons en hommes ” à la congrégation chrétienne. Au nombre de ces dons figuraient les apôtres, les prophètes, les évangélisateurs, les bergers et les enseignants, donnés “ pour le redressement des saints, pour une œuvre ministérielle, pour la construction du corps du Christ ”. (Ép 4:7-12.) C’est de Dieu que leur vient la capacité de ministres. — 2Co 3:4-6.

Josué

Josué
Administrateur

L’espérance que Dieu leur donne de vivre au ciel est si forte en eux qu’ils partagent les sentiments de Paul, qui a écrit : “ Nous savons que si notre maison terrestre, cette tente, vient à se dissoudre, nous devons avoir une construction qui vient de Dieu, une maison non faite par des mains, éternelle dans les cieux. Car dans cette maison d’habitation, oui nous gémissons, désirant ardemment revêtir celle qui nous est destinée et qui vient du ciel, de sorte que, l’ayant vraiment revêtue, nous ne serons pas trouvés nus. Oui, nous qui sommes dans cette tente, nous gémissons, accablés ; parce que nous voulons, non pas nous en dévêtir, mais revêtir l’autre, pour que ce qui est mortel soit englouti par la vie. Or celui qui nous a produits pour cela même, c’est Dieu, qui nous a donné le gage de ce qui est à venir, à savoir l’esprit. ” (2 Corinthiens 5:1-5). Paul avait un ‘ désir ardent ’ : celui d’être ressuscité au ciel en tant qu’esprit immortel. Il assimilait son corps humain à une tente susceptible de s’effondrer, une habitation fragile et temporaire en comparaison d’une maison. Bien que vivant sur terre dans un corps de chair mortel, les chrétiens qui ont l’esprit comme un gage de la vie céleste à venir attendent impatiemment “ une construction qui vient de Dieu ”, un corps spirituel immortel, incorruptible (1 Corinthiens 15:50-53). Comme Paul, ils peuvent dire en toute sincérité : “ Nous avons bon courage et nous aimons mieux nous trouver loin du corps [humain] pour aller demeurer [au ciel] auprès du Seigneur. ” — 2 Corinthiens 5:8.

Josué

Josué
Administrateur

L’affirmation de Paul selon laquelle “ c’est maintenant le temps particulièrement agréé ” demeure vraie. Nous qui avons goûté à la faveur imméritée de Dieu, nous sommes reconnaissants d’avoir eu la possibilité d’entendre et d’accepter le message de la réconciliation. Nous ne devons cependant pas être trop sûrs de nous, mais plutôt prendre à cœur ces paroles de Paul : “ Nous vous supplions aussi de ne pas accepter la faveur imméritée de Dieu pour en manquer le but. ” (2 Cor. 6:1). Le but de cette faveur imméritée est de ‘ réconcilier un monde avec Dieu ’ par le moyen de Christ. — 2 Cor. 5:19.
La plupart des humains, aveuglés par Satan, sont toujours éloignés de Dieu et ignorent tout de son dessein (2 Cor. 4:3, 4 ; 1 Jean 5:19). Mais la dégradation des conditions mondiales amène de nombreuses personnes à réagir favorablement à notre message, quand elles comprennent que le mal et les souffrances existent parce que l’homme s’est éloigné de Dieu. Même dans des endroits où la majorité des gens étaient indifférents à notre prédication, beaucoup écoutent maintenant la bonne nouvelle et s’efforcent de se réconcilier avec Dieu. Dès lors, comprenons-nous qu’il est temps de redoubler de zèle pour faire retentir ce message vibrant : “ Réconciliez-vous avec Dieu. ”
Notre rôle ne consiste pas à dire simplement aux gens que, s’ils s’approchent de Dieu, ils verront leurs problèmes résolus et se sentiront mieux. C’est pourtant ce que beaucoup souhaitent entendre quand ils vont à l’église, et les ecclésiastiques s’empressent de satisfaire ce souhait (2 Tim. 4:3, 4). Tel n’est pas le but de notre ministère. Voici la bonne nouvelle que nous prêchons : dans son amour, Jéhovah est disposé à pardonner les fautes des humains par le moyen de Christ. Ainsi, tout un chacun peut sortir de sa condition d’éloignement de Dieu et se réconcilier avec lui (Rom. 5:10 ; 8:32). Il ne faut cependant pas oublier que “ le temps particulièrement agréé ” touche à sa fin.

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