Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le deal à ne pas rater :
Code promo Nike : -25% dès 50€ d’achats sur tout le site Nike
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

comment liberer les femmes de l'oppression

5 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

Josué

Josué
Administrateur

comment liberer les femmes de l'oppression Estpasmisogyne

Josué

Josué
Administrateur

[img]comment liberer les femmes de l'oppression Femmeaupakistan001 [/img]
pas triste le sort des femmes dans se pays.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

plus nous avançons dans le temps plus certaines religions deviennent rétrograde.

Josué

Josué
Administrateur

[img]comment liberer les femmes de l'oppression Laisspourmorte001 [/img]

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

je ne connaissais pas cette histoire elle a été bien caché par les autorités de l'époques.

bourak



C'est l'islam que les ignorants manipulés par les ennemis du vrai Islam affichent et expose malheureusement à l'occident.c'est qu'on veut montrer pour mieux le salir ; mais détromper-vous la verite de l'Islam va certainement ressurgir malgré les difficultés Tout le monde va savoir que la religion qui interdit de tuer un animal injustement , d'enlever un arbre injustement est la religion de la miséricorde, de la paix...Le prophete de l'Islam nous enseigne qu'une femme a merité l'Enfer parce qu'elle a emprisonné un chat jusqu'à la mort et qu'une autre femme est au Paradis parce qu'elle a donné à boire à un chien assoifé..
L'Islam n'a rien à voir avec ces terroristes aveuglés , embrigadés ..il n'a rien à voir non plus avec ces islamistes qui obligent les autres à cropire . Dieu dit dans le saint Coran que celui qui veut croire qu'il croit et que celui qui ne veut pas croire qu'il ne croit pas ..
Ne juger donc pas l'Islam d'apres les apparences de certains ignorants , lisez le Coran avec objectivité , lisez la vie du prophete de l'Islam et celles de ses compagnons et vous verrez claire..In chaa Allah.

Josué

Josué
Administrateur

mais c'st histoire et un fait réel la manipulation vient de l'état algérien qui a tout fait pour que cela ne se sache pas.

Josué

Josué
Administrateur

"Le féminisme ne va pas à l'encontre de l'islam"
propos recueillis par Camille Dubruelh et Céline Chadelat - publié le 07/12/2010
Pakistanaise, Saba Mahmoud a participé aux mouvements d'émancipation des femmes avant d'embrasser une carrière de chercheuse à l'université de Berkeley (Etats-Unis). Son dernier ouvrage, La Politique de la piété, offre un éclairage corrosif sur la relation des femmes égyptiennes à la religion et au politique, en s'intéressant au "mouvement des mosquées".

En mettant à mal de nombreux "présupposés occidentaux", Saba Mahmoud se démarque des théories féministes libérales et refuse de réduire ces faits sociaux et religieux à une analyse de type culturaliste. Interview.

Comment ce mouvement de piété questionne-t-il l'idée de "féminisme"?

Le "mouvement des mosquées" se manifeste par la prolifération de mosquées de quartier et une visibilité plus grande de la sociabilité religieuse dans l'espace social. Avec, par exemple, le port du voile, la multiplication des médias et des publications à caractère religieux. Ce mouvement est une composante essentielle du renouveau islamique en Egypte. Mais qui a pour spécificité de passer par les femmes.

C'est un renouveau religieux pour ces femmes, qui a aussi une incidence importante sur leur entourage. Cela s'opère non pas de façon aveugle, mais d'une manière très intellectuelle. Le Coran est en effet un texte spirituel, qui ne comprend pas de règles strictes. Les femmes qui participent à ces "cours" ne se limitent pas simplement à la lecture de textes sacrés, elles cherchent avant tout à comprendre comment gérer leur vie quotidienne en restant en adéquation avec leur foi.

Leur objectif est de trouver dans les textes ce qui est applicable et ce qui ne l'est pas. Par exemple, le sexe extramarital est interdit dans l'islam. Comment apprendre alors à leurs enfants l'importance de ces valeurs, lorsque les incitations sexuelles dans les médias sont récurrentes? Elles ont conscience que les enfants sont sollicités par ces images, alors elles cherchent à comprendre comment les aider à prendre de la distance. Se rendre à ces cours, discuter, argumenter, comprendre, aide les femmes à faire le tri en apprenant à gérer les difficultés auxquelles elles font face au quotidien.

Pour mieux comprendre la portée de ce mouvement, il faut, dites-vous, se pencher sur la très longue histoire du colonialisme. Expliquez-nous.

On trouve un certain nombre de présupposés parmi les raisons justifiant la colonisation. Le premier considère que les femmes n'appartenant pas à l'Occident sont inférieures. Le second découle du premier : elles doivent être sauvées de leur propre culture, de leurs hommes, par la civilisation blanche. Or cet argument trouve toujours un écho en Europe. C'est une idée tenace de penser que la culture musulmane traite les femmes comme des êtres inférieurs, imposant à l'Occident le devoir de les sauver.

L'acceptation de cette responsabilité s'est paradoxalement construite sur une absence de reconnaissance de sa propre inégalité. Le monde occidental n'a pas fait pas son autocritique en matière d'égalité des sexes. Le féminisme n'est pas le pendant de la culture occidentale. Dire cela reviendrait à renier toutes les batailles, toutes les souffrances que les femmes ont, ici, subies afin de pouvoir imposer des droits fondamentaux, comme les droits civiques. En Occident, on oppose souvent la liberté à son contraire, comme s'il n'y avait pas d'entre-deux. En réalité, ce n'est pas aussi simple.

La liberté que l'on croit acquise implique parfois un assujettissement d'un autre genre. Prenez par exemple la manière dont les femmes ont lutté pour libérer leur corps. Pourtant, cette liberté est allée de pair avec une volonté de correspondre à un certain modèle, de rester l'objet du désir des hommes, avec tout ce que cela implique, comme la chirurgie esthétique. Et ça, ce n'est pas la liberté. Le féminisme n'est pas un concept propre à l'Occident, qui pourrait être transposé tel quel à d'autres sociétés. Il y a diverses formes de féminisme, et cela ne va pas forcément à l'encontre de la piété, ni de l'islam.

Ce mouvement correspond-il à une réapropriation de l'islam par ces femmes?

Effectivement, mais nous devons bien comprendre de quoi il s'agit. Cela ne me paraît pas être un courant radicalement plus individualiste, plus libéral, même si d'un certain côté, il y a une approche plus personnelle : "Je travaille sur moi-même, ma morale éthique." Aucune religion ne peut comporter cette notion individualiste de façon radicale, il y a toujours un passé, des lignes directrices.

Ce n'est pas non plus une mise en question de l'autorité du Coran. Les femmes du "mouvement des mosquées" acceptent le Coran, mais d'une façon très différente qui provient de leurs défis quotidiens. Par exemple, je montre dans mon livre des femmes qui vont à l'encontre de leur entourage, pères et maris, pour se rendre aux réunions ou pour mettre en application leurs croyances. Que font-elles? Qui offensent-elles? Dieu? Non. Elles offensent leurs maris. Et elles l’assument en se disant : "Mon premier devoir est envers Dieu, le second devoir est envers mon mari."
LE MONDE des RELIGIONS

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

mais dans les faits la femme n'est pas grand chose en islam.

Josué

Josué
Administrateur

Selon le Petit Futé, "il est toujours normal pour un homme algérien de lever la main sur sa femme"
On connaît tous la propension du Guide du Routard à porter des critiques parfois assez limites sur les pays visités. Souvent teintées d'ethnocentrisme et d'arrogance à la française, pour ne pas dire franchouillarde, les envolées des rédacteurs du Routard n'en sont pas moins dans les clous. Ce qui n'est pas le cas de la dernière édition que le Petit Futé consacre à l'Algérie, où l'on découvre plusieurs dérapages.

C'est un journaliste du quotidien algérien El Watan qui vient de lever le lièvre. Dans un long article au titre sans détours "Féroce attaque contre la destination Algérie par le Petit Futé", Mourad Kezzar revient sur différents passages du guide. Si, sur un certain nombre de points, les rédacteurs portent le même regard sévère que nombre d'Algériens, et en cela leurs critiques ont toute leur légitimité, il demeure difficile de comprendre comment certains passages ont pu passer.
http://www.lepost.fr/article/2010/08/25/2194825_selon-le-petit-fute-il-est-toujours-normal-pour-l-algerien-de-battre-sa-femme.html

Josué

Josué
Administrateur

Libres mais craignant d'être jetées à nouveau en prison, des femmes médecins chiites de Bahreïn, accusées d'avoir soutenu la contestation, racontent les tortures et les humiliations subies en détention.



AFP/Archives
En dépit de leur statut, de nombreux médecins et infirmiers ont été arrêtés lors de la répression à la mi-mars des manifestations qui ont vu durant un mois des chiites contester la dynastie sunnite des Al-Khalifa.

Ils ont été accusés d'avoir pris fait et cause pour les manifestants.

Des médecins de l'hôpital Salmaniya, non loin de la place de la Perle, épicentre de la contestation, ont été aussi accusés d'avoir menti sur le déroulement des événement ou de les avoir exagérés dans les médias.

Des femmes médecins libérées ont raconté à l'AFP, sous le couvert de l'anonymat, comment elles avaient fait des aveux sous la menace et la pression.

"Je vous conseille de passer aux aveux ou je vous frapperai comme un âne et je vous torturerai", a raconté l'une de ces femmes, en citant un officier qui l'a interrogée.

Elle dit avoir été frappée au visage par une interrogatrice quand elle a répondu qu'elle était un simple médecin qui a traité des manifestants blessés.

"Il semble que vous refusez de collaborer", lui a-t-on rétorqué, en accusant les médecins d'avoir ajouté du sang sur les blessures de manifestants pour exagérer leur état devant les caméras de télévision.

Cette femme a indiqué avoir eu les yeux bandés et les mains liées, puis avoir subi un choc électrique à la tête, avoir été jetée à terre, et battue sur la plante des pieds par un câble électrique.

"Même des policières ont été choquées de voir mon état à ma sortie de la salle d'interrogatoire", se rappelle-t-elle.

Le jour suivant des hommes ont pris le relais pour l'interroger, en multipliant les humiliations et en menaçant de la violer.

"Tu as dû pratiquer un mariage + mutaa + (de plaisir) place de Perle", lui a dit un officier en référence à cette pratique du chiisme considérée comme une forme d'adultère par les sunnites.

"Je te prendrai en mariage Mutaa", a-t-il ajouté en menaçant de la "suspendre par les seins avant de la violer".

Elle a dit avoir alors signé des aveux. Mais elle n'a été libérée que 20 jours plus tard et après avoir signé nombre d'engagements y compris un lui interdisant de parler à la presse.

D'autres femmes médecins ont évoqué humiliations et mauvais traitements.

"Personne ne s'attendait" à un tel traitement, dit l'une d'elles, affirmant aussi avoir signé des aveux sous les coups.

"Je ne savais pas de quel côté de la tête j'allais être frappée", dit cette femme voilée, qui affirme avoir été traitée de "prostituée" durant l'interrogatoire.

Elle raconte avoir été contrainte de dormir sur une chaise alors que l'une de ses collègues dit n'avoir réussi à s'étendre par terre qu'après avoir feint un évanouissement.

Cette femme médecin indique avoir été accusée de ne prodiguer des soins qu'à une partie des patients, en l'occurrence les chiites.

Toutes ces femmes craignent aujourd'hui d'être poursuivies en justice et leur salaire est bloqué depuis mars.

Interrogées par l'AFP à propos de ces abus présumés, les autorités n'ont pas réagi.

Le gouvernement avait indiqué que 23 médecins et 23 infirmiers ont été déférés devant un tribunal spécial pour soutien aux manifestants et la télévision d'Etat ne cesse de montrer des images pour soutenir que l'hôpital Salmaniya avait été transformé en centre de protestation.

"Ce qui s'est passé à Salmaniya ne sera jamais plus autorisé", a prévenu la semaine dernière le Premier ministre, cheikh Khalifa ben Salman.

Ces femmes disent craindre pour leur collègues hommes toujours en détention et pour l'infirmière en chef de Salmaniya, Rola al-Safar, forcée selon elles à faire des aveux à la télévision.
http://news.fr.msn.com/m6-actualite/monde/article.aspx?cp-documentid=157922258

Josué

Josué
Administrateur

Arabie Saoudite: des femmes de nouveau au volant de leurs voitures à Ryad
Des Saoudiennes ont de nouveau pris le volant à Ryad mercredi, défiant l'interdiction faite aux femmes de conduire une voiture dans le royaume saoudien.




AFP
Leur initiative répond à un message mis en ligne sur un site internet, proposant que des femmes défilent collectivement au volant de leurs voitures mercredi dans la capitale saoudienne, après l'expérience individuelle du 17 juin.

Azza Chamassi, la trentaine, a indiqué avoir conduit sa voiture mercredi, comme elle le fait "tous les jours depuis vendredi" dernier, ajoutant toutefois qu'elle avait été importunée par un message collé au pare-brise de sa voiture.

Sur une feuille écrite à la main, on pouvait lire "S'il vous plait, ne conduisez pas" sur une face, et une insulte sur l'autre, selon des témoins.

"Cette menace ne sera un obstacle", a-t-elle déclaré à l'AFP à propos de sa détermination à obtenir la reconnaissance du droit de la femme a conduire dans le royaume.

Sara al-Khalidi a affirmé avoir continué à conduire sa voiture depuis le 17 juin, précisant s'être mise mercredi au volant en compagnie de sa mère, une universitaire, avant de se faire arrêter par un agent de la circulation.

Elle a ajouté que le policier lui avait fait savoir qu'elle avait fait l'objet de six avis de recherche et lui avait demandé de rentrer chez elle, sans l'arrêter.

Pourtant, a-t-elle dit à l'AFP, "les gens m'encouragent chaque fois qu'ils me voient au volant ces derniers jours".

Vendredi, 42 femmes saoudiennes ont répondu à l'appel lancé par des militantes pour défier l'interdiction, selon les organisateurs de la campagne Women2drive.

Cette initiative a été saluée par la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton qui a jugé mardi "courageuses" ces Saoudiennes, puis par la chancelière allemande Angela Merkel qui a trouvé mercredi "compréhensible" la volonté de ces femmes de conduire.

Aucune loi n'interdit aux femmes saoudiennes de conduire, mais les autorités se fondent sur un édit religieux (fatwa), promulgué dans le royaume dont les lois s'inspirent d'une version rigoriste de l'islam, et invoquent l'opposition des puissants religieux et des milieux conservateurs.

christelle

christelle

[quote="Josué"]Selon le Petit Futé, "il est toujours normal pour un homme algérien de lever la main sur sa femme"

J'ai été mariée 8ans avec un marocain. Un jour sa mère m'a dit :" si il veut te frapper laisse-le faire". J'ai été choquée...

Heureusement il ne l'a jamais fait...

chico.

chico.

c'est dans les us et coutumes.

christelle

christelle

chico. a écrit:c'est dans les us et coutumes.

Oui malheureusement et ils agissent de cette manière avec leur soeur également

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum