n France, une personne meurt d’un infarctus toutes les 40 minutes en moyenne. Pour réduire le risque d'arrêt cardiaque, il faut agir vite et bien. Comment faire quand on est tout seul à la maison? Les réponses de Medisite avec nos médecins spécialistes du cœur.
Appeler le Samu
Vous êtes seul(e) à la maison ou dans la rue quand soudainement vous avez mal à la poitrine, vous ressentez une pesanteur, une gêne pour respirer, une douleur qui irradie dans la mâchoire, l’épaule, le bras, qui dure plusieurs minutes? N’attendez pas et faites immédiatement le 15 (Samu). Il s’agit probablement d’un infarctus (un caillot de sang bouche une artère du cœur qui n’est plus suffisamment approvisionné en oxygène).
'C’est une urgence vitale. Son traitement est d’autant plus efficace qu’il est précoce', prévient le Pr Jean-Pierre Ollivier, chef du service cardiologie à l’hôpital du Val-de-Grâce (Paris). Selon la Fédération française de cardiologie, la mortalité diminue de 50% quand le traitement intervient lors de la première heure, et de 30% la deuxième heure. Au téléphone, le Samu interroge le patient pour évaluer la gravité des symptômes. Si le diagnostic de l’infarctus se confirme, une équipe médicale est dépêchée sur place.
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Vous êtes seul(e) à la maison ou dans la rue quand soudainement vous avez mal à la poitrine, vous ressentez une pesanteur, une gêne pour respirer, une douleur qui irradie dans la mâchoire, l’épaule, le bras, qui dure plusieurs minutes? N’attendez pas et faites immédiatement le 15 (Samu). Il s’agit probablement d’un infarctus (un caillot de sang bouche une artère du cœur qui n’est plus suffisamment approvisionné en oxygène).
'C’est une urgence vitale. Son traitement est d’autant plus efficace qu’il est précoce', prévient le Pr Jean-Pierre Ollivier, chef du service cardiologie à l’hôpital du Val-de-Grâce (Paris). Selon la Fédération française de cardiologie, la mortalité diminue de 50% quand le traitement intervient lors de la première heure, et de 30% la deuxième heure. Au téléphone, le Samu interroge le patient pour évaluer la gravité des symptômes. Si le diagnostic de l’infarctus se confirme, une équipe médicale est dépêchée sur place.