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les catastrophes dans le monde.

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1les catastrophes dans le monde. Empty les catastrophes dans le monde. Ven 14 Jan - 15:26

Josué

Josué
Administrateur

[img]les catastrophes dans le monde. Catastrophes001 [/img]

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

ça confirme les paroles de JESUS sur la fin des temps.

Josué

Josué
Administrateur

Impressionant : la carte mondiale des catastrophes et accidents en temps réel
pidémies, tremblements de terre, ouragans, tsunamis, inondations, accidents industriels et chimiques, grippes et même accidents de la route, tout y passe et est consigné sur la carte des catastrophes mondiale en... temps réel !

Publié par le site internet édité par RSOE, un service hongrois d’information sur les catastrophes et désastres, vous pouvez suivre en direct tout ce qui se passe sur la planète et en direct ! On a même droit à une description complète et précise de chaque évènement !

Cela pourrait paraître un peu malsain comme approche de ce qui se passe dans le monde, mais il faut voir cela comme une façon de prendre conscience des problèmes environnementaux qui peuvent être liés aux activités humaines !

Attention, si on se laisse "prendre au jeu" on passe des heures sur cette carte !

Pour aller voir ce qui se passe en ce moment, cliquez ici
http://www.lepost.fr/article/2011/01/23/2380525_impressionant-la-carte-mondiale-des-catastrophes-et-accidents-en-temps-reel.html#xtor=EPR-275-[NL_732]-20110124-[medias-web]

Invité


Invité

L'homme est directement responsable du réchauffement climatique et le réchauffement climatique est responsable de beaucoup de catastrophes, donc je pense que l'on peut dire que l'homme est directement responsable de beaucoup de catastrophe trop rapidement qualifiées de "naturelles"

Josué

Josué
Administrateur

florence_yvonne a écrit:L'homme est directement responsable du réchauffement climatique et le réchauffement climatique est responsable de beaucoup de catastrophes, donc je pense que l'on peut dire que l'homme est directement responsable de beaucoup de catastrophe trop rapidement qualifiées de "naturelles"
oui est non car il y a aussi les temps et évènements qui arrive indépendamment de l'homme.

Invité


Invité

Admin a écrit:
florence_yvonne a écrit:L'homme est directement responsable du réchauffement climatique et le réchauffement climatique est responsable de beaucoup de catastrophes, donc je pense que l'on peut dire que l'homme est directement responsable de beaucoup de catastrophe trop rapidement qualifiées de "naturelles"
oui est non car il y a aussi les temps et évènements qui arrive indépendamment de l'homme.

C'est pour cela que j'ai précisé "beaucoup" et non pas "toutes"

Josué

Josué
Administrateur

Climat d'impuissance au 41e Forum économique mondial de Davos
Les décideurs mondiaux restent très largement divisés sur les remèdes à adopter.
SOURCE AFP
Dette, réchauffement climatique, sécurité alimentaire ou contestation qui enfle au Moyen-Orient : un climat d'impuissance aura plané sur la 41e édition du Forum de Davos, les décideurs mondiaux restant divisés sur les remèdes. "Notre ressource la plus rare est le temps", a dit le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, sortant de sa réserve pour lancer un cri d'alarme : "Nous sommes à court de temps sur le changement climatique, l'énergie propre."

Le Forum économique mondial (Wef), qui s'est achevé dimanche dans la station des Grisons, s'est tenu sur fond de révolte en Égypte, où l'aspiration à la démocratie est durement réprimée. Les délégations arabes présentes à Davos se sont pourtant montrées discrètes. Deux ministres tunisiens et le gouverneur de la Banque centrale ont ainsi refusé samedi de s'exprimer sur l'Égypte. Le Wef s'est aussi déroulé à l'ombre de la menace terroriste : le président russe Dmitri Medvedev est venu mercredi vanter les mérites de son pays auprès des investisseurs, deux jours après l'attentat attribué aux rebelles originaires du Caucase qui a frappé l'aéroport de Moscou.

L'Asie s'impose

Sur le volet des crises, aucun des chantiers abordés à l'édition Davos 2010 n'a avancé : la reconstruction de Haïti a échoué, la guerre ne ralentit pas en Afghanistan, le Proche-Orient est dans l'impasse, avec une menace de reprise des troubles au Liban, et l'Iran maintient son intransigeance sur son programme nucléaire. D'autres conflits se sont ajoutés, comme la lutte de pouvoir entre deux présidents en Côte d'Ivoire, où "beaucoup est en jeu" pour l'Afrique, selon Ban Ki-moon.

Les émergents asiatiques, Chine et Inde, ont illustré par leur forte présence le glissement du pouvoir économique mondial vers l'Asie. Les Chinois se sont montrés coopératifs en acceptant de contribuer dans le cadre du G20, que préside cette année le président français Nicolas Sarkozy, à un meilleur équilibre mondial des échanges et des investissements. Le ministre chinois du Commerce Chen Deming a ainsi promis une augmentation des importations chinoises dans le cadre de ce rééquilibrage tant attendu de l'économie mondiale.

Sauver l'euro

Davos a aussi été cette année l'occasion pour les Européens de prouver leur engagement en faveur de l'euro, "notre monnaie", a assuré la chancelière allemande Angela Merkel, au lendemain d'un engagement similaire du président Sarkozy à défendre l'euro. Les Européens semblent cependant toujours divisés sur les remèdes à apporter pour en finir avec la crise de la dette, qui a éclaté l'an dernier avec la Grèce et l'Irlande. Angela Merkel a surtout plaidé pour la rigueur, la discipline et la convergence économique et budgétaire, au lendemain d'un appel à la solidarité lancé par le Premier ministre grec George Papandreou, qui a surtout souligné combien la Grèce avait, dans la douleur, fait tout ce qui lui avait été demandé par ses partenaires et le Fonds monétaire international (FMI).

Sur les thèmes du développement durable, des transferts de technologies, du climat, de l'énergie, de la sécurité alimentaire, de la régulation des cours des matières premières, notamment agricoles - que Nicolas Sarkozy a mise en tête de ses ambitions dans le cadre du G20 -, les décideurs venus du monde entier ont paru n'avoir guère progressé tout au long des débats. Certes, constat a été fait que le mode de consommation sans limites du monde développé devait finir, mais on ne peut exiger des pays en développement qu'ils renoncent à l'aspiration à la prospérité, ni d'un paysan pauvre du Sud qu'il "utilise une chandelle en quinze jours au lieu de deux", a objecté le milliardaire et philanthrope américain Bill Gates.

Josué

Josué
Administrateur

a regarder.
http://www.syti.net/EtatPlanete.html

Josué

Josué
Administrateur

[img]les catastrophes dans le monde. Laplante001 [/img]

Josué

Josué
Administrateur

listes des tremblement de terre.
http://www.thehorizonproject.com/earthquakes.cfm

Josué

Josué
Administrateur

25 ans après, les retombées de Tchernobyl restent un danger pour l'environnement
Les retombées de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl restent un risque environnemental encore peu étudié un quart de siècle après cet accident, selon les experts.



AFP/Archives
Castors, daims, chevaux sauvages, hiboux, aigles et autres animaux sont revenus dans la zone d'exclusion de 30 kilomètres autour de la centrale, depuis que les hommes ont fui et que la chasse a été interdite.

Mais "Tchernobyl n'est pas du tout un havre pour la vie sauvage", met en garde Tim Mousseau, professeur de biologie à l'Université de Caroline du Sud (Etats-Unis), un des rares scientifiques ayant analysé en profondeur la biodiversité autour de la centrale.

"Il y a bien moins d'animaux et bien moins de sortes d'animaux qu'on pourrait s'y attendre", ajoute le biologiste, auteur du plus grand recensement de la vie sauvage effectué dans la zone d'exclusion.

Ce travail montre que le nombre de mammifères a diminué et que la biodiversité des insectes, y compris bourdons, sauterelles, papillons et libellules, a aussi baissé.

Selon une autre étude publiée en février, Tim Mousseau et ses collègues ont capturé 550 oiseaux de 58 espèces sur huit sites différents et mesuré leur tête pour déterminer le volume de leurs cerveaux.

Les oiseaux vivant dans les "points chauds", zones de plus forte contamination radioactive, avaient des cerveaux 5% plus petits que ceux vivant dans des zones où le niveau de radiation était normal. La différence était particulièrement forte parmi les oiseaux de moins d'un an.

Avoir un cerveau plus petit peut réduire les capacités cognitives et donc la survie. "C'est clairement lié au niveau de contamination", estime M. Mousseau, évoquant des "conséquences pour l'écosystème dans son ensemble" et la nécessité de l'étudier.

Il regrette que le financement de la recherche occidentale sur les impacts de Tchernobyl sur l'environnement se soit effondré et que de nombreuses études d'Europe de l'Est ne soient jamais traduites en anglais.

Poussières et cendres radioactives ont été disséminées sur plus de 200.000 km2 après l'explosion du réacteur 4 de la centrale de Tchernobyl le 26 avril 1986. L'Ukraine, le Belarus et la Russie ont été les pays les plus touchés, mais des dépôts de particules radioactives ont été relevés jusqu'en Ecosse ou en Irlande.

Même dans la zone d'exclusion autour de la centrale la contamination n'est pas uniforme. Certaines zones sont relativement propres. Quelques centaines de mètres plus loin, il peut y avoir des "points chauds" avec des radiations nettement plus élevées, à cause des vents, de la pluie ou de la chute de feuilles qui avaient piégé des particules radioactives.

Les principaux risques sont dus au césium 137 et à un moindre degré au strontium 90, deux éléments dont la radioactivité décroît lentement, selon l'Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).

Les particules radioactives passent du sol aux racines des plantes, puis aux animaux qui s'en nourrissent et aux hommes qui mangent leur viande ou boivent leur lait.

Intégré aux os et aux organes, le césium 137 émet des rayonnements alpha qui peuvent endommager l'ADN de cellules proches, augmentant le risque de tumeurs. Ou de transmission à la génération suivante d'un ADN muté.

"La contamination diminue, mais il faudra des dizaines d'années pour que la nature la ramène à des niveaux sans danger", déclare le directeur de l'Institut ukrainien de radiologie agricole Valéry Kashparov.

Josué

Josué
Administrateur

Nucléaire civil : Tchernobyl, 25 ans après
Publié le 28.04.2011
Consultez le dossier intitulé "les leçons de Tchernobyl" réalisé à destination du grand public par l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Le 26 avril 1986, l’un des 4 réacteurs qui composent la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, explosait accidentellement lors d’un essai technique. Le panache radioactif qui s’est alors formé a conduit à la dissémination progressive d’éléments radioactifs (iode 131, césium 134, césium 137) sur la plupart des pays d’Europe.
Ce dossier offre une vision d’ensemble de l’accident et de ses conséquences sanitaires et environnementales. Sont ainsi abordés : le déroulement de l’accident et les rejets radioactifs générés, la contamination consécutive des lieux et de la chaine alimentaire, l’état du site aujourd’hui, les conséquences de l’accident en France, ainsi que les leçons qui en ont été tirées en matière de gestion de crise et d’évaluation de la sûreté des réacteurs nucléaires.
Créé en 2002, l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a notamment pour mission de contribuer à l’information du public sur les risques nucléaires et radiologiques (publications, site internet, expositions, colloques, etc). Il réalise également des expertises et des recherches dans les domaines suivants : la surveillance radiologique de l’environnement, la prévention des accidents majeurs dans les installations nucléaires, ainsi que la sûreté des usines, des laboratoires, des transports et des déchets.
Les leçons de Tchernobyl
Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN)

Josué

Josué
Administrateur

USA: avec 303 morts, les tornades les plus meurtrières depuis près de 40 ans
Les tornades qui ont balayé ces derniers jours le sud-est des Etats-Unis ont fait 303 morts selon un bilan établi vendredi, ce qui en fait les plus meurtrières depuis près de 40 ans et porte le bilan des intempéries à 313 morts.
http://news.fr.msn.com/m6-actualite/monde/article.aspx?cp-documentid=157221577

samuel

samuel
Administrateur

[img]les catastrophes dans le monde. Tornades001 [/img]

Aude

Aude

Admin a écrit:listes des tremblement de terre.
http://www.thehorizonproject.com/earthquakes.cfm

Une autre version des raisons lol!

les catastrophes dans le monde. P9uXJ

Josué

Josué
Administrateur

[img]les catastrophes dans le monde. Innodation001 [/img]

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

On entend très peu parler de toutes les catastrophes. Dans les faits, il y a beaucoup plus de conséquences que ce que l'on entend.

Saviez-vous qu'une théorie relie les humains comme principaux responsables des tremblements de terre ? (Autre que les relations sexuelles tortill )

Les gaz à effets de serre font fondre les calottes de glaces au nord et au sud, le niveau des océans augmente. Mais un augmentation, ne serait-ce que 1 mm représente des milliards de milliards de tonnes d'eau de plus sur les océans, ce qui fait pression sur les côtes (les plaques tectoniques). En effet, il est admis que les océans se sont formés dans les endroits où le sol est le plus fragile, entre diverses plaques tectoniques.

En poussant une plaque, les tremblements de terre se provoquent par la rupture de faille sur les points de tension. La pression sur le magma augmente aussi de façon notable dans certaines régions ce qui favoriserait, sur une courte période (de quelques centaines d'années) l'augmentation du nombre d'éruption volcanique, toutefois, le nombre serait sensiblement le même sur une longue période (c'est une provocation).

Sur cette théorie plutôt très crédible de la masse de l'eau, on peut raisonnablement croire, que si la terre fût un jour couverte d'eau à cause du déluge, que cette eau a enfoncé le sol aux endroits fragiles, créant des fosses propices à des lacs sous l'eau, et ceux-ci s'agrandissant, elles ont pris de plus en plus de profondeur et de grandeur, tassant les plaques tectoniques et laissant place à ce qu'on appelle aujourd'hui LES OCÉANS. Se mouvement se serait produit rapidement (sur quelques années ou dizaines d'années) et aurait probablement créé aussi beaucoup de montagnes.

Cela n'est que théorique, mais on ne doute pas, parfois, de l'impact de nos actions.

Ironiquement, la fonte des glaces découvrant le sol, le sol absorbant beaucoup plus la chaleur, la température augmente de plus en plus vite et le processus s'accélère. D'ici 50 à 100 ans, nous serons plongé dans une profonde époque chaude, mais le processus, apparemment est plus naturel qu'on ne le pense de façon général. Cela dit, avec le paradis, on n'a pas raison de s'inquiéter.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

Josué

Josué
Administrateur

[img]les catastrophes dans le monde. 30376460600735866 [/img]

Afrique: Inondations dévaster la capitale du Ghana.
Cinq personnes ont été confirmées mortes après les pluies torrentielles encore exposé le système de drainage pauvres dans la capitale du Ghana, Accra. L'un était dit avoir été électrocuté alors qu'il tentait de sauver son réfrigérateur à partir des eaux d'inondation, NADMO patron Kofi Portuphy dit. Quatre autres ont également été confirmées mortes. Le président John Mills a commencé mercredi matin une visite de la capitale pour voir de première main les effets dévastateurs des inondations, mardi soir a laissé dans son étouffé des drains. Son premier port d'escale a été le Cercle Kwame Nkrumah, où les inondations ont repris les routes rendant unmotorable. Le président dit que le gouvernement est préoccupé par la situation des résidents touchés, Joy Nouvelles présidentielles Correspondant Seth Kwame Boateng signalés. Mills Président a également assuré les résidents d'être calme. Le président Mills appel aux victimes des inondations de rester calme que les efforts sont fait pour son sauvetage et lui offrir son aide. "Vous avez vu de nous tous ici en raison de la préoccupation que nous avons pour cette situation plutôt inquiétante. Tout d'abord, je tiens à transmettre nos sympathies aux familles qui ont perdu des personnes et je voudrait réitérer l'appel par le ministre de l'Intérieur, restez où vous êtes afin que vous puissiez tirer le maximum des efforts de sauvetage qui sont en cours ", at-il dit. Le président a félicité NADMO, la Assemblée métropolitaine d'Accra (AMA), le Service d'incendie, Régiment ingénieurs pour leurs efforts à aider les victimes des inondations. Il a assuré que "le gouvernement fera tout en son pouvoir pour apporter à cette situation sous contrôle." De graves inondations suite à des pluies massives qui tombait sur ​​la partie sud du pays ce matin, a quasiment apporté Accra à une impasse. Rapports et appels de détresse de plusieurs banlieues de la capitale indiquent la perte de vies humaines et destructions de biens, avec beaucoup de naufragés sur les toits. Certaines routes ont été coupées forçant les navetteurs se rendant au centre-ville de trouver des routes alternatives. Accra maire Alfred Vanderpuije demandé aux habitants de la capitale d'éviter de voyager à la ville si elle était très nécessaire. ministre de l'Éducation, Betty Mould-Iddrisu plus tôt ce matin annoncé sur Joy FM, la fermeture d'écoles dans la capitale. Elle a dit le ministère était préoccupé par la sécurité des élèves et des enseignants. Vice ministre des Transports a également annoncé Dzifa Attivor une suspension des services ferroviaires. Un certain nombre d'organisations dans la capitale ont aussi eu leurs locaux inondés. La gestion du Ghana message affirme que le bureau de poste principal Accra restera fermée suite aux inondations là-bas. Le bureau de Vodafone à proximité du Cercle Kwame Nkrumah, est également inondé.

Josué

Josué
Administrateur

[img]les catastrophes dans le monde. Att00006vy [/img]
la vie continue.

Josué

Josué
Administrateur

[img]les catastrophes dans le monde. Innodation2001 [/img]

Josué

Josué
Administrateur

[img]les catastrophes dans le monde. Thailandsworstflood1149 [/img][img]les catastrophes dans le monde. Thailandsworstflood1149 [/img]

Josué

Josué
Administrateur

[img]les catastrophes dans le monde. Thailandsworstflood1149 [/img][img]les catastrophes dans le monde. Thailandsworstflood1149 [/img]

Pro-TJ

Pro-TJ

BJR

Ce reportage qui se veut positif montre "la fragilité de la vie sur terre en 2010".
Une année exceptionnellement catastrophique de plus !
(diffusé le 4 janvier 2011 sur France2)

http://www.playtv.fr/programme/102588-2010-une-annee-sur-la-terre.html

Chris Smile

Josué

Josué
Administrateur

depuis 10 ans les catastrophes ont fait 700000 morts.

Pro-TJ

Pro-TJ

Admin a écrit:depuis 10 ans les catastrophes ont fait 700000 morts.

Smile

Sans parler des conséquences sur les rescapés et le système écologique.
Et de dire aussi qu'une partie des catastrophe sont les conséquences de la façon dont vivent les humais en général.

Chris Smile

Josué

Josué
Administrateur

S’il y avait une pointe d’optimisme dans la presse de la semaine dernière, l’amélioration entrevue, semble compromise aujourd'hui et la réalité c’est que l’eau continue de se répandre dans le grand Bangkok, atteignant Chatuchak et Lat Phrao et se dirigeant maintenant vers le centre des affaires de la capitale.

Ce n’est plus une simple bataille contre l’eau, c’est un combat de titans. L’homme avec ses fragiles digues et remparts de sacs de sable contre la nature, une nature sourde qui avance inéluctablement de un à deux kilomètres par jour.

La station des bus de Mor Chit - avec ses milliers de bus, qui, à la nuit tombée, s’ébranlent vers le nord et le nord-est dans un nuage de gaz toxique, impressionnante dans la lumière glauque du petit matin, lorsqu’ils rejoignent la capitale – la station Mor Chit donc, risque d’être déplacée vers l’aéroport international Suvanabhumi. Elle n’est pas inondée, mais des routes y menant le sont, rendant les déplacements très éprouvants pour les voyageurs.

Rama II qui est un des axes principaux de la capitale reliant le sud aux provinces du nord, risque d’être inondée dans les deux jours, le gouvernement va donc devoir trouver d’autres routes pour assurer le transport de marchandises dans ce sens.

« Maigre consolation » lit-on sous la plume d’un éditorialiste du Bangkok Post « Vous bangkokiens, en dépit de ce fiasco, vous souffrirez moins longtemps que les villageois de la province de Phichit par exemple où de nombreux districts sont toujours noyés depuis 5 mois » !

« C’est bien de sauver l’industrie à tout prix, mais ce serait une erreur de ne pas penser davantage aux fermiers. Combien il est important de garder et de protègera ce secteur lorsque tant d’incertitudes pèsent sur l’économie du pays » (Bangkok Post)

Il y a 20 ans, la Thaïlande était un pays essentiellement agricole. En deux décennies elle est devenue un pays industriel « mais il ne faut pas oublier que durant la pire crise asiatique de 1997, le secteur agricole a servi de tampon. Combien d’ouvriers sont alors retournés au village. Si ce secteur était aussi détruit, quelle position de repli resterait-il aux millions de gens frappés par cette catastrophe, en attendant la réhabilitation des usines et de l’industrie ?

Chiang Mai en revanche ne semble pas souffrir de ce désastre, du moins apparemment. Avec mon ami nous avons tenté un dîner du côté du Night Bazar hier soir, pour la première fois j’ai vu le centre Galare archicomble. Plateau en main, des touristes désespérés, attendaient qu’une table se libère. La circulation dans mon quartier de Nimhanheimnin est à son comble, de jour comme de nuit, un vrai problème pour traverser en tant que piéton. Ce quartier est en train de connaître un boom immobilier, sans précèdent (repli des bangkokiens sur cette ville depuis 1 ou 2 ans), avec bétonisation à tout-va, sans qu’aucun système de circulation ne soit prévu. Et, comme les thaïs gardent toujours leur bonne-humeur – pourquoi s’en faire pour quelque chose qu’on ne contrôle pas ? - mon ami disait à qui voulait l’entendre : conducteur de tuk-tuk, marchands du night bazar : « Chiang Mai dja pen meuang louang prathet thai to pai nai pi na » : « Chiang Mai sera la capitale du pays l’année prochaine » ! : CHIANG MAI MAHA NAKORN (Chiang Mai la grande ville !) contre KRUNGTHEP MAHA NAKORN (Cité des anges, la grande ville)
http://www.lepost.fr/article/2011/11/04/2629811_l-optimisme-n-est-pas-de-mise.html#xtor=EPR-344-[NL_1144]-20111104

Pro-TJ

Pro-TJ

La liste est sans fin ... Sad

C'est ou "le centre Galare" ?

Chris :

Admin a écrit:S’il y avait une pointe d’optimisme dans la presse de la semaine dernière, l’amélioration entrevue, semble compromise aujourd'hui et la réalité c’est que l’eau continue de se répandre dans le grand Bangkok, atteignant Chatuchak et Lat Phrao et se dirigeant maintenant vers le centre des affaires de la capitale.

Ce n’est plus une simple bataille contre l’eau, c’est un combat de titans. L’homme avec ses fragiles digues et remparts de sacs de sable contre la nature, une nature sourde qui avance inéluctablement de un à deux kilomètres par jour.

La station des bus de Mor Chit - avec ses milliers de bus, qui, à la nuit tombée, s’ébranlent vers le nord et le nord-est dans un nuage de gaz toxique, impressionnante dans la lumière glauque du petit matin, lorsqu’ils rejoignent la capitale – la station Mor Chit donc, risque d’être déplacée vers l’aéroport international Suvanabhumi. Elle n’est pas inondée, mais des routes y menant le sont, rendant les déplacements très éprouvants pour les voyageurs.

Rama II qui est un des axes principaux de la capitale reliant le sud aux provinces du nord, risque d’être inondée dans les deux jours, le gouvernement va donc devoir trouver d’autres routes pour assurer le transport de marchandises dans ce sens.

« Maigre consolation » lit-on sous la plume d’un éditorialiste du Bangkok Post « Vous bangkokiens, en dépit de ce fiasco, vous souffrirez moins longtemps que les villageois de la province de Phichit par exemple où de nombreux districts sont toujours noyés depuis 5 mois » !

« C’est bien de sauver l’industrie à tout prix, mais ce serait une erreur de ne pas penser davantage aux fermiers. Combien il est important de garder et de protègera ce secteur lorsque tant d’incertitudes pèsent sur l’économie du pays » (Bangkok Post)

Il y a 20 ans, la Thaïlande était un pays essentiellement agricole. En deux décennies elle est devenue un pays industriel « mais il ne faut pas oublier que durant la pire crise asiatique de 1997, le secteur agricole a servi de tampon. Combien d’ouvriers sont alors retournés au village. Si ce secteur était aussi détruit, quelle position de repli resterait-il aux millions de gens frappés par cette catastrophe, en attendant la réhabilitation des usines et de l’industrie ?

Chiang Mai en revanche ne semble pas souffrir de ce désastre, du moins apparemment. Avec mon ami nous avons tenté un dîner du côté du Night Bazar hier soir, pour la première fois j’ai vu le centre Galare archicomble. Plateau en main, des touristes désespérés, attendaient qu’une table se libère. La circulation dans mon quartier de Nimhanheimnin est à son comble, de jour comme de nuit, un vrai problème pour traverser en tant que piéton. Ce quartier est en train de connaître un boom immobilier, sans précèdent (repli des bangkokiens sur cette ville depuis 1 ou 2 ans), avec bétonisation à tout-va, sans qu’aucun système de circulation ne soit prévu. Et, comme les thaïs gardent toujours leur bonne-humeur – pourquoi s’en faire pour quelque chose qu’on ne contrôle pas ? - mon ami disait à qui voulait l’entendre : conducteur de tuk-tuk, marchands du night bazar : « Chiang Mai dja pen meuang louang prathet thai to pai nai pi na » : « Chiang Mai sera la capitale du pays l’année prochaine » ! : CHIANG MAI MAHA NAKORN (Chiang Mai la grande ville !) contre KRUNGTHEP MAHA NAKORN (Cité des anges, la grande ville)
http://www.lepost.fr/article/2011/11/04/2629811_l-optimisme-n-est-pas-de-mise.html#xtor=EPR-344-[NL_1144]-20111104

Josué

Josué
Administrateur

Les catastrophes naturelles de 2011 en photos
Le 15/12/2011 - Rita SantourianRéagissez !
Tsunami, tremblements de terre, tempêtes... l'année 2011 a connu un nombre important de catastrophes naturelles dont beaucoup ont été meurtrières. Voici les photos les plus impressionnantes de ces événements qui ont marqué le monde entier cette année.
http://www.planet.fr/dossiers-de-la-redaction-les-catastrophes-naturelles-2011-en-photos.144305.1466.html?xtor=ES-1-140191[Planet-a-la-Une]-20111217

29les catastrophes dans le monde. Empty image la plus marquante de 2011. Mer 21 Déc - 18:02

Josué

Josué
Administrateur

[img]URL=https://2img.net/r/ihimg/photo/my-images/404/h326646421324390876.jpg/]les catastrophes dans le monde. H326646421324390876[/URL] [/img]

Josué

Josué
Administrateur

[img]les catastrophes dans le monde. 845150aboyswimsinthealg [/img]

Absent



publié le 19/01/2012 à 05:00 (Républicain-Lorrain)

L’année des catastrophes

Les pertes économiques consécutives à des catastrophes naturelles ont atteint un niveau record l’an passé, à hauteur de 286 milliards d’euros, estime l’ONU. En 2011, l’organisation a enregistré quelque 302 catastrophes naturelles qui ont provoqué le décès de 29 782 personnes, affecté quelque 260 millions d’êtres humains et infligé des coûts économiques record. Le séisme qui a frappé le Japon en mars représente la plus grande part (210 milliards de dollars) des pertes économiques. Une grande majorité des pertes humaines sont liées à des tremblements de terre : 20 943 (dont 19 846 au Japon) sur 29 782.

Josué

Josué
Administrateur

Absent a écrit:publié le 19/01/2012 à 05:00 (Républicain-Lorrain)

L’année des catastrophes

Les pertes économiques consécutives à des catastrophes naturelles ont atteint un niveau record l’an passé, à hauteur de 286 milliards d’euros, estime l’ONU. En 2011, l’organisation a enregistré quelque 302 catastrophes naturelles qui ont provoqué le décès de 29 782 personnes, affecté quelque 260 millions d’êtres humains et infligé des coûts économiques record. Le séisme qui a frappé le Japon en mars représente la plus grande part (210 milliards de dollars) des pertes économiques. Une grande majorité des pertes humaines sont liées à des tremblements de terre : 20 943 (dont 19 846 au Japon) sur 29 782.
Et après ça ils chantent ( tout va très bien madame la marquise) cat

Céface



Bientôt la FIN ...!

christelle

christelle


Typhon aux Philippines: 37 morts, selon un bilan provisoire
Belga | 03 Août 2012 10h31


Le passage du typhon Saola à proximité des Philippines cette semaine a causé la mort d'au moins 37 personnes, un bilan qui pourrait s'alourdir en raison de nouvelles pluies, a indiqué le gouvernement vendredi.
Les pluies de la mousson continuaient de s'abattre vendredi sur le nord et le centre de l'archipel, pour la sixième journée consécutive, bien que le typhon ait quitté les Philippines pour aller vers Taïwan, où six personnes sont mortes jeudi. Selon Benito Ramos, le chef de la défense civile, le bilan devrait s'alourdir car plusieurs personnes étaient portées disparues. En outre, bien que le typhon ait quitté l'archipel, son influence continuait de se faire sentir et renforçait les pluies de la mousson, a indiqué le Conseil de gestion et de réduction des risques de désastre national. Une vingtaine de typhons frappent les Philippines chaque année pendant la saison (été et automne). Les derniers, en septembre 2011, Nesat et Nalgae, ont causé la mort d'au moins 101 personnes, et des dizaines de milliers d'autres n'ont pu regagner leurs logements à cause des inondations, ont indiqué dimanche les autorités. En 2009, la tempête tropicale Ketsana, qui avait noyé une grande partie de Manille sous les eaux, avait fait 464 victimes. (JAY DIRECTO)

http://www.rtl.be/info/monde/international/897454/typhon-aux-philippines-37-morts-selon-un-bilan-provisoire

Je pense et prie pour nos frères et soeurs qui sont dans ce pays et bien d'autres Sad

Josué

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Administrateur

c'est étrange les médias parlent plus des jeux olympique que de cette catastrophe.

christelle

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Josué a écrit:c'est étrange les médias parlent plus des jeux olympique que de cette catastrophe.


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Psalmiste

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Josué a écrit:c'est étrange les médias parlent plus des jeux olympique que de cette catastrophe.

Les JO ça fait vendre... ; pas les catastrophes Sad

christelle

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Psalmiste a écrit:
Josué a écrit:c'est étrange les médias parlent plus des jeux olympique que de cette catastrophe.

Les JO ça fait vendre... ; pas les catastrophes Sad

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Josué

Josué
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NEW YORK (AP) - Une tornade a balayé de la mer et a frappé un quartier en bord de mer dans la ville de New York, samedi, lançant des débris dans l'air, des pannes d'électricité et les résidents surprenantes qui, une fois pensé comme un phénomène tornades du Midwest.
Les pompiers ont été en train d'évaluer les dégâts samedi, mais une heure après qu'il a frappé il y avait encore signalé aucune blessure et la zone affectée par la tempête semblait petite.
Vidéos prises par des témoins a montré un nuage en entonnoir jetant du sable et de débris dans l'air, et peut-être de petits morceaux de bâtiments, pendant qu'il se déplaçait à travers la section de Breezy Point de la péninsule Rockaway dans le Queens.
"C'était fou", a déclaré Joseph quartier résident Mure, qui était dans la douche quand la tempête a frappé, et je suis sorti pour prendre une photo de l'entonnoir en retraite. "Il y avait beaucoup de sirènes allant au loin. Vous pouviez voir le faire tourner."
Incendie fonctionnaires du Département dit qu'il y avait des lignes électriques vers le bas et peut-être d'autres dommages.
Image source: Instagram user zach12roseles catastrophes dans le monde. Ny-tor10

samuel

samuel
Administrateur

2014 risque bien d'être une année à insectes
Mis à jour le 28.03.14
L'hiver relativement doux qui se termine paraît propice à une invasion d'insectes.

Si les tiques vont pulluler, les conditions semblent moins bonnes pour les moustiques, qui manqueraient de plans d'eau stagnante pour se multiplier. (Photo: Keystone)
Les insectes partent d'un bon pied cette année, relève Giselher Grabenweger, collaborateur au programme de lutte biologique contre les ravageurs à l'Institut Agroscope. Cela vaut autant pour les organismes utiles que pour les nuisibles, complète l'entomologiste.

Si les ravageurs profitent des bonnes conditions hivernales, leurs ennemis naturels aussi.

Certains hivers aux températures douces peuvent en effet rendre la vie assez dure aux ravageurs, victimes d'insectes prédateurs comme la coccinelle ou l'ichneumon, une sorte de mini-guêpes. Certains agents pathogènes comme des champignons, des bactéries ou des virus peuvent aussi leur être fatals.

Les insectes indigènes sont armés pour passer l'hiver. Les oeufs de pucerons résistent sans problème aux basses températures. Mais cette année, des individus au stade adulte pourraient bien avoir hiberné, ce qui pourrait entraîner des colonisations plus précoces.

Attaques violentes

Si les conditions météo sont réunies, les attaques contre la végétation pourraient être particulièrement violentes ce printemps avec plusieurs générations d'individus à la clé. En outre, après un hiver doux, les pucerons adultes peuvent être porteurs de virus qui affaiblissent encore davantage les céréales.

Les tiques comme plein d'autres insectes piqueurs risquent aussi d'être précoces cette année en forêt. Avis aux promeneurs et amateurs de jogging, avertit Giselher Grabenweger. En revanche, les conditions semblent moins bonnes pour les moustiques, qui manqueraient de plans d'eau stagnante pour se multiplier.

Trop froid pour les invasifs

En ce qui concerne les espèces invasives, comme le moustique tigre venu d'Asie, ils ne seraient pas en mesure de passer l'hiver sous nos latitudes. Cela quand bien même des individus ont pondu des oeufs jusqu'en Suisse alémanique l'an dernier.

En revanche il en va tout autrement du capricorne asiatique qui semble apprécier nos contrées et fait de plus en plus régulièrement parler de lui. La lutte contre sa propagation est toujours de mise.

chico.

chico.

Après avoir livré en septembre les dernières données sur l’ampleur sans précédent du réchauffement, les experts sur l’évolution du climat (Giec) dévoilent lundi matin à Yokohama (Japon) leur diagnostic sur les impacts d’un tel changement. Un document crucial à un an et demi de la conférence de l’ONU sur le climat qui doit se tenir à Paris. Ses conclusions, très préoccupantes, devraient pousser la communauté internationale à s’engager, enfin, dans la capitale française sur un accord mondial et contraignant pour bloquer la hausse du mercure à 2 degrés à l’horizon 2100.
Eau : le Sud mis à sec
Le niveau de recharge en eau des rivières et des nappes phréatiques des régions tropicales sèches va diminuer dans la plupart des cas. La sécurité alimentaire des pays du Sud pourrait être menacée et, avec elle, leur croissance économique, particulièrement dans les pays en voie de développement. Au nord, la modification des régimes des précipitations devrait augmenter le niveau des réserves en eau et... la fréquence des inondations.
Des zones littorales sous risque d’inondations
Les personnes et les biens exposés au risque de submersion « va croître de façon significative dans les prochaines décennies », selon le « Résumé pour les décideurs politiques » du rapport du Giec. Vers 2100, l’Est, le Sud-Ouest et le Sud de l’Asie concentreront les territoires les plus affectés par les inondations et l’érosion côtière. A l’échelle planétaire, une des toutes dernières versions de ce résumé estimait que les populations menacées passerait de 271 millions d’individus en 2010 à 345 millions en 2050. Elle évaluait le coût de ces submersions à 300 milliards de dollars pour une élévation de 1,26 mètre du niveau de mer. Une facture susceptible d’être ramenée à 90 milliards par des mesures d’adaptation.
Pêche : une ressource de plus en plus disparate
Avec le réchauffement, de plus en plus d’espèces devraient remonter les mers sous des latitudes élevées. Dans une mouture antérieure de son rapport, le Giec estimait que ces migrations vers le nord pourraient se traduire par une hausse de 30 à 70 % du rendement des pêches dans les régions concernées. Inversement, la biodiversité marine risque de s’appauvrir dans les zones tropicales. A l’horizon 2055, le rendement de coup de filet pourrait chuter de 40 à 60 % par rapport à 2005.
Agriculture : menaces sur la sécurité alimentaire
Sauf mesures d’adaptation, les rendements des principales cultures céréalières (blé, maïs, riz) devraient diminuer dans les régions tempérées et surtout dans les zones tropicales. Localement, cependant, le réchauffement pourrait se révéler bénéfique. Le Giec mentionne des hausses de rendement de plus de 10 % sur la période 2030-2049, mais aussi des baisses de plus de 25 % par rapport au siècle passé. « A partir de 2050, le risque d’impacts plus sévères sur les récoltes va augmenter. » Les prix agricoles vont monter et leur volatilité sur les marchés va s’accroître. « L’ensemble de la sécurité alimentaire est potentiellement affectée par le changement climatique », indiquent les experts.
Une croissance refroidie par le réchauffement
Selon les estimations compilées par le GIEC, une hausse de 2 degrés des températures pourrait entraîner une perte annuelle de l’ordre de 0,2 % à 2 % du produit économique brut mondial. Cette fourchette risque davantage de s’élargir que de se réduire.
Energie : des impacts très variables
La demande en énergie pour se chauffer devrait diminuer. Inversement, elle devrait croître pour rafraîchir les logements et les commerces. L’évolution démographique de la planète et les progrès technologiques auront eux aussi un impact. Celui du réchauffement variera selon les types de production énergétique. L’état futur des disponibilités en eau et de leur température risque surtout de poser un problèmes pour les centrales thermiques et nucléaires. La fiabilité des réseaux électriques est menacée.
Une « facture sanitaire » élevée
Les vagues de chaleur, tempêtes, les inondations et incendies, qui gagneront en intensité, feront toujours plus de victimes en nombre de blessés, de malades et de morts. Les régions pauvres du globe seront particulièrement exposées à la montée attendue des pathologies mortelles liées au réchauffement.
Des risques de tensions sociales accrues
Le réchauffement, en impactant négativement la croissance économique va compromettre l’effort de réduction de la pauvreté dans le monde. Dans les pays à faible niveau de revenu, les inégalités sociales vont se creuser et ce d’autant plus que les vagues de migrations climatiques devraient s’y multiplier. Le Giec redoute l’apparition de nouvelles poches de pauvreté dont ne seraient pas exempts les pays développés. « Le changement climatique peut, indirectement, augmenter les risques de conflits violents », considèrent ses experts, pointant notamment des menaces de guerre civiles.

Josué

Josué
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En 2014, le nombre des gros séismes a doublé et les scientifiques ne savent pas pourquoi


Live Science

Traduit par Les Chroniques de Rorschach

Si vous pensez qu'il y a eu plus de tremblements de terre que d'habitude vous avez raison. Une nouvelle étude a démontré qu'il y a eu deux fois plus de grands tremblements de terre dans le premier trimestre de 2014 que par rapport à la moyenne depuis 1979.
"Nous avons récemment connu une période qui a vu l'un des taux les plus élevés de grands tremblements de terre jamais enregistré », a déclaré Tom Parsons l'auteur principal de l'étude, un chercheur en géophysique de de l'US Geological Survey (USGS) à Menlo Park, en Californie.

"Mais même si le taux de tremblement de terre mondial est à la hausse, cela peut encore s'expliquer par le hasard ", affirme Parsons et son co-auteur Eric Geist, également chercheur à l'USGS. Leurs résultats ont été publiés en ligne le 21 Juin dans la revue " Geophysical Research Letters".

Avec autant de tremblements de terre qui secouent la planète en 2014, Parsons espérait qu'il pourrait démontrer que leur augmentation avait pour origine un autre gros séisme.

Des recherches antérieures ont démontré que les ondes sismiques provenant d'un tremblement de terre peuvent voyager autour du globe et déclencher de petites secousses ailleurs.

"Alors que notre groupe s'est intéressé à la capacité d'un séisme à en déclencher d'autres à l'échelle mondiale, nous nous demandions si ce n'était pas ce qui était en train de se produire. Je m'attendais vraiment à voir des preuves de quelque chose que nous ne pouvions pas expliquer par le hasard", déclare Parsons.

Avec cette nouvelle étude, ce n'est pas la première fois que des chercheurs ont tenté vainement à établir une connexion entre un tremblement de terre et un autre plus éloigné dans le temps et dans l'espace. Des études antérieures ont démontré que les plus grands séismes de la planète - ceux de magnitude 8 et 9 - déclenchent généralement beaucoup de secousses plus petites, de magnitude 2 et 3. Cependant, personne n'a jamais prouvé que les grands tremblements pouvaient en déclencher d'autres. Trouver une relation statistique entre les grands tremblements de terre est une étape vers la preuve que de telles connexions existent.

Mais la nouvelle étude a révélé qu'en dépit du récent déluge de tremblements de terre, ils semblent toujours frapper au hasard.

Le taux moyen des grands tremblements de terre - ceux de magnitude supérieure à 7 - a été de 10 par an depuis 1979, rapporte l'étude. Ce taux est porté à 12,5 par an à partir de 1992, puis a grimpé à 16,7 par an à partir de 2010 - une augmentation de 65 pour cent par rapport au taux depuis 1979 Cette augmentation s'est accélérée au cours des trois premiers mois de 2014 pour atteindre plus du double de la moyenne depuis 1979.

Selon les scientifiques, cette hausse des tremblements de terre est statistiquement similaires aux résultats du jeu de pile ou face,

Parsons a déclaré : Parfois, pile ou face se répètent plusieurs fois de suite, même si le processus est aléatoire.

"Fondamentalement, nous ne pouvons pas prouver que ce que nous avons vu au cours de la première partie de 2014, ainsi que depuis 2010, n'est pas simplement une chose comparable à faire une suite gagnante de six coups,».

Mais Parsons a déclaré que ces résultats statistiques ne permettent pas d'exclure la possibilité que les plus grands séismes peuvent déclencher un autre sur de grandes distances. Selon lui, "Les chercheurs peuvent tout simplement ne pas disposer des données pour comprendre une telle relation au niveau global."

"Il est possible que ces relations à l'échelle mondiale se produisent si rarement que nous n'en avons pas vu assez pour en trouver parmi des événements plus rares et plus importants", a déclaré Parsons.

Les chercheurs ont toutefois constaté que les tremblements de terre plus petits que la magnitude-5.6 pouvaient se recouper à l'échelle mondiale, . Ceci suggère que ces tremblements de terre moins puissants sont plus susceptibles d'être influencés par d'autres - une constatation confirmée par des recherches antérieures.

Par exemple, il a été démontré que le nombre de tremblements de terre de magnitude 5 a bondi après les catastrophiques tremblements de terre de magnitude 9 au Japon et à Sumatra, et ce même à des distances supérieures à 1000 km.

http://fr.sott.net/article/23618-En-201 ... s-pourquoi

Josué

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24 heures de méditation planétaire au Grand Rex
 
Matthieu Stricot - publié le 22/10/2015

Un mois avant la conférence pour l’environnement COP 21 (du 30 novembre au 11 décembre à Paris), des millions de citoyens du monde se retrouveront pendant 24 heures pour méditer. Le rendez-vous parisien aura lieu au Grand Rex, à partir du 1er novembre à 8 heures. Des témoignages et de la musique, pour rappeler que la Terre est sacrée.
Notre maison commune, la Terre, est en danger. Pour partager cette conscience citoyenne et planétaire, des millions de personnes de différentes nationalités et confessions - 2 260 communautés religieuses, spirituelles ou laïques - se rassembleront le 1er novembre pour des sit-in et des méditations, partout dans le monde. À Paris, ces « 24 h de méditation pour la Terre » auront lieu au Grand Rex, du 1er novembre à 8 h au 2 novembre, même heure.

Les 2 000 personnes présentes pourront profiter de ce temps collectif pour écouter les 24 grands témoins conviés pour l’occasion. Si son emploi du temps le lui permet, Nicolas Hulot introduira l’évènement. Suivront des témoignages et des méditations guidées, de la part de personnalités de renom : le philosophe Edgar Morin, le cheikh Khaled Bentounes, le défenseur des océans Paul Watson, la chamane russe Véra Sazhina, le spationaute Jean-François Clervoy ou encore Phakyab Rinpoché, abbé du monastère bouddhiste d’Ashi et disciple du dalaï-lama. Ce dernier fera d’ailleurs don de sa présence en vidéo, tout comme Amma, grande figure spirituelle hindoue.

La clé de la réussite dépend de chaque citoyen

Qui dit spiritualité dit musique. Les témoignages seront accompagnés par de grands artistes, tels que la violoniste Virginie Robillard, la soprano Brigitte Hool, le pianiste Alexandre Rabinovitch-Barakovsky ou le compositeur-chanteur David Hykes.

Ce projet s’inscrit dans la continuité du Sommet des consciences, du Débat citoyen planétaire sur le climat et l’énergie et d’Alternatiba, le Village mondial des alternatives. Il intervient surtout un mois avant la COP 21, qui se déroulera à Paris du 30 novembre au 11 décembre prochain. Quatre-vingt seize chefs d’États et quatre mille négociateurs chercheront un accord international « contraignant et applicable à tous », afin de faire face aux dérèglements climatiques.

« Cependant, ces négociations ne serviront à rien si elles ne sont pas reprises par les entreprises, la société civile, et bien sûr, par chaque habitant, indique 24earth.org, site de l’évènement. La clé de la réussite ne pourra venir que par les changements de comportements des concitoyens du monde, guidés par leur conscience, guide et moteur de leur engagement. » Cet engagement, chacun peut l’incarner par la méditation. Un acte concret, simple et immédiat. Qu’elle soit laïque ou spirituelle, la démarche permet de prendre conscience du lien de chacun avec les autres et la planète. Nos actes individuels ont des impacts écologiques et sociaux. L’humanité ne pourra s’en sortir sans fraternité.

samuel

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Les catastrophes naturelles sont-elles une punition de Dieu?
Réponse de la Bible
La Bible n’enseigne pas que Dieu provoque les catastrophes naturelles qui font l’actualité. Et les châtiments divins dont elle parle n’ont rien à voir avec les catastrophes naturelles. Notez ces trois points :

Dieu n’agit pas à l’aveuglette. « L’homme voit ce qui paraît aux yeux, dit la Bible, mais Jéhovah, lui, voit ce que vaut le cœur » (1 Samuel 16:7).
Dieu lit dans les cœurs et fait périr seulement les humains qu’il juge mauvais (Genèse 18:23-32).
Dieu prévient toujours avant d’intervenir ; il donne ainsi à ceux qui l’écoutent la possibilité d’avoir la vie sauve.
À l’inverse, les catastrophes naturelles ne préviennent pas, ou presque pas ; elles tuent et mutilent aveuglément. Qui plus est, ces catastrophes sont aggravées par le facteur humain. En effet, l’homme détériore l’environnement et construit dans des zones sujettes aux séismes, aux inondations et aux intempéries.

Josué

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Administrateur


Etant omniscient ,Jéhvah peut prévoir les consequences des entreprise des humains et en annoncer l'issue.

(Isaïe 42:9) 9 “ Les premières choses — les voilà venues, mais j’annonce des choses nouvelles. Avant qu’elles ne se mettent à germer, je vous [les] fais entendre. ”
1 les humains gaspillent les ressources en maltraitant l'environement qui devient plus sensible aux catastrophes.
2 les gens adoptent une attitude qui les rends plus vulnérables lors d'une catastrophe.
3 les hommes ne tiennent pas compte des avertissements ce qui rend les catastrophes encore plus destructrices.
L 'homme lui même est souvant responsable des catastrophes avec leur lour tribut en vies humaines et aussi en bien.

Josué

Josué
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Ca s’est passé en 2015 : catastrophes en série en Chine
CLAUDE FOUQUET / JOURNALISTE | LE 27/12 À 10:16
Explosions de Tianjin, glissement de terrain de Shenzen, pics de pollution... L'année 2015 ne laissera sans doute pas de bons souvenirs à Pékin. Au delà du ralentissement inéluctable de l'économie du pays.
On ne peut sans doute pas parler totalement d’"annus horibilis" mais, de toute évidence, 2015 restera pour la Chine une année bien noire en matière d'activité industrielle. Les catastrophes de Shenzen et de Tianjin pointent du doigt la manière dont jusqu'à maintenant les autorités chinoises ont géré le développement économique au niveau local. Au point que le 22 décembre, un communiqué publié à l'issue de la Conférence centrale sur le travail urbain, donne la priorité à "la sécurité dans la gestion des villes". Tandis que, moins médiatisée, la multiplication des conflits sociaux illustre un aspect méconnu des conséquences du ralentissement chinois.
A Shenzhen, une trentaine d'immeubles engloutis par un glissement de terrain
La dernière catastrophe en date est encore dans toutes les têtes. Le dimanche 20 décembre, un glissement de terrain a fait s'écrouler comme des châteaux de carte une trentaine d'immeuble de la zone industrielle de Shenzhen . Quelques jours après ce drame, on compte encore 74 disparus et "seulement" deux morts et un survivant. Un bilan qui paraît peu lourd à l'aune de l'ampleur de la zone de la catastrophe qui couvre plusieurs hectares.
Plus de 4.000 secouristes et une centaine de camions de pompiers sont mobilisés sur place pour tenter de retrouver d'autres survivants après ce drame qui, une fois de plus, semble largement imputable à des erreurs et négligences humaines. Plusieurs médias pointent en effet du doigt la responsabilité des autorités locales ou de la société de travaux publics qui auraient été au courant de la dangerosité grandissante du site du fait de l'accumulation des débris de construction à proximité.
Pékin salue la COP 21 avec sa première alerte rouge à la pollution
C'est sans doute un symbole fort de la situation de l'environnement en Chine. Le 7 décembre, jour de l'ouverture à Paris de la Conférence sur le climat, la COP 21, Pékin connaissait sa toute première alerte rouge à la pollution. Le niveau le plus élevé d'alerte à la pollution atmosphérique. Une première qui ne restera pas longtemps unique puisque ce niveau d'alerte a une deuxième fois été mis en œuvre le 19 décembre.
Et la situation est loin de s'améliorer. Les 21 et 22 décembre, pas moins de 40 villes chinoises étaient aussi victimes du smog, un brouillard polluant concentrant des microparticules dangereuses. Parmi elles Pékin bien sûr mais aussi, pour la première fois, des villes telles que Tianjin ou bien encore Nanjing. Et les principales villes de trois provinces (le Hebei, le Henan et le Shandong) étaient de fait en état d'alerte pollution.
Le 12 août, les explosions de Tianjin ébranlent toute la Chine
Capturées par de nombreuses vidéos d'amateurs, les explosions qui ont ébranlé la zone portuaire et industrielle de Tianjin, dans la soirée du 12 août, ont marqué les esprits. Et celles montrant, le lendemain matin, le spectacle quasi post-atomique du site de l'explosion (containers soufflés comme des fétus de paille, bâtiments éventrés et écroulés, voitures calcinées ...) ont sans doute tout autant impressionné.
Au total, 173 morts ont été dénombrés (dont 104 étaient des pompiers) et des milliers de personnes ont perdu leur logement et doivent être relogées car, dans de nombreux cas, leurs appartements ont été détruits par l'explossion our par la suite pour des raisons de sécurité. Si les propriétaires de l'entrepôt à l'origine des premières explosions ont été reconnus coupables, de même que certains officiels de l'administration portuaire, les autorités de Tianjin veulent tourner la page et effacer d'une certaine manière ce mauvais souvenir : un écoparc doit voir le jour en 2016 sur les lieux du drame et un lac artificiel va être créé en lieu et place du cratère de l'épicentre de l'explosion .
Aussi spectaculaire et meurtrière soit-elle, l’explosion de Tianjin n’est que l'une des 62 explosions de sites industriels recensées dans la pays par le site de l'ONG China Labour Bulletin (sur un total de 593 accidents industriels dont plus de 90 % ont fait au moins un mort).
Lire aussi
> DIAPORAMA : les photos des explosions de Tianjin
http://www.lesechos.fr/monde/chine/021577096823-ca-sest-passe-en-2015-catastrophes-en-serie-en-chine-1187670.php

Josué

Josué
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L'homme, première cause des catastrophes naturelles
CLAUDE ALLÈGRE
Publié le 15/07/2010 à 11:18 | Le Point

La médiatisation désormais mondialisée nous garantit chaque jour notre ration de catastrophes. Un jour, c'est un séisme à Haïti, au Chili ou en Indonésie ; un autre, c'est un cyclone aux Caraïbes ; un troisième, c'est un glissement de terrain aux Philippines. Les morts s'accumulent. La catastrophe est devenue un lieu commun, ses récits font la une des médias. Cette familiarité n'est pas étrangère au catastrophisme ambiant qui remplit les têtes et n'est pas le meilleur ingrédient pour sortir l'Europe de la crise.
L'homme moderne a l'impression que la fréquence des catastrophes augmente et n'est pas loin de penser que la planète se venge des outrages dont nous la faisons souffrir !
Les catastrophes d'origine naturelle sont-elles en augmentation ? Si on mesure leur importance par le nombre de victimes ou par l'estimation des dégâts matériels, la réponse est évidemment oui. Mais il faut immédiatement ajouter que la première cause de cette augmentation, en particulier pour les inondations, est la démographie. Les hommes, ayant besoin d'espace, occupent au mépris des dangers des zones menacées. Cependant, une réglementation plus stricte n'éliminerait pas toute menace. La réglementation des zones constructibles est certes une condition nécessaire, mais elle n'est pas suffisante. A moins de ne construire que sur les collines. Il faut s'attaquer au coeur du problème, à savoir la cause même des inondations. Car, contrairement aux séismes ou aux éruptions volcaniques, dont la fréquence est restée à peu près constante, la fréquence des inondations augmente. Sans doute est-ce dû partiellement à une cause naturelle. Le changement climatique actuel, comme je le répète depuis longtemps, se caractérise beaucoup plus par la multiplication de phénomènes extrêmes que par une tendance moyenne claire.Mais l'essentiel est dû à l'homme, à son aménagement de l'espace anarchique, à la modification qu'il introduit dans le cycle naturel de l'eau.
Le réseau fluvial formé par l'arrangement hiérarchique des ruisseaux, rivières et fleuves ressemble, vu de l'espace, au réseau de nervures des feuilles d'arbre. C'est en effet cet arrangement en structure qu'on appelle fractale qui assure de manière optimale la collecte de l'eau de ruissellement et son évacuation rapide vers l'océan. Or aujourd'hui l'homme modifie ce réseau de telle manière que les chenaux qui le constituent ont des débits insuffisants en cas de gros orage. Du coup, l'eau se répand hors du réseau et inonde les alentours.
Commençons par l'amont. Lorsque l'eau de pluie se répand sur le sol, elle se divise en trois parties. Une partie s'évapore, une partie s'infiltre dans le sol, une partie ruisselle. Le premier facteur que l'homme a modifié, c'est la proportion infiltration/ ruissellement. Cette modification en faveur du ruissellement est due à l'addition de facteurs multiples.
- D'abord l'usage excessif du ciment et du goudron : un exemple typique est la région de Nîmes, où l'aménagement est si urbanisé que chaque goutte d'eau qui tombe, si elle ne s'évapore pas, finit dans le Vidourle.
- La déforestation des feuillus au profit des résineux conduit à la fabrication de sols moins épais et attaquant moins le substratum rocheux.
- Enfin, l'usage excessif d'engrais chimiques conduit à une diminution de l'épaisseur et une argilisation croissante des sols. Ces phénomènes d'imperméabilisation du sol conduisent à ne plus alimenter les nappes phréatiques et à augmenter le ruissellement. Paradoxalement, les régions qui souffrent d'inondations vont aussi souffrir de sécheresse quelques mois plus tard.
Comme l'érosion des sols cultivés est deux fois plus rapide que celle des sols sauvages, les particules arrachées au sol par l'eau et qui constituent des sables et des graviers viennent aussi s'accumuler dans le lit des rivières et des fleuves. Elles ne sont transportées vers l'aval que lors des hautes eaux et des crues. Les lits des fleuves et des rivières s'obstruent et le volume disponible pour l'eau diminue. Ce processus était tellement bien perçu par nos anciens que chaque année les villageois étaient réquisitionnés pour récurer les lits des ruisseaux et rivières et que, dans les grands fleuves comme la Garonne ou le Rhône, il y avait des dragueurs, qui maintenaient les chenaux en bon état. Cet entretien des réseaux fluviaux a disparu alors qu'on a créé tout un tas d'organismes pour aménager le territoire et s'occuper d'environnement !
Une autre mesure efficace a été de développer en amont de petits barrages de retenue permettant de réguler les débits. En Languedoc, la Compagnie du Bas-Rhône a déployé un programme dans ce sens dont l'efficacité a fait ses preuves, tout en permettant en été de stocker l'eau d'arrosage. Le développement de ces barrages a été brutalement arrêté depuis vingt ans sous la pression des écologistes militants, sous prétexte qu'ils gênaient la remontée des saumons !
Pour résumer, il est possible, sinon d'éviter, du moins d'atténuer très largement les effets des inondations. Mais il faut le vouloir. Par exemple, aux Antilles, il faut vouloir développer un réseau de prévention pour les glissements de terrain ou des mesures antisismiques, . Combien de morts seront nécessaires pour que l'on s'occupe des vrais problèmes d'environnement ?
http://www.lepoint.fr/chroniques/l-homme-premiere-cause-des-catastrophes-naturelles-15-07-2010-1217493_2.php

Josué

Josué
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Les activités humaines responsables des catastrophes naturelles
SAMEDI 7 SEPTEMBRE 2013 / PAR MALICK HAMID

Le rapport établi par des équipes scientifiques est formel : la moitié des phénomènes météorologiques extrêmes qui ont été enregistrés sur toute la planète durant l’année 2012 est liée au réchauffement climatique induit par les activités humaines.

Les équipes scientifiques, après avoir effectué une étude, ont établi un rapport qui stipule que la moitié des phénomènes météorologiques extrêmes qui ont été enregistrés sur toute la planète durant l’année 2012, notamment la sécheresse en Afrique de l’Est, est liée au réchauffement climatique induit par les activités humaines.

Ces actions exercées par l’homme sur son environnement sont principalement les émissions de gaz à effet de serre produites. 18 équipes de chercheurs ont analysé les causes des 12 événements climatiques d’intensité exceptionnelle survenus en 2012. Il s’agit entre autres des sécheresses et l’ouragan Sandy aux États-Unis, la fonte record des glaces arctiques ou les pluies diluviennes en Grande-Bretagne, en Australie, dans le nord de la Chine et au Japon. Selon l’AFP, le rapport, publié dans le "Bulletin of the American Meteorological Society", souligne que « les mécanismes météorologiques naturels et les fluctuations normales du climat ont joué un rôle clé dans ces phénomènes ». Et d’accuser les hommes. « Dans certains cas, les analyses révèlent clairement que le changement climatique induit par les émissions de gaz à effet de serre résultant des activités humaines a contribué à ces phénomènes ».

Selon ce rapport, l’impact humain sur le climat peut être en partie responsable des précipitations exceptionnelles en Australie, de la sécheresse hivernale sans précédent en Europe du Sud et de la sécheresse en Afrique de l’Est.
http://www.afrik.com/les-activites-humaines-responsables-des-catastrophes-naturelles

Josué

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les catastrophes dans le monde. Catast10

Josué

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Les responsabilités collectives de l'humanité

D'autant que les catastrophes naturelles ne sont pas toujours...aussi naturelles qu'on le dit. Et que certains aléas sont aggravés, voire déclenchés, par des initiatives humaines. Dans ces situations de crise où les responsables ne sont pas facilement identifiables, l'irrationnel surgit encore volontiers, et s'en va à la recherche de boucs émissaires. Comme au Moyen Âge. En 1910, on accusa les juifs d'être responsables des inondations de Paris. Au printemps 2001, la rumeur s'est vite répandue dans la baie de Somme que « pour préserver Paris, on nousTout le courant écologique de ces dernières années a attiré l'attention sur les responsabilités collectives de l'humanité. La terre est fragile. Nombreux sont, dans les associations, les Églises, les mouvements politiques ou scientifiques,ceux qui tirent le signal d'alarme.

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