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OCI :la loi sur le génocide arménien est un signe de l’”islamophobie”

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Josué
larose
6 participants

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larose



http://translate.google.com/translate?hl=en&sl=auto&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fen.trend.az%2Fregions%2Fmet%2Fturkey%2F1983642.html

Josué

Josué
Administrateur

larose a écrit:http://translate.google.com/translate?hl=en&sl=auto&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fen.trend.az%2Fregions%2Fmet%2Fturkey%2F1983642.html
Il me semble bien partial se sujet.

larose



Ce n'est pas le sujet en soi qui l'est; lis plutôt :

http://www.amnesty.fr/Presse/Communiques-de-presse/France-La-proposition-de-loi-sur-la-negation-du-genocide-menace-la-liberte-d%E2%80%99expression-4478

chico.

chico.

je ne suis pas tout a fait d'accord avec cette conclusion.
de toute façon en Turquie de vouloir parler et de dire que ce génocide a bien eu lieu est aussi interdit est punissable par la loi.

Josué

Josué
Administrateur

chico. a écrit:je ne suis pas tout a fait d'accord avec cette conclusion.
de toute façon en Turquie de vouloir parler et de dire que ce génocide a bien eu lieu est aussi interdit est punissable par la loi.
la réponse se trouve en partie ici.
Le difficile travail de mémoire de la Turquie face au génocide arménien.
Le projet de loi avait été soutenu par une large majorité le 22 décembre à l’Assemblée nationale. Il est depuis le lundi 23 janvir entériné par le Sénat. Prévoyant jusqu’à un an de prison et 45 000 euros d’amende, le texte a pour objectif de sanctionner la négation des génocides, parmi lesquels le génocide arménien. Or, s’il est reconnu comme tel par la France, le génocide arménien est nié par la Turquie, qui récuse et la notion de massacre planifié, et le nombre de morts avancés (1’5 millions selon les Arméniens et la majorité des historiens, 500'000 selon les Turcs).

Pour rappel, le génocide arménien s’est déroulé entre 1915 et 1916, et a été planifié et exécuté par le parti au pouvoir d’alors, les "Jeunes-Turcs". Claire Mouradian, directrice de recherche au CNRS et spécialiste de l’Arménie, explique : "le génocide est une réalité indéniable, avec une idéologie nationaliste exclusive à l’œuvre, intentionnelle et systématique, qui a déjà été démontrée par de nombreux travaux d’historiens. Au lendemain de la guerre, la Turquie elle-même a d’ailleurs mené une série de procès en cours martiale contre les criminels turcs. Si la Turquie a tant de mal à reconnaitre cette réalité aujourd’hui, c’est que l’Etat turc moderne s’est construit sur le cadavre des minorités expulsées, Arméniens, Grecs, Assyro-chaldéens, et de leur spoliation massive, avec une vision ethnique et nationaliste du territoire et de l’Etat qu’il fallait « turquifier »".

Très sensible sur cette question, Ankara a réagi au vote de l’Assemblée en rappelant pour consultation son ambassadeur et en annonçant le gel de toute coopération politique et militaire avec la France, menaçant d’autres sanctions économiques. Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a reproché à Nicolas Sarkozy de "rechercher des gains électoraux en utilisant la haine du musulman et du Turc". M. Erdogan a également accusé la France, lorsqu’elle était puissance coloniale, d’avoir orchestré "un génocide" en Algérie. Plusieurs dizaines de milliers de Français d’origine turque ont par ailleurs manifesté samedi à Paris contre le texte, dénonçant un "acharnement" à l’encontre de la Turquie.

Jean Marcou, professeur à l’IEP de Grenoble et spécialiste de la Turquie, nous explique : "la reconnaissance du génocide arménien est une question qui, en Turquie même, n’est évoquée que depuis une dizaine d’années. Avant, l’histoire officielle du kémalisme n’autorisait pas la moindre critique pour des motifs nationalistes évidents. C’est donc un sujet qui est en discussion depuis peu de temps, ce qui explique les crispations et dénis actuels. Au début des années 90, le simple mot "arménien", s’il était prononcé dans un débat, posait problème. Le premier colloque organisé à Istanbul sur le génocide arménien remonte à 2005, et la pétition, qui ne prononce pas le mot génocide mais demande pardon aux Arméniens, date de 2008. C’est donc un travail de mémoire qui prend du temps, et qui dépend avant tout de la société civile et de la démocratisation de la société turque, seule capable selon moi de s’emparer et de faire évoluer le débat sur ce genre de question sensible".

Du côté des Arméniens de France, on s’est félicité de ce nouveau texte, après celui de 2001, reconnaissant officiellement le génocide. Pour Claire Mouradian, cette loi participe à un travail de mémoire et de reconnaissance fondamental. "Cela permet d’enterrer les morts. Les Arméniens qui sont en France sont des descendants des rescapés, et il ne s’agit pas de faits datant de Mathusalem, c’est à mémoire humaine. Ce sont les grands-parents, parfois même les parents, qui ont vécu le génocide. Ce type de loi permet à la fois de reconnaitre l’immense injustice, mais également de donner une sépulture aux morts".
http://www.lemondedesreligions.fr/actualite/le-difficile-travail-de-memoire-de-la-turquie-face-au-genocide-armenien-24-01-2012-2201_118.php

Josué

Josué
Administrateur

Génocides, mode d’emploi
À Valence, le Centre du patrimoine arménien explore ce que l’histoire humaine a de moins reluisant : les murs dressés entre les peuples, l’errance des réfugiés et les génocides.


L’histoire du XXe siècle est une mine pour le Centre du patrimoine arménien (CPA) de Valence. Une mine qui le conduit à explorer la nature humaine dans ce qu’elle a de plus détestable.

Le CPA, une structure unique en France, est né en 2005 de la volonté de retracer l’arrivée des Arméniens dans la préfecture drômoise qui fuyaient le génocide de 1915. Cette première vague, celle des pionniers en quelque sorte, fut suivie de plusieurs autres pour s’achever par celle des Arméniens cherchant à s’extraire du glacis soviétique. Ce qui explique qu’environ 10 % de la population valentinoise ait des origines arméniennes.

Le CPA aurait pu se contenter d’étudier les ressorts de l’intégration de cette population dans le tissu local avec un oeil anthropologique et documentaire. Un parcours permanent détaille d’ailleurs l’exil et l’arrivée en France des Arméniens. Mais dès sa naissance le CPA a élargi son regard : « À partir de l’exemple des Arméniens, nous avons toujours eu le souci de découvrir d’autres peuples », explique la directrice Laure Piaton. D’autres peuples à travers les tragédies qu’ils ont connues ou qu’ils subissent encore.

C’est ainsi que les peuples contraints de migrer, les réfugiés climatiques ou encore les murs dressés entre les hommes, de Berlin à Israël, ont fait l’objet d’expositions et de conférences.

Au premier rang de ce palmarès funeste, le CPA se penche régulièrement sur les génocides, cette forme suprême d’élimination des êtres humains.

En la matière, le CPA a du pain sur la planche. Son entreprise a le mérite de donner un sens aux mots à une époque où la plus grande confusion règne dans les discours entre génocide, crime contre l’humanité ou massacre de masse. « L’ONU ne reconnaît que cinq génocides précise Laure Piaton, celui des Arméniens, le premier du siècle, les Juifs, le génocide des Tziganes, celui des minorités cambodgiennes et le Rwanda ». Le massacre des tutsis fait d’ailleurs actuellement l’objet d’une exposition jusqu’au 25 mai.

À l’inverse, les exactions massives commises en Bosnie n’ont pas rang de génocide : ce sont des massacres à caractère génocidaire. La nuance ne saute pas aux yeux… « Pour définir un génocide, ce qui compte c’est la nature du crime, le nombre de victimes n’entre pas en ligne de compte », rappelle Laure Piaton.

Des crimes sans témoin et sans images
L’ONU a en quelque sorte listé les critères pour que des massacres soient « éligibles » au génocide. À commencer par sa contemporanéité : la reconnaissance d’un génocide n’est jamais rétroactive, les Arméniens faisant exception. C’est la raison pour laquelle les massacres d’Indiens d’Amérique ou des Héréros de Namibie exterminés par les Allemands en 1904 se seront jamais classés au rang de génocides. Quant aux Ukrainiens victimes de massacres à grande échelle sous Staline parce qu’ils refusaient le collectivisme, eux non plus n’auront jamais la reconnaissance de l’ONU.

Si de profondes différences apparaissent d’un génocide à l’autre, des traits communs persistent quel que soit le continent sur lequel ils se produisent. Il s’agit toujours d’un État qui pointe du doigt un ennemi en commençant à chaque fois par ses propres ressortissants. Le génocide se produit dans un contexte de guerre. Il s’accompagne d’une propagande savamment orchestrée, de déportations et d’extermination. Ensuite le génocidaire s’acharne à traquer les survivants et à effacer les traces de ses actes. Ce sont des crimes sans témoin et sans images. Enfin génocide et négationnisme vont de pair.

Aujourd’hui face à toutes les tueries qui se produisent encore dans le monde « les historiens préfèrent parler de massacres de masse » reconnaît Laure Piaton. Au-delà de la dimension éthique qui colle à la notion de génocide, cette reconnaissance a des conséquences plus terre à terre : « Le génocide entraîne des réparations et l’indemnisation des victimes” souligne la directrice du CPA. Ce qui éclaire la position du gouvernement turc qui se contente de présenter ses “condoléances” aux Arméniens plutôt que d’admettre le génocide.

L’effort pédagogique du CPA de Valence est payé de retour, un peu plus de 10 000 visiteurs poussent ses portes chaque année : « Généralement on pense que les gens ne s’intéressent qu’à leur nombril, ce n’est pas le cas heureusement », constate Laure Piaton. Dès le mois de juin, le CPA proposera une exposition moins noire bien que le thème de l’exil en soit l’axe central : l’immigration italienne en Argentine.

Le Centre du Patrimoine Arménien est situé 14 rue Louis Gallet à Valence (Tél. : 04 75 80 13 00) www.patrimoinearmenien.org Ouvert du mardi au dimanche de 14h30 à 18h30 (fermé les jours fériés). Entrée : 3€ (réduit 2€).

Jean-Luc Huard signe (Editions Le Dauphiné libéré) un ouvrage qui retrace les persécutions, l’exil et l’arrivée en Rhône-Alpes des Arméniens.

De 1915 et son million et demi de morts à nos jours, l’auteur explique comment et au prix de quels sacrifices les Arméniens ont dû fuir l’ancien Empire Ottoman.

Venus aussi du Liban, de Syrie et d’Arménie, les Arméniens se sont installés à Décines, Romans, Valence, Montélimar, Vienne, Grenoble, Saint-Chamond, Saint-Etienne ou Lyon faisant de la région Rhône-Alpes leur principale terre d’accueil.

En 88 pages et plus de 100 photos “Présence arménienne en Rhône-Alpes” montre également qu’une fois intégrés, les Arméniens ont eu à cœur de préserver leur culture multimillénaire.

En vente chez les marchands de journaux, 14,90 €.
http://www.ledauphine.com/france-monde/2014/05/13/genocides-mode-d-emploi

Josué

Josué
Administrateur

OCI :la loi sur le génocide arménien est un signe de l’”islamophobie” Armynn10
L’histoire d’un indestructible « fil de vie » de mère en fille.
« Je suis l’enfant de multiples orages, la fille de rivières de sang. L’Arménie m’a enfantée, mais le pays de mon cœur a été détruit. Gamine, à Paris, j’ai écouté les échos lointains du peuple arménien qui a été égorgé là-bas, en 1915. Toute ma vie, j’ai entendu parler de "là-bas". Achrène, ma grand-mère, était de là-bas, Azad, ma mère, était de là-bas… Comme des milliers de femmes battues, vendues, violées, déportées, comme tous ces enfants noyés, elles étaient promises à la mort. Elles ont survécu par miracle. Pendant des années, j’ai reconstitué leur histoire.
Ce livre, je l’ai écrit avec l’encre de mon âme. »

En racontant l’incroyable histoire de sa grand-mère et de sa mère, gaya guérian révèle la cruauté terrifiante du génocide arménien. elle montre aussi qu’avec le plus lourd des héritages, on peut embrasser la vie.

Un livre pour savoir et ne jamais oublier.

C’est en 2004, trois ans après la mort de sa mère, que Gaya Guérian se met à écrire. Toutes les nuits, elle noircit des pages de cahier, reconstituant, peu à peu, les fils de son histoire.

Josué

Josué
Administrateur

Les députés allemands reconnaîssent le génocide arménien
MARIANNE MEUNIER, le 02/06/2016 à 9h11 Envoyer par email
Le Bundestag a adopté jeudi 2 juin une résolution qualifiant de « génocide » le massacre de près de 1,5 million d’Arméniens par l’empire ottoman au début du XXe siècle. Le texte reconnait également les responsabilités allemandes.

Commémoration du massacre de 1,5 million Arméniens par les forces ottomanes au Bundestag à Berlin le 24 avril 2015. ZOOM
Commémoration du massacre de 1,5 million Arméniens par les forces ottomanes au Bundestag à Berlin le 24 avril 2015. / John MacDougall/AFP

Les conséquences de l’adoption, jeudi 2 juin, par le Bundestag, d’une résolution reconnaissant le génocide arménien, risquent fort de dépasser les frontières allemandes. Ce vote par les 630 députés allemands est une première outre-Rhin. Jamais un texte officiel n’avait auparavant qualifié de « génocide » les massacres perpétrés par les Turcs ottomans, qui ont fait 1,5 million de morts parmi les Arméniens entre 1915 et 1917.

La résolution, intitulée « Souvenir et commémoration du génocide des Arméniens et d’autres minorités chrétiennes il y a 101 ans », a été portée par les groupes parlementaires qui forment la majorité – les chrétiens-démocrates de la CDU, le parti d’Angela Merkel, et les sociaux-démocrates du SPD –, ainsi que par les Verts, qui l’ont proposé.

Concernant aussi les Syriaques et les Chaldéens, le texte « déplore les actes commis par le gouvernement Jeunes Turcs (le parti nationaliste au pouvoir dans l’empire ottoman à l’époque, NDLR) de l’époque, qui ont conduit à l’extermination quasi-totale des Arméniens ».

Responsabilités allemandes

La qualification de « génocide » n’est pas l’unique nouveauté. La même résolution reconnaît la responsabilité de l’Allemagne de l’époque, alors principale alliée de l’empire ottoman, dans les massacres. Dans leur proposition de texte, les élus regrettent « le rôle déplorable du Reich allemand qui, en tant que principal allié militaire de l’empire ottoman (…), n’a rien entrepris pour stopper ce crime contre l’humanité ».

> À (re) lire : Des centaines de milliers d’Arméniens commémorent le génocide de 1915

Le Bundestag fait écho au président allemand, Joachim Gauck. En avril 2015, cet ancien pasteur originaire de l’ex RDA avait employé le mot « génocide » lors d’une commémoration religieuse du centenaire du massacre des Arméniens à Berlin. Il avait évoqué « une coresponsabilité, et même, potentiellement, une complicité » de l’Allemagne à l’époque et appelé ses compatriotes à faire un « travail de mémoire ».

« Il faut laisser l’histoire aux historiens », pour Ankara

Dès avant le vote, le texte a entraîné des réactions en Turquie, qui nie tout génocide et affirme que les victimes ont péri dans le cadre d’une guerre civile doublée d’une famine. « C’est un vote absurde, il faut laisser l’histoire aux historiens », a affirmé le premier ministre turc, Binali Yildirim, à Ankara.

Et d’ajouter : « Il ne se passera rien, ce texte n’a aucune valeur pour nous, il sera nul et non avenu. » Une réponse aux voix inquiètes qui craignent de voir la Turquie cesser d’appliquer l’accord sur les migrants signé avec l’Union européenne (UE) en mars dernier.

> À (re) lire : La mémoire des Arméniens exposée à Istanbul

Mises en garde arméniennes

L’Arménie a également réagi par avance. Dans une interview au quotidien allemand grand public « Bild », le président Serge Sarkissian a espéré que les députés allemands « ne se laisseront pas intimider » par Ankara. « Quand on commence à faire des compromis pour préserver des intérêts politiques à court terme, on est capable de le refaire en permanence, a-t-il ajouté. Et ce n’est pas bon pour l’Allemagne, pas bon pour l’Europe ni pour le monde. »
http://www.la-croix.com/Monde/Europe/Les-deputes-allemands-s-appretent-a-reconnaitre-le-genocide-armenien-2016-06-02-1200765428?utm_source=Newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=welcome_media&utm_content=2016-06-02

Josué

Josué
Administrateur

L’Allemagne et la Turquie se disputent autour du génocide arménien
Le Parlement allemand a voté jeudi, à la quasi-unanimité, une résolution reconnaissant le génocide arménien de 1915. Ankara a aussitôt réagi en rappelant son ambassadeur à Berlin, et en menaçant d’une riposte. Cette nouvelle dispute entre l’Allemagne et la Turquie vient encore faire peser davantage de risque sur l’accord migratoire déjà très imparfait sur lequel l’Union européenne croit pouvoir fonder son actuelle politique en la matière.

Le Bundestag, qui est la chambre basse du Parlement allemand, a donc adopté cette résolution, intitulée de façon très claire « Souvenir et commémoration du génocide des Arméniens et d’autres minorités chrétiennes il y a 101 ans », à la quasi-unanimité des députés présents, puisqu’il ne s’est trouvé qu’une voix pour voter contre et une autre pour s’abstenir.


L’Allemagne et la Turquie en conflit historique – et politique


A l’ouverture des débats, le président du Bundestag, Norbert Lammert, avait pris soin de souligner que cette assemblée n’était pas « un tribunal », mais que les députés allemands prenaient néanmoins « leurs responsabilités » – le texte n’engageant pas le gouvernement allemand – en se prononçant sur ce sujet. Aussi déplorait-il les « nombreuses menaces, y compris de mort » ayant visé certains députés, notamment les élus d’origine turque, et en particulier le chef de file des Verts, Cem Özdemir, que le journal turc Yeni Safak (la « Nouvelle Aurore »), proche du pouvoir, n’a pas hésité à qualifier d’« ennemi de la Turquie ».

Pourtant, la majorité des députés à s’être exprimés sur le sujet avait fait preuve de précautions oratoires, en soulignant notamment que cette résolution ne visait pas les autorités turques actuelles, mais bien le gouvernement Jeune Turc responsable des massacres de 1915. Mais aussi, en un mea culpa historique devenu une des clefs de notre époque, en dénonçant « le rôle déplorable du Reich allemand qui, en tant que principal allié militaire de l’Empire ottoman (…), n’a rien entrepris pour arrêter ce crime contre l’humanité ».

La Turquie n’en a pas moins réagi avec colère à l’adoption de cette résolution, en rappelant son ambassadeur à Berlin, tandis que le chargé d’affaires de l’ambassade d’Allemagne à Ankara était convoqué au ministère turc des Affaires étrangères.


Du génocide arménien à la crise migratoire


« Cette résolution va sérieusement affecter les liens turco-allemands », a averti le président Recep Tayyip Erdogan, alors en visite au Kenya, et qui a promis que des « démarches » seraient entreprises à son retour en Turquie.

En attendant, des manifestants, dont certains avaient revêtu la tenue traditionnelle ottomane, se sont rassemblés devant le consulat allemand à Istanbul, brandissant des pancartes où l’on pouvait lire « Le génocide arménien, le plus gros mensonge en 100 ans ».

Et le ministre turc de la Justice, Bekir Bozdag, a fait preuve d’une virulence extrême, mais logique, en renvoyant l’Allemagne à son passé récent : « D’abord, vous brûlez des juifs dans des fours, et ensuite vous venez accuser le peuple turc de cette calomnie de génocide ! »

La Turquie apparaît d’autant plus affectée que l’Arménie est satisfaite. A l’issue du vote, celle-ci a en effet salué « un apport appréciable de l’Allemagne à la reconnaissance et à la condamnation internationale du génocide arménien ».


Interrogation sur Angela Merkel


Angela Merkel a d’ailleurs appuyé en ce sens en déclarant que son gouvernement voulait favoriser « le dialogue entre l’Arménie et la Turquie », et que, par ailleurs, les trois millions de personnes d’origine turque vivant en Allemagne en « étaient et restaient » des citoyens à part entière.

C’est manifestement, et l’on pouvait s’y attendre, peine perdue. On se demande d’ailleurs à quoi Berlin s’attendait, compte-tenu des déclarations et de la position très claires des autorités turques sur cette question.

Mais en outre on se demande à quoi Angela Merkel pouvait bien penser. Après avoir fait des pieds et des mains pour que la Turquie soit LE partenaire et LA solution pour l’Union européenne dans la crise migratoire, voilà qu’elle provoque les autorités turques.

Il ne s’agit bien sûr pas ici de regretter cette reconnaissance du génocide arménien – bien au contraire –, mais de s’interroger sur la cohérence de la politique du chancelier allemand. En espérant que la réponse qui sera donnée soit compréhensible…
http://reinformation.tv/allemagne-turquie-genocide-armenien-le-luc-56278-2/

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

chambre des représentants néerlandaise a voté jeudi 22 février à une très forte majorité une mention évoquant le génocide arménien.


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« Nous rendrons hommage aux victimes et aux proches de tous les massacres de minorités » , a déclaré Sigrid Kaag, qui fait fonction de ministre des affaires étrangères. / YIANNIS KOURTOGLOU/AFP

Les députés néerlandais ont fait un pas jeudi 22 février vers la reconnaissance du génocide arménien. Plus de vingt pays ont déjà, d’une façon ou d’une autre, adopté des positions similaires.

Les députés néerlandais reconnaissent le génocide arménien

C’est très largement, par 142 voix contre 3, que la chambre basse du Parlement néerlandais a approuvé jeudi 22 février une motion proposant « que le Parlement parle en termes clairs du génocide arménien ». Elle a également approuvé l’envoi d’un représentant de l’État à Erevan le 24 avril – jour de la commémoration des massacres perpétrés entre 1915 et 1917 sous l’Empire ottoman.
Après ce vote, le gouvernement a toutefois aussitôt affiché ses distances avec la motion parlementaire. « Nous partageons toujours le désir de voir les parties impliquées se réconcilier, mais le gouvernement voit la manière d’y parvenir différemment de la motion proposée », a déclaré Sigrid Kaag, qui fait fonction de ministre des affaires étrangères. « Nous rendrons hommage aux victimes et aux proches de tous les massacres de minorités », a-t-elle dit, soulignant que le gouvernement ne jugera pas s’il s’agit ou non d’un génocide.
De son côté, Ankara a « pris note » de la position du gouvernement, tout en condamnant « la décision prise aujourd’hui par la chambre des représentants des Pays-Bas de reconnaître comme génocide les événements de 1915 », selon un communiqué du ministère turc des affaires étrangères.

Plus de vingt pays ont reconnu le génocide

Les Arméniens estiment qu’un million et demi des leurs ont été tués de manière systématique à la fin de l’Empire ottoman entre 1915 et 1917. Nombre d’historiens ont reconnu qu’il y avait bien eu un génocide, et certains pays leur ont, à des degrés divers, emboîté le pas.
L’Armenian National Institute, créé à Washington en 1997, a ainsi enregistré 28 reconnaissances. Dans la plupart des cas, il s’agit cependant d’initiative parlementaire, sans force de loi ou sans aval de l’exécutif. À l’image de la Chambre des députés du parlement tchèque qui avait, en avril 2017, adopté une résolution condamnant « le génocide arménien et les génocides d’autres minorités ethniques et religieuses qui se sont produits dans les frontières de l’Empire Ottoman au cours de la Première Guerre Mondiale ».
Rares sont donc les pays où ces déclarations se traduisent par une inscription dans la loi nationale. C’est toutefois le cas de la France, depuis l’adoption d’une loi le 29 janvier 2001. L’Uruguay et l’Argentine ont pris des initiatives similaires. En 2007, Cristina Kirchner, alors présidente argentine, avait ainsi promulgué une loi faisant du 24 avril – référence au 24 avril 1915, premier jour des atrocités – une journée nationale « d’action de tolérance et de respect entre les peuples » en hommage aux victimes du génocide arménien.
À lire aussi

OCI :la loi sur le génocide arménien est un signe de l’”islamophobie” Le-pape-Armenie-24-juin-2016_0_1400_887

En Arménie, le pape évoque le « génocide » et la « réconciliation entre nations »


Le cas complexe de l’« ami américain »

La question revient régulièrement dans l’actualité aux États-Unis. À plusieurs reprises la Chambre des représentants, l’une des deux enceintes du Congrès, a voté des textes condamnant ou mentionnant le génocide – en 1975, en 1984 et en 1996. Mais aucun n’a donné lieu à un vote favorable au Sénat.
Par ailleurs, le terme, utilisé par Ronald Reagan en 1981, a depuis disparu des déclarations officielles. Alors qu’il était sénateur à Washington, Barack Obama était pourtant intervenu en 2008 pour souligner que le « génocide arménien était un fait largement documenté ». Candidat à la présidence, il s’était engagé à le reconnaître en cas de victoire. Durant ses huit années à la Maison-Blanche, il s’est pourtant abstenu d’utiliser cette expression.
Il est vrai que la Turquie est un allié des États-Unis au sein de l’Otan, même si les relations entre Washington et Ankara connaissent régulièrement des moments de tensions en raison de différends géopolitiques.

Gilles Biassette

Josué

Josué
Administrateur

30.10.2019


[size=55]Etats-Unis : la Chambre des représentants reconnaît le génocide arménien


Le vote des députés américains, une première aux Etats-Unis, a suscité la colère de la Turquie.

[/size]

OCI :la loi sur le génocide arménien est un signe de l’”islamophobie” 6R7R6RLF6NJGW3HVA7LJS6TNV4« Trop souvent, la réalité de ce crime abominable a été niée » a déclaré Nancy Pelosi, présidente de la Chambre.  AFP/Chip Somodevilla/Getty Images










Par Ph.L. avec AFP
Le 30 octobre 2019 à 08h29, modifié le 30 octobre 2019 à 09h27


C'est la première fois qu'une telle résolution est adoptée en séance plénière d'une des chambres du Congrès à Washington. Mardi, la Chambre des représentants des Etats-Unis a reconnu formellement le « génocide arménien ». Le résultat du vote a été accueilli par des applaudissements dans l'hémicycle.

Appelant à « commémorer le génocide arménien », à « rejeter les tentatives […] d'associer le gouvernement américain à la négation du génocide arménien » et à éduquer sur ces faits, ce texte non-contraignant a été adopté par l'écrasante majorité de 405 voix sur 435, avec une rare union entre démocrates et républicains, et seulement onze voix contre.

Un « acte politique dénué de sens » aux yeux des Turcs


Alors que les relations entre Washington et Ankara sont déjà soumises à rude épreuve avec l'offensive militaire turque en Syrie, ce vote symbolique a suscité la colère de la Turquie, d'autant qu'il intervient le jour de sa fête nationale.

Son ministère des Affaires étrangères a réagi mardi en « condamnant fortement » un « acte politique dénué de sens », ayant pour « seuls destinataires le lobby arménien et les groupes anti-turcs ».

Et mercredi matin, l'ambassadeur américain à Ankara a été convoqué au ministère des Affaires étrangères en lien avec « la décision dépourvue de fondement juridique ou historique prise par la Chambre des représentants », selon des responsables turcs.

«Un pas audacieux vers la vérité et la justice » selon les Arméniens


De son côté, le Premier ministre arménien Nikol Pashinyan a « salué le vote historique du Congrès américain reconnaissant le génocide arménien », jugeant que cette résolution « est un pas audacieux vers la vérité et la justice historique qui offre également un réconfort à des millions de descendants des survivants du génocide arménien », dans un message posté sur Twitter.

Josué

Josué
Administrateur

Une décision "historique" pour Erevan, une "insulte" pour Ankara... Ce lundi, la Chambre des représentants des Etats-Unis a reconnu le «génocide arménien» de 1915. Voilà quelques clés pour comprendre cet épisode tragique de l'Histoire, encore très sensible aujourd'hui.


Que s'est-il passé ?



Des affrontements meurtriers avec les Turcs avaient déjà commencé à la fin du XIXe siècle, avec le massacre de 100 000 à 300 000 Arméniens en 1895-1896, selon des sources arméniennes. A l'époque, ces derniers vivent dans l'empire ottoman.

Lorsque l’Empire essuie de lourdes pertes dans les combats de la Grande guerre affectant les provinces arméniennes, les autorités en rejettent la responsabilité sur les Arméniens, qualifiés d’"ennemi intérieur" et accusés de collaboration avec les Russes.

Le 24 avril 1915, des milliers d’Arméniens suspects de sentiments nationaux hostiles au gouvernement central sont arrêtés. Le 26 mai, une loi autorise les déportations «pour des raisons de sécurité intérieure», une autre loi du 13 septembre ordonne la confiscation de leurs biens.

La population arménienne d’Anatolie et de Cilicie (une région intégrée à la Turquie en 1921) est exilée de force dans les déserts de Mésopotamie.
Beaucoup sont tués en chemin ou dans des camps, brûlés vifs, noyés, empoisonnés ou victimes du typhus, selon des rapports des diplomates étrangers et des agents de renseignement de l’époque.

En 2000, 126 chercheurs, dont le lauréat du prix Nobel Elie Wiesel affirment, dans un communiqué publié par le New York Times, que «le génocide arménien pendant la Première Guerre mondiale est un fait historique incontestable».


Combien de personnes sont mortes ?



 Selon les estimations, entre 1,2 million et 1,5 million d’Arméniens ont été tués.
https://www.ledauphine.com/france-monde/2019/10/30/ce-qu-il-faut-savoir-sur-le-genocide-armenien

Josué

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La reconnaissance du génocide arménien, un processus au long cours


Près d’une trentaine de pays, dont la France et depuis ce mercredi les Etats-Unis, ont reconnu sous une forme ou une autre ce génocide qui a fait plus d’un million de morts en 1915.




OCI :la loi sur le génocide arménien est un signe de l’”islamophobie” W4VY45WUOGPR4SQNPROZWT3FNYLe mémorial de Tsitsernakaberd commémorant le génocide à Erevan, en Arménie. AFP/Karen Minasyan

Par Vincent Gautier
Le 30 octobre 2019 à 16h59


Un vote « historique » qui constitue « un pas audacieux vers la vérité et la justice historique ». C'est par ces mots que le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a salué le vote mardi par la Chambre des représentants des Etats-Unis d'une résolution appelant à « commémorer le génocide arménien ».

Un texte qui n'a « aucune valeur », a réagi le président turc Recep Tayyip Erdogan, dont le pays refuse l'utilisation du terme de « génocide » pour évoquer les Arméniens tués pendant la Première Guerre mondiale par l'Empire ottoman, estimés entre 1,2 et 1,5 million.


Quels pays reconnaissent le génocide arménien ?



Plus d'un siècle après les faits, 29 pays reconnaissent sous une forme ou une autre le génocide, mais il a fallu attendre plusieurs décennies avant que ce mouvement ne soit engagé. En 1965, l'Uruguay est devenu le premier pays à reconnaître le génocide arménien par le biais d'une loi. Une voie qu'ont aussi emprunté l'Argentine en 2007 ou la France il y a 18 ans.
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Le plus souvent, cette reconnaissance passe par le vote d'une motion ou d'une résolution d'une ou des chambres du Parlement. Cela a été dernièrement le cas en Italie, au Portugal ou aux Pays-Bas. « C'est vraiment au cours des années 2000 que l'on a vu un développement du mouvement de reconnaissance du génocide des Arméniens dans le monde. Avec le temps, il y a eu une prise de conscience du caractère énorme de ce crime de masse », explique Jacques Sémelin, historien spécialiste des génocides et directeur de recherche au CNRS.


Quelle est la position de la France ?



« La France reconnaît publiquement le génocide arménien de 1915 ». Tel est le texte intégral de la loi datant du 29 janvier 2001. Aucune mention du responsable donc dans ce texte mais ce n'était pas nécessaire à en croire Mourad Papazian, coprésident du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France (CCAF) : « Cette phrase a fait consensus dans toute la classe politique. Les protestations de l'Etat turc à l'époque ont montré que cette formulation était suffisante. »

« La France a eu un rôle moteur et un rôle exemplaire pour signifier aux Etats qu'il était temps de reconnaître cette réalité. Cela a été une longue bataille, cela n'allait pas de soi », souligne Mourad Papazian, coprésident du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France. Promesse de campagne d'Emmanuel Macron, le 24 avril est également devenue cette année une journée de commémoration du génocide arménien.

Nier la réalité de ce génocide ne tombe cependant pas sous le coup de la loi. Un texte avait bien été promulgué en ce sens en octobre 2016, mais le Conseil constitutionnel avait retoqué le texte quelques mois plus tard. Cela avait déjà été le cas cinq ans plus tôt. À l'époque, les Sages avaient considéré qu'en réprimant « la contestation de l'existence et de la qualification juridique de crimes qu'il aurait lui-même reconnus et qualifiés comme tels, le législateur a porté une atteinte inconstitutionnelle à l'exercice de la liberté d'expression et de communication ».


La Turquie va-t-elle un jour reconnaître le génocide ?



La réaction d'Ankara en a été une nouvelle fois l'illustration : hors de question pour la Turquie d'utiliser le mot de génocide. Il y a trois ans, le président Erdogan s'était montré catégorique en affirmant que son pays « n'acceptera jamais » ces accusations. « Actuellement, il est hors de question de reconnaître quoi que ce soit », confirme Jacques Sémelin.
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« La priorité est de permettre à la Turquie de faire ce travail de mémoire. Il faut que le gouvernement turc prenne au moins la direction de ce travail de mémoire. Aujourd'hui, on a l'impression qu'il fait complètement marche arrière avec la politique intransigeante d'Erdogan », analyse Mourad Papazian.



Mais la Turquie n'est pas le seul pays dans cette situation. Le génocide arménien n'a pas non plus été reconnu formellement par des Etats comme la Grande-Bretagne ou Israël. En règle générale, « le facteur accélérateur dans un pays pour un tel processus sera forcément la présence d'une communauté arménienne qui va faire pression, analyse Jacques Sémelin. Les conséquences économiques et les intérêts diplomatiques que des Etats peuvent avoir avec la Turquie vont en revanche freiner la prise d'une telle décision. »

georges_09

georges_09

Pour un véritable musulman, il ne faut pas critiquer l'islam même s'il est misogyne, raciste et assassin. L'islam est la religion parfaite et le Saint Coran est protégé par Allah Puissant et Sage.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Ce n'est pas encore demain que la Turquie ferra son méa- culpa

georges_09

georges_09

Mikael a écrit:Ce n'est pas encore demain que la Turquie ferra son méa- culpa
Le pays qui doit faire son grand mea culpa c'est l'Arabie qui a donné au monde Mahomet

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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L'Arabie Saoudite n'existait pas encore aux temps de Mahomet et ce pays n'a pas participer au genocide arménien.

Lechercheur



Mikael a écrit:Ce n'est pas encore demain que la Turquie ferra son méa- culpa
Pendant un temps il y avait eu un petit espoir, mais plus avec le président actuel.

georges_09

georges_09

Mikael a écrit:L'Arabie Saoudite n'existait pas encore aux temps de Mahomet et ce pays n'a pas participer au génocide arménien.

L'Arabie tout court existait son nom actuel est un rajout du 20 eme siècle
Mahomet est né à la Mecque en 570 qu'il a quitté pour Yatrib devenue Médine en 622(devenu l'an 1 de l'hégire dans le calendrier mahométan), il est retourné en triomphe à la Mecque en 630 mais il est mort à Médine en 632 où il est enterré.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est la péninsule arabique qui existait et il n'avait pas un pays particuliers, car de multitudes de tribus y habitaient.
Donc  dire que ce ( pays) participa au genocide arménien et un mensonge.

georges_09

georges_09

Mikael a écrit:C'est la péninsule arabique qui existait et il n'avait pas un pays particuliers, car de multitudes de tribus y habitaient.
Donc  dire que ce ( pays) participa au génocide arménien et un mensonge.

L'islam depuis 610 est basé sur le génocide

Rien qu'en Inde, il a fait 80 millions de morts

On estime presque à un milliard les victimes de l'islam depuis 610 jusqu'à nos jours

Lechercheur



Ton anti islam me fait peur.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]La Turquie limite les libertés sur les réseaux sociaux[/size]

Les faits 

Le parlement turc a voté mercredi 29 juillet une loi qui renforce le pouvoir des autorités sur le contrôle des réseaux sociaux, Facebook et Twitter notamment. Les ONG craignent une limitation de la liberté d’expression et de l’accès à l’information indépendante dans le pays.



  • La Croix (avec AFP), 
  • le 29/07/2020 à 09:40



OCI :la loi sur le génocide arménien est un signe de l’”islamophobie” Manifestation-lopposition-Istanbul-avril-2017_0_729_486



Manifestation de l’opposition à Istanbul en avril 2017. [size=12]KENZO TRIBOUILLARD/IP3 PRESS/MAXPPP

[/size]
La Turquie a adopté mercredi 29 juillet une loi qui renforce considérablement les pouvoirs des autorités sur les réseaux sociaux, un texte controversé qui suscite l’inquiétude des défenseurs de la liberté d’expression.
Cette loi, votée tôt ce mercredi par le parlement, a été adoptée moins d’un mois après que le président Recep Tayyip Erdogan eut appelé à « mettre de l’ordre » dans les réseaux sociaux, l’un des derniers espaces où les Turcs s’expriment encore librement.

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