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31 janvier – 6 février RUTH 3-4

5 participants

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Josué

Josué
Administrateur

31 janvier – 6 février
RUTH 3-4

Ruth – Aperçu


      • Noémi donne des instructions à Ruth (1-4)
      • Ruth et Boaz à l’aire de battage (5-15)
      • Ruth rentre chez Noémi (16-18)






Ruth 3:1

papy

papy

Pourquoi Ruth veut-elle que Booz soit son mari ? Pour obéir à la coutume du “Lévirat” mentionnée au chapitre 38 de la Genèse.
Quand un homme mourait sans enfants, le devoir sacré de sa veuve était de se marier avec le plus proche parent du défunt. Le premier fils qu’elle aurait de lui porterait le nom de son mari défunt et serait considéré comme son fils.
Ceci explique le sacrifice de Ruth. Elle renonce à se marier avec un homme jeune et accepte d’être la femme d’un homme plus âgé parce que cet homme, Booz, est celui qui peut lui donner un fils “pour” son mari défunt. C’est ainsi que Ruth entre dans le mystérieux plan de Dieu qui la prédestinait à figurer parmi les ancêtres du Christ (voir Mt 1.5).

papy

papy

31 janvier – 6 février RUTH 3-4 Fullsi10

chico.

chico.

Une position… Noomi sent que c’est à elle à pourvoir à l’avenir de celle qui s’est dévouée pour elle. Et pour cela elle fait usage d’une coutume établie en Israël. La loi voulait que, lorsqu’un Israélite avait vendu sa propriété (non toutefois le fonds, qui restait inaliénable, mais toute la série des récoltes qui devaient se succéder jusqu’à la prochaine année du jubilé), lui-même ou, à son défaut, l’un de ses proches parents eût en tout temps le droit de la racheter (Lévitique 25.25-27). Il est probable qu’Élimélec et Noomi avaient vendu leur propriété en partant, pour le pays de Moab. Revenue en Israël, il est naturel que Noomi cherche un proche parent qui la mette à même d’en jouir de nouveau. Mais à ce désir s’en joint un autre, celui de procurer un mari à sa belle-fille. C’est ce que la loi lui offrait aussi la possibilité et même le devoir de faire. La loi voulait qu’une veuve restée sans enfants devînt la femme du frère de son mari défunt, afin que le premiier enfant mâle naissant de cette union perpétuât la famille de celui-ci, qui sans cela se serait éteinte (Deutéronome 25.5-6). L’usage paraît avoir étendu cette prescription aux parents du défunt en général et l’avoir mise en rapport avec la loi relative aux propriétés de famille. C’est là ce qui suggère à Noomi le moyen qu’elle propose à Ruth. Nous ne savons quel était le degré de parenté qui unissait Machlon, mari de celle-ci, à Boaz. Elle ne pouvait guère ignorer qu’il existât un parent plus rapproché ; mais la bienveillance que Boaz avait témoignée à Ruth lui faisait penser que c’était lui, plutôt que l’autre, que la Providence avait choisi pour son goël ; c’est le nom hébreu donné à celui qui avait le droit de mariage ou de rachat.

samuel

samuel
Administrateur

L'aire de battage était l'endroit où l'on séparait le grain de la tige.
Les épis étaient écrasés à la main oû à l'aide de bœufs sur un sol de pierre ou en terre,et le grain séparé de la paille inutile ( la bale).
L'aire se situait généralement à l'exterieur du village sur une hauteur où le vent pouvait emporter la paille, plus légère, lorsque le blé écrasé était jetées l'air (vannage), Boaz a deux raison de passer la nuit là, 1 éviter les vols,2 attendre son tour de battage.
Le battage se faisait généralement là soir, les heures du jour étant consacrées à la moisson.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Naomi prépare donc un plan d’action. On imagine que Ruth ouvre tout grand les yeux lorsque sa belle-mère lui en parle. La Loi de Jéhovah est un peu nouvelle pour elle. La jeune femme ne connaît pas encore toutes les coutumes des Israélites. Mais comme elle a beaucoup de respect pour Naomi, elle l’écoute très attentivement. Ce que Naomi lui conseille de faire lui semble peut-être étrange, gênant, voire humiliant. Pourtant, Ruth accepte humblement : « Tout ce que tu me dis, je le ferai » (Ruth 3:5).

samuel

samuel
Administrateur

Naomi et Ruth ont dû présumer que Boaz était le plus proche parent.
Sa réponse montre que lui même a déjà envisagé d'épouser Ruth.
Mais il sait qu'un autre parent plus jeune que lui et plus proche à le droit d'épouser Ruth et si il choisit de ne pas le faire,Boaz pourra se marier avec elle.

Josué

Josué
Administrateur

3:14 — Pourquoi Ruth et Boaz se sont-ils levés avant l’aurore ? Ce n’était pas pour tenir secret un acte immoral qui aurait eu lieu durant la nuit. Les actions de Ruth durant cette nuit correspondaient apparemment à ce que prévoyaient les usages lorsqu’une femme souhaitait que s’exerce le lévirat. Elle a agi en conformité avec les recommandations de Naomi. Qui plus est, la réponse de Boaz montre clairement qu’il ne voyait aucun mal dans l’attitude de Ruth (Ruth 3:2-13). Il semble que Ruth et Boaz se soient levés tôt pour ne donner à personne des raisons de répandre des rumeurs sans fondement.
3:15 — Qu’indique le fait que Boaz ait donné à Ruth six mesures d’orge ? Ce geste laissait peut-être entendre que, de la même façon que six journées ouvrées étaient suivies d’un jour de repos, Ruth connaîtrait bientôt un jour de repos. Boaz allait veiller à ce qu’elle ait “ un lieu de repos ” dans la maison de son mari (Ruth 1:9 ; 3:1). Mais il se peut aussi que les six mesures d’orge aient correspondu au poids maximum que Ruth était en mesure de porter sur sa tête.
3:16 — Pourquoi Naomi a-t-elle demandé à Ruth : “ Qui es-tu, ma fille ? ” N’a-t-elle pas reconnu sa belle-fille ? Il se pourrait fort bien que Naomi n’ait pas reconnu Ruth à son retour, car à ce moment-là il faisait peut-être encore sombre. Mais cette question pouvait aussi signifier que Naomi se demandait si Ruth avait changé d’identité à la suite de son rachat.

Josué

Josué
Administrateur

  • Boaz effectue le rachat (1-12)
  • Boaz et Ruth deviennent parents d’Obed (13-17)
  • Ancêtres de David (18-22)


Ruth 4​:​1

papy

papy

Les portes étaient les centres de rassemblement et de la vie publique. De vastes esplanades étaient habituellement aménagées près de ces portes, comme la place publique devant la Porte des Eaux à Jérusalem (Ne 8:1). C’était aux portes qu’on apprenait les nouvelles, non seulement parce que c’était là qu’arrivaient voyageurs et marchands, mais également parce que presque tous les ouvriers empruntaient ces portes chaque jour pour entrer ou sortir, notamment ceux qui travaillaient dans les champs. La porte était donc un lieu de rencontre (Ru 4:1 ; 2S 15:2). Les marchés s’y installaient, si bien que certaines portes de Jérusalem étaient dénommées sans doute d’après le genre de choses qui s’y vendaient (par exemple, la Porte des Poissons). — Ne 3:3.
C’est aux portes de la ville que les anciens du lieu siégeaient pour juger (Dt 16:18 ; 21:18-20 ; 22:15 ; 25:7). Même les rois y tenaient audience quelquefois ou y jugeaient (2S 19:8 ; 1R 22:10 ; Jr 38:7). Étant donné que les juges, les hommes éminents de la ville, les marchands, les hommes d’affaires et bon nombre de gens se trouvaient d’ordinaire à la porte, les prophètes s’y rendirent souvent pour faire des proclamations. Les messages qu’ils transmettaient là se répandaient bien plus vite (1R 22:10 ; Jr 17:19). D’autres annonces importantes et proclamations officielles s’y faisaient également (2Ch 32:6-Cool. C’est sur la place publique devant la Porte des Eaux qu’Ezra lut la Loi (Ne 8:1-3). La sagesse, lit-on, crie aux entrées des portes pour que tous ceux qui sont dans la ville soient informés de ses conseils (Pr 1:20, 21 ; 8:1-3). Dans la mesure où on apprenait les nouvelles à la porte, les œuvres bonnes ou mauvaises des habitants de la ville venaient à être connues à cet endroit. — Pr 31:31.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

4:6 — En quel sens un racheteur risquait-​il de ‘ ruiner ’ son héritage en procédant au rachat ? En premier lieu, si une personne tombée dans la pauvreté avait vendu son héritage foncier, le racheteur devait consacrer une certaine somme d’argent au rachat de la propriété, dont le prix était calculé selon le nombre d’années devant encore s’écouler jusqu’au prochain Jubilé (Lévitique 25:25-27). Cette transaction réduisait d’autant la valeur de son propre patrimoine. En second lieu, si un fils naissait à Ruth, c’est ce fils-​là, et non un quelconque parent proche que le racheteur pouvait avoir au moment du rachat, qui hériterait le champ racheté.

papy

papy

Les événements de ce jour très important arrivent rapidement à leur point culminant. “Quant à Boaz, il monta à la porte et s’assit là. Et voici que passait le racheteur, celui qu’avait mentionné Boaz. Alors il dit : ‘Veuille dévier, veuille t’asseoir ici, un tel !’ Il dévia donc et s’assit. (...) Alors il dit au racheteur : ‘La portion de champ qui appartenait à notre frère Élimélech, Naomi, celle qui est revenue de la campagne de Moab, doit la vendre. Quant à moi, j’ai cru devoir te le révéler, en disant : “Achète-la en présence des habitants et des aînés de mon peuple. Si tu veux la racheter, rachète-la ; mais si tu ne veux pas la racheter, veuille me le déclarer, pour que je sache, car il n’y a personne d’autre que toi pour faire le rachat, et moi je suis après toi.”’ Et il dit : ‘C’est moi qui la rachèterai.’” — Ruth 4:1-4, NW.
 Bien sûr, “un tel” est disposé à acheter la possession ; cela ne fera qu’augmenter les biens qu’il possède à Bethléhem. Et puisque Naomi est une vieille femme ayant perdu ses facultés de reproduction, il ne craint pas qu’elle lui donne un enfant à qui retournerait la possession. Ainsi, tous les biens de Naomi lui reviendront et s’ajouteront à ce qu’il possède déjà. “Alors Boaz dit : ‘Le jour où tu achèteras le champ de la main de Naomi, tu devras aussi l’acheter de Ruth, la Moabite, la femme du mort, pour faire que le nom du mort se lève sur son héritage.’” Ah ! mais c’est différent ! La responsabilité est trop grande, et cela pourrait compliquer les choses. Devant cette épreuve inattendue, le racheteur répond à Boaz : “Je ne puis le racheter pour moi, de peur que je ne ruine mon propre héritage. Rachète-le pour toi-même avec mon droit de rachat, car je ne puis faire le rachat.” Il enlève alors une sandale et la tend à Boaz pour ratifier l’accord. — Ruth 4:5-8,

Josué

Josué
Administrateur

“Un tel” n’a pas passé l’épreuve avec succès. Par contre, Boaz accepte l’arrangement et il en est heureux. Il dit donc au parent plus proche et à tout le peuple : “Vous êtes témoins aujourd’hui que j’achète de la main de Naomi tout ce qui appartenait à Élimélech et tout ce qui appartenait à Kilion et à Mahlon. Et j’achète également comme femme pour moi Ruth, la Moabite, femme de Mahlon pour faire que le nom du mort se lève sur son héritage et pour que le nom du mort ne soit pas retranché d’entre ses frères et de la porte de son lieu. Vous êtes témoins aujourd’hui.” Boaz accomplit ainsi le dessein de Jéhovah concernant la responsabilité d’un homme envers son frère, tandis que “un tel” perd tout crédit aux yeux du peuple rassemblé à la porte. — Ruth 4:9-12

chico.

chico.

En revanche, Boaz se montre fidèle à sa promesse en prenant Ruth pour femme conformément à la loi du lévirat (Ruth 4:13-15). Leur mariage ne produisit ni un roi ni le Schilo ; le temps n’était pas encore venu pour l’établissement du royaume d’Israël. Mais ils eurent un fils qui devint le grand-père du roi David, descendant de Juda à la onzième génération et avec qui Jéhovah fit une alliance pour un royaume éternel (Mat. 1:3-6 ; II Sam. 7:12, 13), et qui fut un maillon de la lignée aboutissant finalement au Seigneur Jésus-Christ, l’Héritier permanent du roi David (Luc 3:23-31 ; 20:41-44). Les intérêts de Ruth et de Naomi sont liés. Ruth est la mère de l’enfant, mais Naomi l’adopte et lui sert de nourrice, comme s’il était le fils de son mari défunt, Élimélech, car il doit recevoir la possession héréditaire de celui-ci. De façon appropriée, les voisines disent : ” ‘Un fils est né à Naomi !’ Et elles commencèrent à l’appeler du nom d’Obed [qui signifie “serviteur” ou “celui qui sert”].” (Ruth 4:16, 17, NW). Ainsi, Boaz et Ruth, qui ont répondu favorablement à l’appel qui leur a été adressé et ont à cœur les desseins de Jéhovah, vouent leur vie à la réalisation de ces desseins, et Jéhovah les bénit en leur permettant de produire un des chaînons de la lignée royale menant au Schilo promis dont “le sceptre ne s’éloignera point de Juda, ni le bâton de commandant d’entre ses pieds, (...) et à [qui] appartiendra l’obéissance des peuples”. — Gen. 49:10,

Josué

Josué
Administrateur

Il est émouvant d’entendre ces témoins dire ensuite: “Que Jéhovah accorde à la femme qui entre dans ta maison d’être comme Rachel et comme Léa, qui toutes les deux ont bâti la maison d’Israël [parce que leurs descendants devinrent nombreux]; et toi-même montre ta valeur en Éphrathah et fais-toi un nom remarquable à Bethléhem! Et que, de la descendance que Jéhovah te donnera de cette jeune femme, ta maison devienne comme la maison [très nombreuse] de Pérès, que Tamar enfanta à Juda!” (Ruth 4:11, 12). Ainsi, ces témoins rendent déjà honneur à Jéhovah pour le futur fils qui naîtra de Ruth, la Moabite fidèle.
 Boaz prend donc Ruth pour femme et a des rapports avec elle. Jéhovah donne à celle-ci de concevoir et elle enfante un fils. Alors les femmes se mettent à dire à Naomi: “Béni soit Jéhovah, qui ne t’a pas laissé manquer aujourd’hui de racheteur, pour que son nom soit proclamé en Israël! Et il est devenu celui qui rétablit ton âme et qui aura à sustenter ta vieillesse, car ta belle-fille l’a enfanté, elle qui t’aime et qui vaut mieux pour toi que sept fils [naturels].” Transportée de joie, Naomi met l’enfant sur son sein et lui sert de nourrice. — Ruth 4:13-16.
“Un fils est né à Naomi”, disent les voisines. Elles considèrent l’enfant comme le fils d’Élimélech et de sa veuve. Et pourquoi pas? Ruth est devenue la femme de Boaz à la place de Naomi, qui est âgée, conformément à la loi du lévirat. Boaz et Ruth ont donc servi Jéhovah. Notons en passant que les voisines appellent l’enfant du nom d’“Obed”, qui signifie “serviteur” ou “celui qui sert”. Il est l’héritier légal de la maison d’Élimélech le Judéen. — Ruth 4:17.
 Plusieurs mois ont passé depuis que Boaz a dit à Ruth: “Que Jéhovah récompense ta façon d’agir, et qu’il y ait pour toi un salaire parfait de la part de Jéhovah!” (Ruth 2:12). Maintenant, en engendrant Obed, Boaz est devenu un instrument de la bénédiction qu’il avait souhaitée à la jeune Moabite. Plus tard, Obed, descendant de Juda par Pérès, Hesron, Ram, Amminadab, Nahschon, Salmon et Boaz, aura lui-même un fils du nom de Jessé qui deviendra le père de David, deuxième roi d’Israël. — Ruth 4:18-22.

Josué

Josué
Administrateur

Alors qu’Orpa retourna finalement vers son peuple comme Naomi le lui recommandait, Ruth s’attacha à sa belle-mère. Son profond amour pour Naomi et son désir sincère de servir Jéhovah en compagnie de son peuple permirent à Ruth de quitter ses parents et son pays d’origine, alors qu’elle avait peu de chances de trouver la sécurité qu’un mariage pouvait lui apporter (Ru 1:8-17 ; 2:11). Son amour pour sa belle-mère était tel que, plus tard, des femmes purent dire qu’elle valait mieux pour Naomi que sept fils. — Ru 4:15.

papy

papy

En rapport avec la lignée menant à la Semence promise, le Messie, une question se pose à propos de la généalogie de Nahshôn, chef de la tribu de Juda après l’Exode. En Ruth 4:20-22, Jessé est le cinquième chaînon entre Nahshôn et David. Or, environ 400 ans s’écoulèrent de l’Exode jusqu’à David. Cela signifierait que chacun de ces ancêtres de David était âgé, en moyenne, de 100 ans (comme Abraham) à la naissance de son fils. Ce n’était pas impossible, et ce fut peut-être le cas. Les fils dont il est question dans le livre de Ruth n’étaient pas nécessairement des premiers-nés, de même que David lui-même n’était pas le premier-né, mais le plus jeune des fils de Jessé. En outre, il se pourrait que Jéhovah ait suscité la lignée menant à la Semence de cette manière presque miraculeuse pour qu’on discerne avec le recul que pendant tout ce temps il avait dirigé ce qui concernait la Semence promise, comme il l’avait visiblement fait dans le cas d’Isaac et de Jacob.
Cela dit, il se peut que certains noms aient été délibérément omis dans cette partie de 400 ans de la généalogie du Messie, qui se retrouve en 1 Chroniques 2:11-15, en Matthieu 1:4-6 et en Luc 3:31, 32. Mais le fait que pour cette partie de généalogie toutes les listes concordent laisse supposer qu’aucun nom n’a été sauté. Néanmoins, même si les chroniqueurs qui dressèrent ces listes omirent bel et bien certains noms considérés comme peu importants ou peu nécessaires pour leur intention, cela ne pose pas de problème, car l’hypothèse selon laquelle plusieurs générations supplémentaires s’intercalèrent ne ferait pas violence à d’autres déclarations ou données chronologiques de la Bible.

Josué

Josué
Administrateur

*** si p. 53 § 9-10 Livre de la Bible numéro 8 — Ruth ***
Ce beau récit est assurément utile, car il aide les amis de la justice à affermir leur foi. Tous les principaux personnages de ce drame passionnant ont manifesté une foi remarquable en Jéhovah, et ‘ il leur a été rendu témoignage grâce à leur foi ’. (Héb. 11:39.) Ils sont devenus d’excellents exemples pour nous aujourd’hui. Naomi a montré une grande confiance en la bonté de cœur de Jéhovah (Ruth 1:8 ; 2:20). Ruth a volontairement quitté sa terre natale pour persévérer dans le culte de Jéhovah ; elle a été fidèle et soumise, et elle a travaillé de bon gré. Si Boaz a accepté le privilège de contracter un mariage par rachat, c’est parce qu’il respectait profondément la loi de Jéhovah, consentait humblement à faire sa volonté et aimait la fidèle Naomi et la courageuse Ruth.
10 Le mariage institué par Jéhovah, et dans ce cas le mariage par rachat, a servi à honorer Dieu. C’est Jéhovah qui a arrangé le mariage de Boaz et de Ruth et qui l’a béni selon sa bonté de cœur. C’est le moyen qui lui a permis de préserver intacte la lignée royale de Juda qui devait mener à David et finalement au Grand David, Jésus Christ. Le soin avec lequel Jéhovah s’est appliqué à susciter l’Héritier du Royaume conformément à ses lois devrait renforcer notre confiance et notre foi en la réalisation de toutes les promesses relatives au Royaume. Cela devrait nous inciter à être occupés dans l’œuvre de la moisson des temps modernes, avec l’assurance de recevoir un salaire parfait de la part de Jéhovah, le Dieu de l’Israël spirituel, sous ‘ les ailes de qui nous sommes venus chercher refuge ’, et dont les desseins relatifs au Royaume s’acheminent vers leur réalisation glorieuse et complète (2:12). Le livre de Ruth est un autre maillon indispensable de la chaîne conduisant à ce Royaume.

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