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Inceste et violence: premier bilan pour la Civile.

4 participants

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Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Inceste et violences sexuelles : premier bilan pour la Ciivise
La Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) rend aujourd'hui son premier avis. En l'espace d'un mois, elle a récolté pas moins plus de 4000 témoignages de victimes d'inceste.

Le chiffre. Chaque année, 160 000 enfants subissent des violences sexuelles. La commission, composée de magistrats, d'avocats ou encore de psychologues, a pour mission de recueillir la parole des victimes afin de mettre en place des actions de prévention.

💡Sur le terrain. La maison d'accueil Jean Bru est l'unique structure en France à prendre en charge spécifiquement des jeunes filles victimes d'inceste. "Pour une durée moyenne de deux à trois ans, les résidentes peuvent ici se réadapter à une vie 'normale', accompagnées par une équipe pluridisciplinaire d'éducateurs spécialisés", raconte notre journaliste Céline Delbecque.

🔎 Lire notre récit

papy

papy

Et avec le confinement les chiffres ont malheureusement augmentés.

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]La commission inceste recommande de croire l’enfant qui dénonce un parent[/size]

[size=30]Elle a rendu mercredi un premier avis sur les violences sexuelles faites aux enfants et fait des recommandations pour leur sécurité.[/size]


Inceste et violence: premier bilan pour la Civile. 22365353lpw-22365525-article-abus-sexuels-violences-sexuelles-inceste-pedophilie-jpg_8327991_660x287
La commission inceste a notamment recommandé de retirer le droit de visite à un parent soupçonné d'inceste (illustration).:copyright: Loïc Déquier / MAXPPP / PHOTOPQR/SUD OUEST/MAXPPP

Source AFP
Publié le 27/10/2021 à 11h59







[size=40]La commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) a rendu mercredi 27 octobre un premier avis concernant la mission qui lui avait été confiée. Elle a d’abord recommandé de suspendre l’exercice de l’autorité parentale et les droits de visite d’un parent poursuivi pour inceste pour « mieux protéger les enfants ». Autre recommandation : la Ciivise demande la suspension des poursuites pénales pour « non-représentation d’enfant » contre un parent qui priverait de visite l’autre parent soupçonné d’inceste. Enfin, la commission recommande de « croire l’enfant ».
Beaucoup de femmes sont devant ce dilemme : respecter la loi et laisser son enfant passer du temps chez son père ou bien protéger son enfant et risquer d’être poursuivie. La mère qui veut protéger son enfant du père incestueux doit être protégée, pour la Ciivise. Ensuite, si des poursuites pénales sont engagées contre un parent pour inceste, le droit de visite et d’hébergement doit être suspendu « de plein droit », de même que « l’exercice de l’autorité parentale ». « On sécurise l’enfant », explique à l’Agence France-Presse le juge Édouard Durand, coprésident de la Ciivise. Enfin, en cas de condamnation d’un parent pour viol ou agression sexuelle incestueux, l’exercice de l’autorité parentale doit lui être retiré automatiquement, selon la Ciivise.[/size]

papy

papy

Sortir de la violence conjugale

Scénario 1 : Les parents d’Isabel * sont venus la voir, elle et son mari. Ils passent une bonne soirée, la conversation est agréable. N’importe quels parents seraient fiers d’avoir un tel gendre ! Il est si gentil avec leur fille.

Scénario 2 : Frank est fou de rage. Une fois encore, il va décharger sa colère à sa manière : frapper sa femme au visage, lui donner des coups de pied, lui tirer les cheveux ou lui cogner plusieurs fois la tête contre le mur.

VOUS serez peut-être surpris d’apprendre que ces deux scénarios concernent le même couple.

Comme beaucoup de conjoints violents, Frank sait se montrer charmant en public ou avec ses beaux-parents. Mais quand il se retrouve seul avec sa femme, il est extrêmement cruel.

Beaucoup d’hommes comme Frank ont grandi dans un foyer violent. Une fois adultes, ils pensent que leur comportement est acceptable, et même normal. Mais la violence conjugale est tout sauf normale. Elle ne peut pas laisser indifférent.

C’est pourtant un phénomène très répandu. En France par exemple, le numéro d’appel national destiné aux victimes de violences conjugales a répondu à plus de 50 000 appels en 2010. C’est une épidémie mondiale qui touche chaque groupe culturel, économique et social. Et comme beaucoup d’agressions ne sont pas signalées, les statistiques sont sans doute loin de refléter la réalité *.

Les violences conjugales soulèvent ces questions : Comment un homme peut-il en arriver à traiter quelqu’un, et en particulier sa femme, de façon aussi révoltante ? Les hommes qui battent leur femme peuvent-ils se faire aider ?

Les Témoins de Jéhovah, éditeurs de cette revue, sont convaincus que les conseils pratiques de la Bible peuvent aider des conjoints violents à changer de comportement. Un tel changement est-il facile ? Non. Est-il possible ? Oui ! Les enseignements bibliques ont aidé beaucoup de personnes de nature violente à devenir douces et respectueuses (Colossiens 3:8-10). Prenons le cas de Troy et Valerie.

Quel genre de relations aviez-vous au départ ?

Valerie : Le soir de nos fiançailles, Troy m’a giflée si fort que j’ai eu un hématome pendant une semaine. Il n’a pas arrêté de s’excuser et il m’a promis de ne plus jamais recommencer. Une promesse que je n’avais pas fini d’entendre...

Troy : J’explosais pour un rien, par exemple si le repas n’était pas prêt. Une fois, j’ai frappé Valerie avec un pistolet. Une autre fois, je l’ai tapée si fort que j’ai cru que je l’avais tuée. Et pour lui faire peur, j’ai mis un couteau sur la gorge de notre fils et j’ai menacé de le tuer.

Valerie : Je vivais constamment dans la peur. Parfois, je devais m’enfuir de la maison et attendre que Troy se soit calmé. Mais le plus dur dans tout ça, ce n’était pas les coups, c’était les insultes.

Troy, aviez-vous toujours été violent ?

Troy : Oui, depuis mon enfance. J’ai grandi dans une atmosphère violente. Mon père battait souvent ma mère devant moi et mes frères et sœurs. Un jour il est parti, et ma mère s’est mise en ménage avec un autre homme. Lui aussi la battait. En plus, il nous a violés, ma sœur et moi. Il est allé en prison pour ça. Bien sûr, je sais que rien de tout cela n’excuse ma conduite.

Valerie, pourquoi êtes-vous restée avec votre mari ?

Valerie : J’avais peur. Je me disais : « Et s’il me pourchasse et qu’il me tue, moi ou mes parents ? Si je le dénonce, ça ne va pas aggraver les choses ? »

Quand est-ce que les choses ont commencé à changer ?

Troy : Ma femme s’est mise à étudier la Bible avec l’aide des Témoins de Jéhovah. Au début, j’étais jaloux de ses nouveaux amis, et je pensais que je devais la sauver de cette « secte bizarre ». Du coup, je suis devenu encore plus violent, pas seulement envers Valerie mais aussi envers les Témoins. Puis un jour, notre fils de quatre ans, Daniel, a fait une crise d’épilepsie et a dû être hospitalisé pendant près de trois semaines. Durant cette période, les Témoins ont fait beaucoup pour nous : ils se sont même occupés de notre fille de six ans, Desiree. Après avoir travaillé de nuit, un Témoin a passé toute la journée avec Daniel pour que Valerie puisse dormir un peu. La gentillesse de ces personnes, avec qui j’avais pourtant été odieux, m’a profondément touché. J’ai pris conscience que ces gens se conduisaient en vrais chrétiens. Je leur ai donc demandé s’ils pouvaient m’aider à étudier la Bible. Au cours de mon étude, j’ai appris comment un mari doit ou ne doit pas traiter sa femme. J’ai tiré un trait sur mon comportement violent. Finalement, je suis devenu Témoin de Jéhovah.

Quels principes bibliques vous ont aidé à changer ?

Troy : Il y en a tellement ! En 1 Pierre 3:7, la Bible dit qu’il faut accorder de « l’honneur » à sa femme. Galates 5:23 encourage à la « douceur » et à la « maîtrise de soi ». Éphésiens 4:31 condamne les « injure[s] ». Hébreux 4:13 déclare que « toutes choses sont [...] mises à découvert » aux yeux de Dieu. Ça veut dire que Dieu voit comment je me conduis, même si mon voisin, lui, ne le voit pas. J’ai aussi appris que je devais changer de fréquentations, puisque « les mauvaises compagnies ruinent les habitudes utiles » (1 Corinthiens 15:33). En fait, mes anciens amis m’encourageaient à être violent. Ils pensaient que c’était normal de battre sa femme pour la « mater ».

Que pensez-vous de votre couple aujourd’hui ?

Valerie : Ça fait maintenant 25 ans que Troy est Témoin de Jéhovah. Depuis, il me traite vraiment avec amour, gentillesse et considération.

Troy : Je ne peux pas effacer tout le mal que j’ai fait à ma famille. Et, c’est sûr, ma femme n’a jamais mérité les traitements que je lui ai fait subir. Mais j’attends avec impatience l’accomplissement d’Isaïe 65:17, quand ces souvenirs douloureux s’estomperont peu à peu...

Quels conseils donneriez-vous aux familles qui sont touchées par la violence conjugale ?

Troy : Si vous êtes violent avec votre famille, en paroles ou en actes, admettez que vous avez besoin d’aide, et acceptez-la. Il y a beaucoup de moyens de se faire aider. Personnellement, l’étude de la Bible et la compagnie des Témoins de Jéhovah m’ont permis de vaincre les tendances violentes qui étaient profondément enracinées en moi.

Valerie : Évitez de comparer votre situation à celle de quelqu’un d’autre. Réfléchissez à deux fois avant de suivre les conseils de personnes qui pensent savoir ce qui est le mieux pour vous. Dans ce genre de contexte familial, les choses ne tournent pas toujours aussi bien que pour moi, c’est sûr. En ce qui me concerne, je suis contente de ne pas avoir quitté mon mari. Nous sommes tellement heureux aujourd’hui !

STOPPER LA VIOLENCE CONJUGALE, C’EST POSSIBLE !

L’étude de la Bible a aidé de nombreux hommes à changer.

La Bible déclare : « Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, pour reprendre, pour remettre les choses en ordre » (2 Timothée 3:16). Comme Troy, de nombreux conjoints violents ont appliqué les conseils bibliques et ont réussi à modifier leur façon de penser et leur comportement.

Aimeriez-vous en savoir plus sur la façon dont la Bible peut aider votre couple ? Dans ce cas, prenez contact avec les Témoins de Jéhovah de votre région ou rendez-vous sur www.jw.org.

POURQUOI NE PARTENT-ELLES PAS ?

Pourquoi des femmes choisissent-elles de rester avec un conjoint violent ? Souvent parce qu’elles ont peur qu’autrement, les mauvais traitements empirent. Des maris menacent de faire du mal à leur femme, voire de la tuer, si elle essaie de s’enfuir. Certains ont déjà mis leur menace à exécution.

D’autres femmes hésitent à partir parce qu’elles craignent que leurs amis ou leurs proches critiquent leur décision et refusent de croire que leur situation familiale est si grave. Isabel, mentionnée au début de cet article, a quitté son mari. Elle se souvient : « Ma sœur était furieuse et a insisté pour que je retourne avec lui. Elle n’arrivait pas à croire qu’un homme si “charmant” puisse être si cruel. Tout le voisinage m’évitait. Du coup, j’ai été obligée de déménager avec mes enfants. »

D’autres femmes encore choisissent de rester, car :

Elles veulent que leurs enfants grandissent avec leurs deux parents.
Elles ont peur de ne pas pouvoir subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs enfants.
Elles pensent à tort qu’elles n’ont que ce qu’elles méritent.
Elles ont honte de dire qu’elles sont maltraitées.
Elles espèrent que la situation va s’arranger.
Les Témoins de Jéhovah s’en tiennent à la norme biblique autorisant à divorcer seulement en cas d’adultère (Matthieu 5:32). Cependant, certaines circonstances extrêmes peuvent amener quelqu’un à se séparer de son conjoint, notamment quand celui-ci est particulièrement violent.

DES PRINCIPES BIBLIQUES UTILES POUR LES MARIS
Traitez votre femme avec honneur et respect (1 Pierre 3:7).
Aimez votre femme comme votre propre corps (Éphésiens 5:28, 29).
Entretenez votre amour et renforcez-le (Éphésiens 5:25).
Rejetez les injures (Éphésiens 4:29, 31).
Cultivez la maîtrise de soi (Proverbes 29:11).
Soyez conscient que le respect de soi s’obtient, non en dominant les autres, mais en se dominant soi-même (Proverbes 16:32).
Réfléchissez aux conséquences de vos actes (Galates 6:7).
Si vous vous sentez sur le point d’exploser, partez (Proverbes 17:14).
Apprenez à détester la violence (Psaume 11:5).
Considérez votre femme, non comme inférieure à vous, mais comme une coéquipière capable (Genèse 1:31 ; 2:18).

papy

papy

[size=62]Addictions, violence, dépression… Adolescents : l’état d’urgence[/size]

[size=30]ENQUÊTE. Le drame de Saint-Jean-de-Luz alerte sur une génération en souffrance et l’état d’abandon de la pédopsychiatrie en France.[/size]
Par Marion Cocquet, avec Caroline Tourbe et Émilie Trevert
Inceste et violence: premier bilan pour la Civile. 24225527lpw-24226954-libre-jpg_9367323
Émotion. Des élèves bouleversées après qu’un de leurs camarades a poignardé une professeure d’espagnol au lycée Saint-Thomas- d’Aquin, à Saint-Jean-de-Luz, le 22 février.

Publié le 01/03/2023 à 17h00






Temps de lecture : 12 min

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[size=55]Il y a d'abord eu le choc, la sidération, le chagrin. Et puis le sentiment diffus que cela devait finir par arriver - que l'agression mortelle d'une enseignante à Saint-Jean-de-Luz aurait pu se produire un autre jour, ailleurs. « On est nombreux à avoir repensé à des situations limites, où les choses auraient pu très mal tourner », dit Anne, professeure d'anglais dans un collège du sud de la France. Le cas est singulier, évidemment, et le profil de l'élève en cause reste mal connu. Mais le drame intervient alors qu'explosent les troubles psychiques chez les adolescents et que les enseignants, les chefs d'établissement, les psychologues et pédopsychiatres alertent sur une situation grave, sans précédent peut-être - des cas « plus nombreux, plus graves, où la souffrance est plus ancienne...


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chico.

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La violence et devenue malheureusement banale et partout.

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