Les femmes dans la bible.

Rappel du premier message :

[size=33]Les femmes dans la Bible : que pouvons-​nous apprendre d’elles ?[/size]

[size=34]La réponse de la Bible

La Bible mentionne de nombreuses femmes dont la vie peut nous enseigner de précieuses leçons (Romains 15:4 ; 2 Timothée 3:16, 17). Cet article décrit brièvement quelques-unes de ces femmes. Beaucoup d’entre elles sont de beaux exemples à imiter. D’autres nous servent d’exemples à ne pas suivre (1 Corinthiens 10:11 ; Hébreux 6:12).
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Abigaïl  Anne  Déborah  Dalila  Esther  Ève  Jael  Jézabel  La femme de Loth  La Sulamite  Léa

Marie (la mère de Jésus)  Marie (la sœur de Marthe et de Lazare)  Marie la Magdaléenne  Marthe  Miriam  Rachel  Rahab  Rébecca  Ruth  Sara  Les femmes dans la Bible, par ordre chronologique

Mikael a écrit:Et dans la bible il n'y  pas beaucoup de Jézabel.

Heureusement.

Par-dessus tout, la Loi donnait pleinement aux femmes la possibilité d’édifier leur spiritualité. Elles bénéficiaient de la lecture de la Loi (Josué 8:35; Néhémie 8:2, 3). Elles avaient l’obligation d’observer les fêtes religieuses (Deutéronome 12:12, 18; 16:11, 14). Elles prenaient part au sabbat hebdomadaire et pouvaient faire le vœu de naziréat (Exode 20:8; Nombres 6:2). Elles avaient des relations personnelles avec Jéhovah et le priaient individuellement. — 1 Samuel 1:10.

DORCAS
(Gazelle).
Chrétienne de la congrégation de Joppé qui était riche ‘ de bonnes actions et de dons de miséricorde ’, sans doute entre autres la confection de vêtements intérieurs et de dessus pour les veuves indigentes (Ac 9:36, 39). “ Dorcas ” correspond à l’araméen “ Tabitha ”, deux noms qui signifient “ Gazelle ”. Il est possible que Dorcas ait été connue sous les deux noms, car à l’époque il n’était pas rare pour des Juifs de porter à la fois un nom hébreu et un nom grec ou latin, particulièrement pour ceux qui vivaient dans un port maritime comme Joppé, où la population se composait de Juifs et de Gentils. Il se peut aussi que Luc ait traduit ce nom à l’intention des lecteurs gentils. Dorcas est la seule femme désignée dans les Écritures par la forme féminine du terme “ disciple ”. Il ne faut toutefois pas en déduire qu’elle avait une position particulière dans la congrégation, car tous les chrétiens étaient en fait des disciples de Jésus Christ (Mt 28:19, 20). Bien que sa mort en 36 de n. è. ait beaucoup fait pleurer les veuves qui avaient, semble-t-il, grandement bénéficié de ses bontés, le fait qu’il ne soit pas question d’un mari en deuil donne à penser que Dorcas n’était pas mariée à l’époque.
À sa mort, les disciples de Joppé la préparèrent en vue de l’enterrement et, apprenant que Pierre se trouvait à Lydda, à environ 18 km au S.-E. de Joppé, ils l’envoyèrent chercher. Ils avaient certainement appris que Pierre y avait guéri Énée, un paralytique et cela leur donna peut-être une raison de penser que l’apôtre, éventuellement, ressusciterait Dorcas. Ou alors, ils comptèrent sur Pierre simplement pour recevoir consolation. — Ac 9:32-38.
Procédant d’une façon semblable à celle de Jésus lorsqu’il avait ressuscité la fille de Jaïrus (Mc 5:38-41 ; Lc 8:51-55), Pierre fit sortir tout le monde de la chambre haute, pria puis dit : “ Tabitha, lève-toi ! ” Dorcas ouvrit les yeux, se redressa et prit la main de Pierre pour se lever. Il s’agit de la première résurrection opérée par un apôtre qui soit rapportée ; elle amena de nombreuses personnes à devenir croyantes dans tout Joppé. — Ac 9:39-42.

Sur Ruth.
https://www.jw.org/fr/bibliothèque/videos/#fr/mediaitems/LatestVideos/pub-pkon_23_VIDEO

Description d’une bonne épouse. Le chapitre 31 des Proverbes décrit l’épanouissement et les activités de l’épouse fidèle, parlant de la position honorable qu’elle occupait et des privilèges qui étaient les siens en tant que femme mariée, ainsi que des bienfaits que lui valaient sa fidélité, sa diligence et sa sagesse. Aux yeux de son mari, est-il dit, elle est plus précieuse que les coraux. Il peut lui faire confiance. Travailleuse, elle tisse, confectionne des vêtements pour les siens, fait les emplettes pour la maisonnée, travaille à la vigne, gère la maisonnée avec les serviteurs, vient au secours de qui a besoin d’aide, habille joliment sa famille, retire même un revenu de la vente de ses ouvrages, équipe sa famille contre tout aléa ; enfin, elle s’exprime avec sagesse et bonté de cœur. Sa crainte de Jéhovah et ses belles œuvres lui valent les éloges de son mari et de ses fils, car, par ses actions, elle les honore dans le pays. Vraiment donc, celui qui a trouvé une bonne épouse a trouvé une bonne chose et il obtient la bienveillance de Jéhovah. — Pr 18:22.

FEMMES CELEBRES, caractéristiques: 

Ève, la femme curieuse 
Ge 3:6 

Agar, la femme abandonnée                Ge 21:14-19 

Marie, la femme ambitieuse (Miryam)       
No 12:1,2

EUNICE
(d’une racine qui signifie “ vaincre ”).
Juive croyante, fille de Loïs. Elle était la femme d’un Grec non croyant et la mère de Timothée (Ac 16:1). Il est très probable que l’apôtre Paul ait rencontré Eunice à Lystres, en Asie Mineure, lors de son premier voyage missionnaire, et qu’elle et sa mère Loïs soient devenues alors chrétiennes par suite de sa prédication (Ac 14:4-18). La foi d’Eunice était “ sans aucune hypocrisie ”. (2Tm 1:5.) Bien que mariée à un païen, elle enseigna à son fils Timothée d’une manière exemplaire “ les écrits sacrés ” depuis sa “ toute petite enfance ” ; une fois devenue chrétienne, elle l’instruisit sans aucun doute en conséquence (2Tm 3:15). Les parents de Timothée ne l’avaient pas fait circoncire, puisque le mari d’Eunice était Grec. — Ac 16:3.

Marie de Magdala (ou : Marie-Madeleine) était une fidèle disciple de Jésus. Son nom vient probablement de la ville de Magdala (peut-être appelée aussi Magadân), qui était située près de la mer de Galilée. Marie a peut-être vécu là-bas.
 Avec plusieurs autres femmes, Marie de Magdala accompagnait Jésus et ses disciples dans leurs déplacements et elle les soutenait matériellement (Luc 8:1-3). Elle était présente quand Jésus a été exécuté et elle est l’une des premières à l’avoir vu après sa résurrection (Marc 15:40 ; Jean 20:11-18).

•  Marie de Magdala était-​elle une prostituée ?
  
•  Marie de Magdala était-​elle « l’apôtre des apôtres » ?
  
•  Marie de Magdala était-​elle la femme de Jésus ?
  
•  Combien de femmes s’appelant Marie y a-​t-​il dans la Bible ?
  

[size=34] Marie de Magdala était-​elle une prostituée ?[/size]

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 La Bible ne dit pas que Marie de Magdala était une prostituée. Au sujet de son passé, la Bible dit seulement que Jésus a expulsé d’elle sept démons (Luc 8:2).
 Mais alors, pourquoi certains croient-​ils qu’elle était une prostituée ? Des siècles après sa mort, certains ont affirmé que c’était elle l’inconnue, qui était probablement une prostituée, et qui a lavé les pieds de Jésus avec ses larmes et les a essuyés avec ses cheveux (Luc 7:36-38). Mais il n’y a rien dans la Bible qui appuie cette croyance.
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[size=34] Marie de Magdala était-​elle « l’apôtre des apôtres » ?[/size]

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 Non. L’Église catholique l’appelle « Sainte Marie Madeleine » ou « l’apôtre des apôtres », parce qu’elle est l’une des premières personnes à avoir annoncé aux apôtres que Jésus avait été ressuscité (Jean 20:18). Mais ça ne justifie pas qu’on l’appelle apôtre. Et dans la Bible, elle n’est jamais appelée comme ça (Luc 6:12-16).
 La rédaction de la Bible a été terminée vers la fin du 1er siècle de notre ère. Mais ce n’est qu’à partir du 6e siècle que les responsables de l’Église ont décidé d’élever Marie de Magdala au rang de sainte. Des écrits du 2e et du 3e siècle, qui ne font pas partie du canon biblique, décrivent certains des apôtres comme étant jaloux de Marie. Mais de telles histoires complètement inventées n’ont aucun fondement biblique.
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[size=34] Marie de Magdala était-​elle la femme de Jésus ?[/size]

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 Non. En fait, la Bible explique clairement que Jésus est resté célibataire *.[/size]

[size=34] Combien de femmes s’appelant Marie y a-​t-​il dans la Bible ?[/size]

La Bible parle de six femmes s’appelant Marie *.
[list=source][*]1. La mère de Jésus (Matthieu 1:18).
[*]2. La sœur de Marthe et de Lazare (Jean 11:1, 2).
[*]3. Marie de Magdala (Luc 8:2).
[*]4. La mère de Jacques et de José (Matthieu 27:56).
[*]5. La mère de Jean Marc (Actes 12:12).
[*]6. Une chrétienne qui a beaucoup travaillé pour l’assemblée de Rome (Romains 16:6).
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papy a écrit:Abigaïl

Femme de Nabal, qu’elle délivra de la colère de David. Après la mort de son mari, elle devint la seconde femme de David (1 Samuel 25.3-42) ; elle le suivit à Gath (1 Samuel 27.3), à Tsiklag (1 Samuel 30.5 ; 1 Samuel 30.18), où elle fut capturée par les Amalécites, puis délivrée à Hébron (2 Samuel 2.1-2), où elle eut un fils appelé Kiléab dans 2 Samuel 3.3 et Daniel dans 1 Chroniques 3.1.

On souligne le rôle de la femme dont la sagesse évite un désastre causé par la folie des hommes. David est assez humble pour constater que son tempérament impulsif le conduit à la violence et à l’injustice.

Abigail était une bonne personne
Très spirituelle
Elle a sut comment bien agir pour éviter un événement tragique
Ça peut arriver de nos jours aussi
Et il y a de bonne femme de nos jours aussi

https://www.jw.org/fr/bibliothèque/videos/#fr/mediaitems/LatestVideos/pub-pksjj_137_VIDEO

https://www.jw.org/fr/la-bible-et-vous/questions-bibliques/les-femmes-dans-la-bible/

Shiphra était une des accoucheuses hébreues qui, avec Poua, avait reçu de Pharaon ordre de tuer tous les bébés mâles des Hébreux dès la naissance. Toutefois, comme cette femme craignait Dieu et respectait le caractère sacré de la vie humaine (Gn 9:6), elle garda en vie les petits garçons et fut bénie par Jéhovah qui lui donna une famille. — Ex 1:15-21

HOULDA
(forme féminine de Héled, qui signifie “ Durée de vie, Système de choses ” ou peut-être “ Rat-taupe ”).
Femme de Shalloum ; prophétesse qui vivait à Jérusalem sous le règne du fidèle roi Yoshiya de Juda.
Après qu’on lui eut lu “ le livre même de la loi ” que le grand prêtre Hilqia avait trouvé pendant la réparation du temple, Yoshiya envoya une délégation interroger Jéhovah. Les représentants du roi se rendirent chez Houlda, qui leur rapporta la parole de Jéhovah selon laquelle tous les malheurs annoncés dans le “ livre ” en cas de désobéissance allaient s’abattre sur la nation apostate. Houlda ajouta que, parce qu’il s’était humilié devant Jéhovah, Yoshiya ne verrait pas ce malheur, mais serait réuni à ses ancêtres et à son cimetière dans la paix. — 2R 22:8-20 ; 2Ch 34:14-28.

Les femmes mentionnées dans la généalogie de Jésus.
TAmar Gn 38:1-10.
Rabat Jos 6:22-25.
RUth Rt 4:13-22.
Bath-Shéba 2 Samuel 25 :12, 24-25.

Et ses femmes n'étaient pas tous juive.

PHŒBÉ
(Pure, Lumineuse, Radieuse).
Chrétienne de la congrégation de Cenchrées au Ier siècle. Paul, dans sa lettre aux chrétiens de Rome, leur “ recommande ” cette sœur et leur demande de lui apporter toute l’aide dont elle peut avoir besoin, car, dit-il, elle “ s’est faite le défenseur de beaucoup, oui, de moi-même ”. (Rm 16:1, 2.) Peut-être Phœbé apporta-t-elle la lettre de Paul à Rome ou en accompagna-t-elle le porteur.

Et que dire de Tamar!

[size=35]Tamar Dictionnaire Biblique Westphal Bost[/size]
Signifiant : palmier.
[list="outline: 0px; box-sizing: border-box; margin-bottom: 9.5px; margin-left: 1.5em;"][*]Cananéenne qui épousa successivement deux fils de Juda, Er et Onan, et qui eut deux enfants de Juda lui-même, Pérets et Zérach (Genèse 38 ; Ruth 4.12 ; 1 Chroniques 2.4). Sans doute il faut chercher dans ces relations individuelles une signification ethnique (voir ce mot) : explication de l’existence ultérieure de clans étrangers dans la tribu de Juda.
[*]Fille de David et de Maaca ; outragée par son demi-frère Amnon, elle fut vengée par son frère Absalom (2 Samuel 13, cf. 1 Chroniques 3.9).
[*]Fille d’Absalom (2 Samuel 14.27).
[*]Nom de ville ; voir Thamar.
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Josué a écrit:PHŒBÉ
(Pure, Lumineuse, Radieuse).
Chrétienne de la congrégation de Cenchrées au Ier siècle. Paul, dans sa lettre aux chrétiens de Rome, leur “ recommande ” cette sœur et leur demande de lui apporter toute l’aide dont elle peut avoir besoin, car, dit-il, elle “ s’est faite le défenseur de beaucoup, oui, de moi-même ”. (Rm 16:1, 2.) Peut-être Phœbé apporta-t-elle la lettre de Paul à Rome ou en accompagna-t-elle le porteur.

Phœbé se fit “ le défenseur de beaucoup ”. Le mot féminin (prostatis) traduit par “ défenseur ” a fondamentalement le sens de “ protectrice ” ou femme “ secourable ”, si bien qu’il ne sous-entend pas seulement de la cordialité, mais aussi le fait de venir en aide à ceux qui sont dans le besoin. Ce terme se traduit également par “ bienfaitrice ”. Phœbé était libre de se déplacer et de rendre de grands services dans la congrégation : peut-être faut-il en déduire qu’elle était veuve et avait une certaine aisance matérielle. Peut-être était-elle en mesure d’user d’influence dans la société en faveur des chrétiens accusés à tort ; c’est de cette façon qu’elle les aurait défendus. Ou bien elle leur offrit un refuge en période de danger, se faisant leur protectrice. Le récit ne donne pas de précisions.