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Les textes controversés de la Mosquée de Paris

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=39]Les textes controversés de la Mosquée de Paris[/size]
Par Romain Scotto,publié le 23/04/2019 à 07:00 , mis à jour à 09:18


Les textes controversés de la Mosquée de Paris Devant-la-grande-mosquee-de-paris-en-mai-2018_6084422
Sur le site de la Grande Mosquée de Paris, une série de textes évoquant le judaïsme et le christianisme sont dénoncés par un collectif anonyme, auteur d'un ouvrage sur l'histoire de l'islamisation de la France.
 
afp.com/Philippe LOPEZ
Article Abonné

L'ouvrage Histoire de l'islamisation françaisedénonce la teneur de certains textes jugés hostiles au judaïsme et au christianisme, sur le site de la mosquée de Paris.

Les apôtres auraient-ils inventé des histoires pour s'approprier la généalogie d'Abraham, au détriment des musulmans ? Les "sources juives" sont-elles faites de "légendes immorales" ? Et les "niaiseries" bibliques doivent-elles être jugées avec une "indulgence souriante" ? Voici quelques-unes des questions que le lecteur non averti du site Internet de la Mosquée de Paris pourrait se poser, à la lecture de certains textes controversés, en ligne depuis 2017. 
Récemment, un ouvrage collectif anonyme intitulé Histoire de l'islamisation française 1979-2019 (Ed. L'artilleur) leur a donné un écho polémique. Selon les auteurs de cette enquête, ces textes assument comme jamais auparavant une théologie islamique hostile au judaïsme et au christianisme. Ils seraient d'autant plus malvenus dans le contexte actuel, où le nombre d'actes antisémites explose en France (183 en 2017, soit +74% en un an, d'après le Ministère de l'Intérieur), tout comme celui des actes antichrétiens (1063). 

BenFis

BenFis

Josué a écrit:[size=39]Les textes controversés de la Mosquée de Paris[/size]
Par Romain Scotto,publié le 23/04/2019 à 07:00 , mis à jour à 09:18


Les textes controversés de la Mosquée de Paris Devant-la-grande-mosquee-de-paris-en-mai-2018_6084422
Sur le site de la Grande Mosquée de Paris, une série de textes évoquant le judaïsme et le christianisme sont dénoncés par un collectif anonyme, auteur d'un ouvrage sur l'histoire de l'islamisation de la France.
 
afp.com/Philippe LOPEZ
Article Abonné

L'ouvrage Histoire de l'islamisation françaisedénonce la teneur de certains textes jugés hostiles au judaïsme et au christianisme, sur le site de la mosquée de Paris.




Les apôtres auraient-ils inventé des histoires pour s'approprier la généalogie d'Abraham, au détriment des musulmans ? Les "sources juives" sont-elles faites de "légendes immorales" ? Et les "niaiseries" bibliques doivent-elles être jugées avec une "indulgence souriante" ? Voici quelques-unes des questions que le lecteur non averti du site Internet de la Mosquée de Paris pourrait se poser, à la lecture de certains textes controversés, en ligne depuis 2017. 
Récemment, un ouvrage collectif anonyme intitulé Histoire de l'islamisation française 1979-2019 (Ed. L'artilleur) leur a donné un écho polémique. Selon les auteurs de cette enquête, ces textes assument comme jamais auparavant une théologie islamique hostile au judaïsme et au christianisme. Ils seraient d'autant plus malvenus dans le contexte actuel, où le nombre d'actes antisémites explose en France (183 en 2017, soit +74% en un an, d'après le Ministère de l'Intérieur), tout comme celui des actes antichrétiens (1063). 

Le site affiche textuellement ceci :
"Mais les légendes immorales, les invraisemblances et les niaiseries de la Bible doivent être sinon acceptées, du moins jugées de bon cœur et avec une indulgence souriante."

En France, ce genre de  blasphème est toléré.
Mais les musulmans oseraient-ils faire la même chose en Russie...!?

Josué

Josué
Administrateur

[size=46]Idées reçues (et fausses) sur l'islam[/size]

[size=33]Mahomet proclama : “Allah est le plus grand”[/size]


webdossier 1 
daté janvier 2017 - Les textes controversés de la Mosquée de Paris Picto_cadenas_ouver

Un caravanier illettré du désert arabique devient en quelques années un chef religieux et un guerrier exemplaire. En moins de deux siècles, ses disciples créent l’empire le plus puissant du Moyen Âge. Idées reçues, contre-vérités, fausses interprétations parasitent, aujourd’hui, la deuxième religion du monde.
Par Malek Chebel, Anthropologue de formation, spécialiste de l’islam, il a notamment publié une nouvelle du Coran et un Dictionnaire encyclopédique du Coran (Fayard, 2009).

Mahomet a rédigé le Coran
L’islam ne connaît ni Marie ni Jésus ni Moïse
[url=https://www.historia.fr/id%C3%A9es-re%C3%A7ues-et-fausses-sur-lislam#La Mecque]Dès l’origine, le fidèle prie vers La Mecque[/url]
La femme musulmane n’a aucun droit
Le voile fait partie des cinq piliers de la foi
La circoncision est une obligation
Le tapis de prière n’est là que pour le confort
La fatwa est toujours un appel au meurtre
La Mecque abrite la tombe de Mahomet
Mahomet n’est jamais représenté
Tous les Arabes sont musulmans
Il n’existe que deux courants religieux
Le ramadan débute partout le même jour
[url=https://www.historia.fr/id%C3%A9es-re%C3%A7ues-et-fausses-sur-lislam#Islam islam]« Islam » et « islam » ont le même sen[/url]s
Étoile et croissant, des symboles de l’islam
Seuls les musulmans appellent Dieu Allah
Le calendrier démarre le jour de la naissance du Prophète
Interdits alimentaires : les mêmes que les juifs
Un homme peut avoir jusqu’à dix femmes
L’islam prône la chasteté
Le jihad est une guerre sainte
Le vert islamique est une création moderne
La main de Fatma est un symbole religieux
Les anges n’existent pas
Le premier muezzin est un Arabe

 

[size=30]Mahomet a rédigé le Coran[/size]

Pendant qu’il surveille ses bêtes, le jeune chamelier aime à se retirer dans une grotte. C’est là que l’ange Gabriel lui dicte les sourates qu’il consigne sur du parchemin : faux
Tel que nous le connaissons, le Coran a été recensé, classé et ordonné après la mort du Prophète. Mahomet, que les musulmans appellent respectueusement Mohammed, n’est pas rédacteur ou copiste, c’est un prophète. Il récite les versets du Coran au fur et à mesure qu’il les reçoit de l’ange Gabriel. Ils sont appris par cœur par tous les compagnons qui l’entourent, puis restitués dans les mosquées et dans les oratoires où on les mémorise définitivement.
La période prophétique étant close avec la mort du Prophète, fixée le 6, ou le 8, du mois de juin 632, il reste à ses premiers compagnons et à ses disciples, parmi lesquels son secrétaire, l’ancien esclave affranchi Zayd ibn Thabit, de trouver une solution pour mettre en forme une vulgate du Coran. D’autant que les premiers récitants meurent les uns après les autres au cours des premières batailles de l’islam. C’est à ce moment-là que la question s’est posée pour la première fois, à savoir réunir l’ensemble du Coran en une version unique qui s’imposerait à tous.
C’est au deuxième calife ’Umar (634-644) qu’incombe la tâche de réunir les premiers éléments du futur Coran. Le troisième calife ’Uthman ibn ’Affan (644-656) achève de collationner l’ensemble. Maintenant il faut choisir entre plusieurs versions du même texte, devenu canonique : c’est là encore la tâche de ’Uthman, qui dépêche des émissaires en direction de plusieurs capitales du jeune empire : Bassorah, Damas, Koufa, pour imposer la version officielle, celle de Médine, sur laquelle il y a consensus. Aujourd’hui, le Coran est lu sous sa forme initiale. Pourtant, il est impossible pour le croyant ordinaire de comprendre et d’interpréter le Coran. Il doit nécessairement passer par les bons offices des imams et des érudits.
Le Coran est divisé en chapitres, appelés sourates, composées de versets, nommés âyât (que l’on retrouve dans le mot ayatollah). Au même titre que la Bible, le Coran est traduit aujourd’hui dans l’ensemble des langues de la planète. La première traduction latine du Coran date de 1143. Elle est due à Robert de Ketton, qui répond à une commande de Pierre le Vénérable, abbé de Cluny. Le but est clairement affiché par le commanditaire : traduire le Coran, c’est combattre le « faux Prophète », le démasquer. La mauvaise réputation dont jouit le Prophète et, partant, tout l’islam, remonte à cette première traduction du Coran, plutôt malveillante et même « une réécriture ». Elle va servir pourtant à de nombreuses autres traductions, comme celle de 1647, signée à Paris par un certain André du Ryer, sieur de la Garde Malezair et gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi. Son titre : L’Alcoran de Mahomet, translaté de l’arabe en français. Aujourd’hui on en compte plus d’une vingtaine en France. Les publics anglophones et germanophones jouissent de plusieurs dizaines de traductions. Le Coran existe en albanais, en basque, en gaélique, en lowlandais d’Écosse, en yiddish, en bulgare, en russe, en hongrois, en néerlandais, en espéranto, en plattdeutsch, en romanche, en serbo-croate, en afrikaans, dans la plupart des langues africaines (malinké, peul, haoussa, swahili, amharique, etc.) et asiatiques (pashto, tamoul, urdu, malais, hindoustani, brahni, kashmiri, sanskrit, javanais, coréen, chinois, etc.).
 

[size=30]L’islam ne connaît ni Marie ni Jésus ni Moïse[/size]

Tous les principaux personnages du Nouveau Testament, comme ceux de l'Ancien, sont totalement ignorés du Coran : faux
Ils sont tous là, et plus encore qu’on ne le croit. Les musulmans reconnaissent vingt-huit prophètes bibliques, dont Abraham, Moïse, David et Jésus. Il y a certains prophètes coraniques que la Bible ne reconnaît pas comme tels, ou ne cite pas nommément. C’est le cas d’Adam, d’Ismaël et d’Isaac, les deux enfants d’Abraham, d’Aaron, de Joseph, de Salomon, de Saül, de Loth, de Noé, l’homme de l’Arche et du Déluge… D’autres n’apparaissent pas du tout : Hûd et Salih, à supposer même qu’ils soient reconnus comme prophètes. Tous sont de « taille » apparemment équivalente. Pourtant, une hiérarchie très discrète les distingue les uns des autres, ce qui leur vaut des termes différents pour les qualifier : il y a l’envoyé, le prophète et le prophète élu et « rapproché » de Dieu. Cette dernière catégorie regroupe Abraham, Moïse, Jésus et Mahomet.
Marie est citée dans le Coran plus souvent que dans le Nouveau Testament. Une sourate, la dix-neuvième, porte son nom, et son parcours exceptionnel est rapporté par le menu. Seule femme à être identifiée par le Coran, elle est présentée comme pure, aimée de Dieu. Si le Coran ne reconnaît pas la Trinité, il est au contraire extrêmement loquace quant à la naissance virginale de Jésus. Marie s’isole du clan familial et se réfugie sous un palmier. Là, un « Verbe émanant du Seigneur » (Coran, III, 45) se réalise dans les entrailles de la jeune femme. Elle est fécondée par l’Esprit saint, dès l’instant même où les anges annonciateurs lui font part du miracle en cours. Elle est d’abord offusquée et ne comprend pas : comment peut-elle avoir un enfant, alors « qu’aucun homme ne l’a touchée… » (Coran, XIX, 20). Les anges insistent : « Son nom sera Jésus, ’Issa, il sera le Christ… » Mieux, le bébé sera doté d’un pouvoir extraordinaire, celui de parler dès le berceau, au moins pour défendre l’honneur de sa mère. En tout, plus de 38 versets sont consacrés directement à Marie, fille de ’Imran et mère de Jésus, que les Arabes dénomment, à juste titre, ’Issa ibn Maryam (Jésus, fils de Marie).
La plupart des occurrences de Jésus – elles sont au nombre de quatre-vingts – racontent en partie sa naissance miraculeuse et, donc, se tournent vers Marie, toujours autant respectée par les musulmans, qui la considèrent comme une sainte.
Voici pour mémoire l’ensemble des prophètes cités, à l’exception d’Abraham, Moïse, Jésus et Mahomet, qui reviennent régulièrement. Le chiffre qui se trouve à la suite de chaque nom désigne le nombre de sourates où il est mentionné : Jésus, par exemple, est cité dans plus de 200 versets. On rencontre : Aaron (Harûn en arabe), 17 fois ; Adam, 11 ; David (Dawûd), 9 ; Elias (Ilyas), 2 ; Elisa (Al Yasa’), 2 ; Enoch (Idris), 2 ; Ezéchiel (Dhul Kifl), 2 ; Hûd, non mentionné dans la Bible, 7 ; Isaac (Ishaq), 13 ; Ishmaël (Ismaïl), 9 ; Jacob (Yaqoub), 14 ; Job (Ayyoub), 4 ; Jean le Baptiste (Yahya), 1 ; Jonas (Yunus), 4 ; Joseph (Yusuf), toute la sourate 12 lui est consacrée et qualifiée traditionnellement « de plus beau récit » ; Loth (Lout), 15, Noé (Nûh), 38 ; Salih, non mentionné dans la Bible, 7 ; Salomon (Sûlayman), Zacharie (Zakariyya), 4.
 La suite ici.
https://www.historia.fr/idées-reçues-et-fausses-sur-lislam

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