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Évangéliser ce n’est pas du prosélytisme, c’est un acte d’amour

5 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Évangéliser ce n’est pas du prosélytisme, c’est un acte d’amour[/size]
Évangéliser ce n’est pas du prosélytisme, c’est un acte d’amour Wesm
© WEMPS

Temps d'accueil autour d'une boisson chaude lors d’un Week-End Mission Prière Service (WEMPS).



Jesús Colina | 14 octobre 2018

Alors que le pape François a institué un mois missionnaire extraordinaire en octobre 2019, l’archevêque Giovanni Pietro Dal Toso, président des Œuvres pontificales missionnaires (OPM), est revenu sur le sens de l’évangélisation. Rappelant que l’Église « n’existe que pour évangéliser », il a expliqué qu’elle « ne peut pas priver les hommes de la Bonne Nouvelle qu'ils sont aimés de Dieu et sauvés par lui ».


Il existe une confusion historique et persistante dans de nombreux milieux et dans les cœurs entre annonce de l’Évangile et prosélytisme. C’est sur ce constat que l’archevêque Giovanni Pietro Dal Toso, nommé récemment président des Œuvres pontificales missionnaires par le pape François, est revenu sur le sens de l’évangélisation lors du Congrès Missionqui s’est déroulé à Paris du 29 au 30 septembre.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est une bonne chose que l'église rappelle que sont rôle est d'évangéliser, mais dans c'est un vœux pieux car la réalité est tout autre.
Je ne vois pas beaucoup de catholique le faire.

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]« Il n’y a que les paroisses missionnaires qui survivront, les autres vont s’effondrer »[/size]




Domitille Farret d'Astiès | 06 avril 2019

Canadien d'origine écossaise, le père James Mallon est l'auteur du fameux « Manuel de survie pour les paroisses ». Dans son nouveau livre, « Réveillez votre paroisse » (Artège), cet apôtre de l'évangélisation insiste sur la nécessité de s'appuyer sur des leaders. Alors qu'il donne ce week-end une formation à Paris devant 700 personnes, Aleteia l'a rencontré.


Aleteia : Pensez-vous que nos paroisses soient vraiment en danger ?
Père James Mallon : Absolument. Nos paroisses existent encore sur un modèle chrétien ancien. Aujourd’hui, elles ne vivent pas du tout leur identité missionnaire. Elles attendent que les gens viennent à elles. Or, un missionnaire va dehors, il dépasse les obstacles culturels. La plupart des paroisses ne font pas cela et s’attendent à ce que l’on vienne à elles. C’est exactement le contraire. En raisons de changements profonds dans notre culture, dans une génération, il n’y aura plus que les paroisses missionnaires qui survivront. Les autres s’effondreront. Si nous n’allons pas vers les gens, l’Église mourra. Seules les paroisses missionnaires ne tomberont pas. Une communauté qui prie, c’est d’une importance fondamentale mais ce n’est pas suffisant en tant que tel. La prière doit conduire à l’action. L’action sans la prière ne fonctionnera pas mieux. Les deux sont nécessaires.
Quelles sont les clefs du changement ?
J’en vois trois. La première, c’est de donner la priorité à l’évangélisation car c’est elle qui change les cœurs. L’Église publie des recommandations sur ce sujet, elle en parle volontiers, elle fait de la théologie. Mais il ne se passe finalement rien de bien concret. Nous prions, nous célébrons les sacrements, mais nous ne savons pas vraiment comment mobiliser. La deuxième clef, c’est la question du leadership. Il est nécessaire de passer de la maintenance à la mission. La « maintenance », c’est lorsque l’on ne s’occupe que des paroissiens. Déplaçons le focus vers ceux qui ne sont pas paroissiens, vers l’extérieur. Ce mouvement doit être conduit par des leaders, que ce soient des prêtres ou des laïcs engagées dans des équipes pastorales… Ces leaders, il faut qu’ils soient serviteurs. Aujourd’hui, il faut complètement renouveler nos modèles et développer la co-responsabilité. Le cœur d’un leader, ce n’est pas d’être une figure forte qui a des suiveurs, mais d’être quelqu’un qui fait se lever d’autres leaders. C’est ce que dit Paul à Timothée dans sa deuxième lettre : « Ce que tu m’as entendu dire en présence de nombreux témoins, confie-le à des hommes dignes de foi qui seront capables de l’enseigner aux autres, à leur tour » (2 Tm, 2, 2). Il est important de mobiliser toute la paroisse et de permettre aux paroissiens d’entrer dans une vision qui les inspire. Enfin, la troisième clef, c’est la puissance de l’Esprit saint. C’est un point qui énerve souvent les catholiques. Pourtant, il est absolument indispensable. Avant la Pentecôte, les disciples avaient peur, ils restaient au Cénacle, repliés vers l’intérieur. Quand le Saint-Esprit est venu, ils ont ouvert les portes et ils ont proclamé. C’est une loi spirituelle. L’Église est conduite par le Saint-Esprit à sortir. Actuellement, on ne va pas dehors, on reste trop au cénacle.

Lechercheur



C'est un voeux pieux,mais comme l'église a former des missionnaires pour aller dans plus dans les pays étrangers,mais n'a pas du tout former le catholique lambda a annoncer l'évangile.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

 À l’époque de saint Dominique, l’Église était devenue gravement défaillante dans sa mission évangélisatrice. Il a reçu sa vocation en traversant le sud de la France et en cherchant à répondre à l’hérésie Cathare qui ravageait ce début du XIIIe siècle, par la prédication de modestes sermons expliquant l’Évangile, par la prière et en mendiant son pain quotidien.

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Comment évangéliser en tee-shirt ?[/size]
Évangéliser ce n’est pas du prosélytisme, c’est un acte d’amour Trinitecc81clothes_1
:copyright: Elie Duverney

Colombe de Barmon | 22 mai 2019

Un groupe de jeunes chrétiens français a lancé une marque de vêtements chrétiens appelée Trinité. Son style "streetwear" ne manque pas d’interpeller et permet d’évangéliser jusque dans les rues.





Cliquez ici pour ouvrir le diaporama




« N’est-ce pas notre rôle en tant que chrétiens de faire descendre Dieu dans la rue, au cœur même de notre vie la plus banale ? », interroge Élie Duverney, vingt ans et fondateur de la marque Trinité, dans son témoignage sur son site. Avec ces vêtements, on peut être témoin du Christ, estime-t-il.

Deux raisons font des tee-shirts Trinité des vêtements missionnaires. Tout d’abord par leur visuel et leur design qui « interpellent ». Mais surtout parce que les bénéfices des ventes sont reversés à des projets d’évangélisation. Par exemple des festivals d’évangélisation ou des programmes d’achat et de distribution de bibles.

Coup de pouce de la Providence


L’année dernière, c’est un pasteur du Togo qui a ainsi bénéficié des bibles, un projet mené à terme grâce à un coup de pouce de la Providence, se réjouit Élie. Contacté via Instagram par le pasteur togolais, la jeune équipe de Trinité se trouvait désemparée. Prête à aider ce pasteur sans moyens pour acheter des bibles aux membres de sa communauté, elle était toutefois confrontée à un double obstacle : d’une part des frais de ports trop élevés, d’autre part le risque d’envoyer la somme collectée à un inconnu.

Finalement, c’est dans la prière que la solution est venue. « Certains d’entre nous avaient rencontré aux JMJ un prêtre du Togo, explique Élie. Il se trouve que le pasteur et le prêtre habitaient dans la même ville. » Le prêtre avec qui les jeunes avaient lié une amitié a ainsi pu servir d’intermédiaire, pour acheminer la somme. Prêtre et pasteur se sont rencontrés et les deux ont pu bénéficier des bibles.

papy

papy

Faut -il avoir un vêtement particulier pour évangéliser dans la rue ?

samuel

samuel
Administrateur

L'important c'est que le message de l'évangile puisse être écouté.
Un comble il dit qu'un prêtre et un pasteur et ont put bénéficier des bibles.
Les deux n'avaient pas d bible si je comprend bien?

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Visite ad limina : « Notre priorité, l’annonce de l’Evangile dans les territoires »[/size]

Entretien 

Pendant trois semaines, les évêques français se rendent à Rome pour présenter le bilan de leurs diocèses et évoquer les pistes d’avenir. Avant leur départ, Mgr Vincent Dollmann, archevêque de Cambrai et Mgr Pascal Wintzer, archevêque de Poitiers, analysent pour La Croix les transformations de l’Église de France (1).



  • Recueilli par Bruno Bouvet et Christophe Henning, 
  • le 09/03/2020 à 07:21




Lecture en 5 min.

Évangéliser ce n’est pas du prosélytisme, c’est un acte d’amour Mgr-Vincent-Dollmann-gauche-Mrg-Pascal-Wintzerde-rencontre-2_0_729_486



Mgr Vincent Dollmann (à gauche) et Mrg Pascal Wintzer, lors de leur rencontre, le 2 mars.[size=12]BRUNO LEVY POUR LA CROIX
[/size]
La Croix : La dernière visite ad limina des évêques de France au Vatican remonte à 2012. Depuis, la situation ne s’est pas améliorée : baisse du nombre de prêtres, chute de la pratique, crise des abus sexuels et spirituels…
Mgr Pascal Wintzer : En dix ans, dans les cinq diocèses de la province de Poitiers, le nombre de baptêmes et de mariages a baissé de 40 %. Cette réalité est vécue comme une perte : ceci ne concerne pas que les prêtres. Au-delà des jugements et appréciations, il faut prendre acte du réel : c’est tout un tissu chrétien qui a changé. Mais le concile Vatican II a affirmé la responsabilité baptismale missionnaire de chacun. Un chrétien ne peut qu’être missionnaire. Localement, l’annonce de l’Évangile passe par les baptisés.

→ À LIRE. Des évêques de France très attendus au Vatican
Mgr Vincent Dollmann : Aujourd’hui, je peux solliciter des jeunes laïcs pour des responsabilités. Les diacres permanents sont aussi plus nombreux, une quarantaine à Cambrai. Dans cette diversité des réalités vocationnelles mieux prise en compte, il y a une perception différente du prêtre, dans une complémentarité. Mais on a toujours besoin de prêtres.
On a parfois le sentiment que vous ne parvenez pas à nommer les problèmes…
P. W. : Je n’ai pas l’impression que les évêques soient aveugles sur ces changements. Tout est lié à l’espace. Un évêque – comme un responsable politique – a une vision globale de son diocèse. Pour beaucoup de personnes, dans mon diocèse très rural, la conscience de l’espace est relativement restreinte. Ils peinent à percevoir la dimension diocésaine. Poitiers a la chance d’avoir célébré trois synodes en trente ans, donnant conscience de cette dimension diocésaine.
→ ENTRETIEN. Quel est le sens des visites ad limina ?
V. D. : Les chrétiens comprennent qu’ensemble ils ont à porter l’Évangile au monde, il y a urgence. Je suis actuellement en visite pastorale dans la partie la plus pauvre de mon diocèse : la structure paroissiale et les mouvements ont beaucoup chuté. Mais des chrétiens se réunissent, de sensibilités différentes, autour de la Parole de Dieu. Ils vivent un temps fraternel et une expérience de prière, quelque chose d’une cellule ecclésiale chaleureuse.
Si les communautés locales naissent, ne faut-il pas aussi regrouper les diocèses qui s’épuisent ?
P. W. : Ce n’est pas seulement une question de carte et de découpage. Pour moi, l’évêque est avant tout un pasteur. On peut regrouper les diocèses, mais quel contact l’évêque aurait-il avec la population ? Je préfère un évêque de proximité tout en fusionnant des services communs à plusieurs diocèses.
V. D. : En effet, il n’y a plus d’officialité à Cambrai (tribunal ecclésiastique), elle est désormais à Lille ; la formation diaconale aussi est à l’échelle provinciale. Je crois qu’il faut faire de même pour la formation des étudiants en propédeutique (année préparatoire au séminaire).
Faut-il faire le deuil du maillage territorial et paroissial ?
V. D. : Le maillage se fera à travers d’éléments pastoraux comme ces fraternités paroissiales missionnaires qu’il faut favoriser, un maillage par affinité, sur un espace plus étendu qu’un village ou un quartier. Je visite les écoles catholiques qui sont des lieux d’Église, il y en a d’autres. Mon rôle est une mission de communion pour articuler ces différentes communautés.
P. W. : Les évêques et prêtres diocésains ont un territoire qui leur est donné, et doivent réfléchir avec les chrétiens à l’annonce de l’Évangile sur ce territoire. Ils n’ont pas d’autre choix. Il y a des lieux, dans mon diocèse, où il n’y a plus aucun chrétien. Mais il y a des hommes et des femmes qui y vivent, dont nous sommes responsables. Qui va aller à leur rencontre ?
Comment maintenir le maillage paroissial alors même que l’eucharistie n’est plus célébrée dans certains villages ? Comment organiser l’accès aux sacrements ?
P. W. : L’eucharistie est liée au ministère des prêtres. Dans la mémoire des habitants, la présence de l’eucharistie était en grande proximité avec leur lieu de vie, et pas à 15 ou 20 km. Le nombre restreint de prêtres célibataires appelle-t-il à l’ouverture vers d’autres ministères, dont l’ordination d’hommes mariés, les viri probati ? Mais peut-être que ma question arrive trop tard et que ceux à qui je veux porter l’eucharistie aujourd’hui n’existeront plus dans dix ans.

V. D. : Je n’ai pas la même approche. Je suis surpris du peu d’approfondissement de la Parole de Dieu et je ne sens pas une soif de l’eucharistie si forte. Comment recrée-t-on la soif du Christ ? Je veux valoriser ce qui a été mis en place par mon prédécesseur, des rencontres autour de la Parole. J’aimerais développer aussi la piété populaire, comme les pèlerinages du Saint-Cordon à Valenciennes ou de Notre-Dame-de-Grâce à Cambrai. Profitons-nous assez des moments liturgiques autour des crèches, des chemins de croix ? Non pas pour le folklore, mais pour se ressourcer…
Relancer les assemblées dominicales en l’absence de prêtre (Adap) ne pourrait-il pas être une solution ?
P. W. : Dans certains lieux, ces rassemblements perdurent, mais nous parlons davantage d’assemblée dominicale de la Parole. La communion n’y est pas systématique : l’eucharistie est pour moi vraiment liée au ministère presbytéral.
V. D. : Les Adap reprenaient trop le rite de la messe. Mais il ne faut pas perdre ce réflexe de communauté qui se réunit. Le rôle des laïcs est important : les équipes funérailles qui conduisent des célébrations ont acquis une vraie expérience. Quelque chose émerge.
Ne vivez-vous pas votre mission d’évêque dans une relative solitude ?
P. W. : Toute responsabilité conduit à être seul. En France, l’évêque vient d’un autre diocèse, et dans des régions plus rurales, on reste toujours d’ailleurs. Célibataires, nous en avons l’habitude et la solitude n’est pas une difficulté. Mais tout le travail consiste à élaborer une décision avec d’autres.
V. D. : J’insiste pour que les prêtres aient un directeur spirituel. En arrivant à Cambrai, mon premier souci était de trouver pour moi-même un accompagnateur. Pouvoir tout lui dire me donne une vraie paix intérieure. Ensuite, il faut veiller à des relations d’amitié. Et puis avoir des collaborateurs, être en contact avec des familles…
L’Église ne pourrait-elle pas aller plus loin dans l’implication des laïcs et des femmes, souvent confinés à des rôles subalternes ?
V. D. : Je n’ai pas trop ce sentiment. Sur sept personnes de mon conseil épiscopal, il y a trois laïcs dont deux femmes. Chacun assume des responsabilités en mon nom. Nous devons continuer à donner des responsabilités, faire jouer la subsidiarité…
P. W. : La formation des personnes est un enjeu essentiel. C’est un des grands engagements de bien des diocèses pour que les personnes puissent avoir des compétences, y compris dans l’annonce de la Parole, voire pour la prédication.
Qu’attendez-vous de la visite à Rome ? Qu’est-ce qui entretient votre espérance ?
V. D. : J’attends que Rome nous donne l’occasion de nous ouvrir à la réalité universelle. C’est aussi une démarche spirituelle et la rencontre fraternelle avec le Saint-Père. Mon espérance et ma joie, en ce début du Carême, c’est l’appel décisif de catéchumènes, de tous âges. À nous chrétiens, baptisés de longue date, de retrouver cet élan spirituel et de se dire : est-ce que nous sommes prêts à porter le Christ dans la société actuelle ? Cela demande une colonne vertébrale intérieure.

P. W. : Ce qui importe, c’est d’inciter chacun à être un chrétien adulte. Je crains que la société de plus en plus complexe multiplie des lois procédurales qui infantilisent les personnes. Que l’Église n’entre pas dans ce processus : mon but est de faire que les chrétiens soient autonomes. Mon rôle, c’est que les gens se passent de moi et soient des chrétiens debout.
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Qu’est-ce qu’une visite « ad limina ? »


Du 9 au 28 mars, les 110 évêques de France se rendent à Rome en trois groupes successifs. Les visites ad limina – contraction latine de l’expression « au seuil
des basiliques des apôtres »
 – permettent de rendre compte et d’échanger avec les différents dicastères (ministères) du Vatican sur l’état des diocèses.
La Croix.

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