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28 mai Lecture de la Bible : Jérémie 49-50

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Josué

Josué
Administrateur

28 mai Lecture de la Bible : Jérémie 49-50
Il est probable qu’après la déportation des habitants d’Israël, le royaume du Nord, par Tiglath-Piléser III et un de ses successeurs (2R 15:29 ; 17:6), les Ammonites se mirent à occuper le territoire de la tribu de Gad, territoire qu’ils avaient vainement tenté de conquérir en combattant Yiphtah (voir Ps 83:4-Cool. C’est pourquoi, dans le message prophétique qu’il énonça par l’intermédiaire de Jérémie, Jéhovah reprocha aux Ammonites de s’être approprié l’héritage des Gadites et il les avertit de la désolation prochaine d’Ammôn et de son dieu Malkam (Milkom) (Jr 49:1-5). Mais les Ammonites allèrent plus loin encore en envoyant des bandes de maraudeurs harceler Juda sous le règne de Yehoïaqim, durant les dernières années du royaume judéen. — 2R 24:2, 3.

Josué

Josué
Administrateur

Il est probable que Cyrus, le conquérant de Babylone, permit aux exilés ammonites, comme à ceux d’autres nations, de rentrer dans leur pays en accomplissement de Jérémie 49:6.

Josué

Josué
Administrateur

Vers la fin du septième siècle avant notre ère, la haine intense d’Édom pour Israël devint particulièrement évidente. À cette époque, les Babyloniens conquirent le royaume de Juda. Les Édomites se réjouirent du malheur de leurs frères auquel ils contribuèrent même en volant des dépouilles et en livrant aux Babyloniens des fugitifs judéens (Obad. 1, 12-14). Ils cherchèrent avidement à élargir leur territoire en s’appropriant le pays autrefois contrôlé par les royaumes d’Israël et de Juda. — Ézéch. 35:10-12.
Ces actes indignes d’un peuple frère n’échappèrent pas à Jéhovah Dieu. Par ses prophètes Obadiah, Ézéchiel et Jérémie, il fit connaître sa décision de détruire Édom. Jérémie et Obadiah présentèrent essentiellement le même message, rendant ainsi doublement certain l’accomplissement de la parole de Jéhovah sur la chute d’Édom : “Si des voleurs entraient vers toi, si des spoliateurs entraient de nuit, jusqu’à quel point te trouverais-tu réduit au silence ? Est-ce qu’ils ne voleraient pas autant qu’il leur plairait ? Ou bien si des vendangeurs entraient vers toi, ne laisseraient-ils pas des grappillages ? Ah ! jusqu’à quel point ils ont été fouillés, ceux d’Ésaü ! Comme on a recherché ses trésors cachés !” (Obad. 5, 6 ; Jér. 49:9, 10). En effet, les voleurs ne volent que ce qu’ils veulent, et les vendangeurs laissent des grappillages. Mais dans le cas d’Ésaü (Édom), rien ne resterait après sa défaite.
Mais par qui un tel malheur allait-il venir ? Voici la réponse prophétique : “Ils t’ont trompé, tous les hommes qui étaient dans une alliance avec toi. Ils l’ont emporté sur toi, les hommes en paix avec toi. Ceux qui mangent la nourriture avec toi placeront un filet sous toi comme sous celui en qui il n’y a pas de discernement.” (Obad. 7). Ainsi, la défaite serait infligée par ceux-là mêmes avec qui les Édomites s’étaient alliés, c’est-à-dire, bien sûr, les Babyloniens à qui ils avaient livré les fugitifs de Juda.
Le temps viendrait donc où, en accord avec la prophétie d’Obadiah, ‘il n’y aurait pas de survivant pour la maison d’Ésaü’ (Obad. 18.) Les Édomites devaient cesser d’exister en tant que peuple. Selon la parole prophétique transmise par Ézéchiel, les Israélites allaient avoir un rôle à jouer dans l’accomplissement des jugements de Dieu contre Édom. Voici ce que Jéhovah fit dire à Ézéchiel : “Et je ferai venir ma vengeance sur Édom par la main de mon peuple Israël ; et ils devront agir en Édom selon ma colère et selon ma fureur.” — Ézéch 25:14.

Josué

Josué
Administrateur

Les jugements de Jéhovah sur Damas. Pourtant, un siècle plus tard, Damas avait, lit-on, retrouvé sa position de “ tête de la Syrie ”. (Is 7:8.) Sous le règne du roi Ahaz de Juda (761-746 av. n. è.), Retsîn de Damas, ligué avec Péqah d’Israël, envahit Juda jusqu’à Élath sur le golfe d’Aqaba. Le roi Ahaz eut alors si peur qu’il envoya un pot-de-vin à Tiglath-Piléser III d’Assyrie en lui demandant d’écarter la menace que la Syrie faisait peser sur Juda. L’Assyrien s’empressa d’attaquer Damas, s’en empara, mit à mort Retsîn et exila de nombreux Damascéniens (2R 16:5-9 ; 2Ch 28:5, 16). Ainsi se réalisaient les prophéties de Jéhovah annoncées par Isaïe et Amos (Is 8:4 ; 10:5, 8, 9 ; Am 1:3-5) ; néanmoins, lorsqu’il alla à la rencontre de Tiglath-Piléser à Damas (sans doute pour lui rendre hommage), Ahaz, agissant en insensé, fit faire une copie de l’autel du faux culte qu’il y vit, et plus tard, il sacrifia dessus “ aux dieux de Damas ”. — 2R 16:10-13 ; 2Ch 28:23.
Par la suite, Damas ne fut jamais plus une menace pour Israël. Quoique faible militairement, la ville retrouva de toute évidence son dynamisme commercial, comme l’indique la prophétie d’Ézékiel (Éz 27:18). Mais Jérémie annonça aussi que Damas, autrefois tant louée, connaîtrait l’angoisse à cause d’une mauvaise nouvelle venant de Hamath et d’Arpad, dans le N. de la Syrie, nouvelle ayant probablement trait à la conquête impitoyable des royaumes araméens par les armées babyloniennes en marche de Neboukadnetsar (Jr 49:23-27). Damas, le joyau du désert, n’échapperait pas aux conséquences de cette conquête. Plus tard encore, Damas est citée dans une condamnation prononcée par Zekaria, prophète de Jéhovah, qui écrivit sa prophétie en 518 av. n. è. Cette prophétie se réalisa vraisemblablement au temps d’Alexandre le Grand, qui occupa la Syrie et la Phénicie après sa victoire à la bataille d’Issus en 333 av. n. è. — Ze 9:1-4.

Josué

Josué
Administrateur

ce monarque est mentionnée par l’historien babylonien Bérose, que cite Josèphe. — Contre Apion, I, 129, 133 (XIX).
Un bol d’argent (daté du Ve siècle av. n. è.) découvert à Tell el-Maskhouta, en Égypte, porte cette inscription en araméen : “ Qaynû fils de Gašmû [Guéshem], roi de Qédar. ” Ce Guéshem pourrait être “ Guéshem l’Arabe ”, qui s’opposa au travail de reconstruction de la muraille de Jérusalem aux jours de Nehémia. — Ne 2:19 ; 6:1, 2, 6.
Les récits assyriens indiquent que le sanctuaire du roi Hazaïl de Qédar abritait les images des fausses divinités suivantes : Atarsamaïn (que les Assyriens identifiaient à Ishtar Dilbat), Daï, Nahaï, Rouldaiou, Atarqourouma et Abirillou. Une étoile d’or ornée de pierres précieuses constituait le symbole de la déesse Atarsamaïn. Selon le Talmud (Taanit 5b), les habitants de Qédar étaient aussi adorateurs de l’eau.

Josué

Josué
Administrateur

Le Dieu Tout-Puissant et infiniment sage n’a pas pris conseil auprès d’une créature céleste. Il sait ce qu’il doit faire. “Qui, comme son homme de conseil, peut lui faire savoir quelque chose?”, demande avec juste raison le prophète Ésaïe (40:13). (Voir aussi Job 21:22; 36:22; Romains 11:34.) Son “conseil” est le sien propre et ne dépend pas des avis de conseillers réunis pour l’aider à parvenir à un jugement ou résolution juste. Comme on le voit, le “conseil” de Dieu signifie ici autre chose qu’un simple avis; il signifie sa résolution formelle, son décret. En effet, l’encyclopédie de M’Clintock et Strong, volume II, page 539, dit ce qui suit au sujet de l’emploi biblique du mot “conseil”: “Outre la signification usuelle de ce mot, en tant qu’il désigne les consultations entre hommes, il s’emploie dans les Écritures pour désigner les décrets de Dieu et les ordres de sa providence.”
Le “conseil” que le Dieu Tout-Puissant et infiniment sage conseille par lui-même ne peut être rompu ni par des hommes ni par des diables. Il en a été ainsi de son conseil contre la Puissance mondiale assyrienne, et cela s’est également vérifié dans le cas de Babylone, qui a pris sa place et vient en troisième position dans la succession des puissances mondiales dont parle la Bible. On se souvient que Babylone a détruit pour la première fois Jérusalem en l’an 607 avant notre ère. Par cette action, elle s’est révélée “méchante”. Rien d’étonnant que Jéhovah l’ait réservée pour un “jour mauvais” au temps fixé par lui. Avant de laisser Babylone réduire Jérusalem en désolation et d’ôter ainsi la méchanceté de devant lui, Dieu a fait dire à son prophète Jérémie: “C’est pourquoi entendez le conseil de Jéhovah, qu’il a formulé contre Babylone, et ses pensées qu’il a méditées contre le pays des Chaldéens.” — Jérémie 50:1, 45.

Josué

Josué
Administrateur

“SORTEZ d’elle, mon peuple.” Cet appel retentit depuis 1919, année où les nations engagées dans la guerre mondiale de 1914-1918 signèrent le traité de paix. Le système religieux mondial avait soutenu ce conflit. Mais qu’avaient fait les hommes que le Dieu de la Bible appelle “mon peuple”? Ces chrétiens paisibles étaient tombés sous la coupe de Babylone la Grande et de ses amants politiques en guerre. Certains d’entre eux avaient même été emprisonnés.
2 L’invitation à ‘sortir d’elle’ avait été consignée par écrit en Révélation 18:4. Mais on trouvait déjà un appel semblable en Jérémie 51:45, qui dit: “Sortez du milieu d’elle, ô mon peuple, et donnez chacun à votre âme d’échapper à la colère ardente de Jéhovah.”
3 D’où fallait-il ‘s’échapper’? Jérémie 50:8-10 répond clairement: “‘Enfuyez-vous du milieu de Babylone, et sortez du pays des Chaldéens, et devenez comme les animaux conducteurs qui vont devant le troupeau. Car voici que j’excite et que je fais monter contre Babylone une congrégation formée de grandes nations du pays du nord, et, à coup sûr, elles se rangeront contre elle. De là elle sera prise. (...) Et la Chaldée devra devenir des dépouilles. Tous ceux qui la dépouilleront se rassasieront’, telle est la déclaration de Jéhovah.”

Josué

Josué
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Terme s’appliquant à Babylone ou, peut-être, à un territoire particulier de Babylonie (Jr 50:21, 23, 24). Il est possible qu’il ait un lien avec le nârou marratou des inscriptions babyloniennes, qui est, pense-t-on, le golfe Persique à l’endroit où le Tigre et l’Euphrate s’y jettent. Il s’agit sans doute d’un jeu de mots sur le verbe hébreu marah (être rebelle). Le mot Merathaïm étant un duel dérivé de marah, il indique peut-être l’intensité de la rébellion de Babylone. Depuis les jours de Nimrod, son fondateur, Babylone fut toujours rebelle à Jéhovah. — Gn 10:8-10.

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