Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le Deal du moment : -45%
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go ...
Voir le deal
1099.99 €
Le Deal du moment : -26%
Bosch BBS8214 Aspirateur Balai Multifonction sans fil ...
Voir le deal
249.99 €

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

21 mai Lecture de la Bible : Jérémie 44-48

2 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

Josué

Josué
Administrateur

21 mai Lecture de la Bible : Jérémie 44-48

À l’époque de Jérémie, le peuple de Juda et de Jérusalem pratiquait le faux culte et les femmes ‘ pétrissaient de la pâte pour faire des gâteaux sacrificiels à la “ reine des cieux ” ’. (Jr 7:18.) Jérémie 44:19 parle également de cette fausse divinité et des “ gâteaux sacrificiels ” (héb. : kawwanim) faits à son intention. La composition de ces gâteaux sacrificiels est incertaine, mais ils étaient sans doute déposés sur l’autel en offrande.

christelle

christelle

*** jr chap. 2 p. 26 § 19 2 Prophète dans “ la période finale des jours ” ***

Mettez-vous à la place de Jérémie. Depuis l’époque de Yoshiya, il avait été témoin de bouleversements politiques et d’une dégradation spirituelle au sein du peuple de Dieu. Cependant, il savait que les choses allaient empirer. Les habitants de sa ville le menacèrent en ces termes : “ Tu ne dois pas prophétiser au nom de Jéhovah, afin de ne pas mourir de notre main. ” (Jér. 11:21). Même après avoir vu la réalisation de ses prophéties, les Juifs déclarèrent : “ Pour ce qui est de la parole que tu nous as dite au nom de Jéhovah, nous ne t’écoutons pas. ” (Jér. 44:16). Leur vie était pourtant en jeu, tout comme l’est aujourd’hui celle de nos contemporains. Le message que vous proclamez vient de Jéhovah, tout comme celui de Jérémie. Vous pouvez donc consolider votre zèle pour le ministère en examinant comment Jéhovah a protégé son prophète au cours des événements qui ont mené à la chute de Jérusalem.


Ils ont quand même été loin en rejetant Jéhovah de la sorte, comme ceux qui ne veulent pas de Jéhovah aujourd'hui ils seront détruits si ils ne changent pas leur comportement. Et c'est pour ça que nous prêchons leur montrer combien Jéhovah est amour et désire leur repentir (2 Pierre 3:9) [...] Jéhovah n’est pas lent en ce qui concerne sa promesse, comme certains considèrent la lenteur, mais il est patient avec vous, parce qu’il ne veut pas que qui que ce soit périsse, mais il veut que tous parviennent à la repentance [...]

Josué

Josué
Administrateur

Jéhovah nous a donné là un bon exemple en ce qu’il a pris sa décision à l’avance et l’a fait connaître publiquement. À notre époque, qui n’est pas moins critique que celle de Jérémie, chacun de nous doit prendre une décision personnelle avant la catastrophe mondiale imminente. Il est dangereux de se leurrer en pensant qu’il sera possible, au dernier moment, d’adopter la conduite inverse de celle que l’on aura toujours eue, de prendre la bonne décision et d’échapper. Nous avons l’exemple d’un homme qui choisit la bonne voie dix-huit ans avant que ne s’abatte le désastre international dont il fut averti en 625 avant notre ère. Cet homme était Baruch, fils de Nériah. L’année 625 était la quatrième année du règne d’un roi de la Jérusalem condamnée qui ne devait plus avoir que deux successeurs. Il s’agissait de Jéhoïakim, fils de Josias, qui accéda au trône en 628, après que le pharaon Nécoh eut détrôné son jeune frère Joachaz et l’eut emmené en Égypte.
Le roi Jéhoïakim régnait depuis trois ans comme vassal de l’Égypte lorsque le prêtre et prophète Jérémie reçut un message de Jéhovah adressé à Baruch, son secrétaire. On était alors dans la quatrième année du règne de Jéhoïakim, année critique, puisque ce fut celle où Nébucadnezzar, fils de Nabopolassar, devint roi de Babylone. Désormais, le roi de Jérusalem devrait donc compter avec le chef de la Troisième Puissance mondiale et conquérant de l’Empire assyrien. Mais lisons Jérémie 45:1-3.
“La parole que Jérémie, le prophète, dit à Baruch, fils de Nériah, lorsqu’il écrivit dans un livre ces paroles de la bouche de Jérémie, dans la quatrième année de Jéhoïakim, fils de Josias, roi de Juda, — disant: ‘Voici ce qu’a dit Jéhovah, Dieu d’Israël, à ton sujet, ô Baruch: “Tu as dit: ‘Oui, malheur à moi, car Jéhovah a ajouté le chagrin à ma douleur! Je me suis fatigué à cause de mes soupirs, et je n’ai pas trouvé de lieu de repos.’”’”
Nous ne savons pas depuis combien de temps Baruch était alors secrétaire de Jérémie, mais il allait rester le compagnon du prophète pendant au moins dix-huit ans encore. Il nous est impossible de définir quelle “douleur” Baruch a ressentie en voyant la situation du royaume de Juda s’aggraver. Mais à cette douleur venait s’ajouter une source de chagrin: la nécessité de mettre par écrit le message de condamnation dicté par Jérémie. Ses sentiments devaient ressembler à ceux que Jérémie éprouva en écrivant le livre des “Lamentations” après la destruction de Jérusalem par le roi de Babylone en 607. Il est même probable que Baruch se lassait d’entendre Jérémie prophétiser sans arrêt les mêmes malheurs.

Josué

Josué
Administrateur

“Châtie ton fils, et il te donnera du repos et procurera beaucoup de plaisir à ton âme”, suggère la Bible (Prov. 29:17). Dans le cas d’un enfant, le châtiment sera peut-être de lui donner une fessée pour de bon ou le priver d’un plaisir auquel il tient. Il apprendra ainsi une leçon capitale: le respect de l’autorité. Dieu a donné un exemple de la façon dont la punition doit être appliquée: “Je devrai te châtier dans une juste mesure.” Pourtant, il rassura le peuple auquel il s’adressait par ces mots : “Car je suis avec toi.” Il l’aimait malgré tout. Jéhovah fixe donc avec amour des limites bien nettes pour ce qui est de la bonne conduite. Parents, faites de même. — Jér. 46:28.

Josué

Josué
Administrateur

Aux jours de Jérémie, l’armée égyptienne abattit Gaza (Jr 47:1). Avant cet événement, la déclaration de Jéhovah contre les Philistins indiquait qu’un malheur venant du N. les attendait : “ La calvitie viendra vers Gaza. ” (Jr 47:2-5 ; voir aussi Jr 25:17, 20). Comme le laissent entendre d’autres passages de Jérémie (1:14 ; 46:20), les “ eaux ” venant du “ nord ” mentionnées en Jérémie 47:2 représentent selon toute vraisemblance les armées babyloniennes. Neboukadnetsar, roi de Babylone, soumit effectivement toute cette région (2R 24:1, 7) ; d’ailleurs, des inscriptions babyloniennes citent le roi de Gaza (Ancient Near Eastern Texts, p. 308). Par conséquent, il semble que les mots “ avant que Pharaon n’ait entrepris d’abattre Gaza ” (Jr 47:1) ne servent qu’à définir l’époque où Jérémie reçut la déclaration de Jéhovah au sujet des Philistins. Ils n’ont pas nécessairement un rapport direct avec l’exécution du jugement qui devait venir “ du nord ”, exécution qui est examinée aussitôt après.
Sa destruction. Le prophète Tsephania, contemporain de Jérémie, exprima de la part de Jéhovah un jugement similaire sur Gaza ; il dit : “ Elle deviendra une ville abandonnée. ” (Tse 2:4). Et la prophétie de Zekaria, rédigée après la chute de Babylone, annonçait également des malheurs à venir : “ Gaza [...] aussi éprouvera de violentes douleurs. ” (Ze 9:5). L’Histoire confirme que les malheurs prédits se produisirent. Dans la deuxième moitié du IVe siècle av. n. è., Alexandre le Grand prit Gaza après cinq mois de siège (deux mois, selon Antiquités judaïques, XI, 325 [VIII, 4]). Nombre de ses habitants furent tués et les survivants furent vendus en esclavage. Plus de 200 ans après, le Juif Alexandre Jannée dévasta complètement la ville après un an de siège. — Antiquités judaïques, XIII, 364 (XIII, 3).

Josué

Josué
Administrateur

Héb. : ʽarôʽér ou ʽarʽar.) Le mot arabe ʽarʽar permet d’identifier assez sûrement cet arbre au Juniperus phoenicia, un arbuste qu’on trouve dans la région du Sinaï ainsi que dans le désert d’Édom. La racine dans l’hébreu dont le nom de cet arbre dérive emporte l’idée de “ nudité ” ou d’être “ dépouillé ”. (Voir Ps 102:17.) Ce genévrier nain est décrit en conséquence comme une plante d’aspect assez lugubre, qui pousse sur les terrains rocailleux des déserts et sur les rochers. Aussi, dans le livre de Jérémie, la comparaison entre l’homme dont le cœur se détourne de Jéhovah et “ un arbre solitaire [ʽarʽar] dans la plaine désertique ” est vraiment appropriée, de même que le conseil pressant aux Moabites de fuir et de devenir “ comme un genévrier [kaʽarôʽér] dans le désert ”. — Jr 17:5, 6 ; 48:1, 6

Josué

Josué
Administrateur

Jéhovah inspira donc Jérémie pour qu’il complète ses prophéties en annonçant le renversement violent de nations méchantes telles que l’Égypte, la Philistie, Moab, Ammon, Édom, Kedar et même Élam (Jér. 46:1 à 49:39; 25:15-33). Jéhovah prévoyait d’employer Nébucadnezzar et les armées babyloniennes pour brandir l’“épée” exécutrice contre ces nations qui défiaient le vrai Dieu. C’est donc à propos de ces forces d’exécution que Jéhovah inspira les paroles suivantes à Jérémie: “Maudit celui qui exécute la mission de Jéhovah avec négligence; et maudit celui qui retient son épée loin du sang!” (Jér. 48:10). Ni les Babyloniens ni le roi Nébucadnezzar n’encoururent cette malédiction pour avoir négligé de s’acquitter jusqu’au bout de leur “mission” divine.

Josué

Josué
Administrateur

L’ancienne Dibôn est aujourd’hui identifiée à Dhibân, à 5 km au N. de l’Arnôn, et à 21 km à l’E. de la mer Morte. Plus près de nous, elle a été le site de fouilles archéologiques intensives et a acquis une certaine notoriété du fait qu’on y a découvert la célèbre Stèle de Mésha en 1868. Selon l’interprétation de certains, les déclarations de cette stèle érigée par Mésha, roi de Moab, indiqueraient que Dibôn était sa capitale (qui englobait Qeriho) et “ la principale ville de Moab ” à une époque.
Peu après la première conquête de cette région par Israël, la tribu de Gad y vécut et ‘ bâtit [ou : rebâtit] Dibôn ’, puis lui donna apparemment le nom allongé de Dibôn-Gad, qui figure sur la liste des lieux où campa la nation (Nb 32:34 ; 33:45, 46). Dibôn fut toutefois considérée comme faisant partie de l’héritage de Ruben (Nb 32:2, 3 ; Jos 13:8, 9, 15-17). Elle souffrit probablement lors du relèvement de la puissance moabite sous le règne d’Églôn, mais la victoire du juge Éhoud lui apporta le soulagement (Jg 3:12-30). Selon le récit biblique consigné en 2 Rois 3:4, 5, des siècles plus tard Mésha, roi de Moab, se révolta contre la domination israélite “ dès qu’Ahab mourut ”. La Bible ne précise pas combien de temps cela dura, et il est possible que Mésha ait réussi alors à annexer plusieurs villes israélites à “ Qeriho ”, comme il s’en vante sur la stèle appelée de son nom. Quoi qu’il en soit, contrairement à l’inscription propagandiste de Mésha, le récit biblique établit que Moab fut vaincu à plates coutures quand ses forces engagèrent le combat contre les armées coalisées d’Israël, de Juda et d’Édom. — 2R 3:4-27.
Moins de 200 ans plus tard, Dibôn était de nouveau connue comme ville moabite, et Isaïe (15:2) prononça une déclaration de malheur contre elle. C’est pourquoi il est dit prophétiquement que les habitants de la région montent “ à La Maison et à Dibôn, aux hauts lieux ”, pleurant la désolation de Moab.
Certains spécialistes ont émis l’hypothèse qu’Isaïe faisait allusion à la menace assyrienne qui causait les ‘ pleurs ’ aux “ hauts lieux ” près de Dibôn ; toutefois, aucun récit n’indique que les Assyriens aient dévasté cette région. Quand, une centaine d’années plus tard, Jérémie, le serviteur de Jéhovah, prophétisa que Dibôn ‘ descendrait de la gloire et s’assiérait dans la soif ’ (Jr 48:18), la prophétie antérieure d’Isaïe ne s’était apparemment pas encore réalisée. Par conséquent, Jérémie, semble-t-il, annonçait de nouveau un message similaire et rendait ainsi doublement certaine la prédiction de malheur sur Moab. Quelque temps après la chute de Jérusalem en 607 av. n. è., quand il dévasta complètement Moab, Neboukadnetsar laissa peut-être les citoyens de Dibôn non seulement ‘ assoiffés ’ du luxe de sa gloire passée, mais aussi à l’abandon, dans l’état de captifs humiliés, assoiffés littéralement d’eau et des autres nécessités courantes. — Jr 25:9, 17-21.
La découverte de grandes réserves de grain admirablement conservé (grain qu’on date de la deuxième moitié du Ier millénaire av. n. è.) semble confirmer l’opinion de quelques-uns selon laquelle la région de Dibôn, aujourd’hui encore productive, fut à une époque un grenier de la Palestine.
Certains commentateurs pensent que Dibôn est la même ville que la Dimôn mentionnée en Isaïe 15:9.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum