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14 mai Lecture de la Bible : Jérémie 39-43

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Josué

Josué
Administrateur

14 mai Lecture de la Bible : Jérémie 39-43

C’étaient les princes de Jérusalem qui agissaient comme des “hommes en paix” avec le roi. Par peur de ces gens, Sédécias enjoignit à Jérémie de ne rien révéler de leur entretien à ceux qui l’interrogeraient, sous peine de mort. Il devait simplement éluder leurs questions en disant qu’il avait obtenu une audience et qu’il avait demandé à ne pas retourner dans la maison de Jéhonathan, le secrétaire, pour y mourir En ne révélant pas aux curieux tous les détails de son entrevue secrète avec le roi, Jérémie évitait bien des difficultés à ce dernier. Ensuite, conformément à la requête dont il avait fait part aux princes soupçonneux, il demeura en détention dans la Cour de la Garde, et ce jusqu’au neuvième jour du quatrième mois (Tammouz) de l’an 607, date à laquelle les Babyloniens ouvrirent une brèche dans la muraille de Jérusalem et s’emparèrent de la ville, forçant Sédécias et ses soldats à prendre la fuite. — II Rois 25:2-5.
Comme Jérémie l’avait annoncé, Jéhovah, dont Sédécias avait occupé le trône terrestre à Jérusalem, se vit dans l’obligation de livrer la ville à ses assiégeants. Ainsi, en ce jour d’été 9 Tammouz de l’an 607, ce n’étaient pas des juges juifs, en train de régler des litiges, qui étaient assis dans la Porte du Milieu, l’une des entrées de Jérusalem, mais cinq princes babyloniens dont les noms nous sont d’ailleurs rapportés. Il était hors de question, pour les Juifs enfermés dans leur ville, de s’enfuir de ce côté-là (Jér. 39:1-3; I Chron. 29:23). Quelle triste situation!

Josué

Josué
Administrateur

Sédécias (617-607 avant notre ère), le dernier roi de Juda, demanda à Jérémie de prier Jéhovah en faveur de Juda. Mais le prophète continua à annoncer la destruction imminente de Jérusalem. Plus tard, après qu’il eut été maltraité et emprisonné de nombreux jours, Jérémie fut amené devant le roi. Celui-ci lui demanda alors en cachette: “Y a-t-il une parole de la part de Jéhovah?” Voici la réponse franche et nette de Jérémie: “Il y en a [une parole]! (...) Tu seras livré en la main du roi de Babylone!” (Jér. 37:3-17). Pareillement, les Témoins de Jéhovah annoncent franchement et clairement le jugement de Dieu. Ils ne s’intéressent pas aux mouvements œcuméniques et ne cherchent pas à adoucir le message qu’ils proclament contre la chrétienté.
Comme il continuait à annoncer les jugements de Dieu contre la ville de Jérusalem, Jérémie fut jeté dans une citerne et il commença à s’enfoncer dans la boue qu’il y avait au fond. Il semblait voué à une mort horrible. Mais Ébed-Mélec, un eunuque éthiopien, intercéda auprès du roi en faveur de Jérémie. Sur l’ordre du roi, Ébed-Mélec prit avec lui trente hommes et, en se servant de chiffons et de bouts de tissus usés, ils sortirent Jérémie de la citerne et le ramenèrent dans la Cour de la Garde. Jérémie y resta jusqu’à la destruction de la ville, après quoi il fut libéré. Mais que devint Ébed-Mélec? Alors que Jérémie était encore dans cette cour, la parole de Jéhovah lui advint, disant:
“Va, et tu devras dire à Ébed-Mélec, l’Éthiopien: ‘Voici ce qu’a dit Jéhovah des armées, Dieu d’Israël: “Voici que je réalise mes paroles sur cette ville, pour le malheur et non pour le bien, et, à coup sûr, elles auront lieu devant toi en ce jour-là. Et je te délivrerai en ce jour-là”, telle est la déclaration de Jéhovah, “et tu ne seras pas livré en la main des hommes dont tu as peur. Car je te donnerai de réchapper, oui, et tu ne tomberas pas par l’épée, et, à coup sûr, tu auras ton âme pour dépouille, parce que tu as eu confiance en moi”, telle est la déclaration de Jéhovah.’”
Quand les armées babyloniennes, venues du nord, pénétrèrent avec fracas en Juda, Ébed-Mélec eut la vie sauve. À notre époque moderne également, de nombreux hommes, dont des fonctionnaires du gouvernement et des gardiens de prison, se sont montrés bienveillants envers des Témoins de Jéhovah qui étaient persécutés. Certains d’entre eux sont même devenus des Témoins et ont de ce fait l’espérance d’être épargnés quand les armées célestes de Jésus Christ entreront en action à Har-Maguédon pour exécuter les jugements divins. — Jér. 38:6-13; 39:15-18; Rév. 7:14-17; 16:16.

Josué

Josué
Administrateur

Au cours des années 1870, une tablette d’argile d’un peu plus de cinq centimètres de long a été découverte dans les environs de Bagdad, en Irak. En 2007, alors qu’il faisait des recherches au British Museum, Michael Jursa, professeur à l’université de Vienne (Autriche), est tombé par hasard sur cette tablette. Il a reconnu un nom, celui d’un fonctionnaire babylonien figurant dans la Bible, en Jérémie 39:3 : Nebo-Sarsekim (Nabû-sharrussu-ukin, sous sa forme babylonienne, sous sa forme babylonienne).
Nebo-Sarsekim était un dignitaire aux ordres du roi Neboukadnetsar, présent lors de la destruction de Jérusalem en 607 avant notre ère. La tablette le présente comme “ le chef des eunuques ”. Or, ce titre ne pouvait être porté que par un seul homme à la fois, ce qui démontre clairement que le Sarsekim en question est bien le même homme que celui dont parle la Bible.
(ou Merodak), dieu principal des Babyloniens dont le nom figure également dans la Bible (Jérémie 50:2). Le reçu est daté de la 10e année, du 11e mois et du 18e jour du règne de Neboukadnetsar. Cette livraison d’or n’a rien à voir avec le pillage de Jérusalem, qui aura lieu plusieurs années plus tard (2 Rois 25:8-10, 13-15). Néanmoins, comme le dit le professeur Jursa, “ découvrir une tablette de ce genre, qui décrit un personnage biblique en train de faire un versement courant au temple et qui donne la date exacte de la transaction, c’est tout bonnement extraordinaire ”. Saluée comme l’une des découvertes les plus importantes de l’archéologie biblique moderne, cette tablette “ accrédite l’idée que les livres historiques de l’Ancien Testament sont basés sur des faits ”, lit-on dans le Telegraph de Grande-Bretagne.
Cela étant, la Bible n’a nul besoin du témoignage de l’archéologie. Il existe dans la Bible elle-même, et dans ses prophéties en particulier, des preuves autrement plus solides de son authenticité (2 Pierre 1:21). Par exemple, plus d’un siècle à l’avance, Jéhovah Dieu a prédit par la bouche du prophète Isaïe que tous les trésors de Jérusalem seraient “ transporté[s] à Babylone ”. (Isaïe 39:6, 7.) Il a encore annoncé, par la voix du prophète Jérémie : “ Je livrerai toutes les réserves de cette ville [Jérusalem] [...] en la main de leurs ennemis. Et à coup sûr ils les pilleront, les prendront et les feront venir à Babylone. ” — Jérémie 20:4, 5.
Nebo-Sarsekim était l’un de ces ennemis et, en tant que tel, il a été témoin oculaire de l’accomplissement de cette prophétie biblique. En réalité, qu’il en ait été conscient ou non, il a participé à son accomplissement.
[Note]
Respectant la ponctuation du texte massorétique hébreu, la Traduction du monde nouveau met en Jérémie 39:3 : “ Samgar-Nebo, Sarsekim, Rabsaris ”. Mais le texte hébreu consonantique pourrait être rendu par : “ Samgar, Nebo-Sarsekim le Rabsaris [fonctionnaire de cour (ou eunuque) en chef] ”, ce qui s’accorderait avec la tablette cunéiforme.

Copyright The Trustees of the British Museum

Josué

Josué
Administrateur

Aujourd’hui, la chrétienté existe depuis plus longtemps que les 860 années au cours desquelles la maison d’Israël avait occupé la Terre promise avant qu’Ézéchiel fût établi prophète et guetteur en Israël. Elle a donc un passé plus long de choses détestables commises dans son domaine religieux. Elle attend son jour de jugement depuis plus longtemps qu’Israël. Mais maintenant, enfin, son péché l’a trouvée, l’a atteinte. La fin que Jéhovah a décrétée à son sujet est sur le point de s’abattre sur elle, et elle ne peut s’attendre à aucune compassion de sa part. Elle n’a plus aucune chance de se repentir et de se convertir à Jéhovah.
Exactement comme cela a été annoncé pour les derniers jours où nous sommes, la chrétienté a eu “les dehors de la piété” ou “une forme de pieux dévouement”, mais elle en a toujours “renié le pouvoir” ou “ce qui en est la force”. (II Timothée 3:1-5, CT; MN.) Par son infidélité envers la sainte Bible, elle n’a tenu aucun compte du Dieu de la Bible, Jéhovah. Celui-ci n’est donc pas injuste à son égard en lui faisant subir les conséquences de ses voies et en lui montrant combien ses choses religieuses lui sont détestables. Lors de sa fin, il convient qu’elle sache qu’il existe véritablement un Dieu dont le nom est Jéhovah et qui donne à chacun son dû.

Josué

Josué
Administrateur

Ébed-Mélec n’essaya pas de quitter Jérusalem avec son roi et maître, Sédécias. D’origine éthiopienne, il était le genre d’homme au sujet duquel Jérémie avait demandé: “Un Cuschite [Éthiopien, Segond] peut-il changer sa peau ou un léopard ses taches?” (Jér. 13:23) Ébed-Mélec était de race noire, et la Bible en anglais vivant l’appelle “Ébed-Mélec le Noir”. (Jér. 38:7, 12; 39:15.) Lui n’avait nul besoin de s’enfuir de Jérusalem pour essayer de sauver sa vie, puisque le Dieu de Jérémie lui avait promis de le sauvegarder. En effet, après avoir décrit de quelle façon Nébucadnezzar le traita, lui et quelques pauvres du pays, Jérémie nous donne un renseignement qui devrait normalement faire suite à Jérémie 38:28. James Moffatt, dans sa Nouvelle traduction de la Bible, a même transposé Jérémie 39:15-18 juste après Jérémie 38:28 pour permettre au lecteur de bien suivre le fil du récit.
Les faits rapportés dans les versets ci-dessous ont donc eu lieu avant la chute de Jérusalem devant les assiégeants babyloniens, chute qui survint le 9 Tammouz de l’an 607, dans la onzième année du règne de Sédécias. Nous lisons:
“Et la parole de Jéhovah advint à Jérémie, alors qu’il se trouvait enfermé dans la Cour de la Garde [avant la chute de Jérusalem et la fuite des soldats juifs], disant: ‘Va, et tu devras dire à Ébed-Mélec, l’Éthiopien: “Voici ce qu’a dit Jéhovah des armées, Dieu d’Israël: ‘Voici que je réalise mes paroles sur cette ville, pour la malheur et non pour le bien, et, à coup sûr, elles auront lieu devant toi en ce jour-là. Et je te délivrerai en ce jour-là’, telle est la déclaration de Jéhovah, ‘et tu ne seras pas livré en la main des hommes dont tu as peur. Car je te donnerai de réchapper, oui, et tu ne tomberas pas par l’épée [des Babyloniens], et, à coup sûr, tu auras ton âme pour dépouille, parce que tu as eu confiance en moi’, telle est la déclaration de Jéhovah.”’” — Jér. 39:15-18

Josué

Josué
Administrateur

Quelle condition religieuse déplorable que celle des “pauvres du pays” qui étaient restés en Juda (Jér. 40:7, Segond)! Aucun temple à Jérusalem vers lequel se tourner pour prier Jéhovah! Plus de Lévite ni de prêtre, à part Jérémie! Aucun autel pour offrir leurs sacrifices! On avait même perdu l”‘arche de l’alliance”, ce coffre en or surmonté de deux anges sculptés, que le grand prêtre aspergeait du sang des sacrifices le 10 Tischri, jour des Propitiations. L’Arche avait disparu on ne sait où. — Osée 3:4.
C’est alors qu’un criminel entra en scène, en la personne d’Ismaël, fils de Néthaniah. Baalis, le roi des Ammonites, chez qui Ismaël s’était réfugié pour échapper aux Babyloniens, avait sans doute trouvé en Ismaël le tueur idéal pour assassiner Guédaliah, que le roi Nébucadnezzar avait établi gouverneur de la province de Juda. Pourquoi choisit-il Ismaël? Parce qu’il était “de la descendance royale”: il appartenait à la famille royale par son grand-père Élischama et il faisait partie des “hommes principaux du roi”. (Jér. 41:1.) Ce courtisan de l’ex-roi Sédécias pouvait s’irriter de ce que Guédaliah ait été nommé gouverneur, alors qu’il n’était pas “de la descendance royale”. Le roi ammonite Baalis, qui s’était réjoui de la destruction de Jérusalem, se servit donc d’Ismaël pour supprimer Guédaliah. — Ps. 83:7, 8; Jér. 40:14.
Sans prendre garde à l’avertissement de Johanan, fils de Caréah, Guédaliah reçut Ismaël et ses dix compagnons à un repas organisé dans sa nouvelle capitale, à Mizpah, à quelques kilomètres au nord des ruines de Jérusalem. Malgré la présence de quelques soldats babyloniens, Ismaël et les siens s’emparèrent par surprise des convives et de tous ceux qui se trouvaient à proximité et ils les abattirent sans merci (Jér. 41:2, 3). Plus tard, Ismaël et sa bande de renégats firent encore d’autres victimes. Cela se passait au septième mois lunaire (Tischri), mois qui était généralement marqué par les sept jours de la fête des Huttes. Les habitants de Mizpah décidèrent de suivre l’usurpateur et de devenir ses captifs. Cependant, quand Johanan, fils de Caréah, intervint et s’opposa à Ismaël, celui-ci s’enfuit avec huit de ses hommes au pays d’Ammon, que le roi Nébucadnezzar n’avait pas encore soumis. — Jér. 41:10-15; 49:1-5.

Josué

Josué
Administrateur

La lettre numéro 3, écrite par “ Hoshiyahu [Hoshaïa] ”, disait notamment : “ Que Yahvé [Jéhovah] fasse entendre à mon seigneur des nouvelles de paix [...]. Et à ton serviteur on a transmis ceci : ‘ Le chef d’armée, Konyahu [Konia], fils d’Elnatan, est descendu pour aller en Égypte ’ et Hodawyahu [Hodavia], fils d’Ahiyahu [Ahiya], et ses hommes il (les) a envoyés prendre [des vivres] d’ici. ” Cet extrait peut tout à fait témoigner de ce que Juda rechercha de l’aide auprès de l’Égypte, ce qui lui valut d’être condamné par les prophètes (Is 31:1 ; Jr 46:25, 26). Les noms Elnatan [Elnathân] et Hoshiyahu [Hoshaïa], qui apparaissent dans le texte complet de cette lettre, figurent également en Jérémie 36:12 et en Jérémie 42:1. D’autres noms cités dans ces ostraca se retrouvent dans le livre de Jérémie : Guemaria (36:10), Néria (32:12) et Yaazania (35:3). Bien qu’on ignore s’ils désignent les mêmes personnages, la coïncidence en soi est notable, étant donné que Jérémie vécut à cette période.
On remarquera particulièrement que le Tétragramme est souvent utilisé dans ces ostraca, preuve qu’à l’époque les Juifs ne répugnaient pas à employer le nom divin. Une autre découverte intéressante est celle d’une empreinte de sceau sur argile qui se réfère à “ Guedaljahu [Guedalia] qui est sur la maison ”. Guedalia est le nom du gouverneur que Neboukadnetsar établit sur Juda après la chute de Jérusalem ; de l’avis de beaucoup, c’est probablement de lui que l’empreinte du sceau fait mention. — 2R 25:22 ; voir aussi Is 22:15 ; 36:3.

Josué

Josué
Administrateur

Après le coup que l’on venait de porter au gouvernement provisoire mis en place par les Babyloniens, Johanan et les autres Juifs se dirent qu’ils avaient des raisons de craindre l’Empire babylonien, la nouvelle puissance mondiale que Jéhovah Dieu utilisait pour exécuter ses jugements au Moyen-Orient. Qu’allaient-ils faire? Johanan et les chefs rendirent une visite officielle à Jérémie, qui avait déjà prédit avec exactitude la ruine de Jérusalem. Ils lui promirent qu’ils obéiraient au message de Jéhovah, que ce message leur plaise ou non. Dix jours plus tard, Jéhovah leur répondit par la bouche de Jérémie et leur dit qu’ils ne devaient pas céder à la crainte, mais rester dans le pays, sous le joug de Babylone. S’ils manquaient de foi et se réfugiaient en Égypte, ils succomberaient à l’épée victorieuse du roi de Babylone, à la famine et à la peste. À l’exception d’un petit reste, tous périraient en Égypte, dans ce pays condamné. Ils ne reviendraient pas en paix dans la province de Juda, pas même après que l’Empire babylonien aurait été renversé. Johanan et ses partisans se conformèrent-ils au message divin? Loin de là! Ils le qualifièrent de mensonge et traitèrent Jérémie de menteur. — Jér. 42:1 à 43:3.
Mais qui mentait, sinon ces Juifs qui avaient fait vœu de suivre le message que Jérémie leur transmettrait, même s’il n’était pas à leur goût? Bientôt, ils faisaient route vers l’Égypte, bien décidés à ne s’arrêter qu’une fois arrivés dans le pays du Nil. Ils refusaient de se soumettre à la domination de Babylone, la Troisième Puissance mondiale, et préféraient rejoindre l’Égypte, qui avait été leur alliée dans la lutte contre l’expansion babylonienne. Maintenant que le pays de Juda se trouvait à son tour sous la domination de Babylone, les Juifs ne voulaient pas qu’il y reste qui que ce soit qui puisse se soumettre à l’envahisseur. Ils emmenèrent donc aussi Jérémie et son secrétaire Baruch, qui étaient partisans de la sujétion à Babylone. Sans le vouloir, ces hommes rebelles à la volonté divine partirent juste à l’époque où l’on aurait dû célébrer avec joie la fête de la Récolte (soit du 15 au 21 Tischri 607) et laissèrent le pays de Juda sans homme ni animal domestique, comme Jéhovah l’avait annoncé. — Jér. 43:4-7.

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