9 avril Lecture de la Bible : Jérémie 22-24
*** w77 1/5 p. 261 Jéhovah aime la justice ***
LE TRÈS-HAUT aime la justice et le droit (Ps. 33:5). Son serviteur Élihu a déclaré : “Quant au Tout-Puissant, nous ne l’avons pas atteint, il est sublime en force, et il ne rabaissera pas l’équité et l’abondance de justice.” — Job 37:23.
Jéhovah attache tant d’importance à la justice qu’il ne peut fermer les yeux sur l’oppression. Aussi, que les oppresseurs ne se leurrent pas en pensant se soustraire à la loi immuable de Dieu, à savoir. “Quoi que l’homme sème, c’est aussi ce qu’il moissonnera.” (Gal. 6:7). Jéhovah a souvent dirigé les choses de telle sorte que le désastre s’abatte sur ceux qui pratiquent l’injustice. De plus, pour qu’ils soient pleinement convaincus que le jugement venait de lui, le Tout-Puissant les prévenait par l’intermédiaire de ses prophètes.
Tel a été le cas pour Éliakim, au septième siècle avant notre ère. Son père, le roi Josias, avait voulu barrer la route aux armées égyptiennes qui, sous le commandement du Pharaon Nécoh, traversaient la Samarie pour aller combattre le conquérant babylonien de l’Assyrie. Dans le combat qui avait opposé Nécoh à Josias, ce dernier avait trouvé la mort. Les habitants de Juda avaient alors fait roi Joachaz, le plus jeune frère d’Éliakim. Cependant, environ trois mois plus tard, Pharaon Nécoh avait pris Joachaz et l’avait emmené captif en Égypte. À la place de Joachaz, Nécoh avait fait monter sur le trône Éliakim, qui était âgé de vingt-cinq ans, et avait changé son nom en celui de Jéhoïakim. D’autre part, Nécoh infligea une lourde amende au royaume de Juda. Jéhoïakim contraignit ses sujets à la payer en les soumettant à une taxe. — II Rois 23:34-36 ; II Chron. 36:1-5.
*** w77 1/5 p. 261 Jéhovah aime la justice ***
LE TRÈS-HAUT aime la justice et le droit (Ps. 33:5). Son serviteur Élihu a déclaré : “Quant au Tout-Puissant, nous ne l’avons pas atteint, il est sublime en force, et il ne rabaissera pas l’équité et l’abondance de justice.” — Job 37:23.
Jéhovah attache tant d’importance à la justice qu’il ne peut fermer les yeux sur l’oppression. Aussi, que les oppresseurs ne se leurrent pas en pensant se soustraire à la loi immuable de Dieu, à savoir. “Quoi que l’homme sème, c’est aussi ce qu’il moissonnera.” (Gal. 6:7). Jéhovah a souvent dirigé les choses de telle sorte que le désastre s’abatte sur ceux qui pratiquent l’injustice. De plus, pour qu’ils soient pleinement convaincus que le jugement venait de lui, le Tout-Puissant les prévenait par l’intermédiaire de ses prophètes.
Tel a été le cas pour Éliakim, au septième siècle avant notre ère. Son père, le roi Josias, avait voulu barrer la route aux armées égyptiennes qui, sous le commandement du Pharaon Nécoh, traversaient la Samarie pour aller combattre le conquérant babylonien de l’Assyrie. Dans le combat qui avait opposé Nécoh à Josias, ce dernier avait trouvé la mort. Les habitants de Juda avaient alors fait roi Joachaz, le plus jeune frère d’Éliakim. Cependant, environ trois mois plus tard, Pharaon Nécoh avait pris Joachaz et l’avait emmené captif en Égypte. À la place de Joachaz, Nécoh avait fait monter sur le trône Éliakim, qui était âgé de vingt-cinq ans, et avait changé son nom en celui de Jéhoïakim. D’autre part, Nécoh infligea une lourde amende au royaume de Juda. Jéhoïakim contraignit ses sujets à la payer en les soumettant à une taxe. — II Rois 23:34-36 ; II Chron. 36:1-5.